X-toireS

Jeudi 2 septembre 4 02 /09 /Sep 07:00

J'aime bien le blog de Wadji, le "guerrier déchaîné" (que j'aimerais bien enchaîné...).

"J'suis sportif, bi, bien dans mon corps et heureux de vivre. Mais j'ai des petits-vices et j'les raconte."

 

Le récit qui suit, chippé sur son blog dans la section "j'obeis c'est dingue", est la source de nombreuses tâches blanchâtres dans mes calebuts...

  boxe-strip-1

Salut, Je m'appelle Wajdi, j'ai 24a, je suis étudiant et je fais beaucoup de sport. Normalement, j'suis plutôt fougueux. J'adore le sport pour le physique et pour le jeu. J'aime bien aussi qu'on m'admire et j'aime bien être leader. Je suis bi et je préfère nettement les meufs. Je suis avec une meuf depuis dix-huit mois et on est super bien ensemble. J'ai rencontré un keum, par le sport. Il a 28a et il est super équilibré dans sa tête. Il vit ses passions à fond, mais discrètement. Comme moi, il est hétéro, mais il m'a fait comprendre que je lui plaisait. Il me faisait des phrases provocs, genre : « tu fais le fier, mais j'suis sûr qu'on doit pouvoir te dominer ». Ca me faisait rigoler mais au fond ça me faisait bizard. Surtout quand j'y repensais après. Après je m'suis branlé en pensant à lui et en pensant que je me soumettais. Ca me faisait drole jusque dans le ventre. Je m'imaginais vivre l'inverse de ce que je suis en réel. Je sais que je suis trop macho, même ma meuf elle le dit. Autour de moi, et dans l'équipe, je suis leader. J'aime bien que les choses aillent comme je veux. Et pourtant je me branlais en imaginant que ce mec me matait. A force j'ai eu envie de tenter avec lui. Il a du commencer à le sentir et faisais de plus en plus de provocs et de propositions. Comme il avait l'air vraiment clair avec ça, ça me rassurait. J'avais confiance. Y a quinze jours, j'ai répondu à une provoc de venir chez lui. Il m'a donné un rendez-vous pour le lendemain. J'ai flippé grave en pensant que j'allais y aller. J'avais de la peur, et en même temps ça m'excitait à donf. Je suis arrivé chez lui, direct on avait pas la même relation que d'habitude. Ca faisait moins potes. Mais je sentais toujours la complicité et la confiance. Il m'a dit de me mettre torse nu. J'ai senti que je pouvais encore le prendre à la rigolade ou que je pouvais choisir de le faire. J'ai hésité, j'avais envie de le prendre à la rigolade pour chasser ma gène. Mais j'ai fait le pas et me suis foutu torse nu. J'ai obéis. Et là je suis passé dans autre chose. J'avais plus du tout envie de rigoler. J'ai baissé la tête et je sentais une putain d'émotion monter en moi. On est resté comme ça un moment sans parler. Il me regardait. Il me laissait le temps de savourer le fait d'être en train de me soumettre à ce qu'il avait voulu. Et moi il me montait une putain d'émotion, trop forte, qui me coupait le souffle. Je parlais plus. Il m'a dit de me mettre face au mur, à 50cm du mur. Il s'est approché et m'a palpé. Il était derrière. Les épaules, les bras, les pecs, les abdos. J'ai bandé direct. Il a palpé mes fesses par dessus le survet, les cuisses. Il m'a dit de mettre les mains contre le mur. Je l'ai fait. Il a posé sa main sur ma teub pour découvrir que j'avais la trique. Je l'ai entendu sourire, un peu sarcastique. Il a baissé mon survet jusqu'aux chevilles. J'avais un slip blanc en coton. Il m'a laissé comme ça un moment. J'avais la honte a fond et en même temps je triquais à fond. Pour me rassurer, il m'a conseillé de m'autoriser à ressentir ce que ça me faisait et d'en profiter. Je restais contre le mur à tenir la position. Il m'a à nouveau palpé. J'avais l'impression d'être un objet qu'on ausculte. Ca me faisait mouiller mon slip car ça durait longtemps. Il a baissé mon slip à mi-cuisse. Ca a libéré ma teub qui s'est dressée devant moi. Elle monte haut car elle est légère. Elle fait 20cm mais elle est fine. Et je bandais au maximum. J'avais l'impression d'être percé, surtout que normalement, je suis super pudique. Même dans les douches, j'aime pas montrer ma teub. Et là je bandais et je pouvais pas le cacher. Au contraire, elle était super dressée et il regardait. J'ai fermé les yeux. J'avais un fil de mouille qui commençait à pendre vers le sol. Et je sentais l'odeur de mon corps et de ma teub qui montait légèrement. Ca allait très lentement. Il m'a dit : « allez Wajdi, tu peux te désapper complètement ». J'ai viré mes skets, mes chaussettes, mon jog et mon slip que je lui ai donné à sa demande. Lui il est resté complètement habillé. Il a inspecté mon slip qui était clean. Mais il a forcément trouvé deux ou trois gouttes d'urine et de la mouille. Il s'est approché, il m'a montré les taches d'urine et m'a demandé ce que c'était. J'ai répondu : - C'est de la pisse. - De la pisse à qui ? - C'est la mienne.... C'est ma pisse. - Et ça ? - C'est de la mouille? - Ca t'a plu de t'exhiber comme ça ? - .... Faut croire. - Remets-toi en position contre le mur. Franchement, j'étais étonné d'obéir comme ça. Je me reconnaissais pas. Il a plaqué mon slip entre mes lèvres. Comme j'ai pas voulu ouvrir ma bouche, il a essuyé la mouille contre mes dents. Il m'a laissé attendre un peu dans la position. J'avais beau être à poil, j'ai repris confiance. J'avais moins de gène. Je suis super bien dans mon corps et ça se sent. Je sais que je suis beau. Je fais 1M76, 66kg, je suis bien foutu, mince mais musclé, et souple. Vif. Brun court, les yeux foncés, le torse imberbe sauf quelques poils sous le nombril. Je suis bien bronzé après l'été. Il me matait et ça me rendait assez fier car je sentais qu'il appréciait. J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu'à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j'étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d'écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas forcé. Il m'a dit : - Toutes façons tu vas t'ouvrir? je fais le pari qu'il suffit d'attendre. Aucune de mes meufs a jamais vu mon anus, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, j'avais envie qu'il regarde. C'était bizard. Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait. Avec son pied, il a écarté le mien et mes jambes étaient écartées de 50 ou 60cm. J'étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. Ça faisait des fils. J'avais l'impression d'être un animal qu'on allait traire. Et je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais encore un peu s'est transformée en confiance totale. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main. J'avais l'impression de pouvoir me reposer de toujours faire le fort, le puissant. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone devenait très présente à ma conscience. Mais lui n'a pas senti que le chemin s'était ouvert et il continuait à rassembler mes couilles dans sa main, par entre mes jambes comme pour faire un petit paquet avec. Ma bite montrait le sol. Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il a laché la shoes et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas. Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j'étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d?avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c'était la zone qui m'appelait le plus. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus que trois ou quatre fois dans ma vie et c'était plus par curiosité que pour me branler. Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frolait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J'étais près à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses en écartant juste son doigt et son index. J'ai senti de l'air froid contre mon anus. J'étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j'étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir. Il était très près de moi. Je sentais son souffle. J'avais l'impression qu'il me disait : « alors, tu vois ? quand je te disais que je saurais te soumettre ». Et j'imaginais que je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te montrerai tout ». Il est parti chercher une matraque en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec, elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C'était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation. Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. J'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute Wajdi, je t'oblige pas à me parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suce et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir. Donc tu choisi ». Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J'étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lècher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Il a déplacé la matraque d'abord sur mon torse et mes tétons. Je sentais bien que j'étais en train de me soumettre à l'objet. La matraque me dominait le torse. J'avais les muscles bandés. La bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal. Il m'a redonné la matraque à lècher. J'ai remis de la salive. Il a posé le bout sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que le matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m'écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C'était trop bon comment ça m'écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j'étais bien. Comme comblé. Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait à fond. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la un peu..." Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais seulement avec au moins deux doigts. Il m'a dit : « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ». Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée. J'ai pu mettre un peu mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil. Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré violemment dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque a sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C'était vraiment incroyable comment je me sentais comblé quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j'étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c'était possible. Jai trop jouis. Y en avait plein le mur. Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai refléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d'être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J'étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet. Quand il est revenu, il m'a regardé amicalement, il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai lèché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant. Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J'étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui. Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi. C'est pour ça que j'ai eu envie d'écrire ça ici.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Lundi 23 août 1 23 /08 /Août 21:13

Petite histoire anonyme trouvée sur un site de vidéos gays

Bonne lecture !

Arnaud S.

