Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Je venais de passer quelques années en Suisse dans un établissement scolaire très chic, mes parents m'y avaient envoyé puisque mon père était régulièrement en voyage et ma mère très occupée et pas trop maternelle. Je venais d'avoir 18 ans et j'avais toujours les goûts de mon adolescence pour les amis de mon âge, plutôt bien membrés avec disons un instinct dirigiste. Mon père m'avait offert des vacances quelques semaines avant la rentrée et j'avais décidé de les passer du coté de Montpellier. A la Grande Motte où je savais qu'il y avait pas mal de monde. J'avais pris un studio en location et loué aussi un scooter. Dés le premier soir, j'ai vu de très belles choses en boîte de nuit. Mais rien qui correspondait à ma recherche. J'allais partir quand un mec m'a chopé par le bras.
— Salut Manu. Je te retrouve ici ?
J'ai mis quelques secondes avant de reconnaître Eric qui me dévisageait sans gêne, insistant sur le short et le débardeur que je portais, de rigueur avec la température.
— Salut Eric. T'es seul ?
— Non, mais si t'as pas changé, ça ne devrait pas te gêner.
Un jeune s'est rapproché, l'air salope à fond et s'est accroché au cou d'Eric.
— C'est qui ce mec avec qui tu causes ?
— Un ancien pote. Retourne danser, je t'appellerai.
Le jeune est parti docilement sur la piste me matant du coin de l'œil. Eric s'est rapproché, mettant une jambe entre les miennes.
— Tu t'épiles toujours ?
J'ai éclaté de rire.
— Tu te rappelles de ça ?
— Pas que de ça mais j'aimais bien tes fantasmes de puceau. Tu t'en rappelles ?
— Evidemment. C'est toi qui m'a converti au string et à être lisse partout sauf une touffe sur le devant.
— T'as viré comment ? Salope ? Soumis ? Domi ? Je pense que tu ne dois plus avoir la même taille de bite non ?
— Que de questions. Passe chez moi prendre le dernier verre, on en discutera.
— Avec ou sans ma salope ?
— Va la chercher, ça fait un moment que j'ai rien fait à trois.
Il est revenu avec sa lopette.
— Celui-là c'est ma chienne : Vincent. Un suceur pas mauvais avec un bon cul.
On est parti vers chez moi, bavardant tout les deux, Vincent derrière. En arrivant Eric lui a dit de se mettre à l'aise. Il a viré son débardeur et son short. Il ne portait rien dessous, aussi à l'aise nu qu'habillé, une belle queue avec de jolies couilles sans le moindre poil et un corps bronzé intégralement.
— Pas mal non ?
Eric s'est collé à moi pour me rouler une pelle, vérifiant de la main si j'étais en forme. Je l'étais depuis que je l'avais revu et je sentais aussi sa queue raide contre moi. Il a fait glisser mon short à terre et a soulevé mon débardeur par dessus ma tête.
— Hé bé. T'es une superbe crevette, un peu rose encore mais la queue est belle.
J'ai fait la même chose à Eric, le déshabillant en virant le short en dernier. Le salaud avait une queue de black, aussi épaisse et longue qu'un black avec des grosses et belles couilles dessous.
— Waouh. T'as pas changé, toujours une plus belle queue que moi.
Il a souri.
— C'est le régime français qui fait ça. Pipe et sodo, et tant que je trouverai des lopes comme Vincent ça changera pas.
On s'est assis sur des fauteuils bas et sur un signe d'Eric, Vincent est venu entre ses cuisses le sucer. Il était marrant à voir de dos. Il écartait les cuisses d'instinct où on lui avait appris. Du coup sans poils on distinguait le début de l'espace brun de son trou et en dessous ses couilles qui se balançaient. Il portait un large anneau à la base des boules qui devait peser lourd et les tirait vers le bas. Je bandais comme un fou sous le sourire narquois d'Eric.
— Si tu veux le sauter ne te gênes pas, il adore être démonté. A moins que ce soit ma queue qui te fasses de l'effet ?
— Les deux, j'ai pas changé. Peut être en plus vicieux et soumis mais j'aime aussi prendre un beau petit cul qui s'offre comme celui-là.
— Te gênes pas, baise-le et fait-le couiner comme il a besoin pour que son cul s'ouvre bien.
J'ai même pas eu à lui soulever les fesses, il s'est accroupi, tendant son trou à bite que j'ai rapidement investi. J'ai déjà dit que j'étais gâté par la nature et il a rapidement poussé de petits cris, le genre de gémissements que j'aimais bien. Eric s'est levé du fauteuil, dégageant sa bite de la bouche de la chienne pour venir derrière moi. Je me suis collé contre le cul de Vincent en me cambrant un maximum et j'ai senti le gland d'Eric entrer dans mon cul. Il m'a glissé à l'oreille :
— Tu mouilles bien ça fait plaisir de voir que t'apprécies les bonnes bites.
