Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 09:16

Je suis pour sécuriser l'archivage des très bonnes histoires en les copiant. Celle-ci, publiée par Rhadel sur Gai-éros le mérite. J'attends la suite avec impatience !

Arnaud S.

 

Depuis le remariage de ma mère, je vis avec mon beau-père et mon demi-frère. Le climat familial est quelque peu tendu, nous ne sommes pas ce qu'on pourrait appeler une famille modèle. Nous vivons dans un petit appartement situé dans un quartier pauvre d'une grande ville, et ma mère s'absente souvent plusieurs semaines pour son travail. Mon beau-père me laisse habituellement tranquille, il travaille souvent tous les jours et revient très tard la nuit, complètement bourré.

Mon demi-frère a 26 ans, 8 de plus que moi. Il a un diplôme en mécanique, mais il ne s'est jamais trouvé d'emploi. Il mesure 1m75, il a les cheveux noirs, les yeux noirs, il s'entraînait donc il est musclé, mais depuis qu'il a arrêté il a pris un peu de ventre. Quand il est à la maison, il est dans sa chambre, le demi sous-sol de l'appartement, et il boit en regardant la télé. Ma chambre est beaucoup plus petite. C'était un grand débarras, il y a de la place pour mon lit et ma penderie, un bureau et c'est tout. Étant donné que c'est mon beau-père qui paie l'appartement, je suis chanceux de pouvoir rester même si j'ai eu 18 ans le mois passé.

Je mesure 1m60, et je suis plutôt mince, les cheveux blonds, imberbe, et ma queue fait 14 cm bandé. Pas trop top pour impressionner les filles. J'suis beau quand même, mais je n'ai jamais eu de copine. Je suis un peu gêné, je n'ai pas beaucoup d'amis. Je termine mes sciences pour entrer en fac de médecine l'an prochain. Ma mère ne veut pas que je travaille, donc elle me donne ce qu'elle peut pour mes dépenses.

Ce matin, en me levant, je vois une note sur la table. Ma mère est partie pour deux semaines, elle a dit qu'elle a laissé de l'argent à Alex (mon demi-frère) pour qu'il me la donne: "Je ne voulais pas la laisser sur la table, tu connais ton beau-père..." Merde, je connais aussi mon demi-frère. Autant dire que cet argent, je l'aurai pas. J'entends un genre de râle étrange venant de la chambre du fond, mon beau-père se lève, je cache le mot. Il ouvre la porte de la chambre, il est aussi grand que son fils, l'exacte réplique avec vingt ans de plus. Il porte un slip blanc et un t-shirt. Il s'approche de moi, en se grattant l'intérieur du slip, il sent la dèche, il vient de se crosser. Il sort sa main et me fout deux petites claques sur la joue. Il prend deux secondes pour me regarder de haut en bas, je porte un boxer noir moulant.

— Ça va toi ce matin? Criss que t'es maigre.

— Oui, ça va.

— Ta mère est partie, non? Ha. Écoute, moi aussi je pars, je vais à la chasse avec mon frère pour quelques jours. Tu vas t'occuper de la maison?

Il sait très bien que son bon à rien de fils ne fera rien pour entretenir la maison.

— Oui, je vais... faire le ménage là.

— En tout cas c'est mieux d'être propre quand je reviens.

— Oui, si c'est pour m'empêcher de te voir la face pendant quelques jours, ça vaut la peine.

— Petite merde haha.

Il me claque la joue "affectueusement". Cette fois, je sens quelque chose d'humide sur ma joue. Il avait encore un peu de dèche qui lui était restée de sa crosse matinale. Je me retiens de lui exprimer mon dégoût jusqu'à ce qu'il parte, puis je cours me laver le visage à la salle de bain. Puis j'ouvre le réfrigérateur. Merde. Plus rien à manger. Bon, je dois aller voir si Alex est réveillé, et essayer de le convaincre de me donner l'argent que ma mère lui a remis pour moi.

Je cogne à la porte du demi sous-sol: pas de réponse. Je vais voir s'il est réveillé, puis sinon, j'attendrai. En ouvrant la porte, je sens un mélange de bière, de sperme, de sueur et de je ne sais quoi. De façon surprenante, l'odeur ne m'est pas tant désagréable, je me suis un peu habitué à l'odeur d'Alex depuis que je vis avec lui. La seule petite lucarne du sous-sol est couverte avec un drap, il ne fait pas très clair. Doucement, je l'appelle, avec une voix un peu tremblotante parce que je suis un peu intimidé par lui :

— Alex, t'es réveillé?

