Partager l'article ! un SKin danS la cité #1 (Xtoire par Suceurfou): [Source : Gai Eros] Dimanche — Mais tu es fou, Franz ! Tu ...
[Source : Gai Eros]
Dimanche
— Mais tu es fou, Franz ! Tu vas te faire défoncer la gueule !
— Qu'est-ce qui se passe ?
— Il se passe, Florian, que Franz veut aller distribuer des tracts électoraux de notre parti dans les boîtes aux lettres de la cité des Mimosas !
— Tu es suicidaire ? Louis a raison. On a besoin de toi, oublie cette cité. Un véritable nid d'immigrés... Les Mimosas, c'est plus la France éternelle... Nous ne faisons pas la loi, là-bas.
— Il n'en est pas question ! Il y a dans cette cité de bons Français que nous ne devons pas laisser tomber. Des vrais Français qui votent... Je n'ai peur de rien ni de personne, je suis un mâle, un Gaulois bien couillu... Qui vient avec moi ?
— ...
— Personne ? Ectoplasmes altermondialistes ! Tapettes de gauchistes... J'irai donc seul porter la bonne parole. Vous serez fiers de moi...
François, 21 ans, est un ardent militant d'un parti d'extrême droite. Ses amis l'appellent d'ailleurs Franz et il apprécie beaucoup. Il a arrêté l'école après le bac (les profs, tous des gauchistes !) et fait des conneries plus ou moins graves avec d'autres jeunes qui lui ressemblent. Il n'a plus de contact avec ses parents car ils sont trop buttés et ne le comprennent pas. Ils le gavent avec leur morale à la con. C'est un vrai skin, il en a les vêtements et les cheveux blonds rasés. On ne le croise jamais sans son uniforme, si bien que l'on a du mal à croire qu'il l'enlève pour aller se coucher. Il fait de la muscu et de la boxe, c'est un beau mâle viril, personne ne peut lui enlever cela. Il lui manque, hélas, une lueur d'intelligence dans ses yeux verts pour en faire un dieu vivant. Il aime se défouler à la boxe sur des beurs et des noirs qui prennent parfois pour de l'ardeur et de la combativité sa haine et sa bêtise. Il ne vous le dira pas, mais moi je peux vous confier ce secret : il aime le contact entre adversaires, l'ambiance des vestiaires avec ses odeurs. Il s'amuse souvent à donner, en riant, de grands coups de serviettes sur les fessiers dénudés et rebondis de ses amis qui sortent de la douche. Il pense qu'il n'est rien au monde d'aussi viril que cette camaraderie masculine. Bien sûr, il déteste les PD. Ce sont des traîtres.
Lundi matin
Tout avait bien commencé. Aucun problème dans les halls d'entrée de la tour des Pervenches. Les boîtes aux lettres avaient reçu sa visite. Il s'était donc dirigé sans crainte vers la barre des Glycines. Nul n'est besoin de présenter ici la trop célèbre cité des Mimosas, les médias en ont si souvent parlé. Trafics en tous genres, tournantes, émeutes, voitures brûlées... nous sommes sur Gai-Éros, pas sur la première chaîne de télévision. Il marchait tranquille, en terrain conquis. Il aurait été moins rassuré s'il s'était douté qu'il était l'objet des SMS que certains jeunes de la cité s'envoyaient. Il avait été repéré facilement avec son look paramilitaire et la prose de ses pamphlets avaient été lue mais peu appréciés. Une telle provocation pouvait-elle rester impunie ? Non, tolérance zéro pour les fachos !
— Eh, toi ! Lis-nous à voix haute ton tract !
Celui qui vient de parler dans son dos est un colosse noir. Une dizaine de mecs l'accompagnent. Des jeunes. Entre 18 et 25 ans ? Ils offrent une grande variété d'origines, tout ce que Franz déteste. Il comprend qu'il risque de passer un sale quart d'heure. Perdu pour perdu, par défi et pour montrer qu'il est sévèrement burné, il commence à lire le papelard haineux. Les lascars se jettent sur lui, le maîtrisent facilement et l'entraînent dans les profondeurs mystérieuses des caves. Vers quelles oubliettes modernes le conduit-on ? Franz crie toutes les insultes qu'il connaît, donne quelques coups de poings et de pieds, peu efficaces. Il finit par être jeté comme un colis sur une vieille couverture bleue marine dégoûtante. Cette cave a déjà dû servir pour bien des tournantes...
