Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 10:23

Une petite histoire bien juteuse de Gaiden (email : rugbylover2005@yahoo.fr) dénichée sur le blog de Syl.

 

bolspermeLa rentrée avait été dure car je ne connaissais absolument personne : déménagement, nouveau lycée. D'un naturel timide, je trouvais difficile d'aborder mes camarades qui, eux, se connaissaient bien pour avoir eu une scolarité commune. Ajoutant à cela que j'étais attiré par les garçons, la vie n'était pas facile.

En milieu d'année, un voyage avait été organisé en Allemagne par les profs, et quand vint le moment fatidique du départ, je dus choisir avec qui je partagerai la chambre pendant les dix jours que devait durer le voyage. En fait, je traînais surtout avec un gars un peu cancre, Jean, footballeur un peu bouf qui n'était pas forcément très apprécié des autres. Il n'était pas spécialement beau : 1m80 peut-être, musclé sec, avec un visage dur pas trop engageant. Au moins, je ne fantasmais pas trop sur lui.

Nous n'étions pas très proches, ne nous voyant qu'au lycée, mais nous avions décidé de dormir dans la même famille d'accueil. Pour tous les deux, cela signifiait que nous évitions les gros boulets du lycée. J'aurais préféré un canon de beauté, mais bon. Il n'était pas horrible non plus, et j'espérais quand même avoir droit à quelques regards sur son intimité. Je n'avais pas vu beaucoup de mecs à poils jusque là : puceau, pas fan des sports collectifs, mes seuls instants de « bonheur » avaient été les douches du lycée après le sport.

En effet, en grande majorité, les mecs étaient pudiques et les douches un peu délabrées étaient plutôt là pour le décorum. Néanmoins, dès le début de l'année, un gars avait décidé de prendre une douche après chaque cours d'EPS. Il s'appelait Fabrice, 1m75, musclé, très poilu, belle gueule virile avec un bouc et un regard qui me faisait baver. J'essayais discrètement de mater un max ce beau gars, et il a alimenté un nombre incroyable de branlettes. Comme il suffisait d'un exemple pour amener les autres mecs aux douches, à la suite d'un cours de rugby sous la pluie, la moitié des gars du groupe (classes mélangées) s'étaient lancés à l'assaut des douches. Moi, j'avais fui sans même mater, craignant trop de me faire capter. Regrets. Cet élan de propreté n'eut lieu qu'une fois.

Au final, je ne connaissais donc Jean qu'habillé, et je m'imaginais à quoi il pouvait ressembler à poils. Je ne me faisais toutefois pas d'illusions. Aucune chance qu'il se désape devant moi. Le voyage eut lieu, assez long. Puis l'arrivée, et nous fûmes dispatchés dans les familles. La nôtre était sympa, un couple avec un fils de notre âge - que je trouvais d'ailleurs très mignon - et une fille plus âgée. Ils habitaient une grande baraque un peu excentrée et ils nous installèrent dans une chambre assez petite, à l'étage, avec deux lits séparés d'un mètre tout au plus. L'étage était réservé aux deux enfants et à nous, avec une grande salle de bain.

Après le repas du soir, fatigués pas le voyage, nous avons été directement nous coucher. Et là, j'eus ma première surprise : dès que la porte fut fermée, Jean s'est rapidement déshabillé. Complètement ! Moi, je fouillais dans mon sac de voyage et mon rythme cardiaque s'est subitement accéléré. Je l'observais du coin de l'oil, oubliant ce que je cherchais dans le sac. Jean était effectivement musclé sec. Il était aussi plutôt poilu, avec une couverture drue sur le torse qui descendait, passant le nombril, jusqu'à son sexe, assez long et pendant. Il fouillait aussi dans son sac. Queue et couilles ballottaient, à un mètre de moi. Je fus immédiatement bandé. Puis il trouva un caleçon et l'enfila avant de se glisser sous les couvertures.

Moi, je continuais à fouiller dans mon sac, essayant de penser à autre chose. Puis je me mis en caleçon et me coucha. Repensant à ce que je venais de voir, je me remis à bander, et dès que Jean sembla dormir, je me mis à me branler très doucement, finissant par éjaculer dans mon caleçon.

