X-toireS

Samedi 9 avril 6 09 /04 /Avr 10:04

baillonJe vous conseille la lecture de cette histoire de Jérôme trouvée sur le site MaleSpank (voir mon Top12) :

 

Ma nouvelle vie chez mon cousin.

 

Un jeune footeux, Geoff, est confié à son cousin Lionel dont il devient l'esclave sexuel.

 

J'aime :

- le style narratif, avec des points de vue alternés

- les thèmes (BDSM, uro, pieds, foot...)

- cette forme d'amour entre les cousins

- le rôle protecteur de Lionel, en particulier dans le chapitre 4, où il sauve son cousin d'un vrai sadique.

 

Un conseil : Prenez le temps de refaire le plein de vos couilles entre chaque épisode, histoire de mieux savourer.

 

Arnaud S, critique littéraire.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 07:38

Les personnages de l'histoire qui suit sont un peu "jeunes" mais ils ont du potentiel pour une carrière dans le BDSM. Comme pour l'histoire précédente, je lance un concours à celui qui illustrera le mieux l'histoire.

 

Arnaud S.

 

 

Cela faisait quelques années que je faisais du baby-sitting chez les voisins. Ils ont un fils unique, Corentin, il a trois ans et demi de moins que moi. Je l'ai gardé régulièrement depuis ses 11 ans ou 11 ans et demi. C'était un super gamin, d'une gentillesse à toute épreuve, serviable, très câlin, même avec moi, presque tout le temps sur mes genoux, et le soir, je devais rester près de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme. Peu avant ses 14 ans, il a commencé à être plus distant, j'avais bien vu qu'il avait largement entamé son adolescence, je me suis rappelé qu'à 13 ans, j'étais comme lui, froid et surtout en révolte contre tout et tous. Les séances de baby-sitting sont devenues un peu plus compliquées, il fallait batailler pour le mettre au lit et éteindre la lumière, et pour qu'il termine ses devoirs avant de plonger sur ses manettes de jeu, ça relevait de la bataille de Trafalgar, mais malgré ces quelques difficultés, on restait bons copains.

A côté de ça, la pudeur n'a jamais été son fort ; quand il revenait de la douche, il restait à poil et prenait plaisir à se dandiner sous mes yeux, et son adolescence n'a rien changé à son attitude, pire il venait mettre à la hauteur de mon visage son sexe bandé, parfois même en se touchant légèrement pour en entretenir la raideur et mimer une masturbation. Je ne pouvais pas ne pas le voir, j'étais la plupart du temps assis sur le canapé et il exécutait sa petite danse obscène, debout à un mètre de mes yeux. Il fallait chaque fois que je hausse le ton pour qu'il aille, soit enfiler un pyjama, soit se diriger vers sa chambre pour qu'il se couche, et là, il redevenait le petit garçon, je devais lui caresser le dos, juste le dos, jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Je n'avais aucun, mais alors vraiment aucun intérêt pour les personnes de mon sexe, je trouvais même ça dégoûtant que des hommes puissent s'aimer et faire des « choses » entre eux, de plus, pour moi, Corentin était un gosse que je gardais pour gagner de l'argent, point-barre.

Mais je serais malhonnête si je disais que ses danses du ventre et du zizi sous mon nez ne créaient aucun trouble chez moi, c'est pour cela d'ailleurs qu'en l'attendant revenir de sa douche, je mettais systématiquement un coussin entre le livre que je lisais et mes cuisses, et il est arrivé plusieurs fois qu'après l'avoir mis au lit, je passe un « certain temps » sur la cuvette des WC. J'avais 17 ans et lui 14, je mettais ça sur le compte des hormones, jusqu'au baby-sitting du mois passé.

Il venait de fêter ses 15 ans, et moi j'en avais 18. Je devais le garder tout le week-end, ses parents étant partis pour un city-trip à Prague du vendredi soir au dimanche soir. Il m'a refait sa danse du ventre, mais cette fois en décalottant complètement son gland sous mes yeux. Il avait un magnifique sexe, plus beau que le mien, orné d'une petite touffe de poils bien sympa, mais je ne voulais pas le savoir. Il m'a demandé de venir le border, ce qui sous-entendait lui caresser le dos, je lui ai répondu que j'allais d'abord prendre une petite douche vite fait, vu que j'avais vraiment trop chaud (!). Je suis revenu de la douche, les reins ceints par une serviette, Corentin semblait à l'orée du sommeil, mais il a gémi en m'entendant approcher de lui, je me suis donc assis comme d'habitude sur le bord de son lit, il était nu comme à l'accoutumée, son dos vers moi, et je l'ai caressé comme je le faisais depuis des années pour qu'il s'endorme.

Et d'un coup, il crie, je suis surpris et me lève promptement, ma serviette tombe, il se retourne vers moi et me prend en photo avec son téléphone.

— Et alors, Théo, tu fais de l'exhibition comme ça avec tous les gamins que tu gardes pendant les week-ends ?

— Corentin, c'est quoi, ça ?

— Et en plus, tu leur caresses les fesses ?

— Corentin, tu sais que ce n'est pas vrai.

— Peut-être, mais si je le dis à mes parents, c'est moi qu'on croira, pas toi.

— Tu es devenu fou ?

— Non, juste que je n'aime pas quand tu me tripotes le cul et les couilles.

— Mais, Corentin, je ne t'ai jamais tripoté !

— C'est moi qu'on croira !

— Arrête, Corentin, ce n'est pas drôle, et je le vois qui s'empare de son téléphone portable.

— Corentin, tu fais quoi, là ?

— Tu le vois bien, je téléphone à mes parents.

— Corentin, arrête tes conneries, s'il te plaît.

— Demande-moi ça mieux.

— Corentin, je te supplie de ne pas appeler tes parents, si tu leur dis ça, je suis mort.

— Je veux bien bien attendre un peu avant de les appeler, Théo, mais tu vas faire ce que je te dirai, tout ce que je te dirai.

— Corentin, arrête, ce n'est pas drôle.

Le gamin a remis son téléphone contre sa joue.

— Bon, ok, tu veux quoi ?

— Branle-toi devant moi, fous ton sperme dans la paume de ta main et tu bouffes tout.

— Corentin, tu es fou ou quoi ?

— C'est ça ou je téléphone !

— Bon, ok.

J'ai commencé à me masturber devant ce sale gosse, il continuait à prendre des photos avec son foutu téléphone, surtout quand j'ai juté dans ma main et que j'ai avalé mon propre jus.

— C'est bien, Théo, et maintenant, tu vas me sucer.

— C'est bon, Corentin, ça suffit maintenant, j'ai fait ce que tu m'as demandé.

— Tu te tais et tu suces, m'a-t-il répondu en approchant son téléphone de son visage.

J'ai approché ma bouche de son entrejambe, que pouvais-je faire d'autre ? Je l'ai mis en bouche et je l'ai amené à jouir. Quand j'ai senti qu'il venait, j'ai voulu me retirer, mais sa main sur ma tête m'en a empêché et j'ai dû avaler son sperme jusqu'à la dernière goutte, il n'a lâché ma tête que quand sa queue est redevenue molle. Pendant cette fellation, il avait continué à prendre des photos.

— Théo, quand je me réveillerai demain, je t'appellerai et tu viendras me faire la même chose sans dire un seul mot.

— Corentin, arrête, s'il te plaît !

Son regard dur et intransigeant a fait que j'ai quitté sa chambre pour la chambre d'amis sans rien dire. J'ai mis plus de deux heures pour m'endormir, cherchant une solution pour sortir du merdier où je me trouvais, je n'en ai trouvé aucune, il me tenait par les photos qu'il avait prises dans toutes ces situations qui me compromettaient sans appel. Quelques minutes avant que je puisse m'endormir, je me suis dit qu'il me tenait par les couilles, que je ne pouvais rien faire d'autre que lui obéir, et j'ai assumé cette réalité avant de confier mes yeux et mon corps à Morphée.

