Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Arrêté sur le trottoir sur la rue principale du cartier gay de Montréal, je regardais avec excitation le bâtiment de l’autre côté de la rue, mais plus précisément le commerce au rez-de-chaussée. La soirée était déjà entamée tandis que moi je patientais par manque de courage devant ce commerce où, à maintes reprises, des hommes de tout âge et tout style y entraient rapidement et d’une façon secrète.
Il y a longtemps que je voulais aller expérimenter les plaisirs au cœur d’un sauna gay. Ayant entendu les «choses» qui s’y passaient, je ne pouvais m’empêcher de rêvasser aux jouissances que je pourrais y obtenir. Mais dès ce soir, cela ne serait plus du phantasme, mais bien de la réalité. C’est sûrement le fait d’être maintenant majeur qui m’ait donné le coup de pied au derrière pour y aller.Ayant toujours un appétit sexuel assez présent, le sauna représentait la réalisation de séances érotiques où les tabous y sont volontiers présents et satisfaits! Alors j’y allais pour réaliser un fantasme inassouvi, c’est-à-dire, de baiser en cuir.
Eh oui! À peine mes 18 ans dans le corps, et j’ai, si on peut dire ainsi, le fétiche du cuir. Mais ce credo étant surtout réservé aux adultes plus âgés, je me sentais honteux quelques fois d’avoir ce penchant sexuel vu l’incompréhension de ce phénomène chez les plus jeunes en général. Mais c’était si bon d’imaginer des séances torrides où l’odeur du cuir était à profusion. La solution à mon problème était d’aller voir dans le sauna en tout anonymat s’il pouvait y avoir des mecs pour m’introduire à ce sexe viril et passionné.
J’étais un jeune homme de grandeur moyenne avec une corpulence petite. Sous mes vêtements, rarement le monde pouvait s’imaginer mon corps imberbe et très bien découpé étant donné que je n’étais pas du genre à le montrer. Peut-être par pudeur, mais sûrement plus pour garder l’effet de surprise! J’étais un brunâtre aux yeux bleus perçant au visage très pâle. Sans prétention, les filles se reviraient de temps à autres sur mon chemin, mais je n’y prêtais aucune attention pour des raisons évidentes. Ce que j’aimais le plus de mon corps, c’était mon petit nez retroussé.
Après vingt minutes d’attentes et d’hésitation, je pris mon courage à deux mains et traversai la rue le cœur palpitant et l’entrejambe gonflant. Maintenant dans l’entrée, j’allais payer pour y avoir un casier.
Je me dirigeais vers mon casier pour me changer. Il y avait environ une dizaine d’hommes et garçons qui se changeaient: des grands, des noirs, des poilus, des costauds, des jeunes... Mais j’en remarquais précisément deux qui étaient vêtus de cuir. Un dans la quarantaine, poilu et très grand portait des pantalons serrés de cuir et un autre dans la vingtaine en chaps et jacket. J’étais bandé comme un cheval à la vue de ces deux hommes. Je ne pouvais attendre de jouer avec le cuir d’un autre mec pour la première fois!
Enlevant mon chandail, je sortis un harnais en cuir avec des anneaux de métal que j’installai sur mon torse. Certains me dévisageaient d’excitation, d’autres n’y portaient pas attention. Lorsque fut le temps d’enlever mon jeans et de me mettre nu, je me sentis un peu mal à l’aise. C’était sûrement dû au fait que j’étais en érection aussi puissante que celle du réveil le matin. Mais bon je voulais passer à l’action, alors j’ôtai mes jeans et mis une paire de jocks noirs pour ensuite mettre une paire de chaps que je m’étais fait pour cadeau de fête. Évidemment, tout ce matériel sexuel était toujours bien caché à la maison dans ma chambre.
Ayant fermé à clé ma case, je quittai le vestiaire les mains cachant un peu mon érection et allai visiter les lieux pour me «dégêner» un peu. Il y avait beaucoup de portes, certaines closes mais d’où sortait un vacarme de cris jouissants, d’autres étaient ouvertes laissant le plaisir aux voyeurs de se rincer l’œil, la main à la queue, le doigt à l’anus. Le lieu sentait le sexe. Je bandai encore plus fort.
Un homme dans la trentaine complètement nu me poigna une fesse et murmura à mon oreille:
— Tu as vraiment de belles fesses! Moi c’est Pier-Luc, tu es nouveau ici? Je ne t’ai jamais vu.
— Salut! Moi c’est Olivier. Ouais! J’ai enfin eu le courage de venir. Et bien content d’être là!
— Dis Olivier, je vais être direct, j’ai beaucoup envie de manger tes fesses. Tu me le permets?
— Heu bien sûr...
Sans même avoir le temps de finir de répondre, il se mit à genoux, m’empoigna les cuisses et commença à lécher. Il suçait, tétait et becquottait mes fesses au beau milieu du couloir. C’était divin comment je me sentais cochon et «dirty». Il écarta mes deux fesses pour me manger l’anus; une sensation jamais expérimentée, mais Ô divine! J’étais tellement en transe de me faire lécher l’anus que j’ai dû m’accoter contre le mur, le cul surmonté pour laisser la chance à ce Pier-Luc de me faire connaître les jouissances du rimming. Il y alla de plus en plus férocement. Je sentais même sa langue qui voulait me pénétrer. Divin en diable!
