Partager l'article ! PriSonnier de guerre (HiStoire XX par Steve QUENTIN): [Source : Steve QUENTIN sur MenOnTheNet] Terrain de jeux.Une quinzaine de prisonn ...
[Source : Steve QUENTIN sur MenOnTheNet]
Terrain de jeux.Une quinzaine de prisonniers ont été choisis pour servir d’attraction dans un « terrain de jeux » pas tout à fait ordinaire.
La nuit dans le dortoir .
Le prisonnier 205 a été amené dans la salle de punition , utilisée aussi pour les interrogatoires musclés. C’est un gars grand et robuste, brun de poil ; sa barbe bleuit ses joues. Poussé avec rudesse par Eric, , les bras menottés derrière le dos et les chevilles entravées, 205 entre avec fracas dans la pièce. Il est en baskets pourries, en jeans, et sa chemise déchirée laisse voir son torse puissant, couvert de longs poils noirs et luisants. C’est un costaud, l’équipe d’interrogateurs va avoir du fil à retordre avec celui-là. Il n’est pas prêt de cracher ses petits secrets.Il y a 4 « spécialistes » pour l’interroger, 4 mecs spécialement entraînés, capables comme personne de faire durer les petits « plaisirs » qu’ils ont inventés pour délier les langues les plus réticentes.
Il y a Marc, Philippe, Steve et John. Ces quatre gars sont jeunes, musclés, en pleine forme et vicelards comme personne. Ils disposent de tout le matos qu’ils veulent, fouets, matraques électriques, godes, menottes, gégène, et j’en passe. C’est des mecs qui savent pas séparer plaisir et boulot, quand ils torturent des mecs pour les faire parler, ils prennent leur pied. « Allez les gars, démarrez la séance, et le ménagez pas, il faut qu’il parle ; il faut qu’il nous dise où sont cachés ses p’tits copains »« T’es prêt à parler, 205 de merde ! Tu parles et tu t’évites de gros ennuis ! »Cette réponse n’a pas plu ! Elle est immédiatement sanctionnée par une grande mandale dans la gueule, c’est la spécialité de Marc, il en use et en abuse.Philippe :« On va commencer par le fouetter, à l’ancienne, ça devrait l’assouplir assez vite ! »On lui arrache sauvagement ses vêtements ; Philippe lui déchire sa chemise et s’attaque ensuite au futal avec son coutelas. Il ne faut pas longtemps pour que le jean soit réduit en morceaux et que le 205 ne soit plus vêtu que de ses baskets pourries et de son slip de coton blanc, jauni de pisse et de sperme séché. Putain !
Le paquet qu’il a entre les jambes, c’est du sérieux. Philippe le masse virilement à travers le coton, tout en roulant, de force, une pelle au prisonnier. Cette manipulation a pour effet de faire gonfler encore davantage la poche de ce slip « kangourou ». Philippe enlève maintenant le slip, sans le déchirer cette fois-ci et le passe à ses camarades qui en hume la virile odeur à tour de rôle Le voilà totalement à poil ; une bête superbe qui va morfler un max. Tous ses tortionnaires sont excités à l’idée de le faire souffrir, y a du sexe dans l’air. Le prisonnier est attaché, sans ménagement, de façon que tout son corps soit exposé aux morsures du fouet, sans possibilité d’y échapper. On lui attache les poignets à des bracelets de cuirs, eux mêmes fixés à une barre horizontale disposé de telle sorte que ses pieds touchent à peine le sol. La tension qui en résulte deviendra vite insupportable et son supplice n’en sera que plus cruel .Les chevilles son attachées de même, et on les lui fixe solidement au sol, en lui écartant bien les jambes.
