X-toireS

Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 15:29

(Source : Cyrillo)

Je suis un bâtard soumis mûr, un jour le domi qui me dressait depuis plusieurs mois me donne rendez-vous en extérieur.

 

Il a mon 06 et il m’envoie des messages avec un max d’insultes, il me guide pour trouver le lieu de rendez-vous.

Une fois arrivé, il me fait garer ma voiture au fond du chemin proche de champs cultivés puis il me fait descendre et me dit :

 

".... vient près de moi… tu vas te foutre a poils total OK salope de merde.. »

 

Je m’execute et lui demande ou je dois mettre mes sap

 

« .... met les derrière tu n’en a plus besoin… les putes ça se dressent a poils… »

 

Je flippe un peu, mais j’obei, je n’ai pas le choix il m’a dressé pour obéir.

 

Je vais pour monter à côté de lui et il me dit :

 

« … salope tu monte dans le coffre… on va faire un tour.. »

 

Je suis étonné, mais excité et je ne sais qu’obéir.

 

Je monte alors à poils dans le coffre, ça sent le chien là-dedans..

 

Il ferme le coffre et me dit de ne pas faire de bruit

 

Sinon c’est une dérouillée au nerf de bœuf

 

Comme il ne m’a jamais menacé comme ça, j’obéis

 

On a roulé environ 20 mn je pense, puis il s’arrête, je ne fais pas de bruit, il s’est garé apparemment sur un parking, je l’entends discuter avec un autre mec ce dernier s’appelle Hakim.

 

Il parle du plan qu’il a prévu, mais il veut être certain que Hakim est bien sadique et qu’il a bien envie de se faire une pute par tous les trous et de bien se défouler dessus.

 

Hakim lui dit : « … montre-moi ce bâtard que je vois a quoi ça ressemble.. »

 

Mon Domi ouvre alors le coffre et me met quelques coups pour me faire bouger et me tordre un peu.

 

Hakim dit : « .. Ça me va je vais en profiter… »

 

On repart et Hakim nous suit avec sa voiture, mon domi ne fait monter personne dans sa voiture

 

On roule environ 10 - 15 mn puis apparemment on prend un petit chemin, on s’arrête et là il me fait sortir du coffre en me disant :

« .... je t’ai loué a Hakim qui est très pervers et qui a besoin de se défouler sur toi… »

"... compris petite pute ??

 

Je répond Oui timidement

 

Hakim dit : » .. j’aime ça quand les salopes sont un peu timides, je vais bien m’en occuper .. »

 

On marche un peu et on s’enfonce dans un bois ou le domi trouve un coin au bord d’une clairière.

 

Je dis : « … Maitre ça craint pas trop ici ? ..."

 

Mon domi dit : « … non et puis tu es une pute qu’on peut utiliser comme on veut, alors ce n’est pas grave s’il y a du monde, ils en profiteront.. »

 

Arbre01Ils m’attachent alors a un arbre, me met une cagoule et commence a m’inscrire des insultes au feutre sur le corps en me retournant dans tous les sens, style : Pute a dispo, chienne a rebeux, Trous a prendre....

 

Ensuite la sécance commence à coups de ceinturon, ils se mettent à me frapper sur le cul dans le dos, sur les seins

 

Ce traitement dure 30 mn j’ai le corps rempli de marques.

 

Le domi fait des photos, ill adore les marques sur ses lopes.

 

Ensuite Hakim dit : « … bon je veux continuer, car je crois que cette pute est encore hésitante.. »

 

Il reprend alors sa ceinture en cuir et me tabasse de plus en plus fort

 

Le domi lui dit : »… vas y fait toi plaisir il est fait pour ça.. »

 

Hakim redouble les coups puis il s’arret et demande au domi : « .. tu as une bougie ?? .. »

 

Le domi dit : « .. Oui évidement et il lui donne cinq bougies et un briquet.. »

 

Hakim allume les bougies et laisse au sol, il dit : « .. Il faut qu’elle coule bien pour la faire souffrir cette pute… »

 

Le domi installe des pompes aux seins en rigolant

 

Hakim s’approche avec une bougie et en fait couler sur la queue, mais il dit : « … ça ne va pas, car ça coule parterre, je veux lui recouvrir le glang et les couilles.. »

 

Le domi me détache et me fait coucher parterre sur le dos, il m’attache alors les cuisses bien écartées avec cordes qu’il tend entre deux arbres, j’ai la queue les couilles mon cul bien offert.

