X-toireS

Lundi 5 septembre 1 05 /09 /Sep 10:08

[Source : GayDomiBondage]

Survet02Ce soir là c'était au tour de Marc de fermer le gymnase. Ses collègues, les autres profs de gym du lycée, étaient partis vite : c'était une journée de fin d'automne, plutôt sombre et froide et tous avaient voulu rentrer rapidement chez eux. Avec ses 30 ans marc était le plus jeune et célibataire ; il s'était donc chargé de ranger le matériel et d'éteindre. Il allait fermer la porte lorsqu'il crut entendre un bruit du côté de la réserve. Intrigué, il rentra dans la pièce obscure. Soudain il se sentit agrippé ; une main couverte d'une moufle lui ferma la bouche. Une nuée de jeunes mecs lui tomba dessus : en se débattant, il entrevit des survêtements, des jean's, des visages dissimulés derrière des cache-nez de laine épaisse. Mais succombant sous le nombre il se trouva rapidement plaqué au sol, incapable de se débattre, solidement maintenu à plat ventre par ces mains juvéniles. Il était incapable de reconnaître ses agresseurs, avec leurs capuchons de survet rabattus sur leur tête et leurs écharpes de laine qui masquaient le bas du visage. "Que voulez-vous ? Laissez-moi !" cria-t-il en essayant de donner des ruades avec ses pieds. Une main gantée de laine étouffa ses protestations, tandis qu'il sentit une autre main tirer sur la ceinture de son pantalon de survêtement et le baisser. Il entendit de grands rires ; "Regardez son cul" "A poils le prof !". Honteux il se rappela qu'il n'avait sur lui que son jockstrap et que ses fesses étaient à l'air libre, exposées aux regardes de ces jeunes racailles. Il n'eut pas beaucoup le temps d'y songer. Ses mains furent brutalement ramenées dans son dos et croisées ; il sentit qu'on enroulait une corde autour de ses poignets et qu'on la serrait sans ménagement ; une autre corde fut passée autour de ses chevilles pour les attacher solidement. Il était immobilisé, ficelé à la merci de ces gars. Il essaya de parler malgré la main qui fermait sa bouche " Faites pas les cons !" Mais il sentit qu'on lui enlevait ses baskets et ses chaussettes. Une main lui serra le nez : "Ouvre la bouche !" Il essaya de résister mais un coup de pied dans ses côtes ponctua l'ordre et il sentit qu'il allait avoir du mal à respirer: il desserra la mâchoire. Il perçut l'odeur de sa chaussette, portée toute la journée, sous son nez : une main l'introduisait roulée en boule entre ses mâchoires. La chaussette lui emplit la bouche et immédiatement il sentit son goût âcre et salé. Avant qu'il n'eut pu réagir un foulard fut serré autour de sa tête pour maintenir le bâillon improvisé et une écharpe de laine fut nouée autour de sa nuque pour l'aveugler. Il essaya un instant de se débattre dans ses liens mais renonça bien vite devant leur solidité et l'inquiétude le submergea : il savait que dans la cité voisine des bandes de jeunes faisaient parfois des expéditions punitives dans le coin et il avait entendu parler de mecs salement amochés ; il choisit de rester tranquille. Des mains le saisirent par les épaules et le remirent sur ses pieds. Il se retrouva debout, pieds et poings liés, yeux bandés et bâillonné, avec son survet sur les chevilles et ses fesses à l'air, devant une demi-douzaine de jeunes mecs dont certains étaient peut être ses élèves. Il les entendait ricaner. Il sentit une main saisir l'élastique de son jockstrap. "Vas-y, Hakim !" Brusquement la main baissa le jock et ses couilles et sa queue apparurent aux regards. Instinctivement il essaya de se baisser pour cacher sa nudité ; en vain : des mains solides l'obligèrent à se déplier et son sexe se retrouva à la vue de tous :" Belle queue, m'sieur ! Votre copine doit prendre un sacré pied" "Hé ! regardez il bande !" Horrifié il se rendit compte que sa queue s'était dressée et pointait devant lui ; involontairement elle le trahissait. "Il aime ça" Une main se mit à le branler pendant qu'il entendait les jeunes racailles autour de lui rire en le traitant de pédé. Il bandait ses forces pour ne pas jouir. Heureusement la masturbation s'arrêta : il mouillait et il sentait une goutte perler à la pointe de son gland. Confus, il essaya de se débattre et de gueuler à travers son bâillon pour détourner l'attention de son état. Un coup de poing dans ses abdos le surprit et lui coupa le souffle, le faisant momentanément débander. "Si tu continues comme ça, tu vas déguster, monsieur le prof! Attachez le mieux". Il sentit qu'on lui passait une corde à la hauteur des coudes et qu'on la serrait avec force, rapprochant ses bras au maximum dans son dos ; il poussa un gémissement étouffé. Une autre corde lui lia les jambes à la hauteur des genoux : désormais il était bien ficelé, incapable de résister ; à la merci des ces jeunes mecs de la cité, parmi lesquels étaient sans doute des élèves du lycée. Il ressentait un mélange de peur et d'humiliation auquel venait s'ajouter une sorte d'excitation incontrôlée.

