Partager l'article ! Déchéance Krade - épisode 1/4 (X-toire par TheKevin25): Après "Larvé par mon cousin". TheKevin25 nous revient avec une histoire&nbs ...
Après "Larvé par mon cousin". TheKevin25 nous revient avec une histoire refusée par Gai-éros (trop hard !). Pour mieux vous faire saliver, je l'ai tronçonnée en 5 épisodes. Ca fera une sorte de calendrier de l'Avent en attendant Noël...
Pensez à lui faire des commentaires ! Sinon, vous étonnez pas qu'un jour mon blog s'arrête comme tant d'autres (Petite pensée pour ce bâtard d'ALex..)
Arnaud S.
Episode 1 : Mensonges
Finitima sunt falsa veris. [Le mensonge touche de près à la vérité]
La question qui me taraude chaque jour de mon existence depuis ce jour est : Comment en suis je arrivé là ? Comment ai-je pu me retrouver dans une situation si basse et comment ma vie a basculé du jour au lendemain...
Tout a commencé avec Éric je pense. Et à cause de lui.
J'ai 16 ans, Éric en a 19. Je suis encore au lycée, en classe de première. Lui drague les minets dans mon genre à la sortie du lycée. Il a une bagnole, il est indépendant, il a un appartement à lui et je pense que ça doit l'exciter de baiser des petits minets dans mon style. Il m'a accosté un jour à la sortie, et j'ai tout de suite flashé sur ce mec. Il posait, assis sur le capot de sa voiture tuning avec des copains à lui. J'étais sous le charme de ce type, sans me rendre compte qu'il avait un sérieux problème pour venir draguer des ados à la sortie du lycée. Bref, au bout de quelques jours de cette parade de séduction (chaque soir je le retrouvais devant le collège), il m'a proposé de me ramener en voiture chez moi. J'ai bien évidement accepté, et au moment de se faire la bise, il m'a bien évidement roulé une pelle baveuse.
Sur le plan sexuel, ça a été assez vite, j'étais encore puceau avant de le rencontrer, mais je n'avais aucune envie qu’Éric aille voir ailleurs... Alors au bout de seulement sept jours, je lui ai donné mon pucelage, dans ma chambre, pendant que ma mère était au supermarché. Ce n'était pas très glorieux et plutôt douloureux. Je ne connaissais rien au sexe. On s'est alors mis à baiser assez souvent, il prenait tout le temps son pied, mais moi c'est comme si j'assistais au spectacle de l'extérieur ! J'éprouvais un certain désir, mais toujours écrasé par l'inconfort de la position dans laquelle on était (souvent dans sa 205 GTI ). Il m'avait plusieurs fois, plus ou moins ouvertement demandé de le sucer. Mais j'étais écœurée par l'idée même de rapprocher ma tête de son sexe. Alors je fuyais assez vite la situation en le branlant un peu et en m'empalant sur sa bite.
Par contre, je me vantais bien sûr de mes exploits sexuels auprès de mes potes homos à l'école. M'inventant une vie sexuelle plus que satisfaisante et débridée, alors que je ne suis même pas sûr d'avoir un jour réellement pris mon pied avec Eric. Bref je mentais effrontément, et facilement, puisqu'ils étaient encore tous puceaux.
C'est cette attitude que j'avais vis-à-vis d'eux qui les a poussés à me mettre au défi. C'était au milieu du mois d'août, Eric travaillait avec son oncle sur la Côte d'Azur et il m'appelait tous les jours. Killian m'avait invité à une fête, ce genre de fête ou n'importe quelle lycéen crève d'envie d'aller. J'ai menti à Eric, de peur de le rendre jaloux. Je lui ai dit que je passais le week- end chez ma grand-mère. Pour mes parents c'était une innocente soirée chez un ami... Bref, nous voilà avec ma bande de copains dans le salon de Killian, à parler une fois encore de mes expériences sexuelles, quand je remarque un type qui me mate, et qui visiblement entend tout de la conversation. J'étais un peu ivre alors je décidais d'aller faire un tout dans les chiottes pour ne pas lâcher une gerbe au milieu du salon. Je suis monté à la salle de bain du haut. Je rentre et je ferme la porte derrière moi, puis je m'installe sur le chiotte. A peine ai-je commencé à pisser que la porte s'ouvre doucement, et le type entre dans la salle de bain.
– Tu devrais tirer le loquet si tu ne veux pas faire des mauvaises rencontres...
J'étais tétanisé, il s'est approché de moi et à ouvert sa braguette, sortant sa très grosse queue. Comparée à celle d'Eric, celle-çi était au moins deux fois plus longue et épaisse...
– Vu ce dont tu parlais en bas, tu dois bien savoir sucer, non ?
J'étais paralysé, je fixais sa bite des yeux sans bouger. Il appuya son gland sur mes lèvres, et j'ai ouvert la bouche.
