Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 22:58

Le filon reste toujours aussi "juteux". Je ne me lasse pas des fringues déchirées et des beaux mâles virils en uniforme. Les connaisseurs trouveront que les bondages sont un peu "lâches" voire "approximatifs".

Arnaud S.

 

Source : Alex Batard (voir onglet BDSM de mon blog)

 

 

 

En bonus, déniché sur le même blog, une aguiche d'une vidéo produite par  BoundGods avec quelques idées délicieusement sadiques.

 

 

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Par Sadic Arnaud - Publié dans : Kiff & mâleS - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 07:38

Les personnages de l'histoire qui suit sont un peu "jeunes" mais ils ont du potentiel pour une carrière dans le BDSM. Comme pour l'histoire précédente, je lance un concours à celui qui illustrera le mieux l'histoire.

 

Arnaud S.

 

 

Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

Et d'un coup, il crie, je suis surpris et me lève promptement, ma serviette tombe, il se retourne vers moi et me prend en photo avec son téléphone.

— Et alors, Théo, tu fais de l'exhibition comme ça avec tous les gamins que tu gardes pendant les week-ends ?

— Corentin, c'est quoi, ça ?

— Et en plus, tu leur caresses les fesses ?

— Corentin, tu sais que ce n'est pas vrai.

— Peut-être, mais si je le dis à mes parents, c'est moi qu'on croira, pas toi.

— Tu es devenu fou ?

— Non, juste que je n'aime pas quand tu me tripotes le cul et les couilles.

— Mais, Corentin, je ne t'ai jamais tripoté !

— C'est moi qu'on croira !

— Arrête, Corentin, ce n'est pas drôle, et je le vois qui s'empare de son téléphone portable.

— Corentin, tu fais quoi, là ?

— Tu le vois bien, je téléphone à mes parents.

— Corentin, arrête tes conneries, s'il te plaît.

— Demande-moi ça mieux.

— Corentin, je te supplie de ne pas appeler tes parents, si tu leur dis ça, je suis mort.

— Je veux bien bien attendre un peu avant de les appeler, Théo, mais tu vas faire ce que je te dirai, tout ce que je te dirai.

— Corentin, arrête, ce n'est pas drôle.

Le gamin a remis son téléphone contre sa joue.

— Bon, ok, tu veux quoi ?

— Branle-toi devant moi, fous ton sperme dans la paume de ta main et tu bouffes tout.

— Corentin, tu es fou ou quoi ?

— C'est ça ou je téléphone !

— Bon, ok.

J'ai commencé à me masturber devant ce sale gosse, il continuait à prendre des photos avec son foutu téléphone, surtout quand j'ai juté dans ma main et que j'ai avalé mon propre jus.

— C'est bien, Théo, et maintenant, tu vas me sucer.

— C'est bon, Corentin, ça suffit maintenant, j'ai fait ce que tu m'as demandé.

— Tu te tais et tu suces, m'a-t-il répondu en approchant son téléphone de son visage.

J'ai approché ma bouche de son entrejambe, que pouvais-je faire d'autre ? Je l'ai mis en bouche et je l'ai amené à jouir. Quand j'ai senti qu'il venait, j'ai voulu me retirer, mais sa main sur ma tête m'en a empêché et j'ai dû avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte, il n'a lâché ma tête que quand sa queue est redevenue molle. Pendant cette fellation, il avait continué à prendre des photos.

— Théo, quand je me réveillerai demain, je t'appellerai et tu viendras me faire la même chose sans dire un seul mot.

— Corentin, arrête, s'il te plaît !

Son regard dur et intransigeant a fait que j'ai quitté sa chambre pour la chambre d'amis sans rien dire. J'ai mis plus de deux heures pour m'endormir, cherchant une solution pour sortir du merdier où je me trouvais, je n'en ai trouvé aucune, il me tenait par les photos qu'il avait prises dans toutes ces situations qui me compromettaient sans appel. Quelques minutes avant que je puisse m'endormir, je me suis dit qu'il me tenait par les couilles, que je ne pouvais rien faire d'autre que lui obéir, et j'ai assumé cette réalité avant de confier mes yeux et mon corps à Morphée.