 

Soudain il sentit qu'on lui recouvrait la tête d'un tissu épais : une sorte de sac qui descendit jusqu'à ses épaules, il sentit que l'on serrait ce sac à la hauteur du cou ; il essaya de respirer un grand coup en dépit de son baillon : l'air passait mais il était plongé dans l'obscurité la plus totale. Il entendit l'un des jeunes crier "Vinc, va voir si c'est libre". Et des mains solides le firent basculer en arrière tandis que d'autres mains le prenaient par les chevilles. Il se sentit transporté comme un vulgaire sac. Au bout de quelques dizaines de mètres ses porteurs le déposèrent sur un sol dur ; l'obligeant à plier les jambes ; ses pieds nus touchèrent une paroi métallique ; il reconnut le coffre d'une voiture, sans doute assez grand. Un claquement de serrure : il était enfermé. Des claquements de portière, des rires : la voiture démarra. Marc ressenti un moment de désespoir : comment tout cela allait-il se terminer ? Mais son sexe semblait contredire sa peur. Marc ne détestait pas prendre son pied avec les mecs, il le savait mais jamais il ne s'était trouvé ainsi, cul nu à la disposition d'une bande de jeunes inconnus.

 

La voiture semblait rouler vite, prenant de brusques virages qui le secouaient et lui faisaient heurter les parois du coffre ; il essaya d'appuyer ses mains et ses pieds contre les parois pour éviter les chocs mais ses liens ne rendaient pas la chose facilement si la corde qui attachait ses coudes semblait se détendre un peu, soulageant la pression sur ses membres. Soudain il sentit que le véhicule ralentissait, s'engageait sur un sol bosselé puis stoppait. Claquements de portières et rires de nouveau ; il lui sembla reconnaître d'autres voix que celles de ses ravisseurs. "On le sort". Le coffre s'ouvrit des mains le prirent en poids et il se retrouva debout sur un sol bitumé, pieds et poings liés avec son cul à l'air" Super ! Belle prise! Bravo les gars !" "Regardez sa bite à ce pédé !" A entendre les voix il avait impression qu'une bonne dizaine de jeunes étaient là à le regarder et se moquer de lui ; et toujours sa queue qui trahissait son excitation.

 