 

Hakim dit : « .. C’est beaucoup mieux comme ça.. »

 

Il me recouvre comme promis le gland et les couilles, je gueule dans mon bâillon, ils rigolent et prennent des photos

 

Ensuite il me retourne et fait couler la bougie sur mon cul et dans la raie, je me tortille, ce qui a pour effet de les exciter un max

 

Ensuite ils me détachent, et me retirent la cire de bougie à coups de ceinture

 

Ensuite le domi me dit : « .... pute tu m’a bien sucer notre invité… OK.. »

 

Moi je m’exécute, Hakim a une bite large, mais pas très longue, il gémit apparemment il aime puis m’enfonce sa bite a fond et reste ainsi.

 

Hakim dit : « … j’ai envie de pisser .. »

 

Le domi lui répond : « .. Tu sors et tu lui pisses dessus OK .. »

 

Hakim sort sa bite et m’arrose de sa pisse

 

Le domi me nettoie avec une bouteille d’eau qu’il prévoit toujours

 

Ensuite ils me rattachent ventre contre l’arbre et me disent : « … on va te baiser sale pute, tu n’es qu’une chienne a faire tourner… »

 

Ils me baisent chacun leur tour, il en enfile capote et me graisse bien le trou, ils me défoncent violemment

 

Ils jouissent dans la capote et me les versent sur la gueule

 

Une fois soulagé, il s’assoit et discute en disant :

 

Le domi : « .... alors pas décu mec ?? »

 

Akim : « … non c’est vraiment une bonne chienne… il faudrait me la prêter régulièrement.. »

 

Le domi : « … pas de problème quand tu veux et même si tu veux avec tes potes, tu l’utilises comme tu veux, mais respect des limites qu’on fixera.. »

 

Akim : « .. super j’ai 6 potes d’âges différents que ça va intéresser.. »

 

Le domi : « .. ok combien exactement et quels âges ? .. »

 

Akim : « … 4 certains dont 1 vieux de 65 a et les autres entre 20 et 35 a, ils ont beaucoup de besoins.. »

 

Le domi : « .. ok deal.. »

 

Une fois cette discussion terminée, et avoir siroté une bière chacun, Hakim reviens et me baise à nouveau, il veut que le domi me tabasse en même temps

 

C’est avec plaisir qu’il me frappe sur les seins sur la queue pendant que Hakim me baise à nouveau

 

On restera environ 2 heures pendant lesquelles ils alternent baises et coups

 

Le domi me ramène alors toujours dans le coffre vers ma voiture il me rend mes vêtements et nous nous séparons et e disant : »… Hakim va te contacter, tu ma pute et tu dois lui obéir… OK.. chienne ?? »

 

Je suis dis OK Maitre

 

Akim m’a ensuite envoyer plein de messages d’insultes en repartant et me promet des séances multiples, car mon maitre m’offre a lui

 


 

Hakim m'a recontacté par sms en me disant que ses potes étaient pret a m'utiliser

 

il me donne rendez vous, j'en informe mon Maitre qui doit valider

 

Le maitre dit : "... pas de problème je t'ai prêté a Hakim il fera ce qu'il veut de toi, tu n'es qu'une pute .."

 

je confirme a Hakim qui me dit :

 

Rendez vous chemin ..... en dehors de la ville et soit a l'heure je t'attendrai avec un de mes potes, fourgonnette blanche

 

le rendez vous est a 9h30 du matin et je dois etre a dispo jusqu'à 14h00

 

je me prépare et arrivé proche du rendez vous, Hakim m'envoi un nouveau sms et me dit : ... vient a 10h salope , mon pote est dispo a partir de 10h

 

Je me met en route et arrive vers 10h00 au rendez vous, je vois la fourgonnette , je me gare dans un parking avant et avance a pied, je frappe contre la fourgonnette..

 

Une voie me dit rentre sale pute, je reconnait pas la voie

 

Je rentre et là il y a 3 mecs qui attendent, il me foute à poils et on part, on roule pendant au moins 30 mn pendant lesquelles je suis tabassé par les 3 mecs, ils se font sucer l'un après l'autre.

 

Arrivé sur les lieux que je ne connais pas, le chauffeur qui est Hakim monte à l'arrière et dit a ses potes : ".... alors les mecs , elle est bonne cette salope ??"

