Partager l'article ! Le dreSSage de Dan: [Traduction de "Taming Dan" de Matt Swimmers ] C'était l'été. Je bronzais en conduisant sur ...
[Traduction de "Taming Dan" de Matt Swimmers ]
C'était l'été. Je bronzais en conduisant sur cette mauvaise route. Ma camionnette faisait des bonds à cause des nids de poule, mais j'allais pas tarder à arriver. Cette route traversait ma propriété et aboutissait à un lac. C’était une voie privée, bordée de grands arbres. Exactement ce qu’il fallait pour la précieuse cargaison qui, j’espérais, était bien installée dans le coffre.
J’arrivai au terminus de la route, près du lac, et stoppai net. J’attrapai une bière dans la glacière posée sur le siège passager, et je sortis m’étirer les jambes. Les rayons du soleil caressaient mon torse tandis que j’observais la plage. L’eau devait être chaude. Je défis mes sandales pour aller vérifier. Elle était bien chaude, c'était très agréablle. J’avais envie d’aller piquer une tête, vu que je ne portais déjà plus que mon short noir, mais je décidais de m'attaquer aux choses sérieuses.
Je retournai à la camionnette, attrapai une couverture sur le siège avant, et l’étendis sur le sable. J’attrapai la glacière et mon sac de paquetage, et les posai sur la couverture, puis je me débarrassai de ma canette de bière vide. Je retournai à l’arrière du camion et ouvris le coffre. Mon trésor était toujours la.
Je l’avais choppé alors qu’il essayait de cambrioler mon chalet la nuit précédente. Il essayait de se glisser dans le sous-sol par une fenêtre restée ouverte, mais il n’avait pas vu que j'étais à l'étage et que je l’observais depuis une demi-heure. Quand il réussit à se faufiler, je descendis le rejoindre. J'allumai la lumière. Il se précipita aussitôt. Il fonça sur moi avec son blouson, son pantalon et son masque noirs. Mais il ne s’attendait pas à ce que je résiste et que je le plaque au sol.
« Vas te faire foutre, vieux schnock ! » cria t'il. Il continuait à jurer tandis que je l’immobilisai en lui maintenant fermement les bras derrière le dos. Je pense qu’il ne s’attendait pas à ce qu’un homme de 55a puisse prendre le contrôle sur lui aussi facilement. Je lui retirai son masque et découvris une tête qui devait avoir dans les 18-19 ans. C'était un blanc, avec de longs cheveux bruns, et une barbe d’un jour. Il était plutôt mignon, il devait être italien ou grec. Il avait pas mal de muscles, mais vu comme il avait été facile à neutraliser, il ne savait pas s’en servir.
« Pas besoin d’être aussi grossier, petit.» J’attrapai une corde qui trainait pas loin, sur l’établi , et je lui passai autour des poignets.
« Putain, qu’est ce que tu fais ?» Il se débattait sous moi, mes ses bras étaient maintenant liés.
« Aïe ! Merde !» Je l’attrapai par les cheveux et lui fit basculer la tête en arrière.
« Ecoute moi minus, ce soir t’as pas fait le bon choix en venant te frotter à moi. » Il essaya de me cracher dessus, mais je réussis à l’éviter en lui collant une baffe. J’attrapai un autre bout de corde. Cette fois-ci, je l’enroulai autour de ses jambes avant de serrer.
« OK, maintenant je vais te laisser quelques minutes pour que tu te détendes.»
Je remontai, le laissant se tortiller sur le sol. Je le laissai comme ça une bonne demi-heure, et attendis qu’il arrête de gémir.
Lorsque je redescendis, il était toujours couché sur le sol.
« - Alors ca y’es, les flics arrivent ?
« - Pas du tout, mon garçon. » Je me rapprochai, et m’assis sur le sol à coté de lui.
« Ils viennent quand ces cons alors, putain ! » grogna t’il.
« Arrête d'être aussi grossier !» Il roula les yeux en entendant mon reproche.
« - Comment tu t’appelles, petit ?
- Enculé !
- Tes parents devaient pas t’aimer beaucoup pour te donner un nom pareil ! »
Je me mis à rire. Il me regarda plein de mépris. Je le retournai, quasi sûr de trouver un portefeuille dans la poche arrière de son jean.
« C’est pas vrai que t’as été assez con pour venir avec tes papiers sur toi ? » demandai-je en écartant le portefeuille avec le pouce. J’eu la réponse, ainsi qu’une carte de crédit et une liasse de billets de 20 dollars.
« Donc, tu t’appelles Dan, c’est ça ? » Je balançai le portefeuille. « On dirait que t’as déjà réussi à gagner de l’argent ce soir. » Je mis la main dans la poche de son blouson, et trouvai des petits sacs de marijuana et des paquet de cigarettes.
« - Ah, un dealer. De mieux en mieux !
- Faut bien que certains s’y collent !» dit-il encore plein de mépris.