Le matin m'est parvenu de sa chambre un appel bref « Théo, ici ». Il m'a reproché de m'être mis en pyjama, il m'a fait déshabiller, précisant que je devais rester à poil toute la journée. Il m'a fait mettre à genoux, mains derrière le dos, tête en arrière et bouche ouverte, il m'a pissé dans la bouche et j'ai tout dû avaler, il riait et moi je pleurais. Il m'a obligé à me mettre à genoux sur le lit, il voulait voir mon trou de cul, j'ai dû écarter mes fesses avec mes mains, jamais je n'avais connu pareille humiliation. Il a caressé l'entrée de mes intestins avec son index, je le suppliais d'arrêter, de ne pas entrer son doigt, mais ses caresses étaient si agréables que mes sphincters se sont détendus. J'ai crié de douleur quand son doigt est entré, il a commencé à trifouiller à l'intérieur comme on tourne avec une cuiller dans un pot de yaourt,je voulais qu'il retire son doigt, mais ce qu'il me faisait devenait agréable, j'en éprouvais encore plus de honte, ma queue s'est mise à durcir, il avait trouvé un endroit à masser qui me donnait des sensations étranges jusqu'au bout du gland, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'aimais ce qu'il me faisait.

— Tu bouges bien ton cul, hein, petite salope, dis-moi que tu aimes ça.

— Oui.

— Mieux que ça.

— Oui, Corentin, j'aime ça.

— Supplie-moi de continuer.

— S'il te plaît, Corentin, continue, c'est trop bon.

— Dis que tu es une salope et que tu aimes mon doigt dans ton cul.

— Je suis une salope, j'aime ce que tu me fais.

J'avais à peine dit ça qu'une sensation étrange a parcouru mon bas-ventre, de ma queue à peine bandée est sorti mon sperme, sans à-coup comme si je me vidais sans pouvoir m'arrêter. Je me suis affalé sur le lit, mon ventre dans mon jus.

— Regarde ma queue et dis que tu l'aimes bien et que tu voudrais que je la foute dans ton cul.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais c'est sorti comme ça. Je lui ai dit que j'aimais sa queue, qu'elle était belle, que j'avais toujours aimé le voir nu, que depuis des années, je devais me retenir pour ne pas la toucher, la caresser, que je bandais quand je lui caressais le dos, que son jus était bon et que j'en voulais encore, que je voulais la sentir en moi, que je voulais qu'il me sodomise.

Comment avais-je pu dire ça, je me suis mis à pleurer, et à genoux, je lui ai demandé d'oublier ce que je venais de lui dire.

— Trop tard, tu l'as dit, et je te la mettrai, mais avant, c'est Patrick que va te la mettre.

— Patrick ?

— Tu connais bien, Patrick, non ? Tu fais aussi du baby-sitting chez lui.

— Mais Patrick a 14 ans.

— Et alors ? Il a envie de te voir à poil, de te tripoter et de mettre sa queue dans ton cul.

— Corentin, s'il te plaît, avec toi je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas venir Patrick.

— Trop tard, je lui ai téléphoné, il va bientôt arriver, en attendant prépare le petit-déjeuner.

Je savais que je n'y couperais pas, Corentin l'avait décidé et il ne changerait pas d'avis, je me sentais totalement perdu, j'étais devenu le jouet de Corentin et j'allais être celui de Patrick. Mes pensées étaient confuses, partagées entre l'horreur du comportement de Corentin et le fait que ma totale soumission ne me déplaisait pas totalement.

Quand Patrick est arrivé, j'ai dû lui ouvrir la porte, il m'a fait mettre les mains sur la tête et a examiné et palpé toutes les parties de mon corps comme on examine un esclave avant de l'acheter : il a mis ses doigts dans ma bouche, il a pincé mes tétons à m'en faire mal, il a pris ma queue en main et l'a tripotée, décalottée jusqu'à ce que je bande devant lui, il m'a fait faire demi-tour, j'ai dû me pencher en avant en écartant mes fesses, il m'a entré son doigt dans l'anus, puis il m'a donné une petite claque sur les fesses, et j'ai dû le déshabiller entièrement. Quand j'ai vu son sexe, je n'ai pu que m'extasier devant sa taille, sa queue fine était plus longue que la mienne, il m'a fait mettre à genoux et m'a obligé à la prendre entièrement en bouche pour la faire bander, puis il m'a relevé en me tirant par les cheveux, il a arraché un poil de mon pubis, ce qui m'a fait crier, plus de surprise que de mal, et son verdict a été : « trop de poils, on va enlever tout ça ». Ce gamin voulait faire disparaître les signes de ma virilité auxquels je tenais le plus : ma toison pubienne, et je savais que j'y passerais. Puis il s'est détourné de moi pour rejoindre Corentin qui avait tout photographié, j'ai pu déjeuner avec eux, mais je devais me taire. Corentin a raconté à Patrick tout ce qui s'était passé de puis hier soir, n'omettant aucun détail, jusqu'à son pipi du matin où je lui avais servi d'urinoir. Ma honte était à son maximum, mais ... je n'arrêtais pas de bander à en avoir mal. Corentin l'a vu, j'ai dû me mettre debout face à eux, ils voulaient voir en permanence ma queue raide, et ils ont voulu que je me caresse devant eux pour la tenir droite. A 18 ans, me toucher devant deux gamins de 14 et 15, c'était de la folie, de la pure folie, mais le plus grave, c'est que je commençais à apprécier ça.