Le poids de son corps est réparti sur ses bras tendus et sur le bout de ses pieds , son gros sexe pendouille entre ses jambes, son corps est déjà couvert de perles de sueur.« Allez, mon gars, embrasse le fouet avec lequel je vais te torturer, allez ! Ou tu préfères que j’ commence par te fouetter les couilles ? Hein ? Allez, c’est bien, c’est ça ! T’as sauvé ton service trois pièces» Philippe lui caresse le dos avec la lourde lanière du fouet, et il l’oblige de nouveau à l’embrasser, à la sucer.« Suce, mon gars, suce ! »et en même temps qu’il l’humilie avec ce fouet , il lui tripote le paquet, ce qui fait presque immédiatement bander le 205.Philippe s’est écarté de sa victime, le supplice a commencé.Le premier coup est tombé, classiquement sur le dos. Philippe a tout de suite mis la puissance, une zébrure s’est inscrite sur la peau du 205 et ça a l’air de faire mal . Philippe, c’est un pro, il attend que toute la douleur s’irradie dans tout le corps du gars, il le laisse reprendre son souffle, ………et tape à nouveau, et encore… et encore.Le supplice est sévère et il dure. Le corps de 205 est tendu ; la sueur ruisselle et tombe en lourdes gouttes sur le sol.
A chaque coup, son corps s’arque sous la douleur et la peau se couvre de vilaines zébrures : le dos, les cuisses, et encore le dos,.. là,.. là,.. une autre sur les épaules . « Tu vas parler, charogne ? Tu vas parler, hein ? Ou J’vais t’arracher la peau centimètre par centimètre.» Et le fouet tombe encore lourdement, à quatre reprises, sur les épaules et sur le dos écorchés de 205 dont le corps musculeux se tord à chaque fois sous l’atroce douleur.Schlack,Schlack, Il rue, comme une bête prise au piège, bandant tous ses muscles, il tente d’échapper à ses liens, mais il ne réussit qu’à se meurtrir davantage. Philippe est impitoyable et frappe virilement le corps du prisonnier ruisselant de sueur et de sang.Schlack , Schlack.« Laisse le nous, Philippe ; on va lui trouver de nouvelles distractions, plus sexuelles ; si tu vois ce que j’ veux dire. »Marc et John dépendent le prisonnier et l’attachent immédiatement dans une position guère plus confortable. Toujours à poil, évidemment, le prisonnier a le cou et les poignets enserrés dans un carcan de bois, une sorte de pilori qui lui maintient le buste horizontal ; il a les jambes écartées, les chevilles à nouveau fixées au sol, du coup, son cul est largement offert et son sexe totalement à la merci de ses tortionnaires .
John revient avec un grosse queue en caoutchouc rose, un bon 25cm , très réaliste, avec les couilles à la base. Il l’approche de la gueule du prisonnier :« Suce-la, tu vas t’ la manger toute par le cul, mon gars, dans un tout petit moment.On va t‘ l’enfoncer jusqu’aux burnes. Il va falloir que tu t’ la carres toute entière dans ton sale cul d’ puceau ; crois-moi, tu vas jouir ! T’es sûr qu’ t’as toujours rien à nous raconter, hein ? »Cette perspective d’enfoncer ce gros gode dans un cul de puceau fait marrer tous les gars ; ils se tripotent tous plus ou moins le paquet et sont dans un état de semi-érection qui les rend encore plus sauvages.John barbouille la rondelle du gars avec un peu de gel, il en enduit également la verge artificielle, il s’amuse un peu avec le cul du gars, lui enfonce un doigt, puis deux, le prisonnier pète, et lâche un gros étron.« Salopard, tu peux pas t’ retenir, tu vas m’ la bouffer c’ te merde ! »Ils se marrent tous comme des malades, Marc et Steve se foutent en slip et viennent péter à la gueule de205 , ils lui barbouillent la gueule avec sa propre merde.« Tu sens la merde comme c’est bon, le sale pet puant, t’aimes ça, hein ?