Pas de réponse, je l'entends respirer. Il dort profondément. Je ne sais pas pourquoi, mais je descends le reste de l'escalier. Arrivé en bas, je regarde un peu le déluge: Des vêtements partout, des bouteilles de bière, un équipement de hockey accroché à la porte de la garde-robe (la seule activité physique qu'Alex pratique, à part baiser des filles louches) et Alex dans son lit. Il est sur le dos, bien écarté, avec une camisole blanche usée et un slip qu'il doit porter depuis 3 jours. Il a une bosse dans son slip, je me surprends à la regarder pendant quelques secondes, puis je vois sur sa table de "travail" un verre rempli de bière. Comme il y a de la vaisselle à faire, je décide de prendre le verre et de retourner en haut en attendant qu'il se réveille. Je prends le verre et je m'apprête à mettre le pied sur la première marche...

— Ça fait longtemps que tu me mattes? (Je n'avais pas remarqué qu'il s'était réveillé)

— N... Non, heu, je veux dire, je voulais savoir si t'étais réveillé, p... parce que...

— Ça fait que tu viens me voler mon urinoir, christ de dégueulasse.

— Ton urinoir?

Je regarde le verre de bière que j'ai à la main, et ce qu'il y a dedans, ce n'est pas de la bière, ça sent la pisse et je me rends compte que ça sent fort.

— Désolé, je pensais que c'était de la bière... Je... je vais remonter faire la vaisselle... pis redescendre tantôt...

Je pose le verre sur la table, et je cours remonter l'escalier

— T'oublies pas quelque chose? Dit Alex, Vide-le pis lave-le, tu me le ramèneras en redescendant.

Au lieu de protester, ce qui serait normal, je prends le verre et je remonte. Je le pose à côté du lavabo. Je tremble, j'ai des sueurs froides. Je ne sais pas pourquoi, mais Alex m'intimide vraiment. Peut-être parce qu'il est le genre de mec que je voudrais être, plein d'assurance, qui a du succès avec les filles. En même temps non, c'est un trou de cul qui ne fait rien de sa vie. Mais pourquoi je tremble comme ça alors? Et merde, pourquoi je lui lave son verre plein de pisse? Avant de le vider, je le sens un peu, c'est une odeur rance, comme celle que j'ai sentie en entrant dans le sous-sol, mais en concentré. J'ai honte, je vide le verre dans le lavabo et je lave la vaisselle. Après, je vais enfiler un t-shirt et un jeans serrés. À peine revenu dans la cuisine, j'entends Alex qui m'appelle. Je prends son "urinoir" et je descends. Autant être gentil avec ce malade si je veux mon argent.

En arrivant en bas, je le vois assis dans son lit, il a enfilé des bas sales et tachés.

— Donne-moi le verre.

— Merde... T... Tu vas pas...

— T'es malade. T'as beaucoup trop envie de la voir, ma queue. Tu penses que j'vais la montrer à une tapette comme toi?

— J'suis pas... t'es cave[1]... Ma mère t'a donné de l'argent pour moi, y'a rien à manger et j'dois aller...

— Ouais, je sais. Dommage, tu mangeras la semaine prochaine. Ou t'as qu'à aller faire ta pute sur le trottoir. J'pense que ton petit cul pognrais[2] bien avec les vieux pervers. Haha, t'es fait, mon gars.

— Pis toi, tu vas manger quoi? T'es... t'es même pas capable de te faire cuire...

— J'vais aller au resto du coin, t'es con ou quoi? J'en ai de l'argent, moi.

Je déteste qu'il me coupe la parole chaque fois que j'essaie de dire quelque chose. On dirait qu'à chaque fois, je me sens plus nerveux. Il a une espèce de sourire fendant, les cheveux courts en bataille. Le genre de gars que je détestais au secondaire, mais en version adulte et encore plus raté. Je fuis son regard, mais je sais qu'il sait que je suis nerveux. Ça parait dans son visage qu'il a une idée derrière la tête.

— J'ai une idée, dit-il, mon père est parti pour quelques jours, non? Il t'a sûrement demandé de t'occuper de l'appart. Alors, c'est ça le deal. Tu fais la bonne. Tu fais ce que je te dis de faire, je te paie.

— T... Tu le sais que je vais le faire anyway, le ménage. Donne-moi juste mon argent et t'auras même pas à parler.

Il a un rire inquiétant, puis il dit : - Mais c'est bin plus drôle si je te bosse, et comme tu l'as dit, tu le ferais anyway.