Après le petit-déjeuner, Corentin a allumé son ordinateur tandis que Patrick m'a emmené dans la salle de bain ; du cou aux chevilles, tout mon corps est passé par les lames du rasoir jetable qu'il maniait comme un pro, devant et derrière, et je l'ai laissé faire sans dire un mot. J'étais plus nu que nu quand Patrick m'a emmené devant Corentin qui a passé sa main sur l'entièreté de mon corps, je bandais devant lui, mais ça ne m'a pas trop dérangé, j'avais accepté que mon corps soit à lui. Corentin nous a dit qu'il avait créé un espace web où il avait mis un blog avec toutes les photos qu'il avait prises de moi, il les a fait défiler sous les yeux lubriques de Patrick qui, régulièrement, se tournait vers moi en me disant « tu es vraiment une bonne salope, toi, une vraie petite pute ». Et Corentin de renchérir « j'ai envie de donner l'adresse de ce blog aux copains à l'école ».


Ils m'ont ensuite fait mettre à genoux, mains derrière le dos, à côté du lit, je devais les regarder se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer, se mettre un doigt ou la queue dans le derrière. Je n'aurais jamais cru que deux garçons puissent se toucher comme ça, et malgré ma position d'esclave pour eux, je bandais ferme, j'en arrivais presque à espérer qu'ils me disent de les rejoindre, mais après une demi-heure, ils ont quitté le lit, me laissant planté là. Puis Patrick a claqué sur mes fesses, tandis que Corentin m'a dit « allez, la petite salope, à quatre pattes sur le lit ». Je me suis exécuté, j'ai dû plier les bras pour avoir la tête sur le drap, mon intimité exposée à leurs regards, leurs quatre mains me touchaient, parfois caressaient mes fesses, parfois les tapaient de la paume de la main, ils touchaient et tiraient mes bourses, ma queue, ils examinaient des yeux et des doigts mon anus, et j'ai senti comme un liquide gras déposé sur mon trou et introduit par des doigts à l'intérieur.

Corentin est venu devant moi, m'a remis sur les mains et m'a dit « tu me suces, mais tu ne me fais pas jouir », j'ai mis sa queue en bouche tandis que derrière moi, je sentais le gland de Patrick à l'entrée de mon corps, il a forcé l'entrée lentement mais inexorablement, j'avais mal, mais c'était trop bon, il a empoigné mes hanches et a martelé mon cul faisant à chaque mouvement coulisser mes lèvres sur la queue de Corentin, il a déversé son jus d'ado dans mon ventre en hurlant, puis ils ont changé de place, j'avais en bouche la queue de Patrick encore pleine de son sperme et du jus de mon cul, et Corentin s'est introduit en moi, il m'a fait plus mal que Patrick, leur queue ayant un gabarit différent, j'étais une salope mais j'aimais cette sensation entre mes fesses, je gémissais sourdement. Corentin y allait sauvagement, brutalement, comme pour bien me montrer qu'il était le maître, tandis que Patrick poussait son gland tout au fond de ma gorge. J'ai senti que j'allais jouir devant ces deux gamins, je voulais tout faire pour empêcher ça, mais le plaisir a été le plus fort, j'ai éjaculé comme jamais tandis que Corentin se vidait en moi et que Patrick m'envoyait encore une dose de sa liqueur dans ma gorge.

C'était trop pour moi, je me suis effondré sur le lit en pleurant à chaudes larmes, en les suppliant d'en finir avec tout ça. J'ai senti leurs mains sur mes cheveux, la nuque, le dos, les fesses le dos des cuisses, elles me caressaient tendrement, je ne comprenais plus rien, ils ont couvert mon dos de baisers tendres.