Le matin m'est parvenu de sa chambre un appel bref « Théo, ici ». Il m'a reproché de m'être mis en pyjama, il m'a fait déshabiller, précisant que je devais rester à poil toute la journée. Il m'a fait mettre à genoux, mains derrière le dos, tête en arrière et bouche ouverte, il m'a pissé dans la bouche et j'ai tout dû avaler, il riait et moi je pleurais. Il m'a obligé à me mettre à genoux sur le lit, il voulait voir mon trou de cul, j'ai dû écarter mes fesses avec mes mains, jamais je n'avais connu pareille humiliation. Il a caressé l'entrée de mes intestins avec son index, je le suppliais d'arrêter, de ne pas entrer son doigt, mais ses caresses étaient si agréables que mes sphincters se sont détendus. J'ai crié de douleur quand son doigt est entré, il a commencé à trifouiller à l'intérieur comme on tourne avec une cuiller dans un pot de yaourt,je voulais qu'il retire son doigt, mais ce qu'il me faisait devenait agréable, j'en éprouvais encore plus de honte, ma queue s'est mise à durcir, il avait trouvé un endroit à masser qui me donnait des sensations étranges jusqu'au bout du gland, j'ai dû me rendre à l'évidence, j'aimais ce qu'il me faisait.

— Tu bouges bien ton cul, hein, petite salope, dis-moi que tu aimes ça.

— Oui.

— Mieux que ça.

— Oui, Corentin, j'aime ça.

— Supplie-moi de continuer.

— S'il te plaît, Corentin, continue, c'est trop bon.

— Dis que tu es une salope et que tu aimes mon doigt dans ton cul.

— Je suis une salope, j'aime ce que tu me fais.

J'avais à peine dit ça qu'une sensation étrange a parcouru mon bas-ventre, de ma queue à peine bandée est sorti mon sperme, sans à-coup comme si je me vidais sans pouvoir m'arrêter. Je me suis affalé sur le lit, mon ventre dans mon jus.

— Regarde ma queue et dis que tu l'aimes bien et que tu voudrais que je la foute dans ton cul.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais c'est sorti comme ça. Je lui ai dit que j'aimais sa queue, qu'elle était belle, que j'avais toujours aimé le voir nu, que depuis des années, je devais me retenir pour ne pas la toucher, la caresser, que je bandais quand je lui caressais le dos, que son jus était bon et que j'en voulais encore, que je voulais la sentir en moi, que je voulais qu'il me sodomise.

Comment avais-je pu dire ça, je me suis mis à pleurer, et à genoux, je lui ai demandé d'oublier ce que je venais de lui dire.

— Trop tard, tu l'as dit, et je te la mettrai, mais avant, c'est Patrick que va te la mettre.

— Patrick ?

— Tu connais bien, Patrick, non ? Tu fais aussi du baby-sitting chez lui.

— Mais Patrick a 14 ans.

— Et alors ? Il a envie de te voir à poil, de te tripoter et de mettre sa queue dans ton cul.

— Corentin, s'il te plaît, avec toi je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas venir Patrick.

— Trop tard, je lui ai téléphoné, il va bientôt arriver, en attendant prépare le petit-déjeuner.

Je savais que je n'y couperais pas, Corentin l'avait décidé et il ne changerait pas d'avis, je me sentais totalement perdu, j'étais devenu le jouet de Corentin et j'allais être celui de Patrick. Mes pensées étaient confuses, partagées entre l'horreur du comportement de Corentin et le fait que ma totale soumission ne me déplaisait pas totalement.

Quand Patrick est arrivé, j'ai dû lui ouvrir la porte, il m'a fait mettre les mains sur la tête et a examiné et palpé toutes les parties de mon corps comme on examine un esclave avant de l'acheter : il a mis ses doigts dans ma bouche, il a pincé mes tétons à m'en faire mal, il a pris ma queue en main et l'a tripotée, décalottée jusqu'à ce que je bande devant lui, il m'a fait faire demi-tour, j'ai dû me pencher en avant en écartant mes fesses, il m'a entré son doigt dans l'anus, puis il m'a donné une petite claque sur les fesses, et j'ai dû le déshabiller entièrement. Quand j'ai vu son sexe, je n'ai pu que m'extasier devant sa taille, sa queue fine était plus longue que la mienne, il m'a fait mettre à genoux et m'a obligé à la prendre entièrement en bouche pour la faire bander, puis il m'a relevé en me tirant par les cheveux, il a arraché un poil de mon pubis, ce qui m'a fait crier, plus de surprise que de mal, et son verdict a été : « trop de poils, on va enlever tout ça ». Ce gamin voulait faire disparaître les signes de ma virilité auxquels je tenais le plus : ma toison pubienne, et je savais que j'y passerais. Puis il s'est détourné de moi pour rejoindre Corentin qui avait tout photographié, j'ai pu déjeuner avec eux, mais je devais me taire. Corentin a raconté à Patrick tout ce qui s'était passé de puis hier soir, n'omettant aucun détail, jusqu'à son pipi du matin où je lui avais servi d'urinoir. Ma honte était à son maximum, mais ... je n'arrêtais pas de bander à en avoir mal. Corentin l'a vu, j'ai dû me mettre debout face à eux, ils voulaient voir en permanence ma queue raide, et ils ont voulu que je me caresse devant eux pour la tenir droite. A 18 ans, me toucher devant deux gamins de 14 et 15, c'était de la folie, de la pure folie, mais le plus grave, c'est que je commençais à apprécier ça.

Après le petit-déjeuner, Corentin a allumé son ordinateur tandis que Patrick m'a emmené dans la salle de bain ; du cou aux chevilles, tout mon corps est passé par les lames du rasoir jetable qu'il maniait comme un pro, devant et derrière, et je l'ai laissé faire sans dire un mot. J'étais plus nu que nu quand Patrick m'a emmené devant Corentin qui a passé sa main sur l'entièreté de mon corps, je bandais devant lui, mais ça ne m'a pas trop dérangé, j'avais accepté que mon corps soit à lui. Corentin nous a dit qu'il avait créé un espace web où il avait mis un blog avec toutes les photos qu'il avait prises de moi, il les a fait défiler sous les yeux lubriques de Patrick qui, régulièrement, se tournait vers moi en me disant « tu es vraiment une bonne salope, toi, une vraie petite pute ». Et Corentin de renchérir « j'ai envie de donner l'adresse de ce blog aux copains à l'école ».


Ils m'ont ensuite fait mettre à genoux, mains derrière le dos, à côté du lit, je devais les regarder se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer, se mettre un doigt ou la queue dans le derrière. Je n'aurais jamais cru que deux garçons puissent se toucher comme ça, et malgré ma position d'esclave pour eux, je bandais ferme, j'en arrivais presque à espérer qu'ils me disent de les rejoindre, mais après une demi-heure, ils ont quitté le lit, me laissant planté là. Puis Patrick a claqué sur mes fesses, tandis que Corentin m'a dit « allez, la petite salope, à quatre pattes sur le lit ». Je me suis exécuté, j'ai dû plier les bras pour avoir la tête sur le drap, mon intimité exposée à leurs regards, leurs quatre mains me touchaient, parfois caressaient mes fesses, parfois les tapaient de la paume de la main, ils touchaient et tiraient mes bourses, ma queue, ils examinaient des yeux et des doigts mon anus, et j'ai senti comme un liquide gras déposé sur mon trou et introduit par des doigts à l'intérieur.

Corentin est venu devant moi, m'a remis sur les mains et m'a dit « tu me suces, mais tu ne me fais pas jouir », j'ai mis sa queue en bouche tandis que derrière moi, je sentais le gland de Patrick à l'entrée de mon corps, il a forcé l'entrée lentement mais inexorablement, j'avais mal, mais c'était trop bon, il a empoigné mes hanches et a martelé mon cul faisant à chaque mouvement coulisser mes lèvres sur la queue de Corentin, il a déversé son jus d'ado dans mon ventre en hurlant, puis ils ont changé de place, j'avais en bouche la queue de Patrick encore pleine de son sperme et du jus de mon cul, et Corentin s'est introduit en moi, il m'a fait plus mal que Patrick, leur queue ayant un gabarit différent, j'étais une salope mais j'aimais cette sensation entre mes fesses, je gémissais sourdement. Corentin y allait sauvagement, brutalement, comme pour bien me montrer qu'il était le maître, tandis que Patrick poussait son gland tout au fond de ma gorge. J'ai senti que j'allais jouir devant ces deux gamins, je voulais tout faire pour empêcher ça, mais le plaisir a été le plus fort, j'ai éjaculé comme jamais tandis que Corentin se vidait en moi et que Patrick m'envoyait encore une dose de sa liqueur dans ma gorge.

