"On dit que je suis misogyne, mais tous les hommes le sont, sauf les tapettes"
David Douillet, "L'âme du conquérant", 2000
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"On dit que je suis misogyne, mais tous les hommes le sont, sauf les tapettes"
David Douillet, "L'âme du conquérant", 2000
[Source : GayDomiBondage]
Ce soir là c'était au tour de Marc de fermer le gymnase. Ses collègues, les autres profs
de gym du lycée, étaient partis vite : c'était une journée de fin d'automne, plutôt sombre et froide et tous avaient voulu rentrer rapidement chez eux. Avec ses 30 ans marc était le plus jeune et
célibataire ; il s'était donc chargé de ranger le matériel et d'éteindre. Il allait fermer la porte lorsqu'il crut entendre un bruit du côté de la réserve. Intrigué, il rentra dans la pièce
obscure. Soudain il se sentit agrippé ; une main couverte d'une moufle lui ferma la bouche. Une nuée de jeunes mecs lui tomba dessus : en se débattant, il entrevit des survêtements, des jean's,
des visages dissimulés derrière des cache-nez de laine épaisse. Mais succombant sous le nombre il se trouva rapidement plaqué au sol, incapable de se débattre, solidement maintenu à plat ventre
par ces mains juvéniles. Il était incapable de reconnaître ses agresseurs, avec leurs capuchons de survet rabattus sur leur tête et leurs écharpes de laine qui masquaient le bas du visage. "Que
voulez-vous ? Laissez-moi !" cria-t-il en essayant de donner des ruades avec ses pieds. Une main gantée de laine étouffa ses protestations, tandis qu'il sentit une autre main tirer sur la
ceinture de son pantalon de survêtement et le baisser. Il entendit de grands rires ; "Regardez son cul" "A poils le prof !". Honteux il se rappela qu'il n'avait sur lui que son jockstrap et que
ses fesses étaient à l'air libre, exposées aux regardes de ces jeunes racailles. Il n'eut pas beaucoup le temps d'y songer. Ses mains furent brutalement ramenées dans son dos et croisées ; il
sentit qu'on enroulait une corde autour de ses poignets et qu'on la serrait sans ménagement ; une autre corde fut passée autour de ses chevilles pour les attacher solidement. Il était immobilisé,
ficelé à la merci de ces gars. Il essaya de parler malgré la main qui fermait sa bouche " Faites pas les cons !" Mais il sentit qu'on lui enlevait ses baskets et ses chaussettes. Une main lui
serra le nez : "Ouvre la bouche !" Il essaya de résister mais un coup de pied dans ses côtes ponctua l'ordre et il sentit qu'il allait avoir du mal à respirer: il desserra la mâchoire. Il perçut
l'odeur de sa chaussette, portée toute la journée, sous son nez : une main l'introduisait roulée en boule entre ses mâchoires. La chaussette lui emplit la bouche et immédiatement il sentit son
goût âcre et salé. Avant qu'il n'eut pu réagir un foulard fut serré autour de sa tête pour maintenir le bâillon improvisé et une écharpe de laine fut nouée autour de sa nuque pour l'aveugler. Il
essaya un instant de se débattre dans ses liens mais renonça bien vite devant leur solidité et l'inquiétude le submergea : il savait que dans la cité voisine des bandes de jeunes faisaient
parfois des expéditions punitives dans le coin et il avait entendu parler de mecs salement amochés ; il choisit de rester tranquille. Des mains le saisirent par les épaules et le remirent sur ses
pieds. Il se retrouva debout, pieds et poings liés, yeux bandés et bâillonné, avec son survet sur les chevilles et ses fesses à l'air, devant une demi-douzaine de jeunes mecs dont certains
étaient peut être ses élèves. Il les entendait ricaner. Il sentit une main saisir l'élastique de son jockstrap. "Vas-y, Hakim !" Brusquement la main baissa le jock et ses couilles et sa queue
apparurent aux regards. Instinctivement il essaya de se baisser pour cacher sa nudité ; en vain : des mains solides l'obligèrent à se déplier et son sexe se retrouva à la vue de tous :" Belle
queue, m'sieur ! Votre copine doit prendre un sacré pied" "Hé ! regardez il bande !" Horrifié il se rendit compte que sa queue s'était dressée et pointait devant lui ; involontairement elle le
trahissait. "Il aime ça" Une main se mit à le branler pendant qu'il entendait les jeunes racailles autour de lui rire en le traitant de pédé. Il bandait ses forces pour ne pas jouir. Heureusement
la masturbation s'arrêta : il mouillait et il sentait une goutte perler à la pointe de son gland. Confus, il essaya de se débattre et de gueuler à travers son bâillon pour détourner l'attention
de son état. Un coup de poing dans ses abdos le surprit et lui coupa le souffle, le faisant momentanément débander. "Si tu continues comme ça, tu vas déguster, monsieur le prof! Attachez le
mieux". Il sentit qu'on lui passait une corde à la hauteur des coudes et qu'on la serrait avec force, rapprochant ses bras au maximum dans son dos ; il poussa un gémissement étouffé. Une autre
corde lui lia les jambes à la hauteur des genoux : désormais il était bien ficelé, incapable de résister ; à la merci des ces jeunes mecs de la cité, parmi lesquels étaient sans doute des élèves
du lycée. Il ressentait un mélange de peur et d'humiliation auquel venait s'ajouter une sorte d'excitation incontrôlée.