— Qu'est-ce qui se passe ?

— Théo, on t'aime.

— Vous appelez ça aimer ? Vous m'avez traité comme une pute.

— On t'aime tous les deux, et c'est le seul stratagème qu'on a trouvé.

Je me suis mis sur le dos, et Corentin m'a embrassé sur la bouche, sa langue a caressé mes lèvres, je les ai ouvertes et j'ai embrassé mon Corentin à pleine bouche tandis que Patrick embrassait et léchait mon ventre et mon sexe, puis il est venu près de ma bouche, m'a embrassé tendrement à son tour, ensuite les trois bouches se sont rejointes, et on s'est léchés, sucé les bouts de langue, alors qu'ils caressaient ma queue tous les deux.

Quand on s'est calmés, ils se sont blottis tout contre moi, j'ai passé mes bras sous leur épaule pour les serrer très fort.

— Vous m'avez bien eu, tous les deux.

— On savait que tu avais envie de nous, a dit Corentin, je savais que tu bandais quand je me mettais nu après la douche.

— Et moi, depuis que je suis devenu ado, tu étais dans la salle de bain à chacune de mes douches, et ton short était gonflé.

— Et moi qui pensais être discret.

— Tu ne nous en veux pas ?

— Non, mes petits amours.

— Ce soir et demain, ce sera à toi d'honorer nos petits culs.

Corentin a décroché le téléphone qui sonnait et il m'a passé l'appareil. C'était la mère de Patrick qui me demandait si je pouvais le garder en même temps que Corentin jusqu'au dimanche soir. Les deux gamins rigolaient, ils avaient bien préparé leur coup.

Ce week-end de baby-sitting a été le plus beau de ma vie et il y en a eu encore beaucoup par la suite, chez Corentin ou chez Patrick, parfois je « gardais » les deux pour qu'ils ne fassent pas de ... bêtises.

 

par Nobody69 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 07:15

   Dans les nouveautés de Gai-éros (voir mon TOP12), une histoire de Kevin est particulièrement "chaude". Normal le Kelvin (K) est l'unité de mesure de la température du Système International (SI), les unités à utiliser dans les formules de physique...

Il faut soustraire 273,15 à la température en degré Celsius (°C) pour convertir en Kelvin.

Zéro Kelvin (0 K) correspond donc à -273,15°C, c'est la température théorique  la plus froide possible, celle à laquelle rien ne bouge plus, où tout est en ordre (Entropie nulle). Pour info, la température moyenne de l'univers est de l'univers est de 2,7 K.

   Cette petite parenthèse scientifique fermée, on revient à l'histoire. Je lance un petit concours : celui qui enverra la meilleure photo pour illustrer l'histoire.

   Bonne lecture !

Arnaud S

 

Cette histoire s'est passés il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin parfois, le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco... Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil.

On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n'était pas très pote avec la douche mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était plutôt bien monté, 20 centimètres, épaisse et bien poilue, comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...

— Ça te dit que je te suce ?

Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et d'un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit :

— Commence par avaler ça !

Et là, c'est moi qui fût surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je voit apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt... Il me regarda droit dans les yeux et me dit :

— Tu voulais un mec, ben chui là. Alors maintenant tu vas pas faire ta mijaurée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !

Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience. J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas ! Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d'un rythme éffreiné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j'adorais ça. Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :

— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.

L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffes chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu'elle veut pas se soumettre à lui.

— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?

— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m'a plu c'était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?

— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans le bain et m'attendre bien gentiment !

— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...

J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà coller un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.

— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !

Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendrait là bas, il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendais une porte s'ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.

— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.

Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ, et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit "Merci C'zin !"

J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n'avalais pas tout. Il se concentra et commença à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m'attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait ça, mais j'ai adoré cette odeur particulière.

— Et t'aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?

— Ben ouais bien sûr ! lui répondis je sans vergogne.

On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n'y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d'un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doit être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant des dizaines de minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort ! Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :

— Lèche-moi les pieds sale garce. Après t'auras mon jus !

J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe ! Il me dit qu'il n'est pas loin de juter.

— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce

Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de 2 minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.

— Je veux quand même que tu jutes p'tite salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur ça !

Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m'asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne.

Tout à coup une ombre apparût derrière la porte...

