Partager l'article ! Rapport de punition (par Philippe): Vous aviez participé à choisir la punition de ce bâtard désobéissant. Comme promis, voilà ...
Vous aviez participé à choisir la punition de ce bâtard désobéissant.
Comme promis, voilà son rapport, même si je déplore l'absence de photos... N'hésitez par à utiliser les commentaires pour laisser votre avis !
Arnaud S.
Le son caractéristique d’un sms se fit entendre et je lus:
Rendez-vous au café habituel a 18.10. Ne tarde pas.
A l’heure dite, je me retrouvai au café ou maitre Yannis m’attendait. C’est un rituel que nous suivons chaque fois que nous nous rencontrons. Lui, un café et moi mon jus de fruit un cocktail de fruits de saison. Cela nous permet de parler et d’échanger les derniers développements politiques, les ragots, nos histories de famille etc…. La conversation ,a un certain moment, languit et je lui dis : Maitre , je ne suis pas très confortable avec cette situation , tu souhaites donner une autre direction a notre relation et je ne suis pas sur si je veux te suivre dans cette voie. Maitre Yannis me toisa du regard et me dit: tu n’as rien à craindre si tu as confiance en moi. Sur ce, il paye l’addition et nous nous dirigeons vers la station de taxi, chemin faisant, il s’arrête devant un kiosque et me dit sèchement : achète-moi une boite de préservatif… Je ne pus m’empêcher de rougir, je pris sa marque préférée et je payais, tout en me rendant la monnaie le vendeur dit : « alors les gars la soirée s’annonce chaude », Maître Yannis lui rétorqua …. « Je le baiserai tellement qu’il deviendra femme dans mes bras et il rit aux éclats. J’aurai souhaité que la terre s’entrouvre et m’engloutit. Yannis habite Vyronas, une maison de 4 pièces.
En entrant a la maison, je me changeai rapidement : survêtement, tee-shirt, (la maison est bien chauffée) et je me dirige vers la salle à manger quand soudain…..
Quand soudain, une main agrippe mon bras et le tord violement dans le dos, tout en m’immobilisant avec son genou sur le rebord de la table, il me menotte, la rapidité et la douleur m’arrachent un gémissement qu’il étouffa en me bâillonnant. J’entendis sa voix me dire : et maintenant…tu n’es plus Philippe , tu es quelqu’un qui respire, vit par mon bon vouloir , les seules paroles que je veux entendre ya ibn kalb ( fils de chien en arabe, une expression que je lui ait apprise et qu’il adore) sont : Oui maitre, Non maitre et RIEN D’autres, n’est-ce pas Arxidi (couillon en grec). Tout en étant immobilisé, il me passa autour de mon cou une laisse et tirant tout doucement me fit me retourner et c’est alors que je commis une faute que j’allais payer très chèrement par la suite. Je tombai à genoux et je l’implore avec une voix tremblotante d’avoir pitié de moi d’ajourner cette punition que j’estime injuste et de lui proposer en contre partie une séance d’uro qu’il adore et que je déteste…… il ne bougea pas d’un iota et je n’entendais que sa respiration calme et profonde. Il tira doucement sur la chaîne, je me relève et crache par 2 fois sur mon visage.
Tout en me tirant par la chaine, nous allons vers une petite chambre qui lui sert de débarras. Il y avait une table en bois (souvenir cuisant d’une humiliation publique), un crochet pendant au bout d’un fil. Avec une brusquerie que je ne lui connaissais pas, il m’attacha à un crochet attache au mur dans une position des plus inconfortables possible. La meilleure position étant celle d’être accroupi, ni debout ni a genoux. De plus, mes yeux furent bandes … mon Cœur battait plus vite et le sang résonnais dans mes tempes… cette situation ne tarda pas a me faire mal des élancements dans mes bras, une douleur dans la jointure de mes genoux malgré mes essais de tendre de temps en temps une jambe. Une voix me dit : « et alors mouni tis laspis (roulure en français), tu aimes ? NNNNNOOOOOOONNNNN, répondis-je. Une gifle retentissante s’abattit alors. « Tu aimes roulure » pour la seconde fois, OUI….Oui quoi couillon… oui maitre…. Je murmurais, plus fort ordure. OUI MAITRE .Ben dit-il ca va être une longue nuit et je te laisse réfléchir encore un peu sur tes couilloneries.