C'était trop pour moi, je me suis effondré sur le lit en pleurant à chaudes larmes, en les suppliant d'en finir avec tout ça. J'ai senti leurs mains sur mes cheveux, la nuque, le dos, les fesses le dos des cuisses, elles me caressaient tendrement, je ne comprenais plus rien, ils ont couvert mon dos de baisers tendres.

— Qu'est-ce qui se passe ?

— Théo, on t'aime.

— Vous appelez ça aimer ? Vous m'avez traité comme une pute.

— On t'aime tous les deux, et c'est le seul stratagème qu'on a trouvé.

Je me suis mis sur le dos, et Corentin m'a embrassé sur la bouche, sa langue a caressé mes lèvres, je les ai ouvertes et j'ai embrassé mon Corentin à pleine bouche tandis que Patrick embrassait et léchait mon ventre et mon sexe, puis il est venu près de ma bouche, m'a embrassé tendrement à son tour, ensuite les trois bouches se sont rejointes, et on s'est léchés, sucé les bouts de langue, alors qu'ils caressaient ma queue tous les deux.

Quand on s'est calmés, ils se sont blottis tout contre moi, j'ai passé mes bras sous leur épaule pour les serrer très fort.

— Vous m'avez bien eu, tous les deux.

— On savait que tu avais envie de nous, a dit Corentin, je savais que tu bandais quand je me mettais nu après la douche.

— Et moi, depuis que je suis devenu ado, tu étais dans la salle de bain à chacune de mes douches, et ton short était gonflé.

— Et moi qui pensais être discret.

— Tu ne nous en veux pas ?

— Non, mes petits amours.

— Ce soir et demain, ce sera à toi d'honorer nos petits culs.

Corentin a décroché le téléphone qui sonnait et il m'a passé l'appareil. C'était la mère de Patrick qui me demandait si je pouvais le garder en même temps que Corentin jusqu'au dimanche soir. Les deux gamins rigolaient, ils avaient bien préparé leur coup.

Ce week-end de baby-sitting a été le plus beau de ma vie et il y en a eu encore beaucoup par la suite, chez Corentin ou chez Patrick, parfois je « gardais » les deux pour qu'ils ne fassent pas de ... bêtises.

 

par Nobody69 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Mardi 14 décembre 2 14 /12 /Déc 07:15

   Dans les nouveautés de Gai-éros (voir mon TOP12), une histoire de Kevin est particulièrement "chaude". Normal le Kelvin (K) est l'unité de mesure de la température du Système International (SI), les unités à utiliser dans les formules de physique...

Il faut soustraire 273,15 à la température en degré Celsius (°C) pour convertir en Kelvin.

Zéro Kelvin (0 K) correspond donc à -273,15°C, c'est la température théorique  la plus froide possible, celle à laquelle rien ne bouge plus, où tout est en ordre (Entropie nulle). Pour info, la température moyenne de l'univers est de l'univers est de 2,7 K.

   Cette petite parenthèse scientifique fermée, on revient à l'histoire. Je lance un petit concours : celui qui enverra la meilleure photo pour illustrer l'histoire.

   Bonne lecture !

Arnaud S

 

Cette histoire s'est passés il y a 2 ans à peu près. Je voyais mon cousin parfois, le weekend-end notamment. Il nous arrivait de se taper des queues ensemble devant un bon film porno ou les gonzesses se faisait défoncer la chatte par Rocco... Mais rien de plus ! On jutait et puis finito, des trucs de cousins quoi ! Mais ce jour là, ce ne fut pas pareil.

On était les deux dans sa chambre, tout le monde dormait dans la baraque. Il était une ou deux heures de mat' et après un bon film d'horreur, une branle s'imposait ! Alors on met un film de cul bien hard comme à chaque fois. J'avais déjà remarqué ses effluves de mâle, il n'était pas très pote avec la douche mais aujourd'hui, c'était encore pire que d'habitude. Un truc de malade, à vous faire réveiller un mort. On avait donc nos deux queues en main, il était plutôt bien monté, 20 centimètres, épaisse et bien poilue, comme j'aime. Il se doutait sûrement que j'kiffais les chums, mais jamais il n'aurait tenté quelque chose sur moi, par peur de ma réac'. Mais là moi, j'avais grave envie de sa queue, ses odeurs de mâle m'excitaient un max ! Alors je m'décidai...

— Ça te dit que je te suce ?

Et là aucune réponse, il avait plutôt l'air surpris. Et d'un coup sec, il me choppa par les cheveux, on était encore allongés l'un contre l'autre, moi tenant ma queue à pleine main. Il plaça ma tête en dessous de son visage, au niveau de son ventre, et m'ordonna d'ouvrir la bouche. Je m'exécutais ! Et là, il va chercher au fond de sa gorge le mollard du siècle, un truc énorme qu'il me lâche en plein dans la bouche. Et il me dit :

— Commence par avaler ça !

Et là, c'est moi qui fût surpris ! Le salaud, il avait décidé de me faire ma fête, depuis le temps que je l'attendais ! Après avoir avalé son mollard, il me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits et me place la gueule contre le mur afin que je puisse le sucer pensais-je... Il se mit face à moi, à genoux sur le lit, et me décolla une baffe monumentale. Ce qui me fit basculer sur le côté. J'étais ailleurs, comme sur une autre planète. Il empoigna encore une fois mes cheveux et me replaça contre le mur, face à lui. C'est là qu'il entreprit de me bourriner la gueule avec sa queue. Il plaça le bout de son gland juste devant mon visage. J'avais déjà la gueule grande ouverte. Mais lui ne le voyait pas de cet œil. J'avoue que le goût de fruits de mer avariés dont certains parlent me sauta au nez. Il avait un long prépuce qu'il n'avait pas complètement décalotté. Il le fit juste devant mes yeux, et là, je voit apparaître sur son gland une masse blanchâtre qui traînait une odeur forte à la limite de la gerbe. C'est à cet instant que j'ai regretté d'avoir ouvert ma gueule plus tôt... Il me regarda droit dans les yeux et me dit :

— Tu voulais un mec, ben chui là. Alors maintenant tu vas pas faire ta mijaurée et tu vas faire ce que je te dis ou sinon ça va mal aller pour toi !

Je ne pouvais alors plus rien faire ! J'étais obligé d'aller jusqu'au bout de cette expérience. J'ouvris donc à nouveau la bouche. Il prit de ses doigts un peu de fromton de sa queue et les enfonça le plus possible dans mon nez. Afin que je garde son odeur pestilentielle pendant tout l'acte. Et je me mis donc à le sucer. C'était assez étrange car je me suis mis à apprécier ce goût âpre, à kiffer cette odeur extrême de mâle. Il me laissa quelques secondes pour m'habituer à sa queue, mais cela ne dura pas ! Il reprit vite les choses en main. Tenant sa queue dans une main, et appuyant ma tête contre le mur, il commença des va-et-vient d'un rythme éffreiné. Plus fort que le bourrinage de chatte de nos films favoris. Ma bouche ne suivait pas tant il était rapide et allait profond. Il me défonçait littéralement la gueule. Quand il était bien à fond dans ma gorge, il restait quelques secondes en poussant des cris bestiaux. Ça le faisait kiffer de me voir souffrir. Mais moi j'adorais ça. Je m'appliquais du mieux possible. Il alternait en me faisant bouffer ses grosses couilles poilues. Ça le faisait triper que je les prenne les 2 en bouche en même temps. Il pouvait se branler bien tranquille sur ma gueule pendant que ses burnes étaient bien au chaud dans ma bouche de pute. Cela a duré une bonne vingtaine de minutes. Vingt minutes de pilonnage intensif. Mais il avait pas envie que cela se termine de si tôt. Alors il me dit :

— Bon grosse salope de cousin, ça fait six jours que j'ai pas juté ce soir, et j'ai envie que ça dure pour pouvoir te noyer dans mon sperme.

L'expression était exagérée mais ça m'excitait grave rien que d'y penser. Il s'alluma alors une clope et me dit de venir à côté de lui. On parla un peu, lui racontant ce que je kiffes chez les mecs et lui me disant que c'est sa première expérience. Qu'il aimerait faire ça avec sa meuf mais qu'elle veut pas se soumettre à lui.

— Et ça fait longtemps que t'as envie de ma queue ?

— Ben ouais, ça fait déjà pas mal de temps que tu me donnes envie. Avec toutes nos branles et tout. Mais là, ce qui m'a plu c'était ce gland fromageux, comment tu fais ça ?

