Partager l'article ! [SUITE] - Lopage tout terrain: Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’o ...
Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’ouvris donc la porte de chez moi et la fermai à nouveau. T. arriva quelques secondes plus tard, je lui dis de l’ouvrir avec sa bouche. Qu’il avait l’habitude de toute façon de prendre des longs trucs dans sa gorge. Il entra et je lui plaçai un bandeau sur les yeux, c’est beaucoup plus excitant lorsque l’esclave ne sait pas ce qu’on lui prépare !
Je plaçai mon bâtard sur une chaise, accrochant ses jambes aux pieds de celle-ci, afin qu’il ne puisse plus du tout faire de mouvements. Je le laissai là quelques minutes, je regardai cette face de con qui n’attendait que ma bite à renifler et à sucer ! Je commençai par me mettre face à lui sur une chaise. Je lui donner à renifler et lécher mes TN d’abord, puis mes cho7 ensuite. Elles sentaient un truc de malade. Cela fait 5 mois que je porte les même cho7 pour mon footing hebdomadaire ! Imaginez un peu l’état et l’odeur. Il reniflait à plein nez l’odeur de son maître, je lui ordonnai après, de les retirer avec ses dents, chose qu’il n’eut pas de mal à faire ! Ça devait être quelque chose qu’il avait déjà fait !
En 10 ans de bouffage de ieps, il avait dû en apprendre des choses ! Il avait donc désormais accès à mes pieds ! Petite précision, je fais du 45 (pour 1m92, normal) et mes pieds ont toujours pué, depuis que je suis tout petit. C’est un régal pour mon esclave, il couine déjà alors que je ne l’ai même pas encore piné. Ce bouffage de pieds dure pas mal de temps, faut dire qu’il a matière à bouffer cette salope...
Je me lève ensuite et me place au-dessus de lui. Ma teub est à environ 20cm de sa gueule mais il ne le sait pas, je lui dis de mettre sa tête en arrière et d’ouvrir bien grand. Je lui lâche quelques mollards bien glaireux dans sa face de suceuse de bites. Dès qu’un crachat tombe dans sa bouche, il l’avale direct ! Il croit quoi le mec ? Que quelqu’un va lui reprendre ? Ça me fait bien marrer donc je continue encore un peu. Après ça, il est temps de passer aux choses sérieuses : ma teub !
Je défais mon jogging Nike, me reste que mon boxer ! Enfin si on peut encore appeler ça un boxer. Vous savez l’histoire des mes chaussettes, le boxer a la même histoire ! Une putain d’odeur quoi, mais T. l’a déjà senti aux chiottes de la gare. J’enlève aussi mon haut, je suis totalement à oilpé alors que ma salope est encore toute habillée ! Le monde à l’envers quoi ! Je décidai donc de lui retirer son pantalon à la con, ses TN, et ne pouvant lui retirer son T-shirt, je le déchirai pour avoir accès à ses tétons de gamin que j’allais pouvoir bien triturer.
Je lui place alors un sparadrap sur sa bouche, qu’il ait juste l’odorat pour son maître. Je pris donc mon 19 par 6 en main et commençai à me branler un peu. De l’autre main, je plaçais délicatement quelques pinces à linge sur des endroits fatidique de mon esclave (prépuce, tétons et couilles) afin de l’entendre couiner un peu. Ça me fait bander d’entendre des petites salopes comme elles geindre devant un mec d'à peine 22 ans. C’est le kiff absolu ! Entre 2 pinces à linge, je lui colle quelques baffes pour le remettre en place, je ne bande pas encore a fond mais il est temps que je décalotte.
— Respires bien ma salope, ceci est l’odeur du maître que tu vénères.
Je me pose donc à 2 centimètres de sa petite gueule et je décalotte. Putain la masse de sperme et de pisse séché sous mon gland. Jamais j’avais produit autant que ça ! J’en connais un qui va encore se régaler. En tout cas, pendant ce temps là, il plane complètement, il est comme sous poppers...
Après avoir bien respiré mon odeur âcre et forte de mec en chaleur, je retirai le scotch de sa bouche et le bandeau de ses yeux. Fallait qu’il voie ça ! Je retirai aussi une à une les pinces à linge sur son corps. Il avait pour ordre de ne pas lâcher le moindre cri à chaque enlèvement et de me regarder fixement ! Ce qu’il fît, retenant parfois ses cris dans sa gorge. C’était marrant de le voir souffrir intérieurement comme ça.