Il sentit qu'on lui déliait les jambes et qu'on lui enlevait entièrement son pantalon de survet et son jockstrap. Il remua un peu pour se dégourdir les muscles. Une main toucha son sexe ; il eut un sursaut mais il comprit qu'une corde était passée à la base de son sexe et de ses couilles avec une sorte de nœud coulant. Le sac sur ses épaules fur enlevé. Puis son baillon : il cracha sa chaussette qui était désormais imbibée de salive et respira un bon coup mais n'essaya même plus de discuter. En dépit de son bandeau il put distinguer un peu de lumière, comme celle des éclairages de parkings. "On y va, en place !" Il sentit qu'on tirait sur la corde rattachée à ses couilles et qu'on s'en servait comme d'une laisse pour le faire avancer. Il comprit qu'il était inutile de résister et suivit celui qui tirait. Il commença à marcher : le sol bitumé chatouillait ses pieds nus et il eut l'impression que ce contact le faisait encore plus bander ; il imaginait son membre droit entre ses cuisses en entendant le ricanement des jeunes devant qui il passait. Puis la corde fut tirée plus fort et il sentit qu'on voulait le faire courir; il obtempéra et se mit à avancer à petites foulées. Son guide se mit à le faire tourner d'un côté et d'autre. Il se demandait où ils voulaient en venir lorsqu'il sentit une douleur cinglante sur ses cuisses ; il poussa un cri en s'arrêtant. Une autre douleur sur le devant de ses jambes cette fois ; il réalisa que ça devait être une ceinture de cuir. "Cours, connard !" Un coup sec sur sa laisse l'obligea à reprendre sa course ; il se sentit alors cinglé d'autres coups et compris qu'on le faisait courir au milieu de ces jeunes et que le but du jeu était à qui le toucherait d'un coup de ceinture. Il essaya de courir vite mais avoir les bras liés nuisait à son équilibre et son bandeau l'empêchait de voir où étaient les mecs et d'esquiver les coups. Ceux-ci tombaient au hasard avec plus ou moins de force sur ses cuisses, ses jambes, ses épaules ; sa peau nue cuisait ; il imaginait les zébrures et en même temps sa queue ballottait entre ses jambes, heurtant ses cuisses et chaque contact lui faisait l'effet d'une masturbation ! Il entendait les cris de joie et les rires à chaque fois qu'un coup l'atteignait de plein fouet et le faisait sursauter ou crier de douleur.

 

Tout à coup il sentit une douleur fulgurante dans son bas ventre : un coup violent venait de l'atteindre en plein sur ses testicules ; le souffle coupé il s'arrêta net poussant un hurlement ; il se plia en deux et, en dépit de la corde qui le tirait, il se laissa tomber sur ses genoux, incapable d'aller plus loin. "Bravo, Steph ! Tu l'as eu !". Reprenant peu à peu son souffle et récupérant de la douleur qui irradiait tout son ventre il sentit que les jeunes l'entouraient en riant. Son bandeau avait commencé à glisser sur son visage en sueur ; il secoua la tête et le bandeau glissa sur son cou. Relevant les yeux il aperçut une douzaine de jeunes mecs, chaussés de baskets, en jean's ou survet, les visages masqués par des capuches, des écharpes épaisses ou des cagoules. Ils tenaient à la main des ceintures et des laisses de cuir avec lesquelles ils l'avaient fouetté durant sa course. Un black se mit devant lui : "Baisse la tête !" Il obtempéra. Il vit son pied chaussé de Nikes s'approcher de son entrejambes ; il frémit de peur mais le pied se mit à lui caresser les couilles puis à frotter sa queue. Marc ne peut s'empêcher de rebander. "Ah ! Regardez, c'est pas mieux comme ça ?" "Oui Steph, vas-y, fais le juter" "Pas encore, il doit le mériter". Le black posa son pied sur le sol "Lèche !" Marc hésita un instant ; un coup de ceinture s'abattit sur ses fesses brûlantes. Lentement il pencha son buste en avant, tendant une langue hésitante. Il sentit l'odeur forte des Nikes ; sa langue toucha le cuir ; il se sentait complètement humilié à la merci de ces jeunes qui le traitaient comme une larve et ne pouvait s'empêcher d'y trouver une sorte de plaisir. Il commença à lécher sous les commentaires rieurs. "Oh ! la belle langue, tu lèches comme ça la chatte de ta meuf ? Non il lèche le cul de son mec!" .Soudain un liquide chaud heurta ses fesses ; il sursauta "Continue !" Il comprit qu'on lui pissait dessus. Le jet abondant, odorant de bière, arrosait ses fesses, son dos, imbibait son survet et faisait autour de lui une flaque fumante à cause de la fraîcheur de l'air. Totalement cassé, les bras douloureux à cause de ses liens, il resta ainsi prostré dans l'urine, continuant à lécher les baskets qu'on lui présentait en riant.