Ma nervosité fait temporairement place à l'exaspération : - Okay, fais-toi plaisir.

— Okay, tapette, ramasse mon linge pis lave-le.

C'est rapide. De l'exaspération naissante je repasse à la nervosité, en plus d'avoir un genre de début d'excitation dans le bas-ventre. Le ton de son ordre, sa voix autoritaire en étant calme, agressive et virile... C'est la nervosité, sûrement. Je ne peux pas être excité. Je ne suis pas gai, il peut m'appeler "tapette" tant qu'il veut, quand je crosse ma petite bite, c'est pas du tout à des mecs que je pense. Et encore une fois, au lieu de protester, j'obéis. Il s'assit sur le bord de son lit et me regarde faire. Je prends le panier à linge, je ramasse les vêtements. Alex porte ses vêtements plusieurs fois avant de les laver. Ils sentent la sueur, la bière...

— T'es con ou quoi? Celui-là, je l'ai porté une fois. Sens-les avant de les mettre dans le panier.

— Quoi? Au pire je les lave tous, on s'en fout.

— Je te paie pas pour chiâler, tu veux bouffer? Alors tu fais comme je dis.

Il a raison. Je ramasse un vêtement au hasard. Merde, son jock-strap de hockey. J'hésite quelques instants, puis je le sens rapidement. Il sent vraiment fort la sueur... et la pisse? Pas de doute, il a pissé dans son jock-strap. Pendant ce temps, Alex se marre. J'ai vraiment honte. Mais l'odeur provoque une espèce de picotement dans mon boxer. Après avoir tout ramassé, je me dirige vers l'escalier.

— T'en oublie un...

Il pointe un slip entre ses deux pieds. Non, il ne se penchera pas pour me le donner. Je m'approche et je le prends. Au même moment, il se lève, et le boxer qu'il porte se frotte sur mon visage. Je disais qu'il le portait depuis trois jours? Mettez-en quatre. Et en plus, il s'est crossé dedans ce matin, un peu de dèche reste collée sur mon nez. Je lève la tête, il est beaucoup trop grand. Je suis à ses pieds, littéralement. J'aurais envie de le tuer en ce moment, mais je suis tétanisé. Il a les yeux à moitié fermés et il rit. Je pense perdre connaissance quand je vois qu'il a MON blackberry dans la main.

— Pendant que tu t'amusais à sniffer mes vêtements, j'ai pris des photos. Je viens de les envoyer sur une adresse fantôme. Après, j'aurai qu'à faire suivre à ta mère, à mon père, à tes 2 ou 3 petits amis connards qui trainent trop ici à mon goût, et à quelques autres personnes aussi. Ça serait pas mal drôle, non? Comme ça, tout le monde saurait que t'es rien qu'une criss[3] de salope qui trippe à sniffer mes vieux boxers. T'en dis quoi?

Je suis solidement dans la merde. Je ne peux pas le laisser faire ça. Je le supplie, et, comble du pathétique, je me mets à pleurer, à genoux devant lui. Il a une drôle d'étincelle dans les yeux, quelque chose de pas du tout rassurant. Et il a toujours son sourire malveillant.

— T'es vraiment une petite merde, j'ai presque pitié de toi. Mais ça me donne une idée, tiens. Si tu veux pas que j'envoie ces photos à personne, faudra que tu sois ma bonne, pis que tu fasses tout ce que j'te demande, même les choses les plus dégradantes, t'as compris?

Il a un petit rire sardonique, je le connais, il est complètement malade, je ne peux pas accepter ça.

— T... Tu veux pas qu'on essaie de s'arranger...

Il me fout une claque puissante sur la gueule. Je suis presque sonné. Il se met à crier

— JE T'AI PAS DEMANDÉ TON AVIS, JE T'AI DEMANDÉ SI T'AVAIS COMPRIS QU'À PARTIR DE MAINTENANT T'ES MA BONNE, TAPETTE.

Il prend mon blackberry et il commence à appuyer sur les touches. J'ai pas le choix. J'ai trop honte.

— Oui... je suis ta bonne, mais s'il-te-plaît n'envoie les photos à personne.

— J'vais faire ce qui me plaît, tapette. Et si tu me fais une autre demande, j'envoie aussitôt les photos. J't'explique: C'est moi qui commande. Tu ne poses pas de questions, tu fais seulement ce que je te dis. C'est pas trop dur pour ta petite tête de fif, ça?

— ... J'ai compris.

— Maintenant, il va falloir te trouver un costume qui convient à une petite merde comme toi. Lève-toi pis bouge pas.

