Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.

Vous avez été très nombreux à laisser des commentaires pour le 1er épisode. Ca a bien motivé Hector, qui nous livre la suite.

 

Arnaud S.

Image du Bunker : http://www.dday-overlord.com/forum/restauration-bunker-r622-t2857.html

bunker2

 

Après plusieurs dizaines de minutes, Loïc revient avec une boite métallique il avait l’air plutôt content de lui. Il déposa la boite à mes pieds, et entreprit de me ré-attacher. Il commença à immobiliser mes pieds sur le sol, attacha la corde descendant de la poulie mes poignets joint par mes bracelets, me fit de nouveau tendre mes bras au dessus de ma tête et tourna lentement la manivelle afin d’étirer mes bras en l’air. J’écoutais le clic, clic, clic lancinant de la poulie et ne tarda a à ressentir une tension importante au niveau de mes bras ; je poussai un petit cri. Loïc arrêta. Je pensai qu’il avait eu pitié de moi mais le « ta gueule » qu’il me jeta tout en me filant une baffe, vint me contredire.

Clic, clic, clic : il tourna de nouveau cette maudite poulie et je commençai à être véritablement écartelé. Il me regarda puis satisfait du résultat alla chercher un tabouret pour poser la boite métallique qu’il avait apportée. Les anneaux fixés au sol et reliés à mes bracelets de chevilles maintenaient mes pieds par terre alors que la poulie m’avait fortement étiré les bras en l’air, je me sentais durement tendu et commença à gémir alors même que les réjouissances n’avaient pas commencé. « Si tu ne la fermes pas je continue à t’écarteler : la limite de sécurité est encore assez loin ».

En effet la pièce reliant la poulie à la corde était volontairement assez fragile : si une tension trop intense était imposée à la poulie, la pièce cassait. C’est un de leur pote médecin qui leur avait donné des indications sur la tension maximum qui pouvait être infligée à un être humain sans risque d’endommager les muscles et les articulations. En un an la pièce n’avait cassé qu’une fois et le pauvre Ludo devait encore s’en souvenir lui qui avait poussé à cette occasion un des plus beaux hurlements que nous ayons entendu durant nos jeux SM… Il s’en était tiré cependant sans aucun dommage.

 

Loïc me montra le contenu de sa boite : quelques pinces à linge en bois, un bout de corde et nos deux pinces les plus « hard ». Ce sont deux pinces ressemblant à celles utilisées pour les câbles de batteries. Elles étaient grosses, avec un ressort puissant et le bout était composé de dents métalliques. Ces dents n’étaient pas très pointues afin de ne pas endommager la peau. Il ne fallait pas cependant trop jouer avec ces pinces une fois placées sur les tétons de la victime car il y avait dans ce cas un vrai risque de blessure le métal mordant profondément dans la chair. « Je vais t’expliquer le jeu, je suis sûr que cela va te plaire. Je vais placer une de ces pinces sur un de tes tétons pendant 20 mn environ. Tu les connais et tu te doutes qu’après cela ton petit sein sera douloureux et deviendra très sensible. Une fois enlevée la grosse pince je m’amuserai avec les pinces à linge… ». C’était dans la droite ligne de l’obsession des nos maitres sadiques : comment nous en faire baver le plus possible tout en évitant de nous blesser. Rendre très sensible une partie du corps pour la torturer ensuite était une de leur technique favorite.

« Nous allons faire un téton à la fois, cela permettra de nous marrer plus longtemps ». Loïc approcha une pince de mon téton droit qu’il étira pour qu’un maximum de peau soit emprisonné dans la mâchoire de la pince, il relâcha au fur et à mesure la pression sur le mécanisme. Les dents serraient déjà fortement mon malheureux sein et puis il lâcha d’un coup la pince qui du coup exerça sa pression maximale. « AAAAHHHHH, putain » fus tout ce que je trouvai à dire lorsque mon téton se retrouva mordu par la cruelle mâchoire métallique. Instantanément je me mis à respirer plus fort, mon rythme cardiaque s’accéléra et je mis à bander de nouveau. Ce fut le début d’une lente agonie. « Trois minutes » dit enthousiaste Loïc qui s’était assis sur une chaise jetant alternativement un œil sur son Ipad et sur sa victime. Il touchait régulièrement sa bite emprisonnée dans son short en latex et la grosse bosse qu’elle formait indiquait clairement qu’il appréciait la situation.

Pour ma part mon téton était déjà très douloureux et j’avais du mal à croire qu’il me restait encore 17 minutes à supporter ces mâchoires de métal.

Au bout de 10 mn mes yeux commencèrent à être humides, mais ma bite restait bien dure.

