- à toutes les jolies petites crevettes apeurées derrière leur comptoir...
- à tous ceux qui subissent des violences sexuelles (non consenties mutuellement)
- à tous ceux qui sont exploités et dominés (sans le vouloir).
- à tous les dogs (canolopes) !!
J'en profite pour répondre publiquement à ce "commentaire SERIEUX" de mon fidèle visiteur Manuel :
"Tu présentes la bande annonce (parlons français!) d'une pièce de théatre jouée à Avignon, dont le sujet est, entre autres, la condition homosexuelle sous le régime nazi. Pièce dont
tu sembles approuver le contenu.
Et juste avant, tu nous montres une video de pure violence gratuite, que tu sembles réprouver, (vidéo qui a reçu, au moment où j'écris, 5 posts favorables). Vidéo totalement d'esprit
nazi, par son sadisme et /ou sa répression des homosexuels(on y casse du pd).
Où est ta SINCERITE?Où est ta COMPLAISANCE?
Arnaud, tu me DECOIS!
Oseras -tu publier ce commentaire que je fais avec regret ? "
Ma réponse :
Je pense être sincère dans mes choix, guidé par une observation objective de ma bite et des poils de mes bras. Je fais de mon mieux pour ne pas être complaisant même si mon cerveau a parfois
du mal avec certaines contradictions comme celle que tu as soulevée. Je suis gay, sadomasochiste, assez trash, mais pourtant au fond de moi je pense être comme Naïv : "gentil, sensible et
émotif".
Arnaud S.
VIDEO BONUS : L INTEGRAL DU COURT METRAGE "DU MEME SANG"
DEUXIEME EXTRAIT DE COURT-METRAGE BONUS : "LE CLAN" de Gaël MOREL
C'est à la limite entre le Kifémal et le purjuS. J'aime bien les coups de pieds dans la lope étalée sur le sol des chiottes... mais la faciale est à voir, avec un effet paralysant.
Le Théâtre du Rempart (Avignon, 86) met en
scène BENT de Martin Sherman du 8 au 31 juillet 2011. Cette pièce, qui revient sur la condition des
homosexuels sous la seconde guerre mondiale, a reçu de nombreuses récompenses depuis sa première présentation à Broadway (Etats-Unis) en 1979.
BENT illustre le destin d'hommes homosexuels broyés par la folie meurtrière du nazi. Parmi eux, dans le camp de concentration de Dachau, il y a Max. Dans cette descente aux enfers où la dignité
n'existe plus, Max vit son amour des hommes dans le chaos. C'est pourtant dans ce processus d’anéantissement général qu’il vit une histoire sublime et poignante avec Horst, vivant comme un défi
la force de l’amour qui révèle à soi même, qui grandit et libère les hommes qui s’aiment.
Trente ans après sa création, BENT est toujours d'actualité. Comme le rappelle son auteur, "les problèmes évoqués dans cette pièce pourraient ne plus exister" mais les homosexuels continuent
d'être persécutés. Un peu partout dans le monde, "il est encore immoral d’avoir des sentiments, des droits, de la visibilité, ou d’aimer la personne de son choix."
BENT, du 8 au 31 juillet 2011, à 22h10. Au "Théâtre du Rempart", 56 rue du rempart St-Lazare, 84 000 Avignon. Renseignements au 09 81 00 37 48, au 04 90 85 37 48, et sur www.theatre-du-rempart.fr.
Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"
:
Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
VoS Komm