Mon petit cousin était de retour. Entièrement nu, la queue bandée a fond, il avait été excité par nos bruits. Son grand frère fut surpris de sa présence et lui dit :

— Ben qu'est ce tu fous là frérot ?

— J'ai bien envie de l'enculer, j'ai tellement kiffé quand il m'a sucé t'alleur...

— Mais t'es vraiment qu'une p'tite salope Jared, t'as sucé mon p'tit reuf et tu m'as rien dit, il a même pas 18 ans ! T'abuses ! Me balances mon cousin.

Bah moi non plus j'ai pas 18 ans, mais bon, j'ai pas osé la ramener par peur de me reprendre une grosse mandale...

Avec la bénédiction du frangin, mon p'tit cousin m'encula... Sa queue rentra toute seule dans mon cul tant il avait été défoncé par le mandrin de mon maître. Ce dernier se plaça d'ailleurs debout devant moi, j'étais allongé par terre, une queue qui s'agitait dans mon cul, et me donna ses ieps à bouffer agrémentés de quelques mollards qu'il crachait bien au fond de ma gorge. Il n'a pas mis longtemps à rechopper la gaule et je pus goutter encore à ses vingt centimètres de pur bonheur... Le petit accéléra, je compris qu'il allait juter, le grand frère lui dit de venir juter sur sa teub. Il s'exécuta. Il a donc juté sur la queue de son frère que j'avais en bonne partie dans la bouche pour mon plus grand plaisir. Mon maître ne mit pas longtemps à venir dans un dernier râle de plaisir. Il largua une bonne dose de jute dans ma gueule. J'avalais tout of course !

Le petit frère parti se coucher. Il était déjà 3h du matin, et moi j'allais en faire de même lorsque mon cousin me dit :

— Attends ! Viens dormir dans mon lit ma p'tite salope, ça me ferait plaisir que tu m'appartiennes encore pour la nuit ! Et tu dois partir a quelle heure demain ?

— 9h lui répondis-je

— Tu resteras jusqu'à 11h, on va encore s'amuser un peu avec toi demain matin !

Je n'allais quand même pas dire non ! Ça ne se refuse pas des occases comme celle-ci, de plus, le lendemain matin on allait être seuls, les parents étant au boulot...

On se mit donc au lit, mon maître me fouttant alors sa queue molle dans le cul et me disant que je devais la garder toute la nuit dans mon fondement, sinon, j'allais être réveillé à coups de ceinture... Bien que l'idée m'excitait, je m'exécutai et essayai de garder ce mandrin toute la nuit en moi... L'idée n'était pas si mauvaise finalement !

Je fus réveillé par une sensation bizarre dans mon corps... Je sentais la respiration de mon couz', il était réveillé, je compris quelques secondes plus tard, sentant toujours sa queue dans mon cul qu'il était en train de me pisser dedans... La sensation était vraiment très forte... Quand on vous jute dans le cul, vous sentez les bonnes rasades de foutre déversées dans vos intestins, avec la pisse, c'est la même sensation multipliée par 100 ! Je vous jure, à essayer, obligé une fois dans votre vie ! Et puis j'entendis :

— Si tu en perds une seule goutte, c'est ma merde que je te mettrai dans la bouche !

Oui, j'aimais ce plan, mais de là à avaler la merde, je ne sais pas si j'en aurait été capable. Alors je fis bien attention. Sa queue était toujours planté dans mon boule, ça servait de bouchon. Rien ne pouvait sortir. Je me rendormis complètement esclave et in love de mon cousin.

9h. Mon cousin avait foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu'il n'avait pas envie de rater la matinée qu'il m'avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me plaçais sur le ventre par peur que la pisse de la nuit ne coula sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention à moi ! Il m'a juste dit qu'il avait faim, et qu'il m'attendait sur la terrasse pour le p'tit dej'. Je plaçais mes mains sous mon cul et fit un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d'un autre mec... C'est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait bander comme un âne !

Bien vidé, je me rendis sur la terrasse. Mon cousin était en train de bouffer, il avait enfilé ses TN, on avait les mêmes sauf que les siennes avaient au moins 2 ans de plus. Bien pourraves. Je m'assis face à lui, il portait juste un caleçon plutôt large qui lui aussi avait du vécu !

— Ben t'attends quoi pour te mettre à l'œuvre ma salope ?

— Là, sur la terrasse ?

