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Maurice relisait pour la troisième fois le courriel qu’il venait de recevoir. Un slave avec qui il avait échangé sur Recon le blâmait pour ne pas l’avoir reçu pour une séance de SM, malgré le fait qu’ils s’envoyaient des messages depuis trois mois. De plus, il le ridiculisait de façon outrancière pour provoquer sa colère : il se moquait de son nom et de ses parents qui lui avaient donné un tel nom. Maurice n’en revenait tout simplement pas de l’outrecuidance de ce petit morveux qui se permettait de le juger sans même véritablement le connaître.
Après avoir rageusement flushé le courriel, il décida qu’il allait se venger, de façon terrible et sans pitié. Le tout était d’attirer sa proie chez lui. Après avoir mûrement réfléchi, il lui semblait que la façon la plus simple de procéder était de jouer faussement au gars contrit qui voulait s’excuser. Il répondit donc au courriel où il «s’excusait» des délais qu’il avait mis à le rencontrer et où il proposait de prendre un café ou une bière pour s’expliquer. Il laissait même à Michel le choix du lieu du rendez-vous.
Comme Maurice s’y attendait de la part d’un gars qui est slave de la tête aux pieds, malgré ses velléités d’arrogance, Michel répondit qu’il acceptait de le rencontrer dans un café de Neuville, le vendredi soir suivant. Le piège commençait à fonctionner. Le vendredi, à l’heure du souper, Maurice téléphona à Michel pour dire que malheureusement il ne pourrait se rendre à Neuville, car il avait été obligé d’entrer sa voiture au garage pour une réparation au radiateur. Naturellement, Michel offrit à Maurice d’aller le prendre à la maison. Ce que ce dernier accepta tout aussi naturellement. Le piège se précisait.
Michel se présenta chez Maurice vers 19h30 tel que convenu. Il sonna à la porte. Après quelques instants d’attente, la porte s’ouvrit et il pénétra dans la maison. Le piège venait de se refermer. Il n’était pas sitôt entré qu’il fut saisi violemment par le cou, tandis qu’on lui appliquait un linge imbibé de chloroforme sur le nez. Quand il se réveilla, il constata qu’il était dans un donjon, qu’il avait les poignets attachés dans des menottes suspendues au plafond et que ses orteils touchaient à peine le sol. Il avait un fouet en travers de la bouche qui était maintenu par trois couches de duct tape. Il commença à se démener et à tirer sur les menottes, mais peine perdue : il lui était impossible de s’enfuir. Il entendit alors quelqu’un qui descendait un escalier.
Malgré le peu de clarté qui régnait dans le donjon, il réussit à voir clairement un homme vêtu entièrement de cuir et dont le visage était recouvert d’une cagoule. Il percevait avec terreur des yeux cruels qui le dévisageaient avec mépris. Le Master enleva sans ménagement le fouet de la gueule du slave, en prenant bien soin d’arracher le plus de cheveux possible durant l’opération. Il vint se positionner en face du slave et se mit à tracer des signes sur sa peau avec un crayon feutre noir. Le Master dit alors au slave :
- Je viens d’écrire ton nom sur ta poitrine de slave sale : tu vas désormais t’appeler «Trou-sale2». Trou-sale2, car tu as la bouche et le cul puants!! Es-tu content du nom que j’ai la bonté de te donner?
Le Master reçut alors en plein visage un crachat visqueux qui s’étala sur sa cagoule et ses yeux. Celui-ci, après un court moment de surprise, répliqua par un crachat encore plus gluant qui recouvrit la face du slave. Il lui administra une série de gifles et lui redemanda s’il était content de son nom de slave. Le même scénario du crachat se reproduisit, mais cette fois le Master ne se laissa pas désarçonner. Il administra une volée de coups de matraque sur les cuisses et les fesses du slave et vint se replacer devant lui. Il lui expliqua alors qu’il allait recevoir sa correction pour toutes les insultes contenues dans le courriel qu’il avait reçu il y a quelques jours. Il se déplaça derrière le slave et se mit à le rouer de coups.
Il lui administra d’abord dix coups de fouet pour s’être moqué de son nom et lui ordonna de demander pardon. Après un moment de silence et quelques coups de bâton bien sentis, il entendit le slave qui murmura :
- Pardon Master de m’être moqué de Votre nom.
Le Master se munit alors d’un fouet à lanières plus longues et dit au slave qu’il allait lui en administrer dix coups pour avoir ridiculisé ses parents. Les coups commencèrent à voler. Ils étaient plus durs à supporter car les lanières s’enroulaient jusqu’au devant du torse et le frappaient avec un pincement à la limite du supportable. Au bout de dix coups, le Master obligea le slave à lui demander pardon pour s’être moqué de ses parents.
- Pardon Master de m’être moqué de Vos parents.
Le Master se déplaça alors jusqu’au fond du donjon et en revint avec une palette de bois comportant des trous de deux centimètres. Il en administra dix coups sur les fesses du slave.
Çà, c’était pour m’avoir traité d’agace-pissette. Tu vas t’en souvenir quand tu vas t’asseoir durant les15 prochains jours. Tu vas maintenant me demander pardon de m’avoir traité d’agace-pissette.
Pardon Master de Vous avoir traité d’agace-pissette.
Le Master disparut encore une fois au fond du donjon et en revint avec une cane de bambou. Il se plaça devant le slave, lui montra la cane de bambou et lui dit qu’il allait en recevoir dix coups pour l’ensemble du ton du message qu’il lui avait fait parvenir et pour lui enlever à jamais le goût de recommencer. Il lui administra les dix coups de bambous et ordonna encore une fois au slave à demander pardon. Celui-ci était au bord des larmes et c’est d’une voix chevrotante qu’il demanda pardon au Master pour le courriel qu’il lui avait fait parvenir.
Après ces quarante terribles coups de correction, le Master expliqua au slave qu’il allait le détacher pour le conduire à un sling situé au milieu de la pièce. Le Master n’avait pas sitôt enlevé les menottes, que le slave en profita pour effectuer une ultime tentative de s’enfuir. Après un court moment de surprise, le Master réussit facilement à avoir le dessus sur le slave qu’il précipita au plancher en lui administrant une gifle magistrale qui l’immobilisa sur place. Alors le slave capitula et fit acte d’obéissance au Master.
[La Suite la foiS prochaine]
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