Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
Dans les nouveautés de Gai-éros (voir mon TOP12), une histoire de Kevin est particulièrement "chaude". Normal le Kelvin (K) est l'unité de mesure de la température du Système International (SI), les unités à utiliser dans les formules de physique...
Il faut soustraire 273,15 à la température en degré Celsius (°C) pour convertir en Kelvin.
Zéro Kelvin (0 K) correspond donc à -273,15°C, c'est la température théorique la plus froide possible, celle à laquelle rien ne bouge plus, où tout est en ordre (Entropie nulle). Pour info, la température moyenne de l'univers est de l'univers est de 2,7 K.
Cette petite parenthèse scientifique fermée, on revient à l'histoire. Je lance un petit concours : celui qui enverra la meilleure photo pour illustrer l'histoire.
Bonne lecture !
Arnaud S
Cette histoire s'est passés il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin parfois, le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco... Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil.
On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n'était pas très pote avec la douche mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était plutôt bien monté, 20 centimètres, épaisse et bien poilue, comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...
— Ça te dit que je te suce ?
Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et d'un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit :
— Commence par avaler ça !
Et là, c'est moi qui fût surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je voit apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt... Il me regarda droit dans les yeux et me dit :
— Tu voulais un mec, ben chui là. Alors maintenant tu vas pas faire ta mijaurée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !
Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience. J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas ! Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d'un rythme éffreiné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j'adorais ça. Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :
— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.
L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffes chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu'elle veut pas se soumettre à lui.
— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?
— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m'a plu c'était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?
— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans le bain et m'attendre bien gentiment !
— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...
J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà coller un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.
— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !
Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendrait là bas, il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendais une porte s'ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.
— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.
Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ, et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit "Merci C'zin !"
J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n'avalais pas tout. Il se concentra et commença à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m'attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait ça, mais j'ai adoré cette odeur particulière.
— Et t'aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?
— Ben ouais bien sûr ! lui répondis je sans vergogne.
On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n'y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d'un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doit être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant des dizaines de minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort ! Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :
— Lèche-moi les pieds sale garce. Après t'auras mon jus !
J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe ! Il me dit qu'il n'est pas loin de juter.
— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce
Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de 2 minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.
— Je veux quand même que tu jutes p'tite salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur ça !
Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m'asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne.
Tout à coup une ombre apparût derrière la porte...
Mon petit cousin était de retour. Entièrement nu, la queue bandée a fond, il avait été excité par nos bruits. Son grand frère fut surpris de sa présence et lui dit :
— Ben qu'est ce tu fous là frérot ?
— J'ai bien envie de l'enculer, j'ai tellement kiffé quand il m'a sucé t'alleur...
— Mais t'es vraiment qu'une p'tite salope Jared, t'as sucé mon p'tit reuf et tu m'as rien dit, il a même pas 18 ans ! T'abuses ! Me balances mon cousin.
Bah moi non plus j'ai pas 18 ans, mais bon, j'ai pas osé la ramener par peur de me reprendre une grosse mandale...
Avec la bénédiction du frangin, mon p'tit cousin m'encula... Sa queue rentra toute seule dans mon cul tant il avait été défoncé par le mandrin de mon maître. Ce dernier se plaça d'ailleurs debout devant moi, j'étais allongé par terre, une queue qui s'agitait dans mon cul, et me donna ses ieps à bouffer agrémentés de quelques mollards qu'il crachait bien au fond de ma gorge. Il n'a pas mis longtemps à rechopper la gaule et je pus goutter encore à ses vingt centimètres de pur bonheur... Le petit accéléra, je compris qu'il allait juter, le grand frère lui dit de venir juter sur sa teub. Il s'exécuta. Il a donc juté sur la queue de son frère que j'avais en bonne partie dans la bouche pour mon plus grand plaisir. Mon maître ne mit pas longtemps à venir dans un dernier râle de plaisir. Il largua une bonne dose de jute dans ma gueule. J'avalais tout of course !
Le petit frère parti se coucher. Il était déjà 3h du matin, et moi j'allais en faire de même lorsque mon cousin me dit :
— Attends ! Viens dormir dans mon lit ma p'tite salope, ça me ferait plaisir que tu m'appartiennes encore pour la nuit ! Et tu dois partir a quelle heure demain ?
— 9h lui répondis-je
— Tu resteras jusqu'à 11h, on va encore s'amuser un peu avec toi demain matin !
Je n'allais quand même pas dire non ! Ça ne se refuse pas des occases comme celle-ci, de plus, le lendemain matin on allait être seuls, les parents étant au boulot...
On se mit donc au lit, mon maître me fouttant alors sa queue molle dans le cul et me disant que je devais la garder toute la nuit dans mon fondement, sinon, j'allais être réveillé à coups de ceinture... Bien que l'idée m'excitait, je m'exécutai et essayai de garder ce mandrin toute la nuit en moi... L'idée n'était pas si mauvaise finalement !
