Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.

La chaleur était suffocante. Enfermés à l'intérieur d'une voiture avec mon ami Timothée en direction de ce qu'il appelait mon cadeau d'anniversaire, nous étions tous les deux baignés dans notre transpiration et ramollis par la force du soleil. J'avais les yeux bandés. Je sentis la voiture s'arrêter sans savoir où nous étions, après 5 minutes de trajet. C'était bizarre.

— Ne retire pas ton bandeau, dit Timothée.

— T'inquiète.

— Ne bouge pas.

Il allait enfin me sucer, non ? Il était hétéro avéré.

Je sentis une douleur au bras. Je réalisai au moment de m'évanouir, qu'il m'avait fait une piqûre. Connard.

Un long laps de temps s'écoula, je le sais.

Je me réveillai désorienté, encore suffocant mais avec l'impression d'être propre et frais mais aussi bizarre. J'avais toujours un bandeau sur les yeux. Une douleur aiguë se réveilla sur mes pectoraux engourdis et courbaturés, sur mes fesses, mes bras, mes cuisses et mon sexe. J'essayai de bouger, en vain.

Un signal s'activa et retentit près de mon oreille et je sentis un couvercle s'ouvrir au dessus de moi.

Il faisait déjà moins chaud hors de cette caisse.

Je me mis à crier car je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait et je semblais perdu. On me mit une boule en plastique dans la bouche comme dans les films de cul sado-maso afin de me faire taire et quelqu'un me glissa à l'oreille :

— Patiente encore un peu Tom, après tu pourras crier de plaisir.

Je ne m'appelais pas Tom. On me transporta dans une salle, et n'ayant la possibilité de me débattre, je me laissais faire. On me fit boire plusieurs liquides et on m'assit sur une chaise où l'on m'attacha. Une heure plus tard, Timothée vint s'asseoir sur mes genoux, et m'ôta mon bandeau. Il avait un sourire pervers et excité.

Il se passe quoi ?

— Hello Tom.

— Mmmmmmh.

Il me mit une baffe.

— Je te l'enlève, connard.

Libéré de la boule qui avait déformé ma bouche et m'avait fait me baver dessus, je pus enfin parler.

— Je ne comprend rien Timothée, pleurai-je.

— Tu n'as pas besoin de comprendre, Tom.

Il lécha la salive qui avait dégouliné sur ma chemise en lambeaux.

Il se passe quoi ?

— Je ne m'appelle pas Tom, tu le sais connard. Je suis où ?

— Tu t'appelles Tom, ça fait plus pute. Dans ta nouvelle demeure, mon salop.

Il me crache dessus.

— Oh excuse-moi, je n'aurais pas dû tacher ton si beau corps que nous préparons avec tant de soin pour la queue.

— Je… ne… comprends… rien… articulai-je pétrifié pendant qu'il entamait "À dada sur mon bidet" en se tortillant sur mes genoux.

Sexy. Mais j'ai peur. Il se passe quoi ?

— Fais un effort, tu es désormais une pute, beau cadeau n'est-ce pas ? expliqua-t-il simplement.

— Qu'est ce que tu racontes ?

— Mon cadeau, c'est ton nouveau corps et ta nouvelle vie. Tu vas me servir et te servir. C'est presque un cadeau pour moi. T'es un objet.

— Quel nouveau corps ?

Il se retira de mon genou, ôta les menottes qui me retenaient à ma chaise, me dit de me lever et de marcher jusqu'à un miroir au fond de cette salle entièrement faite de béton.

Je sentis des douleurs partout, surtout au cul qu'il me tâtait pendant que je marchais.

J'arrivai devant la glace et je ne me vis pas. Du moins, je vis quelqu'un d'autre : j'avais un corps nouveau, musclé, les tétons anormalement pointants, les pectoraux saillants, les abdos alignés, les cuisses gonflées. Comme sur un magazine. Mes cheveux étaient longs et plaqués sur le dessus du crâne, et plus courts sur les côtés. J'avais une barbe mal rasée ce qui me sembla étrange puisque je n'avais eu jusqu'alors que quelques poils d'adolescent. J'étais bronzé (ce qui expliquait la boite ou j'avais était enfermé auparavant). J'étais… un minet hyper bien taillé de 20 ans alors que je n'en avais que 17, 18 depuis mon anniversaire. Timothée s'approcha derrière moi en me contemplant lui aussi.