 

bondage15Un soir de janvier dernier que je rentre tard du taff, je trouve la porte d’entrée ouverte sans lumière allumée. Je fais un texto tout de suite à mon père. Il me répond qu’il rentre et que je dois l’attendre dehors. J’ai un peu les pétoches, mais je me dis que je suis ridicule. Y a rien à craindre. Alors j’entre. Je cherche l’interrupteur pour allumer le séjour quand je reçois un gros coup de boulle qui m’assomme et m’envoie au tapis. Des bras m’attrapent et me jettent sur le canapé. On braque une lampe torche dans mes yeux.

Toujours un peu sonné, je réalise pas qu’on est en train de scotcher mes poignets aux montants en bois du canapé. Je suis à genoux sur le divan et derrière moi, une lame tranche ma ceinture, mon pantalon et son slip d’un coup.

J’ai très peur qu’on me fasse mal. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je me pisserai presque dessus.

Alors je me mets à appeler au secours et je prends une beigne dans la tête et des morceaux de scotch sur la bouche. On me scotche aussi les chevilles au canapé et une langue vient lécher mon cul. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je pleure de terreur. Quand je remue pour me libérer, je reçois des coups. Ca va vite. Quel con d’être pas resté dehors ! Mais quel con ! Je me redis ça des millions de fois. Et d’un coup, j’ai le cul déchiré. C’est comme si on m’enfonce un poignard dans l’anus. Je peux pas m’empêcher de ruer dans tous les sens, et je prends encore des torgnoles. En fait, je comprends seulement qu’on est en train d’être cambriolé et que le gars a mis sa bite dans mon cul. On est en train de me violer. Moi qui suis encore puceau, je comprends pas pourquoi. Et le sale type me laboure comme un bourrin. Il aime le mal qu’il fait, parce qu’il crie comme un tennisman à Roland Garros à chaque fois qu’il rentre dans mon cul. Je sais pas combien de temps ça dure. J’ai mal à la tête, au bas du dos, au ventre. Mon cul brûle. Je me blesse aux poignets et je suis épilé les chevilles à force de tirer dessus. Je veux que ça s’arrête.

Et soudain, la lumière s’allume. Papa entre et donne un grand coup avec la pelle du jardin dans la gueule du sale type qui va au tapis.

Je crois qu’il va me délivrer, mais Papa attache au sol le cambrioleur avec le rouleau de scotch. Puis, il fait le tour de la maison pour voir si y en a pas un autre. Après seulement, il revient pour me libérer. Il me prend dans ses bras, contre lui, et je pleure de soulagement. Ca fait des années que j’ai pas été dans les bras de mon père. Mais là, je fais pas le fier à bras.

J’ai dû rester une heure comme ça. Il me dit alors :

- Maintenant, fiston, on a le choix. Soit on appelle les flics et ils viennent serrer cette pourriture. Mais tu vas devoir témoigner, aller à l’hôpital, et ça sera pas facile pour toi parce que le regard des autres, c’est pas un cadeau. Et puis, tout le monde saura.

Il marque une pose. J’ose pas regarder le gars au sol. Il est réveillé parce qu’il remue.

- … soit on s’en débarrasse en allant le jeter dans l’Oise.

Là, le type a entendu et bouge dans tous les sens et essaye de protester, mais il a le scotch sur la bouche.

- … soit on lui rend la monnaie de sa pièce. Mais dans ce cas, pas question d’appeler les flics. Après, c’est soit on le relâche avec le risque qu’il cherche à se venger, soit la rivière.

Après il dit :

- On fait quoi ?

- Tu veux quoi, toi ?

- C’est à toi de décider. Tu vas devoir vivre avec ça toute ta vie. Je serai là, bien sûr. Mais ça sera pas facile.

Je pousse Papa et approche du type. C’est un grand brun. Il a la quarantaine. Il est costaud. Ca, j’avais compris. Il a le pantalon baissé et le sexe sorti. Comment un truc aussi petit fait si mal ? Il a des poils partout. Il est rasé de près et ses yeux sont noirs. Alors la haine arrive et je donne des coups de pieds de toutes mes forces. Il se replie sur lui quand je touche ses couilles et se met à pleurer aussi. Bien fait ! Sale type !

Papa m’emmène dans la salle de bain d’en haut. Il donne 2 cachets pour la douleur. Il dit que si je me lave, on choisit de pas voir les flics. J’hésite et je vais dans la douche. Je reste longtemps sous l’eau et je me lave au moins trois fois. Mon cul crame très fort. Après, j’ai moins mal partout.

Je descends dans le séjour. Le type a disparu. Papa est en train de ranger la maison. J’ose pas lui demander où il est. Quand c’est fini, il demande si j’ai décidé.

- Décidé quoi ?

- Tu veux te venger ?

- Il est où ?

- A la cave. Là où on pourra pas l’entendre.

- Tu ferais quoi ?

- J’ai la haine de ce qu’il t’a fait. J’ai failli le tuer tout à l’heure. Je le laisserai pas s’en tirer comme ça. Œil pour œil.

J’ai peur de comprendre.

- Tu veux que je le… viole ?

- C’est toi qui vois. Je te force pas.

- Je peux réfléchir ?

- Traîne pas. Tu feras rien, sinon.

Il veut que je fasse, alors.

Je descends à la cave.

Il est là sur un gros matelas encore dans sa housse en plastoc. J’approche. Papa a remis la queue dans son pantalon. Je le touche du bout des doigts. Il réagit pas. Il a une coupure sur la joue qui saigne. Je suis là à genoux à regarder quand je vois un cutter sur l’établi. Je me rappelle la peur de son couteau. Je vais chercher le cutter et je lui montre. Je sors la lame et je découpe sa chemisette par les manches. Les biscotos sont gros. Je touche. Il est musclé. Je continue jusqu’au cou. Ses yeux me regardent droit. Il a peur maintenant. Ca donne de la force. Je continue à couper. Il a un marcel dessous. Je tranche les bretelles du marcel. Je découpe le haut et puis je déchire le reste. Je mets la lame sur son sein. Il a peur encore plus.

Il est sur le dos. Ses mains attachées derrière lui. Il a sûrement mal. Je suis à cheval sur ses jambes. Ce sale type est à ma merci. Il sent toute la haine que j’ai, parce qu’il bouge.

- Je vais te couper la bite ! que je crie.

J’enlève sa ceinture, je fais sauter les boutons. Avec le cutter, je coupe la jambe de jeans de la taille au pied. Il a autant de poils sur les jambes que sur le ventre. Je coupe l’autre jambe de pantalon. J’arrache ses chaussures et ses chaussettes. J’ai son slip sous le nez. Je glisse le cutter fermé sur son sexe. Il crève de peur.

Papa arrive. Il croise les bras et s’assoit sur l’établi.

J’aime pas qu’il soit là. Je suis pas libre. Il a dit après que c’est pour que je fasse pas de conneries. Moi, je crois qu’il vient se rincer l’œil. Je mets encore mon cutter sur son sexe. Je sors la pointe qui entre dans le slip.

Papa approche et arrache d’un coup le scotch de sa bouche.

- Pitié, mec ! Je suis désolé. Pardon ! Je le ferai plus. Vous pouvez me relâcher. Je viendrai plus. Vous serez tranquille. Promis. Je vous en supplie.

Je regarde encore avec la haine. Il voit ça alors il parle à mon père.

- Pitié ! Je te jure ! Le laisse pas ! Je voulais pas lui faire mal. Pardon…

Papa dit qu’on est plus tranquille quand il dit rien. Je sais alors que je vais pas le saigner. Même si je veux lui faire plus mal qu’il m’a fait.

- Tu te tais où je te mets du scotch !

Il crie alors. Papa dit qu’il peut crier. Personne ne viendra. Il se calme.

Je coupe un coté du slip et puis l’autre. Sa bite sort d’un coup. Ca le fait bander. Je suis surpris. C’est la première queue que je vois avec la peau au bout.

Papa demande :

- Tu t’appelles comment ?

- Franck.

- Tu vas en chier, Franck. Tu sais ?

- J’étais pas seul. Mes copains savent que je suis là.

- Faux. J’ai fait tes poches. J’ai trouvé tes clefs de voiture. La vieille Ford pourrie dans la rue. Tu bosses seul. Y a tes papiers dans ta poubelle. Tu t’appelles Franck Moineau. Tu vis à Osny. T’as 39 ans et t’as deux filles. J’ai vu les photos. Tu vois ? Si tu veux être méchant avec mon fils, je peux aussi avec tes filles.

- Pitié ! Je sais pas ce qui m’a prit. C’est la première fois que je fais ça à un garçon. Dis ce que tu veux. Mais touche pas à mes filles.

- Et ben voilà ! T’es coopératif ! Tu laisses mon fils t’enculer à sec, bien à fond. Après je fais pareil. Et tu vas te barrer pour plus revenir. Je vais garder ton adresse et si je te vois dans le coin, ça va pas le faire. Compris ? Dis que t’es d’accord !

- D’accord…

Papa se tourne vers moi et dit :

- Tu mets ton zob dans sa bouche.