Les pinces à linge retirées, il était encore attaché à la chaise et il n’avait pas encore vu ma teub décalottée, il n’allait pas être déçu mon T. ! Je lui demandai donc de fixer un peu ma queue. Et je décalottai lentement afin de lui montrer que moi aussi je suis un sacré producteur de from. Ses yeux étaient écarquillés devant tant de from ! Et l’odeur bordel ! C’est difficile de la décrire sur du papier mais c’est plus que fort.
Je récoltai un peu de from sur ma bite que je lui collai dans les narines, qu’il garde mon odeur durant ce plan ! C’est important aussi qu’il se rappelle qui est le maître. Il put donc ensuite goûter à ma teub. Il savait comment sucer notre ami, mais j’allais lui apprendre ma manière. Ma salope me suçait mais n’allait pas vraiment jusqu’au bout ! En fond de gorge, et moi, les gorges profondes me donnaient la gaule plus que tout au monde. Je repris donc les choses en main. Je lui tenais les cheveux d’une main, de l’autre je tenais sa gorge ! Et ma queue était bien enfoncée. D’abord avec des petits mouvements pour l’habituer à la taille de l’engin, puis au bout de quelques minutes, je lui enfonçai complètement ma bite. Quelques fois, il était si enfoncé qu’il était sur le point de gerber !
— Fais pas ta connasse ! T’a du en voir des plus grosses des queues ! Tu va dire quoi quant tu l’aura au fond de ton cul salope ???
Alors il avalait ma queue tant bien que mal, je lui rendis sa tête au bout d’une bonne demi heure de bourrage intensif qui m’avait mis en appétit… J’en voulais désormais à son cul. Je le détachai de la chaise et lui enlevai ce qui lui tenait les mains.
— Tu as dix minutes pour préparer ton cul à ma queue. Dans dix minutes, je t’encule que tu sois prêt ou non !
Je le tirai donc par les cheveux jusque dans ma chambre, et le laissai mariner. Pendant ce temps là, j’avais quelques SMS à envoyer, et je continuai de me branler tranquille sur le canapé au salon. Je décomptais le nombre de minutes qu'il lui restait avant de s'en prendre plein le cul et je lui gueulais ! « 5 minutes », « 2 minutes » et enfin « J'arrive salope ! » J'arrive dans la chambre, il avait quelques doigts dans le boule, je bandais bien fort et j'avais envie de bien lui niquer son cul de tarba…
Je lui dis de se mettre en position comme pour m'offrir son cul. T. se place donc ventre collé au lit avec le cul bien cambré et les jambes à terre...Je plaçai donc mon gland sur son trou déjà bien open, je lâchai un mollard sur ma queue, histoire que j'ai pas mal. Son plaisir à lui, je m'en branle ! Je lui demande si il est prêt, n'attendant même pas sa réponse, je pousse d'un coup de rein et me retrouve totalement enfoncé à l'intérieur de ce mec qui m'avais fait giclé pas mal de fois de ses photos et récits.
S'en suit des dizaines de minutes de bourrage de cul en règle. Je le faisais changer de positions. Allongé face contre terre et mon pied droit sur sa gueule, debout contre le mur, à 4 pattes comme la chienne qu'il est ! Et tellement d'autres. Je m'arrêtai à un moment au bord de la jouissance. Mon esclave était en sueur, moi aussi d'ailleurs. On alla prendre une douche ensemble pour nous rafraîchir !
Vous vous doutez bien que cette salope s'est directement foutu accroupi dans la douche afin que je lui pisse dessus. Ce que j'ai fait. Cette pute ce mec, j'ai rarement vu ça je vous jure. On prend une douche bien tranquille, ce qui nous permet de parler un peu. Il me raconte qu'il a rarement vu un mec comme moi, qui le domine et l'humilie autant que ça. D'habitude il est plus actif mais là, rien qu'en voyant ma queue, il a envie de se foutre à genoux. Je lui raconte que je le kiffe trop en tant que petite salope soumise, et que c'est un des meilleurs bâtards qu'il m'a été donné de larver ! Trêves de confidence, j'avais toujours pas juter et faut que je lui englue la face...
[A SUIVRE]
Par Thekevin25
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