— Je t'expliquerai plus tard comment faut faire mais pour le moment, tu vas aller dans le bain et m'attendre bien gentiment !

— Mais je vais pas sortir à oilpé, traverser le couloir alors que les parents et ton frère dorment juste à c...

J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il m'a déjà coller un coup de poing dans le ventre, me pliant en deux.

— Tu fais ce que je te dis et c'est tout !

Je m'exécutai avec précaution tout de même et allai jusqu'à la salle de bain qui était de l'autre côté du couloir. J'étais à poil. Je savais ce qui m'attendrait là bas, il avait envie de m'arroser de sa pisse bien chaude et peut être même m'en faire avaler. Le rêve ! Je laissai la lumière éteinte. Au bout de quelques minutes, j'entendais une porte s'ouvrir ! Enfin, mon cousin va continuer mon larvage ! Mais je fus très surpris ! C'était le petit frère de 16 ans qui entrait dans la pièce.

— J'ai tout entendu ce que vous faîtes, et vu que ça m'a donné la gaule, tu vas me servir de vide-couilles.

Il sortit alors sa queue. Il était déjà bien pourvu pour son âge mais ne puait pas autant que son frère, dommage ! Je m'exécutai à sucer cette queue, il est venu en 5 minutes environ, et a juté bien au fond ma gorge. Il n'avait pas autant de poigne que mon maître mais il était plaisant ! Il repartit vite fait dans sa chambre en me lançant un petit "Merci C'zin !"

J'entendis alors mon cousin sortir de sa chambre. Il vint directement devant moi, il ne bandait plus mais que sa queue était épaisse et lourde au repos ! Il m'ordonna alors de prendre sa queue entière dans ma bouche, je le fis. Il me promit une pluie de mandales si je n'avalais pas tout. Il se concentra et commença à m'inonder la bouche de sa pisse fumante et puante, je m'attelai à tout boire ce précieux liquide. Quelques gouttes tombèrent tout de même dans la baignoire, il me les fit laper. Il me dit ensuite de m'allonger sur le dos dans la baignoire, que j'allais devoir lui décrasser son trou qui d'après lui était bien gras et que j'aimerais ça. En effet, j'ai aimé décrasser son cul. J'avais jamais fait ça, mais j'ai adoré cette odeur particulière.

— Et t'aimes aussi te faire enculer comme une chienne ?

— Ben ouais bien sûr ! lui répondis je sans vergogne.

On retourna alors dans sa chambre pour qu'il donne une raclée à mon petit cul ! Et il n'y alla pas de main morte ! Il me fit mettre à 4 pattes, mollarda une ou deux fois sur mon cul enfonçant son index au plus profond. Et lorsqu'il décida que mon cul était prêt, il posa son gland sur ma chatte de pute et d'un coup sec, entra son dard bien au fond de mon fondement. Au plus profond de mes entrailles. Je poussai alors un hurlement. Il m'engueula de plus belle et décida de retirer ses chaussettes et de m'en coller une bien au fond de la gueule pour que mes hurlements soient retenus. Au moins pour ceux qui dorment. Bien que le frère doit être en train de se branler en nous écoutant. Il pillona alors mon cul pendant des dizaines de minutes. J'avais le derrière en feu, jamais on ne m'avait enculé aussi fort ! Il se retira et vint se placer devant moi, je me mis alors au niveau de sa queue, il me frappa sur la tête et me dit :

— Lèche-moi les pieds sale garce. Après t'auras mon jus !

J'étais à 4 pattes devant mon cousin qui s'est assis sur son lit, il continuait à se toucher la teub pendant que je lui bouffais les pieds. Je passais entre chaque doigt de pieds, pour récupérer tous les morceaux et les odeurs de son 45 fillette. Il prit alors une barre chocolatée près de son lit, se mit à la bouffer. Je me demandais pourquoi faire. Je compris vite lorsqu'il me fit ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. J'étais sa pute, son urinoir et maintenant sa poubelle. Je kiffe ! Il me dit qu'il n'est pas loin de juter.

— Fous-toi allongé sur le dos sur le lit, ta gueule en dehors du matelas que je puisse prendre ta bouche comme une chatte et y foutre toute ma sauce

Je pris la position qu'il souhaitait et il enfourna sa teub dans ma bouche pour un dernier pillonage en règle ! Au bout de 2 minutes, il déchargea alors, le gland sur mes lèvres. Je pris de grandes giclées dans ma gueule. Il juta énormément, c'était impressionnant. Mais je me délectais de cette liqueur. Il en coula bien sûr par terre. Il reprit doucement ses esprits. Mon cousin me fixait droit dans les yeux, peut-être se rendait il compte qu'il vient de grave m'humilier.

— Je veux quand même que tu jutes p'tite salope ! Alors tu vas commencer par laper tout le jus sur le sol et viendra t'asseoir sur ça !

Il montrait du doigt sa lampe torche qui avait un diamètre assez large. Je lapai donc toute la semence perdue, et vînt m'asseoir sur la lampe. Il prit alors pour la première fois ma queue en main, et me branla pendant que mon cul coulissait sur sa torche. Je mis quelques secondes à juter tant j'étais excité par tout ce qui venait de m'arriver. Je restai immobile, mon cul empalé, et mon jus tout autour. La main de mon cousin était recouverte de sperme, il me la fit nettoyer comme une chienne.

Tout à coup une ombre apparût derrière la porte...

Mon petit cousin était de retour. Entièrement nu, la queue bandée a fond, il avait été excité par nos bruits. Son grand frère fut surpris de sa présence et lui dit :

— Ben qu'est ce tu fous là frérot ?

— J'ai bien envie de l'enculer, j'ai tellement kiffé quand il m'a sucé t'alleur...

— Mais t'es vraiment qu'une p'tite salope Jared, t'as sucé mon p'tit reuf et tu m'as rien dit, il a même pas 18 ans ! T'abuses ! Me balances mon cousin.

Bah moi non plus j'ai pas 18 ans, mais bon, j'ai pas osé la ramener par peur de me reprendre une grosse mandale...

Avec la bénédiction du frangin, mon p'tit cousin m'encula... Sa queue rentra toute seule dans mon cul tant il avait été défoncé par le mandrin de mon maître. Ce dernier se plaça d'ailleurs debout devant moi, j'étais allongé par terre, une queue qui s'agitait dans mon cul, et me donna ses ieps à bouffer agrémentés de quelques mollards qu'il crachait bien au fond de ma gorge. Il n'a pas mis longtemps à rechopper la gaule et je pus goutter encore à ses vingt centimètres de pur bonheur... Le petit accéléra, je compris qu'il allait juter, le grand frère lui dit de venir juter sur sa teub. Il s'exécuta. Il a donc juté sur la queue de son frère que j'avais en bonne partie dans la bouche pour mon plus grand plaisir. Mon maître ne mit pas longtemps à venir dans un dernier râle de plaisir. Il largua une bonne dose de jute dans ma gueule. J'avalais tout of course !

Le petit frère parti se coucher. Il était déjà 3h du matin, et moi j'allais en faire de même lorsque mon cousin me dit :

— Attends ! Viens dormir dans mon lit ma p'tite salope, ça me ferait plaisir que tu m'appartiennes encore pour la nuit ! Et tu dois partir a quelle heure demain ?

— 9h lui répondis-je

— Tu resteras jusqu'à 11h, on va encore s'amuser un peu avec toi demain matin !

Je n'allais quand même pas dire non ! Ça ne se refuse pas des occases comme celle-ci, de plus, le lendemain matin on allait être seuls, les parents étant au boulot...

On se mit donc au lit, mon maître me fouttant alors sa queue molle dans le cul et me disant que je devais la garder toute la nuit dans mon fondement, sinon, j'allais être réveillé à coups de ceinture... Bien que l'idée m'excitait, je m'exécutai et essayai de garder ce mandrin toute la nuit en moi... L'idée n'était pas si mauvaise finalement !

Je fus réveillé par une sensation bizarre dans mon corps... Je sentais la respiration de mon couz', il était réveillé, je compris quelques secondes plus tard, sentant toujours sa queue dans mon cul qu'il était en train de me pisser dedans... La sensation était vraiment très forte... Quand on vous jute dans le cul, vous sentez les bonnes rasades de foutre déversées dans vos intestins, avec la pisse, c'est la même sensation multipliée par 100 ! Je vous jure, à essayer, obligé une fois dans votre vie ! Et puis j'entendis :

— Si tu en perds une seule goutte, c'est ma merde que je te mettrai dans la bouche !