Au matin, je me suis levé en vitesse dès la sonnerie du réveil pour aller à la salle de bain avant que Jean puisse voir les traces de sperme. A mon retour dans la chambre, il y est allé, puis nous avons petit-déjeuner avec notre famille d'accueil. Nous avons passé la journée à visiter le coin avec notre groupe. Retour le soir. Dîner en « famille ». Assez peu de discussions vu notre niveau d'allemand à Jean et moi. Enfin chambre. Cette fois, je me mis très vite en caleçon et me coucha sous les draps, attrapant un livre. Très discrètement, je pouvais mater Jean. Il alla d'abord faire un tour aux toilettes puis revint et, re bellotte, il se mit à poils. Il ne s'exhibait pas, il le faisait avec naturel. J'étais raide et fasciné par son corps d'homme (nous n'avions que 16 ans.). Il replia ses affaires, les rangea, puis se coucha. Je repris ma lecture.

Tout à coup, Jean lâcha une phrase qui me fit l'effet d'une bombe :

- J'ai la gaule, j'ai envie de me branler.

Là, j'étais sidéré et ne savais pas quoi répondre.

- Et ? fis-je un peu bêtement.

- Ca te dérange ?

- Bah. Tu fais ce que tu veux.

J'essayais alors de continuer ma lecture, mais j'écoutais attentivement sans oser regarder. Bruissements réguliers du drap. Bruits de succion humide. Halètements allant crescendo. Une branlette sauvage, rapide, allant droit au but. Arrêt brutal, un petit gémissement de sa part. Je triquais comme un fou, tournant les pages sans les lire.

- J'ai rien pour essuyer, dit tout à coup Jean. Passe-moi quelque chose.

Là, j'ai hésité : obéir en espérant apercevoir quelque chose ou refuser pour marquer mon indifférence feinte. J'ai répliqué :

- C'est bon, débrouille-toi. T'aurais pu y penser avant.

- Putain, t'es lourd.

Il a brutalement repoussé les couvertures et s'est levé, se dirigeant au pied des lits. Il était nu, son caleçon à la main, et je n'ai osé le regarder que de dos, matant ses fesses poilues. Pendant qu'il s'essuyait, j'ai repris ma fausse lecture, le cour battant la chamade.

Soudain, je fis un bond dans le lit quand quelque chose de mou m'atterrit sur la gueule. Je repoussais mon livre et prit le vêtement à deux mains, sans comprendre. C'était l'un de mes t-shirts. Il était gluant et l'odeur caractéristique atteignit mes narines. Je me retrouvais avec un peu de sperme sur le nez et sur les doigts. J'ai gueulé :

- Espèce de connard ! Tu pouvais pas prendre tes fringues ?!

- Oh, ta gueule. T'avais qu'à m'aider.

Je me suis tu, j'ai jeté le t-shirt par terre. J'étais emmerdé, j'aurais dû aller à la salle de bain pour me laver la figure, les mains. Mais j'avais une gaule terrible. J'ai fait comme si de rien n'était. Jean était encore debout au pied de son lit. Il avait renfilé son caleçon. Sa bite n'était pas encore complètement au repos et faisait une belle bosse. Il me regardait avec un petit sourire sardonique. Puis il s'est recouché et j'ai éteint la lumière. Je n'ai pas osé me branler, mais profitant de l'obscurité, j'ai léché mes doigts et ramassé le peu qu'il y avait sur mon nez. Le goût était fort, âcre, et terriblement excitant.

Le lendemain, il alla le premier à la salle de bain. J'en profitais pour sniffer mon t-shirt souillé. Lors de mon passage dans la salle de bain, il me fallut moins de trente secondes pour juter dans la baignoire. Petit-déjeuner, puis visites. Retour au logis. Dîner. Retour dans la petite chambre. Quand je suis revenu des toilettes, Jean était déjà au lit. J'avais loupé le spectacle. Je me suis couché et j'ai pris mon bouquin. Mais lui avait envie de se taper la discute :

- C'est chiant les visites, non ?

- Un peu, oui.

Conversations platoniques. Puis :

- Tu fais pas de sport ?