 

Les mecs répondent : " .. Ah oui tu nous a trouvé une bonne pute.. on va bien s'amuser avec .."

 

Un des mecs demande à Hakim, si il peut m'attacher et ensuite m'offrir sur un lieu de drague

 

Hakim dit : " Oui sans problème , c'est prévu dans le deal avec son Master.il faut juste la baiser et la faire avec kpote..."

 

Le mec dit OK je l’emmènerai après ce plan..

 

Le deux autres mecs veulent consommer sur place alors il me font descendre de la fourgonnette, je suis a poils et ils m’emmène dans un petit bois.

 

Là ils m'attachent et c'est séance de coups, d'humiliation, de pisse et de baise.... a trois ils se relaient et profitent de mes trous...

 

Suite a venir...

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 10:32

Je n’ai pas attendu longtemps avant qu’une autre bite me pénètre. Ca a été aussi rapide que violent. Pas un mot. Un autre lui a succédé, puis un autre. Le troisième n’est pas venu seul : j’entends des rires et des chuchotements derrière, et celui-ci se démène pour me casser le cul. Je ne peux pas m’empêcher de gémir ce qui amuse encore davantage les autres. Quand mon enculeur se retire, il me glisse à l’oreille :

- J’ai pas juté, je te laisse aux autres, on va bien profiter…

C’est la voix de Guillaume. Aussitôt après, une bite énorme s’enfonce en moi et je suspecte que ce soit Wilhelm. Avant de jouir, il laisse à nouveau sa place à un autre et je ne sais pas combien de mecs alternent dans mon cul. Ca me brûle, je chiale. C’est long, je les supplie d’arrêter. Guillaume est en train de m’enculer : il me traite de chienne, de pute et me demande de continuer à supplier. Ca l’excite et il finit enfin par juter bruyamment. Les uns après les autres, les mecs se finissent en moi, Whilelm le dernier et il ponctue ses jets de foutre de claques sur mon cul.

Je crois que tout est fini, mais soudain, j’entends baragouiner en allemand. C’est Jean qui est en train me vendre à des locaux. J’essaie de me libérer, je gueule, mais ça me vaut seulement un coup de pied au cul et un « ta gueule ! » de Jean. Un instant après, une bite rentre en moi. Le mec y va comme un bourrin. Ma seule consolation, c’est qu’il ne dure pas longtemps. Un autre le remplace. J’arrête de compter. Certains de mes compatriotes s’offrent un tour supplémentaire. Mon cul me tire, j’ai l’impression que mes boyaux vont se déverser et mes jambes, ankylosées, flageolent. Quand enfin, Jean me libère, il me semble avoir passé trois nuits ici. Trois longues nuits.

Il ne retire pas mon bandeau et me fait m’agenouiller au milieu des chiottes. Puis il me tire la tête en arrière et là je sens un liquide froid et gluant qui me dégouline sur le visage. Le groupe entonne : « et de une ! » ». A l’odeur, c’est du sperme. Jean a gardé les capotes et me les vide dessus. J’en ai partout, ça pue. Les mecs comptent… Ils s’arrêtent à quatorze et je comprends pourquoi j’ai mal. Mon public se tire en rigolant et Jean m’enlève finalement le bandeau. Il me regarde avec un sourire narquois et un air de dégoût, puis il se casse.

 

Quand je sors enfin du pub, je suis tout seul et il est presque une heure du matin. Je réalise que je n’ai pas les clés : je suis dans la pire des merdes si je ne me dépêche pas. J’essaie de courir, mais ce n’est pas facile avec mon fion déchiré comme il l’est. Quand je retrouve la maison de mes hôtes, Jean et Whilelm sont devant le porte. Au moment où j’arrive, ils rentrent en riant. Je tapote à la porte et leur demande d’ouvrir.

- Tu te dépoiles d’abord, répond Jean. Ensuite, tu vas te branler au milieu de la rue, tu jutes dans ta main et tu reviens bouffer ta dèche devant nous. Après, on te laisse entrer.