Je ne sais pas combien de temps passa, mais je fus délivré de mes menottes et de mon collier de chien, un sentiment de bien être m’envahit. Maitre enleva le bandeau de mes yeux, la lumière tamisée avait un effet calmant et il m’intima de venir au milieu de la chambre. Maitre yannis dépose à mes pieds 1 set de menottes en cuir. Ya ibn kalb aboya-t-il, et écoute moi bien petite frappe (!) : « Philippe agapi mou, cette punition que je t’inflige a mon corps défendant n’est que l’expression de mon amour, je te veux plus obéissant, moins grognon et plus ouvert ». Tu as quelque chose à ajouter : non maître fut ma réponse.
Très bien et maintenant, Ibn charmouta déshabille-toi. Quand je restai en slip et tee shirt, il vint et me menotta. Il souleva mes bras et et les attacha au crochet. Il tira sur la corde, et mes bras se soulevèrent mais ne se tendirent pas. Il m’ordonna d’écarter mes jambes et attacha mes pieds à une barre d’écartement. Il remit le bandeau sur mes yeux .Je sentis son souffle sur ma nuque et sa langue mordillait le lobe droit de mon oreille et puis me dit d’une voix grave : « avant de commencer, je veux d’abord m’amuser avec toi ».
Jambes écartées et bras à demi suspendus, je fus inspecter rigoureusement, sa main glissant le long de mon dos et remontant le long de mon slip s’attardant et pressurant légèrement ma queue, caressant mon estomac, positionné derrière moi, ses mains se glissèrent sous le tee shirt et remontèrent vers ma poitrine…..et pincèrent mes 2 seins durement. « AAARRRRRRRRRRGGHHHHHHHHH », fut le gémissement que je poussais tout en essayant de me soustraire mais en vain et il murmura : « un gémissement encore et je te les tords davantage arhidi et me les tordis encore une fois, l’air vint à manquer dans mes poumons mais j’exhalais longuement et une larme furtive pointa au coin de mon œil droit. Il continua de jouer avec mon sein gauche alors que sa main libre caresser longuement mes fesses. Délaissant mes fesses, sa main s’introduit dans mon slip et caressa mon sexe qui s’enhardit sous ses caresses, malaka, me dit-il tu aimes ca…Maitre yannis se désengagea et se mis face à moi je sentais son haleine mentholée, et ses doigts doucement descendirent le long de ma poitrine et jusqu’au haut des cuisses et remontèrent en chemin inverse pour tordre de manière plus vicieuse mes 2 seins à travers le tissu du teeshirt. « AAAAIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEE,AAAIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEE » je ne me lassais de gémir à voix haute ( !) Mais voila plus je gémissais, plus la torsion se faisait forte, j’entendais sa voix grave me dire plus tu hurles plus je vais te faire mal, respire profondément et exhale/ inhale / exhale ce que je fis, et la torsion se fit plus supportable et il relâcha la torsion doucement. La sueur suintait et une auréole se dessinait déjà sous mes aisselles. Maître yannis me déchira et enleva mon tee shirt avec abaissa d’un geste leste et vif mon slip. J’étais nu. J’étais à sa merci. Ni dieu ni ses saints ne pouvaient m’aider. J’étais seul. « Alors… c’est bien hein, tu apprécies bâtard n’est-ce pas » …. « Oui maitre, oui maitre… furent mes paroles, alors son visage s’approcha du mien et déposa un baiser furtif. Il tournait autour de moi, tout en me tripotant sa main se posa sur mon pubis et tira légèrement sur les poils murmurant à mes oreilles…. « Je m’en occuperai de ca une autre fois », il massa mon sexe qui réagit favorablement à ses caresses et se dressa fièrement. Soudain une légère pression de son bras me força à me courber et son index remonta la raie de mes fesses tout en s’attardant sur mon trou en exerçant une certaine pression mais sans l’introduire, il fit l’aller –retour plusieurs fois puis il apporta ses doigts devant mon nez … « sent dit-il sent arhidi l’odeur de ton humiliation, hélas j’eus la malencontreuse idée de détourner mon visage…..maitre Yannis n’apprécia pas, il dégagea ma main droite. J’entendis, alors, le zip de son jean glissait et le froissement d’une étoffe (n’oubliez pas que j’ai les yeux bandes), il saisit ma main et replia mes doigts ne laissant que l’index et le majeur et de manière « énergique » me fit faire l’aller-retour sur sa raie. J’essayais de me dégager mais sa poigne était forte. Apres ce mouvement d’ascenseur, il porta mes doigts a mon nez et dit « sent, sent, salope l’odeur de ma virilité sent … je m’exécutai… son