X-toireS

Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 23:19

Sa main enduite d’une huile odorante parcourt mon dos, malaxe mes fesses et mes cuisses, j’en soupire de plaisir. « Maintenant, nous allons dormir un peu, le dressage reprendra, tu verras ». Il s’allonge à côté de moi, sa main entoure mon cou et nous plongeons dans une douce torpeur.

 

Episode 3

 

Le jour qui filtre à travers les rideaux épais me réveille. Yohan est toujours à côté de moi, nous sommes face à face, ses yeux s’entrouvrent, nous nous sourions. « Bien dormi ? Assez reposé pour de nouveaux jeux ? » Je bande, mes couilles bien serrées par la corde qui les mord à leur base sont particulièrement sensibles ; je m’aperçois que lui aussi a une belle érection matinale. Il est vrai que la veille nous n’avons joui ni l’un ni l’autre. « Bien sûr, Maître, je suis chaud et dispo ! ». Je lèche délicatement ses tétons et mordille leur pointe, puis ma langue se perd sur son ventre soyeux, descend vers son sexe tendu que j’engloutis avec délices. Ma langue entoure son gland, s’insinue dans le méat, je vais et viens sur cette bite magistrale que je dévore jusqu’aux couilles que je gobe avec volupté. Yohan se laisse faire, parfaitement immobile. Cela dure une bonne dizaine de minutes, quand, d’un geste brusque, il me repousse et se lève sans mot dire. Il se dirige vers la salle de bain, j’entends le verrou se fermer et l’eau couler. Déçu, je reste avec un désir intact qui gonfle ma queue. Me branler ? L’envie est grande, mais je tiens à ce que mon excitation reste entière pour affronter la suite qui m’a été promise et que j’attends. La porte s’ouvre, Yohan sort, totalement nu, sa queue au repos me préoccupe : se serait-il masturbé, m’aurait-il laissé en plan ? Je ne bouge pas, couché sur le dos, la bite dressée. Il semble que Yohan ne daigne pas s’en apercevoir ; sans un regard, il passe dans l’autre pièce et ferme la porte de la chambre. Je l’entends parler au téléphone sans distinguer nettement ses paroles ; je comprends qu’il s’agit d’un rendez-vous, mais je n’en saisis pas plus. Quelques bruits d’ustensiles, une bonne odeur me laissent entendre qu’il prépare du café. La porte s’ouvre : « Lève-toi, grosse pute. J’ai fait du café ». J’obéis, rassuré par l’interpellation. Mon corps est encore douloureux, mes fesses surtout se ressentent des brûlures de la cigarette. Je m’assieds sur le canapé avec quelques précautions. Yohan, toujours tout nu, se plante devant moi, avec un mug de café à la main. « Ne bouge pas ». Après avoir déposé sa tasse à portée de main, il entreprend de se branler. Sa bite durcit très vite tant son excitation est grande, les mouvements de sa main s’accélèrent et je ne quitte pas des yeux ce spectacle qui comble mes tendances au voyeurisme. Je perçois que sa jouissance monte, qu’il va bientôt cracher et je n’ose me toucher, puisqu’il me l’a interdit. Il s’empare vivement du mug de café et éjacule à longs traits puissants dans le liquide noir et brûlant. Il me le tend : « Tiens, ton p’tit-dej’. Bois ! » Le sperme se coagule dans le liquide devenu grisâtre, l’odeur est acre et assez enivrante. Je m’empare de la tasse et l’avale d’un trait. Le goût est étrange, fort et amer, des filaments blancs flottent dans le liquide, je les absorbe sans ciller. La tasse vidée, je la lui rends. Une gifle inattendue propulse mon visage vers la droite : « Alors ? » Je me ravise instantanément :

« Merci, Maître

-Ah ! » Il détache mes couilles, la douleur est supportable, assez vive cependant pour me faire gémir doucement. Il se retourne pour fouiller dans son désordre, en extirpe le boxer noir que je portais hier et, après de nouvelles recherches, une paire de gants qu’il enfile. Il vient s’asseoir à côté de moi, saisit ma bite qui est redevenue molle et, de sa main gantée, il commence à me branler. L’autre main s’empare de mes tits encore très sensibles et entreprend de les travailler avec une force croissante. Le contact du cuir très rêche des gants me procure des sensations nouvelles et passablement douloureuses, mes seins sont de nouveau tordus en tous sens pendant que sa main imprime des mouvements de plus en plus rapides à ma queue. Je gémis, je sens que je vais bientôt venir… quelques secondes encore et je crache un sperme abondant et épais dont les giclées recouvrent mon torse. Yohan prend mon boxer pour essuyer le sperme, longuement et consciencieusement. Quand il a achevé son nettoyage, il passe le boxer sur mon visage et me dit en souriant : « Tu vas porter ce slibard cartonné quand nous irons faire un tour… Pour l’instant, va te laver. » Je passe dans la salle de bain, la douche me fait un bien fou, il semble que je redeviens maître de mon corps et que les multiples douleurs qui le taraudaient s’apaisent sous le jet tiède et bienfaisant. Je suis en train de me sécher, quand Yohan entre dans la salle de bain. Il porte un jock-strap beige dans lequel se dessine merveilleusement son paquet et un « Marcel » très moulant qui souligne ses pectoraux et laisse deviner ses seins bien dessinés. Il prend un tube de Biafine et enduit mes fesses abondamment brûlées de cette crème apaisante. Le contact de sa main sur ma peau meurtrie est doux et excitant, si bien que ma bite se redresse insolemment. Il s’en aperçoit et sourit : « Attends, ce n’est pas fini, garde des forces ! Nous allons descendre manger quelque chose, puis nous irons chez un pote à moi qui a une play-room bien divertissante. Tu verras. Va t’habiller… ». Nous sortons de la salle de bains.

« Une seconde ! ». Nouvelle fouille dans le souk qui envahit son appartement et dans lequel il semble se retrouver très bien. Yohan en extrait un cock-ring en cuir dont l’intérieur est garni de fines pointes. Je tends la main pour le prendre, il se dégage et m’attire à lui. A genoux devant moi –curieux reversement de situation- il prend mon sexe et mes couilles d’une main et de l’autre enserre mon paquet dans le cock-ring. Je m’efforce de ne pas bouger quand les pressions se referment, sans doute au cran le plus étroit. Ma queue et mes couilles totalement prises par l’anneau de cuir, je commence à bander mais la douleur aiguë des pointes de métal me fait grimacer et débander un peu. Je récupère mon boxer enduit de foutre et je l’enfile. Le contact est assez désagréable. C’est gluant, humide et malodorant. Je me risque : « Tu peux me passer un slibard à toi ? ». Il sourit, d’un air mauvais. Ses yeux d’un gris-bleu métalliques se plantent dans les miens. Il me saisit par les cheveux et tire mon visage vers le sien ; il lâche un crachat épais et : « Ta gueule, chochotte, ce boxer pourri est assez bon pour une pute comme toi. » Je renonce… « Attends ! Tourne-toi ». Je me tourne aussitôt. Yohan déchire alors mon boxer qui laisse maintenant apparaître mes fesses dans des lambeaux de tissu. « Ca ira comme ça. Magne-toi » Il enfile un jean taille basse délavé, destroy aux genoux et aux cuisses. Au moindre mouvement, il laisse apparaître la large ceinture de son jock-strap. S’il se baissait un peu, son cul serait découvert… J’achève de m’habiller, il me regarde, me jauge… « Il manque quelque chose… ». Il prend une paire de ciseaux et entaille mon jean, notamment à l’entre-jambes et achève par une déchirure tout en haut des cuisses. « Voilà qui est mieux ! ». Nous quittons l’appartement.