Après dix minutes de telles sensations, il arrêta son travail minutieux et très excitant pour m’avouer qu’il était sur son départ et qu’il avait beaucoup apprécié de me manger l’anus. Il m’a aussi indiqué le chemin pour la section «cuir». Il me frencha et me quitta avec un clin-d’œil. C’était une soirée géniale!
Je me rendis rapidement dans la section «cuir» du sauna avec un appétit sexuel qui allait exploser à tout moment. Quel plaisir, quelle extase de voir tous ces mecs en cuir dont certains ne se gênaient pas pour baiser devant un public. De voir des mecs lécher le cuir, se faire enculer, de sucer une queue durcie par un cockring. Il y avait même un mec à quatre pattes dans le coin qui recevait une marre de jets de pisse sur son corps et visage. À la vue de cette séance tant excitante, je m’étais complètement arrêté à regarder le spectacle, la main caressant ma queue dans son jock. Je ne m’aperçus pas que quelqu’un de très familier me fixait du regard. Sans le savoir, ce mec alla derrière moi et me prit par le bras le serrant très fort.
— Olivier, viens ici. Je crois jeune homme que tu as des explications à donner, l’homme de 40 ans m’a-t-il dit très très sévèrement.
— Ah! Carl, que fais-tu ici! ai-je demandé stupidement sous l’emprise de l’étonnement, de la surprise et de la honte.
Il ne me répondit pas, le regard sérieux comme un soldat à la guerre. J’étais nerveux au point d’avoir perdu complètement mon érection. Il m’amena dans un isoloir assez grand et ferma la porte.Je m’assis sur le lit qu’il y avait et regarda honteux l’homme devant moi qui était le meilleur ami de mon père. Jamais je n’aurais crû cela de lui. Ce camionneur si sévère qui est là devant moi, en chaps, harnais, bottes de moto, jacket de cuir, la queue se balançant entre les cuisses. Jamais je n’aurais cru ce gars aux hommes, qu’il allait dans les saunas. Mais surtout, je n’aurais jamais cru le voir à poil!
— C’est la première fois que tu viens ici Olivier? Réponds-moi! m’a-t-il lancé sèchement.
— Euhhh oui Carl! Je... je... je voulais voir ce que c’était ce genre de place-là.
— Comme tu peux voir, tu peux y voir toutes sortes de monde ici! Et c’est pas vraiment fait pour les jeunes! Y'a des gars très vicieux ici.
— Heuuuu c’est pour ca que je suis ici... je voulais connaître les baises en cuir. J’en rêve depuis bien longtemps.
— Et tu t’es fait baiser depuis que tu es ici, jeune homme?
— Non je viens d’arriver...
— Alors laisse-moi le plaisir de t’y initier!
Il était là devant moi, la main à la queue, la masturbant devant moi. Il me fixa dans les yeux, sévèrement, mais d’une façon très vicieuse continuant toujours de masturber son membre en pleine érection. Un gros 9 pouces cut. Je voyais même du précum couler du bout de son beau gros cap. J’étais bandé comme un cheval, et voyant cela, il m’indiqua d’aller le rejoindre. Arrivé près de lui, il m’empoigna par les fesses et m’enveloppa dans ses bras. Il me malaxa les fesses très vicieusement tandis que moi je bandais à sentir tout ce cuir qui m’enveloppait. Je me mis à humer très fort cette odeur extasiant et à licher ce cuir de vache. Son jacket était génial.
Carl approcha sa bouche de la mienne pour me frencher comme si on lui en avait privé depuis des lustres tellement il mettait de l’attention à goûter à ma bouche et à ma langue. Je sentais les repousses de barbes piquant mon visage et m’excitant de plus en plus. N’en pouvant plus, je me penchai à genoux pour lui tailler une pipe digne d’un jeune homme de 18 ans très très en manque. Je commençai par goûter au nectar sur le bout de son gland. Ce goût salé était d’un délice. Ensuite, j’ouvris grand la bouche pour prendre son énorme membre complètement dans la bouche. À peine aux trois quarts à l’objectif, je sentais déjà son gland dans le fond de la gorge, mais j’étais tellement excité que je continuai le chemin pour prendre complètement son 9 pouces. Il a lâché un râle et mit ses deux mains sur ma tête. Les va-et-vient sur sa queue tout en serrant mes lèvres plus fort à la hauteur du gland semblaient l’exciter au plus point.