odeur musque eut un effet imprévisible, ma queue se redressa et m’ordonna par la suite de sucer mes doigts et les siens. Quand il estima que je les avais bien nettoyés, il me raccrocha. Je le sentais tourner autour de moi ….d’un geste brusque il me courba, et soudain son doigt fourrageait mon trou, alternant des mouvements brusques et doux, et l’introduction d’un ou de plusieurs doigt. J’avais mal, j’étais inconfortable j’ahanais mais lui imperturbable continuait. La violence faite a mon cul s’arrêta soudainement et se penchant vers moi me dit d’un ton sarcastique « avec les compliments d’Iphigénie » connard, bâtard de mes couilles. A ce moment, il me relâcha, me détacha les mains et les menotta derrière mon dos ôta le bandeau et d’un geste brusque me força à m’agenouiller. Et maintenant dit-il, les choses sérieuses vont commencer.
Plusieurs minutes passèrent et il m’ordonna de me relever et il tenait dans sa main un bol ou je me pouvais voir des feuilles pliées en 4. Tes amis du blog m’ont donne quelques idées mais voila je suis grand seigneur (mon cul oui, dis-je en moi-même), tu choisiras toi-même me dit-il, sur chaque feuille il y a le nombre de coups que tu recevras et l’instrument que j’userai. Ma plongea dans le bol (après qu’il eut déliée) et je tirai un papier, et je lus : martinet 20-15-5, tu as eu de la chance dit-il…..donc tu recevras 20 sur le dos 15 sur la poitrine et pour le reste tu l’apprendras à temps. Re-bar d’écartement sur les pieds, re-menottes, tirage de la corde, bras au dessous de ma tête et bandeau aux yeux. Le premier coup m’atteignit sur le dos, le second sur le ventre , je ne ressentis qu’une petite morsure, alternativement les coups commencèrent a pleuvoir sur le dos, le ventre et la poitrine , chaque coup je sentais davantage la morsure soit comme une brûlure soit comme si on m’égratignais c’était désagréable, je ne pouvais esquiver aucun coup , au bout du 8eme /9eme coup, le rythme et la force des coups se sont accélérés, je commençais a avoir sérieusement mal et mes gémissements devenaient plus sonores, quand un coup plus fort que les autres frappa mon sein droit et je poussais un hurlement qui se répéta lorsque par retour du martinet , le coup se porta au même endroit. J’ai les seins très sensibles et je ne peux traduire mes sensations… une difficulté de respirer, une douleur lancinante, la sensation que tous les nerfs de la région lançaient une révolution… je ne saurais que dire et je ne sentis pas les derniers coups, trop absorbe par la douleur . Voici les 20 coups sur ton dos et sur ta poitrine/ventre. Il reste encore 5 sur le dos et 5 « surprises » mais voila tes cris stridents de tout a l’heure m’ont gâche mon plaisir et j’augmente de 5 les coups sur le dos. Pour les 15 coups suivants, tu compteras et a chaque coup tu diras pardon maître sitôt dit sitôt fait, 10 coups s’abattirent sur mes fesses et 10 pardon maître se firent attendre au milieu de AAIIIE , OUILLLLE, AIIIIE, OOOUUCCHH, ARRETE NON DE D…., des gémissements de plus en plus fort car les coups augmentaient de puissance. On aurait pu faire frire des œufs sur mon cul, drôle comme sensation chaleur et douleur et une douleur qui s’étend. Reprenant mon souffle et lui le sien, je ne cessais pas ni les gémissements ni les couinements et je continuai à me débattre (je ne sais pourquoi par ailleurs). Mon dos me faisait mal, mes bras aussi, je me dis encore 5 coups et ce cauchemar va finir……. J’ai dit finir…… 5 coups encore oui…et basta. Je sentais la présence de Yannis et je me demandais pourquoi il me faisait attendre de la sorte…Aurait-il lu mes pensées, qu’il me dit « et maintenant pour les 5 dernières » (Philippe courage c’est bientôt fini). Je ne compris pas le 1er coup qui atteignit mon bas-ventre, le reste de coups se perdit dans des cris étouffes par la douleur, une respiration arrêtée (comme celle des poissons hors de l’eau), et une douleur qui irradie du bas ventre a ma poitrine en passant même par mon cul et des larmes jaillissantes sous le bandeau, ma tête bourdonnante mes oreilles en feu. Sa surprise la voilà …… Il relâcha la corde, mes bras se détendirent, il vint derrière moi, il embrassa mon cou et ses mains massèrent doucement et tendrement ma queue et mes couilles. Mon rythme cardiaque et ma respiration retrouvèrent peu à peu un rythme normal et détacha complètement mes mains et pieds et me prit pris dans ses bras. J’étais esquinte.