Il est une heure passée, dans la rue, je retrouve la vie banale des gens ordinaires, ce qui me fait un drôle d’effet, après la séance d’hier, la promesse d’autres sévices et en raison des tenues dans lesquelles nous déambulons. S’il pouvait y avoir un moindre doute sur nos orientations sexuelles, nos vêtements suffiraient à dissiper tous les doutes… Nous entrons dans un bistrot près de chez Yohan. C’est le banal café de quartier, avec ses habitués qui prennent une consommation ou un plat sur le pouce en bavardant ou en s’abîmant dans la lecture du Parisien. Je crains que notre arrivée ne passe pas inaperçue. En fait, à part quelques coups d’oeils goguenards, que je me plais à croire envieux, rien ne se produit. D’ailleurs, Yohan est un habitué et serre des mains à droite et à gauche. Le patron s’avance vers nous, c’est un brun, ni affolant ni repoussant, d’une quarantaine d’années et il semble bien familier: « Alors, c’est ta nouvelle Dulcinée ? » dit-il en me désignant d’un coup de menton. « Une belle salope, oui ! ». Le patron sourit et s’éloigne. Nous nous dirigeons au fond de la salle de restaurant, dans un coin. Nous nous attablons. Yohan qui me fait face s’approche de moi : « Ouvre ta braguette, et fais en sorte que ton slip, ou ce qu’il en reste, soit visible. » J’hésite… « Tu crois que…. ». Le coup qu’il donne sur la table et fait se retourner les autres clients me décourage de résister davantage. Je m’exécute donc, le plus discrètement possible. Le serveur, un jeune homme à l’air déluré qui suscite de ma part quelques interrogations sur les goûts du patron, vient prendre la commande. Son regard se pose sur ma braguette béante, ma bite bien serrée dans le cock-ring dessine une bosse flatteuse mais il reste impassible et remplit son rôle sans le moindre trouble visible. Pourtant, il passe assez souvent, et sans raison apparente, à côté de notre table. Il n’est pas mal, châtain, des cheveux mi-longs, un visage fin, il ne doit pas avoir trente ans. Sa chemise est un peu trop ouverte, ce qui laisse voir le haut de sa poitrine légèrement velue ; elle est aussi un peu trop courte et s’est échappée de son pantalon noir un peu trop grand… Quand il se penche, et il ne s’en prive pas, le boxer rouge apparaît généreusement presque jusqu’à la moitié de ses fesses.

Nous mangeons des mets gras et roboratifs tout en bavardant, mais je peine à faire attention aux propos de Yohan, tant ma dégaine ainsi que l’attitude provocante du serveur me troublent. Il s’en aperçoit et sèchement me dit : « Tu vois la porte des toilettes, de l’autre côté de la salle ? Tu vas aux chiottes et sans remonter ta braguette ; allez, fissa ! » Il ne reste que peu de clients dans le restau, mais suffisamment pour que ma traversée de la salle soit remarquée. C’est donc à grands pas que je me dirige vers les toilettes, quelques têtes se tournent à mon passage, mais ça y est, la porte est franchie, je suis dans les lavabos. J’imagine que Yohan ou le petit serveur, peut-être le patron, quoiqu’il m’excite moins, vont venir me rejoindre. Mais les minutes s’égrènent et… personne. Des pas se rapprochent enfin, une ombre se dessine sur la vitre dépolie de la porte, je retiens mon souffle et pense me mettre à genoux pour recevoir un sexe dans ma bouche. J’esquisse le mouvement, la porte s’ouvre assez violemment ; une dame d’âge mûr entre. Elle a l’air un peu surprise. Décontenancé, je me tourne vers le lavabo, lave mes mains à grande eau et quitte précipitamment les lieux. Le retour est aussi rapide que l’aller, la salle est maintenant presque vide, Yohan est au téléphone ; je me rassieds, confus et dépité. Sa conversation s’achève rapidement sur un « A tout’, mec », il me sourit largement et s’esclaffe : « Tu t’y attendais pas, à celle-la, hein ? » La dame ressort, passe devant notre table et nous lance un regard courroucé. Je reste silencieux, nous nous levons et je vais payer. Le patron encaisse et nous gratifie d’un large salut : « Bonne après-midi, Messieurs, au plaisir ! ». Le jeune serveur a disparu… Dans la rue Yohan m’informe : « Mon pote est chez lui, il nous attend, il n’habite pas loin ; et ferme ta braguette, j’ai d’autres projets pour toi que le poste de police… »

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 23:19

[Episode précédent]

.... J’en profite pour mater son corps admirable, sa queue longue et fine au repos, ses petites fesses musclées et galbées. Bientôt un air lancinant, très rythmé s’échappe. Il semble qu’il lui redonne de l’énergie… Il revient s’asseoir à côté de moi. « T’es prêt ? » me dit-il en souriant.

« Prêt à tout !

 

Episode 2

 

-OK. Va dans la salle de bain pour te débarrasser de la cire »

Je m’y rends, j’éprouve quelque peine à me débarrasser de cette gangue épaisse, mais la cire s’amollissant à force d’eau chaude, je parviens à enlever toute la couche qui couvre mon pubis, ma queue et mon gland. Ce frottement a fini par m’exciter, et, c’est la bite bien raide que je reviens dans la pièce principale. Yohan n’a pas bougé du canapé, il n’a pas un regard pour moi. Une clope au bec, un verre à la main, abandonné, nu, sa main caresse son sexe en en semi érection, il me dit d’une voix un peu enrouée : « T’es là, salope ? T’es prête à souffrir? » Sans réfléchir davantage et ravi de le voir de nouveau partant je réponds très vite « A vos ordres, Maître ! »

Il se lève avec un peu de peine et dit « Bien. Tu vas au milieu de la pièce, tu ne bouges pas et tu attends ». Je m’exécute, je bande de nouveau, je frémis du plaisir de l’attente. Face au mur, je ne sais, une fois de plus, ce qu’il cherche dans le désordre de son appartement. Après de longues minutes, je le sens revenu derrière moi. Il prend mes bras, mes mains et les lie dans mon dos avec une corde qui me semble très souple mais qui se révèlera impitoyable quand je tenterai le moindre mouvement. Un moment s’écoule, d’autres bruits de recherche me parviennent, mais je ne bouge pas, comme il me l’a ordonné.

Une longue respiration et je sens un tissu odorant pénétrer dans ma bouche et s’y enfoncer : « C’est un slip que j’ai bien porté, c’est ce que les putes comme toi méritent » me dit Yohan à l’oreille. J’en apprécie la texture, les saveurs et les odeurs. Face à moi, il me décoche ensuite un mollard qui dégouline sur mon visage et je l’en remercie maladroitement : il n’est pas facile de parler quand un slip roulé occupe toute la bouche. Il s’en contente, dirait-on.

Sans un mot, il ajoute un poids passablement lourd à la chaîne qui relie mes pinces à seins et, comme je grimace, plusieurs gifles s’abattent sur moi, accompagnées de coups de poing et de genou, sur mes jambes, mes reins, mes fesses, ma queue, mes couilles. Je gémis, le slip qui obstrue ma bouche ne permet pas davantage, je suis content, malgré la douleur, que la séance recommence.

