Première partie : PriSe en main
Deuxième partie : AmuseS-Gueule
... J'en suis au 28em tour et je tente d'aller de + en + vite autour de la table.
LUI sourit.
Visiblement, me voir peiner et souffrir à ses pieds, sous ses yeux l'excite au plus haut point ! Il ne peut s’empêcher de se toucher la teub à travers son jean.
« Aller la pute ! Plus vite que ça ! » Et un nouveau cinglant coup de martinet s’abat sur mon cul fraichement rasé... ce qui est assez douloureux.
« Les couleurs qu'est en train de prendre ton cul de pute commence à m'amuser bâtard ! »
Troisème partie : Lope et clope
36ém tour, j'ai les genoux en compote, je respire vite, je sue un peu... en faite j'en peux plus... IL m'encourage en me disant : « plus que 14 pour arriver à 50 ! Et 4 pour arriver à 40 ;
je t'autorise une pause à 40... Profite de ma clémence ! Je fais donc les 4 tours suivants aussi bien que possible avec à chaque passage devant LUI un bon coup de martinet qu'il n'hésite pas a
ponctuer vocalement d'un « yeaaah ! Bonne pute ! Ou d'un « bon bâtard !».
Au 40ème tour je m'écroule à ses pieds et le remercie en lui embrassant ses skets.
Il me frotte la tête et m'autorise à m'approcher de sa braguette et à la sniffer comme un bon chien.
Je m'approche, regarde l'objet de ma convoitise, et je sniff la braguette. Au centre, a gauche, à droite, en haut, en bas, par coté, dessous, dessus, je sniff tout les endroits possibles en signe
de vénération de sa teub, qui à mesure que je sniff continue de grossir.
Il passe ensuite les lanières du martinet sur sa cuisse et je dois lecher les lanières, je dois les lecher une par une comme si c'étaient des teubs. Il me pousse ensuite du pied et se lève. Il
prend le martinet par le manche et le suspend au dessus de ma gueule et me dit de sucer une par une les lanières.
J'ai devant moi un jmaster de 23 ans, avec un gros gourdin dans sa braguette et qui s'amuse à me faire faire le beau en devant attraper les lanières du martinet et il avance dans la pièce un peu
comme si les lanières étaient des « susucres » à bâtard.
Chaque fois que je m'apprête à en attraper une, il relève instinctivement le martinet puis le rebaisse pour que j'essaie encore. Il s'amuse un bon moment comme ça, puis le « jeu » se
corse... Quand je rate le martinet, j'en reçois un coup sur le bas-ventre et il me dit « Putain ! Applique-toi ! Défonce toi pour moi ! Aller ! Aller ! »
Puis il me dit... « les dix derniers tours de table bâtard ! » Son visage s'illumine, un petit rictus vicieux se dessine sur son visage (à qui on donnerait bon dieu sans confession) et
il me dit :
« pour les 10 derniers tours, maintenant que tu t'es bien reposé, je VEUX que tu ailles très vite ; genre faut faire les 10 tours en 30 secondes maxi ET je veux qu'à chaque tour tu
t'arrêtes, tu me présentes ton cul comme tu sais faire maintenant et dès que t'as reçu le coup de martinet, tu repars !
Je ne VEUX pas entendre un seul son sortir de ta gueule de bâtard ! Si j'entends ne serait-ce qu'un gémissement, non seulement on recommence à 0, mais c'est dix coups supplémentaires...
Allez, 30 secondes bâtard ! TOP départ ! C'est mon iphone qui va te dire quand les 30s sont écoulées... et vaudrait mieux que t'es fini avant la fin du chrono et il ponctue sa phrase en pouffant
!
Je me fous a genoux, mains sur la tête et je commence ma course....
Premier tour fait, je LUI présente mon cul et là, dans un grand élan, je reçois un bon coup de martinet. Deuxième tour, le coup est encore plus fort et la course se poursuit avec à chaque fois,
une bonne volée de lanières sur mon cul qui chauffe sacrément.
Il attend parfois jusqu'à 5 secondes avant d'envoyer le coup de martinet, prétextant que mon cul n' est pas assez droit, pas assez écarté ou pas assez cambré, pas assez offert ; le temps que
je le mette en place et que sa position LUI convienne, beaucoup de temps se perd... et j'angoisse un peu ce qui le fait davantage sourire...
je suis en train de faire le 7 ém tour lorsque la sonnerie de l'iphone indique la fin du chrono...