Oui, j'aimais ce plan, mais de là à avaler la merde, je ne sais pas si j'en aurait été capable. Alors je fis bien attention. Sa queue était toujours planté dans mon boule, ça servait de bouchon. Rien ne pouvait sortir. Je me rendormis complètement esclave et in love de mon cousin.

9h. Mon cousin avait foutu un réveil cet enfoiré, je pense qu'il n'avait pas envie de rater la matinée qu'il m'avait prédite. Sa queue était toujours dans mon cul ! Ouf, il la retira et je me plaçais sur le ventre par peur que la pisse de la nuit ne coula sur les draps. Il sortit de la chambre, ne faisant même pas attention à moi ! Il m'a juste dit qu'il avait faim, et qu'il m'attendait sur la terrasse pour le p'tit dej'. Je plaçais mes mains sous mon cul et fit un saut par les chiottes pour me vider de la pisse d'un autre mec... C'est pas commun comme truc ! Mais ça me faisait bander comme un âne !

Bien vidé, je me rendis sur la terrasse. Mon cousin était en train de bouffer, il avait enfilé ses TN, on avait les mêmes sauf que les siennes avaient au moins 2 ans de plus. Bien pourraves. Je m'assis face à lui, il portait juste un caleçon plutôt large qui lui aussi avait du vécu !

— Ben t'attends quoi pour te mettre à l'œuvre ma salope ?

— Là, sur la terrasse ?

— Ouais, tu verras c'est kiffant en extérieur. Allé, passes sous la table !

J'avais rien à perdre, de toute façon, je ne connais pas les voisins ici ! Alors je suis passé sous la table, j'étais à 4 pattes dans les graviers avec seulement un calbut blanc et mes pompes. Je m'approchai de sa teub qui était déjà bien bandée. L'odeur était forte. Mélange de pisse, merde et jute. Un cocktail délicieux ! Je commençai par bien respirer l'odeur puis je me mis a le sucer bien fort. Je voyais même pas sa gueule mais je suppose qu'il kiffait ce que je lui faisait ! Je l'ai entendu écrire un texto. 5 minutes après le frérot apparut juste derrière avec ses skets et un short de bain. Il s'assit à ma place.

Il commença à me tripoter le cul, me foutre des doigts. Tout ça sans ménagement. Mon cul était encore bien open. Les 2 frères parlaient pendant ce temps la. Je n'entendais pas tout ce qu'ils disaient, mais j'entendis vaguement le terme "face-sitting", je ne connaissais pas mais rien que l'idée me faisait tripper ! Après quelques minutes à servir de pute à mon maitre, les 2 me dirent de rentrer, et de m'allonger sur le dos sur la table du salon. Je le fis sans rechigner ! Ils arrivèrent quelques minutes après, le temps de mettre une stratégie au point pensais-je.

Le petit se plaça au niveau de mon cul et m'enfila directement son chibre... Pendant ce temps là, le face-sitting allait s'accomplir. Mon maitre s'agenouilla alors au dessus de ma tête, j'avais son trou du cul au niveau de ma bouche et la queue me retombait sur le dessus du visage. Il commença alors à se lâcher... Voulant limite m'étouffer, c'est le principe me confiront-ils plus tard. Il lâchait même à l'occase quelques pets que j'étais obligé d'avaler, ce n'était pas désagréable. Je ne voyais pas mon enculeur, pourtant il me labourait bien la chatte, ça durait depuis dix bonnes minutes. Puis ils échangèrent les places. J'eus donc à être étouffé par le plus jeune de mes cousins. Lui ne se gêna pas pour me larguer des caisses assez énormes dans la gueule... Après cette nouveauté, j'eus droit encore à une première !

Mon maître se plaça cul sur la table, et m'ordonna de venir m'empaler sur sa belle queue, je le fis... Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une deuxième queue s'introduire en moi... Putain mais mes cousins sont vraiment géniaux ! Je les vénère ! Les deux me défonçaient bien le cul à fond ! Truc de malade la double péné... Ça dura environ 20 minutes, mais mon cul s'en souvient encore ! Après, le petit s'est retiré, ils m'ont allongés sur le dos... Mon maître a continué à m'enculer et le petit à se faire sucer... Ils ont juté les deux en même temps, l'un dans mon cul, l'autre dans ma bouche béante. Mon cousin me fit ensuite sucer sa queue toute foutreuse qu'il sortait de mon fondement.

Après avoir jouis comme des fous et souillés mon corps, il fallait le nettoyer... Ils me soulevèrent à deux pour me mener à la salle de bain dans la baignoire où je me pris leurs pisses bien copieuses et fumantes sur tout mon corps, ma bouche restant grande ouverte pour recueillir le précieux breuvage... Ils me laissèrent ainsi dans la salle de bain, recouvert de pisse et gavé de leur sperme. Je me mis à me branler, jutant jusque dans ma bouche vu l'excitation de cette matinée. Puis je me nettoyai, et reparti. J'ai parfois revu mes cousins, mais cela ne fut jamais aussi intense que ces jours de juillet... Malheureusement !

 

par TheKevin25

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 12:01

princeofcaprice

J'ai découvert récemment le blog de The Prince of Caprice. Au delà de son "piétichisme", je partage sa vision d'une domination ne se limitant pas à faire du soumis un simple objet sexuel. Je conseille vivement aux lopes qui veulent devenir esclaves la lecture de son cours intensif.

 

J'ai "volé" sur son blog l'excellent témoignage de Miki, l'un de ses esclaves :

 

Je sais que je suis né esclave. J’ai commencé ma quête d’un Maître quand j’étais au lycée et j’ai rencontré pas mal de monde, mais c’est assez vite devenu frustrant.

La plupart d’entre eux étaient principalement intéressés par le sexe, et la plupart des « Maîtres » que j’ai trouvés sur le net étaient juste intéressés par l’argent. J’en ai rencontré plusieurs, mais il y a toujours eu quelque chose qui n’allait pas avec eux dans l’idée que je me faisais d’un vrai Maître. J’étais vraiment prêt à me donner complètement, de faire toutes sortes de sacrifices pour lui, mais je commençais à penser que cette personne n’existait que dans mes rêves.

Et puis un jour, je suis tombé sur Son yahoo group et j’ai été immédiatement séduit par la beauté de Ses pieds et Son comportement arrogant. Je l’ai contacté et plus j’en apprenais sur lui, plus je réalisais qu’il était différent de tous les autres. J’ai du répondre à beaucoup de questions mais j’ai eu de la chance, d’abord parce nous habitions la même ville et puis parce qu’Il cherchait de nouveaux esclaves. J’étais Son style et après moins d’un mois, j’ai enfin eu l’opportunité de Le rencontrer en personne.

Au moment où je l’ai vu pour la première fois, j’ai compris que mon rêve était devenu réalité.

Ca m’avait pris des années, mais je savais que j’avais trouvé le vrai et le seul que je voulais appeler « Maître ». Pour lui je suis prêt à faire des choses que je ne ferais pour personne d’autre. Je suis prêt à travailler dur, à souffrir, à être humilié, à être anéanti. C’est amusant comme je n’attends rien en échange, je n’attends vraiment rien, pas même qu’Il me laisse embrasser ses pieds après avoir passé 3 heures à faire Son ménage. Je sais qu’Il mérite tout ce qu’il m’est possible de faire pour lui et qu’Il ne me doit absolument rien.

Pendant tout le temps que j’ai passé avec lui, Il n’a pas élevé la voix une seule fois, Il n’avait pas besoin, tout simplement. Il n’a jamais crié Ses ordres ; la plupart du temps Il les a même chuchotés, disant exactement ce que je devais faire avec Son calme supérieur et j’ai senti que je ne pouvais qu’obéir instantanément. Il y a quelque chose dans Son attitude, dans le ton de Sa voix et dans ses yeux qui te font lui plaire de toute façon.

Quand Il t’ordonne de repasser et de plier un stock de linge, Il vient ensuite avec son pied renversant tout sur le sol et disant « Bien, embrasse mon pied et recommence », ce qui normalement devrait t’irriter pendant un moment, mais quand c’est Lui, tu espères juste tout refaire pour avoir la chance qu’il renverse une nouvelle fois le tas s’il le veut et tu rêves d’embrasser de nouveau son pied lisse et capricieux, et heureusement que c'est comme ca car faire refaire le travail et embrasser Son pied est une des choses qu’Il aime le plus.

