Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 10:58

Quand Marcel était sorti du Centre d’accueil à l’âge de 18 ans, il ne connaissait absolument rien de la vie. Aussi loin qu’il se souvienne, il n’avait jamais connu de parents qui l’aimaient véritablement. Il ne comptait plus les familles d’accueil où il avait vécu et où il avait été souvent maltraité ou, dans le meilleur des cas, à peine toléré.

Au début, il faisait son possible en pensant que la famille où il venait d’entrer l’adopterait et qu’il aurait un père et une mère. Mais les années avaient passé, et il n’avait jamais été choisi. C’est de cette façon que, petit à petit, il avait commencé à glisser dans la délinquance. Les petits vols et les mensonges anodins étaient devenus une façon normale de vivre. Il avait été arrêté en novembre dernier et s’en était tiré avec une sentence suspendue. Il était actuellement en période de probation et savait pertinemment que la prochaine offense le conduirait directement en prison.

 

Il se sentait toujours seul et, souvent, quand il se promenait dans la rue ou lorsqu’il se rendait au centre commercial, il lui arrivait de regarder les gars d’un certain âge en se disant qu’il aimerait en connaître un qui accepterait de le guider, de l’éduquer, de partager ses connaissances; un gars qui l’amènerait à la pêche et, même, le disciplinerait quand il se serait mal conduit. Il regardait surtout les gars qui avaient l’air sûr d’eux-mêmes, ceux qui dégageaient une force virile d’autorité, ceux qui le faisaient entrer en érection de façon quasi automatique, uniquement en les regardant.

 

En sortant du dépanneur, la semaine précédente, il avait vu arriver un biker vêtu de cuir des pieds à la tête et portant des verres fumés. Leurs regards s’étaient croisés et il avait cru décerner que ce dernier, à travers ses lunettes, l’avait regardé avec une certaine insistance. Par la suite, Marcel l’avait aperçu à quelques reprises en train de faire des achats au dépanneur. Il avait même réussi à apprendre, par le commis, qu’il se prénommait Alain et qu’il demeurait tout près dans le quartier. En ce vendredi soir du mois de juillet, c’était la troisième fois qu’il se rendait près de la maison de ce dernier, sans trop savoir ce qui le poussait à agir de la sorte.

 

Comme il n’y avait pas d’auto dans le stationnement, il se risqua à s’aventurer dans la cour et même à tâter la porte arrière. Il constata avec surprise qu’elle était débarrée. Il passa la tête à l’intérieur et distingua clairement, malgré la pénombre, une pile de CD étalés à côté d’un divan. C’était plus fort que lui : il s’empara rapidement des disques. Il s’apprêtait à sortir comme il était entré, lorsqu’il aperçut soudainement le propriétaire, le biker, qui le regardait en silence dans le noir.

 

-           Si tu tiens à ta vie, tu déposes ça à terre immédiatement.

 

Marcel remarqua alors que le biker était muni d’un revolver et qu’il avait l’air décidé de s’en servir si nécessaire. Il laissa tomber les disques et plaça instinctivement les mains au-dessus de la tête. Il remarqua que le biker n’était vêtu que d’un pantalon de cuir très moulant qui mettait en évidence des cuisses puissantes et un entrejambes bien garni. Il remarqua surtout un torse nu et des pectoraux comme on en voit dans les annonces de clubs de conditionnement physique.

 

-           Tu ne bouges plus pendant que je te passe les menottes.

 

Le biker décrocha les menottes qu’il portait à la ceinture et dit à Marcel de présenter sa main droite. Celui-ci s’exécuta et la menotte se referma sur le poignet sans ménagement. Il s’apprêtait à présenter la main gauche lorsque le biker l’attrapa par les cheveux pour le traîner dans la cave. Il attacha alors l’autre partie de la menotte à un crochet vissé dans une poutrelle. Le biker remonta au rez-de-chaussée et revint avec un téléphone cellulaire.

 

-           J’appelle la police pour qu’ils viennent te cueillir immédiatement.

 

Marcel savait ce que cela signifiait. S’il était arrêté, c’était la prison à coup sûr puisqu’il avait enfreint les règles de sa probation.