« Plus que 5 mn, profites de l’instant présent » philosopha Loïc tout en faisant glisser une page sur l’Ipad. Je gémissais depuis une bonne minute et commençai à étouffer mon premier sanglot. Deux minutes plus tard je poussai de longues plaintes et les larmes commençaient à couler.

« Encore une minute » dit Loïc en se levant. Je poussai de petits cris depuis quelques secondes et mes joues étaient maintenant bien humides.

Il décida de desserrer de quelques crans la corde qui me maintenait les bras en l’air, car l’écartèlement commençait à devenir très contraignant et il voulait me soulager avant la torture qui allait suivre.

« C’est fini ». Il s’approcha de moi et posa sa main sur la pince. Il me sourit et jeta ses yeux ensorceleurs dans les miens. Je pouvais ressentir son excitation à la pensée de la douleur qui allait suivre mélangée à l’affection qu’il avait pour moi. « Tu vas adorer » Il m’embrassa avec passion, nos langues s’emmêlèrent pendant quelques secondes et il ôta la pince d’un seul coup. « Putaaaaaain de merde, ARGGHHHH »Je poussai un cri strident et me mis à me débattre en vain car j’étais encore fortement immobilisé. Il jeta un rapide coup d’œil pour s’assurer que le téton n’était pas endommagé, puis rassuré se mit à pincer celui-ci, à le malaxer à frapper ma poitrine droite. Je poussai un cri déchirant et mes yeux s’embuèrent de plus belle. A travers mes larmes je vis ce sadique prendre les pinces à linge et me les fixer une à une autour du téton droit dont deux sur l’emplacement exact laissé par la pince. Il ne posa en tout que six pinces collées les unes aux autres ; mon sein ayant été copieusement attendri la douleur était très forte. Ma respiration et mon cœur recommencèrent à s’emballer, puis je me mis à crier de nouveau lorsque Loïc commença à tirer, tourner les pinces dans tous les sens utilisant pour cela ses deux mains. Je suai à grosses gouttes et émis de nombreux gémissements. Il s’arrêta au bout de deux minutes seulement et enleva une à une les pinces rapidement. J’eu à peine le temps de crier sous le brusque afflux de sang lorsqu’il enlevait l’une des pinces, qu’il en enleva une autre. Les six pinces ôtées il recommença à malaxer et étirer mon téton ce qui me fit de nouveau gueuler puis il me donna quelques tapes sur ma poitrine droite. Je continuai à haleter et à suer et en même temps j’étais un peu déçu en me disant que c’était déjà fini : je bandai comme un cerf. Loïc lut mon interrogation dans mon regard et me lança un sourire narquois : « t’inquiètes pas ce n’est que le début ! ». Il replaça les 6 pinces à linge sur mon sein droit et recommença à tourner, tirer ces maudits bout de bois pendant quelques minutes puis les enleva de nouveau très rapidement. Il enleva et remis plusieurs fois les pinces à linge toute en jouant avec celles-ci quand elles étaient en place.

Au bout de la quatrième fois de ce manège je pleurais, reniflais et criais. Mon sein droit n’était plus que douleur, et j’avais l’impression qu’il était complètement déchiqueté ce qui n’était pas le cas je le savais. Loïc revint avec ses pinces à linge en ajoutant une petite nouveauté ; en plaçant les pinces il ajouta une petite cordelette entre la peau et la partie de la pince à linge qui pinçait le téton, la corde devenait prisonnière des pinces. Ils utilisaient assez souvent ce procédé que nous avions vu sur de nombreux sites SM. En tirant sur la corde cela permettait de retirer toutes les pinces qui reliées la corde d’un seul coup ce qui ne manquait pas d’infliger une douleur cuisante à la victime de ce traitement…

Et au vu de l’extrême sensibilité de mon sein droit j’imaginais que j’allais vraiment en baver lorsqu’il tirerait sur la cordelette.

Loïc recommença à malaxer, tirer des deux mains les pinces à linge prenant un malin plaisir à tourner dans un sens opposé des pinces placées l’une à coté de l’autre. Le traitement dura encore plus longtemps que les quatre premiers. Je tremblai, gémis et chiala. Il s’arrêta enfin me fixa avec un regard gourmant et pris les deux bouts de la cordelette en main. Il s’écoula quelques secondes pendant lesquelles je tentai de calmer ma respiration, et je me préparai psychologiquement à ce qui allait suivre. « Prêt » ? Je hochai de la tête respira un grand coup et il tira brusquement sur la petite corde ; toutes les pinces se détachèrent en même temps de mon sein. « PUtttttttaaaaaaaain ARGHHHHHHH meeerdeee» Je cru que mon téton était parti avec les pinces, je criai pendant plusieurs dizaines de secondes, je ne voyais plus rien aveuglé par mes larmes. Je tremblai encore pendant que Loïc m’essuya gentiment mes larmes, me pris dans ses bras et me souffla qu’il était fier de moi. Il maintint cette étreinte pendant une minute jusqu’à ce que cessent mes tremblements, puis la relâcha.