J’hésite. J’ai peur qu’il me le coupe. Je baisse mon survêt et il ouvre sa bouche. C’est trop cool, une langue de mec sur le zob ! Il fait ça hyper bien. Je me couche à côté et je vois sa grosse bite. C’est marrant la peau dessus. Ca glisse sous les doigts et son bout est tout mouillé. C’est comme une protection à trou. Je pince la peau. C’est épais, ça sent la pisse et la merde aussi. C’est mon cul qui a fait ça.

Sa bouche serre ma queue et je jouis dedans.

- Tu avales tout !

Papa est à côté. Il a un gant de toilette mouillé et il lave le matos du type et son cul. Pour la première fois, je vois mon père à poil. Il est un peu comme moi. Tous les deux, on est pas très gros et pas très grand, on a pas de poils sur la poitrine. Son sexe est comme le mien. Sauf qu’il a plus de poils au dessus la bite et les jambes et les bras.

Mon père met le mec le cul en l’air, sur les genoux. Il me fait mettre debout, un pied sous chaque épaule pour le bloquer. Il se branle pour rendre son zob tout dur. Ca fait drôle de voir mon père faire ça. Il s’accroupie derrière ses fesses du type et il plante son bâton d’un coup. Franck hurle. Et il le bourrine à fond sans pitié. Après, il se met à genoux entre ses jambes à lui et il recommence. Papa regarde ma queue et ça met mal à l’aise mais ça fait bander. De la tête, il montre le cutter et me fait signe de le ramener. Avec, il coupe le scotch des poignets de gars. Quand il est libre, il se redresse sur les mains. Il se laisse défoncer le fion. Il est tout rouge. Son zob est tout droit.

Mon père enlève son bâton du cul. Il nettoie son sexe et dit que je dois le remplacer. Je me mets derrière le mec et mon zob rentre dans le trou tout rouge. Il se plaint et je laboure. J’hésite au début. Après j’hésite plus. Franck crie un peu mais c’est pas pareil. Et alors Papa se met sur le matelas devant le type et le suce ! Et le gus se met sur mon père et le pipe aussi ! Je comprends plus rien. Je bande dur et je défonce la rondelle. Le trou se ferme sur mon zob. Je jouis. Mon jus sort du cul quand ma queue s’en va et coule sur les cheveux de mon père.

Papa pousse le type et dit qu’il doit se mettre sur sa bite toute droite. Il fait la grimace. Il met une jambe de chaque côté et s’accroupit sur le sexe dur de mon père. Il tombe dessus et se rentre tout. Franck met ses jambes sur le matelas, le zob dans le cul. Il monte et descend dessus. Il a le sexe tout mou qui goutte. Je vois la bouche de Papa barbouillé de jus.

Mon père me demande de nettoyer mon sexe avec le gant et de le mettre dans la bouche de l’enculé. Je fais ça. Je bande plus mais la langue sur le bout, ça le fait. Quand je bande, il dit que je dois venir aussi dans le trou du type avec lui. Il est pas d’accord mais on lui dit qu’il a pas le choix. Il se couche sur mon père et je vais derrière. Je fais de la place à mes jambes. La queue de papa prend toute la place, y en a pas pour moi. Mon père dit que je dois forcer avec des doigts avant. Ca fait drôle de mettre un doigt dans un cul et de toucher le zob de mon père. C’est dur mais ça rentre. Franck a mal. Papa dit que je dois cracher sur les doigts. Je fais ça. Je mets 2 doigts. Je mets aussi mas main sur les burnes de mon père. Il dit rien. Il est comme moi, il a une boule plus grosse que l’autre. Je pousse mon zob à côté et j’arrive à entrer. Le type crie. C’est un gros enculé maintenant. Je sens mon sexe tout serré contre celui de Papa. Y a mes couilles qui touchent les autres. Je défonce le trou qui devient plus grand. Mon père jouit et je jute aussi dans le cul.

Papa pousse Franck qui tombe sur le matelas. Il est tout mouillé et il respire vite. Mon père lui dit qu’il doit se branler devant nous jusqu’au bout. On regarde sa main qui touche sa bite. Il prend ses boules dans sa main et il tire dessus. Ca le fait cracher son jus.

Quand c’est fait, mon père attrape ses chaussures et ses chaussettes. Il l’oblige à se relever. Il le fout dehors à poil. J’entends la porte claquer.

J’ai plus revu Franck depuis. On a jamais parlé de ça avec mon père. On a jamais rien fait après. Mais hier, papa a oublié son portable à la maison et y a un texto qu’est arrivé et qui dit « on s voit dem1 com dab. Mon Q veut ta queue. Franck ».

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Vendredi 6 août 5 06 /08 /Août 19:06

[EPISODE PRECEDENT]

 

mecboxerLe lendemain matin, Jean m'a enculé pour ce qui devenait une habitude, avant que nous partions pour une randonnée en pleine campagne. Dès que je suis entré dans le bus, j'ai vu les regards vicieux des mecs portés sur moi. Je craignais déjà le reste de la journée. J'ai bien essayé de rester près des profs, mais Jean s'est débrouillé pour m'en écarter sans toutefois s'arrêter. Ses potes nous précédaient et nous cachaient des autres.

- Tu as trois minutes pour me donner ton caleçon, m'ordonna Jean.

Mes boyaux se serrèrent. Devant, les autres ricanaient. J'ai pas attendu : j'ai viré mes chaussures, mon pantalon et j'ai tendu mon sous-vêtement à mon tortionnaire avant de me rhabiller. Déjà, ma bite se tendait sous la toile rêche.

- Maintenant, tu te branles en mettant la main dans ta poche.

J'obéis sans discuter. Au bout d'un moment, bien sûr, l'inévitable arriva et je jutai dans mon fut, laissant une tache bien visible sur le devant de mon pantalon. Je sentais le sperme et j'avais des larmes dans les yeux quand nous sommes arrivés au car, après une longue marche humiliante, sous les moqueries de ce groupe surexcité. Ils me prévinrent que le soir, c'était quartier libre en centre ville et que j'allais avoir droit à un bon limage en règle. Une véritable torture mentale.

Quand nous sommes rentrés dans la famille, juste à temps pour manger, Wilhelm a voulu négocier quelque chose avec Jean, mais celui-ci l'a envoyé paître. Puis avec un sourire narquois, il lui a parlé d'un pub dans lequel il avait rendez-vous avec ses potes. L'allemand a annoncé à ses parents qu'il nous accompagnait. Nous avons mangé rapidement puis nous avons quitté la maison, nos hôtes ayant été prévenus par les profs. C'était l'avant dernière soirée du séjour. Jean m'a forcé à le suivre, et j'ai obéi alors que je savais très bien ce qui m'attendait.

Le pub était bondé, envahi par la fumée de cigarette et les rires gras. Le groupe de français nous attendait, tous impatients. Jean m'a assis au milieu et m'a glissé dans l'oreille :

avalejus- Branle-toi, gicle dans ta main et montre nous bien ton jus…

Tous rigolaient en buvant tandis que je m'exécutais, les joues en feu. Guillaume prenait des photos, particulièrement de moi. Wilhelm s'intégrait parfaitement à mes compatriotes. Mon orgasme a été douloureux et j'ai sorti ma main où collait un globe de sperme épais. Jean m'a ordonne de bien montrer le résultat de ma branlette (après avoir lâché le commentaire « je suis déçu, je pensais qu'il y en aurait plus ») puis m'a dit de lécher. Ca me dégoûtait, je le lui ai dit, mais il s'en foutait et m'a menacé d'envoyer les photos à mes parents et de tout révéler au lycée. Coincé, j'ai bouffé mon propre sperme en ravalant un haut-le-cœur.

Jean s'est alors levé et m'a entraîné vers les toilettes. Je n'ai pas résisté. Les chiottes étaient assez grand. Mon tortionnaire m'a mis un bandeau sur les yeux, mon cœur battait la chamade. Il m'a poussé dans une cabine, je l'ai entendu farfouiller et avant même que j'ai eu le temps de comprendre, je me suis retrouvé menotté aux tuyaux du chiotte.

- Jean ! Arrête, ça va trop loin…

- Ta gueule. Soit tu le fermes, tu te laisses faire, et tout va bien, soit tu joues au con et je te bâillonnes en prime, et même si un mec essaie de te tuer, tu pourras pas appeler à l'aide. Tu choisis…

- Je me tais…

Il a baissé mon pantalon et m'a foutu direct deux doigts dans le cul. J'en ai lâché un petit cri.

- J'ai dit « ta gueule » !

- Faut lubrifier un peu… Je t'en prie…

Je l'entendis fouiller et un instant après, je sentis un produit froid sur mon trou. Aussitôt après, le bruit d'une capote et Jean enfonça sa queue à fond. Il m'enculait comme à son habitude : sans douceur, au rythme de la musique bruyante de la salle. Il a vite joui et m'a abandonné là.


