Samedi 23 février 6 23 /02 /Fév 16:21

AnthroBite01En faisant le ménage de mon PC, je suis tombé sur cette histoire de TheKevin25 que je n'avais jamais publiée ! Je me suis dit qu'il fallait réparer cet oubli, d'autant plus que RIPDOG a accepté de l'illustrer, tel un moine enlumineur.

 

Arnaud S.

 

PS : Ne prenez pas ça pour une reprise de mon blog. C'est juste un bonus, et aussi une façon de fêter le retour du blog de  TEUBCRADE !

 

P²S : Puisqu'on parle photographie, allez voir celles de RobUnvicious, un petit gars au talent prometteur. Me suis permis de faire quelques copies de celles que je kiffe le plus (Album ANGES).


Première Partie : Le verre de Bienvenue

 "J'arrive dans 2 h gare de Lyon" C’est le SMS que je viens de recevoir. Je me décide de venir te chercher. Tu connais mes conditions. Je ne suis pas fan d'odeurs ni de crade. J’aime que le mec soit passif et très gourmand. Il doit chercher à me faire plaisir sans que je lui demande, à m’épater, à m’obéir sans rechigner. Chaque fois que je dois être directif, cela m'agace et ce n’est pas bon pour toi... Plus je suis agacé, plus je suis invivable voire brutal et violent. Toi tu es intrigué par moi, je t’attire mais malgré tout tu crains de ce que je pourrais t’imposer. Tu me connais sans vraiment m’avoir cerné.

Je viens te chercher et malencontreusement, je suis obligé de t’attendre. Le train aura du retard et du coup je me mets en rogne. Tu me bipe lorsque le train rentre en gare. On se rejoint alors quelques minutes après. Tu es désolé. Tu as une boule d’angoisse. Tu sais que je suis contrarié. On sort alors pour rejoindre ma bécane. Je ne suis pas impressionnant et cela te rassure un peu. Je ne fais pas si peur que tu l’avais imaginé, mais ce n’est qu’une couverture, je sais cacher ce genre de choses.

Tu te présentes à moi tout sourire mais avec ce fond d’angoisse que je ressens dès tes premiers mots. En fait tu espères que ton sourire charmeur endorme mon agacement. Et moi à cet instant je pensais "Mais quel con ! Il me fait mariner et il me nargue avec son sourire". Je m’assois sur ma bécane et je tends mon bras et te colle une magistrale claque devant tout le monde .

"Effaces moi ce sourire de niais de ta tronche de morveux ! Tu me fais poireauter et ça te fait sourire ! T'as vraiment besoin d’être dressé toi ! Tu vas voir, je vais te montrer à coups de fouets comment on apprend le respect aux sous-merdes dans ton genre !"

Tu tentes alors de bégayer quelques mots mais tu n’as pas le temps de finir ta phrase que tu en reprends une dans ta face : "Ta gueule... Et mets ton casque !" Tu t'exécutes et je rajoute "J'espère que tu sais au moins être un bon passager en moto ! Grimpe salope !"

Tu commences à douter... La peur te tiraille et tu te demandes dans quelle galère tu vas te fourrer… Mais finalement tu te décides. Tu grimpes sur la moto et nous partons. En roulant tu tentes de m’amadouer et m’exciter en glissant ta main sur mon paquet. Ça ne me fait aucun effet.

Tu as raison, tu m’excites mais l’excitation aiguise mon irritabilité. J’ai été particulièrement agacé de devoir t’attendre dans le froid à la gare, avec passants qui me regardaient comme si j’étais une pute en train de faire le trottoir. Cette décharge de haine qui est en moi n’est pas prête de disparaitre. Il va falloir que tu donnes de toi pour te faire pardonner ! AnthroBite02

Nous arrivons chez moi et je te demande de descendre de la moto pour aller ouvrir le portail. Tu descends de la bécane d’une manière foireuse et en plus tu n’arrives pas à ouvrir le portail. Je suis obligé de mettre la moto sur béquille et ouvrir le portail par moi-même. Non seulement tu n’as pas l’air doué mais en plus j’ai l’air fin avec la trique visible dans la rue. Je rentre la moto dans le jardin et te montre une porte. Je te demande alors de m’attendre devant cette porte. Je fais le tour pour entrer chez moi et je descends t’ouvrir. Je te fais entrer. Nous sommes dans une pièce de 2 mètres carrés avec une porte sur chaque mur.