« Maintenant le gauche. Je pense cette fois-ci te laisser la grosse pince 25 minutes ». Je déglutis à cette annonce et émis un faible « pitié ». « Quoi. Que viens-tu de dire » Loïc m’adressa un regard furieux. « Utilise le safeword si tu veux et pars d’ici mais n’implore pas la pitié ».

 

Depuis un an nous avions signé dans notre contrat de bâtard une clause « no-limit » pour les tortures. Il y avait cependant quelques limites en « dur » asses sensées : pas de sang, pas d’atteinte à l’intégrité physique, des souffrances restant dans les limites du supportable et du jeu (nous n’étions pas sous l’inquisition…) c'est-à-dire notamment pas d’évanouissement.

Cette clause nous avais beaucoup excité et nous l’avions accepté parce que nous connaissions nos maîtres depuis plus d’un an et que nous avions une totale confiance en eux.

Ils nous démontrèrent par la suite que le corps humain est capable d’endurer des souffrances assez considérables sans subir de dommages !

Par ailleurs nous avions un safeword (red ou trois uhh à la suite en cas de bâillon) reprenant la traduction intégrale du terme anglais à savoir à n’utiliser qu’en cas de problème de sécurité. Je l’avais utilisé à plusieurs reprises, notamment lorsque je portai un bâillon, du fait de mes difficultés à parfois respirer par le nez uniquement et alors que je commençai à m’étouffer.

Une fois du fait que j’étais malade j’ai eu du mal à supporter une session. On m’avait détaché, puis dorloté les quelques jours que durèrent ma grippe puis puni le weekend d’après pour ne pas avoir dit avant de commencer la session que j’étais malade…Nos maîtres exigeaient que nous soyons en forme lors de nos tortures afin que nous puissions pleinement en profiter et éviter tout risque de malaise.

J’avais par deux fois utilisé le safeword sous le coup d’une session de torture intense. Mon tortionnaire m’avait laissé le choix inscrit dans notre contrat : si je répétais encore deux fois le safeword j’étais libéré mais je quittais le bunker et ne verrais plus jamais mes maîtres, ou alors il continuait la session en cours sans se préoccuper de ma demande de pitié. J’avais dans les deux cas opté pour la deuxième solution, ne voulant en aucun cas sortir du bunker et avait particulièrement bien morflé, ma demande de pitié avortée ayant renforcée le sadisme de mon tortionnaire…

« Nous ne vous retiendrons jamais de force évidemment ; par contre si vous partez c’est définitivement » nous avait dit Loïc. Un an après leurs quatre bâtards étaient encore là.

 

« Excuse-moi » dis-je piteusement. « Je tiendrai 26 minutes ». Il m’embrassa vigoureusement et me dit « Partons pour 25 et nous verrons. Pas de pitié ? »

« Pas de pitié » répondis-je dans un murmure.

« J’ai pas entendu »

« Pas de pitié » répondis-je d’une voix plus ferme.

Il m’embrassa de nouveau. « C’est parfait : je ne comptai pas en avoir. Par ailleurs tu apprendras un jour que si tu veux inspirer la pitié il faut éviter de bander quand on te torture ! Toi plus tu morfles et plus tu bandes. Je t’assure que cela n’incite pas trop à la compassion… » dit-il avec un grand sourire en regardant ma partie déraisonnable qui était dure comme jamais et en la caressant doucement. « Défense de juter pour le moment » ajouta-t-il alors que sa caresse provoquait d’exquis gémissement de ma part.