Je n’ai pas attendu longtemps avant qu’une autre bite me pénètre. Ca a été aussi rapide que violent. Pas un mot. Un autre lui a succédé, puis un autre. Le troisième n’est pas venu seul : j’entends des rires et des chuchotements derrière, et celui-ci se démène pour me casser le cul. Je ne peux pas m’empêcher de gémir ce qui amuse encore davantage les autres. Quand mon enculeur se retire, il me glisse à l’oreille :

- J’ai pas juté, je te laisse aux autres, on va bien profiter…

C’est la voix de Guillaume. Aussitôt après, une bite énorme s’enfonce en moi et je suspecte que ce soit Wilhelm. Avant de jouir, il laisse à nouveau sa place à un autre et je ne sais pas combien de mecs alternent dans mon cul. Ca me brûle, je chiale. C’est long, je les supplie d’arrêter. Guillaume est en train de m’enculer : il me traite de chienne, de pute et me demande de continuer à supplier. Ca l’excite et il finit enfin par juter bruyamment. Les uns après les autres, les mecs se finissent en moi, Whilelm le dernier et il ponctue ses jets de foutre de claques sur mon cul.

Je crois que tout est fini, mais soudain, j’entends baragouiner en allemand. C’est Jean qui est en train me vendre à des locaux. J’essaie de me libérer, je gueule, mais ça me vaut seulement un coup de pied au cul et un « ta gueule ! » de Jean. Un instant après, une bite rentre en moi. Le mec y va comme un bourrin. Ma seule consolation, c’est qu’il ne dure pas longtemps. Un autre le remplace. J’arrête de compter. Certains de mes compatriotes s’offrent un tour supplémentaire. Mon cul me tire, j’ai l’impression que mes boyaux vont se déverser et mes jambes, ankylosées, flageolent. Quand enfin, Jean me libère, il me semble avoir passé trois nuits ici. Trois longues nuits.

capoteIl ne retire pas mon bandeau et me fait m’agenouiller au milieu des chiottes. Puis il me tire la tête en arrière et là je sens un liquide froid et gluant qui me dégouline sur le visage. Le groupe entonne : « et de une ! » ». A l’odeur, c’est du sperme. Jean a gardé les capotes et me les vide dessus. J’en ai partout, ça pue. Les mecs comptent… Ils s’arrêtent à quatorze et je comprends pourquoi j’ai mal. Mon public se tire en rigolant et Jean m’enlève finalement le bandeau. Il me regarde avec un sourire narquois et un air de dégoût, puis il se casse.

 

Quand je sors enfin du pub, je suis tout seul et il est presque une heure du matin. Je réalise que je n’ai pas les clés : je suis dans la pire des merdes si je ne me dépêche pas. J’essaie de courir, mais ce n’est pas facile avec mon fion déchiré comme il l’est. Quand je retrouve la maison de mes hôtes, Jean et Whilelm sont devant le porte. Au moment où j’arrive, ils rentrent en riant. Je tapote à la porte et leur demande d’ouvrir.

- Tu te dépoiles d’abord, répond Jean. Ensuite, tu vas te branler au milieu de la rue, tu jutes dans ta main et tu reviens bouffer ta dèche devant nous. Après, on te laisse entrer.

Je me doutais qu’ils me préparaient une saloperie. Je vire mes fringues pour en finir au plus vite. Quand j’arrive au milieu de la rue, éclairée par des lampadaires jaunes, je me branle avec frénésie. La porte s’entrouvre et Jean récupère mes fringues que j’ai laissées comme un con sur le paillasson. Je suis à leur merci. Etrangement, je bande très vite et éjacule en deux temps trois mouvements. Je reviens vers la maison dont la porte s’ouvre. Ils me regardent avec un sourire. Dégoûté, je lèche mon jus et ils me laissent enfin entrer.

L’Allemand me guide à sa chambre où il m’encule une dernière fois – sans capote. Au moins, il rentre maintenant comme dans du beurre. Quand il a fini son affaire, il m’éjecte et je rejoins Jean dans notre chambre qui cette fois prend possession de ma bouche. Je me couche enfin avec son goût sur la langue et l’odeur âcre du sperme étalé sur mon visage.

 

Le lendemain, nous repartons de très bonne heure pour la France. Je n’ai plus souffert d’outrages. A mon retour en France, je porterai plainte et Jean sera envoyé en prison ferme. J’espère qu’il y souffrira du cul autant que j’ai pu souffrir.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Vendredi 6 août 5 06 /08 /Août 18:51

[EPISODE PRECEDENT]

 

L’après-midi s’est écoulé en me laissant comme seule compagnie le goût du jus de Guillaume dans la bouche. Je me suis posé énormément de questions, la première étant : comment je vais bien pouvoir faire pour ne pas avoir à sucer tout le groupe ? Car autant la plupart de ces mecs m’excitait (Oh Fabrice…), autant l’idée qu’ils m’utilisent comme simple vide-couilles me rebutait. Mais avais-je vraiment le choix ? Jean avait très bien préparé le terrain, me poussant progressivement dans mes derniers retranchements… Pouvais-je me libérer de sa pression maintenant ? J’en doutais…

Je m’étais décidé à résister à Jean le soir même. Belle résolution ! A peine avions-nous fini le repas (le fils de nos hôtes n’avait pas arrêté de me lancer des sourires que je trouvais pervers) que Jean m’a limite traîné jusqu’à la chambre, prétextant en allemand plus qu’approximatif une grosse fatigue. J’ai bien vu que le fils n’était pas dupe… Arrivé dans la chambre, j’ai essayé de protester :

- Jean, j’en ai marre de ces conneries. Je veux plus que tu me touches. Pareil pour les autres cons.

- Pardon ?

ejacfaciale3Là, il m’a regardé méchamment. Je me suis senti glacé. Je me suis dit : ce gars est complètement cinglé… Soudain, il m’a foutu une mandale sur le coin du crâne que je n’ai même pas vue venir. Je me suis retrouvé sur mon lit, sonné.

- T’es qu’une sous-merde de pédés. Les pédés, ça suce. Compris ?

J’ai hoché la tête, tétanisé. Il a alors défait sa ceinture, baissé son pantalon et son caleçon, libérant sa bitte entourée de poils bruns et drus. J’ai fermé les yeux. Puis j’ai senti une caresse humide sur ma joue. J’ai rouvert les yeux et vu qu’en plus, ce con était tellement excité qu’il mouillait un max. Il a bien frotté sa queue sur mes joues, mes lèvres, mon nez, puis il m’a attrapé la tête et me l’a enfoncée avec force. J’ai cru dégueulé direct. Puis il m’a limé la gueule. J’ai cru que j’allais en crever d’étouffement. Ca m’aurait pas dérangé plus que ça, à ce moment là.

Puis, très vite, il a joui, dans ma bouche. Soulagement pour moi. J’ai tout avalé : mieux valait ça qu’en avoir encore partout. Il m’a lâché et est parti dans son lit. Je me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver les dents. En passant, je me suis tout de même branlé dans les toilettes. En sortant, j’ai croisé le fils de la famille. J’ai filé dans ma chambre, la tête baissée. La lumière était éteinte. Je me suis couché en caleçon et, aidé par la branlette, je me suis endormi illico.

 

Le réveil a été horrifiant. Il faisait encore nuit et j’avais du sable plein les yeux. Mes couvertures étaient au pied du lit. J’étais coincé contre le mur, un poids lourd et chaud collé dans mon dos. Instantanément, j’ai compris. La queue de Jean battait contre mes fesses. Seul le fin tissu de mon caleçon me servait encore de rempart. J’ai voulu me retourner, mais il m’a foutu une baigne sur la tête, avant de me glisser à l’oreille :

- Tu bouges pas et tu la fermes. Si tu cries, tout le monde va venir et comprendra que t’es un bon gros pédé.

Je me suis immobilisé. Que j’avais fantasmé sur une bonne grosse bite sur laquelle m’empaler. Maintenant que je le voyais venir, le fantasme devenait beaucoup moins excitant et la queue de Jean m’inquiétait. Je m’étais assez souvent branlé le cul, utilisant au départ des carottes piquées dans le frigo familial, puis des courgettes (trouvées au même endroit). J’avais même essayé un concombre, mais là, j’avais dû déclarer forfait…

Jean m’a baissé le caleçon sans ménagement, presque à le déchirer. Il m’a mis une main devant la bouche.

- Suce mes doigts, mouille-les bien, sinon, tu vas en chier.

Je me suis exécuté, terrifié. Ses doigts avaient encore le goût de son sperme. Il a alors descendu sa main vers mon cul et a commencé à m’enfoncer un doigt, sans aucune douceur. J’ai bêtement serré les fesses, le faisant ricaner. Heureusement qu’il avait les ongles rongés courts, car il n’y a pas été de main morte (!!), me pistonnant avec son doigt. Il est ressorti et m’a demandé de nouveau de sucer ses doigts. Son goût à lui était mélangé à celui de mon cul. J’ai eu un haut-le-cœur. Cette fois, il m’a enfoncé directement deux doigts. Je continuais à serrer les fesses et j’avais mal… Il tournait, entrait, sortait. Je me suis mis à pleurer.