 

Finalement l'un dit "O.K. on y va !". Des mains le soulevèrent ; c'est alors qu'il put voir qu'il était sur un parking dans la zone industrielle. Des lampadaires l'éclairaient faiblement ; certains étaient éteints. Au milieu du parking une BMW le coffre ouvert, sans doute celle, volée, où il avait été transporté. On l'entraîna vers un des lampadaires éteints ; une main délia ses bras et ses poignets ; soulagé il fit quelques mouvements pour rétablir la circulation mais des mains solides l'empoignèrent pour le plaquer contre le poteau ; il sentit le métal froid contre ses fesses douloureuses. Les mecs firent passer ses bras derrière le poteau et il sentit qu'on les attachait avec un adhésif solide ; le mec qui l'immobilisait fit une dizaine de tours autour de ses poignets ; Marc comprit qu'il aurait du mal à se défaire. Un autre mec s'agenouilla et lui scotcha de la même manière ses chevilles au pied du poteau; une autre bande d'adhésif passa sur sa poitrine, ses bras et le lampadaire ; Là encore une dizaine de tours l'immobilisa complètement. Les jeunes racailles l'entourèrent en rigolant :"Cette fois tu vas prendre ton pied". Il vit un des mecs déplier une chaussette de sport, apparemment celle qui avait servi à le bâillonner tandis qu'un autre commençait à le branler doucement pour faire durcir son sexe. Puis l'autre enfila la chaussette, encore humide de sa salive, sur la queue tendue : il serra son poing sur le sexe emmailloté et commença un va et vient. Le jeune prof essaya de résister ; il ferma les yeux pour tenter de penser à autre chose et ne pas donner à ces mecs le plaisir de le voir jouir dans une telle situation. En vain. Le frottement de la chaussette réchauffait son sexe et il ne pouvait s'empêcher d'avoir conscience de son état. Il se mit à gémir : "Non, pitié ! Laissez-moi !" provoquant les rires autour de lui. Soudain il se rendit compte qu'il n'allait plus pouvoir tenir; son corps fut saisi de frissons et se tendit ; dans un spasme il sentit le sperme qui jaillissait à flots dans la chaussette et, se laissant aller, il cria de plaisir. "Ouais ! Ca marche : il jute ! Quelle lope !". Le mec le branla jusqu'à la dernière goutte. Il se sentait complètement vidé, la chaussette était maintenant gluante autour de sa queue qui se ramollissait. Le grand mec la retira et la roula en boule ; il la présenta devant sa bouche : "Ouvre !" Marc se sentait trop vidé pour résister. La boule gluante emplit sa bouche ; il sentit le goût légèrement salé de son foutre qui coulait à la commissure de ses lèvres. Une bande d'adhésif lui entoura la tête et un des mecs lui remit le sac qui l'aveugla.

 

Complètement immobilisé, dans le noir, la bouche scellée emplie du goût de son propre sperme il resta prostré un bon moment. Le foutre séchait sur sa queue et ses couilles. Il entendait autour de lui les jeunes rigoler, boire, chahuter. De temps à autre l'un d'entre eux venait lui palper les fesses, les couilles ou la queue.

 

Il n'avait plus la notion du temps ;simplement il commençait à sentir la fraîcheur de la nuit sur ses jambes nues . Soudain il eut l'impression que les mecs partaient ; il essaya de se débattre ; mais l'adhésif le maintenait solidement contre le poteau et avec son bâillon il ne pouvait émettre que des grognements étouffés. Il entendit des crépitements et à travers la toile du sac il crut apercevoir une lueur ; un souffle chaud l'effleura : les jeunes avaient mis le feu à la voiture! L'inquiétude le gagna mais au bout de quelques minutes il entendit une sirène. Il se rendit compte que les pompiers arrivaient et il imagina le jeune pompier qui allait le découvrir, attaché au lampadaire, cul nu, la queue couverte de traces de sperme sec…A cette idée il sentit à sa grande honte qu'il recommençait à bander.

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Vendredi 26 août 5 26 /08 /Août 21:02
La suite et la fin de ce premier récit de Marc. N'oubliez pas de poster des commentaires, les récits SM en français sont rares...
Arnaud S.
 