Je me doutais qu’ils me préparaient une saloperie. Je vire mes fringues pour en finir au plus vite. Quand j’arrive au milieu de la rue, éclairée par des lampadaires jaunes, je me branle avec frénésie. La porte s’entrouvre et Jean récupère mes fringues que j’ai laissées comme un con sur le paillasson. Je suis à leur merci. Etrangement, je bande très vite et éjacule en deux temps trois mouvements. Je reviens vers la maison dont la porte s’ouvre. Ils me regardent avec un sourire. Dégoûté, je lèche mon jus et ils me laissent enfin entrer.

L’Allemand me guide à sa chambre où il m’encule une dernière fois – sans capote. Au moins, il rentre maintenant comme dans du beurre. Quand il a fini son affaire, il m’éjecte et je rejoins Jean dans notre chambre qui cette fois prend possession de ma bouche. Je me couche enfin avec son goût sur la langue et l’odeur âcre du sperme étalé sur mon visage.

 

Le lendemain, nous repartons de très bonne heure pour la France. Je n’ai plus souffert d’outrages. A mon retour en France, je porterai plainte et Jean sera envoyé en prison ferme. J’espère qu’il y souffrira du cul autant que j’ai pu souffrir.

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 10:31

Le lendemain matin, Jean m'a enculé pour ce qui devenait une habitude, avant que nous partions pour une randonnée en pleine campagne. Dès que je suis entré dans le bus, j'ai vu les regards vicieux des mecs portés sur moi. Je craignais déjà le reste de la journée. J'ai bien essayé de rester près des profs, mais Jean s'est débrouillé pour m'en écarter sans toutefois s'arrêter. Ses potes nous précédaient et nous cachaient des autres.

- Tu as trois minutes pour me donner ton caleçon, m'ordonna Jean.

Mes boyaux se serrèrent. Devant, les autres ricanaient. J'ai pas attendu : j'ai viré mes chaussures, mon pantalon et j'ai tendu mon sous-vêtement à mon tortionnaire avant de me rhabiller. Déjà, ma bite se tendait sous la toile rêche.

- Maintenant, tu te branles en mettant la main dans ta poche.

J'obéis sans discuter. Au bout d'un moment, bien sûr, l'inévitable arriva et je jutai dans mon fut, laissant une tache bien visible sur le devant de mon pantalon. Je sentais le sperme et j'avais des larmes dans les yeux quand nous sommes arrivés au car, après une longue marche humiliante, sous les moqueries de ce groupe surexcité. Ils me prévinrent que le soir, c'était quartier libre en centre ville et que j'allais avoir droit à un bon limage en règle. Une véritable torture mentale.

Quand nous sommes rentrés dans la famille, juste à temps pour manger, Wilhelm a voulu négocier quelque chose avec Jean, mais celui-ci l'a envoyé paître. Puis avec un sourire narquois, il lui a parlé d'un pub dans lequel il avait rendez-vous avec ses potes. L'allemand a annoncé à ses parents qu'il nous accompagnait. Nous avons mangé rapidement puis nous avons quitté la maison, nos hôtes ayant été prévenus par les profs. C'était l'avant dernière soirée du séjour. Jean m'a forcé à le suivre, et j'ai obéi alors que je savais très bien ce qui m'attendait.

Le pub était bondé, envahi par la fumée de cigarette et les rires gras. Le groupe de français nous attendait, tous impatients. Jean m'a assis au milieu et m'a glissé dans l'oreille :

- Branle-toi, gicle dans ta main et montre nous bien ton jus…

Tous rigolaient en buvant tandis que je m'exécutais, les joues en feu. Guillaume prenait des photos, particulièrement de moi. Wilhelm s'intégrait parfaitement à mes compatriotes. Mon orgasme a été douloureux et j'ai sorti ma main où collait un globe de sperme épais. Jean m'a ordonne de bien montrer le résultat de ma branlette (après avoir lâché le commentaire « je suis déçu, je pensais qu'il y en aurait plus ») puis m'a dit de lécher. Ca me dégoûtait, je le lui ai dit, mais il s'en foutait et m'a menacé d'envoyer les photos à mes parents et de tout révéler au lycée. Coincé, j'ai bouffé mon propre sperme en ravalant un haut-le-cœur.

Jean s'est alors levé et m'a entraîné vers les toilettes. Je n'ai pas résisté. Les chiottes étaient assez grand. Mon tortionnaire m'a mis un bandeau sur les yeux, mon cœur battait la chamade. Il m'a poussé dans une cabine, je l'ai entendu farfouiller et avant même que j'ai eu le temps de comprendre, je me suis retrouvé menotté aux tuyaux du chiotte.