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— T'es bandant, Tom. On t'as injecté une quantité énorme de protéines, et de crèmes de développement physique et on t'a fait faire des exercices pendant ton sommeil. T'as pas tout vu, ma pute.

Je portais un short bleu très court adidas, anormalement rempli, qu'il ôta doucement. J'étais pétrifié. Qu'est ce qui se passe ? Mon sexe était énorme. Sûrement de la chirurgie esthétique. Il me retourna et me montra mon cul gonflé et musclé qu'il tapota. Je chie un énorme gode sur place, sans rien sentir. Flop.

— On l'a étiré, on peut y mettre 3 queues. J'aime bien te voir chier, ça montre que t'es faible.

— OK. Je comprends pas. Qu'est ce que vous m'avez fait ? Pourquoi ? Je vais devenir quoi ? Je suis pas ton ami ? C'est un rêve ? Un cauchemar ? Je suis censé faire quoi ? Ça, un cadeau ? Je ne comprends pas.

Trop de questions.

Je pissai sur place, sans pouvoir me contrôler. Ce qui m'effraya.

— Rooooh, comme t'es mignon. Tu peux plus te retenir.

Il pinça mes tétons surdimensionnés. Une sorte de précum en sortit.

— Allez, viens me faire un câlin, t'es une pute maintenant. Je t'aime.

J'aimais Timothée, sans jamais lui avoir dit. Personne ne savait que j'avais un faible pour les hommes, ce qui à mon sens était normal : les hétéros n'avouent pas qu'ils aiment les femmes, pourquoi les homos devraient-ils avouer qu'ils aiment les hommes ? Justice.

Je ne suis pas en position de réfléchir à des questions d'ordre social, je dois comprendre ce qui se passe.

— Tu m'aimes ? demandai-je.

— Bien-sûr, mon chien.

— Pourquoi chien ?

— Parce que tu feras tout ce que je te demande, Tom. OK ?

— Tu vas te prostituer, me ramener du fric et devenir mon sex-toy, Tom. OK ?

— Tu es beau. Tu as un cul large, une bite énorme, un corps de theos, Tom. OK ?

— T'étais intelligent, bon en classe, ambitieux. Tu vas devenir un radis en quête de queues. OK ?

— Ton visage a été adapté à ce qui me plaît. Tu vas devenir quelqu'un, car je pense que j'ai bon goût. La pute de tous. Tous ceux qui peuvent payer le prix.

Je pétais sans pouvoir me retenir. Timothée me cracha dessus et m'écrasa le pied.

— C'est vraiment trop mignon.

Je m'évanouis.

Je fus réveillé nu, par une alarme, sur un lit blanc, au centre d'une salle blanche dont je ne distinguais pas les parois, qui faisait contraste avec mon corps bronzé. Au fond de la pièce, deux placards.

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme qui envahit la pièce.

Jamais. On m'a transformé. On m'a forcé. Contre mon gré. Contre mon gré. Je suis prisonnier. Mes parents. Ma famille. Mes amis. Mes ambitions. Gone. Je n'ai que 17 ans, bordel. Ou 18. Qu'est ce que j'allais faire pour sortir de cet asile ?

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme.

Non. Non. Non. Ne pas répondre. Ne pas faire.

Un parfum se déversa dans la chambre immaculée. J'aimais cette odeur. L'homme. Putain, l'homme. De la testostérone vaporisée. Je bandais, je ne réfléchissais plus. Je suis un âne. Je réalisais juste que mon trou, supposément encore vierge, attendait d'être rempli et que ma bite énorme voulait se vider.

C'était sa volonté propre. Et celle de mes couilles de cheval. 17 ans. Ou plutôt 18.

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme.

Résister ? Non. J'ouvre le placard où est écrit 1, en gros. J'obéis pour ma bite, mon trou et mes couilles.

— Enfilez le costume disponible.

Oh oui. J’adore bander habillé.

Je mis le slip noir à coutures blanches, ouvert à l'arrière d'un trou, lui aussi souligné d'une couture blanche donnant une vue sur mes fesses rebondies. J'essaie de faire tenir ma queue immense dedans, créant un paquet flasque visible à travers le tissu.