FORMATION IMPOSÉE (3e épisode, par Marc)

[épisode précédent] 

   

ecuelle- Slave, je pense qu tu es maintenant prêt pour le grand jeu.

 

Il vit le Maître prendre une sorte de masque à gaz qui pendait au mur. Il revint vers le sling et en revêtit la tête de Marcel. Celui-ci se demandait bien ce qui allait se passer lorsqu’il sentit soudain comme un doux étourdissement l’envahir. Le Maître lui faisait respirer des poppers en versant directement quelques gouttes de liquide dans le filtre du masque à gaz. C’est alors qu’une masse se mit à envahir progressivement son anus. C’était le poing du Maître qui se frayait un chemin à l’intérieur de ses entrailles. La douleur était intense, mais le liquide qui avait été placé dans le masque lui aidait à savourer chaque instant de cette intrusion. Il était conscient du poing qui, petit à petit, se frayait un chemin à l’intérieur de son bas-ventre. Et soudain, il sentit le poing franchir, en glissant, la dernière frontière qui le séparait de la défloraison définitive du boy, du slave, du chien.

 

Au même moment, son pénis explosa et cinq jets de sperme allèrent se répandre sur sa poitrine et dégoulinèrent jusque sur la main du Master. Sans y penser, sans qu’on le force, sans qu’on le torture, Marcel s’entendit crier volontairement :

- C’est bon Maître, merci Maître. MERCI MON MAÎTRE!!!

 

Le Master était parvenu à ses fins. Marcel en était venu, dans la jouissance, à remercier son tortionnaire et à le considérer non pas seulement comme un Maître, mais comme «son» Maître.

 

Après quelques minutes supplémentaires de fisting, le Maître embrassa tendrement son slave, le détacha du sling et le conduisit au cachot situé juste à côté du donjon.

- Tu as bien mérité de te reposer boy. Tu as tout ce qu’il te faut ici pour bien  dormir. On se revoit demain matin.

 

Le Master ferma le cachot à clef, éteignit la faible lumière et quitta les lieux.

 

Le lendemain matin, Marcel se réveilla vers 5h30, comme il en avait l’habitude. Il ne lui fallut que quelques secondes pour se rappeler où il était et ce qui s’était passé la veille. Encore une fois, à sa grande surprise, il se rendit compte qu’il était en érection. Mais cela était dû au fait qu’il avait une envie énorme d’uriner. C’est sans doute ce qui l’avait réveillé d’ailleurs. Il n’eut pas à attendre longtemps cependant car le Maître fit irruption dans le donjon et se dirigea directement dans le cachot. Il déverrouilla la porte et entra dans le réduit. 

- Ton petit-déjeuner est servi slave. Je vais te détacher et tu vas me suivre bien sagement dans la salle à manger.

- J’aimerais d’abord uriner Maître…si vous le permettez bien sûr.

- Certainement mon boy. Attends-moi un instant.

 

Le Maître revint alors avec un gros bol et dit au slave d’uriner dedans. Marcel s’exécuta sans trop se poser de questions. Quand il eut fini, le Maître conduisit le slave dans la salle à manger. La première chose que Marcel vit fut la table avec des croissants, du jus d’orange et du café. Tout heureux de refaire ses forces, il se préparait à s’asseoir quand le Maître lui donna un coup de pied au derrière en lui disant :

- Un slave ne mange pas à la table du Maître. Il mange à terre, dans une écuelle, comme un chien.

 

Il lui montra alors l’écuelle à terre. Il lui passa des menottes aux poignets, les mains par devant, lui dit de s’agenouiller et d’attendre la nourriture qu’il allait lui apporter dans quelques instants. Marcel n’en croyait pas ses yeux quand il vit le Maître revenir avec une boîte de nourriture à chien qu’il ouvrit devant lui. Il versa le contenu de la boîte dans l’écuelle et lui dit de faire honneur à son petit-déjeuner préparé avec soin. Marcel leva la tête et regarda son Maître dans les yeux. Il vit que celui-ci ne blaguait pas et qu’il s’attendait véritablement à ce qu’il mange cette nourriture dégueulasse et nauséabonde.  