« Par terre, sur le ventre ! » Je m’exécute sans tarder. De ses pieds, il écarte largement mes jambes et entreprend de donner des coups de plus en plus fort à mes couilles offertes. Je mords le slip et gémis. Les coups cessent, ses pas s’éloignent, plus rien. Yohan est de nouveau assis sur le canapé et je suppose qu’il me regarde, nu, à plat ventre, les jambes écartées, offert à sa volonté. Les minutes qui passent me semblent interminables tant mon excitation est grande. J’anticipe sur les supplices que je voudrais endurer mais Yohan est toujours immobile. Il allume une cigarette, j’attends, toujours offert. Il se lève, vient près de moi, me considère un instant, s’accroupit et, après m’avoir un peu redressé en me tirant par les cheveux, crache plusieurs fois sur mon visage. Il se relève, se dirige vers mes pieds et s’agenouille.

Soudain, une douleur fulgurante parcourt tout mon corps, je parviens à peine à étouffer un cri dans le linge qui me bâillonne, une douleur vive qui persiste et se répand de mes couilles à tout mon corps. Je n’en identifie pas encore la cause, quand la même sensation se reproduit, au même endroit, et de nouveau, un tressaillement parcourt mon corps tout entier. « Je t’avais dit que nous ferions mieux… » La voix de Yohan me parvient confusément dans ma souffrance, mais je comprends qu’il est en train de brûler mes couilles avec le bout incandescent d’une cigarette. De multiples pointes de feu attaquent mes fesses à présent ; il les écarte et je sens ces pointes terriblement aiguës et brûlantes attaquer l’orifice de mon anus et s’y attarder. J’entends le briquet qui rallume le brandon éteint pour de nouvelles agressions, tandis que je tente de hurler et de me débattre, mais la corde qui lie mes mains est redoutable et la force de Yohan maîtrise à merveille les tentatives d’échappatoire auxquelles se livrent mes jambes. La séance se poursuit ; peu à peu, je maîtrise cette douleur que j’identifie maintenant, que j’accepte et dont je tire de la jouissance. Mes fesses sont brûlantes, je gémis, mais de plaisir, je crois. Le bout de la cigarette s’emploie à dessiner sur mes fesses des figures que je devine : croix, cercles, triangles. J’en attends avec avidité la prochaine morsure que j’espère et subis dans l’acceptation sans réserve du plaisir de l’autre…et du mien. Peu à peu les brûlures se rapprochent de mon trou du cul que je contracte peut-être involontairement, c’est insidieux, intermittent : une petite brûlure vient se poser au bord, au centre, à l’autre bord. D’un coup sec, Yohan applique la cigarette sur ma rondelle, comme il l’aurait fait sur le fond d’un cendrier, il écrase le bout enflammé en appuyant de toutes ses forces. Le slip qui obstrue ma bouche n’est plus suffisant pour étouffer mon cri. La cigarette éteinte est enfoncée dans mon cul, elle y pénètre et je sens ce corps étranger en moi. Je suis à plat ventre, essoufflé, un peu étourdi ; j’attends la volonté de mon Maître Yohan pour réagir.

« Lève-toi ». Encore étourdi, j’obéis. « Va dans la chambre ». La pièce est baignée d’une lumière apaisante, le lit n’est couvert que d’un drap. Yohan ôte mes pinces à seins, sans m’en avoir averti, la douleur est terrible et je pousse un cri étouffé. Il enlève le slip qui obstruait ma bouche et je m’attends à être giflé, mais rien ne vient. « Allonge-toi sur le ventre ». Une fois couché, il délie mes mains, le sang qui afflue à mes poignet me cause de vifs picotements que mon maître atténue en me les massant. Yohan s’allonge sur moi et me murmure à l’oreille : « Tu as du temps ?

- Tout mon temps maître. »

Il me mordille la nuque et pince de nouveau mes seins ultra douloureux pendant un bon moment, tandis que ses genoux cognent régulièrement mon entre-jambes. Puis il se lève et reprend la cordelette qui enserrait mes poignets et entreprend de la serrer très fort à la base de mes couilles que je sens instantanément se gonfler. La corde mord la chair mais la sensation est agréable. Une fois mes couilles bien prisonnière dans cet étau de corde, Yohan se relève, va chercher un flacon dont il verse le contenu dans la paume de sa main et, contre toute attente, se livre sur moi au plus délicieux des massages qu’il m’ait été donné de recevoir. Sa main enduite d’une huile odorante parcourt mon dos, malaxe mes fesses et mes cuisses, j’en soupire de plaisir. « Maintenant, nous allons dormir un peu, le dressage reprendra, tu verras ». Il s’allonge à côté de moi, sa main entoure mon cou et nous plongeons dans une douce torpeur.

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:34

Ce récit de Kouros est du "vécu arrangé".

Bonne lecture ! Je reviens dans une semaine...avec la suite.

 

Arnaud S.

 

J’ai 32 ans, je suis brun, d’un petit gabarit « musclé sec », comme disent les annonces, et j’aime être soumis à un vrai mec. Ce soir, j’ai rendez-vous avec un copain que je connais depuis longtemps mais ses absences répétées de la capitale m’ont privé de sa compagnie. Bien excité, je sonne à la porte de son immeuble. L’interphone crache un ordre : « Tu montes au 4ème par les escaliers et en slip ». J’hésite un peu, mais il est tard et dans cette résidence tranquille, j’ai peu de chance de rencontrer quelqu’un ; au pire, je redescendrais dare-dare me planquer au rez de chaussée, sous la volée d’escalier. J’enlève donc mon jean et monte en tee-shirt et en boxer noir assez moulant jusqu’à chez lui. La porte est entrouverte, une musique syncopée s’échappe de l’appartement enfumé. Je pousse la porte. Yohan est assis sur un canapé, au milieu d’un désordre indescriptible.

Il ne porte qu’un slip blanc à large ceinture rouge et une paire de baskets usagés. C’est un mec un peu plus âgé que moi, 35-36 ans peut-être. Il a un corps assez athlétique, imberbe et des cheveux blonds très ras. Ses yeux bleus expriment une sorte d’autorité naturelle et sa gueule vacharde découragerait de lui résister, si tant est que l’idée m’en soit venue… Nos regards se croisent ; les mondanités sont inutiles. « Enlève tes pompes, ton tee-shirt, ton slibard et viens à mes pieds ». Je me précipite sur ses baskets que je commence à lécher avec application. Tandis que je lèche une chaussure, de l’autre il m’écrase le dos et balance de petits coups bien assénés sur mes fesses qui ondulent de plaisir. Je modifie ma position et me mets sur le dos pour vénérer la semelle de ses godasses qui viennent aussitôt écraser mon visage, ma queue, mes couilles sur lesquelles il appuie pour me faire gémir, autant de douleur que de plaisir. Ce décrassage dure une dizaine de minutes et si je bande bien, je peux également apercevoir au hasard de mes mouvements que sa queue se dessine droite et dure sous son slip. « Debout, va vers l’évier ». Je m’empresse d’obéir. Il me tend un verre que je vide sur son ordre. Placé derrière moi, Yohan s’empare de mes tits, que j’ai assez développés. Il les pince progressivement, mais bientôt la douleur est telle que je tente d’incliner le torse pour y échapper. Un violent coup de genou entre les fesses me dissuade aussitôt de résister davantage. Ses doigts musculeux continuent à pincer, à tordre mes tits, vers le haut, vers le bas et ma queue se tend sous la douleur.