- Jean ! Arrête, ça va trop loin…

- Ta gueule. Soit tu le fermes, tu te laisses faire, et tout va bien, soit tu joues au con et je te bâillonnes en prime, et même si un mec essaie de te tuer, tu pourras pas appeler à l'aide. Tu choisis…

- Je me tais…

Il a baissé mon pantalon et m'a foutu direct deux doigts dans le cul. J'en ai lâché un petit cri.

- J'ai dit « ta gueule » !

- Faut lubrifier un peu… Je t'en prie…

Je l'entendis fouiller et un instant après, je sentis un produit froid sur mon trou. Aussitôt après, le bruit d'une capote et Jean enfonça sa queue à fond. Il m'enculait comme à son habitude : sans douceur, au rythme de la musique bruyante de la salle. Il a vite joui et m'a abandonné là.

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 10:28

Nouveau réveil terrible… Cette fois, le jour se levait. Jean était sur moi. Il n’a pas perdu de temps pour s’enfoncer en moi après avoir craché dans sa main. J’ai fait le mort, encaissant ses coups de butoir sans broncher. Ca passait tout seul. Mon cul me semblait engourdi. Grincements du lit, souffle court de Jean. Un long calvaire et il semblait prendre plaisir à prendre son temps. Tout à coup, il me murmura à l’oreille :

- Les mecs, ils vont être ravis… Comme ça, tu pourras en faire deux d’un coup. Ca va me faire un max de tunes…

Ulcéré à l’idée qu’il m’utilise comme une pute, j’ai voulu ruer. Non seulement il m’a plaqué brutalement sur le lit, mais en plus, ça l’a fait juter. Je me suis remis à chialer. Il s’est retiré avec une tape sur mes fesses. Je ne voulais pas me retourner, je ne voulais pas me retrouver face à lui. Il s’en foutait : cette fois, il a vidé la capote dans mes cheveux avant de la laisser tomber, gluante, sur mon dos. Puis il s’est habillé et s’est cassé.

Je me suis retrouvé avec une terrible envie d’aller aux chiottes. Mon ventre me faisait mal et j’avais l’impression que mon cul allait fuir. J’ai eu juste le temps d’enfiler un caleçon avant de m’engouffrer dans la salle de bain. Là, horreur : le fils de la famille semblait m’attendre. Si j’avais bien compris, il s’appelait Wilhelm… Il était un peu plus grand que Jean, blond avec des yeux bruns qui contrastaient. Nous sommes restés pétrifiés un instant. Lui était en caleçon et t-shirt. Son regard brillait d’un éclat malsain. Il s’est approché de moi et a fermé la porte. Puis il a baragouiné quelque chose en allemand que, forcément, je n’ai pas compris. Il a alors passé la main dans mes cheveux et en a retiré du jus. Il n’a dit qu’un mot : Jean. Là, j’avais compris. J’ai baissé la tête. Je sentais mes joues qui me chauffaient. Il m’a mis ses doigts gluants devant le nez. Me voyant sans réaction, il me les a collés contre mes lèvres. J’ai ouvert la bouche et j’ai léché. Une grosse bosse déformait son caleçon. Il m’a fait un signe clair de fuck tout en disant le mot : « nacht ». J’ai hoché la tête de droite à gauche. Il a souri d’un air entendu. En bas, sa mère a appelé pour le petit-déjeuner. Sa voix semblait excédée. Wilhelm a encore souri puis il est sorti.

J’ai fait ma petite affaire avant de me doucher rapidement. Habillage, puis petit-déjeuner sous le regard sévère de la mère. Jean avait déjà fini et il remontait dans la chambre. Au moment de partir, Wilhelm a pris Jean a parti et ils ont eu l’air d’avoir une grande conversation. Pourtant, le niveau de Jean en allemand était plus que déplorable. Mais quand la motivation est là, les langues ne sont plus une barrière… Je savais que j’allais en faire les frais.

Pour mon plus grand bonheur, la journée s’est avérée pourrie au niveau météo : cordes toute la journée. Du coup, le midi, déjeuner en groupe dans le hall d’un centre commercial. Avec la proximité des profs, Jean n’a pas réussi à me vendre à ses potes. J’en étais soulagé. Mais je pensais sans cesse à la connivence entre Wilhelm et Jean.