« oh dommage -me plaint-il- t'avais presque réussi... Allez à 4 pattes va chercher ton sac de soumerde... et il reprend place sur son fauteuil.
Je me ramène face à LUI, sac en gueule. D'un signe de tête je comprends que je dois poser le sac à terre et il me demande des menottes.
Je frétille du cul et commence à regarder dans le sac, j'en sors avec les dents les menottes qu'il me fait signe de déposer sur sa cuisse droite. Je m’exécute.
« Il y a des clés avec ces menottes bâtard je suppose ?)
J'aboie 2 fois et opine de la gueule.
« Alors cherche les clés... ! » Et il m'envoie un petit coup de pompe sur le flanc...
Les clés sont dans une poche du sac. Je m'aide de mes « pattes » et de ma gueule pour ouvrir la poche, mais faisant cela, j'oublie de « frétiller » du cul...
Maitre Nicolas se lève et m'assène 2 bons coups de martinet sur le cul !
« Ton cul connard ! JE VEUX LE VOIR FRETILLER BOUGER DANS TOUS LES SENS QUAND TU FAIS CA ! C'est compris ! La prochaine fois se sera le double ! Et ainsi de suite ! Faut que ça rentre dans
ta caboche de pute ! Rappelle toi, un Master comme moi mérite la meilleure des putes !».
Je remue à mort du cul et après les avoir récupéré, lui tend avec la gueule les clés des menottes.
Il se lève, me fait pencher sur un tabouret, cul offert, me menotte les mains sur le devant, prend une corde dans le sac et il attache la chaine des menottes à chacun des pieds du tabouret de
façon à ce que je ne puisse pas me servir de mes mains. Il prend une deuxième corde et me lie les pieds à chacun des autres pieds du tabouret.. Une fois sa besogne réalisé, je suis totalement à
sa merci...
« Alors... 7 tours de tabourets en 30s... donc y'en a 3 que t'as pas fait...
J'ose un : « j'ai fait le mieux possible Maitre ... ».
J'ai pour réponse un violent coup de martinet sur le cul et un « ta gueule connard » ; j'ai dit dix tours en 30 s t'en a fait que 7 !
D'après toi, ca vaut combien de coups de martinet le fait de ne pas avoir réussi à faire ce que JE t'ai commandé ?
J'ose un : « Vingt coups Maitre... ».
Il me dit ok pour 20 coups de martinet sur ton cul. Et tu comptes à chaque fois ; la seul chose que je veux entendre c'est : 1 – Merci Maitre. Pour le reste, tu subis en silence !
Attaché, je ne peux rien faire, sinon encaissé... et fermer ma gueule ; les dix premiers coups sont assez forts ; de temps à autre IL passe sa main sur mes fesses, histoire de caresser un peu, et
IL enchaine après « cette petite douceur »avec un coup frappé encore plus lestement. Lorsqu'il arrive à 15, ses coups redoublent de force... et les 5 derniers qui font arriver à 20 sont
franchement bien balancés.
Je suis un peu soulagé après avoir dit 20 – Merci Maitre.
J'ai le cul qui me chauffe comme jamais.
Mais voilà pas qu'il poursuit sur le même rythme avec un 21em coup, puis un 22eme... il ira jusqu'à 60 comme ça... au 60eme coup (je dois toujours continuer de compter et de LE remercier) il me
prend par les cheveux, et me regarde en me disant : « Tu crois que c'est toi, la pute, le bâtard, qui va décider du nombre de coups que je te file sur le cul ? »
Je baisse les yeux et dis : « non Maitre... »
Ben ça tombe bien parce que moi j'ai envie d'en foutre 100 de coups de martinet sur ton cul de bâtard ! J'aime trop ça voir une sous merde souffrir pour mon unique plaisir ! Voir un cul de pute
rougir sous mes coups ! Et puis c'est pour ça que t'es venu ! En disant cela il me fout un violent coup de martinet en me traitant de sous merde à sa dispo ! Arrivé au centième coups, j'ai le cul
vraiment en feu, mais je suis fier et heureux d'avoir satisfait Maitre Nicolas. Il pose son martinet, admire son travail, se touche la teub,et entreprend de me détacher... IL me demande ensuite
de lui apporter collier et laisse de chien qui sont dans le sac...