           

-           Je vous en supplie, monsieur, n’appelez pas la police. Je suis prêt à faire tout ce que vous me demanderez, mais n’appelez pas la police.

 

-           Je ne pense pas que tu sois en bonne condition pour négocier quoi que ce soit. Mais comme je suis compréhensif, je suis prêt à te donner une chance. Je n’appellerai pas la police, mais tu devras accepter de faire tout ce que je te demanderai. Sans discussion. C’est à prendre ou à laisser.

 

Ne comprenant pas les implications exactes du contrat, Marcel, pour ne pas se retrouver en prison, accepta rapidement de se plier aux désirs du biker. Ce dernier s’approcha de Marcel, saisit son menton en appuyant fermement et lui dit en le regardant droit dans les yeux :

 

-           Tu es désormais en mon pouvoir : tu es ma propriété, ma chose, et quand je te parle, tu réponds «oui Maître» ou «merci Maître». Compris?

 

-           Oui, j’ai compris.

 

Il fut alors saisi par l’oreille droite et secoué pendant 15 secondes.

 

-           Voilà ce qui arrive aux petits garçons désobéissants. Je t’ai dit de répondre oui Maître. As-tu compris?

 

-           Oui Maître.

 

-           C’est mieux. Maintenant, je vais t’enlever les menottes, et tu vas effectuer 12 «push up» pour voir ce que tu as dans le ventre et pour le plaisir de ton Maître.

 

Le biker savait pertinemment, à voir la piètre forme physique de Marcel, que ce dernier ne parviendrait jamais à faire ce qu’il lui demandait. Marcel commença à exécuter les «push up» et ne se rendit pas plus loin que 5. Il s’apprêtait à se relever quand il sentit la botte du biker appuyer sur sa nuque, en mettant de plus en plus de pression de telle sorte qu’il avait la joue droite en contact avec le ciment de la cave.

 

-           Tu n’as pas rempli ton contrat; tu me déçois beaucoup. Tu devras être puni pour m’avoir désobéi.

 

En disant ces mots, MaîtreAlain enleva sa ceinture de cuir et ordonna à Marcel de se dévêtir. Voyant que celui-ci, l’air éberlué, hésitait à le faire, le Maître fit claquer sa ceinture dans le vide et hurla à Marcel de se déshabiller rapidement et complètement.

 

-          Quand un esclave désobéit à son Maître, il doit être corrigé sur le champ. Je vais être obligé de te donner la fessée pour te montrer à obéir.

 

MaîtreAlain s’assit et ordonna à Marcel de venir s’étendre sur ses genoux pour recevoir sa punition. Au début, le Maître ne fit que frapper mollement Marcel à main ouverte. Celui-ci trouvait le tout un peu ridicule et se sentait heureux de s’en tirer à si bon compte. Mais la cadence et la force des coups augmentèrent rapidement, de telle sorte que Marcel commençait à trouver le tout passablement moins drôle.

 

Ses fesses étaient devenues rouge vif et il sentait de plus en plus la douleur l’envahir.

 

-          Ok. Je pense que j’ai eu ma leçon.

 

-          Qu’est-ce que tu viens de dire? Tu as oublié à qui tu t’adresses?

 

Marcel avait oublié la consigne encore une fois et demanda pardon à MaîtreAlain pour cet oubli.

 

-          Normalement, je devrais te fouetter jusqu’au sang pour cet oubli. Mais comme tu en es encore au début de ton dressage, je vais me contenter de te rougir les fesses avec ma ceinture. Et je ne veux pas entendre un son de ta part, sinon c’est le fouet non seulement sur les fesses, mais aussi dans le dos.

 

Il se mit alors à corriger sa victime à coup de ceinture. Marcel se mordait les lèvres pour ne pas crier. MaîtreAlain se rendait compte que le garçon avait de l’endurance et était capable d’en prendre. Il augmenta légèrement la cadence et ce qu’il attendait se produisit. Marcel se mit à pleurer et à gémir comme un enfant puni. Le Maître arrêta les coups et caressa les fesses qui venaient d’être frappées. Les larmes se calmèrent peu à peu et le Maître ne fut pas sans remarquer que Marcel était entré en érection. Il lui ordonna de se tenir debout et lui demanda quelle était la signification de ce phénomène. Marcel, mal à l’aise, ne savait que dire.

