Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:44

Si vous êtes contre ça (dans la vie réelle, pas dans nos jeux zarbis !) :

Svyatoslav-Sheremet large

Un militant pour les droits gays violenté par des néo-nazis après l'annulation de la marche des Fiertés de Kiev, en Ukraine. Image © Reuters

 

Allez signer la pétition avant vendredi soir !

Par Sadic Arnaud - Publié dans : Koups de gueule - Communauté : Gay
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:34

Ce récit de Kouros est du "vécu arrangé".

Bonne lecture ! Je reviens dans une semaine...avec la suite.

 

Arnaud S.

 

J’ai 32 ans, je suis brun, d’un petit gabarit « musclé sec », comme disent les annonces, et j’aime être soumis à un vrai mec. Ce soir, j’ai rendez-vous avec un copain que je connais depuis longtemps mais ses absences répétées de la capitale m’ont privé de sa compagnie. Bien excité, je sonne à la porte de son immeuble. L’interphone crache un ordre : « Tu montes au 4ème par les escaliers et en slip ». J’hésite un peu, mais il est tard et dans cette résidence tranquille, j’ai peu de chance de rencontrer quelqu’un ; au pire, je redescendrais dare-dare me planquer au rez de chaussée, sous la volée d’escalier. J’enlève donc mon jean et monte en tee-shirt et en boxer noir assez moulant jusqu’à chez lui. La porte est entrouverte, une musique syncopée s’échappe de l’appartement enfumé. Je pousse la porte. Yohan est assis sur un canapé, au milieu d’un désordre indescriptible.

Il ne porte qu’un slip blanc à large ceinture rouge et une paire de baskets usagés. C’est un mec un peu plus âgé que moi, 35-36 ans peut-être. Il a un corps assez athlétique, imberbe et des cheveux blonds très ras. Ses yeux bleus expriment une sorte d’autorité naturelle et sa gueule vacharde découragerait de lui résister, si tant est que l’idée m’en soit venue… Nos regards se croisent ; les mondanités sont inutiles. « Enlève tes pompes, ton tee-shirt, ton slibard et viens à mes pieds ». Je me précipite sur ses baskets que je commence à lécher avec application. Tandis que je lèche une chaussure, de l’autre il m’écrase le dos et balance de petits coups bien assénés sur mes fesses qui ondulent de plaisir. Je modifie ma position et me mets sur le dos pour vénérer la semelle de ses godasses qui viennent aussitôt écraser mon visage, ma queue, mes couilles sur lesquelles il appuie pour me faire gémir, autant de douleur que de plaisir. Ce décrassage dure une dizaine de minutes et si je bande bien, je peux également apercevoir au hasard de mes mouvements que sa queue se dessine droite et dure sous son slip. « Debout, va vers l’évier ». Je m’empresse d’obéir. Il me tend un verre que je vide sur son ordre. Placé derrière moi, Yohan s’empare de mes tits, que j’ai assez développés. Il les pince progressivement, mais bientôt la douleur est telle que je tente d’incliner le torse pour y échapper. Un violent coup de genou entre les fesses me dissuade aussitôt de résister davantage. Ses doigts musculeux continuent à pincer, à tordre mes tits, vers le haut, vers le bas et ma queue se tend sous la douleur.

Il me retourne brusquement et m’assène une gifle magistrale. Les vieilles habitudes reprennent et je m’écrie « Merci, Maître ». Après près avoir pris une longue rasade de l’alcool que contient son verre, il approche son visage du mien et il la déverse dans ma bouche ; j’avale goulûment le liquide tiède. Il s’éloigne et je l’entends chercher quelque chose dans son bazar. Des bruits métalliques me parviennent sans que j’ose me retourner. Il revient bientôt avec des pinces à seins. Il me les pose, la morsure est vive et je pousse un cri qu’une deuxième gifle fait aussitôt cesser. Ses mains pèsent sur mes épaules et je me retrouve à genoux devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son odeur de mâle, une odeur acre, où se mêlent des parfums de transpiration et d’urine. Je suis avec ma langue le contour de sa bite et de ses couilles. Il se laisse faire en poussant quelques soupirs de satisfaction ; avec mes dents, et avec précaution, je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils blonds apparaissent d’abord. Je les hume et lèche le pubis. Puis la base de sa queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite magistrale s’en échappe. Je l’avale jusqu’aux couilles que je caresse et imprime à ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces ; pour diminuer la douleur, je m’attarde parfois sur son gland ou son prépuce.