 

En rentrant dans notre famille, le soir, j’avais l’estomac retourné. Je savais très bien que les deux gars me préparaient quelque chose que je n’allais pas aimer. Le repas eut lieu dans une ambiance lourde. Je parlais encore moins que d’habitude. Puis l’heure du coucher arriva et je me mis à paniquer. J’ai prétexté vouloir prendre une douche, histoire de gagner du temps. Je ne m’attendais pas à ce que Wilhelm ouvre le verrou avec un tournevis pendant que j’étais sous l’eau. Je me suis mis à frissonner sous le jet brûlant en les voyant entrer tous les deux et refermer à clé derrière eux. Jean avait une boite de capotes et un flacon translucide dans les mains.

Wilhelm s’est approché et a coupé l’eau. Puis il a attrapé ma bite et a commencé à me branler. L’impression était étrange, c’était la première fois qu’un mec touchait ma queue. Je n’ai pas tenu longtemps et j’en ai foutu partout sur le sol tellement j’ai juté loin. Mon sentiment de honte et de dégoût s’est soudainement accru. Wilhelm m’a tiré hors du bac à douche et m’a poussé contre le lavabo. Je me laissais faire. Une vraie larve que je voyais dans le miroir face à moi. Jean se malaxait le paquet à travers son jean. Wilhelm a enlevé son t-shirt et a baissé son jean. Il m’a alors appuyé entre les épaules pour que je me baisse. Je ne voyais que son torse imberbe, aux pectoraux développés. Il a fait signe à Jean qui lui a tendu une capote déballée. Wilhelm l’a enfilé et a pris le flacon à Jean. Du gel. Il m’en a barbouillé l’entrée du cul avec générosité.

Au moins, Jean avait pris la peine de m’ouvrir assez progressivement le fion avec ses doigts. C’est fou ce qu’un cul bien ouvert peut se refermer vite ! J’en ai fait le dur apprentissage quand Wilhelm m’a planté sa pine d’un seul coup sec. Malgré le gel, j’en ai bavé. J’ai bien cru qu’il m’avait explosé le cul… J’ai même dû lâcher un petit cri… Il n’y a pas été de main morte. Un vrai bourrin. Quand il s’est retiré, j’ai cru qu’il avait joui sans bruit, mais en fait, Jean a déroulé une capote et a pris sa place. Wilhelm s’est mis à côté de moi et j’ai pu voir que la capote était vide. Il devait vouloir s’économiser en me matant me faire limer. En attendant, sa queue était beaucoup plus grosse que celle de Jean et je compris pourquoi j’avais eu mal… Elle était bien raide, émergeant d’une épaisse toison blonde qui montait jusqu’au nombril. Très large aussi.

Jean m’a lui-aussi tiré un petit moment, puis il s’est arrêté. Le connaissant, je savais qu’il n’avait pas joui non plus. Ils ont alterné longtemps, très longtemps… Mon cul brûlait. Ma queue tapait mollement contre le meuble sous le lavabo. Pour une fois, j’aurais sucé volontiers. C’est Wilhelm qui a fini le premier : il y allait gaiement quand je l’ai senti se raidir. Une dernière fois, il m’a durement enfoncé son engin, me fouaillant les entrailles. Il s’est retiré et j’ai senti de l’humidité s’écouler de mon cul… J’ai cru qu’il m’avait vraiment déchiré. Jean a laissé entendre un « merde » et s’est mis à rire. J’ai touché avec ma main une substance visqueuses. C’était du sperme, une grande quantité. Mon cœur s’est arrêté de battre. J’ai vu alors l’allemand qui était blême lui aussi. Il se tenait la queue, la capote déchirée. En anglais approximatif, Jean lui a expliqué qu’il ne risquait vraiment pas grand chose. Wilhelm a alors retiré les bouts de latex et m’a tourné de telle sorte que mon cul soit accessible à Jean. Puis il m’a foutu sa bite en bouche pour que je nettoie tandis que l’autre m’enculait.

Le goût atroce combiné à la taille m’a fait m’étouffer dessus. Il s’en foutait. Quand à Jean, il prenait son pied et a vite déchargé. Il a retiré la capote. Jamais je n’en avais vu une aussi pleine. Il a poussé l’allemand et m’a donné sa queue à nettoyer. Et au fur et à mesure, il faisait couler le contenu de la capote sur mon visage. J’étais tapissé, ravalé par son foutre. Pendant ce temps, son complice se rhabillait. Jean m’a soudain craché à la gueule, avant de me relâcher.

