Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Je n’ai pas attendu longtemps avant qu’une autre bite me pénètre. Ca a été aussi rapide que violent. Pas un mot. Un autre lui a succédé, puis un autre. Le troisième n’est pas venu seul : j’entends des rires et des chuchotements derrière, et celui-ci se démène pour me casser le cul. Je ne peux pas m’empêcher de gémir ce qui amuse encore davantage les autres. Quand mon enculeur se retire, il me glisse à l’oreille :
- J’ai pas juté, je te laisse aux autres, on va bien profiter…
C’est la voix de Guillaume. Aussitôt après, une bite énorme s’enfonce en moi et je suspecte que ce soit Wilhelm. Avant de jouir, il laisse à nouveau sa place à un autre et je ne sais pas combien de mecs alternent dans mon cul. Ca me brûle, je chiale. C’est long, je les supplie d’arrêter. Guillaume est en train de m’enculer : il me traite de chienne, de pute et me demande de continuer à supplier. Ca l’excite et il finit enfin par juter bruyamment. Les uns après les autres, les mecs se finissent en moi, Whilelm le dernier et il ponctue ses jets de foutre de claques sur mon cul.
Je crois que tout est fini, mais soudain, j’entends baragouiner en allemand. C’est Jean qui est en train me vendre à des locaux. J’essaie de me libérer, je gueule, mais ça me vaut seulement un coup de pied au cul et un « ta gueule ! » de Jean. Un instant après, une bite rentre en moi. Le mec y va comme un bourrin. Ma seule consolation, c’est qu’il ne dure pas longtemps. Un autre le remplace. J’arrête de compter. Certains de mes compatriotes s’offrent un tour supplémentaire. Mon cul me tire, j’ai l’impression que mes boyaux vont se déverser et mes jambes, ankylosées, flageolent. Quand enfin, Jean me libère, il me semble avoir passé trois nuits ici. Trois longues nuits.
Il ne retire pas mon bandeau et me fait m’agenouiller au milieu des chiottes. Puis il me tire la tête en arrière et là je sens un liquide froid et gluant qui me dégouline sur le visage. Le groupe entonne : « et de une ! » ». A l’odeur, c’est du sperme. Jean a gardé les capotes et me les vide dessus. J’en ai partout, ça pue. Les mecs comptent… Ils s’arrêtent à quatorze et je comprends pourquoi j’ai mal. Mon public se tire en rigolant et Jean m’enlève finalement le bandeau. Il me regarde avec un sourire narquois et un air de dégoût, puis il se casse.
Quand je sors enfin du pub, je suis tout seul et il est presque une heure du matin. Je réalise que je n’ai pas les clés : je suis dans la pire des merdes si je ne me dépêche pas. J’essaie de courir, mais ce n’est pas facile avec mon fion déchiré comme il l’est. Quand je retrouve la maison de mes hôtes, Jean et Whilelm sont devant le porte. Au moment où j’arrive, ils rentrent en riant. Je tapote à la porte et leur demande d’ouvrir.
- Tu te dépoiles d’abord, répond Jean. Ensuite, tu vas te branler au milieu de la rue, tu jutes dans ta main et tu reviens bouffer ta dèche devant nous. Après, on te laisse entrer.
Je me doutais qu’ils me préparaient une saloperie. Je vire mes fringues pour en finir au plus vite. Quand j’arrive au milieu de la rue, éclairée par des lampadaires jaunes, je me branle avec frénésie. La porte s’entrouvre et Jean récupère mes fringues que j’ai laissées comme un con sur le paillasson. Je suis à leur merci. Etrangement, je bande très vite et éjacule en deux temps trois mouvements. Je reviens vers la maison dont la porte s’ouvre. Ils me regardent avec un sourire. Dégoûté, je lèche mon jus et ils me laissent enfin entrer.
L’Allemand me guide à sa chambre où il m’encule une dernière fois – sans capote. Au moins, il rentre maintenant comme dans du beurre. Quand il a fini son affaire, il m’éjecte et je rejoins Jean dans notre chambre qui cette fois prend possession de ma bouche. Je me couche enfin avec son goût sur la langue et l’odeur âcre du sperme étalé sur mon visage.
Le lendemain, nous repartons de très bonne heure pour la France. Je n’ai plus souffert d’outrages. A mon retour en France, je porterai plainte et Jean sera envoyé en prison ferme. J’espère qu’il y souffrira du cul autant que j’ai pu souffrir.