Une nouvelle gifle m’interrompt. Je tente de me relever, mais ses poings me retiennent à genoux, le visage tout près de son sexe qu’il m’empêche de lécher. Il débande peu à peu. Quand sa bite a repris une mollesse relative il m’ordonne : « Ouvre la bouche, prends ma queue et ne bouge pas ». J’obéis, sa bite est dans ma bouche, je reste parfaitement immobile. Alors, un liquide doré m’envahit bientôt. « Avale, avale tout ! Que pas une goutte ne tombe sur le sol ! ». Je m’efforce de maîtriser ma respiration et d’absorber la pisse qui sort en jet épais et se répand dans ma gorge. Quand il a fini, une fois les dernières gouttes avalées et le gland consciencieusement nettoyé, il me redresse en me tirant par les cheveux et enfonce sa langue dans ma bouche pour une longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins. Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif plaisir. Sa salive inonde ma bouche. Il recule son visage, crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle. « Merci, Maître », dis-je, encore sous le charme de cette exploration buccale… « Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre. » Je me précipite aussitôt au sol et lape les petites flaques de liquide odorant qui s’étalent sur le carrelage froid. Pendant que je me livre à cette opération de nettoyage, Yohan me balance des coups de pieds dans les côtes ou m’écrase le dos, ce qui a pour résultat d’accroître la douleur provoquée par les pinces.

« Sur le dos ! » ordonne-t-il. Je m’exécute sans tarder. Après que j’ai une nouvelle fois décrassé ses semelles, une fois qu’elles ont bien écrasé mes seins, ma bite dressée et mes couilles, il s’assied sur mon visage : « Bouffe ! ». Bien que j’étouffe un peu, je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant ainsi d’être plus efficace ; il cherche, je le comprends, à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce que c’est et je continue sans fléchir à lécher son cul, m’attardant sur ses fesses rebondies et bronzées. Il a repris son assise et immobilisé mes mains avec ses genoux, quand une douleur nouvelle assaille mon pubis, une douleur piquante, mordante: celle de la cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il déverse à la base de ma bite, heureusement totalement rasée sur ses injonctions. Je me tortille de douleur et de plaisir, tout en continuant à enfoncer ma langue dans son cul. La cire chaude provoque mille piqûres excitantes que je ne cherche plus à éviter, quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent mon sexe, mon gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris étouffés, mais je souhaite que cette torture délicieuse ne cesse pas encore. J’ai renoncé à lécher son cul, je suis trop crispé par la douleur et trop concentré sur ces sensations douloureuses mais terriblement plaisantes. Quand il se relève, je constate que ma bite a disparu sous une épaisse couche de cire blanche, sans avoir débandé pour autant. Yohan souffle la bougie et avec un sourire inquiétant –ou prometteur- annonce : « Nous ferons mieux tout à l’heure… »

Je me relève, nous nous dirigeons vers son divan encombré de toute sorte d’effets et nous nous asseyons pour reprendre quelques forces. Ma bite disparaît sous une gangue de cire, je porte toujours ces pinces à seins auxquelles je m’habitue, je suis bien et j’attends la suite de cette soirée à laquelle j’avais souvent rêvé…

Nous avons passé un assez long moment à évoquer nos voyages, nos plans plus ou moins réussis. La conversation est agréable, elle nous déconnecte des instants sexe que nous avons vécus mais nous permet d’entretenir notre désir mutuel par les récits de nos conquêtes qui, parfois, réussissent à combler nos fantasmes communs. Il suffit aussi d’un peu d’imagination ou d’enjoliver quelques médiocrités pour y croire… Yohan me propose de prendre un verre , une cigarette, autant d’excitants destinés à nous rendre un peu de vigueur. J’y consens volontiers et le temps passe, me plongeant dans une incertitude inquiétante : serait-ce déjà fini ? Je prends garde de ne rien dire, j’attends. De longues minutes de silence s’instaurent, la musique a cessé. Yohan se lève, tout nu, magnifique, bricole son ordinateur. J’en profite pour mater son corps admirable, sa queue longue et fine au repos, ses petites fesses musclées et galbées. Bientôt un air lancinant, très rythmé s’échappe. Il semble qu’il lui redonne de l’énergie… Il revient s’asseoir à côté de moi. « T’es prêt ? » me dit-il en souriant.

