Partager l'article ! Julien, SoumiS au Lycée, épisode 1 (X-toire par STMnog): [Histoire chipée sur Gai éros] Episode 1 : Igor et les WC du lycée ...
[Histoire chipée sur Gai éros]
Episode 1 : Igor et les WC du lycée
Je m’appelle Julien. Je suis brun, 1m84, mince mais pas musclé.
Mes premières relations sexuelles eurent lieu lorsque j’étais au lycée en seconde. J’étais un élève plutôt réservé, et cette année là j’étais devenu le bouc-émissaire des mecs de ma classe. Je crois c’est parce que j’étais devenu gros et que je m’entendais bien avec les professeurs vu que j’étais assez bon élève, d’où les surnoms dont on m’affublait quotidiennement : le gros, le mange-boule, le lèche-cul, le bourrelet… Le moment le plus critique pour moi était lors des cours de sport : j’étais toujours choisi en dernier, ils ne m’incluaient jamais dans le jeu (sauf en tant que gardien de but au foot, histoire de me recevoir les ballons dans la gueule et d’avoir une victime au cas où mon équipe perdrait le match) et ils se moquaient toujours de moi en endurance.
Un élève de ma classe en particulier semblait avoir une dent contre moi, Igor. Il prenait plaisir à m’humilier à chaque fois qu’il me voyait, en soulignant bien que je n’avais aucun ami, contrairement à lui qui était constamment entouré des élèves les plus cool de la classe, voire du lycée. Il n’était pas le plus beau, mais il avait un petit truc en plus qui faisait craquer les filles, ou les garçons comme moi qui se cherchaient encore. Il était brun, aussi grand que moi, avec un regard et un sourire qui me paraissait souvent pervers, voire sadique. J’aurais fait beaucoup pour qu’il change d’avis sur moi et qu’il me prenne sous sa protection.
Les mois passaient, tous identiques jusqu’au jour où le prof de latin était tombé malade. C’était un samedi matin, en février, et il faisait plutôt froid. Comme je n’avais pas d’autres cours, je me décidais de rentrer chez moi. Mais avant, je devais passer aux WC, à cause d’une envie pressante. Comme je croyais que j’allais être en retard en cours, j’étais parti de chez moi sans avoir pissé et là, je ne pouvais plus me retenir. Les cours ayants commencé, il n’y a personne dans la cour ; j’allais donc être tranquille aux WC le temps de faire la vidange. Je m’installe devant l’un des urinoirs pour pisser. Les WC étant dans la cour de récréation, il fait un froid de canard et j’ai bien du mal à prendre ma bite qui n’était déjà pas bien grande. Quand enfin j’y arrive et que je me mets à pisser, un mec se met devant l’urinoir à côté de moi. C’est Igor. Lui aussi n’avait pas eu cour de latin, mais je ne pensais pas le revoir de sitôt. Il ne pisse pas et se tourne vers moi en me disant :
— Il fait froid hein ?
— Heu… oui…
— J’ai envie de pisser là, tu y arrives toi ?
— Oui Igor…
— Montre !
À cet instant, il me prend la bite et dirige mon jet de pisse sur mon torse. Heureusement, j’avais presque fini, mais quelques jets de pisse étaient quand même arrivés sur sweat-shirt. J’étais interdit, sur le cul, incapable de réagir. C’était la première fois qu’on me touchait la queue et j’étais terrifié par le fait de m’être pissé dessus. Igor souriait et me tenait toujours la queue dans la main, en la serrant de plus en plus.
— Tu as une petite bite tu sais ? J’ai eu du mal à la prendre. Oh ! Regarde ce que tu as fait, tu m'as mis de la pisse sur la main. Il va falloir réparer ça.
Il m’a alors tiré les cheveux et foutu un coup derrière les jambes pour que je tombe à genoux devant lui. J’ai eu très mal et j’étais paniqué en pensant au drame que ce serait si quelqu’un nous surprenait, moi la bite à l’air libre à genoux devant lui. Tirant plus fort sur les cheveux, il m'a fait lécher sa main couverte de ma pisse. C’était à vomir et je me sentais sali comme jamais je l’avais été. Voyant que je ne me laissais quand même pas faire, il essuya sa main sur mon visage et me crachat à la gueule. Puis, il me tira jusqu’à l’une des cabines, la plus éloignée de la porte d’entrée. Il pointa alors un doigt inquisiteur en direction du mon sexe. Je me suis rendu compte avec effroi que je bandais.
— Je vois que ça t’excite le mange-boule. T’es PD ? En tout cas j’avais raison, tu as vraiment une toute petite bite. Bon maintenant tu vas faire ce que je vais te dire si tu ne veux pas que je raconte à tout le monde que tu t’es pissé dessus aujourd’hui. Tu vas te foutre à poil, à genoux les mains derrière la tête, et tu vas boire toute ma pisse sans en laisser tomber une goûte. Car je te préviens, si tu n’es pas coopératif, je te pisse dessus et tu devras rentrer chez toi recouvert de pisse.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui aie obéi. Je me suis déshabillé entièrement et j’ai pris la position demandée. J’avais peur de rentrer chez moi couvert de pisse et je pensais naïvement que peut-être il allait plus m’apprécier si je lui obéissais. Il a sorti sa bite ; elle était au repos mais déjà me semblait énorme en comparaison de mon petit asticot ; surtout elle était poilue alors que je n’avais que quelques poils qui se battaient en duel. Elle sentait mauvais et quand il a commencé à décalotter, j’ai vu des traces blanchâtres. Il a engouffré sa queue dans ma bouche et a commencé à pisser doucement pour me laisser le temps d’avaler. Le goût était fort, et je n’arrivais que difficilement à avaler. Le gros de sa pisse débordait pour atterrir sur mon menton et dégouliner sur tout mon corps. Une fois fini, il s’est cassé.
Je suis resté plusieurs minutes nu sur le carrelage froid de la cabine. Après m’être essuyé avec du papier toilette, je me suis rhabillé pour rentrer le plus vite chez moi et me prendre une douche en tentant de ne pas croiser mes parents. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je l’ai vu m’attendre à la sortie des WC.
— Ecoute Julien, je suis désolé de ce qui vient d’arriver. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Viens chez moi, il n’y a pas mes parents. Tu prendras une douche, je te filerais des vêtements et je te ferai à manger. Je te promets que rien de tel n’arrivera plus. Ok ?
Il avait l’air sincère. Avec le risque de croiser mes parents alors que je puais la pisse, et le fait que c’était peut-être enfin l’opportunité de devenir ami avec lui ; j’ai accepté.
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