 

Clic, clic, clic. Il me retendit de nouveau pour la phase « d’attente » et plaça la terrible pince noire sur mon téton gauche égrenant les minutes comme la première fois. La douleur et la fatigue accumulées lors de ma flagellation et la torture de mon sein droit m’avaient rendu plus vulnérable et les pleurs, les gémissements intervinrent plus tôt. A la 20ème minute mes joues étaient complètement humides et je gémissais de manière ininterrompue. Les 5 dernières minutes furent un calcaire et quand Loïc, après avoir légèrement détendu mon écartèlement enleva la pince puis après tortura avec ses mains mon téton à vif je poussai l’un des plus beaux hurlements de ma vie. AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Je me débattais dans tous les sens et haletais comme si je venais de courir plusieurs 100 mètres de suite. J’étais trempé de sueur et de larmes. Il attendit avant de placer les pinces à linge et regarda ma bite durcir de nouveau. Puis le manège des pinces commença. A la troisième « installation » j’étais dans un état second, la douleur était tellement intense que je commençai à me couper de l’environnement extérieur. Loïc, en maître prévenant, s’en aperçu. « Ok on fait une petite pause et on recommence ». Je le vis partir dans un brouillard de larmes et il revint avec un grand verre d’eau fraiche. « Bois ». Je bus avec avidité, il me redonna un deuxième verre, m’embrassa sur les deux joues et dis « on y retourne ».

La pause m’avait permis de reprendre un peu mes esprits mais cela ne m’empêcha pas de déguster lors des quatrième et cinquième séances de pinces. Lors de la sixième je poussai de nouveaux de nombreux cris, et lorsque Loïc tira sur la corde pour en finir je réussi à pousser un hurlement encore plus fort que pour le premier téton. Ce petit salaud en profita pour me torturer avec ses mains les deux tétons en même temps : j’étais à l’agonie, je criai, pleurai de nouveau comme une gamine !

Puis Il me mordit assez fort mes deux seins me faisant pousser de nouveaux cris.

Après ce dur traitement il se mit à les lécher doucement, à les caresser, à les embrasser. J’ai cru que ma bite allait exploser sous l’extase de cette douceur venant après la tempête, mais Loïc n’était pas décidé à me laisser jouir pour le moment.

« Reposes-toi bien car j’en ai pas fini avec toi » dit Loïc tout en relâchant mes liens afin que je puisse attendre dans une situation plus confortable.

« uuu endra rter es eurs a ombe ?» articulai-je très doucement. « J’ai rien compris p’tit bâtard ».« Tu viendras porter des fleurs sur ma tombe ?» dis-je plus nettement avec un pâle sourire.

Loïc me gifla (plutôt gentiment) pour me punir de mon insolence. « Toi et moi savons tous les deux qu’au fond tu crèves d’envie de morfler de nouveau, pas vrai ? » Il fixa de nouveau ses beaux yeux bleus dans les miens. Ce petit sadique savait que je ne pouvais rien lui refuser quand je me noyais dans ses yeux. « Fais de moi ce que tu veux » dis-je en chuchotant.

« J’en avais bien l’intention ». Et sur ces entrefaites il me laissa tout à ma douleur en attente de la suite. J’en bandais par avance malgré mon épuisement et la douleur qui irradiait de chaque parcelle de mon corps meurtri.

 

[suite]

Mar 5 jun 2012 6 commentaires

Une très bonne suite du plan S.M. du soumis. Toujours aussi bien racontée dans les détails des sévices et des sensations ressenties.

Vivement la suite.

MAITRE M - le 05/06/2012 à 20h07

C'est fait !

Sadic Arnaud

AH OUI les seins me titillent BIEN BIEN écrit super ce récit HA la vie de batard n'est pas que du rêve , et nos masters savent y faire LOL

Vivement la suite

SLRN304-791-946

SLRN304-791-946 - le 06/06/2012 à 17h58

Publiée!

Sadic Arnaud

Waoooh.

Pour avoir déjà goutté des pinces sur les têtons, j'imagine bien la douleur intenable, mais qu'il faut subir, puisque le soumis ne peut s'échapper.

Ce genre d'atrocité doit laisser des douleurs quelques jours, mais c'est bien le but recherché.

Il vaut mieux oublier le safeword, pour être sûr de bien morfler

GM - le 08/06/2012 à 19h20

Oui le safeword est insispensable, je le rappelle régulièrement

Sadic Arnaud

Merci pour tous ces commentaires sympas, cela fait plaisir.

Merci également à Arnaud d'avoir publié cette histoire et un grand merci pour la qualité de son site.

Je pense que vous aurez bientôt la troisième partie de l'histoire.

 

Hector - le 10/06/2012 à 19h24

OUI !

Sadic Arnaud

hum joli récit merci hector j'adore 

ethan - le 12/06/2012 à 15h10

Hector j'adore !

Sadic Arnaud

Les tétons j'adore. Bon, je ne subirais certainement pas autant que dans le récit mais sentir ses tétons sensibles pendant plusieurs jours après une séance dure c'est vraiment le pied.

PatLope - le 30/06/2012 à 09h52

Ca j'ai connu lors des mes premières expériences comme soumis...

Sadic Arnaud