Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.

[EPISODE PRECEDENT]

 

L’après-midi s’est écoulé en me laissant comme seule compagnie le goût du jus de Guillaume dans la bouche. Je me suis posé énormément de questions, la première étant : comment je vais bien pouvoir faire pour ne pas avoir à sucer tout le groupe ? Car autant la plupart de ces mecs m’excitait (Oh Fabrice…), autant l’idée qu’ils m’utilisent comme simple vide-couilles me rebutait. Mais avais-je vraiment le choix ? Jean avait très bien préparé le terrain, me poussant progressivement dans mes derniers retranchements… Pouvais-je me libérer de sa pression maintenant ? J’en doutais…

Je m’étais décidé à résister à Jean le soir même. Belle résolution ! A peine avions-nous fini le repas (le fils de nos hôtes n’avait pas arrêté de me lancer des sourires que je trouvais pervers) que Jean m’a limite traîné jusqu’à la chambre, prétextant en allemand plus qu’approximatif une grosse fatigue. J’ai bien vu que le fils n’était pas dupe… Arrivé dans la chambre, j’ai essayé de protester :

- Jean, j’en ai marre de ces conneries. Je veux plus que tu me touches. Pareil pour les autres cons.

- Pardon ?

ejacfaciale3Là, il m’a regardé méchamment. Je me suis senti glacé. Je me suis dit : ce gars est complètement cinglé… Soudain, il m’a foutu une mandale sur le coin du crâne que je n’ai même pas vue venir. Je me suis retrouvé sur mon lit, sonné.

- T’es qu’une sous-merde de pédés. Les pédés, ça suce. Compris ?

J’ai hoché la tête, tétanisé. Il a alors défait sa ceinture, baissé son pantalon et son caleçon, libérant sa bitte entourée de poils bruns et drus. J’ai fermé les yeux. Puis j’ai senti une caresse humide sur ma joue. J’ai rouvert les yeux et vu qu’en plus, ce con était tellement excité qu’il mouillait un max. Il a bien frotté sa queue sur mes joues, mes lèvres, mon nez, puis il m’a attrapé la tête et me l’a enfoncée avec force. J’ai cru dégueulé direct. Puis il m’a limé la gueule. J’ai cru que j’allais en crever d’étouffement. Ca m’aurait pas dérangé plus que ça, à ce moment là.

Puis, très vite, il a joui, dans ma bouche. Soulagement pour moi. J’ai tout avalé : mieux valait ça qu’en avoir encore partout. Il m’a lâché et est parti dans son lit. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver les dents. En passant, je me suis tout de même branlé dans les toilettes. En sortant, j’ai croisé le fils de la famille. J’ai filé dans ma chambre, la tête baissée. La lumière était éteinte. Je me suis couché en caleçon et, aidé par la branlette, je me suis endormi illico.

 

Le réveil a été horrifiant. Il faisait encore nuit et j’avais du sable plein les yeux. Mes couvertures étaient au pied du lit. J’étais coincé contre le mur, un poids lourd et chaud collé dans mon dos. Instantanément, j’ai compris. La queue de Jean battait contre mes fesses. Seul le fin tissu de mon caleçon me servait encore de rempart. J’ai voulu me retourner, mais il m’a foutu une baigne sur la tête, avant de me glisser à l’oreille :

- Tu bouges pas et tu la fermes. Si tu cries, tout le monde va venir et comprendra que t’es un bon gros pédé.

Je me suis immobilisé. Que j’avais fantasmé sur une bonne grosse bite sur laquelle m’empaler. Maintenant que je le voyais venir, le fantasme devenait beaucoup moins excitant et la queue de Jean m’inquiétait. Je m’étais assez souvent branlé le cul, utilisant au départ des carottes piquées dans le frigo familial, puis des courgettes (trouvées au même endroit). J’avais même essayé un concombre, mais là, j’avais dû déclarer forfait…

Jean m’a baissé le caleçon sans ménagement, presque à le déchirer. Il m’a mis une main devant la bouche.

- Suce mes doigts, mouille-les bien, sinon, tu vas en chier.