- Tu sais ce que tu as à faire slave. Ou tu fais ce que je te dis, ou tu en subis les

conséquences qui, comme tu le sais, sont habituellement pires que ce que je te demande de faire.

 

Marcel se souvenait des punitions de la veille et savait que son Maître était sérieux. Il se résolut donc à commencer à manger le contenu de l’écuelle. Comme il avait les mains attachées, il était obligé de manger comme un chien en attrapant la nourriture directement avec la bouche. Il en eut bientôt tout le visage recouvert. Il s’efforçait de manger malgré son sentiment d’écœurement, pendant que le Maître se régalait de bon café et de croissants aux amandes. Le Maître se tourna alors vers lui avec un air de fausse sollicitude et lui demanda s’il voulait boire quelque chose. Marcel fit signe que oui. Le Maître se leva alors de table et alla chercher le bocal dans lequel le slave avait uriné. Il versa une bonne partie du liquide dans l’écuelle et dit :

- Régale-toi mon bon chien; tu l’as bien mérité.

 

En même temps, il saisit Marcel par le cou et le força à plonger le nez dans l’écuelle. Il appuya alors son pied sur la tête de son slave et lui dit qu’il continuerait à peser de tout son poids sur sa tête tant que l’écuelle ne serait pas vide. Marcel, encore une fois, n’avait pas le choix et s’efforça de vider l’écuelle. Le Master appuyait de toutes ses forces sur la tête du slave et se masturbait avec frénésie. Il versa le reste de la pisse dans l’écuelle et sans un mot, sans une protestation, sans un murmure, Marcel avala ou plutôt lapa le reste de la pisse refroidie dans le fond de l’écuelle.

 

Quand il eut terminé, le Master lui déclara :

- Puisque tu as vidé ton assiette comme un bon chien, tu as maintenant droit à un dessert.

 

Il enleva son pied de sur la tête du slave et lui dit de rester à genoux tout en se plaçant devant lui. Le Maître le força alors à avaler son pénis en érection.

- Régale-toi du sperme de ton Master. C’est un cadeau que je te fais parce que tu as été un bon slave. Mange ton dessert. Savoure la sève de ton Master.

 

Marcel se mit alors à sucer le pénis du Maître comme si sa vie en dépendait. Le Maître le tenait par les oreilles et se masturbait littéralement dans la bouche du slave. Celui-ci n’avait le choix que de suivre le rythme donné par le Maître et d’y correspondre de la façon la plus parfaite possible en suçant la bitte du Maître. Soudainement, Marcel sentit couler le sperme chaud du Maître dans le fond de sa gorge. Il continua à sucer et à avaler ce qui lui sembla une quantité astronomique de liquide jusqu’à ce que son Maître lui ordonne d’arrêter et qu’il retire son pénis de sa bouche.

- Bon chien! Maintenant, dis whouf! whouf! pour remercier ton Maître.

 

Un faible jappement s’échappa de la bouche de Marcel.

- Tu jappes comme un chien de fifi. Jappe comme un chien dont le Master peut être

fier. Montre-moi que tu es vraiment content de ton dessert.

- Whouf! Whouf! articula Marcel avec force pour en finir au plus vite.

- Je ne suis pas certain d’avoir bien entendu.

- Whouf! Whouf! hurla Marcel de toutes ses forces.

- C’est ça le chien. Tu as bien compris.

 

L’attitude du Maître changea alors du tout au tout. Il défit les menottes de Marcel et lui dit de passer au salon. Il lui donna la permission de s’asseoir sur un fauteuil et lui offrit même une cigarette. Marcel ne savait pas s’il devait accepter ou non. Il accepta finalement en pensant qu’au point où il en était cela ne pouvait pas faire de tort. Le Maître déclara alors que la séance était terminée et qu’il était libre de partir quand il le voulait. Marcel n’en croyait pas ses oreilles. Il était véritablement libre de partir. Ses souffrances étaient terminées. Il était remis en liberté. Il ne se fit pas prier et déguerpit avant que le Master change d’idée.