Au bout d’une quinzaine de minutes à me pénétrer férocement la bouche, il me releva pour me pousser sur le lit, sur le dos. Il s’approcha et cracha sur moi. Son crachat ayant atterri à la hauteur de mon nombril, j’en pris une bonne portion avec mes deux doigts pour me l’apporter aux lèvres et y goûter. J’étais tellement excité. Il mit sa tête entre mes deux jambes et débuta une fellation qu’aucun jeune ne m’avait produite. Il avait vraiment de l’expérience ce meilleur ami de mon père. Il suçait comme un dieu. Au bout de quelques instants, il lâcha ma queue pour me relever les jambes tout en léchant le cuir de mes chaps et alla planter sa langue sur ma rosette sans poil. Il dégusta cette partie intime avec tant de force que je pensais m’évanouir tellement la sensation était grandiose. Ma queue pleuvait de gouttes de precum. Voyant mon trou s’adoucir et s’élargir, il se releva, lubrifia sa queue et mon anus avec un échantillon de gel qui traînait à côté.
Sans condom, il pointa son gros membre à l’entrée de ce tunnel si intime. Ce regard de bête affamé de sexe me fit réaliser que j’allais avoir le plus beau cadeau de 18 ans que j’aurais pu espérer. Me tenant les jambes repliées sur moi-même, il poussa un peu et son gland entra ma première barrière anale. Pleins de frissons me parcoururent le corps. Voyant qu’il s’était arrêté sûrement pour m’habituer à l’intrusion, je le tirai vers moi en empoignant son jacket de cuir.
— Vas-y Carl, défonce-moi. T’es pas le premier gars qui entre là!
Ayant compris le message, il enfonça complètement son membre en moi. Ma réaction fut de m’étirer la tête vers l’arrière et de perdre le regard dans ce moment d’extase. Allant au début par de va-et-vient lent mais complet, il accentua sa cadence au bout de quelques minutes. Nous étions les deux complètement en sueur. Je sentais sa queue au fond de moi, caressant ma prostate et m’emportant au septième ciel, tandis que je me masturbais la queue toujours aussi dure. Il s’est complètement penché sur moi, me relevant le cul plus haut pour me pistonner encore plus vite. Je sentais son cuir sur ma peau. L’odeur était excitante, jouissante.
De temps en temps, il me crachait au visage pour venir tout lécher par la suite. Je ne l’aurais cru aussi vicieux! Ahhhhh ce Carl!
— Dis mon beau Olivier, tu veux une sensation forte?
— Ah oui! C’est quoi Carl?
— Tu verras quand ce sera le temps!
Il continua de me pistonner un autre cinq minutes et stoppa complètement, la queue toujours au fond de mon trou. Et il se releva un peu pour me pousser vers le fond du lit. Il y avait un coussin. J’étais maintenant en position courbé si on peut dire, la tête contre le mur et le dos sur le coussin et le cul sur le lit avec la queue de Carl au plus profond. Il s’approcha de ma bouche pour m’embrasser et commença à me pincer les bouts des seins. Il ne bougeait toujours pas dans mon anus, mais pinçait de plus en plus fort sur mes seins. Cela m’excitait vraiment. Mais tout à coup, je sentis une sensation étrange dans mon anus, comme s’il était en train de venir. Mais la sensation devenait de plus en plus forte lorsque je réalisai qu’il était en train de pisser dans mon anus. Il a vu mon regard s’agrandir à la sensation extraordinaire du remplissage de mon anus par sa pisse.
Mon cul bouillonnait tellement il était rempli de sa pisse. C’était une sensation indescriptible, j’en perdis quasiment connaissance. Mais ayant terminé de se vider, il fit quelques petits va-et-vient et m'a prévenu de serrer très fort pour ne rien laisser couler vu qu’il allait sortir sa queue de mes antres. La queue sortie, il alla mettre sa bouche sur mon anus et recommençai à le lécher. J’avais tellement envie de tout lâcher. J’avais le cul complètement rempli et excité par la sensation, et Carl qui agaçait mon anus à se relâcher.
Il a réussi à entrer sa langue et là, un petit jet de sa pisse commença à se déverser de mon anus. Il lécha ce nectar comme un fou. Au bout de quelques secondes, il avait une gorgée pleine dans la bouche, il se releva et me planta de nouveau au complet sa queue de 9 pouces au fond de mon trou et dans la pisse toujours présente. Il m’encula férocement, ce qui avait pour effet de laisser la pisse s’échapper peu à peu de mes entrailles. D’ailleurs, il approcha sa bouche de la mienne et, tandis qu’il commença à accélérer encore plus ses va-et-vient et que je me masturbais encore plus rapidement voyant le point de non-retour arriver, il me frencha et libéra la gorgée de pisse qu’il avait dans ma bouche. Nous nous la partageons avec des coups de langue. C’était savoureux le goût de pisse. Tandis qu’il donnait de gros coups forts dans mon cul, j’éjaculais sur le champs six bonnes giclées de sperme sur mon ventre. Ayant pour effet de serrer mon anus très fort, Carl est venu au fond de mon cul. Il avait l’air d’avoir produit une grosse quantité de sperme.
J’étais aux anges! Ayant toujours sa queue en moi, il s’étendit sur moi pour m’embrasser. Et ce fut la première baise avec un mec en cuir de ma vie. Mais pas la dernière!
[Par ToadBoy]