— Qu'est-ce qu'on en fait, de cette raclure ?
— On le vide comme un porc ?
— On lui coupe les couilles ?
— Quelles couilles ? Il n'en a pas !
— Si j'en ai, moi, sales tapettes ! Je suis un vrai mec ! Fils de putes, racailles...
— Tiens, tu me donnes des idées, connard ! Nous n'allons pas te tuer, nous ne sommes pas des assassins. Nous n'allons pas te castrer, nous n'avons pas de microscope. Non, nous allons te faire pire...
Franz frémit. Que vont imaginer ces barbares ? Il ne comprend pas. En revanche, les autres ont compris, leurs sourires en sont la preuve aussi éclatante qu'inquiétante.
Un homme s'approche de lui avec un long couteau. Très calme, il déchire les vêtements du jeune skin. Lentement. Inexorablement. Franz se laisse faire. Ils sont trop nombreux. Bouger est trop dangereux, autant éviter le coup de couteau qu'on ne veut pas lui donner. Il imagine qu'il vont le déshabiller et le laisser rentrer chez lui à poil. Quelle humiliation ! Ca-y-est, il est tout nu. Il cache ses parties dites honteuses avec ses mains. Il n'a pas menti, il est bien monté. Tout le monde rit et fait des commentaires salaces. Il a l'impression de ne plus être qu'un morceau de viande. Un jeune lascar lui donne une grande gifle qui le fait tomber par terre. Il est à genoux. Le mec ouvre sa braguette.
— Suce, salope !
Il a enfin compris ! La pire des humiliations ! Lui, le raciste, l'homophobe, va être l'objet sexuel de ces jeunes d'origine immigrée... Il essaie de résiter, mais une main vigoureuse le pousse vers la grosse queue. C'est la première fois qu'il voit une bite si proche de saon visage. C'est impressionnant. Il a une idée, mais l'autre anticipe.
— Si tu la mords, je ne te dis pas ce que je te ferai !
Cette menace vague est la plus inquiétante. Franz cède. Il lèche doucement le gland. Mais l'homme enfonce de force l'intégralité de son braquemard dans la bouche vierge. Franz croit s'étouffer, les larmes lui viennent. Il se fait baiser la gueule.
— Elle est bonne la salope ! Vous allez kiffer... Elle me fait monter le jus. Tiens avale !
L'étalon enfonce son vit dans la cavité buccale tout en lui tenant la tête de ses deux mains vigoureuses et se vide. Franz n'a pas d'autre choix que de tout avaler. Quelle horreur... L'homme lui fait bien reluire sa queue.
— Une bonne chose de faite ! Qui lui dépucelle son cul de pute ?
— Noureddine a 18 ans aujourd'hui. Laissons-lui l'inauguration... Vas-y, nous passerons après toi.
Noureddine est fier et heureux. Il est puceau, même s'il fait croire le contraire à ses potes. Pour sa première fois, il va dépuceler un mec viril et fort, quelle jouissance ! Il va humilier un fasciste, un raciste, quel pied ! Sa victime ne l'oubliera jamais... En revanche, il ne sait pas trop comment enculer un mec. Le trou n'est pas facile à trouver, le cul est excessivement musclé et il n'est pas aisé d'écarter les globes fessiers durs comme de l'acier. Il ne veut pas se faire mal au gland. Sans lubrifiant, il utilise la gueule de Franz. La salive tiendra lieu de gel.
— Ecarte ton cul, sale chienne, si tu ne veux pas que je te déchire !
Quelle honte ! Franz obéït. Devant ses ennemis qui rigolent, tout en pompant une bite énorme qui l'étouffe et arrache quelques larmes à ce macho, il écarte en effet ses globes fessiers de ses deux mains. Il a peur d'être déchiré et de finir aux urgences. Il a déjà décidé que personne ne serait jamais au courant de son humiliation. D'un autre côté, il a honte de collaborer son propre viol...