Il me retourne brusquement et m’assène une gifle magistrale. Les vieilles habitudes reprennent et je m’écrie « Merci, Maître ». Après près avoir pris une longue rasade de l’alcool que contient son verre, il approche son visage du mien et il la déverse dans ma bouche ; j’avale goulûment le liquide tiède. Il s’éloigne et je l’entends chercher quelque chose dans son bazar. Des bruits métalliques me parviennent sans que j’ose me retourner. Il revient bientôt avec des pinces à seins. Il me les pose, la morsure est vive et je pousse un cri qu’une deuxième gifle fait aussitôt cesser. Ses mains pèsent sur mes épaules et je me retrouve à genoux devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son odeur de mâle, une odeur acre, où se mêlent des parfums de transpiration et d’urine. Je suis avec ma langue le contour de sa bite et de ses couilles. Il se laisse faire en poussant quelques soupirs de satisfaction ; avec mes dents, et avec précaution, je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils blonds apparaissent d’abord. Je les hume et lèche le pubis. Puis la base de sa queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite magistrale s’en échappe. Je l’avale jusqu’aux couilles que je caresse et imprime à ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces ; pour diminuer la douleur, je m’attarde parfois sur son gland ou son prépuce.

Une nouvelle gifle m’interrompt. Je tente de me relever, mais ses poings me retiennent à genoux, le visage tout près de son sexe qu’il m’empêche de lécher. Il débande peu à peu. Quand sa bite a repris une mollesse relative il m’ordonne : « Ouvre la bouche, prends ma queue et ne bouge pas ». J’obéis, sa bite est dans ma bouche, je reste parfaitement immobile. Alors, un liquide doré m’envahit bientôt. « Avale, avale tout ! Que pas une goutte ne tombe sur le sol ! ». Je m’efforce de maîtriser ma respiration et d’absorber la pisse qui sort en jet épais et se répand dans ma gorge. Quand il a fini, une fois les dernières gouttes avalées et le gland consciencieusement nettoyé, il me redresse en me tirant par les cheveux et enfonce sa langue dans ma bouche pour une longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins. Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif plaisir. Sa salive inonde ma bouche. Il recule son visage, crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle. « Merci, Maître », dis-je, encore sous le charme de cette exploration buccale… « Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre. » Je me précipite aussitôt au sol et lape les petites flaques de liquide odorant qui s’étalent sur le carrelage froid. Pendant que je me livre à cette opération de nettoyage, Yohan me balance des coups de pieds dans les côtes ou m’écrase le dos, ce qui a pour résultat d’accroître la douleur provoquée par les pinces.

« Sur le dos ! » ordonne-t-il. Je m’exécute sans tarder. Après que j’ai une nouvelle fois décrassé ses semelles, une fois qu’elles ont bien écrasé mes seins, ma bite dressée et mes couilles, il s’assied sur mon visage : « Bouffe ! ». Bien que j’étouffe un peu, je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une nouvelle fois de ses odeurs excitantes. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant ainsi d’être plus efficace ; il cherche, je le comprends, à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce que c’est et je continue sans fléchir à lécher son cul, m’attardant sur ses fesses rebondies et bronzées. Il a repris son assise et immobilisé mes mains avec ses genoux, quand une douleur nouvelle assaille mon pubis, une douleur piquante, mordante: celle de la cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il déverse à la base de ma bite, heureusement totalement rasée sur ses injonctions. Je me tortille de douleur et de plaisir, tout en continuant à enfoncer ma langue dans son cul. La cire chaude provoque mille piqûres excitantes que je ne cherche plus à éviter, quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent mon sexe, mon gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris étouffés, mais je souhaite que cette torture délicieuse ne cesse pas encore. J’ai renoncé à lécher son cul, je suis trop crispé par la douleur et trop concentré sur ces sensations douloureuses mais terriblement plaisantes. Quand il se relève, je constate que ma bite a disparu sous une épaisse couche de cire blanche, sans avoir débandé pour autant. Yohan souffle la bougie et avec un sourire inquiétant –ou prometteur- annonce : « Nous ferons mieux tout à l’heure… »

Je me relève, nous nous dirigeons vers son divan encombré de toute sorte d’effets et nous nous asseyons pour reprendre quelques forces. Ma bite disparaît sous une gangue de cire, je porte toujours ces pinces à seins auxquelles je m’habitue, je suis bien et j’attends la suite de cette soirée à laquelle j’avais souvent rêvé…

Nous avons passé un assez long moment à évoquer nos voyages, nos plans plus ou moins réussis. La conversation est agréable, elle nous déconnecte des instants sexe que nous avons vécus mais nous permet d’entretenir notre désir mutuel par les récits de nos conquêtes qui, parfois, réussissent à combler nos fantasmes communs. Il suffit aussi d’un peu d’imagination ou d’enjoliver quelques médiocrités pour y croire… Yohan me propose de prendre un verre , une cigarette, autant d’excitants destinés à nous rendre un peu de vigueur. J’y consens volontiers et le temps passe, me plongeant dans une incertitude inquiétante : serait-ce déjà fini ? Je prends garde de ne rien dire, j’attends. De longues minutes de silence s’instaurent, la musique a cessé. Yohan se lève, tout nu, magnifique, bricole son ordinateur. J’en profite pour mater son corps admirable, sa queue longue et fine au repos, ses petites fesses musclées et galbées. Bientôt un air lancinant, très rythmé s’échappe. Il semble qu’il lui redonne de l’énergie… Il revient s’asseoir à côté de moi. « T’es prêt ? » me dit-il en souriant.

« Prêt à tout !

 

[suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 00:07

[épisode précédent]

 

Loïc me gifla (plutôt gentiment) pour me punir de mon insolence. « Toi et moi savons tous les deux qu’au fond tu crèves d’envie de morfler de nouveau, pas vrai ? » Il fixa de nouveau ses beaux yeux bleus dans les miens. Ce petit sadique savait que je ne pouvais rien lui refuser quand je me noyais dans ses yeux. « Fais de moi ce que tu veux » dis-je en chuchotant.

« J’en avais bien l’intention ». Et sur ces entrefaites il me laissa tout à ma douleur en attente de la suite. J’en bandais par avance malgré mon épuisement et la douleur qui irradiait de chaque parcelle de mon corps meurtri.

  bunker3

Episode III

 

Loïc revint en portant un baluchon. Il me détacha totalement, m’enleva mes bracelets aux chevilles et aux poignets. « Habilles-toi » Je récupérai le baluchon et sorti mon habit préféré : une combinaison de latex noire et une cagoule de matière et couleur identiques.

Tant bien que mal, j’arrivai à rentrer tout d’abord mes jambes puis mes bras dans la combinaison. Je fermai la fermeture éclair sur la poitrine et profita de la sensation du latex sur l’intégralité de mon corps. J’éprouvai cependant moins de plaisir que d’habitude car du fait du fouet et des pinces le contact du latex était plus douloureux que vraiment agréable. Loïc ouvrit la poche avant et en extrayait mon sexe en érection. Il ouvrit également la fente arrière pour exposer mon petit cul.

La cagoule disposait de petits trous pour les narines, d’une ouverture pour la bouche et la partie recouvrant les yeux était ajourée afin de pénaliser la vision.