Est-ce que les larmes m’ont détendu ? Toujours est-il que mon cul a commencé à s’ouvrir. La douleur s’est estompé. Retour de ses doigts dans ma bouche. Puis trois dans mon cul. Ce n’était plus qu’une sensation désagréable. Il a retiré ses doigts et je l’ai entendu cracher. Il m’a glissé à l’oreille :

- Tu vois, tu aurais sucé Adrien, j’aurais acheté du gel pour mieux t’enculer, ducon. Mais avec ce que m’a payé Guillaume pour ta pipe, j’ai pu acheter que des capotes…

Il a ponctué sa phrase d’un grand coup de bassin. Sa pine est entrée d’un coup, me déchirant le cul. Je n’ai même pas crié, inspirant un grand coup tant la douleur était intense. Il n’a pas perdu de temps et a entamé de puissants va-et-vient, m’enculant sur toute la longueur de sa pine. La douleur a reflué. Je ne sentais plus rien, juste la honte. Je continuais de pleurer. Mon ventre me semblait rempli par sa bite, mon cul était tout engourdi. Et je bandais dur. Le lit grinçait légèrement, et forcément, nos voisins de chambre devaient nous entendre. Ils devineraient très bien lequel de nous deux se faisaient enculer par l’autre.

Il est sorti d’un coup et j’eus l’impression qu’un courant d’air parcourait mes boyaux. Il s’est levé m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit. Je me suis laissé faire. Hop, il m’a renfoncé sa queue sans aucune délicatesse. Ma tête a cogné contre le mur. Le lit grinçait de plus belle. La douleur est revenue, la position lui permettait de me pénétrer davantage, d’accroître encore la portée de son viol. Il me limait avec brutalité, comme s’il cherchait à atteindre ma gorge en m’enculant. Ses poils me grattaient le cul quand il tapait. Il calma ses coups de butoir et commença à onduler le bassin ce qui était peut-être pire. Il me fouillait littéralement les entrailles. Le latex commençait à accrocher, je n’en pouvais plus.

Mais lui n’avait pas fini. Avec la pipe que je lui avais fait pas longtemps avant, il n’avait pas l’air rapide à jouir. Soudain, il a repris ses amples va-et-vient, mais avec une nouvelle brutalité véloce. deversecapoteHeureusement, ce nouvel assaut n’a pas duré trop longtemps, car dans un râle sourd, il s’est immobilisé en moi, probablement en jouissant. Effectivement, quelques secondes après, il s’est retiré. Je suis resté en position, les muscles ankylosés. Je l’ai entendu enlever la capote et de suite après, j’ai senti un liquide visqueux sur mon dos. Il avait vidé le contenu de la capote sur moi, laissant la protection de latex au pied de mon lit. Aucun répit. Sa semence a coulé et je l’ai senti glisser dans ma raie ouverte. Il m’a étalé le reste sur tout le dos. Puis il est retourné dans son lit.

Il m’a fallu du temps pour me redresser. Son sperme me collait dans le dos. Je me suis couché sur le ventre pour pas tout dégueulasser. Mon cul me chauffait. Je n’avais pas le courage d’aller à la salle de bain. Je n’étais plus puceau et je n’en étais même pas fier. Le sommeil fut long à venir.


 

Nouveau réveil terrible… Cette fois, le jour se levait. Jean était sur moi. Il n’a pas perdu de temps pour s’enfoncer en moi après avoir craché dans sa main. J’ai fait le mort, encaissant ses coups de butoir sans broncher. Ca passait tout seul. Mon cul me semblait engourdi. Grincements du lit, souffle court de Jean. Un long calvaire et il semblait prendre plaisir à prendre son temps. Tout à coup, il me murmura à l’oreille :

- Les mecs, ils vont être ravis… Comme ça, tu pourras en faire deux d’un coup. Ca va me faire un max de tunes…

Ulcéré à l’idée qu’il m’utilise comme une pute, j’ai voulu ruer. Non seulement il m’a plaqué brutalement sur le lit, mais en plus, ça l’a fait juter. Je me suis remis à chialer. Il s’est retiré avec une tape sur mes fesses. Je ne voulais pas me retourner, je ne voulais pas me retrouver face à lui. Il s’en foutait : cette fois, il a vidé la capote dans mes cheveux avant de la laisser tomber, gluante, sur mon dos. Puis il s’est habillé et s’est cassé.

Je me suis retrouvé avec une terrible envie d’aller aux chiottes. Mon ventre me faisait mal et j’avais l’impression que mon cul allait fuir. J’ai eu juste le temps d’enfiler un caleçon avant de m’engouffrer dans la salle de bain. Là, horreur : le fils de la famille semblait m’attendre. Si j’avais bien compris, il s’appelait Wilhelm… Il était un peu plus grand que Jean, blond avec des yeux bruns qui contrastaient. Nous sommes restés pétrifiés un instant. Lui était en caleçon et t-shirt. Son regard brillait d’un éclat malsain. Il s’est approché de moi et a fermé la porte. Puis il a baragouiné quelque chose en allemand que, forcément, je n’ai pas compris. Il a alors passé la main dans mes cheveux et en a retiré du jus. Il n’a dit qu’un mot : Jean. Là, j’avais compris. J’ai baissé la tête. Je sentais mes joues qui me chauffaient. Il m’a mis ses doigts gluants devant le nez. Me voyant sans réaction, il me les a collés contre mes lèvres. J’ai ouvert la bouche et j’ai léché. Une grosse bosse déformait son caleçon. Il m’a fait un signe clair de fuck tout en disant le mot : « nacht ». J’ai hoché la tête de droite à gauche. Il a souri d’un air entendu. En bas, sa mère a appelé pour le petit-déjeuner. Sa voix semblait excédée. Wilhelm a encore souri puis il est sorti.

J’ai fait ma petite affaire avant de me doucher rapidement. Habillage, puis petit-déjeuner sous le regard sévère de la mère. Jean avait déjà fini et il remontait dans la chambre. Au moment de partir, Wilhelm a pris Jean a parti et ils ont eu l’air d’avoir une grande conversation. Pourtant, le niveau de Jean en allemand était plus que déplorable. Mais quand la motivation est là, les langues ne sont plus une barrière… Je savais que j’allais en faire les frais.

Pour mon plus grand bonheur, la journée s’est avérée pourrie au niveau météo : cordes toute la journée. Du coup, le midi, déjeuner en groupe dans le hall d’un centre commercial. Avec la proximité des profs, Jean n’a pas réussi à me vendre à ses potes. J’en étais soulagé. Mais je pensais sans cesse à la connivence entre Wilhelm et Jean.

 

En rentrant dans notre famille, le soir, j’avais l’estomac retourné. Je savais très bien que les deux gars me préparaient quelque chose que je n’allais pas aimer. Le repas eut lieu dans une ambiance lourde. Je parlais encore moins que d’habitude. Puis l’heure du coucher arriva et je me mis à paniquer. J’ai prétexté vouloir prendre une douche, histoire de gagner du temps. Je ne m’attendais pas à ce que Wilhelm ouvre le verrou avec un tournevis pendant que j’étais sous l’eau. Je me suis mis à frissonner sous le jet brûlant en les voyant entrer tous les deux et refermer à clé derrière eux. Jean avait une boite de capotes et un flacon translucide dans les mains.

Wilhelm s’est approché et a coupé l’eau. Puis il a attrapé ma bite et a commencé à me branler. L’impression était étrange, c’était la première fois qu’un mec touchait ma queue. Je n’ai pas tenu longtemps et j’en ai foutu partout sur le sol tellement j’ai juté loin. Mon sentiment de honte et de dégoût s’est soudainement accru. Wilhelm m’a tiré hors du bac à douche et m’a poussé contre le lavabo. Je me laissais faire. Une vraie larve que je voyais dans le miroir face à moi. Jean se malaxait le paquet à travers son jean. Wilhelm a enlevé son t-shirt et a baissé son jean. Il m’a alors appuyé entre les épaules pour que je me baisse. Je ne voyais que son torse imberbe, aux pectoraux développés. Il a fait signe à Jean qui lui a tendu une capote déballée. Wilhelm l’a enfilé et a pris le flacon à Jean. Du gel. Il m’en a barbouillé l’entrée du cul avec générosité.

Au moins, Jean avait pris la peine de m’ouvrir assez progressivement le fion avec ses doigts. C’est fou ce qu’un cul bien ouvert peut se refermer vite ! J’en ai fait le dur apprentissage quand Wilhelm m’a planté sa pine d’un seul coup sec. Malgré le gel, j’en ai bavé. J’ai bien cru qu’il m’avait explosé le cul… J’ai même dû lâcher un petit cri… Il n’y a pas été de main morte. Un vrai bourrin. Quand il s’est retiré, j’ai cru qu’il avait joui sans bruit, mais en fait, Jean a déroulé une capote et a pris sa place. Wilhelm s’est mis à côté de moi et j’ai pu voir que la capote était vide. Il devait vouloir s’économiser en me matant me faire limer. En attendant, sa queue était beaucoup plus grosse que celle de Jean et je compris pourquoi j’avais eu mal… Elle était bien raide, émergeant d’une épaisse toison blonde qui montait jusqu’au nombril. Très large aussi.