- Non.

- Pourtant, t'es plutôt musclé.

- Ouais.

- Les sports co, c'est top. Ca forme de super groupes, vachement soudés.

Je le croyais volontiers, mais le sujet m'était pénible et je ne voyais pas où il voulait en venir.

- Tu connais le jeu du biscuit ? On y joue parfois dans les vestiaires.

- C'est quoi ? ai-je demandé, le cour battant.

- Le principe, c'est qu'on fait un cercle et on met un biscuit au milieu. On se branle tous dessus, et le dernier qui jute bouffe le biscuit trempé.

- C'est dégueulasse ! (en mon for intérieur, je pensais : c'est super excitant !)

- Pour le dernier, ouais. Ca m'est jamais arrivé.

- Faut être con pour jouer à ça. (si seulement ça pouvait m'arriver.)

- Putain, c'est toi qu'es trop con.

J'ai gardé le silence. Il a alors baissé son caleçon et a entrepris une branlette sous les draps. Je bandais encore comme un fou. Va-et-vient pendant quelques minutes, puis plus rien. J'ai jeté un oil vers lui et l'ai vu se lever. Sa queue était droite, son gland collé contre son nombril. Nettement plus longue et plus large que la mienne. J'ai cru défaillir. Hypnotisé, je l'ai regardé s'approcher. Il s'est arrêté au bord de mon lit, et j'ai demandé d'une voix mal assurée :

- Qu'est-ce que tu veux ?!

Il n'a pas répondu, a attrapé sa queue dans la main droite et s'est mis à l'astiquer. Moins de cinq secondes après, il a déchargé sans me laissant le temps de réagir : un premier jet crémeux s'est écrasé dans mes cheveux et sur mon front. Un second sur ma joue. Le reste a coulé sur le bord de mon lit, sur mon drap. Je n'ai pas bougé, je n'ai rien dit. Je me suis senti une vraie larve et en même temps, j'étais excité comme jamais.

- Ca, c'est pour m'avoir traité de connard hier et de con aujourd'hui. Pauvre merde.

J'étais tétanisé. Il m'a essuyé sa main dans les cheveux et est retourné se coucher après avoir éteint la lumière. Je me suis endormi comme ça.

Au matin, son jus avait séché après avoir coulé sur mon nez, dans mon cou. Heureusement, je n'ai croisé personne sur le palier avant d'entrer dans la salle de bain. Grosse branlette douloureuse. Journée semblable aux autres, sauf que Jean me regardait bizarrement, un peu méprisant. Quand nous nous sommes retrouvés dans la chambre, il y avait un silence gêné. Il s'est couché à poils, après avoir pris quelque chose dans son sac. Je n'ai même pas lu, je me suis tourné contre le mur. Je l'ai entendu se branler une nouvelle fois. Il a joui dans son coin. Au réveil, rien de particulier, mais arrivés dans la cuisine pour le petit-déjeuner, il n'y avait que la mère. Nous avons vaguement compris qu'il n'y avait pas école et qu'enfants et mari étaient partis. Où ? Aucune idée. Nous nous sommes assis, et là, tandis que la mère avait le dos tourné, j'ai vu Jean sortir quelque chose de sa poche.

C'était une capote rose, nouée. Elle était pleine. J'ai cru que mes yeux allaient me sortir de la tête. Sans que je puisse réagir, j'ai vu Jean déchirer le latex sous le noud et, prestement, il a versé le contenu dans mon bol de chocolat. En un instant, la capote trouée avait disparu et la mère vint nous amener des tartines grillées à table. J'étais horrifié. Jean m'observait, narquois. Sous la table, mon pantalon était pourtant gonflé à craquer. Là, l'humiliation était terrible. Puis la mère nous a fait comprendre qu'il fallait nous dépêcher car nous allions finir par être en retard. Sous le regard dur de Jean, j'ai trempé mes tartines et les ai mangées. Déglutissant difficilement. Tout cela me dégoûtait, et en même temps, j'aimais. J'ai fini par boire le contenu du bol sous les regards de Jean et de notre hôte. J'avais envie de vomir et de me branler. Quand nous sommes sortis de la maison, Jean n'a dit qu'une chose :

- T'es vraiment qu'une sous-merde.