Loïc m’enfila lui-même la cagoule, puis me caressa doucement la tête et ma poitrine ainsi que ma bite déjà bien tendue.

Il me donna ensuite une bonne tape sur mon petit cul.

« Avance bâtard ». J’obtempérais et le suivi jusqu’à l’instrument dont nous étions le plus fier : notre chaise électrique.

Il s’agissait d’une chaise en bois massif recouverte de cuir noir. Au centre de l’assise émergeait un gode métallique. La chaise comportait de nombreuses attaches en cuir rembourrées à l’intérieur permettant d’immobiliser totalement la victime sans laisser trop de marques lorsque celle-ci se débattait sous le coup de l’intense douleur causée par les décharges électriques. Le dossier était très haut permettant d’attacher la tête de la victime à la chaise.

« Viens là » Il me positionna devant la chaise. Je le vis sortir un tube de gel spécial pour jeux électriques. Il badigeonna abondamment le gode, puis m’ordonna de m’assoir sur la chaise et de m’empaler. J’ai un cul assez serré, et je commençai à doucement m’assoir sur le gode métallique qui envahissait petit à petit mon intimité. Loïc, trouvant le processus trop lent, appuya de tout son poids sur mes épaules faisant rentrer le reste du gode d’un seul coup. « Putain AHHH ».

« Arrête de chialer » me répondit Loïc en me filant une baffe. Il entreprit de me saucissonner proprement : il attacha mes bras, mes avant bras, mes chevilles et mes jambes. Puis il serra assez fortement ma taille et ma poitrine à l’assise de la chaise, enserra mon cou dans l’attache prévue à cet effet, puis me mis un bandeau attaché derrière l’assise qui maintenait ma tête tout en m’aveuglant.

Il me laissa quelques secondes pour jouir de ma situation. Etre emprisonné en latex moulant est une des choses qui m’excite le plus, mais dans le cas présent j’avais tellement mal de partout et notamment au cul (qui avait été durement fouetté) que la situation était loin d’être confortable. J’émis de petits gémissements.

« Voyons si tu es bien attaché » dis Loïc en me tordant violemment les tétons à travers la combinaison de latex. Je criai et me débattis sous le coup de la douleur mes tétons étant encore très sensibles. Loïc ne sembla pas satisfaisait du résultat et entreprit de resserrer tous les liens. A l’exception des mes mains et de mes pieds, je ne pouvais absolument plus bouger un centimètre de mon corps ce que démontra Loïc en me tordant encore plus durement et longtemps mes tétons. Je commençai déjà à suer à grosses goutes et ma queue était toute raide.

« Arrête de beugler ». Loïc du coup me mit un bâillon ressemblant à un mors de cheval, il attacha celui-ci à l’arrière du dossier ce qui contribua à immobiliser encore plus ma tête ; il serra fort ce qui étira mes joues en arrière. Je ne pouvais plus émettre que quelques sons incompréhensibles, ce bâillon assez pénible avait cependant l’avantage de me permettre de respirer encore un peu par la bouche.

Puis Loïc équipa mes couilles et ma queue : il attacha à mes parties génitales des petits anneaux en cuir garnis de capteurs métalliques. Avant cela il me branla, puis me mis un cockring pour maintenir mon sexe en érection. J’avais deux colliers sur ma bite, un collier à la base de mes couilles et il scotcha deux capteurs sur chacune d’entre elles. Le tout fut branché au générateur alimentant déjà le gode métallique sur lequel j’étais empalé.

« Je vais t’expliquer le but du jeu. Je vais te laisser ½ heure dans cet état. On va faire court mais intense. Le système va alterner 20 secondes de décharge et 20 secondes de repos soit des cycles de 40 secondes ce qui donne 45 décharges en ½ heure. On va commencer à une intensité de 40, chaque décharge sera un cran au dessus de l’autre. Tu vas donc terminer à 85. Je pense que tu connais suffisamment cette machine pour savoir ce qui t’attend. Je te laisse une minute avant de commencer ».

L’intensité de 40 aurait pu être considérée comme douloureuse pour un néophyte. Ayant l’habitude je savais que les décharges de 40 à 50 seraient facilement supportables voire agréables. La douleur commencerait à s’installer de 50 à 60.

La vraie torture commencerait de 60 à 70 qui était l’intensité qui généralement nous faisait crier.

Par ailleurs par expérience je savais que de 70 à 80 j’allais être mis au supplice. Quant au reste je n’avais subi du 85 aussi longtemps qu’assez rarement : je savais que j’allais en baver.

Je réfléchissais à tout cela pendant la minute d’attente, et l’anticipation de ce qui m’attendait me fit quasiment juter, empêché par les anneaux serrés autour de ma bite et par le cockring.

 

La session se passa comme prévu, je comptais mentalement le nombre de chacune des décharges. Nous en étions déjà la 6ème décharge. Le courant me traversait la bitte et les couilles et se diffusait dans mon corps à travers le gode. Pour l’instant la sensation était encore assez agréable.

L’intensité était maintenant de 52 d’après mon calcul et je commençai à ressentir les premières douleurs. Je gémis à travers mon baillons à 56 et commençai à me débattre, c'est-à-dire principalement à bouger mes doigts et mes orteils. J’avais la gorge sèche et du mal à déglutir convenablement.

Je m’imaginais Loïc en train de jouir du spectacle : son petit bâtard tout en latex, comprimé sur une chaise en train de recevoir des chocs électriques de plus en plus intenses. Ma bite restait bien dure à cette pensée.

Je fus satisfait de moi ayant réussi à contenir mes cris jusqu’à 63. C’est à partir de ce moment là que je commençai à compter les secondes des temps de repos. Je n’arrivai pas à compter le temps de décharge car j’étais trop occupé à souffrir.

L’intensité 68 m’arracha un long cri, je me débattais dans tous les sens, mais j’étais vraiment bien immobilisé. J’étais complètement en sueur, bien aidé par ma combinaison en latex, ce qui augmentait la conduction de l’électricité pour mon plus grand malheur.

Je ressentais des brûlures intenses au niveau de mes parties génitales et de mon cul. « HHMMMMMMMMMMMMHHH » à la 70ème je criai d’un bout à l’autre de la session. Je respirai difficilement à travers les trous au niveau des narines, et le mors que j’avais dans les dents gênait la respiration par la bouche. Heureusement le temps de repos me permettait de reprendre à la fois mon souffle et mes esprits. 15, 16, 17,18 Je commençai à tendre mon corps en prévision de la prochaine décharge. « HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMHH »

Les périodes de repos et de supplice se suivirent, et chaque session était maintenant éprouvante.

Des larmes commencèrent à s’agglutiner dans la cagoule se mélangeant à la sueur. A chaque décharge je haletais et restais tétanisé.

A la 81ème je me mis à hurler pendant les 20 secondes que durèrent le choc électrique, j’avais l’impression que l’on me brulait et frappait mes entrailles et que ma bite et mes couilles étaient en train de griller. 82 puis 83 ensuite 84 : les trois séances suivantes me mirent au supplice et me firent gueuler sous le coup de l’intense souffrance.

