Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
[Source : commentaires de TennisAnnalyst sur YouTube]
"Les gens sont profondément stupides... c'est si simple comme solution, si évident, mais pourtant, personne n'y songe - ou plutôt, personne ne l'ose. C'est comme si le mensonge était la norme; la vérité, la forme déviante de la parole humaine. Allez pantins, dansez pour le monde... laissez ces fils guider vos gestes pour avoir l'excuse de n'être qu'une victime."
"La vraie et implacable aberration et seule qui soit présente dans cet extrait, c'est bien le mensonge et la tromperie. C'est un crime contre l'humanité que de soutenir une thèse illogique, que de professer à tort et à travers des idées fausses et d'insister égoïstement sur elles pour se convaincre soi-même d'une valeur qui n'existe pas en nous; c'est un crime réel dans la mesure où l'homme sacrifie la confiance en la parole humaine au profit de sa peur et de ses illusions."
Je suis tombé par hasard sur cette vidéo : un canular de Cauet qui tourne au cauchemar pour la victime, sans que personne n'intervienne pour arrêter le jeu. Je me mets d'autant plus facilement à sa place, que j'ai longtemps refoulé mon homosexualité sous une bisexualité (cachée à mes copines).
Les jeux du cirque, version XXIe siècle : on expose des gens (non consentants) en public, puis on s'amuse à les faire souffrir mentalement.
Je préfère les coups de fouet aux coups (médiatiques) de Cauet.
Arnaud S.
Moi aussi ça m'a pas mal sidéré la réaction des "animateurs' qui laissent le truc dégénéré. J'aimerais avoir des nouvelles du mec a qui s'est arrivé...
p'tit con ! vraiment dégolasse.il faut casser la gueule de ce cauet .
Si la victime me contacte... (et qu'elle est baisable lol), je m'en charge avec des potes...
lamentale, honteux, et dangereux ! comment peut-on se permettre ce genre de choses ? comment peut-on jouer avec les gens de cette manière et en plus s'amuser à côté alors qu'il aurait fallu interrompre avant que ça n'aille trop loin. c'est révélateur de l'état d'une société et ça fait peur.