Je fus réveillé par une sensation bizarre dans mon corps... Je sentais la respiration de mon couz', il était réveillé, je compris quelques secondes plus tard, sentant toujours sa queue dans mon cul qu'il était en train de me pisser dedans... La sensation était vraiment très forte... Quand on vous jute dans le cul, vous sentez les bonnes rasades de foutre déversées dans vos intestins, avec la pisse, c'est la même sensation multipliée par 100 ! Je vous jure, à essayer, obligé une fois dans votre vie ! Et puis j'entendis :
— Si tu en perds une seule goutte, c'est ma merde que je te mettrai dans la bouche !
Oui, j'aimais ce plan, mais de là à avaler la merde, je ne sais pas si j'en aurait été capable. Alors je fis bien attention. Sa queue était toujours planté dans mon boule, ça servait de bouchon. Rien ne pouvait sortir. Je me rendormis complètement esclave et in love de mon cousin.
9h. Mon cousin avait foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu'il n'avait pas envie de rater la matinée qu'il m'avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me plaçais sur le ventre par peur que la pisse de la nuit ne coula sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention à moi ! Il m'a juste dit qu'il avait faim, et qu'il m'attendait sur la terrasse pour le p'tit dej'. Je plaçais mes mains sous mon cul et fit un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d'un autre mec... C'est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait bander comme un âne !
Bien vidé, je me rendis sur la terrasse. Mon cousin était en train de bouffer, il avait enfilé ses TN, on avait les mêmes sauf que les siennes avaient au moins 2 ans de plus. Bien pourraves. Je m'assis face à lui, il portait juste un caleçon plutôt large qui lui aussi avait du vécu !
— Ben t'attends quoi pour te mettre à l'œuvre ma salope ?
— Là, sur la terrasse ?
— Ouais, tu verras c'est kiffant en extérieur. Allé, passes sous la table !
J'avais rien à perdre, de toute façon, je ne connais pas les voisins ici ! Alors je suis passé sous la table, j'étais à 4 pattes dans les graviers avec seulement un calbut blanc et mes pompes. Je m'approchai de sa teub qui était déjà bien bandée. L'odeur était forte. Mélange de pisse, merde et jute. Un cocktail délicieux ! Je commençai par bien respirer l'odeur puis je me mis a le sucer bien fort. Je voyais même pas sa gueule mais je suppose qu'il kiffait ce que je lui faisait ! Je l'ai entendu écrire un texto. 5 minutes après le frérot apparut juste derrière avec ses skets et un short de bain. Il s'assit à ma place.
Il commença à me tripoter le cul, me foutre des doigts. Tout ça sans ménagement. Mon cul était encore bien open. Les 2 frères parlaient pendant ce temps la. Je n'entendais pas tout ce qu'ils disaient, mais j'entendis vaguement le terme "face-sitting", je ne connaissais pas mais rien que l'idée me faisait tripper ! Après quelques minutes à servir de pute à mon maitre, les 2 me dirent de rentrer, et de m'allonger sur le dos sur la table du salon. Je le fis sans rechigner ! Ils arrivèrent quelques minutes après, le temps de mettre une stratégie au point pensais-je.
Le petit se plaça au niveau de mon cul et m'enfila directement son chibre... Pendant ce temps là, le face-sitting allait s'accomplir. Mon maitre s'agenouilla alors au dessus de ma tête, j'avais son trou du cul au niveau de ma bouche et la queue me retombait sur le dessus du visage. Il commença alors à se lâcher... Voulant limite m'étouffer, c'est le principe me confiront-ils plus tard. Il lâchait même à l'occase quelques pets que j'étais obligé d'avaler, ce n'était pas désagréable. Je ne voyais pas mon enculeur, pourtant il me labourait bien la chatte, ça durait depuis dix bonnes minutes. Puis ils échangèrent les places. J'eus donc à être étouffé par le plus jeune de mes cousins. Lui ne se gêna pas pour me larguer des caisses assez énormes dans la gueule... Après cette nouveauté, j'eus droit encore à une première !
Mon maître se plaça cul sur la table, et m'ordonna de venir m'empaler sur sa belle queue, je le fis... Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une deuxième queue s'introduire en moi... Putain mais mes cousins sont vraiment géniaux ! Je les vénère ! Les deux me défonçaient bien le cul à fond ! Truc de malade la double péné... Ça dura environ 20 minutes, mais mon cul s'en souvient encore ! Après, le petit s'est retiré, ils m'ont allongés sur le dos... Mon maître a continué à m'enculer et le petit à se faire sucer... Ils ont juté les deux en même temps, l'un dans mon cul, l'autre dans ma bouche béante. Mon cousin me fit ensuite sucer sa queue toute foutreuse qu'il sortait de mon fondement.
Après avoir jouis comme des fous et souillés mon corps, il fallait le nettoyer... Ils me soulevèrent à deux pour me mener à la salle de bain dans la baignoire où je me pris leurs pisses bien copieuses et fumantes sur tout mon corps, ma bouche restant grande ouverte pour recueillir le précieux breuvage... Ils me laissèrent ainsi dans la salle de bain, recouvert de pisse et gavé de leur sperme. Je me mis à me branler, jutant jusque dans ma bouche vu l'excitation de cette matinée. Puis je me nettoyai, et reparti. J'ai parfois revu mes cousins, mais cela ne fut jamais aussi intense que ces jours de juillet... Malheureusement !
par TheKevin25