…5, 6, 7 Je comptais mentalement mon temps de repos attendant avec appréhension l’intensité 85 ainsi qu’avec un certain soulagement. 15, 16,17. Ma bite restait bien tendue semblant apprécier le traitement qu’elle subissait. 18,19 « HMMMMMMMMMMMMMMHHHHHHHH », Je criai, pleurai tenta de me débattre, j’étais pris de tremblement pendant les 20 secondes qui suivirent. Enfin la douleur cessa, je repris petit à petit mon souffle et j’attendis. J’étais en nage et sentais le sel de mes larmes dans les yeux. Je pensai que mon calvaire était fini, et que j’allai pouvoir me reposer.

« Je vais t’achever ».

« HMM ? ».

« Deux décharges pour t’achever » La première 85 pendant 40 secondes

« HMMMH » suppliai-je.

« Ta gueule, sinon tu vas morfler »

Vu ce que j’avais déjà ramassé je ne voyais pas trop ce qu’il appelait « morfler », mais par prudence je préférai me taire…

J’essayai de prendre une respiration normale, de faire le vide dans mon esprit mes mains se crispèrent sur les accoudoirs et j’attendis.

La cuisante décharge vint frapper mes parties génitales et mon cul en même temps. Je poussai un râle d’agonie, ne reprenant ma respiration que pour hurler de nouveau. Je ne pensais plus qu’à une chose : la douleur qui provenait de mon bassin. Mes mains étaient tellement crispées sur les accoudoirs que je pensais que soit ceux-ci céderaient soit mes phalanges allaient se briser. Les quarante secondes me parurent une éternité.

Quand l’électricité s’arrêta je mis un certain temps à reprendre mes esprits et retrouver une respiration normale. J’étais inondé de sueur et de larmes.

 

« C’était pas mal. Maintenant je te propose un petit challenge. A fond pendant 10 secondes, je pense que cela va bien t’achever ! » ricana mon beau maître.

« HMMMMHHH » dis-je en tentant de tourner la tête en signe de négation

« Je pense que tu n’as pas bien compris : je ne te demandai pas ton avis en fait »

 

Seul Julien, le plus sadique de nos maîtres, avait essayé l’intensité 99. Il savait que par nature du fait de son faible ampérage l’appareil n’était pas dangereux si les chocs n’était pas infligés près du cœur, mais il voulait subir lui même cette épreuve afin d’être sûr que ce soit supportable pour nous.

Il avait essayé pendant 5 secondes uniquement et il avait poussé un magnifique hurlement et n’avait cessé de trembler pendant près d’une minute, puis il avait indiqué que c’était vraiment ultra-hard et qui nous plaignait par avance lorsque nous subirions à notre tour cette intensité. Loïc n’était pas là ce jour-là et n’avait pas vu le résultat.

 

J’étais déjà épuisé par toutes les tortures que j’avais subies et avais envie de repos, je poussai donc un long « HUUUUMH » destiné à inspirer la pitié. Cela me valut deux bonnes baffes bien cuisantes.

« Tu l’auras voulu : 15 secondes et si tu continues c’est deux fois 10 ».

Je me tus et me contenta de pleurnicher comme une chochotte et me concentra pour encaisser le choc. Je respirai profondément, essaya de nouveau de faire le vide à l’intérieur de ma tête, et me prépara à subir l’une des pires épreuves de ma vie.

 

Le temps s’écoula lentement et soudain je ressentis une violente douleur comme jamais je n’en avais ressentie. Mon cul et mes organes internes semblaient en feu comme si on m’avait plongé un fer rouge dans les entrailles, quant à ma bite et mes couilles j’avais l’impression qu’elles étaient frappées à coup de marteau. Le choc était tellement violent qu’il fallut quelques secondes avant qu’un hurlement puisse sortir de ma gorge. « HHHHHHHHHHHHHHHHHHHMMMMMMMMHHH »

Jamais je n’avais poussé un tel cri. Mon corps était devenu entièrement rigide et j’oubliai toute pensée rationnelle, mon cerveau ne se focalisait plus que sur la souffrance intense que subissait mon corps. Même ma bite se mit à débander tellement la douleur était forte. Ce furent les 15 secondes les plus longues de toute ma vie et chacune sembla durer une éternité. Enfin l’électricité cessa de parcourir mon corps, je continuai à crier, à trembler pendant peut être deux minutes (je n’avais plus de notion du temps), j’avais du mal à retrouver ma respiration et mon cœur battait à tout rompre.

Je repris petit à petit mon souffle et parvins à me calmer grâce à de profondes inspirations.

J’étais en larmes, et lorsque Loïc m’ôta le bandeau puis la cagoule, je ne vis nettement Loïc qu’après qu’il m’eu essuyé le visage avec une serviette.

« Ca c’était quelque chose » s’enthousiasma-t-il. « Juju m’avait prévenu que c’était hard et il ne c’était pas trompé. C’était génial. Pour le coup j’ai tout filmé, c’est le truc le plus excitant que j’ai jamais vu ! »

Malgré toute l’affection que je lui portai, je crois que j’aurais volontiers étranglé mon maître à ce moment là. J’étais encore hagard sous l’intensité du choc et je me remettais lentement de mes émotions (intenses). Je ne répondis rien, me concentrant sur mon rythme respiratoire.

Mais au fur et à mesure que je reprenais mes esprits et que je repensai à ce que j’avais subi, ma queue se mit à durcir de nouveau et mon ressentiment disparu.

Je réussis à articuler un « Putain çà décoiffe ! » avec un pâle sourire. Loïc me roula une longue pelle magnifique et lécha mes larmes qui restaient sur mes joues.

« Ca devrait aller pour ce soir » dit-il en passant gentiment sa main dans mes cheveux trempés de sueur. « Tu vas passer une soirée plutôt calme. Tes petits camarades ne vont pas tarder à rentrer et on va s’occuper d’eux. Je suis fier de toi. » Ses mots me remplirent de fierté, et en regardant ses beaux yeux bleus qui étincelaient, je fus remplis de bonheur.

 

[A suivre]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 5 juin 2 05 /06 /Juin 18:21

Vous avez été très nombreux à laisser des commentaires pour le 1er épisode. Ca a bien motivé Hector, qui nous livre la suite.

 

Arnaud S.

Image du Bunker : http://www.dday-overlord.com/forum/restauration-bunker-r622-t2857.html

bunker2

 

Après plusieurs dizaines de minutes, Loïc revient avec une boite métallique il avait l’air plutôt content de lui. Il déposa la boite à mes pieds, et entreprit de me ré-attacher. Il commença à immobiliser mes pieds sur le sol, attacha la corde descendant de la poulie mes poignets joint par mes bracelets, me fit de nouveau tendre mes bras au dessus de ma tête et tourna lentement la manivelle afin d’étirer mes bras en l’air. J’écoutais le clic, clic, clic lancinant de la poulie et ne tarda a à ressentir une tension importante au niveau de mes bras ; je poussai un petit cri. Loïc arrêta. Je pensai qu’il avait eu pitié de moi mais le « ta gueule » qu’il me jeta tout en me filant une baffe, vint me contredire.

Clic, clic, clic : il tourna de nouveau cette maudite poulie et je commençai à être véritablement écartelé. Il me regarda puis satisfait du résultat alla chercher un tabouret pour poser la boite métallique qu’il avait apportée. Les anneaux fixés au sol et reliés à mes bracelets de chevilles maintenaient mes pieds par terre alors que la poulie m’avait fortement étiré les bras en l’air, je me sentais durement tendu et commença à gémir alors même que les réjouissances n’avaient pas commencé. « Si tu ne la fermes pas je continue à t’écarteler : la limite de sécurité est encore assez loin ».