Soudain il sentit qu'on lui recouvrait la tête d'un tissu épais : une sorte de sac qui descendit jusqu'à ses épaules, il sentit que l'on serrait ce sac à la hauteur du cou ; il essaya de respirer un grand coup en dépit de son baillon : l'air passait mais il était plongé dans l'obscurité la plus totale. Il entendit l'un des jeunes crier "Vinc, va voir si c'est libre". Et des mains solides le firent basculer en arrière tandis que d'autres mains le prenaient par les chevilles. Il se sentit transporté comme un vulgaire sac. Au bout de quelques dizaines de mètres ses porteurs le déposèrent sur un sol dur ; l'obligeant à plier les jambes ; ses pieds nus touchèrent une paroi métallique ; il reconnut le coffre d'une voiture, sans doute assez grand. Un claquement de serrure : il était enfermé. Des claquements de portière, des rires : la voiture démarra. Marc ressenti un moment de désespoir : comment tout cela allait-il se terminer ? Mais son sexe semblait contredire sa peur. Marc ne détestait pas prendre son pied avec les mecs, il le savait mais jamais il ne s'était trouvé ainsi, cul nu à la disposition d'une bande de jeunes inconnus.
La voiture semblait rouler vite, prenant de brusques virages qui le secouaient et lui faisaient heurter les parois du coffre ; il essaya d'appuyer ses mains et ses pieds contre les parois pour éviter les chocs mais ses liens ne rendaient pas la chose facilement si la corde qui attachait ses coudes semblait se détendre un peu, soulageant la pression sur ses membres. Soudain il sentit que le véhicule ralentissait, s'engageait sur un sol bosselé puis stoppait. Claquements de portières et rires de nouveau ; il lui sembla reconnaître d'autres voix que celles de ses ravisseurs. "On le sort". Le coffre s'ouvrit des mains le prirent en poids et il se retrouva debout sur un sol bitumé, pieds et poings liés avec son cul à l'air" Super ! Belle prise! Bravo les gars !" "Regardez sa bite à ce pédé !" A entendre les voix il avait impression qu'une bonne dizaine de jeunes étaient là à le regarder et se moquer de lui ; et toujours sa queue qui trahissait son excitation.