Allez prend ta dose, respire fort mon gars, te prive pas ! »John approche la tête monstrueuse du gode du trou merdeux, et commence d’appuyer avec force pour violer ce petit trou du cul de puceau. Ah, ça fait mal, mais John est sans pitié. Il augmente progressivement la pression. Et ça passe ! Mais ça fait mal, très, mais alors très mal, si on se fie aux cris qu’il pousse, l’enculé ! John est un as, il pousse le zob en caoutchouc impitoyablement, inexorablement, sur toute la longueur sans tenir compte des cris et des protestations. Il le fait carrément étouffer du cul, le gars !« Tu vas gentiment garder ça dans l’ fion, mon gars et on s’occuper gentiment de ta bite, entre hommes ! Nous, on sait ce qui fait du bien, et ce qui fait bobo à une grosse bite comme ça ! Ah ! Ah ! Ah ! »C’est Marc qui se fout de la gueule du prisonnier ; tout en lui parlant, il lui fourre la gueule dans son slip à lui , l’obligeant à sentir son paquet ; la grosse teub de Steve est encore à moitié flasque, elle pue, mon salaud, il la passe sur la gueule de 205 qui doit supporter l’humiliation de sentir la bite d’un autre mec, lui, l’hétéro pur et dur , lui qui déteste les PD et tout ce qui y ressemble, avoir la queue puante et les deux grosses couilles poilues d’un mec sur la gueule sans pouvoir rien faire que de subir ! Marc a décroché le matos électrique, gégène, grosses pinces métalliques, il commence par masturber le prisonnier qui, malgré son dégoût et les souffrances bien réelles qu’il endure, ne peut pas s’empêcher de réagir aux caresses de Marc qui sait y faire.
Le voilà qui bande , et royalement encore !Alors ce vicieux de Marc installe les pinces, une sur le frein, l’autre au scrotum.Putain, les yeux du gars s’agrandissent, il a peur, et même vachement peur ! « T’as salement raison d’ mouiller de peur, mon gars, car tu vas dérouiller, tu ferais mieux d’ nous faire tes p’ tites confidences, non ? »Et on commence à tourner la manivelle !Le courant lui mord la bite et les couilles, il pisse et jute en même temps ; quand Marc tourne la manivelle , le courant lui traverse toute la hampe du sexe, et les couilles en prime , c’ est assez méchant. Le type perd tout contrôle de lui , il a l’impression qu’on lui découpe le sexe en morceaux.« Bien sûr que tu vas tu nous dire, mais avant , y aut qu’ tu reçoives une bonne vingtaine de décharges, mon gars, faut déguster jusqu’au bout ! Et on y retourne ! »Marc est un artiste ; il varie l’intensité pour surprendre sa victime ; ce pauv’ 205 n’en peut plus, il pisse sous lui. Il a toujours le gros gode dans l cul. Entre deux giclées de courant , John s’amuse à le lui retirer et à le lui ré-enfourner sans ménagement, ce qui le fait gueuler comme une truie. Y a de la merde et de la pisse partout. 205 implore, gueule pour qu’on arrête son supplice mais Marc, John et Steve sont impitoyables.
Les décharges se succèdent, à chaque morsure le corps du prisonnier s’arque involontairement et ébranle le carcan qui le maintient entravé.Marc : « Stop, les gars ; il ne va rien dire pour le moment, c’est clair. Ne l’abîmons pas, du moins pas encore ! Laissons le reprendre des forces ; j’ai une meilleure idée pour obtenir les renseignements que nous voulons. Le prisonnier est soignée, on le libère de son gode, on détache les pinces de son sexe meurtri et on le ramène en cellule aparès lui avoir administré quelques médicaments.Deux jours plus tard…..Un jeunot a été amené dans la salle de torture, il n’a pas plus de 18 ans ; c’est un jeune gars qui était sous les ordres du prisonnier 205. Il a les yeux bandés, il est en slip ; lui non plus il n’en n’a pas changé depuis une dizaine de jours au moins ;même s’il n’est pas très grand ni très musclé, lui aussi est manifestement gâté par la nature : le slip est bien garni ! Le gamin est solidement attaché, debout , bras et jambes écartés.On amène le prisonnier 205, en slip et baskets. On enlève le bandeau qui aveuglait le jeunot :« Capitaine ! Capitaine ! Délivrez-moi, je vis dans un cauchemar !»Splash !