« Prêt à tout !

 

[suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:27

Un minet à la jolie tignasse blonde tombe entre les mains d'un skin qui lui met la boule à zéro. Le scénario est "renversant" et les urophiles apprécieront. J'ai adoré l'abondante éjaculation dorsale... 22 minutes de bonheur.

 

Arnaud S.

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : fan2...
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:07

[épisode précédent]

 

Loïc me gifla (plutôt gentiment) pour me punir de mon insolence. « Toi et moi savons tous les deux qu’au fond tu crèves d’envie de morfler de nouveau, pas vrai ? » Il fixa de nouveau ses beaux yeux bleus dans les miens. Ce petit sadique savait que je ne pouvais rien lui refuser quand je me noyais dans ses yeux. « Fais de moi ce que tu veux » dis-je en chuchotant.

« J’en avais bien l’intention ». Et sur ces entrefaites il me laissa tout à ma douleur en attente de la suite. J’en bandais par avance malgré mon épuisement et la douleur qui irradiait de chaque parcelle de mon corps meurtri.

  bunker3

Episode III

 

Loïc revint en portant un baluchon. Il me détacha totalement, m’enleva mes bracelets aux chevilles et aux poignets. « Habilles-toi » Je récupérai le baluchon et sorti mon habit préféré : une combinaison de latex noire et une cagoule de matière et couleur identiques.

Tant bien que mal, j’arrivai à rentrer tout d’abord mes jambes puis mes bras dans la combinaison. Je fermai la fermeture éclair sur la poitrine et profita de la sensation du latex sur l’intégralité de mon corps. J’éprouvai cependant moins de plaisir que d’habitude car du fait du fouet et des pinces le contact du latex était plus douloureux que vraiment agréable. Loïc ouvrit la poche avant et en extrayait mon sexe en érection. Il ouvrit également la fente arrière pour exposer mon petit cul.

La cagoule disposait de petits trous pour les narines, d’une ouverture pour la bouche et la partie recouvrant les yeux était ajourée afin de pénaliser la vision.

Loïc m’enfila lui-même la cagoule, puis me caressa doucement la tête et ma poitrine ainsi que ma bite déjà bien tendue.

Il me donna ensuite une bonne tape sur mon petit cul.

« Avance bâtard ». J’obtempérais et le suivi jusqu’à l’instrument dont nous étions le plus fier : notre chaise électrique.

Il s’agissait d’une chaise en bois massif recouverte de cuir noir. Au centre de l’assise émergeait un gode métallique. La chaise comportait de nombreuses attaches en cuir rembourrées à l’intérieur permettant d’immobiliser totalement la victime sans laisser trop de marques lorsque celle-ci se débattait sous le coup de l’intense douleur causée par les décharges électriques. Le dossier était très haut permettant d’attacher la tête de la victime à la chaise.

« Viens là » Il me positionna devant la chaise. Je le vis sortir un tube de gel spécial pour jeux électriques. Il badigeonna abondamment le gode, puis m’ordonna de m’assoir sur la chaise et de m’empaler. J’ai un cul assez serré, et je commençai à doucement m’assoir sur le gode métallique qui envahissait petit à petit mon intimité. Loïc, trouvant le processus trop lent, appuya de tout son poids sur mes épaules faisant rentrer le reste du gode d’un seul coup. « Putain AHHH ».