— Aaarrrggghhh !!! Tu me tues !
— T'es trop étroit ! Décontracte !
— Arrête, ça ne passera jamais !
— Mais si, n'aie pas peur...
— Arrête, par pitié...
Il vient de supplier un jeune beur, faut-il qu'il souffre ! Celui qui lui baisait la bouche vient de lui remplir la gueule. Il avale de lui même, pour éviter les coups. Ces mâles prennent mal que l'on méprise leur jus de couilles. Sa deuxième gorgée est aussi amère que la première. Noureddine est un bon bougre, il sort de ce cul si difficile à dépuceler et présente sa teub à sa vitime pour qu'il la relubrifie un peu. Franz ne comprend pas tout de suite. Enfin :
— Tu ne veux tout de même pas que je suce ta bite qui sort de mon trou du cul ? C'est dégueulasse !
— Si tu as le cul sale, c'est de ta faute ! moi je fais ça uniquement pour t'aider à me prendre. Tu devrais me remercier au lieu de jouer les pucelles.
Franz se penche sur la queue. Pas de traces suspectes. Il suce à nouveau. Noureddine fait un nouvel essai. Difficilement, douloureusement, la matraque s'enfonce, écarte les chairs et les couilles de Nourredine finissent par toucher le cul du nouveau passif. L'actif est très fier de lui.
— C'est bon, chaud et serré ! Son cul était fait pour ma bite ! Cette salope avait gardé son pucelage dans l'attente de ma batte !
Franz ne répond pas aux insultes. Tu as déjà essayé de parler avec 21 centimètres dans la bouche ? Il gémit et pleure. Il n'avait pas pleuré depuis l'âge de 12 ans, quand Gauffrette, sa chienne avait été écrasée. Son cul lui brûle et cette brûlure ne cesse pas. Comment certains et certaines peuvent-ils, peuvent-elles aimer cette torture ? Il avait enculé une fille une fois. Elle ne voulait pas, alors il l'avait fait bien boire. La douleur l'avait dessoûlée mais il avait continué à prendre son pied dans ce cul vierge. Il avait éjaculé des litres de foutre. Trop excitant. Fier de lui, il avait raconté son exploit à ses potes. Et il y pensait souvent quand il se branlait. Maintenaint il compatissait et se demandait si son viol n'était pas une punition méritée... Des vieux relants de catéchisme.
— Ah, je viens, je viens !!
— Retire-toi, salaud !
— Non ! Prends tout salope ! Ca-y-est, tu le sens mon bon jus ?
Hélas, oui, il sent les rasades chaudes de sperme qui remontent dans son intestin et qui coulent ensuite quand Noureddine se retire. Il a été fécondé par un beur, lui Franz...
— Regardez, les mecs ! La salope pisse du jus par le cul !
Tout le monde rit, Franz excepté.
— A mon tour - lance un Hercule noir.
— Moi après !
— Et moi ensuite !
— Non, moi bâtard !
— Ne vous inquiétez pas, il y en aura pour tout le monde.
— Ouais, mais je préfère les culs serrés...
— Moi, j'aime bien glisser mon zob dans un cul bien graissé par les potes...
Et en effet, les douze hommes lui passent et dans la bouche et dans le cul. Ils se servent de ses deux trous sauvagement, sans états d'âme. Ils sont si nombreux qu'ils ont le temps de rebander et de se remplir à nouveau leurs grosses couilles. En outre, la satisfaction de baiser un facho, l'émulation entre eux, les motivent. Quelle fierté de faire crier de douleur leur proie alors que c'est déjà la huitième bite qu'il se prend ! Son trou a beau s'ouvrir de plus en plus, la violence des coups de queues chaque fois plus rageurs ne le ménagent pas. Son cul dégouline de sperme et son visage est digne d'une actrice porno à la fin de son bukkake. Noureddine qui s'est déjà vidé deux fois, une fois dans la gueule et une fois dans le fion, décide de rebaiser son premier mec. Il faut en profiter. Il n'a pas tort, non ?
— Il est trop ouvert ! Vous me l'avez abîmé les gars ! Franchement, c'est pas sympa...