 

Là je plonge ma main dans ton boxer. Je veux vérifier, je manipule brutalement ta queue, la décalotte, frotte mon doigt contre ton gland. Je ressors ma main et sens mon doigt. Je vois que tu as fait un effort : ta queue est propre mais après quelques heures dans le caleçon elle sent, très peu mais il y a un soupçon d'odeur. Je te colle une baffe sur l’arrière de la tête. Ce ne sera pas la dernière que tu recevras durant ton séjour.

J’ouvre une porte et tu découvres alors un minuscule cagibi. Il y a une chaise et elle occupe toute la place. Je te retourne et attache tes mains dans ton dos avec un collier plastique. Je te force à t’assoir sur la chaise et attache tes mains à celle-ci avant te balancer : "Hey Mec ! Je t'ai à peine vu que tu m’as gavé alors je vais te laisser sécher ici. Ça te fera réfléchir un peu. Quand je reviendrais j'espère que tu seras capable de me proposer quelque chose pour te faire pardonner"

Je claque la porte et tu te retrouves coincé dans le noir dans ce petit espace exigu. Tu entends mes pas sur les marches d’escaliers qui sont le dessus du cagibi, je reviens te voir une heure plus tard, j’ouvre la porte et tu es ébloui par la lumière : "Alors tu as réfléchi ? Tu n'es même pas à la hauteur de tes prétentions... Tu as une grande gueule par mail et à la caméra mais en réel tu n’es qu'une grosse merde."

Je te sors un glaviot d'anthologie. J'ouvre ta bouche et le crache au fond de ta gorge, la referme et te colle une claque sur l’arrière de la tête.VerreDePisse

 

Je te montre un verre plein sur une toute petite étagère dans un coin de ce cagibi.

"Regarde ce verre ! C’est ma pisse de ce matin... bien froide et puante". J’attrape le verre te le porte à la bouche "Bois ! Et ne t’avise pas d’en faire tomber à cote ou de recracher".

Tu bois tout en prenant bien soin de ne rien faire tomber ou ruisseler. « Tu boirais nimporte quoi toi ! C’était la pisse de mon chien, mais ce n’est pas grave, ça prouve que tu es prêt à beaucoup de choses… » Je te vois avoir des relances, je suis sadique quand même. Je te sors surtout de belles conneries mais ta naïveté te perdra un jour.

Je te détache de la chaise, te met debout, baisse ton froc et ton boxer. Je palpe ta queue et tes burnes. Je prends tes burnes en main et serre fort. Tu te plies de douleur

"Alors tu es prêt à m obéir sagement ou tu as besoin d’être dressé ? Penches toi en avant". Une fois penché je palpe tes fesses, mon doigt va titiller ton petit trou... Puis je t’enfonce sans ménagement un plug à peine lubrifié. Je te force à t’assoir te rattache et repart en te laissant dans le noir le plus total. Encore.BatardRepus

Toi de ton coté, tu commences à être excité par la tournure que prennent les événements mais tu as peur. Que va-t-il bien t'arriver ? Tu sens la présence de ce plug en toi, tu as le gout de mon urine dans ta bouche, tu es attaché dans le noir d’un minuscule espace. C'est le seul endroit que tu as vu dans ma maison…

Quelques heures plus tard, c’est autour d’un whisky-coca que nous nous réconcilions. Je t’ai laissé mariner dans le cagibi pour voir si t’étais capable de tenir, de ne pas t’effondrer telle une merde, tu as résisté, le jeu va donc reprendre son cour normal. Je t’ai retiré le plug de ton cul de lope et je voulais désormais passer aux choses sérieuses.

Prétextant quelques photos incroyables dont je voulais te faire partager la primeur, je t’attirai alors vers une pièce au fond de la maison. Tu me suivis sans broncher, savais-tu que tu étais au centre d’un piège qui se refermait sur toi-même à chacun des pas que tu faisais ? Que tous ces pas te conduisaient, dans ce long couloir, au destin que je te réservais ?

 

[SUITE]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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