« Arrête de chialer » me répondit Loïc en me filant une baffe. Il entreprit de me saucissonner proprement : il attacha mes bras, mes avant bras, mes chevilles et mes jambes. Puis il serra assez fortement ma taille et ma poitrine à l’assise de la chaise, enserra mon cou dans l’attache prévue à cet effet, puis me mis un bandeau attaché derrière l’assise qui maintenait ma tête tout en m’aveuglant.

Il me laissa quelques secondes pour jouir de ma situation. Etre emprisonné en latex moulant est une des choses qui m’excite le plus, mais dans le cas présent j’avais tellement mal de partout et notamment au cul (qui avait été durement fouetté) que la situation était loin d’être confortable. J’émis de petits gémissements.

« Voyons si tu es bien attaché » dis Loïc en me tordant violemment les tétons à travers la combinaison de latex. Je criai et me débattis sous le coup de la douleur mes tétons étant encore très sensibles. Loïc ne sembla pas satisfaisait du résultat et entreprit de resserrer tous les liens. A l’exception des mes mains et de mes pieds, je ne pouvais absolument plus bouger un centimètre de mon corps ce que démontra Loïc en me tordant encore plus durement et longtemps mes tétons. Je commençai déjà à suer à grosses goutes et ma queue était toute raide.

« Arrête de beugler ». Loïc du coup me mit un bâillon ressemblant à un mors de cheval, il attacha celui-ci à l’arrière du dossier ce qui contribua à immobiliser encore plus ma tête ; il serra fort ce qui étira mes joues en arrière. Je ne pouvais plus émettre que quelques sons incompréhensibles, ce bâillon assez pénible avait cependant l’avantage de me permettre de respirer encore un peu par la bouche.

Puis Loïc équipa mes couilles et ma queue : il attacha à mes parties génitales des petits anneaux en cuir garnis de capteurs métalliques. Avant cela il me branla, puis me mis un cockring pour maintenir mon sexe en érection. J’avais deux colliers sur ma bite, un collier à la base de mes couilles et il scotcha deux capteurs sur chacune d’entre elles. Le tout fut branché au générateur alimentant déjà le gode métallique sur lequel j’étais empalé.

« Je vais t’expliquer le but du jeu. Je vais te laisser ½ heure dans cet état. On va faire court mais intense. Le système va alterner 20 secondes de décharge et 20 secondes de repos soit des cycles de 40 secondes ce qui donne 45 décharges en ½ heure. On va commencer à une intensité de 40, chaque décharge sera un cran au dessus de l’autre. Tu vas donc terminer à 85. Je pense que tu connais suffisamment cette machine pour savoir ce qui t’attend. Je te laisse une minute avant de commencer ».

L’intensité de 40 aurait pu être considérée comme douloureuse pour un néophyte. Ayant l’habitude je savais que les décharges de 40 à 50 seraient facilement supportables voire agréables. La douleur commencerait à s’installer de 50 à 60.

La vraie torture commencerait de 60 à 70 qui était l’intensité qui généralement nous faisait crier.

Par ailleurs par expérience je savais que de 70 à 80 j’allais être mis au supplice. Quant au reste je n’avais subi du 85 aussi longtemps qu’assez rarement : je savais que j’allais en baver.

Je réfléchissais à tout cela pendant la minute d’attente, et l’anticipation de ce qui m’attendait me fit quasiment juter, empêché par les anneaux serrés autour de ma bite et par le cockring.

 

La session se passa comme prévu, je comptais mentalement le nombre de chacune des décharges. Nous en étions déjà la 6ème décharge. Le courant me traversait la bitte et les couilles et se diffusait dans mon corps à travers le gode. Pour l’instant la sensation était encore assez agréable.

L’intensité était maintenant de 52 d’après mon calcul et je commençai à ressentir les premières douleurs. Je gémis à travers mon baillons à 56 et commençai à me débattre, c'est-à-dire principalement à bouger mes doigts et mes orteils. J’avais la gorge sèche et du mal à déglutir convenablement.

Je m’imaginais Loïc en train de jouir du spectacle : son petit bâtard tout en latex, comprimé sur une chaise en train de recevoir des chocs électriques de plus en plus intenses. Ma bite restait bien dure à cette pensée.

