Partager l'article ! Formation impoSée - Episode 1/3 (récit par Marc): Marc m'a contacté pour me proposer de publier ce récit. Il a employé le terme de réci ...
Marc m'a contacté pour me proposer de publier ce récit. Il a employé le terme de récit et non d'histoire, ce qui me fait croire que c'est du vécu. Soyez nombreux à l'encourager pour qu'il nous livrela suite !
Arnaud S.
FORMATION IMPOSÉE [épisode 1, par Marc]
Marcel avait répondu à une annonce parue sur le site de Priape : «Master sérieux et exigeant prêt à recevoir des slaves obéissants dans son donjon». En approchant du lieu du rendez-vous, un sentiment vague l’envahissait peu à peu. Contrairement aux principes de prudence qu’il suivait habituellement, il n’avait prévenu personne de l’endroit où il allait.
La porte s’ouvrit et il fut frappé de la noirceur qui régnait dans l’appartement.
- Ferme la porte slave, et viens te placer devant moi.
Il avança donc en essayant de ne pas heurter les meubles. Peine perdue, il fit tomber des livres en équilibre instable sur un meuble.
- Excuse-moi, je ne les avais pas vus.
- Tu viens de commettre deux erreurs slave : tu as foutu le bordel dans la pièce et tu m’as tutoyé. Tu parles quand je t’en donne la permission et tu ne peux dire que «Oui Sir» ou «Merci Sir». Tu devras être puni pour ces deux erreurs. Pour le moment, slave, viens te placer devant moi, à genoux, les mains derrière le dos.
Marcel fit ce qu’il lui était demandé. Le Master lui saisit alors les cheveux, tira sa tête vers l’arrière et lui cracha au visage. Voyant l’air effaré du slave, il tira encore plus sur les cheveux et lui recracha en plein visage. Marcel trouvait que ça commençait un peu raide.
- Tu penses pas qu’on pourrait parler un peu avant de commencer?
- Décidément, tu n’apprends pas vite : tu me vouvoies, tu m’appelles Sir et tu ouvres ta gueule uniquement quand je t’en donne la permission. Compris, slave?
Il avait à peine terminé de parler qu’il lui administra une claque en plein visage, de toutes ses forces, ce qui le fit chanceler et tomber à terre.
- Je pense que ça marchera pas; on arrête ça tout de suite. C’est un peu trop heavy pour moi.
Le Master le saisit alors à la gorge et serra jusqu’à lui faire perdre le souffle. Il lui donna un coup de poing dans le ventre et un coup de pied dans les couilles…
Quand il reprit connaissance, il était complètement nu. Il avait les bras et les pieds attachés à une table, et de toute évidence, il venait de recevoir une chaudière d’eau froide en plein visage.
- Écoute-moi bien : tu es ma propriété, tu es moins qu’un slave, tu es moins qu’un chien, tu es ma chose et je fais de toi ce que je veux. J’espère que c’est clair. Il faut que tu comprennes que tu es désormais à mon service. Je vais te dompter, te former et progressivement tu vas en venir non seulement à accepter ta condition, mais à l’aimer. Tu vas même en venir à aimer ton Master. Dis que tu aimes ton Master!
- Va chier maudit malade! Il n’en n’est pas question.
- O.K. Tu veux pas comprendre par la persuasion, je vais être obligé d’utiliser d’autres moyens.
Le Master dit à Marcel qu’il allait le détacher, mais qu’il ne voulait pas qu’il bouge en attendant de lui passer des menottes. Lorsqu’il fut détaché, Marcel en profita pour sauter en bas de la table, mais un cri de douleur lui sortit aussitôt de la gorge : le Master avait détaché ses mains et ses pieds, mais Marcel ne se rendait pas compte qu’il était retenu au plancher par les couilles! En tentant de s’enfuir, il avait tiré le lien au maximum et la douleur inattendue avait été si intense qu’il se roulait au plancher en hurlant et en gémissant. Le Master avait évidemment prévu le coup et riait de façon sadique en contemplant sa victime.