Jean m’a lui-aussi tiré un petit moment, puis il s’est arrêté. Le connaissant, je savais qu’il n’avait pas joui non plus. Ils ont alterné longtemps, très longtemps… Mon cul brûlait. Ma queue tapait mollement contre le meuble sous le lavabo. Pour une fois, j’aurais sucé volontiers. C’est Wilhelm qui a fini le premier : il y allait gaiement quand je l’ai senti se raidir. Une dernière fois, il m’a durement enfoncé son ejacbucale6engin, me fouaillant les entrailles. Il s’est retiré et j’ai senti de l’humidité s’écouler de mon cul… J’ai cru qu’il m’avait vraiment déchiré. Jean a laissé entendre un « merde » et s’est mis à rire. J’ai touché avec ma main une substance visqueuses. C’était du sperme, une grande quantité. Mon cœur s’est arrêté de battre. J’ai vu alors l’allemand qui était blême lui aussi. Il se tenait la queue, la capote déchirée. En anglais approximatif, Jean lui a expliqué qu’il ne risquait vraiment pas grand chose. Wilhelm a alors retiré les bouts de latex et m’a tourné de telle sorte que mon cul soit accessible à Jean. Puis il m’a foutu sa bite en bouche pour que je nettoie tandis que l’autre m’enculait.

Le goût atroce combiné à la taille m’a fait m’étouffer dessus. Il s’en foutait. Quand à Jean, il prenait son pied et a vite déchargé. Il a retiré la capote. Jamais je n’en avais vu une aussi pleine. Il a poussé l’allemand et m’a donné sa queue à nettoyer. Et au fur et à mesure, il faisait couler le contenu de la capote sur mon visage. J’étais tapissé, ravalé par son foutre. Pendant ce temps, son complice se rhabillait. Jean m’a soudain craché à la gueule, avant de me relâcher.

Après cette séance, ils m’ont laissé seul dans la salle de bain, à chialer. J’avais mal au cul, mais surtout au moral. Je me suis longuement lavé avant de rejoindre mon lit, accompagné par les ronflements de Jean.

 

[SUITE ET FIN]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 10:23

Une petite histoire bien juteuse de Gaiden (email : rugbylover2005@yahoo.fr) dénichée sur le blog de Syl.

 

bolspermeLa rentrée avait été dure car je ne connaissais absolument personne : déménagement, nouveau lycée. D'un naturel timide, je trouvais difficile d'aborder mes camarades qui, eux, se connaissaient bien pour avoir eu une scolarité commune. Ajoutant à cela que j'étais attiré par les garçons, la vie n'était pas facile.

En milieu d'année, un voyage avait été organisé en Allemagne par les profs, et quand vint le moment fatidique du départ, je dus choisir avec qui je partagerai la chambre pendant les dix jours que devait durer le voyage. En fait, je traînais surtout avec un gars un peu cancre, Jean, footballeur un peu bouf qui n'était pas forcément très apprécié des autres. Il n'était pas spécialement beau : 1m80 peut-être, musclé sec, avec un visage dur pas trop engageant. Au moins, je ne fantasmais pas trop sur lui.

Nous n'étions pas très proches, ne nous voyant qu'au lycée, mais nous avions décidé de dormir dans la même famille d'accueil. Pour tous les deux, cela signifiait que nous évitions les gros boulets du lycée. J'aurais préféré un canon de beauté, mais bon. Il n'était pas horrible non plus, et j'espérais quand même avoir droit à quelques regards sur son intimité. Je n'avais pas vu beaucoup de mecs à poils jusque là : puceau, pas fan des sports collectifs, mes seuls instants de « bonheur » avaient été les douches du lycée après le sport.

En effet, en grande majorité, les mecs étaient pudiques et les douches un peu délabrées étaient plutôt là pour le décorum. Néanmoins, dès le début de l'année, un gars avait décidé de prendre une douche après chaque cours d'EPS. Il s'appelait Fabrice, 1m75, musclé, très poilu, belle gueule virile avec un bouc et un regard qui me faisait baver. J'essayais discrètement de mater un max ce beau gars, et il a alimenté un nombre incroyable de branlettes. Comme il suffisait d'un exemple pour amener les autres mecs aux douches, à la suite d'un cours de rugby sous la pluie, la moitié des gars du groupe (classes mélangées) s'étaient lancés à l'assaut des douches. Moi, j'avais fui sans même mater, craignant trop de me faire capter. Regrets. Cet élan de propreté n'eut lieu qu'une fois.

Au final, je ne connaissais donc Jean qu'habillé, et je m'imaginais à quoi il pouvait ressembler à poils. Je ne me faisais toutefois pas d'illusions. Aucune chance qu'il se désape devant moi. Le voyage eut lieu, assez long. Puis l'arrivée, et nous fûmes dispatchés dans les familles. La nôtre était sympa, un couple avec un fils de notre âge - que je trouvais d'ailleurs très mignon - et une fille plus âgée. Ils habitaient une grande baraque un peu excentrée et ils nous installèrent dans une chambre assez petite, à l'étage, avec deux lits séparés d'un mètre tout au plus. L'étage était réservé aux deux enfants et à nous, avec une grande salle de bain.

Après le repas du soir, fatigués pas le voyage, nous avons été directement nous coucher. Et là, j'eus ma première surprise : dès que la porte fut fermée, Jean s'est rapidement déshabillé. Complètement ! Moi, je fouillais dans mon sac de voyage et mon rythme cardiaque s'est subitement accéléré. Je l'observais du coin de l'oil, oubliant ce que je cherchais dans le sac. Jean était effectivement musclé sec. Il était aussi plutôt poilu, avec une couverture drue sur le torse qui descendait, passant le nombril, jusqu'à son sexe, assez long et pendant. Il fouillait aussi dans son sac. Queue et couilles ballottaient, à un mètre de moi. Je fus immédiatement bandé. Puis il trouva un caleçon et l'enfila avant de se glisser sous les couvertures.

Moi, je continuais à fouiller dans mon sac, essayant de penser à autre chose. Puis je me mis en caleçon et me coucha. Repensant à ce que je venais de voir, je me remis à bander, et dès que Jean sembla dormir, je me mis à me branler très doucement, finissant par éjaculer dans mon caleçon.

Au matin, je me suis levé en vitesse dès la sonnerie du réveil pour aller à la salle de bain avant que Jean puisse voir les traces de sperme. A mon retour dans la chambre, il y est allé, puis nous avons petit-déjeuner avec notre famille d'accueil. Nous avons passé la journée à visiter le coin avec notre groupe. Retour le soir. Dîner en « famille ». Assez peu de discussions vu notre niveau d'allemand à Jean et moi. Enfin chambre. Cette fois, je me mis très vite en caleçon et me coucha sous les draps, attrapant un livre. Très discrètement, je pouvais mater Jean. Il alla d'abord faire un tour aux toilettes puis revint et, re bellotte, il se mit à poils. Il ne s'exhibait pas, il le faisait avec naturel. J'étais raide et fasciné par son corps d'homme (nous n'avions que 16 ans.). Il replia ses affaires, les rangea, puis se coucha. Je repris ma lecture.

Tout à coup, Jean lâcha une phrase qui me fit l'effet d'une bombe :

- J'ai la gaule, j'ai envie de me branler.

Là, j'étais sidéré et ne savais pas quoi répondre.

- Et ? fis-je un peu bêtement.

- Ca te dérange ?

- Bah. Tu fais ce que tu veux.

J'essayais alors de continuer ma lecture, mais j'écoutais attentivement sans oser regarder. Bruissements réguliers du drap. Bruits de succion humide. Halètements allant crescendo. Une branlette sauvage, rapide, allant droit au but. Arrêt brutal, un petit gémissement de sa part. Je triquais comme un fou, tournant les pages sans les lire.

- J'ai rien pour essuyer, dit tout à coup Jean. Passe-moi quelque chose.

Là, j'ai hésité : obéir en espérant apercevoir quelque chose ou refuser pour marquer mon indifférence feinte. J'ai répliqué :

- C'est bon, débrouille-toi. T'aurais pu y penser avant.

- Putain, t'es lourd.

Il a brutalement repoussé les couvertures et s'est levé, se dirigeant au pied des lits. Il était nu, son caleçon à la main, et je n'ai osé le regarder que de dos, matant ses fesses poilues. Pendant qu'il s'essuyait, j'ai repris ma fausse lecture, le cour battant la chamade.