Je n’oublierai jamais notre première rencontre, il y a 3 ans et me souviens de chaque instant de ce jour comme s’il avait été hier, même s’il est possible que je n’utilise pas exactement les mêmes mots que ceux que nous avons échangé ce jour là, ça reste très proche.

Il avait à peine 20 ans et moi deux de plus que Lui. Il était étudiant à la fac et vivait seul dans un petit appartement. C’était un mardi matin glacial, j’étais supposé être devant chez lui à 9h00 précise et ensuite attendre qu’il se réveille. Il m’avait aussi donné l’adresse d’une boulangerie où je devais aller auparavant acheter ses croissants favoris pour le petit déjeuner. J’avais calculé qu’il me faudrait au moins une demi-heure pour aller de la boulangerie à son appartement et une autre demi heure pour aller de chez moi à la boulangerie donc je me suis levé à 7h30. C’était un bon timing parce que je suis arrivé devant chez lui quelques minutes à peine avant 9 heures et j’ai commencé à attendre qu’il m’appelle. Je m’étais préparé à attendre un peu, mais après 45 minutes, j’ai commencé à me demander s’il ne m’avait pas oublié. Après une heure j’étais tenté de l’appeler, mais quelle aurait été sa réaction s’il était juste en train de dormir ? A 10h15 il m’a appelé : « Es-tu là ? ». C’était la première fois que j’entendais sa voix calme et captivante.

« Oui Maître »

« Ecoute, je suis toujours au lit et je veux dormir encore un peu. Ensuite je prendrais une douche et je viendrai t’ouvrir. Tu peux attendre ici » J’ai pensé aller me balader un peu, mais il aurait pu venir dans la minute et j’étais supposé L’attendre donc j’ai juste attendu. Cette attente sans fin me rendait de plus en plus attiré par Lui. Il était déjà en train de m’humilier, de me montrer qu’il n’en avait rien à faire qu’un esclave attende des heures.

Puis à 11h15, la porte s’est ouverte et je l’ai immédiatement reconnu. Il m’a fait signe de rentrer. Je ne savais pas quoi dire alors j’ai osé un « Bonjour ». Il a commencé à marcher alors je l’ai suivi. « Bonjour, as-tu aimé l’attente ? » Il me provoquait. « Oui Maître » J’ai immédiatement regretté cette réponse stupide ; j’aurais pu dire « Ca ne fait rien, je ferais n’importe quoi pour toi ». Il semblait content « Bien, parce que j’adore faire attendre les gens ». Il avait l’air tellement cool et confiant. J’étais plus grand et plus large que lui pourtant Il était incontestablement le maître depuis la première seconde où j’ai posé mon regard sur lui. Il portait un jeans et un t-shirt mais j’ai surtout remarqué ses Nike sans chaussettes, m’autorisant des regards furtifs sur Ses chevilles fines et magnifiques.

« Es-tu nerveux ? »

« Un peu » j’ai répondu. En fait j’étais incroyablement nerveux parce que je voulais faire bonne figure et ne pas tout gâcher. A l’opposé, il était totalement détendu.

« As-tu apporté mon petit déjeuner ? »

« Oui Maître »

« Cool »

Ensuite Il m’a indiqué l’escalier en me demandant de me souvenir du chemin parce que la prochaine fois Il ne viendrait pas me chercher en bas. Une fois dans son appartement, j’ai posé mon sac et ma veste et il m’a demandé de Le suivre à genoux. Il s’est assis sur un canapé et la première chose qu’il m’ait demandé était de lécher la semelle des baskets qu’il portait. Ensuite il m’a ordonné d’enlever mon t-shirt et a commencé à frotter ses chaussures sur mon torse et mes tétons. Après 10 minutes, il m’a ordonné d’aller lui chercher les croissants et de lui préparer une orange pressée. Quand je suis revenu, il m’a fait porter des pinces à tétons et a continué à utiliser ma poitrine pour mettre ses chaussures pendant qu’il mangeait son petit déjeuner. Petit à petit, Il jouait avec les pinces, me faisant souffrir toujours plus.

« Et maintenant la véritable raison de ta présence ». Il s’est levé et est parti dans l’autre pièce, où se trouvaient une échelle, des pinceaux et de la peinture et où tous les meubles avaient été rassemblés au centre de la pièce. Il m’a donné un tablier et m’a expliqué que mon travail était de blanchir les murs. Ensuite il est revenu dans l’autre pièce, sur le canapé.

« Tu peux enlever mes chaussures maintenant. Tu ne devrais pas déjà voir mes pieds mais j’ai horreur des chaussures ». J’ai enlevé doucement ses chaussures et jeté un œil sur Ses merveilleux pieds nus.

  « Puis-je les embrasser ? » demandais-je

« Non, tu as du travail à faire d’abord »

« Oui, Maître, je suis désolé. Je vais commencer tout de suite »

« Oh, avant de peindre, tu peux faire mon lit et nettoyer la vaisselle »

« Oui, Maître. Dois-je garder les pinces ? »

« Bien sur, tu les garderas toute la journée » Il s’est allongé sur le canapé, a posé ses pieds sur un coussin puis s’est tourné vers son ordinateur. J’ai fait la vaisselle et le lit puis j’ai immédiatement commencé à peindre. Après quelques minutes son téléphone a sonné.

« Donne le moi ». Il était sur la table à côté du canapé et il aurait pu l’attraper de lui-même, mais à quoi d’autres sert donc un esclave ? Donc j’ai égoutté le pinceau, descendu rapidement l’échelle et attrapé un morceau de tissu (pour ne pas salir son téléphone avec ma main) et lui ai donné. Il m’a dit de retourner travailler et il a répondu. Pour plusieurs raisons, ça m’a vraiment excité de l’entendre dire qu’il était occupé à peindre les murs…

Autour de 2 heures, j’allais commencer avec le 4ème et dernier mur quand il a dit qu’il avait faim.

« Fais moi juste un sandwich avec du jambon et du fromage et ensuite retourne à ton travail. Tu dois finir au moins la 1ère couche » Il a dit que je pouvais me faire aussi un sandwich et le manger dans la cuisine. Il était maintenant en train de lire un manuel, probablement pour préparer un examen. Peu de temps après 3 heures, j’en avais fini avec le dernier mur et j’étais honnêtement bien fatigué. De plus, les pinces commençaient à devenir très douloureuses.

« Maître, je pense que j’ai terminé ici »

« Laisse moi regarder » Il remit rapidement ses chaussures, probablement pour ne pas se salir les pieds dans les taches de peinture, partout sur le sol. Sa vue, marchant avec ses chaussures desserrées, était terriblement excitante. Je ne pouvais rien faire d’autre que de fixer ses pieds des yeux, les baskets étant si ouvertes que je pouvais voir toute la plante de Ses pieds quand il marchait. Pour moi c’était énorme !

« C’est bon, assez pour aujourd’hui. Maintenant viens avec moi » Il revint sur le canapé et d’un petit mouvement de doigt, me fit comprendre qu’il fallait que je m’agenouille devant lui. Il utilisa mes épaules pour enlever ses Nike et me mis ses pieds nus devant mon visage. « Tu peux les embrasser maintenant »

Je me souviens de mon cœur commençant à battre comme un fou et d’avoir eu cette sensation étrange d’irréalité, comme si je vivais un rêve. J’avais vu ses pieds de nombreuses fois sur l’écran de mon PC et j’avais senti comment il serait impossible de les voir en vrai, mais maintenant j’étais là et il y étais aussi, avec ses magnifiques pieds nus près de mon visage. Ensuite, la sensation incroyablement douce de sa plante de pieds sur mes lèvres, pour le premier bisou me donna des picotements dans le dos. Il remua lentement Ses longs et parfaits orteils et je continuais à embrasser, doucement, savourant chaque instant de ce moment de rêve. C’était comme une explosion de mes sens, je ne réalisais pas encore combien c’était excitant jusqu’à ce qu’il commence à poser ses orteils directement sur mon visage, cette fois plus franchement. J’ai joui dans mon caleçon, pour la première fois sans avoir seulement touché mon sexe.