Je me lève en tremblant, je sue à grosses gouttes. Il est toujours en camisole et boxers devant moi. Je suis au niveau de ses aisselles. Poilues, avec une odeur de mec qui a oublié son déo pendant quelques jours. Il reste là devant moi quelques instants, il me fixe intensément mais je fuis son regard. Tout à coup, il empoigne le col de mon t-shirt avec ses deux mains, il m'étrangle un peu puis d'un mouvement sec il le déchire. Je pousse un petit cri aigu. Ensuite, il prend une paire de ciseaux qui traîne pas trop loin et me les tend.

— Découpe ton jeans.

— Je... je peux juste l'enlever...

— DÉCOUPE-LE CÂLICE

Et il me crache au visage. Je porte d'instinct ma main à mon visage pour l'essuyer, mais il m'arrête en me tordant le bras.

— Tu laisse couler ça, une petite merde comme toi mériterait bien pire que deux crachats dans face.

Et il me crache encore dessus. En me concentrant pour ne pas trembler, je découpe mon jeans et je me retrouve en boxers devant Alex. À côté de lui, je suis ridicule. La force avec laquelle il a déchiré mon t-shirt, la façon dont il m'a tordu le bras. Je suis terrorisé et comme captivé par lui en même temps.

— Découpe tes boxers, maintenant.

J’hésite quelques instants, assez pour recevoir une nouvelle baffe. Je suis sûr d’avoir les marques de sa main sur la joue. Je comprends que je n’ai pas le choix. Mes boxers tombent par terre. Je suis nu, imberbe, et si bandé ma queue fait 14 cm, à plat c’est tout aussi ridicule. D’ailleurs, Alex rit maintenant très fort. Il en profite pour prendre une photo. Je sais que je ne dois pas protester.

— T’ES UNE VRAIE TAPETTE TOÉ CRISS, dit-il en continuant à rire, T’AS VRAIMENT UNE P’TITE QUEUE!

Il cesse de rire soudainement et sort de dessous les couvertures un collier et une laisse en cuir usé qui appartenaient sûrement à un chien qu’il a eu. D’ailleurs, sur la médaille, il est écrit « Propriétaire : Alex ». Il m’enfile le collier autour du cou, et je me remets à pleurer. Il prend ensuite la laisse et la tire vers le bas avec un mouvement sec

— À QUATRE PATTES, MA CHIENNE.

Il me guide et m’emmène ensuite en haut. Mes genoux s’éraflent sur l’escalier et il s’en fout, il ne fait que tirer plus fort. Il m’emmène jusqu’à la chambre de mon beau-père. (Ma mère dort dans une autre chambre, qui était avant un bureau, mon beau-père a donc la chambre des maîtres à lui tout seul.) En entrant dans la chambre, je sens la même odeur que dans le sous-sol, en plus musqué. J’ai horriblement peur. Alex me tire jusqu'à la garde-robe. À l’intérieur, plusieurs vêtements sur le sol et une odeur de dèshe incroyablement puissante.

— Ça c’est les torchons à dèshe de mon père, comme toi tu vas devenir le mien. À chaque crosse, mon père prend un vieux slip ou des shorts et se décharge dedans. Comme ça, il peut les garder toute la nuit et pas avoir froid au cul. Salope, tu les prends dans ta gueule un par un et tu me les montres, je vais choisir ta tenue d’esclave.

L’odeur est repoussante, j’en prends un qui ne semble pas trop pire dans ma gueule. Alex rit et, bien sûr, il prend une photo. Je lui montre un short de sport noir bien taché, une camisole jaunie et bien odorante, et il tire soudain sur la laisse.

— CELUI-LÀ, DANS LE FOND.

Je m’avance jusqu’au fond et je prends un slip blanc troué, taché et bien garni de dèshe séchée dans ma gueule. Ma salive trempe le slip et je peux goûter au sperme de mon beau-père. J’ai un haut-le-cœur, mais à l’idée de cette humiliation, j’ai presque une érection et ça me dégoûte.

— MET LE SLIP.

Je le mets ou du moins ce qui en reste. L’élastique est trop grand et il est troué de partout. On peut encore clairement voir mon trou et ma queue.

— Tu es bien obéissante, salope, mais maintenant j’ai envie de pisser. Tiens, dit Alex en me donnant un verre pareil à celui du sous-sol, c’est l’urinoir de mon père, tiens le devant toi pour que je me soulage. Si tu lâches le verre, tu sais ce qui t’attends. ET TU ARRÊTES DE TREMBLER.