Une bonne baffe dans la gueule, ça calme.« Ta gueule, p’tit con. Ici tu causes quand on te l’ordonne ! »Marc s’adresse au prisonnier 205 tout en lui malaxant le paquet pour le faire bander:« T’as pas voulu causer l’autre jour, hein ? On a inventé un autre truc, c’est toi qui va faire causer cet homme qui était sous tes ordres, il a de l’admiration pour toi, il t’aime bien. C’est toi qui va le « travailler » jusqu’à ce qu’il parle. Si tu refuses ou si tu n’y arrives pas, on s’occupera sérieusement de toi : t’as une grosse queue et de fort belles couilles, hein ? Eh bien on pourrait te les fouetter jusqu’à ce que tout ça deviennent de la bouillie à faire bouffer par les clébards, ou bien te les électriser pendant des jours et des jours, et pour finir te découper tout ce matos en fines lanières. Qu’est-ce que t’en penses ? » « O.K. »Le prisonnier n’a pas été long à convaincre, il sait que ses bourreaux sont des vicieux , il a déjà expérimenté leur technique, il sait aussi qu’il n’est pas prêt à souffrir le sacrifice de sa queue et de ses burnes. Il se dit que le gamin parlera rapidement et qu’il n’aura pas besoin de le torturer trop méchamment.« Vous allez pas m’ frapper, capitaine, vous allez pas m’ frapper ? »Le gamin tremble de peur et de déception, il ne peut pas croire que son capitaine veuille lui faire du mal. Ses yeux s’agrandissent d’horreur quand Marc et Steve le détache pour l’accrocher à une barre, pieds et poings liés, dans la position du « perroquet », il est recroquevillé sur lui même, exposant à la fois son cul et ses pieds . On lui arrache ses chaussures et son slip, lequel est trempé dans un seau plein de pisse et on le lui enfourne délicatement dans la bouche pour le faire taire. « On verra si tu as quelques petits secrets à nous confier quand tu auras reçu ta première correction »Les 4 tortionnaires se marrent, ils filent une cravache au 205 et lui ordonnent de frapper la plante des pieds du gamin. Steve, Philippe , Marc et John sont comme au spectacle ; ils vont jouir de guider cette sévère correction qu’ils infligent au jeune gars, sans aucune pitié, par l’intermédiaire de son propre capitaine, qui n’est pas un héros dans cette histoire.« Allez tape ! Lui fais pas de cadeau ! »Le 205 a honte de ce qu’il va faire, il commence à frapper la plante des pieds du malheureux qui geint dans son bâillon pisseux ; pourtant 205 y va plutôt mollo.« On t’ dit d’ cogner ! Pas d’ le caresser ! »C’est Marc qui joignant le geste à la parole, tord les couilles de 205 , histoire de lui montrer ce qu’il risque en voulant ménager sa victime.Schlack, schlack…205 a compris la leçon, il se met à frapper sévèrement les pieds du gosse qui voudrait crier, mais ne réussit qu’à s’étouffer dans le slip qu’on lui a si gentiment assaisonné, avant de le lui foutre dans la gueule.
La punition dure ; il a mal le gamin, ses pieds commencent à enfler. Quant à 205 , on dirait qu’il y prend goût ; le voilà qui bande, c’est effrayant, sa queue monstrueuse atteint probablement les 28cm ; il frappe de plus en plus fort, enivré par la violence qui l’excite. Le bourreau et la victime ruissellent tous les deux de sueur. Les 4 pervers s’astiquent mutuellement le zob.John : « Arrête-toi, Arrête-toi qu’on t’ dit ! Prend ce martinet et fouette-lui le cul et les cuisses. »La correction reprend, systématique, régulière, sévère. Il arrive qu’une lanière s’égare sur une couille ou sur la verge du môme, même s’il ne peut même pas crier, on sent bien qu’à ce moment là la douleur gagne en qualité !« Stop ! »« Alors, on a des petites choses à nous confier ? »C’est John qui s’est approché tout près du visage du gamin, il lui a enlevé son bâillon, il est parcouru de frissons, il pleure. John qui n’est pas dégoûté par la pisse dont le gosse est imprégné, il lui parle gentiment dans l’oreille, le lèche, le mordille, lui roule un patin. Il faut le consoler un peu, mais ça n’a pas l’air de lui plaire ; Ah ! ces hétéros purs et durs ! « Laissez-moi, laissez-moi, j vais tout vous dire, tout !»Et le gosse se déballonne, il révèle tout, sanglote, tremble , crie, cherche à se libérer de ses liens sans y parvenir évidemment. John le soigne un peu, met de la crème sur ses pieds, sur ses fesses.« Tu vas avoir ta récompense, mon gars ; on va te faire un beau cadeau. : La bite de ton capitaine. Ton capitaine va t’enculer ; tu vas avoir la grosse bite de ton capitaine dans l’ cul !