J’étais terriblement ennuyé et j’ai essayé de faire comme si de rien n’était parce que je savais que je n’étais pas supposé jouir, mais il a immédiatement compris, au frissonnement de mon corps ce qui s’était passé. J’avais peur qu’il soit fâché, mais il a simplement eu un petit rire. « Je suis désolé », c’était tout ce que je pouvais dire.

« C’est normal, ne t’inquiète pas. Tu vas juste apprendre comment te contrôler. Continue à embrasser ». Il m’a laissé embrasser, masser et enfin lécher Ses pieds pendant une demi-heure, la plus incroyable demi-heure de ma vie. Je prenais doublement du plaisir parce qu’il semblait aimer ça autant que moi. Il était si irrésistible et si culotté qu’il a retiré ses pieds de mes lèvres pour les mettre sur le canapé. Lorsque j’ai hésité une seconde avant de comprendre que je devais changer de position, il m’a ordonné « Qu’est-ce que tu fais ? Allez ! Lèche mes pieds ! » Je me suis levé et j’ai contourné le canapé pour continuer à caresser ses pieds avec ma langue. « Laisse tes mains en dehors du canapé » Je m’étais appuyé sur le canapé où il avait posé Ses pieds, c’était trop haut pour moi en restant agenouillé et trop bas pour être debout donc j’ai du rester entre ces 2 positions. Faire ça sans s’appuyer sur le canapé ça me demandait une grande traction sur les abdos ce qui rendit la position rapidement inconfortable. Néanmoins, j’étais vraiment focalisé à faire de mon mieux avec ma langue, et il m’a réconforté quand il m’a dit « Tu sais, tu fais ça très bien ! »

Malheureusement, le rêve s’est arrêté trop vite. « C’est tout pour aujourd’hui, maintenant je dois sortir. Embrasse mes pieds pendant que je t’enlève les pinces, ça va faire mal ! » Ca a effectivement fait très mal. J’ai fait tous les efforts possibles pour embrasser ses pieds, mais je sentais une douleur lancinante qui m’a fait grimacer et Lui sourire. Il a ensuite massé mes tétons avec ses pieds et la douleur a rapidement disparu ; j’étais au paradis.

Du fond de mon cœur vint un « Merci »

« Pour quoi ? » demanda-t-il.

« Pour cette occasion que tu m’as donné, je t’adore »

« Il n’y a pas de quoi » répondit-il

« Pourquoi ne reviendrais-tu pas demain pour passer la seconde couche et commencer le plafond ? »

« J’en serais honoré »

« Je note, donc refaisons comme ce matin. Et n’oublie pas mes croissants »

« Est-ce que je dois être là à 9h00 ? »

« Bien, je pense que je ne serai pas levé avant 11h00, mais oui, viens à 9h00, juste au cas où, tu attendras »

« Bien, Maître »

« Je partirai avec des amis après le petit déjeuner, mais tu pourras rester seul et travailler jusqu’à ce que je revienne, ensuite nous verrons si tu mérites un cadeau ». En disant ça il mit son pied droit sur mes lèvres.

Cela fait déjà 4 ans que je le connais maintenant, et même si nous ne vivons plus dans la même ville à présent, je le vois toujours régulièrement. Je lui appartiens complètement et je n’hésite pas à faire le voyage pour le rejoindre, que ce soit pour quelques heures ou pour un week-end entier. De temps en temps nous allons quelque part et nous passons quelques jours ensemble. J’aime vraiment ces vacances courtes en dehors de la routine quotidienne avec mon Prince à dorloter. Il aime voyager avec son esclave personnel et j’aime tout faire pour lui rendre la vie facile quand nous sommes ensemble.

Avec les années il est devenu de plus en plus populaire et je pense toujours qu’il pourrait trouver de meilleurs esclaves et se désintéresser de moi. Je serais anéanti, mais je l’accepterai parce qu’Il mérite le meilleur. Je sais que je ne retrouverai jamais quelqu’un comme lui, mais le souvenir de ce que nous avons vécu sera suffisant. Merci Maître d’exister et je Vous souhaite d’être toujours heureux. Je vous aime de tout mon cœur .

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 14 septembre 2 14 /09 /Sep 06:57

[Un récit très excitant trouvé dans les Histoires Gay Beurs de Citewesh. Il est suivi d'une petite annonce de l'auteur]

 

C'était l'année où je suis entré en seconde. Pas longtemps après le début des cours, ma mère s'est mise avec un ouvrier qui travaillait sur le chantier de la piscine au bout de la rue, toute une zone de friche que la mairie avait décidé d'aménager pour faire un quartier. D'abord il est venu manger deux ou trois fois le soir, puis ma mère a décidé de lui louer la chambre de mon frère qui était plus grand que moi et qui étais parti.

Il a installé toutes ses affaires là mais il dormait dans la chambre de ma mère. Moi j'en avais rien à faire, c'était pas la première fois, mais celui-là me mettait mal à l'aise et je n'osais pas croiser son regard.

Il ne me parlait pas beaucoup mais quand il le faisait c'était toujours pour me réprimander d'une voie dure, comme si j'étais un gamin de 12 ans, pour que j'enlève mes affaires d'école de la table, que je me dépêche de libérer la salle de bain ou les WC, des choses comme ça, et je m'exécutais toujours rapidement, sans rien dire, comme pris en faute. J'étais mal à l'aise aussi parce qu'il m'excitait beaucoup, c'était un marocain d'une cinquantaine d'années, pas grand mais costaud, trapu avec des mains et des épaules larges, le crane dégarni mais une moustache épaisse, le plus souvent mal rasé avec une barbe de trois jours.

Quand il était là, j'allais tout de suite dans ma chambre après le dîner, mais j'ai tout de suite eu envie quand il n'était pas là, le mercredi après midi, d'aller fouiller dans ses affaires et je me branlais avec ses sous vêtements. Je me suis fait prendre au bout d'un mois environ. Je rentre à l'appartement un mercredi après-midi et tout de suite je vais dans sa chambre tout excité et je commence à fouiller. Tout à coup il était là, devant la porte, en pantalon de pyjama rayé et en chaussettes, sa chemise de chantier à moitié déboutonnée... moi j'avais un de ses slips dans une main, l'autre dans mon survêtement et je bandais comme un âne.

La première gifle m'a projeté contre le mur, et il a commencé à ma tabasser en m'insultant en français et en arabe... des baffes, des coups de poing et des coups de pied quand je me suis retrouvé recroquevillé par terre. Après m'avoir tabassé, il m'a attrapé par les cheveux et m'a traîné contre le bord du lit, il a mis ses jambes contre mes épaules, et en me tenant pas les cheveux il a frotté mon visage sur ses couilles en me disant "sale pédé,c'est ça que tu veux ?". Je sentais sa queue dure sous les vêtements, il a déboutonné le pyjama et s'est contorsionné pour faire sortir sa queue par l'ouverture du slip, il me l'a mise devant la bouche, a forcé les lèvres et enfoncé jusqu'au fond de la gorge. En me tenant à deux mains par les cheveux, il m'a pilonné la gorge, j'avais mal aux cheveux, aux mâchoires et des hauts le coeur quand il tapait au fond, mais je n'arrivais pas à me défaire de son étreinte.

fesse par un beur

Quand j'ai essayé de le repousser en appuyant sur ses jambes il m'a donné un coup de genou qui m'a coupé le souffle, et j'ai dû supporter ses assauts jusqu'à ce qu'il lâche sa purée épaisse au fond de ma gorge que j'ai essayé d'avaler comme j'ai pu. Il m'a laissé par terre toussant, crachant, essayant de reprendre mon souffle parce que j'avais avalé de travers, pendant une dizaine de minutes, puis il est revenu dans la chambre et m'a dit que j'allais aller chialer ailleurs et ne pas l'empêcher de dormir.

Il m'a repris par les cheveux et a basculé ma tête en arrière, en mettant son visage devant le mieux il m'a demandé "c'est compris petite pédale?" et quand j'ai dit oui il m'a craché au visage, m'a fait mettre debout et poussé dans le couloir. Je suis sorti aussitôt et je ne suis rentré que tard le soir pour ne pas me retrouver à table devant lui.

Il avait commencé à travailler en horaires décalés, en partant à 5h du matin pour finir vers 1h l'après-midi.