En effet la pièce reliant la poulie à la corde était volontairement assez fragile : si une tension trop intense était imposée à la poulie, la pièce cassait. C’est un de leur pote médecin qui leur avait donné des indications sur la tension maximum qui pouvait être infligée à un être humain sans risque d’endommager les muscles et les articulations. En un an la pièce n’avait cassé qu’une fois et le pauvre Ludo devait encore s’en souvenir lui qui avait poussé à cette occasion un des plus beaux hurlements que nous ayons entendu durant nos jeux SM… Il s’en était tiré cependant sans aucun dommage.

 

Loïc me montra le contenu de sa boite : quelques pinces à linge en bois, un bout de corde et nos deux pinces les plus « hard ». Ce sont deux pinces ressemblant à celles utilisées pour les câbles de batteries. Elles étaient grosses, avec un ressort puissant et le bout était composé de dents métalliques. Ces dents n’étaient pas très pointues afin de ne pas endommager la peau. Il ne fallait pas cependant trop jouer avec ces pinces une fois placées sur les tétons de la victime car il y avait dans ce cas un vrai risque de blessure le métal mordant profondément dans la chair. « Je vais t’expliquer le jeu, je suis sûr que cela va te plaire. Je vais placer une de ces pinces sur un de tes tétons pendant 20 mn environ. Tu les connais et tu te doutes qu’après cela ton petit sein sera douloureux et deviendra très sensible. Une fois enlevée la grosse pince je m’amuserai avec les pinces à linge… ». C’était dans la droite ligne de l’obsession des nos maitres sadiques : comment nous en faire baver le plus possible tout en évitant de nous blesser. Rendre très sensible une partie du corps pour la torturer ensuite était une de leur technique favorite.

« Nous allons faire un téton à la fois, cela permettra de nous marrer plus longtemps ». Loïc approcha une pince de mon téton droit qu’il étira pour qu’un maximum de peau soit emprisonné dans la mâchoire de la pince, il relâcha au fur et à mesure la pression sur le mécanisme. Les dents serraient déjà fortement mon malheureux sein et puis il lâcha d’un coup la pince qui du coup exerça sa pression maximale. « AAAAHHHHH, putain » fus tout ce que je trouvai à dire lorsque mon téton se retrouva mordu par la cruelle mâchoire métallique. Instantanément je me mis à respirer plus fort, mon rythme cardiaque s’accéléra et je mis à bander de nouveau. Ce fut le début d’une lente agonie. « Trois minutes » dit enthousiaste Loïc qui s’était assis sur une chaise jetant alternativement un œil sur son Ipad et sur sa victime. Il touchait régulièrement sa bite emprisonnée dans son short en latex et la grosse bosse qu’elle formait indiquait clairement qu’il appréciait la situation.

Pour ma part mon téton était déjà très douloureux et j’avais du mal à croire qu’il me restait encore 17 minutes à supporter ces mâchoires de métal.

Au bout de 10 mn mes yeux commencèrent à être humides, mais ma bite restait bien dure.

« Plus que 5 mn, profites de l’instant présent » philosopha Loïc tout en faisant glisser une page sur l’Ipad. Je gémissais depuis une bonne minute et commençai à étouffer mon premier sanglot. Deux minutes plus tard je poussai de longues plaintes et les larmes commençaient à couler.

« Encore une minute » dit Loïc en se levant. Je poussai de petits cris depuis quelques secondes et mes joues étaient maintenant bien humides.

Il décida de desserrer de quelques crans la corde qui me maintenait les bras en l’air, car l’écartèlement commençait à devenir très contraignant et il voulait me soulager avant la torture qui allait suivre.

« C’est fini ». Il s’approcha de moi et posa sa main sur la pince. Il me sourit et jeta ses yeux ensorceleurs dans les miens. Je pouvais ressentir son excitation à la pensée de la douleur qui allait suivre mélangée à l’affection qu’il avait pour moi. « Tu vas adorer » Il m’embrassa avec passion, nos langues s’emmêlèrent pendant quelques secondes et il ôta la pince d’un seul coup. « Putaaaaaain de merde, ARGGHHHH »Je poussai un cri strident et me mis à me débattre en vain car j’étais encore fortement immobilisé. Il jeta un rapide coup d’œil pour s’assurer que le téton n’était pas endommagé, puis rassuré se mit à pincer celui-ci, à le malaxer à frapper ma poitrine droite. Je poussai un cri déchirant et mes yeux s’embuèrent de plus belle. A travers mes larmes je vis ce sadique prendre les pinces à linge et me les fixer une à une autour du téton droit dont deux sur l’emplacement exact laissé par la pince. Il ne posa en tout que six pinces collées les unes aux autres ; mon sein ayant été copieusement attendri la douleur était très forte. Ma respiration et mon cœur recommencèrent à s’emballer, puis je me mis à crier de nouveau lorsque Loïc commença à tirer, tourner les pinces dans tous les sens utilisant pour cela ses deux mains. Je suai à grosses gouttes et émis de nombreux gémissements. Il s’arrêta au bout de deux minutes seulement et enleva une à une les pinces rapidement. J’eu à peine le temps de crier sous le brusque afflux de sang lorsqu’il enlevait l’une des pinces, qu’il en enleva une autre. Les six pinces ôtées il recommença à malaxer et étirer mon téton ce qui me fit de nouveau gueuler puis il me donna quelques tapes sur ma poitrine droite. Je continuai à haleter et à suer et en même temps j’étais un peu déçu en me disant que c’était déjà fini : je bandai comme un cerf. Loïc lut mon interrogation dans mon regard et me lança un sourire narquois : « t’inquiètes pas ce n’est que le début ! ». Il replaça les 6 pinces à linge sur mon sein droit et recommença à tourner, tirer ces maudits bout de bois pendant quelques minutes puis les enleva de nouveau très rapidement. Il enleva et remis plusieurs fois les pinces à linge toute en jouant avec celles-ci quand elles étaient en place.

Au bout de la quatrième fois de ce manège je pleurais, reniflais et criais. Mon sein droit n’était plus que douleur, et j’avais l’impression qu’il était complètement déchiqueté ce qui n’était pas le cas je le savais. Loïc revint avec ses pinces à linge en ajoutant une petite nouveauté ; en plaçant les pinces il ajouta une petite cordelette entre la peau et la partie de la pince à linge qui pinçait le téton, la corde devenait prisonnière des pinces. Ils utilisaient assez souvent ce procédé que nous avions vu sur de nombreux sites SM. En tirant sur la corde cela permettait de retirer toutes les pinces qui reliées la corde d’un seul coup ce qui ne manquait pas d’infliger une douleur cuisante à la victime de ce traitement…

Et au vu de l’extrême sensibilité de mon sein droit j’imaginais que j’allais vraiment en baver lorsqu’il tirerait sur la cordelette.