 

Le Maître saisit alors Marcel par les couilles et commença à frapper légèrement le gland. L’érection loin de disparaître devint encore plus nette. Le Maître exerça alors une pression croissante sur les couilles avec sa main droite et se mit à pincer les seins à tour de rôle. Marcel gémissait de plus en plus, mais ce n’était plus un gémissement de plainte, mais un gémissement de plaisir provoqué par la douleur. De plus en plus de liquide séminal s’écoulait de l’urètre et le Maître s’y frotta les mains pour ensuite les présenter à la bouche du garçon.

 

-           Tu t’es bien comporté; et tu as droit à un suçon.

 

Il força alors ses doigts gluants dans la bouche de Marcel et lui ordonna de sucer. Ce dernier, malgré son dédain initial, se mit à sucer et en éprouva même du plaisir. C’est à ce moment que MaîtreAlain comprit qu’il venait de recruter un boy, un jeune slave qu’il pourrait dresser à sa guise.

 

Il détacha Marcel, l’invita à se rhabiller et lui dit de remonter au salon. Il avait toujours en main le revolver qu’il déposa sur la table à café.

 

-           Qui es-tu boy?

 

De se faire appeler «boy» emplit Marcel d’un sentiment de sécurité. Il raconta donc au master qui il était et d’où il venait. Il n’omit aucun détail en ce qui concernait ses démêlés avec la justice.

 

MaîtreAlain avait pris sa décision et dit, en regardant Marcel directement dans les yeux :

 

-           J’ai une offre à te faire boy. Je peux devenir ton Maître, ton protecteur, si tu le désires. Mais avant de décider quoi que ce soit, je veux que tu saches bien ce que cela implique. Je vais te protéger, prendre soin de toi, te former et te dresser. Cela veut dire que tu devras m’obéir aveuglément. J’exige de toi la soumission totale. Je vais te dresser physiquement et psychologiquement. Tu devras t’entraîner pour avoir une meilleure forme physique. Tu devras apprendre comment te comporter envers l’autorité. Et ici c’est moi qui représente l’autorité. Petit à petit, mais inexorablement, je vais faire de toi un boy dont son Maître sera fier. Quand tu m’auras désobéi ou que je ne serai pas content de toi, tu seras puni sans pitié.

 

Marcel écoutait et n’en croyait pas ses oreilles. Quelqu’un acceptait de s’occuper de lui. Quelqu’un qui le fascinait depuis qu’il avait entendu sa voix dans le salon et, surtout, depuis qu’il l’avait vu à l’œuvre dans le sous-sol, dans toute la puissance de sa virilité puissante et paisible. Même l’aspect «punition et entraînement» ne lui paraissait pas si difficile, puisque il était prêt depuis longtemps à s’abandonner totalement à quelqu’un qui le protégerait et l’aimerait en quelque sorte.

-           J’accepte votre proposition Maître.

 

MaîtreAlain lui expliqua alors qu’il devait être bien sûr avant d’accepter, parce qu’il n’y aurait pas de retour en arrière. Par contre, il lui fit remarquer sournoisement que s’il n’acceptait pas cette proposition, c’était un appel téléphonique immédiat à la police et l’incarcération automatique.

 

Marcel grimaça à ce rappel et déclara encore une fois qu’il acceptait le contrat.

 

-     Il y a beaucoup de choses à faire et à apprendre, boy. On va donc commencer par le commencement. Pour ce soir, je vais d’abord retoucher un peu ton look physique pour que tu te souviennes toujours de ton état de boy. Ensuite, il y aura un petit dressage mental de soumission à ton Maître et une petite séance de dressage physique. À la fin, tu pourras retourner à la maison pour préparer ton aménagement définitif ici. Tu quittes ta job de merde, tu dis à ton chambreur que tu déménages et tu amènes tes affaires ici. Compris boy?

 

-           Oui, mon Maître.