J'enfile le gode gonflable d'un coup, réveillant une douleur au niveau de mon anus en laissant pendouiller le bout à presser pour lui donner du volume. J'avais une queue derrière aussi maintenant.

Je passe un collier en cuir autour du coup, un t-shirt en léger v moulant sur mon torse et un jean tout aussi serré sur mes jambes et mes fesses. Je mis les grosses adidas qui m'étaient présentées.

Timothée entra, me poussa sur le lit et m'écrasa le sexe avec ses baskets.

— Ton premier coup. Un architecte marié avec une femme et qui aime les vilains minets. Il est prêt à tout pour satisfaire ses désirs. Moi, je le sucerais bien, j'aime sa tête de bad boy.

Ma bite résistait sous la pression de son pied.

Il me colla un patch dans la nuque.

— Réservoir d'hormones d'excitation masculine. Tu vas baiser, mon puceau.

Il se jeta sur moi et m'embrassa en me malaxant les parties génitales.

— Je… ne… veux… être… qu'avec… toi… réussissais-je à articuler, abruti par les doses phénoménales d'hormones présentes dans mon organisme.

C'était hypocrite, je voulais juste lui faire mal.

— Ta gueule connard, après on baise, promis. Mais fait la salope.

Je pleurais, car je n'avais aucun contrôle. Je sentais mon cerveau défaillir. La salle était très blanche.

— Tapette et pute. De mieux en mieux. Tu m'excites.

Il me colla sa braguette sur le visage. Très odorant. Il sortit.

— Sortez de la salle et suivez les flèches aux murs.

La voix électronique avait ordonné. Les flèches défilaient sur les parois toujours immaculées comme des spectres - seuls repères montrant qu'il existait une direction dans cet infini blanc.

Un rideau blanc s'écarta en se détachant de ce paysage abrutissant, laissant apparaître une salle en béton éclairée d'un lustre de salle d'opération.

Les flèches disparaissent. La voix électronique : "Entre, pute".

— Bonjour toi. T'as une tête de chien, putain. Et ton corps est bandant. Viens !

C'était une voix d'homme, grave.

J'entre et je vois un athlète chauve de 25 ans aux lèvres charnues, couvert d'une tenue de cycliste en lycra. Je veux le baiser.

Il se passe quoi.

— Réponds, pute.

— Bonjour, boss. T'es vachement excitant. Mais je suis pas gay, t'sais.

J'avais dit ça naturellement. Je parle pas comme ça normalement. Où est la normalité ? Tsss.

Il s'approcha, pressa mes deux tétons saillants qui firent encore sortir ce jus étrange et me dit de sortir ma langue. Ou il effectua des va-et-vient avec ses lèvres. Ça veut dire suce moi, je pense.

— T'es bien fringué. Trop.

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Il arracha l'arrière de mon jean sans difficulté et, remarquant la manette qui permettait de gonfler mon gode, s'acharna dessus pendant que je m'agenouillais pour pomper de l'elexir masculin à travers sa tenue.

— Ça gonfle.

— Mmmmmh, répondis-je.

— T'aimes.

— Slrp slrp, smack.

Il me regarda, me cracha dessus. M'allongea sur le dos contre le sol en béton, me dominant de sa hauteur.

— Écarte les cuisses. Je veux pas que le gode sorte.

Il continua à le gonfler avec le pied. Je pleurais et je lâchai un petit cri. Mon ventre gonflait à vue d’œil. Il me mit une boule dans la bouche pour me faire taire, boule qu'il frotta d'abord sur sa raie. Il me semble.

— Mmmmmh mmmmmh, dis-je.

Ce qui signifiait, stop. Il continua. Je vais exploser.

— Là, c'est parfait, dit-il.

Il s'assit sur moi.

— Mmmmmmmmmmmh, criai-je.

J'avais mal. Je vais exploser.

Il me pissa dessus, assis sur moi. À travers le lycra.

— Je sens que t'as soif.

Il ouvrit sa braguette, sortit une queue énorme, me pissa sur le visage. Puis il s'arrêta, enfin. Il était toujours assis sur moi. J'ai mal. Il se déplaça sur ma cage thoracique.

Il prit un tube transparent, assez fin, qu'il mit dans son urètre. Il relia l'autre extrémité à une cavité de la bouche qui m'empêchait de parler.