 

 

ÉPILOGUE

 

Sur le chemin du retour vers son appartement, Marcel se demandait encore si les événements qui s’étaient passés la veille étaient bien réels ou s’il n’avait pas tout simplement rêvé. Les douleurs qu’il ressentait et les marques qu’il portait ne pouvaient le tromper cependant. Il avait bel et bien été battu et abusé par un Maître sadique et cruel. Il venait de passer les heures les plus sordides de sa vie. Il se demandait s’il devait porter plainte à la police. Peut-être au contraire valait-il mieux se taire et essayer d’oublier tout ça. De toute façon, il avait la tête trop lourde pour le moment pour réfléchir longuement à ce qu’il devait faire. Il se concentra donc sur la route en tâchant de ne pas penser à ce qui lui était arrivé. Mais impossible. Les images de la veille repassaient sans cesse dans son cerveau. Les coups de pied, les crachats, les aiguilles, la cire, le fouet, les humiliations, l’urine, etc. Il porta la main à son entre-jambes et se rendit compte qu’une érection était en train de faire son apparition dans ses pantalons.

 

Quinze jours plus tard, il était de retour dans le donjon, chez son Maître.

 

FIN

 

Québec, juillet  2011

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 08:20
aiguillesSalut Arnaud,
Voici la suite du récit dont tu as fait paraître le début. Je t'en remercie d'ailleurs. Pour répondre à la question à savoir s'il s'agit d'une expérience vécue, disons que j'ai laissé jouer mon imagination à partir d'une rencontre très intense qui avait failli mal tourner.
Bonne lecture à tous,
Marc 

 

 

 

FORMATION IMPOSÉE (2e épisode, par Marc)

[Episode 1] 

 

 

Marcel fut réveillé par un cri hurlé à ses oreilles lui ordonnant de se lever et de se tenir les mains derrière le dos. Il pensait n’avoir dormi que quelques minutes, alors que le Maître l’avait laissé se reposer durant deux heures. Il ressentait un sentiment d’humiliation et de douleur physique intense, mais, à son grand étonnement, il était en état d’érection.

 

Le Maître prit le pénis entre ses mains, de façon sadique, et le tira tout en l’écrasant. Marcel se pinça les lèvres pour ne pas hurler.

- Es-ce que tu es content que ton Maître t’aie permis de te reposer?

- Oui Maître. Merci Maître.

- Es-tu prêt à continuer à faire plaisir à ton Maître?

-  

- Est-ce que j’ai véritablement senti une hésitation?

-  Je suis prêt Maître.

- J’aime mieux ça! On va maintenant se diriger vers le sling et on va continuer à s’amuser un peu. Je suis loin d’en avoir fini avec toi. Ça vient à peine de commencer.

 

Marcel ne pensait qu’à se diriger le plus rapidement possible vers le sling pour que cela cesse. Il s’allongea sur l’appareil et le Master lui attacha les pieds et les mains. Il lui installa ensuite un bandeau sur les yeux et des bouchons de cire dans les oreilles. Non seulement il ne pouvait bouger et rien voir, mais il n’entendait plus rien. Une éternité sembla se passer. Il ressentit subitement une douleur intense au pénis, comme si une décharge électrique lui avait traversé la verge. Cette douleur se répéta à plusieurs reprises. Il se tordait et hurlait au Maître d’arrêter par pitié. Celui-ci continuait cependant à répéter sa torture du pénis. Ce que Marcel ne voyait pas, c’est que le Maître lui avait entré des aiguilles à travers la verge. Il entreprit alors de faire la même chose sur les seins. Trente minutes plus tard, il enleva le bandeau et les boules dans les oreilles. Marcel put constater qu’il avait dix aiguilles dans le pénis et presque autant dans les deux seins.

- Maintenant boy, tu vas vraiment me faire plaisir. Je vais te détacher la main droite et tu vas toi-même t’entrer une aiguille dans le gland.

- Tout, mais pas ça Maître. J’en suis incapable.

- Ai-je bien entendu? Si tu veux pas goûter encore une fois au bambou, t’as intérêt à faire ce que je te dis. Compris sale chien ?

- Oui Maître.