Je fus satisfait de moi ayant réussi à contenir mes cris jusqu’à 63. C’est à partir de ce moment là que je commençai à compter les secondes des temps de repos. Je n’arrivai pas à compter le temps de décharge car j’étais trop occupé à souffrir.

L’intensité 68 m’arracha un long cri, je me débattais dans tous les sens, mais j’étais vraiment bien immobilisé. J’étais complètement en sueur, bien aidé par ma combinaison en latex, ce qui augmentait la conduction de l’électricité pour mon plus grand malheur.

Je ressentais des brûlures intenses au niveau de mes parties génitales et de mon cul. « HHMMMMMMMMMMMMHHH » à la 70ème je criai d’un bout à l’autre de la session. Je respirai difficilement à travers les trous au niveau des narines, et le mors que j’avais dans les dents gênait la respiration par la bouche. Heureusement le temps de repos me permettait de reprendre à la fois mon souffle et mes esprits. 15, 16, 17,18 Je commençai à tendre mon corps en prévision de la prochaine décharge. « HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMHH »

Les périodes de repos et de supplice se suivirent, et chaque session était maintenant éprouvante.

Des larmes commencèrent à s’agglutiner dans la cagoule se mélangeant à la sueur. A chaque décharge je haletais et restais tétanisé.

A la 81ème je me mis à hurler pendant les 20 secondes que durèrent le choc électrique, j’avais l’impression que l’on me brulait et frappait mes entrailles et que ma bite et mes couilles étaient en train de griller. 82 puis 83 ensuite 84 : les trois séances suivantes me mirent au supplice et me firent gueuler sous le coup de l’intense souffrance.

…5, 6, 7 Je comptais mentalement mon temps de repos attendant avec appréhension l’intensité 85 ainsi qu’avec un certain soulagement. 15, 16,17. Ma bite restait bien tendue semblant apprécier le traitement qu’elle subissait. 18,19 « HMMMMMMMMMMMMMMHHHHHHHH », Je criai, pleurai tenta de me débattre, j’étais pris de tremblement pendant les 20 secondes qui suivirent. Enfin la douleur cessa, je repris petit à petit mon souffle et j’attendis. J’étais en nage et sentais le sel de mes larmes dans les yeux. Je pensai que mon calvaire était fini, et que j’allai pouvoir me reposer.

« Je vais t’achever ».

« HMM ? ».

« Deux décharges pour t’achever » La première 85 pendant 40 secondes

« HMMMH » suppliai-je.

« Ta gueule, sinon tu vas morfler »

Vu ce que j’avais déjà ramassé je ne voyais pas trop ce qu’il appelait « morfler », mais par prudence je préférai me taire…

J’essayai de prendre une respiration normale, de faire le vide dans mon esprit mes mains se crispèrent sur les accoudoirs et j’attendis.

La cuisante décharge vint frapper mes parties génitales et mon cul en même temps. Je poussai un râle d’agonie, ne reprenant ma respiration que pour hurler de nouveau. Je ne pensais plus qu’à une chose : la douleur qui provenait de mon bassin. Mes mains étaient tellement crispées sur les accoudoirs que je pensais que soit ceux-ci céderaient soit mes phalanges allaient se briser. Les quarante secondes me parurent une éternité.

Quand l’électricité s’arrêta je mis un certain temps à reprendre mes esprits et retrouver une respiration normale. J’étais inondé de sueur et de larmes.

 

« C’était pas mal. Maintenant je te propose un petit challenge. A fond pendant 10 secondes, je pense que cela va bien t’achever ! » ricana mon beau maître.

« HMMMMHHH » dis-je en tentant de tourner la tête en signe de négation

« Je pense que tu n’as pas bien compris : je ne te demandai pas ton avis en fait »

 

Seul Julien, le plus sadique de nos maîtres, avait essayé l’intensité 99. Il savait que par nature du fait de son faible ampérage l’appareil n’était pas dangereux si les chocs n’était pas infligés près du cœur, mais il voulait subir lui même cette épreuve afin d’être sûr que ce soit supportable pour nous.

