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SUITE DE L'HISTOIRE : http://anthropie.erog.fr/article-decheance-54627226.html
L’après-midi s’est écoulé en me laissant comme seule compagnie le goût du jus de Guillaume dans la bouche. Je me suis posé énormément de questions, la première étant : comment je vais bien pouvoir faire pour ne pas avoir à sucer tout le groupe ? Car autant la plupart de ces mecs m’excitait (Oh Fabrice…), autant l’idée qu’ils m’utilisent comme simple vide-couilles me rebutait. Mais avais-je vraiment le choix ? Jean avait très bien préparé le terrain, me poussant progressivement dans mes derniers retranchements… Pouvais-je me libérer de sa pression maintenant ? J’en doutais…
Je m’étais décidé à résister à Jean le soir même. Belle résolution ! A peine avions-nous fini le repas (le fils de nos hôtes n’avait pas arrêté de me lancer des sourires que je trouvais pervers) que Jean m’a limite traîné jusqu’à la chambre, prétextant en allemand plus qu’approximatif une grosse fatigue. J’ai bien vu que le fils n’était pas dupe… Arrivé dans la chambre, j’ai essayé de protester :
- Jean, j’en ai marre de ces conneries. Je veux plus que tu me touches. Pareil pour les autres cons.
- Pardon ?
Là, il m’a regardé méchamment. Je me suis senti glacé. Je me suis dit : ce gars est complètement cinglé… Soudain, il m’a foutu une mandale sur le coin du crâne que je n’ai même pas vue venir. Je me suis retrouvé sur mon lit, sonné.
- T’es qu’une sous-merde de pédés. Les pédés, ça suce. Compris ?
J’ai hoché la tête, tétanisé. Il a alors défait sa ceinture, baissé son pantalon et son caleçon, libérant sa bitte entourée de poils bruns et drus. J’ai fermé les yeux. Puis j’ai senti une caresse humide sur ma joue. J’ai rouvert les yeux et vu qu’en plus, ce con était tellement excité qu’il mouillait un max. Il a bien frotté sa queue sur mes joues, mes lèvres, mon nez, puis il m’a attrapé la tête et me l’a enfoncée avec force. J’ai cru dégueulé direct. Puis il m’a limé la gueule. J’ai cru que j’allais en crever d’étouffement. Ca m’aurait pas dérangé plus que ça, à ce moment là.
Puis, très vite, il a joui, dans ma bouche. Soulagement pour moi. J’ai tout avalé : mieux valait ça qu’en avoir encore partout. Il m’a lâché et est parti dans son lit. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver les dents. En passant, je me suis tout de même branlé dans les toilettes. En sortant, j’ai croisé le fils de la famille. J’ai filé dans ma chambre, la tête baissée. La lumière était éteinte. Je me suis couché en caleçon et, aidé par la branlette, je me suis endormi illico.
Le réveil a été horrifiant. Il faisait encore nuit et j’avais du sable plein les yeux. Mes couvertures étaient au pied du lit. J’étais coincé contre le mur, un poids lourd et chaud collé dans mon dos. Instantanément, j’ai compris. La queue de Jean battait contre mes fesses. Seul le fin tissu de mon caleçon me servait encore de rempart. J’ai voulu me retourner, mais il m’a foutu une baigne sur la tête, avant de me glisser à l’oreille :
- Tu bouges pas et tu la fermes. Si tu cries, tout le monde va venir et comprendra que t’es un bon gros pédé.
Je me suis immobilisé. Que j’avais fantasmé sur une bonne grosse bite sur laquelle m’empaler. Maintenant que je le voyais venir, le fantasme devenait beaucoup moins excitant et la queue de Jean minquiétait. Je m’étais assez souvent branlé le cul, utilisant au départ des carottes piquées dans le frigo familial, puis des courgettes (trouvées au même endroit). J’avais même essayé un concombre, mais là, j’avais dû déclarer forfait…
Jean m’a baissé le caleçon sans ménagement, presque à le déchirer. Il m’a mis une main devant la bouche.