Soudain, je fis un bond dans le lit quand quelque chose de mou m'atterrit sur la gueule. Je repoussais mon livre et prit le vêtement à deux mains, sans comprendre. C'était l'un de mes t-shirts. Il était gluant et l'odeur caractéristique atteignit mes narines. Je me retrouvais avec un peu de sperme sur le nez et sur les doigts. J'ai gueulé :

- Espèce de connard ! Tu pouvais pas prendre tes fringues ?!

- Oh, ta gueule. T'avais qu'à m'aider.

Je me suis tu, j'ai jeté le t-shirt par terre. J'étais emmerdé, j'aurais dû aller à la salle de bain pour me laver la figure, les mains. Mais j'avais une gaule terrible. J'ai fait comme si de rien n'était. Jean était encore debout au pied de son lit. Il avait renfilé son caleçon. Sa bite n'était pas encore complètement au repos et faisait une belle bosse. Il me regardait avec un petit sourire sardonique. Puis il s'est recouché et j'ai éteint la lumière. Je n'ai pas osé me branler, mais profitant de l'obscurité, j'ai léché mes doigts et ramassé le peu qu'il y avait sur mon nez. Le goût était fort, âcre, et terriblement excitant.

Le lendemain, il alla le premier à la salle de bain. J'en profitais pour sniffer mon t-shirt souillé. Lors de mon passage dans la salle de bain, il me fallut moins de trente secondes pour juter dans la baignoire. Petit-déjeuner, puis visites. Retour au logis. Dîner. Retour dans la petite chambre. Quand je suis revenu des toilettes, Jean était déjà au lit. J'avais loupé le spectacle. Je me suis couché et j'ai pris mon bouquin. Mais lui avait envie de se taper la discute :

- C'est chiant les visites, non ?

- Un peu, oui.

Conversations platoniques. Puis :

- Tu fais pas de sport ?

- Non.

- Pourtant, t'es plutôt musclé.

- Ouais.

- Les sports co, c'est top. Ca forme de super groupes, vachement soudés.

Je le croyais volontiers, mais le sujet m'était pénible et je ne voyais pas où il voulait en venir.

- Tu connais le jeu du biscuit ? On y joue parfois dans les vestiaires.

- C'est quoi ? ai-je demandé, le cour battant.

- Le principe, c'est qu'on fait un cercle et on met un biscuit au milieu. On se branle tous dessus, et le dernier qui jute bouffe le biscuit trempé.

- C'est dégueulasse ! (en mon for intérieur, je pensais : c'est super excitant !)

- Pour le dernier, ouais. Ca m'est jamais arrivé.

- Faut être con pour jouer à ça. (si seulement ça pouvait m'arriver.)

- Putain, c'est toi qu'es trop con.

J'ai gardé le silence. Il a alors baissé son caleçon et a entrepris une branlette sous les draps. Je bandais encore comme un fou. Va-et-vient pendant quelques minutes, puis plus rien. J'ai jeté un oil vers lui et l'ai vu se lever. Sa queue était droite, son gland collé contre son nombril. Nettement plus longue et plus large que la mienne. J'ai cru défaillir. Hypnotisé, je l'ai regardé s'approcher. Il s'est arrêté au bord de mon lit, et j'ai demandé d'une voix mal assurée :

- Qu'est-ce que tu veux ?!

Il n'a pas répondu, a attrapé sa queue dans la main droite et s'est mis à l'astiquer. Moins de cinq secondes après, il a déchargé sans me laissant le temps de réagir : un premier jet crémeux s'est écrasé dans mes cheveux et sur mon front. Un second sur ma joue. Le reste a coulé sur le bord de mon lit, sur mon drap. Je n'ai pas bougé, je n'ai rien dit. Je me suis senti une vraie larve et en même temps, j'étais excité comme jamais.

- Ca, c'est pour m'avoir traité de connard hier et de con aujourd'hui. Pauvre merde.

J'étais tétanisé. Il m'a essuyé sa main dans les cheveux et est retourné se coucher après avoir éteint la lumière. Je me suis endormi comme ça.

Au matin, son jus avait séché après avoir coulé sur mon nez, dans mon cou. Heureusement, je n'ai croisé personne sur le palier avant d'entrer dans la salle de bain. Grosse branlette douloureuse. Journée semblable aux autres, sauf que Jean me regardait bizarrement, un peu méprisant. Quand nous nous sommes retrouvés dans la chambre, il y avait un silence gêné. Il s'est couché à poils, après avoir pris quelque chose dans son sac. Je n'ai même pas lu, je me suis tourné contre le mur. Je l'ai entendu se branler une nouvelle fois. Il a joui dans son coin. Au réveil, rien de particulier, mais arrivés dans la cuisine pour le petit-déjeuner, il n'y avait que la mère. Nous avons vaguement compris qu'il n'y avait pas école et qu'enfants et mari étaient partis. Où ? Aucune idée. Nous nous sommes assis, et là, tandis que la mère avait le dos tourné, j'ai vu Jean sortir quelque chose de sa poche.

C'était une capote rose, nouée. Elle était pleine. J'ai cru que mes yeux allaient me sortir de la tête. Sans que je puisse réagir, j'ai vu Jean déchirer le latex sous le noud et, prestement, il a versé le contenu dans mon bol de chocolat. En un instant, la capote trouée avait disparu et la mère vint nous amener des tartines grillées à table. J'étais horrifié. Jean m'observait, narquois. Sous la table, mon pantalon était pourtant gonflé à craquer. Là, l'humiliation était terrible. Puis la mère nous a fait comprendre qu'il fallait nous dépêcher car nous allions finir par être en retard. Sous le regard dur de Jean, j'ai trempé mes tartines et les ai mangées. Déglutissant difficilement. Tout cela me dégoûtait, et en même temps, j'aimais. J'ai fini par boire le contenu du bol sous les regards de Jean et de notre hôte. J'avais envie de vomir et de me branler. Quand nous sommes sortis de la maison, Jean n'a dit qu'une chose :

- T'es vraiment qu'une sous-merde.

Et il s'est marré. Il allait m'en faire baver.


ejacbucale4Toute la journée, j'ai pensé à ce que Jean m'avait fait faire le matin même, et autant mon ventre se serrait, autant ma bite se gonflait à bloc. Avec le groupe, pas moyen de se branler, et je savais que je devrais attendre d'être rentré dans la famille d'accueil. Jean m'a regardé toute la journée avec son sourire narquois, et j'avais nettement l'impression qu'il n'était pas le seul : d'autres mecs me regardaient bizarrement. J'avais remarqué que Jean discutait à voix basse avec eux.

La journée s'écoula trop lentement, et dès notre retour à la maison où nous logions, je me suis réfugié dans les toilettes où j'ai éjaculé ce qui me semblait être un torrent de foutre. Tant pis pour l'odeur. Après cela, j'avais un peu honte. Peur aussi de me faire remarquer par la famille. Toutefois, il n'y eut aucune remarque particulière au cours du repas. Le mari et les enfants étaient rentrés. En rentrant dans la chambre que je partageais avec Jean, ce dernier était allongé sur le ventre, à sa place. Il feuilletait un magazine et m'ignorait.

Je me mis en caleçon avant de me coucher. Après une dizaine de minutes de lecture, je me suis tourné pour chercher le sommeil, me demandant ce que Jean me réservait encore. Je me suis rapidement endormi, malgré la lumière.

Tout à coup, dans mon sommeil, j'ai senti quelque chose me couler dans le cou et je me suis réveillé en sursaut. Je me suis tourné sur le dos brusquement, et j'ai vu le corps de Jean qui me dominait. La lumière était toujours allumée. A la main, il avait une petite bouteille d'eau d'un demi-litre, pratiquement pleine. Avec un frisson d'horreur, j'ai réalisé subitement que ce n'était pas de l'eau. L'odeur du sperme atteignit mes narines et je me mis à essuyer la traînée que Jean avait fait couler dans mon cou. Je n'arrivais pas à détacher mes yeux de la bouteille, ne parvenant pas à croire qu'elle était pleine de jus. Avec ma branlette précédente, j'avais assouvi mes pulsions et je n'étais absolument plus excité.

J'ai voulu me redresser mais Jean a chuchoté :

- Tu fermes ta gueule et tu bouges pas. Ou plutôt, tu es bien gentil, tu ouvres grand la bouche et tout va bien. Sinon.
- Ca va pas, non ? répondis-je plus fort que je n'aurais voulu.

Je voyais où il voulait en venir et là, je refusais.

- Sinon, j'attends que tu dormes et je t'en verse partout : sur ton lit, sur ta gueule de connard, dans ton sac, . Soit tu avales tout et tu restes propre, soit. tu assumes.

Il me regardait durement, sa bouteille à la main. Je n'en voulais pas. J'avais déjà goûté son jus et autant quand j'étais excité, cela me paraissait génial, autant là, j'étais dégoûté. Un demi-litre... Mais cet abruti était capable de ruiner toutes mes affaires. Je me sentais piégé, à sa merci.