Il ne s'est rien passé les jours suivants et le week-end, mais le mercredi suivant il est venu dans ma chambre le matin, avant de partir travailler, pour me réveiller et me dire sur le ton d'un ordre de rentrer du lycée tout de suite après les cours. Toute la matinée, j'y ai pensé, à cet ordre qui me faisait peur, au ton de sa voix qui me faisait trembler rien que d'y repenser, et je voulais rester dehors tout l'après-midi et ne revenir à l'appartement que le soir quand ma mère serait rentrée du travail. Mais quand midi est arrivé, j'avais encore plus peur de lui désobéir et j'ai pris le bus pour rentrer tout de suite. Je suis arrivé avant lui et je suis resté debout dans la cuisine, sans être capable de rien manger et sans savoir quoi faire.

Quand il est arrivé, j'ai entendu sa clef dans le serrure et j'ai commencé à trembler. Il est entré, a refermé la porte et il est venu tout de suite près de moi qui regardais par terre. Il a attendu quelques instants, je sentais sa respiration rapide et l'odeur de vin de son haleine, puis il m'a balancé une gifle lourde qui m'a fait tourner la tête, et je crois que j'ai tout de suite commencé à pleurer. Il m'a dit de me déshabiller, en slip et en chaussettes, et de me mettre à genoux. J'ai enlevé mes vêtements sans le regarder et je me suis mis à genoux dans le salon en reniflant. Il est venu devant moi, je voyais ses bottes de chantier et le bas de son bleu de travail, et il a dit qu'il allait s'occuper de moi, que j'allais m'en souvenir.

Il prenait ma tête pour la frotter contre son bleu de travail, ou pour me repousser et me faire tomber, il tournait autour de moi en m'insultant, en frottant sa botte contre mon cul, ou en l'appuyant sur ma main pour me forcer à la nettoyer avec ma langue, je devais toujours me remettre à genoux devant lui et recevoir des gifles, des coups de pieds dans les fesses, des crachats. Il avait ouvert son bleu et sorti la bosse de son slip qu'il m'écrasait sur le visage. Il m'a obligé à sucer sa bite dure à travers son slip à poche, avant de la sortir par l'ouverture et de me la mettre dans la bouche et, quand il a senti qu'il allait venir, il s'est retiré et il a joui sur mon visage en me tenant par les cheveux. Après il a essuyé le sperme avec ses doigts qu'il me mettait dans la bouche et il m'a fait lécher sa jute tombée par terre.

Je pensais avec soulagement que c'était fini mais il m'a dit de rester comme ça, qu'il allait manger et qu'après il allait m'enculer... J'étais terrorisé, à l'époque je n'avais encore jamais fait ça et j'étais sûr qu'il allait me faire très mal, et j'ai recommencé à pleurer. Il s'est mis à manger tout en me regardant d'un air mauvais par la porte de la cuisine. Il se moquait de moi en me posant des questions, et j'ai dû lui dire que c'était la première fois, et le supplier de ne pas le faire.

Mais il m'a dit que c'était tout ce que je méritais, qu'il connaissait les "zamels", qu'il allait me dresser et que j'en redemanderais. J'étais toujours à genoux par terre dans le salon, j'avais mal aux rotules et quand, au bout d'un quart d'heure, il m'a demandé de venir auprès de lui je ne l'ai pas fais tout de suite. Il s'est levé en renversant sa chaise derrière lui et il a dit qu'il allait m'apprendre à obéir.

J'ai voulu me relever mais il m'a poussé contre le canapé, la tête dans les coussins, il a saisi un tuteur en bambou dans un pot de fleurs à portée de main et il a commencé à me battre sur les fesses avec cette canne. Comme je criais, il est allé chercher un de mes slips dans le bac à linge de la salle de bain et il me l'a enfoncé dans la bouche avant de recommencer à me corriger durement avec sa canne. Quand il s'est lassé, il s'est mis derrière moi, je l'ai entendu ouvrir son pantalon, il a écarté mon slip et mes fesses et après avoir craché sur mon trou et mis de la salive sur son sexe, il est entré en moi et m'a embroché jusqu'à la garde. J'avais le souffle coupé, je ne pouvais plus respirer, e

t une terrible douleur.

Il me tenait la tête dans les coussins mais j'entendais ses insultes et ses moqueries quand il me disait "alors pédé, c'est ça que tu voulais? tu la sens bien dans ton cul?" en donnant des coups de rein. Mais il ne bougeait pas beaucoup, il voulait profiter de mon humiliation avant de jouir, et j'ai quand même pu avoir moins mal avant qu'il commence à me limer vraiment. Il a joui assez rapidement dans mon cul, heureusement je n'aurais pas pu supporter ce traitement longtemps, et il s'est retiré en me disant que j'étais un vrai enculé maintenant.

Il s'est relevé, s'est réajusté et est resté là à me regarder. Il a ri quand le chien est venu me sentir et que ça m'a humilié encore plus. Comme je n'osais pas bouger, il m'a demandé si j'attendais d'être bourré à nouveau, et il m'a regardé en rigolant méchamment me rhabiller. Il m'a interdit de m'essuyer avec le slip que j'avais eu dans la bouche, il m'a dit qu'il voulait que je sente que ça coule et que mon cul lui appartenait maintenant. Alors je me suis rhabillé comme j'ai pu et je suis parti dans ma chambre, mais avant il m'a obligé à lui baiser la main et à lui dire merci.

Tous les mercredis suivants se sont passés à peu près de la même façon. Il voulait que je l'attende déjà en slip, à genoux dans le salon, prêt à recevoir ses ordres et à satisfaire toutes ses envies. Et la première de ses envies était toujours de me rabaisser et de me battre, pour me faire obéir comme il disait, mais il le faisait même quand j'obéissais à tous ses désirs. En fait ça l'excitait de me dominer et de m'humilier et il inventait à chaque fois quelque chose pour me rabaisser encore plus.

Ça commençait toujours par une séance de gifles et de coups, lui en tenue de travail et moi en slip, et je devais le faire jouir dans ma bouche avant qu'il mange. Après il enlevait ses bottes et son bleu de travail pour se mettre en slip et en Marcel, ou en caleçon long et maillot à manche longue pendant l'hiver, et la séance continuait jusqu'au moment ou il se décidait à me sodomiser. Il ne se mettait jamais nu, et il ne m'a jamais demandé d'être nu devant lui. Même pour la sodomie, il préférait que j'écarte mon slip et il me prenait toujours de dos, courbé devant lui dans une attitude de soumission, jamais de face. Quand il me regardait de face, c'était toujours pour voir mon humiliation par exemple quand il me faisait répéter des choses, ou quand il me faisait allonger sur le canapé, la tête dépassant de l'accoudoir, et qu'il m'enjambait pour coincer ma tête dans son entrejambe et frotter ses couilles ou ses fesses sur mon visage en m'obligeant à l'exciter avec ma langue.

Et à la fin de la séance, je devais toujours le remercier et lui baiser la main droite. Ça a duré comme ça une bonne partie de l'année scolaire, tous les mercredis, et il m'ignorait les autres jours. J'étais totalement sous sa coupe et je n'essayais même plus de résister ou de me protéger quand il me battait: à genoux devant lui, je savais que je devais avoir les mains dans le dos pour recevoir les gifles, je devais aller chercher le tuteur en bambou et présenter mes fesses quand il voulait me battre avec la canne, je devais prendre la position à quatre pattes s'il voulait me donner des coups de pieds au derrière... Ça s'est terminé au printemps, il n'avait jamais participé au loyer depuis des mois, et quand il a dit qu'il partait deux semaines chez lui au Maroc, ma mère a bien vu que tout l'argent était pour sa famille, qu'elle s'était fait avoir et elle lui a demandé d'emporter toutes ses affaires.

Pendant quelques temps, je restais à l'appartement le mercredi après-midi, tout habillé, en tremblant de penser qu'il pourrait revenir sachant que j'étais toujours seul à la maison à ce moment là. Mais il n'est jamais venu et petit à petit je l'ai oublié.

 

Les années ont passé et, à l'approche de la cinquantaine, je repense parfois à ces jours-là avec beaucoup d'excitation. J'aimerais revivre une expérience comme celle-là, avec un ouvrier qui rentre du travail et qui veut se vider les couilles avec un mec soumis, pas forcément un nord africain d'ailleurs et je me fiche aussi de la taille du sexe, c'est la situation qui est excitante pas les détails physiques.

 

Si cette histoire te branche et que tu corresponds à ma recherche, tu peux me contacter par mail: chantier44@laposte.net.

salut.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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