Après cette séance, ils m’ont laissé seul dans la salle de bain, à chialer. J’avais mal au cul, mais surtout au moral. Je me suis longuement lavé avant de rejoindre mon lit, accompagné par les ronflements de Jean.

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 10:05

SUITE DE L'HISTOIRE : http://anthropie.erog.fr/article-decheance-54627226.html

 

 

L’après-midi s’est écoulé en me laissant comme seule compagnie le goût du jus de Guillaume dans la bouche. Je me suis posé énormément de questions, la première étant : comment je vais bien pouvoir faire pour ne pas avoir à sucer tout le groupe ? Car autant la plupart de ces mecs m’excitait (Oh Fabrice…), autant l’idée qu’ils m’utilisent comme simple vide-couilles me rebutait. Mais avais-je vraiment le choix ? Jean avait très bien préparé le terrain, me poussant progressivement dans mes derniers retranchements… Pouvais-je me libérer de sa pression maintenant ? J’en doutais…

Je m’étais décidé à résister à Jean le soir même. Belle résolution ! A peine avions-nous fini le repas (le fils de nos hôtes n’avait pas arrêté de me lancer des sourires que je trouvais pervers) que Jean m’a limite traîné jusqu’à la chambre, prétextant en allemand plus qu’approximatif une grosse fatigue. J’ai bien vu que le fils n’était pas dupe… Arrivé dans la chambre, j’ai essayé de protester :

- Jean, j’en ai marre de ces conneries. Je veux plus que tu me touches. Pareil pour les autres cons.

- Pardon ?

Là, il m’a regardé méchamment. Je me suis senti glacé. Je me suis dit : ce gars est complètement cinglé… Soudain, il m’a foutu une mandale sur le coin du crâne que je n’ai même pas vue venir. Je me suis retrouvé sur mon lit, sonné.

- T’es qu’une sous-merde de pédés. Les pédés, ça suce. Compris ?

J’ai hoché la tête, tétanisé. Il a alors défait sa ceinture, baissé son pantalon et son caleçon, libérant sa bitte entourée de poils bruns et drus. J’ai fermé les yeux. Puis j’ai senti une caresse humide sur ma joue. J’ai rouvert les yeux et vu qu’en plus, ce con était tellement excité qu’il mouillait un max. Il a bien frotté sa queue sur mes joues, mes lèvres, mon nez, puis il m’a attrapé la tête et me l’a enfoncée avec force. J’ai cru dégueulé direct. Puis il m’a limé la gueule. J’ai cru que j’allais en crever d’étouffement. Ca m’aurait pas dérangé plus que ça, à ce moment là. fond-de-gorge-6.gif

Puis, très vite, il a joui, dans ma bouche. Soulagement pour moi. J’ai tout avalé : mieux valait ça qu’en avoir encore partout. Il m’a lâché et est parti dans son lit. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver les dents. En passant, je me suis tout de même branlé dans les toilettes. En sortant, j’ai croisé le fils de la famille. J’ai filé dans ma chambre, la tête baissée. La lumière était éteinte. Je me suis couché en caleçon et, aidé par la branlette, je me suis endormi illico.

 

Le réveil a été horrifiant. Il faisait encore nuit et j’avais du sable plein les yeux. Mes couvertures étaient au pied du lit. J’étais coincé contre le mur, un poids lourd et chaud collé dans mon dos. Instantanément, j’ai compris. La queue de Jean battait contre mes fesses. Seul le fin tissu de mon caleçon me servait encore de rempart. J’ai voulu me retourner, mais il m’a foutu une baigne sur la tête, avant de me glisser à l’oreille :

- Tu bouges pas et tu la fermes. Si tu cries, tout le monde va venir et comprendra que t’es un bon gros pédé.

Je me suis immobilisé. Que j’avais fantasmé sur une bonne grosse bite sur laquelle m’empaler. Maintenant que je le voyais venir, le fantasme devenait beaucoup moins excitant et la queue de Jean m’inquiétait. Je m’étais assez souvent branlé le cul, utilisant au départ des carottes piquées dans le frigo familial, puis des courgettes (trouvées au même endroit). J’avais même essayé un concombre, mais là, j’avais dû déclarer forfait…

Jean m’a baissé le caleçon sans ménagement, presque à le déchirer. Il m’a mis une main devant la bouche.

