Samedi 15 décembre 6 15 /12 /Déc 19:00

Episode 1 : Mensonges

 

 

Episode 2 : Colère 

Ira furor brevis est [la colère est une courte folie]  (Horace, Épîtres, I,2,62)

 

Avertissement : J'ai hésité avec "Métaphysique du tube digestif" pour le titre...

Cradage02– Je regrette ! Je suis désolé ! Je ne referai jamais ça avec un autre. Pardonne-moi, s'il te plaît ! Je t'en supplie...

Il détourna la tête et fixa le paysage à travers sa fenêtre. On resta plusieurs minutes comme ça. Puis prenant mon courage à deux mains, j'ouvris sa braguette et sorti sa bite. Après une seconde d'hésitation, je me suis penché en avant et je l'ai mise dans ma bouche. Elle était encore molle, mais elle durcit très vite. Je le suçais du mieux que je pus. Il mit sa main sur ma nuque et me donna le rythme. Puis il recula son siège.

– Pour te faire pardonner, va falloir faire mieux que ça !

Je compris le message et j'ai retirai alors mon pantalon et mon boxer puis je l'ai enjambé. Il esquiva mes baisers et fourra énergiquement sa bite dans mon cul.

– Allez, bouge maintenant. Montre-moi que tu es à moi !

Il me mit alors son index dans la bouche.

– Montre-moi comment tu suces.

Je suçais son doigt comme je pensais que devrait le faire Brent Corrigan lorsqu'il se fait troncher par Brent Everett. Puis il le retira et l'enfouit dans mon cul. J'étouffais un cri de surprise, mais je continuai à aller et venir sur sa queue. Cette baise était la pire de toute ma vie. Encore pire que le viol de ma bouche par ce connard chez Killian. Je me sentais redevable envers Éric. Je le laissais faire tout ce qu'il voulait et je voyais le mépris grandir dans ses yeux. Je tentais de l'embrasser à nouveau, mais il détourna la tête. Je le câlinais mais il repoussait mes gestes.

– Comment tu veux que je t'embrasse ? Tu as bouffé le sperme d'un autre type et tu viens de me sucer. Tu me dégoûte. Tourne toi, mets toi dos à moi, appuie toi sur le volant. Voilà, et écarte les fesses. Je vais t'enculer encore plus fort ! Et dire que je ne suis jamais allé voir ailleurs, que je te pensais fidèle. Quel con je suis.

Je fis ce qu'il me demanda. Et à peine le dos tourné, je laissais aller mes larmes. Il remit sa bite dans mon cul et tira sur les hanches pour me faire descendre au plus profond. Ça me brûlait dans cette sodomie durait, je me sentais écartelé. Il planta encore son majeur dans ma bouche.

– Alors comme ça t'est bien rempli ? Tu ne vas pas aller voir ailleurs si je te remplis comme ça ? Allez, bouge ton cul ! Je veux que tu me fasses juter espèce de grosse truie.

Et il retira son doigt de ma bouche... Il réintroduit alors un puis deux doigts dans mon cul, sa queue restant toujours à l'intérieur. Il sortit alors sa queue de mon cul, et décida d'introduire trois puis quatre doigts dans mon cul. La douleur me coupait les jambes, mais je me retins de hurler jusqu'au moment ou il fit rentrer son petit doigt aussi. Il avait toute sa main dans mon cul. Je découvrais alors le fist.

J'étais paralysé de douleur, je n'arrivais pas à bouger. Il ouvrit la portière et me poussa dehors. Je m'écroulais mais il m'attrapa par les cheveux et me colla devant sa bite.

– Suce-moi maintenant, ma bite est sale. Je veux que tu la nettoie.

Je commençai à lécher sa bite, totalement dégouté par l'odeur de merde, mais il m'agrippa les cheveux d'une main et de l'autre fourra sa bite au fond de ma gorge tout en me pinçant le nez. Puis tout en me tenant la tête contre son pubis, il se redressa et sortit de la voiture. Me traînant à ses pieds. Je me retrouve assis par terre, la tête sur le siège conducteur, et il s'est mit à me baiser la bouche encore plus violemment que s'il s'agissait de mon cul. Imaginez donc à quelle fréquence il me défonçait la gorge. Il jouit assez vite et m'étala son sperme sur le visage.

– Tu as envie que je te pardonne ?

– Oui mon amour, bien sur. Je t'aime.

– Ouais ! Ben t'arrêtes tout de suite avec tes "Mon amour", quelle grosse blague ! Tu n'es qu'un immense mythomane. Moi je suis prêt à te pardonner, mais là t'es à l'épreuve pendant un moment. Un mois, peut être plus... A la première connerie je te gicle et je raconte à tous tes potes quel connard tu es vraiment... A mon avis si je fais cela, ta vie au lycée est foutue. Et je ne donne pas cher de ta vie à l'université.

– D'accord, je ne ferai pas de conneries. Je te le promets.

– Mon problème c'est que tu me dégoûte, mais que je te désire quand même. Quand je te regarde, j'ai envie de gerber. Alors tu as tout intérêt à accepter mon désir comme il vient, et accepter que tu sois une salope qui a déconné. Tu es une salope. Dis-le.

– Je suis une salope. Ta salope.

– Tu es une salope dégueulasse, qui suce des bites pleines de merde.

– Je suis une salope qui suce des bites pleines de merde.

– Dégueulasse ! Tu as oublié dégueulasse !

– Une salope dégueulasse.

– Tu ne te fais pas vomir là ? La gueule couverte de sperme, le goût de ta propre merde sur la langue. Le fion explosé qui traîne dans la terre ?

– Euh... Si.

– Et bien vomis alors.

– Comment ?

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Si tu ne le fais pas je m'en occupe. Et ce sera sûrement encore plus drôle !

Je me mis les doigts au fond de la gorge et je repensais à la merde sur sa bite, à son sperme et à tout ce qui me dégoûtait de moi. J'eus un haut le cœur et je vomis mon repas du midi sur mon ventre et mes cuisses. Le premier spasme en amena d'autres et je n'eus bientôt plus besoin de mes doigts dans ma bouche pour me vider... Je me dégoûtais franchement. Un peu de bile gicla sur le siège de la voiture.

– Putain, mais t'es vraiment une truie ! Tu as dégueulassé ma caisse !

Il me tira violemment les cheveux pour m'éloigner de la voiture. Ce qui envoya un dernier jet de bile sur la moquette. Il me gifla plusieurs fois ce qui stoppa mes vomissements. Je sanglotais sans retenue. Je n'étais plus moi.

– Ma main est dégueulasse, lèche là !

Je lapais sa main sans le regarder, comme un chien qui vient de se faire frapper.

– Lèche la main de ton maître. Lèche la moquette aussi.

Je me traînais jusqu'à la voiture et léchais la bile sur la moquette, retenant de nouvelles nausées.

– Tu as vu dans quel état tu es ? Tu ne crois quand même pas que je vais te laisser monter dans ma bagnole ? Tu vas devoir rentrer à pieds mon petit déchet !

Nous étions à une dizaine de kilomètres de chez moi et hors de la ville et il n'était pas question que je prenne le bus ou que je traverse le centre ville dans cet état.

– S'il te plaît, ramène-moi !

– Pourquoi je ferais ça ?

– Je ferai ce que tu veux !

– Tu fais déjà ce que je veux. Attends, je réfléchis...

 

[suite]

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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