Je me suis reculé sur la queue d'Eric et, tout en ramonant Vincent, je me limais sur la queue d'Eric. J'avais appris à me retenir un maximum et j'ai fait durer le plaisir, gémissant à mon tour sous la bite d'Eric. J'avais pas baisé depuis quelques jours et j'ai tout lâché dans les fesses de Vincent. Eric a pas tardé à se répandre en moi et pendant que Vincent nettoyait ma queue, je faisais de même à Eric.
— Je vois que t'as appris quelques trucs de salope dis donc.
— Bah c'est que du plaisir avec ta queue.
— Si tu veux on a prévu une soirée bondage après-demain. T'es partant pour en être ? Le maximum c'est 30 ans et tu décides en arrivant si tu préfères être domi ou soumis. Evidemment comme on se connaît pas tous ça sera pas sans capotes, et tu peux décider d'être masqué.
— Ouais pourquoi pas. Au fait tu sais ce qu'est devenu Serge le prof stagiaire ?
— Ça a fini par se savoir qu'il se soumettait à des jeunes et ils l'ont viré. Je l'ai revu une fois dans un bar cuir.
— Ok, bon tu prends une douche ou j'y vais?
— Vas-y , après je vais faire un tour de plage avec la chienne. Viens avec nous si tu veux.
J'ai pris ma douche redécouvrant le plaisir d'avoir le cul bien souple après le passage d'une belle tige. Quand je suis sorti ils s'étaient rhabillés et je n'ai eu qu'a mettre un short et mon
débardeur pour les suivre dans les rues désertes à part quelques fêtards qui rentraient de boîte. On est arrivé très vite, directement à la plage où prés d'un vieux cabanon il a arrêté Vincent.
Ils avaient leurs habitudes et il s'est mis à poil sans un mot pendant qu'Eric sortait un collier et une laisse d'une cachette dans le cabanon. De voir ça m'a brutalement excité et j'ai pas pu
résister, me foutant à poil moi aussi à côté de Vincent à quatre pattes.
— Hé ben. La Suisse t'as fait du bien dis donc.
Il a fouillé encore une fois et m'a passé un autre collier relié à une laisse.
— Allez, avancez, vous allez jouer dans les vagues.
Se baigner nu sous les étoiles est génial. On se sautait dessus Vincent et moi, jouant comme de jeunes chiots impudiques. Juste avec le collier au cou. Au bout d'un moment Eric nous a rappelé et nous a remis la laisse pour avancer un peu sur le sable à quatre pattes pour se sécher. Il nous flattait le cul d'une caresse ou d'une petite claque. On est revenu au cabanon où il nous a retiré le collier et où on s'est rhabillé.
— Je te laisse rentrer Manu, je passe te voir demain pour savoir si t'es ok pour la soirée et régler les détails.
— Ok Eric.
Je suis rentré et me suis endormi comme une souche, plus habitué à ces moments d'excitation intense. C'est la sonnette d'entrée qui m'a réveillé. J'ai mis une serviette à la taille et j'ai
ouvert. C'était Eric.
— Je te réveille ?
— Exact, comme tu vois je me suis levé pour t'ouvrir.
— Ça pour te lever, tu t'es levé oui.
Il fixait la serviette tendue par l'érection matinale régulière. Je l'ai fait entrer et j'ai laissé tomber la serviette.
— Elle te va à la lumière ? Et mon cul, j'ai remarqué que tu l'appréciais.
— Justement pour demain soir il faut que tu sois excité et en manque, les couilles pleines. Alors je venais te donner les consignes si t'es toujours intéressé.
— Pour un plan cul toujours et si t'es là encore plus.
— Va pisser déjà que tu débandes.
— Que je débandes avec toi ? Comme ça ? Pas si facile à faire avec toi à coté.
Je pissais en lui parlant des chiottes.
— Va falloir mec. Je t'avais dit que la soirée serait sur le bondage et je compte bien t'y amener comme Vincent.
Quand je suis sorti il avait une cage en silicone rigide qu'il m'a montré. Pas très longue ni large avec des petits picots au fond et sur les bords.
— Tu veux que je mette ça ? Mais c'est pas à ma taille.
[Par Manuel1]
Et ? Tu as été déçu par le début de ce récit ?
bon la suite c'est quand
Tu es aussi préssé de connaître la suite que ça ...
en lisant la Gde Motte, j'ai cru qu il allait nous narrer ses balades dans le sable et les bosquets du Grand Travers