Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Le lendemain matin, Jean m'a enculé pour ce qui devenait une habitude, avant que nous partions pour une randonnée en pleine campagne. Dès que je suis entré dans le bus, j'ai vu les regards vicieux des mecs portés sur moi. Je craignais déjà le reste de la journée. J'ai bien essayé de rester près des profs, mais Jean s'est débrouillé pour m'en écarter sans toutefois s'arrêter. Ses potes nous précédaient et nous cachaient des autres.
- Tu as trois minutes pour me donner ton caleçon, m'ordonna Jean.
Mes boyaux se serrèrent. Devant, les autres ricanaient. J'ai pas attendu : j'ai viré mes chaussures, mon pantalon et j'ai tendu mon sous-vêtement à mon tortionnaire avant de me rhabiller. Déjà, ma bite se tendait sous la toile rêche.
- Maintenant, tu te branles en mettant la main dans ta poche.
J'obéis sans discuter. Au bout d'un moment, bien sûr, l'inévitable arriva et je jutai dans mon fut, laissant une tache bien visible sur le devant de mon pantalon. Je sentais le sperme et j'avais des larmes dans les yeux quand nous sommes arrivés au car, après une longue marche humiliante, sous les moqueries de ce groupe surexcité. Ils me prévinrent que le soir, c'était quartier libre en centre ville et que j'allais avoir droit à un bon limage en règle. Une véritable torture mentale.
Quand nous sommes rentrés dans la famille, juste à temps pour manger, Wilhelm a voulu négocier quelque chose avec Jean, mais celui-ci l'a envoyé paître. Puis avec un sourire narquois, il lui a parlé d'un pub dans lequel il avait rendez-vous avec ses potes. L'allemand a annoncé à ses parents qu'il nous accompagnait. Nous avons mangé rapidement puis nous avons quitté la maison, nos hôtes ayant été prévenus par les profs. C'était l'avant dernière soirée du séjour. Jean m'a forcé à le suivre, et j'ai obéi alors que je savais très bien ce qui m'attendait.
Le pub était bondé, envahi par la fumée de cigarette et les rires gras. Le groupe de français nous attendait, tous impatients. Jean m'a assis au milieu et m'a glissé dans l'oreille :
- Branle-toi, gicle dans ta main et montre nous bien ton jus…
Tous rigolaient en buvant tandis que je m'exécutais, les joues en feu. Guillaume prenait des photos, particulièrement de moi. Wilhelm s'intégrait parfaitement à mes compatriotes. Mon orgasme a été douloureux et j'ai sorti ma main où collait un globe de sperme épais. Jean m'a ordonne de bien montrer le résultat de ma branlette (après avoir lâché le commentaire « je suis déçu, je pensais qu'il y en aurait plus ») puis m'a dit de lécher. Ca me dégoûtait, je le lui ai dit, mais il s'en foutait et m'a menacé d'envoyer les photos à mes parents et de tout révéler au lycée. Coincé, j'ai bouffé mon propre sperme en ravalant un haut-le-cœur.
Jean s'est alors levé et m'a entraîné vers les toilettes. Je n'ai pas résisté. Les chiottes étaient assez grand. Mon tortionnaire m'a mis un bandeau sur les yeux, mon cœur battait la chamade. Il m'a poussé dans une cabine, je l'ai entendu farfouiller et avant même que j'ai eu le temps de comprendre, je me suis retrouvé menotté aux tuyaux du chiotte.
- Jean ! Arrête, ça va trop loin…
- Ta gueule. Soit tu le fermes, tu te laisses faire, et tout va bien, soit tu joues au con et je te bâillonnes en prime, et même si un mec essaie de te tuer, tu pourras pas appeler à l'aide. Tu choisis…
- Je me tais…
Il a baissé mon pantalon et m'a foutu direct deux doigts dans le cul. J'en ai lâché un petit cri.
- J'ai dit « ta gueule » !
- Faut lubrifier un peu… Je t'en prie…
Je l'entendis fouiller et un instant après, je sentis un produit froid sur mon trou. Aussitôt après, le bruit d'une capote et Jean enfonça sa queue à fond. Il m'enculait comme à son habitude : sans douceur, au rythme de la musique bruyante de la salle. Il a vite joui et m'a abandonné là.