- Suce mes doigts, mouille-les bien, sinon, tu vas en chier.

Je me suis exécuté, terrifié. Ses doigts avaient encore le goût de son sperme. Il a alors descendu sa main vers mon cul et a commencé à m’enfoncer un doigt, sans aucune douceur. J’ai bêtement serré les fesses, le faisant ricaner. Heureusement qu’il avait les ongles rongés courts, car il n’y a pas été de main morte (!!), me pistonnant avec son doigt. Il est ressorti et m’a demandé de nouveau de sucer ses doigts. Son goût à lui était mélangé à celui de mon cul. J’ai eu un haut-le-cœur. Cette fois, il m’a enfoncé directement deux doigts. Je continuais à serrer les fesses et j’avais mal… Il tournait, entrait, sortait. Je me suis mis à pleurer.

Est-ce que les larmes m’ont détendu ? Toujours est-il que mon cul a commencé à s’ouvrir. La douleur s’est estompé. Retour de ses doigts dans ma bouche. Puis trois dans mon cul. Ce n’était plus qu’une sensation désagréable. Il a retiré ses doigts et je l’ai entendu cracher. Il m’a glissé à l’oreille :

- Tu vois, tu aurais sucé Adrien, j’aurais acheté du gel pour mieux t’enculer, ducon. Mais avec ce que m’a payé Guillaume pour ta pipe, j’ai pu acheter que des capotes…

Il a ponctué sa phrase d’un grand coup de bassin. Sa pine est entrée d’un coup, me déchirant le cul. Je n’ai même pas crié, inspirant un grand coup tant la douleur était intense. Il n’a pas perdu de temps et a entamé de puissants va-et-vient, m’enculant sur toute la longueur de sa pine. La douleur a reflué. Je ne sentais plus rien, juste la honte. Je continuais de pleurer. Mon ventre me semblait rempli par sa bite, mon cul était tout engourdi. Et je bandais dur. Le lit grinçait légèrement, et forcément, nos voisins de chambre devaient nous entendre. Ils devineraient très bien lequel de nous deux se faisaient enculer par l’autre.

Il est sorti d’un coup et j’eus l’impression qu’un courant d’air parcourait mes boyaux. Il s’est levé m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit. Je me suis laissé faire. Hop, il m’a renfoncé sa queue sans aucune délicatesse. Ma tête a cogné contre le mur. Le lit grinçait de plus belle. La douleur est revenue, la position lui permettait de me pénétrer davantage, d’accroître encore la portée de son viol. Il me limait avec brutalité, comme s’il cherchait à atteindre ma gorge en m’enculant. Ses poils me grattaient le cul quand il tapait. Il calma ses coups de butoir et commença à onduler le bassin ce qui était peut-être pire. Il me fouillait littéralement les entrailles. Le latex commençait à accrocher, je n’en pouvais plus.

Mais lui n’avait pas fini. Avec la pipe que je lui avais fait pas longtemps avant, il n’avait pas l’air rapide à jouir. Soudain, il a repris ses amples va-et-vient, mais avec une nouvelle brutalité véloce. Heureusement, ce nouvel assaut n’a pas duré trop longtemps, car dans un râle sourd, il s’est immobilisé en moi, probablement en jouissant. Effectivement, quelques secondes après, il s’est retiré. Je suis resté en position, les muscles ankylosés. Je l’ai entendu enlever la capote et de suite après, j’ai senti un liquide visqueux sur mon dos.

cul-cremeux-sperme.jpg

Il avait vidé le contenu de la capote sur moi, laissant la protection de latex au pied de mon lit. Aucun répit. Sa semence a coulé et je l’ai senti glisser dans ma raie ouverte. Il m’a étalé le reste sur tout le dos. Puis il est retourné dans son lit.

Il m’a fallu du temps pour me redresser. Son sperme me collait dans le dos. Je me suis couché sur le ventre pour pas tout dégueulasser. Mon cul me chauffait. Je n’avais pas le courage d’aller à la salle de bain. Je n’étais plus puceau et je n’en étais même pas fier. Le sommeil fut long à venir.

 

[SUITE]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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