 

MaîtreAlain conduisit alors son boy dans la salle de bains et sortit un rasoir de l’armoire située au-dessus du lavabo. Il lui ordonna de s’asseoir sur le bol des toilettes et se mit à lui raser la tête. Petit à petit, Marcel perdit toute sa chevelure et se retrouva le crâne nu. Mais ce n’était pas terminé; le Maître installa Marcel dans la douche et commença à le frictionner avec de la mousse à barbe. Lentement, il se mit à dégarnir le corps de Marcel de toute sa pilosité. Ce fut d’abord le torse et la poitrine, suivis des bras et des jambes. Ensuite, le Maître commanda à son boy de se pencher par en avant. Il lui écarta les fesses de façon à avoir accès à son anus. Avec le rasoir, il enleva toute trace de poil des fesses et de l’anus de son boy en prenant soin, mine de rien, de masser l’ouverture rectale. Marcel était toujours en pleine érection. Le Maître frotta une généreuse portion de mousse sur la verge et les couilles et entreprit la phase finale du rasage. Quelques minutes plus tard, Marcel était nu, complètement nu, d’une nudité virginale, d’une nudité d’un bébé à la naissance. Toutes les parties de son corps étaient douces, exposées, fragiles et facilement accessibles. Le Maître invita alors Marcel à se regarder dans le miroir pour constater par lui-même la nouvelle allure de son corps de boy.

 

-           C’est comme ça que tu vas vivre désormais. Tu seras toujours nu et disponible pour me servir, à moins que je te donne expressément un ordre contraire. Maintenant, on va passer à la deuxième étape de la soirée. On va aller au salon, et je vais te dire ce que j’attends de toi.

 

Le maître lui ordonna de marcher à quatre pattes jusqu’au salon. Rendus sur place, MaîtreAlain s’assit dans un fauteuil et commanda à son nouveau boy de venir s’agenouiller devant lui.

 

-           Maintenant boy, tu vas me faire ton premier acte officiel d’allégeance. Tu vas lécher mes bottes comme un bon boy, un bon petit esclave qui aime son Maître. Je veux que tu le fasses avec conviction et enthousiasme.

 

De façon malhabile, mais avec conviction, il commença à lécher la botte droite du biker. Ce dernier aurait normalement ramené le slave à l’ordre devant tant de maladresse, mais il se montra bon prince pour cette première fois. Le même processus s’ensuivit pour le pied gauche. Il ordonna alors au slave de se relever. Il lui fit remarquer, en lui serrant les seins avec ses ongles, que c’était un travail de novice et qu’il devrait apprendre à améliorer sa technique à l’avenir.

 

On en était maintenant rendu à la troisième étape de cette première soirée. Il lui rappela qu’il lui restait sept «push up» à effectuer et qu’il exigeait qu’il y parvienne immédiatement. Il alla chercher le fouet et ordonna au boy d’effectuer sept «push up». Marcel, comme la première fois, s’effondra au bout de cinq. Le Maître se mit alors à frapper Marcel dans le dos et sur les fesses en lui ordonnant de continuer. Marcel parvint à effectuer de peine et de misère le onzième «push up» de la série et retomba encore une fois sur le tapis du salon. Les coups recommencèrent à pleuvoir sur le dos du boy qui ne parvenait pas à se relever.

 

-           Je compte jusqu’à 60. Tu peux te reposer un moment, mais avant la fin des soixante secondes, tu devras avoir effectué ce dernier «push up» que tu me dois.

 

MaîtreAlain se mit à compter pendant que le boy sanglotait sur le sol. Sans savoir où il avait été capable d’aller chercher ce regain d’énergie, Marcel, rendu au chiffre 53, réussit à se relever sur les mains et à effectuer le «push up» exigé.

 

-           Bravo boy, tu vois que tu es capable de faire plaisir à ton Maître quand tu le veux véritablement. Tu as donc droit à une récompense.