Il recommença à pisser. Un liquide chaud envahit ma bouche. J'étouffais. Avaler. Avaler. Avaler. Très rapidement pour ne pas m'étouffer. De la pisse jaune envahissait tout mon corps. Je suis répugné. Ça a bon goût. J'aime. J'adore. Plus, plus, plus.

Il caressait mes cheveux impeccablement coiffés qu'il tira pendant que je buvais. Aïe. Ça fait mal. C'est pas grave, il faut résister. Quoique, la sensation est plutôt excitante. J'aime. J'adore. Plus, plus, plus.

Et ce gode qui occupait tout l'espace de mon trou du cul et l'étirait démesurément. J'aime. J'adore. Plus plus plus.

Il s'allongea sur moi, faisant revenir la douleur au niveau du ventre. Mais j'aime la douleur. Il dit :

— Ton regard, j'adore. Je t'aime.

Et il me fourre deux doigts en plus dans mon trou déjà sur-rempli.

— C'est fou comme ça t'excite.

Il me crache dessus. Mon visage est couvert de pisse, de bave, de morve.

Il me donne un coup de boule. Sur mon sexe. Je ne sens rien.

Il déboutonne le devant de mon jean, me l'arrache.

— Magnifique, continue un peu à boire ma pisse. Je t'aime.

Il respire mon sexe, me presse les couilles, me fait mal, très mal. Gavé d'hormones, j'aime.

— Elles sont grosses. T'as du stock.

J'ai envie de vomir. Je continue de boire sa pisse. Ça me soulage. C'est un véritable remède.

Le gode me fait très mal, me compresse la vessie et la prostate. C'est trop gros. C'est inhumain.

Il a fini de se vider de son jus. Il retire son installation, libère ma bouche, m'enfonce toute la largeur de sa queue jusque dans le fond dans la gorge. Je fais des bruits bizarres, comme si je m'étouffais ou que j'allais vomir.

Il la retire tout aussi sec et dit :

— Dis-moi que tu m'aimes et que t'adores ce que je te fais. Que t'es ma pute. Que tu feras n'importe quoi pour moi.

Je répète difficilement, il retire ses deux doigts de mon cul. Ce qui me fait crier.

— Ta gueule, maintenant.

Il m'étale des morceaux de merde recueillis dans mon fion. Sur le visage. Et m'embrasse.

— T'es vraiment dégueulasse et crade, ma balance-t-il.

— J'aime boss. Fais de moi ce que tu veux.

— Tu vas souffrir, bébé.

Il mit son ventre contre le mien. Me colla son cul dans le visage. Me péta dessus. Et entreprit de retirer mon gode.

— Il vaut mieux prendre son temps pour le retirer, ça fait plus mal, et ça t'entraîne.

— Comme tu veux, boss.

Mais au fond de moi, je n'en pouvais plus.

Il tira sur le bout qui dépassait de mon trou. Je sentis l'objet se déplacer en moi. Ça faisait très mal. Mon anus vierge de toute bite réagit et s'écarta.

L'équivalent de deux bras musclés se présenta à la sortie. Mon anus était tendu à ses limites.

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Il laissa perdurer la situation. Au moins pendant deux minutes, il exerça de légers va-et-vient.

Je jouis du cul : il se refermait et s'ouvrait. Je ne contrôlais plus rien et je geignis. Lui, rigolait et faisait des mouvements du cul sur mon visage.

— Allez, je le retire.

Et d'un coup, il extirpa l'objet, me faisant crier. J'étais défoncé.

Je chiais sans pouvoir me contrôler. De gros étrons. Que je ne sentais même pas franchir mon anus.

Il rigolait.

— T'es un sacré, toi. Je t'aime bien.

— Merci boss, articulai-je.

Et je jouis sur son visage. C'était la première fois que je jouis de cette manière. 8 longues giclées. De sperme blanc. Son visage était trempé. Il me sourit.

— Je vois que toi aussi tu m'aimes bien. Lèche-moi tes conneries maintenant.

Et je dus passer ma langue sur tout son visage et bouffer une quantité incroyable de mon sperme.

Je vomis et m'évanouis.

[Par JamesFetcher23]

 

Mer 3 jun 2015 Aucun commentaire