- C'est quoi dans la bouteille ? demandai-je pour gagner du temps. Je ne m'attendais pas à une réponse aussi terrible.
- Du jus de mecs. Sept en plus de moi. On s'est tous branlé deux fois pour toi, alors maintenant, faut nous en remercier.
- Qui ?!

J'ai bien cru que j'allais m'évanouir. Il avait raconté à sept mecs l'histoire de ce matin, et maintenant, ils allaient tous vouloir m'humilier.
- Ca te regarde pas. Pas encore, fit-il avec un clin d'oeil. Et il n'y en a que deux qui sont dans notre classe.

Que deux. Je réfléchissais à toute allure pour m'y soustraire. Mais je compris alors que je n'y couperais pas.

- Tu me laisses prendre la bouteille, s'il te plaît ? Je vais boire au goulot.
- C'est ça, t'as raison. Non. Allonge toi bien et ouvre grand la bouche.

J'obéis en fermant les yeux.

- Et ouvre les yeux, bordel !

Je le fis. Il pencha la bouteille à quelques centimètres au-dessus de ma bouche grande ouverte. Le jus afflua, froid, odorant et écourant. Ma gorge se serra et j'eus un haut-le-coeur. Mais Jean continua à verser et une partie déborda, inondant mon oreiller. Je me mis à avaler au plus vite. Son regard froid était planté dans le mien. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais goûté plus que quelques gouttes en me branlant. Là, c'était atroce.

Finalement, la bouteille fut vide. Avec un air satisfait, Jean remis le bouchon dessus. C'est alors que j'ai remarqué qu'il bandait comme un âne.

- Tu te rends compte ? Tu viens de te prendre 16 décharges dans le gosier. Allez, maintenant, tu vas pouvoir me sucer.
- Hein ?!

Je n'en pouvais plus. Il voulait en plus que je lui taille une pipe. C'est vrai qu'au point où j'en étais, ce n'était plus bien grave, mais pour ma première pipe, j'aurais aimé choisir la personne, le lieu, l'endroit. J'aurais aimé choisir tout court : là, je n'avais vraiment pas envie. Jean s'en foutait. Il grimpa sur le lit, à califourchon sur moi, encore sous les couvertures, et il rapprocha sa bite de ma gueule. Je le regardais faire avec désespoir.

- Si tu t'appliques pas, tu verras ta réputation au lycée.

Menace facile et pourtant efficace. J'ouvris la bouche. Sans perdre de temps, il y fourra sa queue bandée et commença directement à me baiser la gueule, assez violemment. Je crus étouffer, j'avais envie de vomir. Et en même temps, pourtant, ma bite commençait à se réveiller.

- T'as de la chance, ça va durer longtemps, vu que j'ai déjà juté deux fois aujourd'hui.

Quelle chance ! Effectivement, j'ai eu l'impression que la pipe durait une éternité. J'avais mal aux mâchoires et à la gorge. Jean continuait inlassablement. Puis j'ai senti que sa respiration se faisait plus rapide, son corps se tendait. Il a sorti son engin et m'a dit :

- Ferme la bouche, ouvre bien les yeux.

J'ai obéis. Jean se finissait à la main, son gland dirigé sous mon nez. Soudain, il a eu un spasme et un jet chaud, épais et puissant s'est écrasé dans mes narines. Le second a atterri sur ma joue gauche où il est resté collé.

- Ouvre ta gueule, sale merde.

Je l'ai fait et il y a engouffré sa queue visqueuse que j'ai achevé de vider et de nettoyer. Il s'est alors relevé, a éteint la lumière et s'est couché. Je suis resté éveillé longtemps, ressassant douloureusement les événements. L'odeur et le goût du sperme - des spermes - était terriblement envahissant. Ma queue me faisait mal tellement elle était raide. Je n'ai même pas pris la peine d'essuyer le jus sur mon visage. J'ai attendu d'être sûr que Jean dorme pour me branler à mon tour, et je me suis jouis dessus, inondant mon caleçon. Je me suis endormi en pleurant doucement.

 

Le lendemain matin, ce n'est pas le réveil qui m'a sorti des bras de Morphée, mais Jean qui grimpait de nouveau sur mon lit. Il avait la gaule et mon coeur a fait une embardée. Là, il m'a sorti :

- Tu suces trop mal, te donne pas trop la peine, je vais juste me branler.

Il s'est placé au-dessus de moi et a commencé sa branlette. Dur dur comme réveil. Je sentais les croûtes de sperme séché sur mon visage. Jean décalottait et recalottait à toute allure. Sa respiration s'est accélérée et cinq jets ont giclé. J'en avais partout : joues, cheveux, cou, nez. Il m'a mis sa bite dans la bouche pour nettoyer puis il s'est relevé, s'est habillé et a quitté la pièce en laissant la porte ouverte.

Je n'avais rien pour essuyer, donc je me suis levé en vitesse, je me suis habillé et j'ai filé à la salle de bain. Malheureusement, au moment où j'allais poser la main sur la poignée, la porte s'est ouverte sur le fils de la famille. J'ai baissé la tête en rougissant. Il est sorti sans rien dire. Je me sentais trop mal. Je me suis enfermé dans la salle de bain et je me suis longuement lavé le corps, les cheveux. et les dents !

Après cela, pendant le petit-déjeuner, Jean a fait comme si de rien n'était. Par contre, le fils de la famille ne cessait de me jeter des regards appuyés et curieux, auxquels je me dérobais. Nous sommes partis, ce qui devait être un soulagement très bref. En effet, dès que nous avons été montés dans le car, Jean s'est dirigé vers un groupe de mecs et ils ont tous éclaté de rire. J'avais les oreilles en feu. Dans le lot, il y avait le beau Fabrice, objet de tous mes fantasmes dans les vestiaires, et malgré ma honte, je me suis mis à bander à l'idée d'avoir bu son sperme.

Je suis resté à l'avant du car en espérant pouvoir les ignorer. Nouvelles visites dont je me désintéressais, puis pause déjeuner le midi, dans un jardin public. Là, j'ai voulu m'isoler pour pouvoir manger mes sandwichs, mais Jean ne voyait pas les choses ainsi : il est venu avec Guillaume, l'un des gars ayant rempli la bouteille. Guillaume n'était pas un étalon sans être un thon : blond aux yeux bleux, une gueule virile avec un corps plutôt grassouillet. 1m75 tout au plus.

Jean m'a tout de suite informé sur ses intentions en me parlant doucement dans l'oreille :

- Guillaume aimerait bien une petit pipe. Je lui ai dit que tu suçais pas très bien, mais il a envie quand même. Derrière toi, il y a des toilettes publiques. Vas-y avec lui ou tout le lycée apprendra tes péripéties.

Un froid intense m'a envahi. J'ai baissé la tête, vaincu. Guillaume s'est dirigé vers les toilettes et Jean m'a fait signe de le suivre. Au loin, j'ai entendu des ricanements et, en me retournant, j'ai vu qu'il s'agissait des six autres. Dans l'ombre du petit bâtiment, j'ai vu Guillaume rentrer dans une cabine. Je l'y ai suivi après avoir allumé la lumière et m'être assuré qu'il n'y avait personne. Il n'a pas perdu de temps : il a baissé pantalon et caleçon, dévoilant une bite encore molle, pas très longue, surmonté par un léger buisson de poils à peine plus foncés que ses cheveux.

Le gars m'a mis les mains sur les épaules et m'a poussé vers le bas. Je me suis agenouillé, j'ai ouvert la bouche et j'ai fermé les yeux. Guillaume m'a pris la tête et a rentré sa queue me demandant de bien l'aspirer. Ce faisant, elle s'est mise à gonfler rapidement, sans atteindre la taille de celle de Jean. Il a alors communiqué à ma tête un puissant mouvement de va-et-vient, m'enfonçant le nez dans ses poils, puis libérant pratiquement sa queue de ma bouche. De nouveau, je dus faire de gros efforts pour ne pas vomir. Heureusement, Guillaume ne fut pas long à m'inonder la bouche et je m'appliquai à bien tout avaler de peur d'en avoir sur mes vêtements. Il m'a demandé de bien nettoyer sa bite avant de me tapoter sur la tête comme à un chien. J'avais mal aux genoux en plus de la mâchoire. Il a pissé devant moi pendant que me relevais et que j'ajustais ma queue dans mon pantalon : elle était fièrement dressée quand moi, je me sentais moins que rien. Nous sommes sortis ensemble et Guillaume a fait un signe ravi à ses potes. Jean avait ramené mon sac à dos à côté d'eux. En le récupérant, j'ai pu entendre Guillaume dire :

- Ouais, il a tout avalé. Peut mieux faire, mais c'est pas mal quand même.

Adrien, un beau brun, petit mais super baraqué avec une belle gueule de rugbyman, a alors rétorqué :
- Je vais peut-être me le faire maintenant, alors.

Le coeur battant, je fus sauvé par le gong : nos profs nous ont alors appelés pour reprendre le car. La pause déjeuner était finie. Je fus le premier à monter dedans.

Le pire restait à venir.

 

[SUITE]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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