Il avait essayé pendant 5 secondes uniquement et il avait poussé un magnifique hurlement et n’avait cessé de trembler pendant près d’une minute, puis il avait indiqué que c’était vraiment ultra-hard et qui nous plaignait par avance lorsque nous subirions à notre tour cette intensité. Loïc n’était pas là ce jour-là et n’avait pas vu le résultat.

 

J’étais déjà épuisé par toutes les tortures que j’avais subies et avais envie de repos, je poussai donc un long « HUUUUMH » destiné à inspirer la pitié. Cela me valut deux bonnes baffes bien cuisantes.

« Tu l’auras voulu : 15 secondes et si tu continues c’est deux fois 10 ».

Je me tus et me contenta de pleurnicher comme une chochotte et me concentra pour encaisser le choc. Je respirai profondément, essaya de nouveau de faire le vide à l’intérieur de ma tête, et me prépara à subir l’une des pires épreuves de ma vie.

 

Le temps s’écoula lentement et soudain je ressentis une violente douleur comme jamais je n’en avais ressentie. Mon cul et mes organes internes semblaient en feu comme si on m’avait plongé un fer rouge dans les entrailles, quant à ma bite et mes couilles j’avais l’impression qu’elles étaient frappées à coup de marteau. Le choc était tellement violent qu’il fallut quelques secondes avant qu’un hurlement puisse sortir de ma gorge. « HHHHHHHHHHHHHHHHHHHMMMMMMMMHHH »

Jamais je n’avais poussé un tel cri. Mon corps était devenu entièrement rigide et j’oubliai toute pensée rationnelle, mon cerveau ne se focalisait plus que sur la souffrance intense que subissait mon corps. Même ma bite se mit à débander tellement la douleur était forte. Ce furent les 15 secondes les plus longues de toute ma vie et chacune sembla durer une éternité. Enfin l’électricité cessa de parcourir mon corps, je continuai à crier, à trembler pendant peut être deux minutes (je n’avais plus de notion du temps), j’avais du mal à retrouver ma respiration et mon cœur battait à tout rompre.

Je repris petit à petit mon souffle et parvins à me calmer grâce à de profondes inspirations.

J’étais en larmes, et lorsque Loïc m’ôta le bandeau puis la cagoule, je ne vis nettement Loïc qu’après qu’il m’eu essuyé le visage avec une serviette.

« Ca c’était quelque chose » s’enthousiasma-t-il. « Juju m’avait prévenu que c’était hard et il ne c’était pas trompé. C’était génial. Pour le coup j’ai tout filmé, c’est le truc le plus excitant que j’ai jamais vu ! »

Malgré toute l’affection que je lui portai, je crois que j’aurais volontiers étranglé mon maître à ce moment là. J’étais encore hagard sous l’intensité du choc et je me remettais lentement de mes émotions (intenses). Je ne répondis rien, me concentrant sur mon rythme respiratoire.

Mais au fur et à mesure que je reprenais mes esprits et que je repensai à ce que j’avais subi, ma queue se mit à durcir de nouveau et mon ressentiment disparu.

Je réussis à articuler un « Putain çà décoiffe ! » avec un pâle sourire. Loïc me roula une longue pelle magnifique et lécha mes larmes qui restaient sur mes joues.

« Ca devrait aller pour ce soir » dit-il en passant gentiment sa main dans mes cheveux trempés de sueur. « Tu vas passer une soirée plutôt calme. Tes petits camarades ne vont pas tarder à rentrer et on va s’occuper d’eux. Je suis fier de toi. » Ses mots me remplirent de fierté, et en regardant ses beaux yeux bleus qui étincelaient, je fus remplis de bonheur.

 

[A suivre]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 07:00

Un peu de culture scientifique :

Le pendule de Foucault, du nom du physicien français Jean Bernard Léon Foucault, est une expérience conçue pour mettre en évidence la rotation de la Terre par rapport à un référentiel galiléen. Elle s'explique par l'existence de la force de Coriolis dans le référentiel non galiléen lié à un observateur terrestre. Le pendule est visitable au Panthéon à Paris.

 

Voici la version SM, déniché par Hector.

 

Arnaud S.

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : Kiff & mâleS - Communauté : plaisirs SM
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