Vendredi 29 juillet 5 29 /07 /Juil 16:36

J'ai chipé cette histoire sur le site de Cyrillo. Je la recopie au cas où son site ferme. Vous pouvez envoyer vos photos pour l'illustrer. Je m'engage à publier les meilleures.

Vous pouvez aussi m'envoyer des liens vers des histoires qui vous ont fait jouir.

Arnaud S. , conservateur des Xtoires bouilllantes en langue française.

 


Episode 1

J'ai rencontré Farid comme ça:

 

Je suis plutôt bricoleur, mais cette fois-ci, quand mon évier s'est bouché, j'ai contacté Farid sur sa page Facebook. J'étais tombé sur sa page pro par amis Facebook et l'avait "liké" en pensant qu'un jour un beau plombier rebeu pourrait me servir. En même temps j'avais passé ma journée sur Smboy à chercher un bon plan soumission.

 

Par chance, il n'a sonné chez moi que 1h après l'avoir contacté. Je lui ai ouvert et il est rentré d'un pas décidé dans sa combinaison de travail bleue. Je l'ai dirigé vers la cuisine et lui ai indiqué le fameux évier bouché. J'étais à ce moment en plein travaux dans mon appartement. Des rouleaux de peinture trainaient, et le parquet était en construction.

 

Il s'est installé sous l'évier dans le placard et s'est tout de suite mis au travail. En démontant la bonde, il me dit :

- Vous êtes en travaux à ce que je vois ?

- Oui, je me suis motivé à faire ça tout seul.

Après un silence pendant que je lui matais l'entrejambe alors qu'il était toujours allongé sous l'évier il lança :

- C'est surprenant que vous aillez besoin de moi pour si peu si vous êtes capable de faire vos travaux.

Je devins tout rouge et c'est à ce moment qu'il sortit de sous l'évier.

 

Je bégayai :

- Heu en fait c'est juste en plomberie que je n'y connais pas grand-chose…

J'étais en jogging et je commençai à bander. Forcement il le vit et sa réaction fut un peu violente.

- Ok j'en ai marre de perdre mon temps avec vous les PD, je ne suis pas du genre à arnaquer les gens et ce genre de déplacement ne me rapporte rien, vous me faite perdre mon temps ! Tu crois que tu vas me payer en nature ? Des mecs comme toi j'ai qu'à claquer des doigts, j'en ai 10 à mes pieds. Et là tu viens de me faire perdre 1h30 avec le déplacement…

Il s'était approché si près de mon visage en haussant le ton que je sentais son haleine et ses postillons entraient dans ma bouche sans que je n'ose bouger.

 

Finalement je sortis mon portable en lui disant :

- Ecoute, je suis désolé de t'énerver mais regarde, ta page Facebook est assez équivoque, tu poses torse nu et la moitié de tes amis sont gays, j'en connais un certain nombre…

 

Je fis l'erreur de lui montrer son profil sur mon portable. Il me l'arracha d'une main.

 

De l'autre main il me prit la gorge et me dit :

- Cette fois je ne vais plus travailler pour rien tu vas voir.

Il me colla une baffe qui me fit tomber par terre et m'ordonna de me foutre à poil. J'étais terrorisé mais je bandais toujours. Je m'exécutai. Je n'avais rien sous mon jogging et juste un T-shirt, je fus vite nu.

 

Au fait, moi c'est Romain, un p'tit gars d'1m80 mince et pas très viril, Farid n'est pas plus grand que moi mais musclé sec (comme j'aime) et en colère assez impressionnant. Je ne sais pas si c'est la peur ou l'excitation qui me fit être si docile, mais lorsqu'il sorti sa bite de sa combinaison et me tira mon visage vers elle, j'ouvris tout de suite ma bouche. Il ne bandait pas encore mais son chibre était déjà bien volumineux. Il me l'enfonça au fond de ma gorge et rapidement il prit du volume. Je fermais les yeux et les larmes me montèrent aux yeux tant sa bite grossissait.