Loïc recommença à malaxer, tirer des deux mains les pinces à linge prenant un malin plaisir à tourner dans un sens opposé des pinces placées l’une à coté de l’autre. Le traitement dura encore plus longtemps que les quatre premiers. Je tremblai, gémis et chiala. Il s’arrêta enfin me fixa avec un regard gourmant et pris les deux bouts de la cordelette en main. Il s’écoula quelques secondes pendant lesquelles je tentai de calmer ma respiration, et je me préparai psychologiquement à ce qui allait suivre. « Prêt » ? Je hochai de la tête respira un grand coup et il tira brusquement sur la petite corde ; toutes les pinces se détachèrent en même temps de mon sein. « PUtttttttaaaaaaaain ARGHHHHHHH meeerdeee» Je cru que mon téton était parti avec les pinces, je criai pendant plusieurs dizaines de secondes, je ne voyais plus rien aveuglé par mes larmes. Je tremblai encore pendant que Loïc m’essuya gentiment mes larmes, me pris dans ses bras et me souffla qu’il était fier de moi. Il maintint cette étreinte pendant une minute jusqu’à ce que cessent mes tremblements, puis la relâcha.

« Maintenant le gauche. Je pense cette fois-ci te laisser la grosse pince 25 minutes ». Je déglutis à cette annonce et émis un faible « pitié ». « Quoi. Que viens-tu de dire » Loïc m’adressa un regard furieux. « Utilise le safeword si tu veux et pars d’ici mais n’implore pas la pitié ».

 

Depuis un an nous avions signé dans notre contrat de bâtard une clause « no-limit » pour les tortures. Il y avait cependant quelques limites en « dur » asses sensées : pas de sang, pas d’atteinte à l’intégrité physique, des souffrances restant dans les limites du supportable et du jeu (nous n’étions pas sous l’inquisition…) c'est-à-dire notamment pas d’évanouissement.

Cette clause nous avais beaucoup excité et nous l’avions accepté parce que nous connaissions nos maîtres depuis plus d’un an et que nous avions une totale confiance en eux.

Ils nous démontrèrent par la suite que le corps humain est capable d’endurer des souffrances assez considérables sans subir de dommages !

Par ailleurs nous avions un safeword (red ou trois uhh à la suite en cas de bâillon) reprenant la traduction intégrale du terme anglais à savoir à n’utiliser qu’en cas de problème de sécurité. Je l’avais utilisé à plusieurs reprises, notamment lorsque je portai un bâillon, du fait de mes difficultés à parfois respirer par le nez uniquement et alors que je commençai à m’étouffer.

Une fois du fait que j’étais malade j’ai eu du mal à supporter une session. On m’avait détaché, puis dorloté les quelques jours que durèrent ma grippe puis puni le weekend d’après pour ne pas avoir dit avant de commencer la session que j’étais malade…Nos maîtres exigeaient que nous soyons en forme lors de nos tortures afin que nous puissions pleinement en profiter et éviter tout risque de malaise.

J’avais par deux fois utilisé le safeword sous le coup d’une session de torture intense. Mon tortionnaire m’avait laissé le choix inscrit dans notre contrat : si je répétais encore deux fois le safeword j’étais libéré mais je quittais le bunker et ne verrais plus jamais mes maîtres, ou alors il continuait la session en cours sans se préoccuper de ma demande de pitié. J’avais dans les deux cas opté pour la deuxième solution, ne voulant en aucun cas sortir du bunker et avait particulièrement bien morflé, ma demande de pitié avortée ayant renforcée le sadisme de mon tortionnaire…

« Nous ne vous retiendrons jamais de force évidemment ; par contre si vous partez c’est définitivement » nous avait dit Loïc. Un an après leurs quatre bâtards étaient encore là.

 

« Excuse-moi » dis-je piteusement. « Je tiendrai 26 minutes ». Il m’embrassa vigoureusement et me dit « Partons pour 25 et nous verrons. Pas de pitié ? »

« Pas de pitié » répondis-je dans un murmure.

« J’ai pas entendu »

« Pas de pitié » répondis-je d’une voix plus ferme.

Il m’embrassa de nouveau. « C’est parfait : je ne comptai pas en avoir. Par ailleurs tu apprendras un jour que si tu veux inspirer la pitié il faut éviter de bander quand on te torture ! Toi plus tu morfles et plus tu bandes. Je t’assure que cela n’incite pas trop à la compassion… » dit-il avec un grand sourire en regardant ma partie déraisonnable qui était dure comme jamais et en la caressant doucement. « Défense de juter pour le moment » ajouta-t-il alors que sa caresse provoquait d’exquis gémissement de ma part.

 

Clic, clic, clic. Il me retendit de nouveau pour la phase « d’attente » et plaça la terrible pince noire sur mon téton gauche égrenant les minutes comme la première fois. La douleur et la fatigue accumulées lors de ma flagellation et la torture de mon sein droit m’avaient rendu plus vulnérable et les pleurs, les gémissements intervinrent plus tôt. A la 20ème minute mes joues étaient complètement humides et je gémissais de manière ininterrompue. Les 5 dernières minutes furent un calcaire et quand Loïc, après avoir légèrement détendu mon écartèlement enleva la pince puis après tortura avec ses mains mon téton à vif je poussai l’un des plus beaux hurlements de ma vie. AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Je me débattais dans tous les sens et haletais comme si je venais de courir plusieurs 100 mètres de suite. J’étais trempé de sueur et de larmes. Il attendit avant de placer les pinces à linge et regarda ma bite durcir de nouveau. Puis le manège des pinces commença. A la troisième « installation » j’étais dans un état second, la douleur était tellement intense que je commençai à me couper de l’environnement extérieur. Loïc, en maître prévenant, s’en aperçu. « Ok on fait une petite pause et on recommence ». Je le vis partir dans un brouillard de larmes et il revint avec un grand verre d’eau fraiche. « Bois ». Je bus avec avidité, il me redonna un deuxième verre, m’embrassa sur les deux joues et dis « on y retourne ».

La pause m’avait permis de reprendre un peu mes esprits mais cela ne m’empêcha pas de déguster lors des quatrième et cinquième séances de pinces. Lors de la sixième je poussai de nouveaux de nombreux cris, et lorsque Loïc tira sur la corde pour en finir je réussi à pousser un hurlement encore plus fort que pour le premier téton. Ce petit salaud en profita pour me torturer avec ses mains les deux tétons en même temps : j’étais à l’agonie, je criai, pleurai de nouveau comme une gamine !

Puis Il me mordit assez fort mes deux seins me faisant pousser de nouveaux cris.

Après ce dur traitement il se mit à les lécher doucement, à les caresser, à les embrasser. J’ai cru que ma bite allait exploser sous l’extase de cette douceur venant après la tempête, mais Loïc n’était pas décidé à me laisser jouir pour le moment.

« Reposes-toi bien car j’en ai pas fini avec toi » dit Loïc tout en relâchant mes liens afin que je puisse attendre dans une situation plus confortable.

« uuu endra rter es eurs a ombe ?» articulai-je très doucement. « J’ai rien compris p’tit bâtard ».« Tu viendras porter des fleurs sur ma tombe ?» dis-je plus nettement avec un pâle sourire.

Loïc me gifla (plutôt gentiment) pour me punir de mon insolence. « Toi et moi savons tous les deux qu’au fond tu crèves d’envie de morfler de nouveau, pas vrai ? » Il fixa de nouveau ses beaux yeux bleus dans les miens. Ce petit sadique savait que je ne pouvais rien lui refuser quand je me noyais dans ses yeux. « Fais de moi ce que tu veux » dis-je en chuchotant.

« J’en avais bien l’intention ». Et sur ces entrefaites il me laissa tout à ma douleur en attente de la suite. J’en bandais par avance malgré mon épuisement et la douleur qui irradiait de chaque parcelle de mon corps meurtri.

 

[suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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