Je m’assis alors par terre, alors qu’il s’asseyait sur chaise. Je massais mes bras, mes jambes, mes mains et mes pieds. La douleur que j’éprouvais me rappelait les courbatures que je ressentais jeune après les premiers cours de gymnastique à l’école. Il m’a tendu une serviette pour essuyer mon visage. Je lui dis alors : « Je peux aller me rhabiller »….. « Je n’ai pas encore fini avec toi » fut sa réponse.
Un certain laps de temps passa, et il parla : « en temps normal, la punition aurait du s’achever ici et se terminer avec mon orgasme dans ta bouche ; mais voilà, ta petite scène de tout a l’heure (être tombe a ses genoux etc.…), m’a fortement déplu, je ne veux pas des femmelettes ni des lâches…tu subiras un petit rappel à l’ordre.
Lève-toi et il me présenta la chaise, je me courbais alors. Sur le dossier de la chaise, une serviette pour matelasser la surface dure et avec des bas en nylon, il m’attacha les mains et les pieds. Mes fesses étaient bien à découvert. Quel est le mois de ta naissance, bâtard … Novembre …..Le 11eme mois de l’année… Donc tu recevras 11 coups de ceinturon, et après chaque coup tu diras « merci maître je suis un homme ». 11 coups s’abattirent alors de manière régulière accompagnes chaque fois d’un merci maître je suis un homme. Je n’émis aucun gémissement durant cette punition. Est-tu un homme maintenant me dit-il et sans avoir le temps de me laisser répondre, il poursuivit…. Je ne crois pas …et je le saurais dans quelques instants…..J’entendis alors le froissement d’une étoffe et je compris ce qui allait m’arriver ….. Sa queue se pointa a mon trou et essaya de me pénétrer, mais j’étais tellement crispe que chaque tentative se soldait par un échec et les tentatives désespérées de ma part de m’échapper étaient vouées a l’échec.
Mon Dieu … relâche-toi et d’un geste me tordit les couilles, la douleur et le cri qui s’ensuivit lui permit de me pénétrer/enculer. La pénétration se fit par étapes successives et lorsque son sexe disparut dans mon cul, j’étais en nage et je voyais les étoiles scintillaient…..Maître Yannis, avec douceur, poursuivit un mouvement de va-et-vient …. Son sexe labourant mon cul comme une charrue qui laboure les terres incultes de Mykonos….Un mouvement plus brusque les autres et leurs arrêts me firent comprendre que Yannis avait déverse son foutre. Il défit mes liens, je me redressai et je lui dis « et maintenant comment veux-tu que je jouisse…. » « …….Pas d’orgasme pour un salarabe ….. En souriant.
J’arrête ici le récit, la suite est une affaire entre lui et moi. Une dispute d’une rare violence verbale s’est ensuit et des paroles extrêmement offensives ont été échangées de part et d’autre. Je ne suivrai pas Yannis dans ce nouveau chemin, il me restera les souvenirs et les récits. Le ceinturon n’était pas prévu….. à sa place une corde ( ?) de téléphone pliée en 2 aurait du être utilisée…. J’ai du employé à ce moment-la le mot de sécurité et négocier la suite. Pas de bareback, les rapports ont été protégés tout au long. Quant à moi, rassurez-vous je n’ai que des blessures morales à panser et je profiterai de ces fêtes pour faire le point.
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