 

Il m'insultât :

 

- Suce bien la pute

 

Et moi je commençai les vas et viens toujours entre peur et excitation, après tout c'est ce que je voulais jusque-là, mais je ne pensais pas qu'il n'y allait avoir aucune violence.

 

Farid me sorti de ma torpeur lorsqu'il me dit :

 

- Maintenant ouvre les yeux et dis bonjours à tes amis !

 

J'ouvris mes yeux et là toute l'excitation de la situation retomba d'un coup. Mon portable était braqué sur moi, il était en train de me filmer le sucer, moi complètement à poil et bandant comme un taureau. Je repris très vite conscience et me releva d'un coup en essayant d'attraper mon portable. Il m'esquiva, me poussa et sorti de la cuisine en refermant la porte derrière lui. Je me jetai sur la poigné qu'il tenait fermement. D'un ton sec il dit :

 

- Tu te calmes tout de suite, je suis sur ton Facebook, j'appuie sur une touche de ton téléphone et je partage la jolie vidéo que je viens de prendre avec tous tes amis. J'espère que tes amis et ta famille sont au courant de tes pratiques, sinon ils vont avoir une bonne surprise.

 

Je lâcha la poigné.

 

- Maintenant, donne-moi le code de ton portable.

 

- Jamais ! Tu veux me faire chanter ? Je ne me laisserai pas faire.

 

- Je crois que si, tu vas te laisser faire. Je viens d'envoyer la vidéo sur ton Facebook.

 

J'ouvris la porte. Il tenait mon portable face à moi. Je vis la barre bleue du téléchargement de la vidéo sur Facebook. Il éteignit l'écran en souriant et me dit :

 

- Ton code ? Je la retire de suite.

 

- 8888 enlève là, je ferais tout ce que tu veux…

 

Il fit le code, déverrouilla le téléphone, enleva la vidéo et me montra la page de mon profil vierge de toute humiliation.

Je redescendis dans les tours mais je savais que maintenant, je lui appartenais. Sans me laisser reprendre mes esprits il me dit :

 

- Quitte ou double salope?

 

- Quoi ?

 

- Quitte je remets la vidéo en ligne, double tu fais ce que je te dis et je te filme avec ton portable.

 

Je me mis à pleurer comme un gamin, et loin de l'attendrir, Farid recommença à filmer.

 

- Aller retourne toi et présente ton cul à la caméra.

 

Je m'arrêtai d'un coup de pleurer et me retourna pour présenter mon cul à mon portable. Je recommençais à bander.

 

- Vas-y, écartes bien tes fesses, montre nous ta rondelles.

 

Encore une fois je m'exécutais. Il me fit me mettre à 4 pattes sur mon canapé. Je sentis son gland me pénétrer doucement, comme si pour une fois il m'accordait un peu de tendresse. Comme un con j'étais à nouveau excité, et je me donnai complétement à lui. Ces vas et vient furent de plus en plus rapide, il me tenait en même temps par la peau des hanches en me traita de sac à foutre. Je ne sais pas comment l'expliquer mais alors que ma vie basculait, je ne m'étais jamais senti autant à ma place. Complètement dominé sans aucun pouvoir de décision. Au b out de 15 mn de limage intensif, il se retira, me retourna et me dit :

 

- Ouvre bien ta bouche sale pute. Je veux que tu n'en perdes pas une goutte.

 

Il était toujours en train de filmer.

 

- Si t'avale pas tout c'est direct sur Facebook.

 

Il jouit plusieurs gros jets sur ma gueule mais ma bouche n'était pas assez grande pour tout recevoir, mon visage était couvert de sperme, dans les yeux et dans les cheveux.

 

- J'ai dit avale tout.

 

Il me tira par les cheveux jusqu'au miroir de l'entrée et me dit :

 

- Maintenant nettoie bien ta gueule et bouffe tout mon sperme.