Je me suis exécuté, terrifié. Ses doigts avaient encore le goût de son sperme. Il a alors descendu sa main vers mon cul et a commencé à m’enfoncer un doigt, sans aucune douceur. J’ai bêtement serré les fesses, le faisant ricaner. Heureusement qu’il avait les ongles rongés courts, car il n’y a pas été de main morte (!!), me pistonnant avec son doigt. Il est ressorti et m’a demandé de nouveau de sucer ses doigts. Son goût à lui était mélangé à celui de mon cul. J’ai eu un haut-le-cœur. Cette fois, il m’a enfoncé directement deux doigts. Je continuais à serrer les fesses et j’avais mal… Il tournait, entrait, sortait. Je me suis mis à pleurer.

Est-ce que les larmes m’ont détendu ? Toujours est-il que mon cul a commencé à s’ouvrir. La douleur s’est estompé. Retour de ses doigts dans ma bouche. Puis trois dans mon cul. Ce n’était plus qu’une sensation désagréable. Il a retiré ses doigts et je l’ai entendu cracher. Il m’a glissé à l’oreille :

- Tu vois, tu aurais sucé Adrien, j’aurais acheté du gel pour mieux t’enculer, ducon. Mais avec ce que m’a payé Guillaume pour ta pipe, j’ai pu acheter que des capotes…

Il a ponctué sa phrase d’un grand coup de bassin. Sa pine est entrée d’un coup, me déchirant le cul. Je n’ai même pas crié, inspirant un grand coup tant la douleur était intense. Il n’a pas perdu de temps et a entamé de puissants va-et-vient, m’enculant sur toute la longueur de sa pine. La douleur a reflué. Je ne sentais plus rien, juste la honte. Je continuais de pleurer. Mon ventre me semblait rempli par sa bite, mon cul était tout engourdi. Et je bandais dur. Le lit grinçait légèrement, et forcément, nos voisins de chambre devaient nous entendre. Ils devineraient très bien lequel de nous deux se faisaient enculer par l’autre.

Il est sorti d’un coup et j’eus l’impression qu’un courant d’air parcourait mes boyaux. Il s’est levé m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit. Je me suis laissé faire. Hop, il m’a renfoncé sa queue sans aucune délicatesse. Ma tête a cogné contre le mur. Le lit grinçait de plus belle. La douleur est revenue, la position lui permettait de me pénétrer davantage, d’accroître encore la portée de son viol. Il me limait avec brutalité, comme s’il cherchait à atteindre ma gorge en m’enculant. Ses poils me grattaient le cul quand il tapait. Il calma ses coups de butoir et commença à onduler le bassin ce qui était peut-être pire. Il me fouillait littéralement les entrailles. Le latex commençait à accrocher, je n’en pouvais plus.

Mais lui n’avait pas fini. Avec la pipe que je lui avais fait pas longtemps avant, il n’avait pas l’air rapide à jouir. Soudain, il a repris ses amples va-et-vient, mais avec une nouvelle brutalité véloce. deversecapoteHeureusement, ce nouvel assaut n’a pas duré trop longtemps, car dans un râle sourd, il s’est immobilisé en moi, probablement en jouissant. Effectivement, quelques secondes après, il s’est retiré. Je suis resté en position, les muscles ankylosés. Je l’ai entendu enlever la capote et de suite après, j’ai senti un liquide visqueux sur mon dos. Il avait vidé le contenu de la capote sur moi, laissant la protection de latex au pied de mon lit. Aucun répit. Sa semence a coulé et je l’ai senti glisser dans ma raie ouverte. Il m’a étalé le reste sur tout le dos. Puis il est retourné dans son lit.

Il m’a fallu du temps pour me redresser. Son sperme me collait dans le dos. Je me suis couché sur le ventre pour pas tout dégueulasser. Mon cul me chauffait. Je n’avais pas le courage d’aller à la salle de bain. Je n’étais plus puceau et je n’en étais même pas fier. Le sommeil fut long à venir.