Je suis rouge de honte. Par la fente de son boxer, Alex sort une queue au repos et pourtant presque plus grande que la mienne lorsqu’elle est en érection. Il la place au-dessus du verre et presque aussitôt un flot jaune foncé sort de sa queue. Il n’a pas relevé la peau de son prépuce, bien sûr il a fait exprès. Résultat, le quart de la pisse se retrouve sur moi. Quelques gouttes viennent jusqu’à mes lèvres, c’est amer et dégueulasse.

— Petite merde, t’en a pris la moitié sur toi, criss. Même pas capable de faire ce qu’on te dit. Tant pis. Bon, j’ai faim. Tu m’attends dans cette chambre, et tu ne te lave pas, c’est compris? T’inquiètes, cette semaine tu vas sentir la pisse en masse, et la dèshe aussi, quand ça me tentera de me servir de toi comme dompe à sperme.

Et il part en claquant la porte. Je fonds en larmes. Je ne peux pas comprendre ce qui m’arrive. Je suis devenu la salope de mon demi-frère, cette espèce de malade mental m’a pissé dessus. Et le pire, c’est qu’il fait ça par pure méchanceté : il n’a même pas eu d’érection. Parlant de cela, depuis qu’Alex est sorti de l’appartement (j’ai entendu la porte du couloir) j’ai une érection terrible. L’odeur de sa pisse, l’odeur du slip de mon beau-père. Sans penser, je me mets par terre sur le dos, en gardant la laisse. La main dans le slip, je crosse ma petite queue et pas plus d’une minute plus tard, j’éjacule dans le torchon que je porte. Puis je m’endors, exténué.

Lorsque j’ouvre les yeux, il est une heure de l’après-midi au cadran. Presqu’aussitôt, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Mon cœur fait trois tours. Qui sait ce qu’Alex va faire de moi? J’entends des pas dans le couloir, la porte de la chambre s’ouvre. Merde. Mon beau-père, qui est moins allé à la pêche que dans le bar au coin de la rue, entre complètement saoul dans la chambre. Il me regarde quelques instants, sans comprendre ce qui se passe. Puis il voit que je porte une laisse et son torchon à dèshe, et il voit aussi qu’il est humide. Il se jette sur la laisse et la tire vers le haut pour me forcer à me lever et se met à gueuler à deux pouces de mon oreille. Il empeste la bière et la sueur.

— OSTIE DE FIF, JE LE SAVAIS QUE T’ÉTAIS UN OSTIE DE DÉGUEULASSE. J’VIENS D’AVOIR DES BELLES PHOTOS DE TOI, T’ES UN OSTIE DE MALADE. TU VEUX DE LA QUEUE? TU VEUX ÊTRE UNE PETITE MERDE? TU VAS EN ÊTRE UNE. DIS-LE QUE T’ES UNE SALOPE, ALLEZ!

En pleurant, je lui réponds que oui, je suis une salope.

[à continuer... ]

 

1.↑ Cave : Expression du Québec pour un imbécile.

2.↑ Pogner : Expression du Québec pour avoir du succès.

3.↑ Criss : Expression du Québec pour sacré.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Commentaires

ja suite, il faut la suiiiiite!!!

commentaire n° :1 posté par : Hairylegs le: 16/06/2011 à 00h22

Je la guette tous les soirs.... J espère qu'elle viendra !!

réponse de : Sadic Arnaud le: 26/07/2011 à 19h38

Super, Arnaud !

J'adore les histoires et celle là est très bandante

commentaire n° :2 posté par : PatLope le: 14/07/2011 à 12h33

Oui une des meilleures histoires je trouve, y'a tout ce que j'aime dedans. Dommage que la suite se fait attendre !

réponse de : Sadic Arnaud le: 05/08/2011 à 09h59

Ça fait drôle de voir mon histoire sur ce blog ;) 

Content que ça t'aies plu. 
Super blogue, vraiment ! 

commentaire n° :3 posté par : C.Des le: 12/01/2015 à 21h51

Merci et de rien ! Tu aurais une suite ?

réponse de : AÏKAN le: 14/01/2015 à 11h23

Vraiment excellente cette histoire, la petite lope est hyper-bandante, le dressage est trés prometteur, quand est il de la suite ???

commentaire n° :4 posté par : castelmaster le: 13/01/2015 à 18h59

Oui, je viens de la ire et elle m'a bien donné la gaule !

J'espère que l'auteur confirmera qu'il y a une suite !

réponse de : AÏKAN le: 14/01/2015 à 11h25

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Profil

  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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