Il sentit qu'on lui déliait les jambes et qu'on lui enlevait entièrement son pantalon de survet et son jockstrap. Il remua un peu pour se dégourdir les muscles. Une main toucha son sexe ; il eut un sursaut mais il comprit qu'une corde était passée à la base de son sexe et de ses couilles avec une sorte de nœud coulant. Le sac sur ses épaules fur enlevé. Puis son baillon : il cracha sa chaussette qui était désormais imbibée de salive et respira un bon coup mais n'essaya même plus de discuter. En dépit de son bandeau il put distinguer un peu de lumière, comme celle des éclairages de parkings. "On y va, en place !" Il sentit qu'on tirait sur la corde rattachée à ses couilles et qu'on s'en servait comme d'une laisse pour le faire avancer. Il comprit qu'il était inutile de résister et suivit celui qui tirait. Il commença à marcher : le sol bitumé chatouillait ses pieds nus et il eut l'impression que ce contact le faisait encore plus bander ; il imaginait son membre droit entre ses cuisses en entendant le ricanement des jeunes devant qui il passait. Puis la corde fut tirée plus fort et il sentit qu'on voulait le faire courir; il obtempéra et se mit à avancer à petites foulées. Son guide se mit à le faire tourner d'un côté et d'autre. Il se demandait où ils voulaient en venir lorsqu'il sentit une douleur cinglante sur ses cuisses ; il poussa un cri en s'arrêtant. Une autre douleur sur le devant de ses jambes cette fois ; il réalisa que ça devait être une ceinture de cuir. "Cours, connard !" Un coup sec sur sa laisse l'obligea à reprendre sa course ; il se sentit alors cinglé d'autres coups et compris qu'on le faisait courir au milieu de ces jeunes et que le but du jeu était à qui le toucherait d'un coup de ceinture. Il essaya de courir vite mais avoir les bras liés nuisait à son équilibre et son bandeau l'empêchait de voir où étaient les mecs et d'esquiver les coups. Ceux-ci tombaient au hasard avec plus ou moins de force sur ses cuisses, ses jambes, ses épaules ; sa peau nue cuisait ; il imaginait les zébrures et en même temps sa queue ballottait entre ses jambes, heurtant ses cuisses et chaque contact lui faisait l'effet d'une masturbation ! Il entendait les cris de joie et les rires à chaque fois qu'un coup l'atteignait de plein fouet et le faisait sursauter ou crier de douleur.
Tout à coup il sentit une douleur fulgurante dans son bas ventre : un coup violent venait de l'atteindre en plein sur ses testicules ; le souffle coupé il s'arrêta net poussant un hurlement ; il se plia en deux et, en dépit de la corde qui le tirait, il se laissa tomber sur ses genoux, incapable d'aller plus loin. "Bravo, Steph ! Tu l'as eu !". Reprenant peu à peu son souffle et récupérant de la douleur qui irradiait tout son ventre il sentit que les jeunes l'entouraient en riant. Son bandeau avait commencé à glisser sur son visage en sueur ; il secoua la tête et le bandeau glissa sur son cou. Relevant les yeux il aperçut une douzaine de jeunes mecs, chaussés de baskets, en jean's ou survet, les visages masqués par des capuches, des écharpes épaisses ou des cagoules. Ils tenaient à la main des ceintures et des laisses de cuir avec lesquelles ils l'avaient fouetté durant sa course. Un black se mit devant lui : "Baisse la tête !" Il obtempéra. Il vit son pied chaussé de Nikes s'approcher de son entrejambes ; il frémit de peur mais le pied se mit à lui caresser les couilles puis à frotter sa queue. Marc ne peut s'empêcher de rebander. "Ah ! Regardez, c'est pas mieux comme ça ?" "Oui Steph, vas-y, fais le juter" "Pas encore, il doit le mériter". Le black posa son pied sur le sol "Lèche !" Marc hésita un instant ; un coup de ceinture s'abattit sur ses fesses brûlantes. Lentement il pencha son buste en avant, tendant une langue hésitante. Il sentit l'odeur forte des Nikes ; sa langue toucha le cuir ; il se sentait complètement humilié à la merci de ces jeunes qui le traitaient comme une larve et ne pouvait s'empêcher d'y trouver une sorte de plaisir. Il commença à lécher sous les commentaires rieurs. "Oh ! la belle langue, tu lèches comme ça la chatte de ta meuf ? Non il lèche le cul de son mec!" .Soudain un liquide chaud heurta ses fesses ; il sursauta "Continue !" Il comprit qu'on lui pissait dessus. Le jet abondant, odorant de bière, arrosait ses fesses, son dos, imbibait son survet et faisait autour de lui une flaque fumante à cause de la fraîcheur de l'air. Totalement cassé, les bras douloureux à cause de ses liens, il resta ainsi prostré dans l'urine, continuant à lécher les baskets qu'on lui présentait en riant.