— Ouais, tu verras c'est kiffant en extérieur. Allé, passes sous la table !

J'avais rien à perdre, de toute façon, je ne connais pas les voisins ici ! Alors je suis passé sous la table, j'étais à 4 pattes dans les graviers avec seulement un calbut blanc et mes pompes. Je m'approchai de sa teub qui était déjà bien bandée. L'odeur était forte. Mélange de pisse, merde et jute. Un cocktail délicieux ! Je commençai par bien respirer l'odeur puis je me mis a le sucer bien fort. Je voyais même pas sa gueule mais je suppose qu'il kiffait ce que je lui faisait ! Je l'ai entendu écrire un texto. 5 minutes après le frérot apparut juste derrière avec ses skets et un short de bain. Il s'assit à ma place.

Il commença à me tripoter le cul, me foutre des doigts. Tout ça sans ménagement. Mon cul était encore bien open. Les 2 frères parlaient pendant ce temps la. Je n'entendais pas tout ce qu'ils disaient, mais j'entendis vaguement le terme "face-sitting", je ne connaissais pas mais rien que l'idée me faisait tripper ! Après quelques minutes à servir de pute à mon maitre, les 2 me dirent de rentrer, et de m'allonger sur le dos sur la table du salon. Je le fis sans rechigner ! Ils arrivèrent quelques minutes après, le temps de mettre une stratégie au point pensais-je.

Le petit se plaça au niveau de mon cul et m'enfila directement son chibre... Pendant ce temps là, le face-sitting allait s'accomplir. Mon maitre s'agenouilla alors au dessus de ma tête, j'avais son trou du cul au niveau de ma bouche et la queue me retombait sur le dessus du visage. Il commença alors à se lâcher... Voulant limite m'étouffer, c'est le principe me confiront-ils plus tard. Il lâchait même à l'occase quelques pets que j'étais obligé d'avaler, ce n'était pas désagréable. Je ne voyais pas mon enculeur, pourtant il me labourait bien la chatte, ça durait depuis dix bonnes minutes. Puis ils échangèrent les places. J'eus donc à être étouffé par le plus jeune de mes cousins. Lui ne se gêna pas pour me larguer des caisses assez énormes dans la gueule... Après cette nouveauté, j'eus droit encore à une première !

Mon maître se plaça cul sur la table, et m'ordonna de venir m'empaler sur sa belle queue, je le fis... Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une deuxième queue s'introduire en moi... Putain mais mes cousins sont vraiment géniaux ! Je les vénère ! Les deux me défonçaient bien le cul à fond ! Truc de malade la double péné... Ça dura environ 20 minutes, mais mon cul s'en souvient encore ! Après, le petit s'est retiré, ils m'ont allongés sur le dos... Mon maître a continué à m'enculer et le petit à se faire sucer... Ils ont juté les deux en même temps, l'un dans mon cul, l'autre dans ma bouche béante. Mon cousin me fit ensuite sucer sa queue toute foutreuse qu'il sortait de mon fondement.

Après avoir jouis comme des fous et souillés mon corps, il fallait le nettoyer... Ils me soulevèrent à deux pour me mener à la salle de bain dans la baignoire où je me pris leurs pisses bien copieuses et fumantes sur tout mon corps, ma bouche restant grande ouverte pour recueillir le précieux breuvage... Ils me laissèrent ainsi dans la salle de bain, recouvert de pisse et gavé de leur sperme. Je me mis à me branler, jutant jusque dans ma bouche vu l'excitation de cette matinée. Puis je me nettoyai, et reparti. J'ai parfois revu mes cousins, mais cela ne fut jamais aussi intense que ces jours de juillet... Malheureusement !

 

par TheKevin25

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Lundi 13 décembre 1 13 /12 /Déc 22:30

EPISODE 1 

 

Le délinquant est solidement attaché au lit en métal avant de subir une bon travail des couilles (pompe à vide, étirement et canne). Il est prêt à tout avouer ...ses cris vont ravir certains. Pas à dire, y'a que D4B qui fait autant bander...

Arnaud S.

 

EPISODE 3

Par Sadic Arnaud - Publié dans : DiScipline4BoyS - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 12 décembre 7 12 /12 /Déc 18:19

Encore une chanson qui me donne la pêche...

 

La version GAY du Clip (une belle collection de mecs)

 

Version originale hétéro tendance bi (soyez observateur)

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : KoupS de Koeur
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