 

Nouveau réveil terrible… Cette fois, le jour se levait. Jean était sur moi. Il n’a pas perdu de temps pour s’enfoncer en moi après avoir craché dans sa main. J’ai fait le mort, encaissant ses coups de butoir sans broncher. Ca passait tout seul. Mon cul me semblait engourdi. Grincements du lit, souffle court de Jean. Un long calvaire et il semblait prendre plaisir à prendre son temps. Tout à coup, il me murmura à l’oreille :

- Les mecs, ils vont être ravis… Comme ça, tu pourras en faire deux d’un coup. Ca va me faire un max de tunes…

Ulcéré à l’idée qu’il m’utilise comme une pute, j’ai voulu ruer. Non seulement il m’a plaqué brutalement sur le lit, mais en plus, ça l’a fait juter. Je me suis remis à chialer. Il s’est retiré avec une tape sur mes fesses. Je ne voulais pas me retourner, je ne voulais pas me retrouver face à lui. Il s’en foutait : cette fois, il a vidé la capote dans mes cheveux avant de la laisser tomber, gluante, sur mon dos. Puis il s’est habillé et s’est cassé.

Je me suis retrouvé avec une terrible envie d’aller aux chiottes. Mon ventre me faisait mal et j’avais l’impression que mon cul allait fuir. J’ai eu juste le temps d’enfiler un caleçon avant de m’engouffrer dans la salle de bain. Là, horreur : le fils de la famille semblait m’attendre. Si j’avais bien compris, il s’appelait Wilhelm… Il était un peu plus grand que Jean, blond avec des yeux bruns qui contrastaient. Nous sommes restés pétrifiés un instant. Lui était en caleçon et t-shirt. Son regard brillait d’un éclat malsain. Il s’est approché de moi et a fermé la porte. Puis il a baragouiné quelque chose en allemand que, forcément, je n’ai pas compris. Il a alors passé la main dans mes cheveux et en a retiré du jus. Il n’a dit qu’un mot : Jean. Là, j’avais compris. J’ai baissé la tête. Je sentais mes joues qui me chauffaient. Il m’a mis ses doigts gluants devant le nez. Me voyant sans réaction, il me les a collés contre mes lèvres. J’ai ouvert la bouche et j’ai léché. Une grosse bosse déformait son caleçon. Il m’a fait un signe clair de fuck tout en disant le mot : « nacht ». J’ai hoché la tête de droite à gauche. Il a souri d’un air entendu. En bas, sa mère a appelé pour le petit-déjeuner. Sa voix semblait excédée. Wilhelm a encore souri puis il est sorti.

J’ai fait ma petite affaire avant de me doucher rapidement. Habillage, puis petit-déjeuner sous le regard sévère de la mère. Jean avait déjà fini et il remontait dans la chambre. Au moment de partir, Wilhelm a pris Jean a parti et ils ont eu l’air d’avoir une grande conversation. Pourtant, le niveau de Jean en allemand était plus que déplorable. Mais quand la motivation est là, les langues ne sont plus une barrière… Je savais que j’allais en faire les frais.

Pour mon plus grand bonheur, la journée s’est avérée pourrie au niveau météo : cordes toute la journée. Du coup, le midi, déjeuner en groupe dans le hall d’un centre commercial. Avec la proximité des profs, Jean n’a pas réussi à me vendre à ses potes. J’en étais soulagé. Mais je pensais sans cesse à la connivence entre Wilhelm et Jean.

 

En rentrant dans notre famille, le soir, j’avais l’estomac retourné. Je savais très bien que les deux gars me préparaient quelque chose que je n’allais pas aimer. Le repas eut lieu dans une ambiance lourde. Je parlais encore moins que d’habitude. Puis l’heure du coucher arriva et je me mis à paniquer. J’ai prétexté vouloir prendre une douche, histoire de gagner du temps. Je ne m’attendais pas à ce que Wilhelm ouvre le verrou avec un tournevis pendant que j’étais sous l’eau. Je me suis mis à frissonner sous le jet brûlant en les voyant entrer tous les deux et refermer à clé derrière eux. Jean avait une boite de capotes et un flacon translucide dans les mains.