 

MaîtreAlain prit alors Marcel par les oreilles et lui frotta le visage sur sa braguette. Il défit alors sa fermeture éclair et présenta son membre en érection à la bouche du boy. Il lui ordonna de ne pas bouger et se mit à uriner dans sa bouche. Marcel eut un haut-le-cœur immédiat, mais les ongles du Maître s’enfoncèrent dans ses oreilles et le membre du Maître pénétra plus à fond dans la gorge. Tant bien que mal, il réussit à boire le liquide qui continuait à s’écouler dans sa bouche. Puis, par un lent mouvement de va-et-vient, le Maître commença à se masturber.

 

-           Suce mon boy et fais jouir ton Maître qui a accepté de prendre soin de toi. Mais attention, je ne veux sentir aucune de tes dents.

 

Marcel eut alors un flash. Un souvenir de l’orphelinat où, il y a plus de 10 ans, le frère Charles l’avait obligé à poser le même geste, à plusieurs reprises, pendant toute une année. Mais ce n’était pas la même chose. Aujourd’hui, il posait le geste avec plaisir parce qu’il y consentait de tout son être.

 

Le Maître constata avec surprise que son nouveau boy s’avérait un excellent suceur. Ce ne fut pas long avant que l’érection du Maître explose en cinq longs jets de sperme dans la bouche du boy. Voyant qu’une longue traînée visqueuse s’écoulait le long des lèvres de Marcel, MaîtreAlain releva rapidement son boy pour l’embrasser frénétiquement sur la bouche en avalant ce qui restait de sperme. Ensuite, il invita le boy à s’étendre sur le divan.

 

-           Maintenant boy, tu peux te masturber en présence de ton Maître.

 

Marcel commença à se masturber pendant que le Maître lui massait le ventre et lui pinçait le bout des seins de plus en plus fort. Marcel se mit alors à émettre des sons qui annonçaient la jouissance prochaine. Le Maître ordonna alors à son boy d’arrêter de se masturber immédiatement.

 

-           Je t’ai donné la permission de te masturber, mais tu n’as pas encore mérité le grand privilège de jouir. Tu ne pourras jouir que lorsque je t’en donnerai la permission. Et ce sera très rarement, quand je jugerai que tes progrès t’en donnent le droit.

 

MaîtreAlain disparut pour quelques instants et revint dans la pièce avec un petit appareil en plexiglas qui était en fait une cage de chasteté. Il l’installa sur la verge du boy, le ferma avec un cadenas et montra la clef au boy avant de la remettre dans sa poche. Le Maître expliqua au boy que cet appareil pourrait quand même lui permettre d’uriner sans problème, mais qu’il lui serait impossible de se masturber.

 

-           Ton sperme m’appartient boy, comme toute ta personne. Tu porteras cet appareil constamment, sauf durant les périodes de training, pour que je puisse avoir accès à ton «basket», afin de pouvoir le «caresser» à mon aise. Maintenant tu t’en vas chez toi et je t’attends pour ton retour permanent d’ici la fin de semaine.

 

[La suite, dans le prochain épisode…]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Commentaires

Merci à Marc (résidant en Amérique) pour cette histoire :)

commentaire n° :1 posté par : AÏKAN le: 21/12/2014 à 11h04

:p

réponse de : AÏKAN le: 22/12/2014 à 10h01

Hummm merci pour cette histoire. Je la lirai à mon taf lol, en pensant à ton superbe blog. Tu te donnes du mal pour le faire revivre, c'est très gentil de ta part. 

 

commentaire n° :2 posté par : Bibou25 le: 21/12/2014 à 16h28

De rien, j'espère satisfaire la pluspart des anciens visiteurs... Pour le moment, j'ai très peu de retour !

réponse de : AÏKAN le: 22/12/2014 à 10h02

vivement la suite !

avec impatience

 

commentaire n° :3 posté par : gaston le: 21/12/2014 à 21h53

La suite arrivera dans les quelques heures qui viennent :)

réponse de : AÏKAN le: 22/12/2014 à 10h03

hum sympa ce récit vive la suite de cette prise en main 

commentaire n° :4 posté par : maitre ethan le: 11/01/2015 à 09h06

Tu l'as trouveras quelques publications plus tard !

réponse de : AÏKAN le: 11/01/2015 à 10h28

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  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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