Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.

  • J’ai compris Maître. Je vais Vous obéir et Vous respecter. Je Vous le jure.

     

    Il reçut alors une autre taloche tout aussi puissante.

    Dscn000926[1] 

  • Mon nom, c’est Master. As-tu compris maudit chien sale?

     

  • Oui Master. Pardon Master.

     

    -           C’est mieux comme ça. Maintenant je vais commencer à m’amuser et dis-toi bien que les heures qui vont suivre vont consister essentiellement à me satisfaire pleinement et à me faire jouir.

     

    Après une séance de léchage de bottes où le slave fit de son mieux pour retrouver les bonnes grâces du Master, celui-ci ordonna au slave de se positionner, les mains en l’air, au-dessus de deux crochets situés au plafond. Il attacha les mains du slave au plafond et il lui entrava les jambes avec un manche à balai, en les écartant au maximum. Il revêtit le slave d’une cagoule sans ouverture et se mit à le fouetter de plus en plus fort. La flagellation cessa brusquement et il sentit que la fermeture-éclair de la cagoule s’entrouvrait légèrement. Il sentit alors une odeur de cigare et de pot qui envahissait la cagoule. La cagoule fut refermée brusquement et le slave fut obligé de respirer à fond ces émanations. Une sensation d’engourdissement et de bien-être le gagna et c’est sans douleur qu’il ressentit un objet qui commençait à pénétrer son anus. Le Master s’amusait à ramoner le cul de son slave avec des butts et des dildos de plus en plus gros. À plusieurs reprises, le Master obligea le slave à inhaler sa fumée secondaire, tandis qu’il entrecoupait les séries de fouet avec des pénétrations de dildos. Il s’amusa même à pétrir sa peau avec une petite roulette dentelée qui le mettait dans un état d’inconfort extrême. Voyant que le slave ne semblait pas apprécier ce genre de caresse, il la prolongea encore de quelques minutes.

     

    Le Master installa finalement un butt plug dans l’anus du slave. Il le détacha et le conduisit près d’un banc où il l’obligea à s’agenouiller. Il entra alors son pénis de force dans la gueule du slave et lui ordonna de le lécher, puis de le sucer. Le slave suçait et s’efforçait de faire plaisir au Master au maximum, pour lui démontrer sa soumission totale. Après plusieurs minutes de léchage de couilles, de léchage de queue et de suçage effréné, le slave put enfin goûter avec plaisir au sperme du Master qui se répandait dans sa bouche. Le slave avala avec régal ce suc de Master.

     007

    Après la jouissance du Master, le slave pensait que tout était terminé pour la soirée et qu’il pourrait enfin rentrer chez-lui. Mais le Master avait d’autres plans en tête. Sans attendre, il réinstalla le slave les mains attachées au plafond et se mit à jouer de plus en plus fort avec ses couilles tout en le masturbant. Comme se faire tirer les couilles et se les faire écraser était une des jouissances préférées du slave, celui-ci ne tarda pas à éjaculer entre les mains expertes de son Master. Cette fois-ci, le slave pensait vraiment que tout était terminé, mais il se trompait encore une fois. Le Master n’entendait pas finir sitôt et, après un bref moment de repos, il entreprit de prolonger la séance de torture pour une autre heure. Le slave ne pensait pas qu’il serait capable d’apprécier ce prolongement après avoir joui. Mais petit à petit, habilement, très doucement, le Master réussit à remettre le slave dans un état d’excitation qui le conduisit à vouloir encore une fois faire plaisir au Master au maximum. Celui-ci s’amusait à se faire sucer et à parvenir au point de jouissance. Il arrêtait alors le processus pour quelques minutes et recommençait à se faire sucer pour arrêter encore une fois au seuil de la jouissance.

     

    Vint enfin le moment où le Master décida de mettre fin à la séance. Il ordonna au slave de se coucher sur une étroite banquette. Il attacha solidement le slave aux mains et aux pieds et lui ordonna de dormir jusqu’au lendemain matin. Cependant, deux fois durant la nuit, le Master réveilla le slave sans ménagement et le força à le sucer jusqu’au point de jouissance, mais sans éjaculer.

     

    Finalement, le lendemain matin, vers 5 heures, le Master détacha son slave, le fit s’agenouiller devant lui et lui ordonna de finir le job qu’il avait commencé la veille. Le slave entreprit donc d’avaler le pénis en érection du Master et de le sucer avec frénésie. Très rapidement, il sentit la respiration du Master s’accélérer et goûta encore une fois le jus de Master au fond de sa gorge.

     

    Sans ménagement, le Master ordonna alors froidement au slave de se rhabiller et de quitter les lieux.

     

    -           Tu pues et je trouve que je t’ai assez vu. Dehors, pis vite à part de t’ça!!!

     

    Confus et consterné, tout ce que le slave réussit à dire pour garder une certaine contenance fut :

     

    -           Sans même un café?

     

    Voyant que le Master n’avait absolument pas le goût du sarcasme, Michel, maintenant connu sous le nom de Trou-sale2, quitta en vitesse le domicile du Master. C’est ainsi que se termina la séance de correction d’un slave jadis baveux et arrogant.

 

FIN

Dim 1 fév 2015 Aucun commentaire