— Attends, je vais t'aider.
Un de ses meilleurs potes glisse sa bite à son tour dans le cul qui accepte assez facilement cette double pénétration. Il faut dire qu'ils avaient tous fourni un beau travail !
— Géniale ton idée, Rachid !
En fait, il ne le reconnaîtra pas, mais il apprécie autant le cul de Franz que le contact de la grosse pine de Rachid qui lui masse le vit à chaque mouvement. Les deux potes finissent par jouir en riant. Hélas, toutes les couilles étaient vides... sauf celles de Franz.
— Branle-toi salope ! D'ailleurs cela fait un moment que tu bandes !
Franz avait espéré que personne ne le remarquerait. Raté ! En fait, la douleur après la troisième sodomie, avait laissé place à un plaisir nouveau et honteux. Il s'était rassuré en se disant qu'il n'y était pour rien, que la massage de sa prostate ne pouvait que finir par provoquer son érection. Sa bite était douloureuse, il bandait depuis au moins deux heures déjà. Il ne pouvait pas se branler deavant ses bourreaux. Il obéït donc d'autant plus facilement qu'il avait envie urgente de se soulager. Dès qu'il se touche, il éjacule.
— Quelle truie ! Nous lui avons rendu service ! Nous lui avons rélévé sa véritable nature. Dis merci !
Comme cet ordre s'accompagnait d'une caresse des baskets contre ses couilles, Franz s'exécuta rapidement.
— Merci. Merci beaucoup... N'écrase pas mes couilles... S'il te plaît !
— C'est trop court. Dis-nous combien tu as kiffé nos zobs.
Franz comprend qu'il doit mentir pour les satisfaire par les oreilles maintenant.
— Vos queues... elles sont trop bonnes ! Je n'en avais jamais vu de si grosses !
— Et nos couilles ?
— Magnifiques ! Vous m'avez tous baisé au moins deux fois !
— Et notre jus ?
— Du jus de mâle ! Fort et épais. Je vais avoir le goût en bouche pendant des jours ! Et mon cul ! Vous m'avez fécondé comme une femelle...
— Comme une pute ?
— Oui, comme votre petite pute... Je peux partir, maintenant ?
— Regardez, elle bande, la cochonne !
En effet, Franz s'était excité sans le vouloir. Les lascars se moquent de lui une fois de plus.
— Tu veux partir ? Tu ne peux pas sortir comme ça ! Il te faut une bonne douche, hein les mecs ?
Les mâles ont compris et ricannent. Franz se méfie de cette prévenance soudaine. C'est suspect. En effet, ils entourent Franz et se mettent à lui pisser dessus. Certains pissent lentement, en plusieurs fois, d'autres se vident violemment.
— Ouvre la bouche !
— On te passe à notre Kärcher, bouffon !
Franz ouvre la bouche. Quand les douze mecs lui ont pissé dessus, il doit leur nettoyer le gland. Il se dégoûte lui-même sur la couverture bleue marine pisseuse. Il pense que maintenant son cauchemard est fini, mais les lascars ont de l'imagination et l'envie de s'amuser. Il faut bien reconnaître que l'on s'ennuie souvent dans la cité !
— J'ai une idée ! Tu dois aimer les bergers allemands, toi ! Noureddine, va chercher les deux chiens de Mourad. Cette chienne doit se faire tringler par des chiens ! Toi, Omar, va chercher une caméra ! Il faut immortaliser ce grand moment... Et il y a du fric à se faire.
Franz crie d'horreur, mais on ne lui demande pas son avis. Noureddine s'en va joyeuseument en sifflotant. Franz se dit que l'inexorable va se produire, il va être sailli par deux chiens. Et tout cela devant une caméra ! "Du fric à se faire" ? Envisagent-ils de vendre la vidéo à des sites pornos ? Ou alors peut-être vont-ils le faire chanter à vie en menaçant de l'envoyer à sa famille et à ses potes... Il devra payer et ils ne le lâcheront jamais... Tout à coup la voix grave d'un Stentor encore inconnu retentit :
— Qu'est ce que vous faîtes encore comme connerie, les p'tits cons ?
[A suivre]
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