Et il s'est marré. Il allait m'en faire baver.


ejacbucale4Toute la journée, j'ai pensé à ce que Jean m'avait fait faire le matin même, et autant mon ventre se serrait, autant ma bite se gonflait à bloc. Avec le groupe, pas moyen de se branler, et je savais que je devrais attendre d'être rentré dans la famille d'accueil. Jean m'a regardé toute la journée avec son sourire narquois, et j'avais nettement l'impression qu'il n'était pas le seul : d'autres mecs me regardaient bizarrement. J'avais remarqué que Jean discutait à voix basse avec eux.

La journée s'écoula trop lentement, et dès notre retour à la maison où nous logions, je me suis réfugié dans les toilettes où j'ai éjaculé ce qui me semblait être un torrent de foutre. Tant pis pour l'odeur. Après cela, j'avais un peu honte. Peur aussi de me faire remarquer par la famille. Toutefois, il n'y eut aucune remarque particulière au cours du repas. Le mari et les enfants étaient rentrés. En rentrant dans la chambre que je partageais avec Jean, ce dernier était allongé sur le ventre, à sa place. Il feuilletait un magazine et m'ignorait.

Je me mis en caleçon avant de me coucher. Après une dizaine de minutes de lecture, je me suis tourné pour chercher le sommeil, me demandant ce que Jean me réservait encore. Je me suis rapidement endormi, malgré la lumière.

Tout à coup, dans mon sommeil, j'ai senti quelque chose me couler dans le cou et je me suis réveillé en sursaut. Je me suis tourné sur le dos brusquement, et j'ai vu le corps de Jean qui me dominait. La lumière était toujours allumée. A la main, il avait une petite bouteille d'eau d'un demi-litre, pratiquement pleine. Avec un frisson d'horreur, j'ai réalisé subitement que ce n'était pas de l'eau. L'odeur du sperme atteignit mes narines et je me mis à essuyer la traînée que Jean avait fait couler dans mon cou. Je n'arrivais pas à détacher mes yeux de la bouteille, ne parvenant pas à croire qu'elle était pleine de jus. Avec ma branlette précédente, j'avais assouvi mes pulsions et je n'étais absolument plus excité.

J'ai voulu me redresser mais Jean a chuchoté :

- Tu fermes ta gueule et tu bouges pas. Ou plutôt, tu es bien gentil, tu ouvres grand la bouche et tout va bien. Sinon.
- Ca va pas, non ? répondis-je plus fort que je n'aurais voulu.

Je voyais où il voulait en venir et là, je refusais.

- Sinon, j'attends que tu dormes et je t'en verse partout : sur ton lit, sur ta gueule de connard, dans ton sac, . Soit tu avales tout et tu restes propre, soit. tu assumes.

Il me regardait durement, sa bouteille à la main. Je n'en voulais pas. J'avais déjà goûté son jus et autant quand j'étais excité, cela me paraissait génial, autant là, j'étais dégoûté. Un demi-litre... Mais cet abruti était capable de ruiner toutes mes affaires. Je me sentais piégé, à sa merci.

- C'est quoi dans la bouteille ? demandai-je pour gagner du temps. Je ne m'attendais pas à une réponse aussi terrible.
- Du jus de mecs. Sept en plus de moi. On s'est tous branlé deux fois pour toi, alors maintenant, faut nous en remercier.
- Qui ?!

J'ai bien cru que j'allais m'évanouir. Il avait raconté à sept mecs l'histoire de ce matin, et maintenant, ils allaient tous vouloir m'humilier.
- Ca te regarde pas. Pas encore, fit-il avec un clin d'oeil. Et il n'y en a que deux qui sont dans notre classe.

Que deux. Je réfléchissais à toute allure pour m'y soustraire. Mais je compris alors que je n'y couperais pas.

- Tu me laisses prendre la bouteille, s'il te plaît ? Je vais boire au goulot.
- C'est ça, t'as raison. Non. Allonge toi bien et ouvre grand la bouche.

J'obéis en fermant les yeux.

- Et ouvre les yeux, bordel !