Finalement l'un dit "O.K. on y va !". Des mains le soulevèrent ; c'est alors qu'il put voir qu'il était sur un parking dans la zone industrielle. Des lampadaires l'éclairaient faiblement ; certains étaient éteints. Au milieu du parking une BMW le coffre ouvert, sans doute celle, volée, où il avait été transporté. On l'entraîna vers un des lampadaires éteints ; une main délia ses bras et ses poignets ; soulagé il fit quelques mouvements pour rétablir la circulation mais des mains solides l'empoignèrent pour le plaquer contre le poteau ; il sentit le métal froid contre ses fesses douloureuses. Les mecs firent passer ses bras derrière le poteau et il sentit qu'on les attachait avec un adhésif solide ; le mec qui l'immobilisait fit une dizaine de tours autour de ses poignets ; Marc comprit qu'il aurait du mal à se défaire. Un autre mec s'agenouilla et lui scotcha de la même manière ses chevilles au pied du poteau; une autre bande d'adhésif passa sur sa poitrine, ses bras et le lampadaire ; Là encore une dizaine de tours l'immobilisa complètement. Les jeunes racailles l'entourèrent en rigolant :"Cette fois tu vas prendre ton pied". Il vit un des mecs déplier une chaussette de sport, apparemment celle qui avait servi à le bâillonner tandis qu'un autre commençait à le branler doucement pour faire durcir son sexe. Puis l'autre enfila la chaussette, encore humide de sa salive, sur la queue tendue : il serra son poing sur le sexe emmailloté et commença un va et vient. Le jeune prof essaya de résister ; il ferma les yeux pour tenter de penser à autre chose et ne pas donner à ces mecs le plaisir de le voir jouir dans une telle situation. En vain. Le frottement de la chaussette réchauffait son sexe et il ne pouvait s'empêcher d'avoir conscience de son état. Il se mit à gémir : "Non, pitié ! Laissez-moi !" provoquant les rires autour de lui. Soudain il se rendit compte qu'il n'allait plus pouvoir tenir; son corps fut saisi de frissons et se tendit ; dans un spasme il sentit le sperme qui jaillissait à flots dans la chaussette et, se laissant aller, il cria de plaisir. "Ouais ! Ca marche : il jute ! Quelle lope !". Le mec le branla jusqu'à la dernière goutte. Il se sentait complètement vidé, la chaussette était maintenant gluante autour de sa queue qui se ramollissait. Le grand mec la retira et la roula en boule ; il la présenta devant sa bouche : "Ouvre !" Marc se sentait trop vidé pour résister. La boule gluante emplit sa bouche ; il sentit le goût légèrement salé de son foutre qui coulait à la commissure de ses lèvres. Une bande d'adhésif lui entoura la tête et un des mecs lui remit le sac qui l'aveugla.
Complètement immobilisé, dans le noir, la bouche scellée emplie du goût de son propre sperme il resta prostré un bon moment. Le foutre séchait sur sa queue et ses couilles. Il entendait autour de lui les jeunes rigoler, boire, chahuter. De temps à autre l'un d'entre eux venait lui palper les fesses, les couilles ou la queue.
Il n'avait plus la notion du temps ;simplement il commençait à sentir la fraîcheur de la nuit sur ses jambes nues . Soudain il eut l'impression que les mecs partaient ; il essaya de se débattre ; mais l'adhésif le maintenait solidement contre le poteau et avec son bâillon il ne pouvait émettre que des grognements étouffés. Il entendit des crépitements et à travers la toile du sac il crut apercevoir une lueur ; un souffle chaud l'effleura : les jeunes avaient mis le feu à la voiture! L'inquiétude le gagna mais au bout de quelques minutes il entendit une sirène. Il se rendit compte que les pompiers arrivaient et il imagina le jeune pompier qui allait le découvrir, attaché au lampadaire, cul nu, la queue couverte de traces de sperme sec…A cette idée il sentit à sa grande honte qu'il recommençait à bander.
Un interrogatoire assez musclé qui tourne au viol (la victime n'a pas l'air de trop en souffrir...)
C'est dans quel pays ? Ca vaut la peine de se faire choper...
Arnaud S.
Rappel de taxinomie de la podolope :
- Règne : Animal (Note : certaines lopes sont à la limite du végétal)
- Embranchement : Vertébrés
- Classe : Mammifères (reconnaissable aux petits tétons qui pointent)
- Ordre : Infras (niveau le plus bas des mammifères)
- Famille : Lopes
- Genre : Rampants (vivent près du sol)
- Espèce : Podolope (footslave).
Nirvana de la podolope : les pieds de Prince Of Caprice.
Quelques conseils vidéos pour bien s'occuper d'une podolope :
- Slave, je pense qu tu es maintenant prêt pour le grand jeu.
