Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Un GI est condamné pour insubordination à 100 coups de fouet et 6h de crucifixion.
Le rythme est un peu lent, mais c'est encore plus eXcitant.
Merci à Perros (voir TOP12).
Arnaud S.
SUITETon Maître t'autorise à te branler ? Je serai lui, je te coulerai de la cire dans les yeux pour t'empêcher de mater. NIARK !
au prochain comme ça...Bravo
Pareil, j'espère avoir la suite avec le dressage de la croix. Amen.
Ses petits sanglots loin de nous donner l’impulsion d’empathie salvatrice, nous pousse à plus de supplice afin de voir moult larmes glisser sur son joli visage, gniark.
Entièrement nu, je dirais même plus rasé avec la plus extrême perfection il attire les coups de fouet. Les spasmes de douleurs qui en résultent font apparaître pour notre plus grande joie les muscles d’un corps athlétiquement admirable.
En effet, il ne passe pas grand-chose durant les longues minutes de la séance, mais la perspective d’un autre épisode déclenche immédiatement dans une certaine partie de mon anatomie un afflux de sang purpurin, prémices de l’apparition d’autres sécrétions aux odeurs enivrantes …
YEAH
J'adore ta prose... T'es un commentateur très doué. Le jour où j'en aurai marre de tenir ce blog à jour (ou presque), je te vendrai la peau d'Arnaud.
Dommage qu'il n'ait pas eu envie de pisser sur la croix ...
Peut être que mon anglais est défaillant mais j'ai bien cru comprendre 100, maintenant je fais confiance à ton décompte (t'es côté syndicat ? ou côté Police ?). Pas de blasphème STP, on ne pisse pas sur les croix, on y verse du sang et des larmes.
Tu as raison, c'est une belle "cruci-fiction". Toute ressemblance avec des évènements (genre crucifixion) ayant existé il y a 1977 ans serait purement fortuite....
C'est vrai qu'il est mignon, tout propré, on n'a qu'une envie de de l'utiliser pour nôtre plus grand plaisir.
J'aime bien les vidéos avec un scénario. Le soldat est superbe. Voir l'envolée lyrique dans le commentaire de YOPLAIT.
Mais arrêtez de blasphèmer ! On ne pisse pas sur une croix !
Le simple fait de le voir se dépoîler me fait bander.
SLRN 304 -791-946