 

Je me nettoyai alors tout mon visage et mes cheveux avec mes doigts et avala tout son sperme devant mon portable. Lorsque j'eu fini il me félicita et me dit :

 

- C'est bien t'es une bonne chienne, tu t'es bien lavé. Il ne me reste plus qu'à te rincer.

 

Et là je senti un gros jet chaud me recouvrir le visage et éclabousser le miroir. Il était en train de me pisser dessus.

 

- Donnes-moi ton code Facebook, Je vais te rendre ton portable mais d'abord par sécurité je vais changer ton code Facebook et m'envoyer ces petites vidéo. Au cas où tu n'as pas compris maintenant tu m'appartiens.

 

Hélas j'avais compris depuis un moment et même si cela m'excitait j'étais terrorisé.

 

- Je t'en supplie arrête. Je suis désolé de t'avoir fait déplacé pour si peu, j'avoue que j'étais excité à l'idée de te faire venir pour réparer mon évier. Ecoute, on va descendre tous les deux. Je vais retirer de l'argent. Il me reste 500 € sur mon compte. Je les retire pour toi et tu me rends mon portable, ok ? et on en reste là. Après tout ça m'apprendra.

Il tapa sur mon portable puis me le montra.

 

- Regarde, la nouvelle vidéo est en train d'être téléchargée sur ton Facebook. Ton code.

 

- Non stop pitié ! c'est bogosse888

 

- Pétasse.

 

Il annula le téléchargement. Je gisais au milieu d'une flaque de pisse.

 

- Maintenant ici c'est chez moi ! alors nettoie-moi vite ce bordel ! lèche moi toute cette pisse.

 

Encore une fois je dû m'exécuter pour ne pas risquer de représailles. Pendant ce temps il tapotait sur le portable. J'ai du bien tout avaler avant qu'il me rende mon portable.

 

- Ok batard. Maintenant ton Facebook est mon Facebook et les vidéos sont envoyées sur mon mail ainsi que tous tes contacts. Ne t'avise pas de changer ton code. Maintenant quand je siffle, tu es à ma dispo. J'ai mis mon numéro de téléphone dans tes contacts à Boss avec comme sonnerie un sifflement. Tu as compris ? Si tu ne fais pas ce que je te demande, tu sais ce qui se passera. J'ai encore envie de pisser. Ouvre la bouche. N'en perd pas une goutte ou sinon…

J'ouvris la bouche, docile comme jamais. Il me mit sa bite dans sa bouche et pissa. Je dû tout avaler sans perdre une goutte. J'étais à la fois dégouté et fasciné par la domination qu'il exerçait sur moi. Et ce n'était que le début.

Il rentra sa queue dans son jean et le tapota le crane presque affectueusement.

 

- C'est bien Romain. T'es une bonne chienne, on va bien s'entendre.

 

Il ouvrit la porte d'entrée, j'étais nu, à genoux, il me cracha un gros mollard. J'étais complètement souillé face à mon pallier, la porte grande ouverte sur le couloir de mon immeuble.

 

- Tu ne fermeras la porte que lorsque je serais dans l'ascenseur.

 

Il appuya sur l'appel de l'ascenseur, je pouvais le voir de mon pallier. J'entendais des voisins de palier discuter. Je priais pour qu'ils ne passent pas devant ma porte. Enfin l'ascenseur arriva et Farid disparu sans un regard.

 


EPISODE 2

Je n'ai pas eu de nouvelles de Farid pendant 2 jours, je n'avais plus accès à mon Facebook directement mais grâce à un autre profil que j'avais créé il y a longtemps et qui était amis avec mon profil principal, j'avais pu vérifier que Farid ne publie rien de compromettant.