« Eh bien, Dan, tes petites affaires sont finies pour ce soir. » Je me relevai et attrapai une paire de ciseaux accrochée au mur. « Ce soir, fiston, tu vas dormir ici, en bas. J’espère que ça te dérange pas. »
Il se débattit pendant que je lui défaisais le blouson. Il portait un débardeur blanc dessous, et on apercevait les poils du torse et des bras.
Il protesta de plus belle pendant que je découpais au ciseau les manches de son blouson.
« Je pense que ce sera plus confortable comme cela. » dis-je. Je ne pus m’empêcher d’attraper un de ses tétons et de le pincer à travers le coton blanc.
« Hé, lâche moi lopette ! » me cracha t’il à la figure. Je pinçai le téton encore plus fort, et il se tordit de douleur.
« Ca m’embêterai de devoir en plus te bâillonner, petit. » J’attrapai l’autre téton et le pinçai à son tour. « Quelle jolie voix !»
« Va au diable, pédé ! » grogna t’il. Je sourit, puis je me penchai pour le lécher dans le cou, en remontant lentement jusqu’à l'oreille. Je fis la sourde oreille à ses jurons et à ses insultes, me délectant de sa sueur.
« Je repasserai demain matin, Dan. On va bien s’amuser tous les deux… »
« Va cramer en enfer ! » me lança t’il alors que je remontais les escaliers. J’avais toujours le goût de sa sueur dans la bouche, et ma bite de 20 cm était raide dans le jean. Ses cris continuèrent pendant que je me déshabillais pour aller au lit. Une fois couché, complètement nu dans le lit, je pouvais encore l'entendre hurler dans le sous-sol.
Je me levai en grognant, et ramassai le caleçon rouge que j’avais jeté un peu plus tôt sur le sol. Je redescendis les escaliers pour le rejoindre. Il se débattait encore.
« Tu as interrompu mon sommeil, garçon. » Il était inquiet de voir mon corps poilu complètement nu. Ma bite était encore raide, et un petit peu de liquide séminal perlait sur mon prépuce. Je me disais que mon corps était plutôt pas mal pour mon âge, j'étais trapu avec des épaules larges, pour un peu plus d’un mètre quatre-vingt.
« C’est quoi ce bordel, mec ? » Je l’attrapai par les cheveux et quand il ouvrit sa bouche pour crier, j'en profitai pour lui y enfoncer mon caleçon. Ses cris étaient désormais étouffés par le tissu, et je le saisis pour le trainer jusqu’à un pilier en bois.
« C’est l’heure de la punition. » dis-je en saisissant la corde et les ciseaux. Je le relevai et le plaquai contre le pilier, puis desserrai la corde qui maintenait ses bras suffisamment pour pouvoir faire le tour du poteau, avant de le rattacher solidement. Il se débattait, inquiet de ce qui allait arriver.
Je me mis à genoux devant lui, il avait les yeux remplis de peur. Je défis sa ceinture, et déboutonnai son jean. Il poussa un cri quand je fis glisser son pantalon jusqu’aux chevilles. Il portait un caleçon blanc.
« T'es plutôt pas mal. » Je souris en lui pinçant de nouveau les tétons. « Je pense que ta punition sera assez simple ce soir. Une gueule pleine de mon jus, ça devrait te plaire.»
Je me relevai. Ses yeux ne quittaient plus ma bite que je branlais à quelques centimètres de son visage. J'étais excité à mort par la vue de ce jeune garçon ligotté en caleçon, et en peu de temps je fus prêt à décharger.
« Tes prêt pour recevoir, bébé ? » C’était à mon tour de me moquer de lui. Il était entrain de dire non de la tête lorsque je me mis à gémir puis à balancer la purée blanche qui alla s’écraser sur son visage. Il en avait une partie dans les cheveux, et le reste dégoulinait sur son nez, ses joues et le caleçon qui le bâillonnait toujours.
Ses yeux se remplirent de larmes lorsque je lui étalai le reste sur les joues. Je lui glissai à l'oreille : « T’as pas niqué le bon gars ce soir, mais demain, ce sera encore mieux... » Je me mis à rire en lui pinçant une nouvelle fois le téton. Je baissai la tête et remarquai qu’une bosse assez importante était apparue dans son caleçon.
« Ca alors, on dirait que mon jeune cambrioleur apprécie ? ». Je me mis à lui palper la bite à travers le caleçon. C’est clair, il bandait. Je défis ses liens pour lui permettre de s’allonger à nouveau sur le sol, avant de le le ficeller de plus belle. Cette fois-ci, il n’essaya même pas de se débattre. Je retirai le caleçon de sa bouche, mais lui mis en bandeau sur le dessus de la tête.
Je récupérai son portefeuille avant de remonter en souriant. J’éteignis la lumière en laissant le garçon sangloter dans le noir, ligoté et excité.
[A suivre, contactez moi pour m 'aider à traduire le meilleur de NIFTY ]
Derniers Commentaires