- Suce mes doigts, mouille-les bien, sinon, tu vas en chier.
Je me suis exécuté, terrifié. Ses doigts avaient encore le goût de son sperme. Il a alors descendu sa main vers mon cul et a commencé à m’enfoncer un doigt, sans aucune douceur. J’ai bêtement serré les fesses, le faisant ricaner. Heureusement qu’il avait les ongles rongés courts, car il n’y a pas été de main morte (!!), me pistonnant avec son doigt. Il est ressorti et m’a demandé de nouveau de sucer ses doigts. Son goût à lui était mélangé à celui de mon cul. J’ai eu un haut-le-cœur. Cette fois, il m’a enfoncé directement deux doigts. Je continuais à serrer les fesses et j’avais mal… Il tournait, entrait, sortait. Je me suis mis à pleurer.
Est-ce que les larmes m’ont détendu ? Toujours est-il que mon cul a commencé à s’ouvrir. La douleur s’est estompé. Retour de ses doigts dans ma bouche. Puis trois dans mon cul. Ce n’était plus qu’une sensation désagréable. Il a retiré ses doigts et je l’ai entendu cracher. Il m’a glissé à l’oreille :
- Tu vois, tu aurais sucé Adrien, j’aurais acheté du gel pour mieux t’enculer, ducon. Mais avec ce que m’a payé Guillaume pour ta pipe, j’ai pu acheter que des capotes…
Il a ponctué sa phrase d’un grand coup de bassin. Sa pine est entrée d’un coup, me déchirant le cul. Je n’ai même pas crié, inspirant un grand coup tant la douleur était intense. Il n’a pas perdu de temps et a entamé de puissants va-et-vient, m’enculant sur toute la longueur de sa pine. La douleur a reflué. Je ne sentais plus rien, juste la honte. Je continuais de pleurer. Mon ventre me semblait rempli par sa bite, mon cul était tout engourdi. Et je bandais dur. Le lit grinçait légèrement, et forcément, nos voisins de chambre devaient nous entendre. Ils devineraient très bien lequel de nous deux se faisaient enculer par l’autre.
Il est sorti d’un coup et j’eus l’impression qu’un courant d’air parcourait mes boyaux. Il s’est levé m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit. Je me suis laissé faire. Hop, il m’a renfoncé sa queue sans aucune délicatesse. Ma tête a cogné contre le mur. Le lit grinçait de plus belle. La douleur est revenue, la position lui permettait de me pénétrer davantage, d’accroître encore la portée de son viol. Il me limait avec brutalité, comme s’il cherchait à atteindre ma gorge en m’enculant. Ses poils me grattaient le cul quand il tapait. Il calma ses coups de butoir et commença à onduler le bassin ce qui était peut-être pire. Il me fouillait littéralement les entrailles. Le latex commençait à accrocher, je n’en pouvais plus.
Mais lui n’avait pas fini. Avec la pipe que je lui avais fait pas longtemps avant, il n’avait pas l’air rapide à jouir. Soudain, il a repris ses amples va-et-vient, mais avec une nouvelle brutalité véloce. Heureusement, ce nouvel assaut n’a pas duré trop longtemps, car dans un râle sourd, il s’est immobilisé en moi, probablement en jouissant. Effectivement, quelques secondes après, il s’est retiré. Je suis resté en position, les muscles ankylosés. Je l’ai entendu enlever la capote et de suite après, j’ai senti un liquide visqueux sur mon dos.
Il avait vidé le contenu de la capote sur moi, laissant la protection de latex au pied de mon lit. Aucun répit. Sa semence a coulé et je l’ai senti glisser dans ma raie ouverte. Il m’a étalé le reste sur tout le dos. Puis il est retourné dans son lit.
Il m’a fallu du temps pour me redresser. Son sperme me collait dans le dos. Je me suis couché sur le ventre pour pas tout dégueulasser. Mon cul me chauffait. Je n’avais pas le courage d’aller à la salle de bain. Je n’étais plus puceau et je n’en étais même pas fier. Le sommeil fut long à venir.
[SUITE]
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