 

Mon téléphone « siffla », je sursautai. C'était la sonnerie que Farid avait associé à son numéro de portable, un sifflement comme on siffle un chien, et BOSS s'inscrivait sur mon tél. J'étais terrorisé, je ne savais pas quoi faire mais fini par décrocher sachant que je ne pouvais pas me défiler sans voir les vidéos compromettante arriver de manière virale sur mon Facebook.

 

- Allo

 

- Allo qui ?

 

- Allo Boss…

 

- C'est bien tu as compris la pute. Écoute-moi bien. Si je n'ai pas accepté tes 500 balles ce n'est pas parce que je ne suis pas vénal. Au contraire. J'ai l'intention que tu me rapportes plus que ça. T'avais raison, mon Facebook pro est assez équivoque mais j'en ai marre que mes clients me reluque le cul pendant que je bosse, mais d'un autre côté, mes clients sont prêt à payer plus cher mes services rien que pour fantasmer sur moi, alors si ils peuvent profiter d'un sextoy vivant pendant que je bosse, ils ne vont plus pouvoir se passer de mes services.

 

Je craignais comprendre…

 

- On commence aujourd'hui, tu as 2 heures pour te laver le cul et te trouver une combinaison de travail que tu enfileras sur ton corps entièrement nu. Puis tu me retrouves devant l'appart de mon client, je t'envoie l'adresse.

Il raccrocha. Je n'arrivais pas à croire que j'allais être obligé de m'exécuter. Le sms arriva avec l'adresse. C'était à 45 mn en métro mais il fallait encore que je trouve une combinaison et que je me prépare. Heureusement un magasin de bricolage était au bout de ma rue et je couru m'en acheter une. J'eu juste le temps de me doucher bien partout et de l'enfiler direct sur ma peau. Elle était blanche et très légère, et lorsque je marchais pour aller prendre le métro les frottements de la combinaison sur mon sexe commença à m'exciter. J'étais très gêné car forcement on pouvait voir mon érection. En plus un mec en combinaison de travail blanche ne passe pas inaperçu. Je pris donc le métro rouge de honte en essayant de caché mon sexe de mes 2 mains.

 

J'arrivai enfin à l'adresse que m'avait donnée Farid. Une cité. Je ne bandais plus, j'avais peur. Qu'est ce qu'il allait bien pouvoir me faire faire. Une camionnette se gara juste à côté de moi. C'était Farid. Il sorti et me regarda avec un sourire pervers.

 

- C'est parfait ma pute.

 

Il ouvrit l'arrière de la camionnette et m'ordonna de monter, ce que je fis bien sûr. Il referma les portes. Il tira directement la fermeture éclair de ma combinaison pour vérifier que j'étais bien à poil en dessous.

 

- Très bien on va pouvoir aller bosser. Mais d'abord tu vas me vider.

 

Il sorti sa belle bite circoncise, me mis à genoux et me la fourra directement en bouche, elle gonfla à l'intérieur en même temps que je recommençais à bander. Il bloqua ma tête et me baisa la bouche comme une chatte. Au bout de seulement 3 mn il s'arrêta en fond de gorge et déchargea en râlant. Je sentis plusieurs jets chauds descendre dans mon œsophage. Il se retira, rentra sa queue et ouvrit les porte du camion. J'étais encore à genoux, la combinaison ouverte. Il sortit.

 

- Bon grouilles toi on est en retard maintenant, ramasse moi les outils dans la camionnette et suis moi.

 

En plus je faisais son larbin, mais je n'avais pas le choix… En sortant Farid remarqua mon érection qui ne passait pas.

 

- Il va falloir faire quelque chose pour ça, t'inquiète j'ai une solution.

 

Je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire. On monta chez le client. Il ouvrit, un grand black en jogging, la trentaine.

 

- Entrez, c'est l'évier de la cuisine qui fuit, Farid je te laisse travailler, on matte un match avec les potes.

 

La cuisine était ouverte sur le salon ou 2 mecs étaient assis dans le canapé, des reubeus, en jogging aussi en train de fumer et de boire des bières. Je recommençai à bander.