- Tu pensais tout de même pas que j’allais te laisser partir alors que je suis si bien en ta compagnie…Si tu veux pas que je t’écorche vif, tu vas m’écouter une fois pour toutes. Tu es pris par les couilles, mais tu as assez de corde pour te rendre jusqu’à la croix de Saint-André située au mur. Tu t’y rends immédiatement, et tu appuies ton front contre le mur.
En disant ces mots, il tira vigoureusement sur la corde de façon à tirer encore plus sur les couilles déjà endolories. Marcel n’avait pas le choix. Il se leva donc péniblement et se dirigea vers la croix, tout en étant retenu par les couilles. Il n’y avait que quelques pas à faire, mais le Master tirait sur la corde de plus en plus fort pour l’inciter à se dépêcher. Rendu au mur, le Master lui ordonna de placer les mains derrière le dos, tout en lui écartant les pieds. Il lui passa d’abord des menottes aux poignets, puis attacha solidement les pieds écartés à des anneaux situés au mur. Il détacha ensuite les menottes, et lia immédiatement les mains en x au-dessus de la tête.
- Je suis content que tu aies décidé de rester, dit le Master de façon sarcastique. Je suis sûr qu’on va bien s’amuser tous les deux…Maintenant, on va voir si tu es vraiment content de passer du bon temps avec ton Maître.
Celui-ci se dirigea vers le fond du donjon et en revint avec un fouet à plusieurs lanières. Il commença par caresser la peau de Marcel et lui présenta le fouet entre le mur et la bouche en disant :
- Embrasse le fouet qui va servir à faire de toi un bon slave.
Marcel hurla qu’il ne ferait jamais une chose semblable. Sans se presser, le Master recula de deux pas. Il se mit alors à le fouetter de plus en plus fort. Marcel avait déjà été fouetté et était capable d’en prendre. Mais la cadence du fouet était vraiment rapide et il savait très bien en lui-même que cela deviendrait insupportable s’il ne respirait pas des poppers. Mais le rythme s’accélérait et, malgré lui, il s’entendit crier :
- Pitié, je vais faire ce que vous me demandez.
- Qui t’a donné la permission de parler?Tu vas être puni pour ça. 50 coups de fouet! Et après chaque coup, je veux que tu comptes et que tu dises «Merci Maître». J’espère que tu as bien compris : on commence.
Les coups commencèrent à pleuvoir. Marcel comptait et n’oubliait pas de remercier après chaque coup, mais il se tordait de douleur et tentait vainement d’éviter le fouet en essayant d’entrer littéralement dans le mur. Sa voix n’était devenue qu’un murmure et tout se troublait dans sa tête. L’inévitable se produisit alors. Il en était à son 34e coup quand il oublia de compter. Le Maître s’approcha alors de son oreille gauche et lui murmura doucereusement :
- Je suis très déçu de ta désobéissance boy. Mais je ne suis pas un mauvais Maître. Je te laisse le choix. On recommence à partir de zéro ou tu acceptes de recevoir 14 coups de cane de bambou sur les fesses. À toi de choisir.
Marcel se savait incapable de recevoir 50 coups de fouet supplémentaires et choisit donc les 14 coups de bambou. Il n’avait jamais été battu à coups de bambous auparavant et ignorait donc qu’il venait de faire le pire choix de sa vie. Quand le premier coup s’abattit sur ses fesses, il pensa perdre connaissance tant la douleur était forte. Au troisième coup, il était déjà dans un état de délire et sentait le sang lui couler le long des cuisses. Le Maître continua à frapper sans relâche et Marcel traversa le seuil de la douleur. Il entendit alors le Maître lui dire :
- Qu’est-ce que tu dis à ton Maître qui vient de te caresser?
Et Marcel s’entendit répondre, malgré lui, et la voie entrecoupée de sanglots :
- Merci Maître.
- Enfin, tu commences à comprendre boy!
Le Master dit alors à Marcel qu’il allait le laisser se reposer, mais qu’il devait conserver son état total de soumission. Il devait également s’attendre à ce qu’il soit réveillé à n’importe quel moment et prêt à servir. Et pour ne pas qu’il oublie son Maître durant son absence, il lui entra dans la gueule un jock strap humide porté durant deux jours et deux nuits :
- Fais de beaux rêves en respirant l’odeur de ton Maître.
Marcel s’endormit rapidement.
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