En marchant jusqu'au sac, la chaleur continue de me chauffer le cul ; c'est qu'il doit être bien rouge et il est particulièrement douloureux dans la mesure ou je l'ai épilé il n'y a même pas 24
h.
« Allez dépêche bâtard ! Sinon tu vas encore en prendre une ! » dit-il d'un air supérieur !
Arrivé proche de LUI, je lui tends laisse et collier... il s'accroupit près de moi et commence à me frotter la tête, il passe ses mains sur mes tétons, mes fesses (putain c'est chaud là ! Hummmm
dit-il) il regarde mon cul et se félicite de la couleur qu'IL lui a donné ; et il poursuit en me malaxant les couilles et ma teub peu bandée. « Bon kleps ! Pour l'instant je suis assez
content de toi comme bâtard, mais bon, ne relâche pas la pression car quand il s'agit de m'occuper d'un bâtard, je suis intarissable, intraitable et ça me plait trop d'avoir une pute/sousmerde à
dresser ! ».
Il m'enfile le collier, y accroche la laisse et me fait marcher au pied à coté de lui ; j'abois et gémis en signe de soumission ; Il est content... et moi aussi !
Nous prenons la direction de SA chambre. Un miroir mural habille un pan de mur. Je nous aperçois dans la glace ; LUI habillé de skets, d'un tee shirt d'un jean châtain foncé et je me vois à ses
pieds, à 4 pattes, à poils cul cambré tenue en laisse par Maitre Nicolas.
« Beau tableau tu ne trouves pas ? » me dit – il en tirant sur la laisse et m'obligeant à le regarder dans toute sa Supériorité.
Deux aboiements de ma part et une vénération sans borne pour ce jeune Maitre que je suis honoré de servir jusqu'à dimanche. Il relâche un peu la laisse, pose un pied sur mon dos et m'ordonne de
lui lecher l'autre sket... Il me demande, tout en lechant sa Skets de regarder dans le miroir afin que je me rende bien compte du bâtard sous merde que je suis pour lui...
Au bout de 3 mn de lèche où il n'a pas hésiter à appuyer sur ma nuque avec son pieds pendant que je continue de lecher sa sket, l'envie de fumer lui revient...
« Au pied bâtard je veux une clope ! ». Nous nous apprêtons à sortir de la chambre, mais avant il veut que je vois dans quel état il a mis mon cul... Alors IL me met Cul face au
miroir et me dit : « contemple mon oeuvre sur ton cul ! » Je regarde et en effet mon cul est rouge comme jamais il ne l'a été.... Je comprends mieux pourquoi il me brûle à ce point.
« Qu'est-ce qu'on dit bâtard ? » Je me prosterne à ses pieds, les embrasse en cambrant bien le cul et je le remercie « d'avoir bien voulu prendre de son précieux temps afin de
maquiller en rouge la chair qui borde mon trou de pute ». Satisfait, Maitre Nicolas tire sur la laisse et nous regagnons le salon.
Il s'assoit et me dit : « Assis !)
Je me pose sur mon fessier, les deux pattes avant, bien droites, et il ajoute :
« clope !)
Je sors une CAMEL et lui allume sa cigarette. Il tire une première taffe et souffle la fumée au plafond.
« Pendant que je fume, tu tiens le cendrier à ma hauteur et tu me lèche les pompes cuisses écartées au maximum et cul cambré !
Dans cette position indélicate, j'ai la main droite qui tient le cendrier à SA hauteur, mon autre main est a terre, elle soutient mon corps et ma gueule se trouve sur ses baskets que je lèche et
le cul cambré.
« Wahoooooooooooo -fait-il- j'adore qu'une pute se contorsionne à mes pieds ! Trop bon ! Cambre encore un peu plus ton cul ! Et fais gaffe connard, le cendrier descend ; je le VEUX à
hauteur... je vais pas encore m'abaisser pour déposer ma cendre... ! Et il se marre.
Puis il me dit de le regarder... ce que je fais ; là, alors que le cendrier est à porter de main, il fait volontairement tomber sa cendre à coté du cendrier...
« oh ! Merde »... dit en me regardant « j'ai raté le cendrier... c'est con il y a de la cendre parterre du coup... » Il tire a nouveau une taffe sur sa clope et il rajoute :
« Tu vois ce qui est bien quand on a une soumerde sous la main c'est que ça va être automatiquement nettoyé quand j'aurai fini de fumé. Avec son pied il appuie sur ma tête en direction de sa
sket et me dit « Aller lèche connard, fais du bien à mes pieds à travers mes pompes et fais gaffe au cendrier... sinon je risque d'en remettre par terre !