C’est un beau cadeau, non ? » Et les 4 mecs de se marrer comme des dingues, devant la gueule effrayée du gosse.Le gamin est rapidement détaché ; ankylosé, les pieds meurtris, il tombe, on le relève et on l’attache sur une table pas trop haute, solidement fixée au sol ; il est sur le dos, les jambes en arrière et les chevilles reliées par une corde aux poignets qui , eux, sont menottés sur la table. Son cul dépasse légèrement du bord de la table. Marc apporte des bites en plastique de tailles différents, du gel , des pinces « crocodile »et des poppers. Les pinces, c’est Jon qui s’en occupe, il en fixe une sur chaque téton du gamin, lequel gamin commence à gueuler, immédiatement John lui refout le slip dans la bouche et il rajoute une vieille chaussette puante pour faire bonne mesure. Donc John accroche les pinces , il les attache à une chaînette métallique dont il fixe l’autre extrémité au collier de cuir qu’il a mis autour du cou du gosse. Comme la tête dépasse de la table, elle n’est pas soutenue et le môme est obligé de tendre les muscles pour maintenir sa tête, faute de quoi il tire sur les chaînes et se blesse les bouts des seins. La position est inconfortable, et le sera de plus en plus au fur et à mesure que le temps passera : ‘est un peu étudié pour !Marc s’adressant au 205 : « Tu vas lui enfiler un de ces godes pour lui élargir un peu la rondelle avant de l’enculer avec ton gros mastard. Si tu le mets directement, il risque d’être déchiré ou même perforé. »Le 205 a pris la plus raisonnable des bites artificielles, il l’a enduite de gel, il met également une grande quantité de gel à l’entrée du petit orifice vierge. Il commence par faire pénétrer un doigt, puis deux. Il masse patiemment les bords du trou, puis tout aussi patiemment l’intérieur. Malgré toutes ces précautions et toute cette douceur, le gamin halète, il a peur, et puis il commence à fatiguer, ses muscles du cou se tétanisent, les pinces mordent cruellement ses bouts de sein. 205 se décide à présenter la tête du nœud en plastique, il pousse de façon ferme et continue. Le gamin est parcouru par un spasme, les chaînettes se tendent et on sent bien qu’il a essayé de hurler, mais le slip et la chaussette ont étouffé son cri de douleur.205 enfonce la petite bite sur toute la longueur et lime régulièrement le cul du gamin qui se crispe et manque d’étouffer. Le prisonnier continue de limer pendant 5 bonnes minutes, il ressort complètement le gode, le ré-enfonce à plusieurs reprises et lime plus vite et plus violemment.Philippe : « Stop ! C’est assez pour la préparation, tu passes aux choses sérieuses et tu ne le ménages pas. J’ veux qu’il ait son cadeau à fond dans l’ cul dans moins de trois minutes, montre en main ! »Putain, ça va faire mal ! Le 205 a une trique du tonnerre ! son gourdin est énorme , son gland violacé est effrayant et la hampe dure comme du béton est parcourue de grosses veines gonflées de sang. 205 ne se maîtrise qu’à peine, il halète lu aussi ; il présente sa queue devant le petit orifice. John a enlevé slip et chaussette de la bouche du malheureux gosse, et il lui présente le flacon de poppers.