Je le fis. Il pencha la bouteille à quelques centimètres au-dessus de ma bouche grande ouverte. Le jus afflua, froid, odorant et écourant. Ma gorge se serra et j'eus un haut-le-coeur. Mais Jean continua à verser et une partie déborda, inondant mon oreiller. Je me mis à avaler au plus vite. Son regard froid était planté dans le mien. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais goûté plus que quelques gouttes en me branlant. Là, c'était atroce.

Finalement, la bouteille fut vide. Avec un air satisfait, Jean remis le bouchon dessus. C'est alors que j'ai remarqué qu'il bandait comme un âne.

- Tu te rends compte ? Tu viens de te prendre 16 décharges dans le gosier. Allez, maintenant, tu vas pouvoir me sucer.
- Hein ?!

Je n'en pouvais plus. Il voulait en plus que je lui taille une pipe. C'est vrai qu'au point où j'en étais, ce n'était plus bien grave, mais pour ma première pipe, j'aurais aimé choisir la personne, le lieu, l'endroit. J'aurais aimé choisir tout court : là, je n'avais vraiment pas envie. Jean s'en foutait. Il grimpa sur le lit, à califourchon sur moi, encore sous les couvertures, et il rapprocha sa bite de ma gueule. Je le regardais faire avec désespoir.

- Si tu t'appliques pas, tu verras ta réputation au lycée.

Menace facile et pourtant efficace. J'ouvris la bouche. Sans perdre de temps, il y fourra sa queue bandée et commença directement à me baiser la gueule, assez violemment. Je crus étouffer, j'avais envie de vomir. Et en même temps, pourtant, ma bite commençait à se réveiller.

- T'as de la chance, ça va durer longtemps, vu que j'ai déjà juté deux fois aujourd'hui.

Quelle chance ! Effectivement, j'ai eu l'impression que la pipe durait une éternité. J'avais mal aux mâchoires et à la gorge. Jean continuait inlassablement. Puis j'ai senti que sa respiration se faisait plus rapide, son corps se tendait. Il a sorti son engin et m'a dit :

- Ferme la bouche, ouvre bien les yeux.

J'ai obéis. Jean se finissait à la main, son gland dirigé sous mon nez. Soudain, il a eu un spasme et un jet chaud, épais et puissant s'est écrasé dans mes narines. Le second a atterri sur ma joue gauche où il est resté collé.

- Ouvre ta gueule, sale merde.

Je l'ai fait et il y a engouffré sa queue visqueuse que j'ai achevé de vider et de nettoyer. Il s'est alors relevé, a éteint la lumière et s'est couché. Je suis resté éveillé longtemps, ressassant douloureusement les événements. L'odeur et le goût du sperme - des spermes - était terriblement envahissant. Ma queue me faisait mal tellement elle était raide. Je n'ai même pas pris la peine d'essuyer le jus sur mon visage. J'ai attendu d'être sûr que Jean dorme pour me branler à mon tour, et je me suis jouis dessus, inondant mon caleçon. Je me suis endormi en pleurant doucement.

 

Le lendemain matin, ce n'est pas le réveil qui m'a sorti des bras de Morphée, mais Jean qui grimpait de nouveau sur mon lit. Il avait la gaule et mon coeur a fait une embardée. Là, il m'a sorti :

- Tu suces trop mal, te donne pas trop la peine, je vais juste me branler.

Il s'est placé au-dessus de moi et a commencé sa branlette. Dur dur comme réveil. Je sentais les croûtes de sperme séché sur mon visage. Jean décalottait et recalottait à toute allure. Sa respiration s'est accélérée et cinq jets ont giclé. J'en avais partout : joues, cheveux, cou, nez. Il m'a mis sa bite dans la bouche pour nettoyer puis il s'est relevé, s'est habillé et a quitté la pièce en laissant la porte ouverte.

Je n'avais rien pour essuyer, donc je me suis levé en vitesse, je me suis habillé et j'ai filé à la salle de bain. Malheureusement, au moment où j'allais poser la main sur la poignée, la porte s'est ouverte sur le fils de la famille. J'ai baissé la tête en rougissant. Il est sorti sans rien dire. Je me sentais trop mal. Je me suis enfermé dans la salle de bain et je me suis longuement lavé le corps, les cheveux. et les dents !