 

- (le black) Ah je vois que tu ne m'as pas menti, tu nous as ramené une bonne salope !

 

- (Farid) Oui, chose promise, chose due, elle est à vous, allez à chacun son boulot ma pute, je m'occupe de la fuite et toi tu obéis à toute leur demande.

 

Farid se retourna vers la cuisine, les trois mecs éclatèrent de rire et l'un m'ordonna de me mettre à genoux. J'étais excité mais inquiets, ça sentait le shit et l'alcool et je ne savais pas à quoi m'attendre.

 

- (un des mecs du canap) bon qu'est ce qu'on va faire de ça, suis pas PD moi !

 

- (le black) moi non plus mais c'est compris dans la réparation alors autant s'amuser, on peut en faire ce qu'on veut, il parait qu'elle adore être humiliée.

 

Il s'assied près des 2 autres dans le canapé, pendant ce temps le match continuait et les mecs ne rataient rien.

 

- (le black) Bon la pute, enlève nous nos pompes et nettoies nous les pieds.

 

- (un des autres) oui vas-y j'ai bien besoin d'un décrassage !

 

Ils se marrèrent pendant que je m'attelais à ma tâche. Rapidement je me retrouvai à alterner entre leurs pieds, je n'avais jamais fait ça auparavant, Ils jouèrent à faire rentrer le plus d'orteils dans ma bouche, ils sentaient bien des pieds et j'étais écœuré mais pourtant toujours excité de me faire dominer comme ça. L'un des mecs, un rebeu de 22 ans à qui j'étais en train de lécher la plante des pieds, me dit :

 

- arrête maintenant, ça me donne envie de pisser.

 

- (Farid de la cuisine) profite en il sert aussi de chiotte.

 

Il me regarda d'un air hésitant, Farid m'ordonna de la cuisine :

 

- La pute, à ta place !

 

Je mis alors ma tête entre les cuisses du jeune reubeu. Il sorti sa queue en rigolant, j'ouvris la bouche, à peine sa queue entrée, il commença à pisser. Le black prévenait :

 

- T'as pas intérêt à en mettre une goutte sur le canapé.

 

Je dû me concentrer pour bien tout avaler sans en mettre partout et je failli m'étouffer.

Je jeune reubeu me regardait en souriant. Il avait fini de pisser mais il ne retira pas sa queue. Il commençait à bander dans ma bouche. Je savais ce qu'il me restait à faire. Je commençai doucement à faire des vas et viens avec ma bouche. Il mit ses mains derrière sa tête comme un pacha et dit :

 

- Suis pas PD mais ça fait au moins 2 semaines que je ne me suis pas vider les couilles. Je sens qu'il va faire l'affaire. Une pute c'est une pute après tout

 

- (le mec d'à cote) ouai t'as raison et un trou un trou !

 

Le black se leva et pendant que je suçais son pote, il voulut m'enlever ma combinaison. Ne sachant pas comment s'y prendre, il finit par l'arracher. Je me retrouvais complètement à poils, sans aucun vêtement à servir de vide couilles à des inconnus. Le Black commença à frotter sa queue sur ma rondelle après avoir craché dessus. Je ne la voyais pas mais je sentais bien que ce n'était un petit modèle. Pendant ce temps, l'autre reubeu sorti sa queue et me la présenta bien raide. Je la pris en bouche pendant que je gardais en main celle de son pote. La bite du black me pénétra. Je gémis. Pas de plaisir d'abord mais de douleur, le calibre était hors normes, heureusement il y alla doucement et rapidement je pu me détendre jusqu'à éprouver du plaisir. Il senti que j'étais dilaté et accéléra la cadence. Pendant que je suçais à nouveau le reubeu de 20 ans, l'autre se leva et demanda au black s'il pouvait essayer.

 

- Vas-y mon pote fais toi plaise !