Il vit le Maître prendre une sorte de masque à gaz qui pendait au mur. Il revint vers le sling et en revêtit la tête de Marcel. Celui-ci se demandait bien ce qui allait se passer lorsqu’il sentit soudain comme un doux étourdissement l’envahir. Le Maître lui faisait respirer des poppers en versant directement quelques gouttes de liquide dans le filtre du masque à gaz. C’est alors qu’une masse se mit à envahir progressivement son anus. C’était le poing du Maître qui se frayait un chemin à l’intérieur de ses entrailles. La douleur était intense, mais le liquide qui avait été placé dans le masque lui aidait à savourer chaque instant de cette intrusion. Il était conscient du poing qui, petit à petit, se frayait un chemin à l’intérieur de son bas-ventre. Et soudain, il sentit le poing franchir, en glissant, la dernière frontière qui le séparait de la défloraison définitive du boy, du slave, du chien.
Au même moment, son pénis explosa et cinq jets de sperme allèrent se répandre sur sa poitrine et dégoulinèrent jusque sur la main du Master. Sans y penser, sans qu’on le force, sans qu’on le torture, Marcel s’entendit crier volontairement :
- C’est bon Maître, merci Maître. MERCI MON MAÎTRE!!!
Le Master était parvenu à ses fins. Marcel en était venu, dans la jouissance, à remercier son tortionnaire et à le considérer non pas seulement comme un Maître, mais comme «son» Maître.
Après quelques minutes supplémentaires de fisting, le Maître embrassa tendrement son slave, le détacha du sling et le conduisit au cachot situé juste à côté du donjon.
- Tu as bien mérité de te reposer boy. Tu as tout ce qu’il te faut ici pour bien dormir. On se revoit demain matin.
Le Master ferma le cachot à clef, éteignit la faible lumière et quitta les lieux.
Le lendemain matin, Marcel se réveilla vers 5h30, comme il en avait l’habitude. Il ne lui fallut que quelques secondes pour se rappeler où il était et ce qui s’était passé la veille. Encore une fois, à sa grande surprise, il se rendit compte qu’il était en érection. Mais cela était dû au fait qu’il avait une envie énorme d’uriner. C’est sans doute ce qui l’avait réveillé d’ailleurs. Il n’eut pas à attendre longtemps cependant car le Maître fit irruption dans le donjon et se dirigea directement dans le cachot. Il déverrouilla la porte et entra dans le réduit.
- Ton petit-déjeuner est servi slave. Je vais te détacher et tu vas me suivre bien sagement dans la salle à manger.
- J’aimerais d’abord uriner Maître…si vous le permettez bien sûr.
- Certainement mon boy. Attends-moi un instant.
Le Maître revint alors avec un gros bol et dit au slave d’uriner dedans. Marcel s’exécuta sans trop se poser de questions. Quand il eut fini, le Maître conduisit le slave dans la salle à manger. La première chose que Marcel vit fut la table avec des croissants, du jus d’orange et du café. Tout heureux de refaire ses forces, il se préparait à s’asseoir quand le Maître lui donna un coup de pied au derrière en lui disant :
- Un slave ne mange pas à la table du Maître. Il mange à terre, dans une écuelle, comme un chien.
Il lui montra alors l’écuelle à terre. Il lui passa des menottes aux poignets, les mains par devant, lui dit de s’agenouiller et d’attendre la nourriture qu’il allait lui apporter dans quelques instants. Marcel n’en croyait pas ses yeux quand il vit le Maître revenir avec une boîte de nourriture à chien qu’il ouvrit devant lui. Il versa le contenu de la boîte dans l’écuelle et lui dit de faire honneur à son petit-déjeuner préparé avec soin. Marcel leva la tête et regarda son Maître dans les yeux. Il vit que celui-ci ne blaguait pas et qu’il s’attendait véritablement à ce qu’il mange cette nourriture dégueulasse et nauséabonde.
- Tu sais ce que tu as à faire slave. Ou tu fais ce que je te dis, ou tu en subis les
conséquences qui, comme tu le sais, sont habituellement pires que ce que je te demande de faire.
Marcel se souvenait des punitions de la veille et savait que son Maître était sérieux. Il se résolut donc à commencer à manger le contenu de l’écuelle. Comme il avait les mains attachées, il était obligé de manger comme un chien en attrapant la nourriture directement avec la bouche. Il en eut bientôt tout le visage recouvert. Il s’efforçait de manger malgré son sentiment d’écœurement, pendant que le Maître se régalait de bon café et de croissants aux amandes. Le Maître se tourna alors vers lui avec un air de fausse sollicitude et lui demanda s’il voulait boire quelque chose. Marcel fit signe que oui. Le Maître se leva alors de table et alla chercher le bocal dans lequel le slave avait uriné. Il versa une bonne partie du liquide dans l’écuelle et dit :
- Régale-toi mon bon chien; tu l’as bien mérité.