Puis il me fait me mettre a genoux à côté de lui et me dit :
« J'suis en train de penser un truc... Avec un bâtard comme toi, un cendrier m'est inutile ! OUVRE TA GUEULE ET TIRE TA LANGUE ! Avec ses doigts il saisit ma langue en m'ordonnant de la
sortir le + possible. Il retire une longue taffe sur sa clope, m'envoit la fumée dans la figure, puis m'envoi un crachat dans la gueule et vient tapoter sa camel à hauteur de ma langue. La cendre
tombe dessus et lui se marre, rire forcé et humiliant. Je ne dois pas bouger, rester ainsi immobile pendant que Maitre Nicolas se délecte et savoure sa cigarette.
Il bouge un peu son sexe qui visiblement est positionné de telle sorte que sa bite le gêne...
Il l'a prend a travers son jean, m'en montre les mensurations (c'est un joli morceau) et me dit qu'il va bien me démonter la gueule avec ! « T'as intérêt à la prendre bien profond dans ta
gueule de pute tout à l'heure » et en disant cela il me fout une grosse baffe. Je le remercie. Il me redemande le cendrier pour écraser sa clope et m'ordonne d'aller le laver, l'essuyer et
le remettre à sa place. Et en disant ça, il me lamine la gueule d'une bonne baffe !
Il m'enlève la laisse du collier (mais me fais garder le collier autour du cou) il attrape le petit plug dans le sac et me fait me mettre dans la position dite « de la brouette » et me
fourre le plug dans le cul, heureusment un peu humidifié de SA salive ! Il m'ordonne ensuite d'enfiler le slip destroy que je sors du sac et il me demande ainsi vêtit, de bien m'exhiber devant
LUI dans ma tenue de larbin/serviteur. Il me fait tourner sur moi même, me fait mettre à 4 pattes et me demande de tourner à nouveau autour de la table du salon ; je fais quelques tours puis il
me dit en me prenant par les cheveux : Y'a de la cendre parterre sous merde, nettoie !
A 4 pattes, je lèche les cendres tombées volontairement de la CAMEL de Maitre Nicolas. Je n'oublie pas de « frétiller » du cul afin de LE satisfaire toujours pleinement ; visiblement IL
se délecte du spectacle, son air dédaigneux ne l'ayant pas quitté.
Je suis là, à 4 pattes, le cul toujours en mouvement et je lèche les cendres à terre. Au bout d'une vingtaine de secondes Maitre Nicolas m'imprime sur le cul une MEGA claque ! Signe que c'est bon
je peux arrêter.
Il me prend par le collier et me tire devant lui.
Il me fait ouvrir la gueule et me demande de tirer ma langue de pute.
Je suis face à lui, et j'ouvre grand ma gueule en tirant, comme ordonné, au maximum la langue... IL regarde bien ma bouche, puis racle sa gorge en me souffle un bon vieux gros mollards. Il me
saisit les cheveux et me dit : « TU GARDES EN BOUCHE SALE CHIENNE ! Et il ponctue en me filant une bonne veille baffe ; je suis devant lui, impassible et heureux d'être SA sous merde.
Je garde le mollards en bouche, il m'ordonne de le mâcher comme si c'était un chewin-gum et de bien m'en tapisser le palais.
Puis il me dit : « C'est bon maintenant, tu peux aller laver le cendrier et le ramener nickel propre à sa place. Je me lève, saisi le cendrier et vais pour partir à la cuisine lorsqu'il se
lève et me dis, « penche toi en avant, mains touchants tes pieds ; Et là il me met un violent coups de pompe dans le cul. Il s'arrange pour taper bien au centre de mon cul, histoire que le
plug que j'ai au cul remplisse bien sa mission.
IL retourne au salon.
Je vide le cendrier, le nettoie, l'essuie et reviens le poser là où il était.
Je reste debout avec mon slip destroye, mains sur la tête, cuisses écartées, collier de chien au cou, le cul pluggé et encore endoloris du claquage au martinet et j'attends, tel un larbin, les
ordres de Maitre Nicolas, qui entre temps à allumé la télé, et la regarde, comme si je n'étais pas là. J'attends penaud son bon vouloir...
[SUITE]
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