 

Il se retira et l'autre pris place d'un coup, il était bien monté mais moins que le black.

 

- Tu me l'as bien préparée, une vraie chatte de gonzesse !

 

Le black s'assit sur le canapé, je pue enfin voir la taille impressionnante de son engin. En même temps sans prévenir le jeune me crachat la purée. Je pris tout en bouche pendant que je me faisais pilonner le cul. Le black se branlait en même temps. Il éjacula sur son torse 4 gros jets. Je n'avais jamais vu autant de foutre jaillir d'une seule queue. Son torse était recouvert jusqu'au coup. Le mec qui était dans mon cul me dit :

 

- Lèche ! tu vois bien qu'il n'a rien pour s'essuyer.

 

Je m'avançai vers ce torse d'ébène et lapa son jus en commençant par les poils pubiens ou étaient retenues d'épaisses gouttes, puis je remontais sur son ventre et son torse pendant que l'autre continuait de me ramoner. J'allais m'occuper des gouttes dans son coup lorsqu'il m'arrêta.

 

- T'approche pas de mon visage tarlouze.

 

Il s'essuya avec sa main les dernières gouttes et me les donna à lécher.

 

- Garde bien ta bouche ouverte et ne la referme pas sans permission.

 

Il me cracha un mollard dans la bouche. Je gardai la bouche ouverte.

 

- Vas-y Akim, montre lui qu'on n'est pas des pédales !

 

Il poussa ma tête vers le jeune reubeu, il cracha dans ma bouche toujours ouverte. A ce moment tandis que l'autre reubeu me prenait de plus en plus vite, je jouis. Sans me toucher, j'étais en pleine extase et plusieurs jets incontrôlés atterrirent sur le canapé, personne ne vis rien. J'avais toujours la bouche ouverte comme on me l'avait ordonné avec 2 mollards dedans. Enfin le mec dans mon cul jouit, je sentis sa semence en moi. Il se retira et le black me fit me retourner et dit :

 

- A toi Mourad. le laisse pas croire que tu lui a fait l'amour.

 

Il cracha à son tour dans ma bouche.

 

-(le black) Maintenant avale.

 

J'avalai.

 

- (le black) Putain, le con il a jouis sur mon canapé, sale pute ! nettoie moi ça bordel ! Farid ! c'est quoi cette trainée dégelasse ?

 

Je m'empressai de nettoyer avec ma langue pensant m'en tirer comme ça. Farid s'excusa :

 

- Ecoute Abdoul, je suis désolé, je ne l'ai pas encore assez dressé.

 

Il arriva avec sa caisse à outil.

 

- Je savais qu'il allait falloir utiliser ça !

 

Il sorti de la caisse une cage de chasteté. Je n'avais jamais vu ça. Il me la fixa, il mit d'abord comme un cockring derrière mes couilles puis y attacha la cage à bite avec un cadenas. C'était étroit.

 

- Avec ça, il est plus prêt de bander. Bon pour me faire pardonner je te le laisse 24h.

Il ouvrit un sac qu'il m'avait fait monter dans l'appartement. C'était des dessous féminins, une perruque et des vêtements de putes avec du maquillage.

 

- Je pense qu'en la faisant tourner dans ta cave tu vas bien te dédommager ton canapé et ta fuite.

Abdoul accepta. Il paya Farid pour la réparation. Je restai paralysé en implorant Farid du regard. Celui-ci me tapota la joue et me dit :

 

- Ne me déçois pas cette fois ci.

 

Il se retourna, Abdoul le raccompagna à la porte. J'étais nu, à genoux, ma bite encagée. Akim et Mourad était en train de faire l'inventaire du sac de prostitution en rigolant grassement. Je n'avais jamais autant été humilié et je savais que ce n'était que le début.

 

La suite au prochain épisode, n'hésitez pas à me contacter sur mon mail : milord777@hotmail.fr

 

DOCILE

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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