« Respire, p’ tit gars, respire fort, ça va t’aider ! »Le prisonnier appuie la tête de son membre sur ce cul sacrifié, il appuie toujours plus fort, mais rien n’y fait , ça ne passe pas, les secondes passent, il faut se décider ; un violent coup de rein….et l’entrée est forcée. Non , il n’a pas été déchiré, mais il a mal, oh putain ! Il a mal. Le 205 enfonce petit à petit le membre sur toute la longueur , ça prend du temps d’enfoncer 28 centimètres dans un petit cul vierge qui n’en veut pas ! Pendant l’opération, les 4 salauds se sont mis à s’astiquer la queue, ils bandent tous les quatre comme des ânes. John passe sa queue puante sur la gueule du gosse. Marc appuie méchamment sur les pinces croco, histoire de lui meurtrir un peu plus les chais délicates et sensibles de ses seins.Le pauv’ gosse ne sait plus où donner de la tête, il étouffe du cul, 205 le lime en professionnel, jusqu’au fond ; il ressort complètement sa lourde queue couverte de merde et la ré-enfonce immédiatement, provoquant de nouvelles douleurs insupportables et de nouveaux cris. Merde, le gamin s’évanouit.Philippe : « Merde ! Sors ta queue, on va le ranimer, il faut qu’il ne perde rien de son gros cadeau ! »John fait une petite piqûre au gamin qui reprend petit à petit ses esprits. C’est pour crier comme un putois !Philippe : « Y faut rester avec nous mon gars, t’as pas encore eu tout ton gros cadeau, tiens ! Respire un coup ! »« Vas-y, pointe-le ! »Le prisonnier qui bande toujours aussi dur, encule une nouvelle fois le gamin qui part encore dans les pommes.Philippe le réveille à nouveau avec un peu d’eau, les effets de la piqûre devraient être suffisants. Ouais ! Il revient à lui et 205 qui n’avait pas déculé reprend son limage, obstinément, régulièrement, virilement. Voilà un bon quart d’heure que ça dure , les souffrances du gamin paraissent infinies, elles paraissent aller toujours en s’accroissant. Le prisonnier accélère le rythme, ils se branlent tous à mort là-dedans, 205 pistonne le gamin comme un malade, il va juter, il va juter. Le corps de 205 s’arque , il projette sa queue violemment au fin fond du cul du gosse ; il balance la purée, 4 , 5, 6 giclées. Les quatre salopards jutent à leur tour sur la gueule du gamin qui pleure, sanglote, et crie de douleur et de honte. Il a plein de sperme sur le museau, du sperme de la bonne jute qui se mélange à ses larmes. John mi retire ses pinces, 205 décule sa grosse pine pleine de merde et viens la faire sucer par le petit gars qui n’en peut plus. Il suce, automatiquement, attention, il a gerber. «John ; « Allez, on arrête là. Le p’tit gars sera de dortoir ce soir, il a de l’expérience maintenant, et 205 sera puni demain pour avoir dégueulassé ce viol de merde» Ah putain, les salauds, y vont m’ torturer !Pas y couper, et ça n’a pas l’air de mauviettes, j’ vais déguster !« Merde ! »« Ahhhhhh !. » Putain, ça fait mal, et j’ vais m’en prendre combien comme ça ! « Ahhhh ! »« Ahhh !…Ahhh… ! »A les salauds, C’est dégueulasse, y vont m’ faire gerber ces sales P.D. à m’enfoncer ce gros gode merdeux dans la gorge.Ah, les salauds, les salauds. J’suis qu’une larve pour supporter ça, merde !« Ahhhhhhhhh ! Ahhhhhhhh ! »« Putain, j’ai mal, y m’ont défoncé le cul, j’ai mal, « Ahhhhhh ! Non ! Assez ! Assez ! Pitié ! Ahhhh ! »« Ahhh ! Aïe ! Assez ! Assez Arrêtez Ahhh ! »« Ahhh ! Ahhh ! Arrêtez ! Pitié , j’vais parler, Ahhh ! Ahhh ! Mais, arrêtez ! Merde, j’vous dis que je vais tout vous dire. Non ! non ! nooon !Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! « Non ! Non ! »« Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! »«huummm !…… »« Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! »« Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! »« Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! »« Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! Assez ! Assez ! J’ vais mourir, laissez-moi, laissez-moi Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! » « Ahhh ! Ahhh ! Ahhh ! »
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