Après cela, pendant le petit-déjeuner, Jean a fait comme si de rien n'était. Par contre, le fils de la famille ne cessait de me jeter des regards appuyés et curieux, auxquels je me dérobais. Nous sommes partis, ce qui devait être un soulagement très bref. En effet, dès que nous avons été montés dans le car, Jean s'est dirigé vers un groupe de mecs et ils ont tous éclaté de rire. J'avais les oreilles en feu. Dans le lot, il y avait le beau Fabrice, objet de tous mes fantasmes dans les vestiaires, et malgré ma honte, je me suis mis à bander à l'idée d'avoir bu son sperme.

Je suis resté à l'avant du car en espérant pouvoir les ignorer. Nouvelles visites dont je me désintéressais, puis pause déjeuner le midi, dans un jardin public. Là, j'ai voulu m'isoler pour pouvoir manger mes sandwichs, mais Jean ne voyait pas les choses ainsi : il est venu avec Guillaume, l'un des gars ayant rempli la bouteille. Guillaume n'était pas un étalon sans être un thon : blond aux yeux bleux, une gueule virile avec un corps plutôt grassouillet. 1m75 tout au plus.

Jean m'a tout de suite informé sur ses intentions en me parlant doucement dans l'oreille :

- Guillaume aimerait bien une petit pipe. Je lui ai dit que tu suçais pas très bien, mais il a envie quand même. Derrière toi, il y a des toilettes publiques. Vas-y avec lui ou tout le lycée apprendra tes péripéties.

Un froid intense m'a envahi. J'ai baissé la tête, vaincu. Guillaume s'est dirigé vers les toilettes et Jean m'a fait signe de le suivre. Au loin, j'ai entendu des ricanements et, en me retournant, j'ai vu qu'il s'agissait des six autres. Dans l'ombre du petit bâtiment, j'ai vu Guillaume rentrer dans une cabine. Je l'y ai suivi après avoir allumé la lumière et m'être assuré qu'il n'y avait personne. Il n'a pas perdu de temps : il a baissé pantalon et caleçon, dévoilant une bite encore molle, pas très longue, surmonté par un léger buisson de poils à peine plus foncés que ses cheveux.

Le gars m'a mis les mains sur les épaules et m'a poussé vers le bas. Je me suis agenouillé, j'ai ouvert la bouche et j'ai fermé les yeux. Guillaume m'a pris la tête et a rentré sa queue me demandant de bien l'aspirer. Ce faisant, elle s'est mise à gonfler rapidement, sans atteindre la taille de celle de Jean. Il a alors communiqué à ma tête un puissant mouvement de va-et-vient, m'enfonçant le nez dans ses poils, puis libérant pratiquement sa queue de ma bouche. De nouveau, je dus faire de gros efforts pour ne pas vomir. Heureusement, Guillaume ne fut pas long à m'inonder la bouche et je m'appliquai à bien tout avaler de peur d'en avoir sur mes vêtements. Il m'a demandé de bien nettoyer sa bite avant de me tapoter sur la tête comme à un chien. J'avais mal aux genoux en plus de la mâchoire. Il a pissé devant moi pendant que me relevais et que j'ajustais ma queue dans mon pantalon : elle était fièrement dressée quand moi, je me sentais moins que rien. Nous sommes sortis ensemble et Guillaume a fait un signe ravi à ses potes. Jean avait ramené mon sac à dos à côté d'eux. En le récupérant, j'ai pu entendre Guillaume dire :

- Ouais, il a tout avalé. Peut mieux faire, mais c'est pas mal quand même.

Adrien, un beau brun, petit mais super baraqué avec une belle gueule de rugbyman, a alors rétorqué :
- Je vais peut-être me le faire maintenant, alors.

Le coeur battant, je fus sauvé par le gong : nos profs nous ont alors appelés pour reprendre le car. La pause déjeuner était finie. Je fus le premier à monter dedans.

Le pire restait à venir.

 

[SUITE]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

Présentation

  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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