En même temps, il saisit Marcel par le cou et le força à plonger le nez dans l’écuelle. Il appuya alors son pied sur la tête de son slave et lui dit qu’il continuerait à peser de tout son poids sur sa tête tant que l’écuelle ne serait pas vide. Marcel, encore une fois, n’avait pas le choix et s’efforça de vider l’écuelle. Le Master appuyait de toutes ses forces sur la tête du slave et se masturbait avec frénésie. Il versa le reste de la pisse dans l’écuelle et sans un mot, sans une protestation, sans un murmure, Marcel avala ou plutôt lapa le reste de la pisse refroidie dans le fond de l’écuelle.
Quand il eut terminé, le Master lui déclara :
- Puisque tu as vidé ton assiette comme un bon chien, tu as maintenant droit à un dessert.
Il enleva son pied de sur la tête du slave et lui dit de rester à genoux tout en se plaçant devant lui. Le Maître le força alors à avaler son pénis en érection.
- Régale-toi du sperme de ton Master. C’est un cadeau que je te fais parce que tu as été un bon slave. Mange ton dessert. Savoure la sève de ton Master.
Marcel se mit alors à sucer le pénis du Maître comme si sa vie en dépendait. Le Maître le tenait par les oreilles et se masturbait littéralement dans la bouche du slave. Celui-ci n’avait le choix que de suivre le rythme donné par le Maître et d’y correspondre de la façon la plus parfaite possible en suçant la bitte du Maître. Soudainement, Marcel sentit couler le sperme chaud du Maître dans le fond de sa gorge. Il continua à sucer et à avaler ce qui lui sembla une quantité astronomique de liquide jusqu’à ce que son Maître lui ordonne d’arrêter et qu’il retire son pénis de sa bouche.
- Bon chien! Maintenant, dis whouf! whouf! pour remercier ton Maître.
Un faible jappement s’échappa de la bouche de Marcel.
- Tu jappes comme un chien de fifi. Jappe comme un chien dont le Master peut être
fier. Montre-moi que tu es vraiment content de ton dessert.
- Whouf! Whouf! articula Marcel avec force pour en finir au plus vite.
- Je ne suis pas certain d’avoir bien entendu.
- Whouf! Whouf! hurla Marcel de toutes ses forces.
- C’est ça le chien. Tu as bien compris.
L’attitude du Maître changea alors du tout au tout. Il défit les menottes de Marcel et lui dit de passer au salon. Il lui donna la permission de s’asseoir sur un fauteuil et lui offrit même une cigarette. Marcel ne savait pas s’il devait accepter ou non. Il accepta finalement en pensant qu’au point où il en était cela ne pouvait pas faire de tort. Le Maître déclara alors que la séance était terminée et qu’il était libre de partir quand il le voulait. Marcel n’en croyait pas ses oreilles. Il était véritablement libre de partir. Ses souffrances étaient terminées. Il était remis en liberté. Il ne se fit pas prier et déguerpit avant que le Master change d’idée.
ÉPILOGUE
Sur le chemin du retour vers son appartement, Marcel se demandait encore si les événements qui s’étaient passés la veille étaient bien réels ou s’il n’avait pas tout simplement rêvé. Les douleurs qu’il ressentait et les marques qu’il portait ne pouvaient le tromper cependant. Il avait bel et bien été battu et abusé par un Maître sadique et cruel. Il venait de passer les heures les plus sordides de sa vie. Il se demandait s’il devait porter plainte à la police. Peut-être au contraire valait-il mieux se taire et essayer d’oublier tout ça. De toute façon, il avait la tête trop lourde pour le moment pour réfléchir longuement à ce qu’il devait faire. Il se concentra donc sur la route en tâchant de ne pas penser à ce qui lui était arrivé. Mais impossible. Les images de la veille repassaient sans cesse dans son cerveau. Les coups de pied, les crachats, les aiguilles, la cire, le fouet, les humiliations, l’urine, etc. Il porta la main à son entre-jambes et se rendit compte qu’une érection était en train de faire son apparition dans ses pantalons.
Quinze jours plus tard, il était de retour dans le donjon, chez son Maître.
FIN
Québec, juillet 2011
VoS Komm