– Suce-moi, active-toi un peu, sinon je te baise la bouche espèce de lopette allumeuse !
J'essaie de faire un ou deux mouvements afin de contrer sa queue, mais j'ai la bouche sèche, je suis complètement ailleurs. Et un peu bourré, il faut l'avouer...
– J'ai compris. En fait, tu te la pètes auprès de tes potes, mais tu ne connais rien au sexe c'est ça ? Et bien je vais te montrer comment on baise une pute par la bouche alors ! Mais je te préviens que tu vas te souvenir toute ta vie de cette pipe !
Et il m'a attrapé par les cheveux et a commencé à aller et venir dans ma bouche, de plus en plus vite et de plus en plus profond. A un point où à chaque coup j'avais un haut le cœur, une envie de vomir incroyable. Au bout de quelques minutes, il est ressorti et s'est branlé quelques secondes devant mon visage. Puis il a éjaculé. C'est à ce moment là que je suis revenu à moi. J'ai réalisé ce qui venait de se passer, je me suis rendu compte que tout ce temps je ne l'avais pas touché, ne serait ce que pour protester. Mes mains étaient crispées sur le rouleau de papier toilette. J'en arrachai un bout pour me nettoyer le visage dégoulinant, mais le type me prit le poignet.
– Donne-moi ça et dégage. J'ai envie de pisser ! A moins que ça t’intéresse ?
Il prit le papier et toujours en me tirant par le poignet, il me traîna jusqu'à la porte, l'ouvrit et me jeta dehors. Je remontai mon boxer et mon jean en vitesse, mais des gens autour avait remarqué ma nudité et fixaient mon visage dégoulinant de son sperme dégueulasse. Je commençai à m'essuyer avec les doigts, mais ça collait, j'en avais plein les cheveux. Pris de panique, je me suis précipité vers la chambre de Killian pour trouver de quoi me débarbouiller, et quand j'ouvris, je suis tombé sur mes amis.
– Ben t'étais où ? On t'a cherché partout ! Et t'as quoi sur la gueule ?
Là j'ai senti une main sur mon épaule. Le type que je venais de pomper par mégarde était juste derrière moi.
– A ton avis c'est quoi qu'elle puisse avoir sur la gueule après m'avoir sucé la queue ?
J'ai vu leurs visages se décomposer, un soupçon de dégoût apparaître. Alors je suis rentré dans mon rôle de roi du sexe. De tyran. De playboy.
– Ben quoi ! Ce n'est pas grave, c'est la vie, puis c'est super excitant de faire ça avec des inconnus. Vous devriez essayer !
Ils se détendirent un peu, j'ai alors poussé le type dehors et fermé la porte. Sarah m'a donné un mouchoir pour m'essuyer et m'a demandé ce que j'allais dire à Eric...
– Comme les autres fois, je ne lui dirai rien.
Comme s'il y avait eu des autres fois ! Sans me rendre compte, j'étais passée du statut de "roi du sexe" à "salope prête à baiser tout ce qui a une queue". J'ai eu du mal à détourner la conversation de moi et de ce qu'il s'était passé avec le type. Et mine de rien je ne suis pas ressorti de la chambre avant le lendemain, j'avais trop peur de retomber sur lui. Et qu'il me fasse des choses encore pire que ce qu'il m'a déjà imposé.
Éric ne l'a pas appri avant l'automne... On était déjà rentré en cours et il avait reprit son cinéma à la sortie du collège. Un soir, il faisait la gueule. Il m'a à peine dit bonjour et il m'a embarqué dans la voiture. Il m'a emmené dans un coin tranquille où on baisait souvent...
– J'ai eus la sœur de Killian au téléphone hier soir.
– Ah..
Je craignais évidemment le pire...
– Elle m'a raconté que tu étais à une fête chez elle, tu ne m'en avais pas parlé. C'était il y a déjà quelques mois.
– Non c'est vrai. J'avais peur que tu sois jaloux. Même si il n'y avait aucune raison.
– Et jaloux de quoi ?
– ...
– Que tu t'es vanté d'avoir sucé comme un connard un type dans les chiottes ? Voire plus, il parait que t'avais le cul à l'air en sortant !
– Ça ne s'est pas du tout passé comme ça, il m'a forcé ! Il est arrivé dans les chiottes et m'a fait gober sa queue avant de juter sur moi. J'ai jamais été autant humilié de ma vie. Je ne voulais pas t'en parler, tu ne m'aurais pas cru...
– Ben voyons. Moi ça fait depuis qu'on est ensemble que tu refuse de me sucer et là, tu le fais à un type que tu ne connais pas ! Et en plus d'après ce qu'elle m'a dit, tu fais ça souvent ! T'a quoi à répondre à ça ?
Je me ramassais mes mois de mensonges dans la figure d'un coup...
[Suite]
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