Wilhelm s’est approché et a coupé l’eau. Puis il a attrapé ma bite et a commencé à me branler. L’impression était étrange, c’était la première fois qu’un mec touchait ma queue. Je n’ai pas tenu longtemps et j’en ai foutu partout sur le sol tellement j’ai juté loin. Mon sentiment de honte et de dégoût s’est soudainement accru. Wilhelm m’a tiré hors du bac à douche et m’a poussé contre le lavabo. Je me laissais faire. Une vraie larve que je voyais dans le miroir face à moi. Jean se malaxait le paquet à travers son jean. Wilhelm a enlevé son t-shirt et a baissé son jean. Il m’a alors appuyé entre les épaules pour que je me baisse. Je ne voyais que son torse imberbe, aux pectoraux développés. Il a fait signe à Jean qui lui a tendu une capote déballée. Wilhelm l’a enfilé et a pris le flacon à Jean. Du gel. Il m’en a barbouillé l’entrée du cul avec générosité.

Au moins, Jean avait pris la peine de m’ouvrir assez progressivement le fion avec ses doigts. C’est fou ce qu’un cul bien ouvert peut se refermer vite ! J’en ai fait le dur apprentissage quand Wilhelm m’a planté sa pine d’un seul coup sec. Malgré le gel, j’en ai bavé. J’ai bien cru qu’il m’avait explosé le cul… J’ai même dû lâcher un petit cri… Il n’y a pas été de main morte. Un vrai bourrin. Quand il s’est retiré, j’ai cru qu’il avait joui sans bruit, mais en fait, Jean a déroulé une capote et a pris sa place. Wilhelm s’est mis à côté de moi et j’ai pu voir que la capote était vide. Il devait vouloir s’économiser en me matant me faire limer. En attendant, sa queue était beaucoup plus grosse que celle de Jean et je compris pourquoi j’avais eu mal… Elle était bien raide, émergeant d’une épaisse toison blonde qui montait jusqu’au nombril. Très large aussi.

Jean m’a lui-aussi tiré un petit moment, puis il s’est arrêté. Le connaissant, je savais qu’il n’avait pas joui non plus. Ils ont alterné longtemps, très longtemps… Mon cul brûlait. Ma queue tapait mollement contre le meuble sous le lavabo. Pour une fois, j’aurais sucé volontiers. C’est Wilhelm qui a fini le premier : il y allait gaiement quand je l’ai senti se raidir. Une dernière fois, il m’a durement enfoncé son ejacbucale6engin, me fouaillant les entrailles. Il s’est retiré et j’ai senti de l’humidité s’écouler de mon cul… J’ai cru qu’il m’avait vraiment déchiré. Jean a laissé entendre un « merde » et s’est mis à rire. J’ai touché avec ma main une substance visqueuses. C’était du sperme, une grande quantité. Mon cœur s’est arrêté de battre. J’ai vu alors l’allemand qui était blême lui aussi. Il se tenait la queue, la capote déchirée. En anglais approximatif, Jean lui a expliqué qu’il ne risquait vraiment pas grand chose. Wilhelm a alors retiré les bouts de latex et m’a tourné de telle sorte que mon cul soit accessible à Jean. Puis il m’a foutu sa bite en bouche pour que je nettoie tandis que l’autre m’enculait.

Le goût atroce combiné à la taille m’a fait m’étouffer dessus. Il s’en foutait. Quand à Jean, il prenait son pied et a vite déchargé. Il a retiré la capote. Jamais je n’en avais vu une aussi pleine. Il a poussé l’allemand et m’a donné sa queue à nettoyer. Et au fur et à mesure, il faisait couler le contenu de la capote sur mon visage. J’étais tapissé, ravalé par son foutre. Pendant ce temps, son complice se rhabillait. Jean m’a soudain craché à la gueule, avant de me relâcher.

Après cette séance, ils m’ont laissé seul dans la salle de bain, à chialer. J’avais mal au cul, mais surtout au moral. Je me suis longuement lavé avant de rejoindre mon lit, accompagné par les ronflements de Jean.

 

[SUITE ET FIN]

Ven 6 aoû 2010 Aucun commentaire