 

Marcel attrapa alors en tremblant l’aiguille que le Maître lui tendait. Il commença à percer, mais la douleur le fit s’arrêter à mi-chemin. Le Maître regarda alors le slave avec cruauté dans les yeux et celui-ci comprit qu’il n’avait pas le choix. Il appuya donc de toute ses forces sur l’aiguille qui s’enfonça et ressortit de l’autre côté du gland. Marcel se laissa tomber sur le sling et respira longuement.

- Ce n’est pas symétrique slave; il en manque une de l’autre côté.

 

Il tendit une autre aiguille et le même scénario recommença. Marcel était conscient de ses seins et de son pénis comme il ne l’avait jamais été auparavant. Chaque respiration se répercutait avec une sensation d’élancement et de douleur. Il pensait qu’il en était parvenu au maximum de la souffrance lorsqu’il vit son Maître approcher avec une chandelle allumée au-dessus du sling. La première goutte de cire ne fit que pincer légèrement, mais la répétition du même geste à plusieurs reprises le rendit comme fou. Après plusieurs minutes de ce manège au-dessus de ses deux seins, de son pénis et de ses couilles, il se tordait comme un serpent qui cherche à s’enfuir en vain. Il pleurait, il criait, il suppliait, mais le Maître continuait à jouir de sa mise en scène sans tenir compte des réactions du slave. Quand il eut terminé son petit jeu, les seins, les couilles et le pénis de Marcel étaient recouverts d’une épaisse couche de cire sous laquelle on devinait à peine les aiguilles.

- Maintenant, il va falloir nettoyer tout ça. Je vais te détacher du sling et tu vas me suivre bien sagement aux toilettes. Je ne veux même pas que tu penses à te sauver car les conséquences en seraient terribles pour toi. Compris?

- Oui Maître murmura-t-il.

- Plus fort je n’ai pas entendu.

- Oui Maître hurla-t-il.

- C’est mieux comme ça!

 

Le Maître le fit se placer dans la baignoire, debout, les mains dans le dos, et entreprit d’enlever les aiguilles une à une. Il tirait lentement sur l’aiguille. À mi-chemin, il jouait avec elle de façon à provoquer douleur et saignement. Il regardait son slave dans les yeux et jouissait littéralement des cris qui s’élevaient de la bouche du slave. À chaque fois que le slave bougeait involontairement à cause de la douleur, il redoublait de sadisme dans la façon dont il enlevait les aiguilles.

- C’est le temps de te laver mon cochon.

 

Il fit gicler une douche d’eau froide sur le corps de Marcel, ce qui fit durcir la cire qui recouvrait son corps. Durant les 15 minutes qui suivirent, il fit disparaître la cire en la frottant avec une brosse à plancher à crin dur. Les morceaux de cire partaient par plaques et la peau devenait de plus en plus rouge.

- Maintenant que l’extérieur est à peu près propre, on va s’occuper de nettoyer l’intérieur. Un slave doit toujours avoir toutes les parties de son corps propres pour le service du Maître.

 

Il entra alors dans l’anus du slave un long boyau de caoutchouc qui pendait de la douche, et ouvrit le robinet. L’eau commença à entrer dans l’anus et le Maître lui ordonna de garder l’eau à l’intérieur de son corps le plus longtemps possible, en serrant les fesses. Quand il n’en pouvait plus, Marcel relâchait ses sphincters et laissait s’écouler l’eau souillée. Le Maître recommença le processus plusieurs fois. Au bout d’un moment, il mit encore une fois le boyau dans l’anus et à l’instant où Marcel allait relâcher les sphincters, il retira rapidement le boyau et introduisit immédiatement un butt plug dans l’anus. Ses tripes étaient pleines d’eau et il lui était impossible de se vider. Le Master le força à s’étendre sur le dos dans le bain. Une fois le slave étendu, il se mit à lui masser le ventre sans ménagement avec la main droite. De l’autre main, il retenait le butt plug avec force pour ne pas qu’il sorte. Au bout de cinq minutes, le Maître retira la main qui retenait le butt plug. Celui-ci partit comme un boulet de canon et un fleuve d’eau souillée sortit de son corps. Marcel se sentait complètement vide et déshydraté.

- Par pitié, Maître, est-ce que je pourrais avoir un peu d’eau?

- Tu as soif slave?

-  Oui Maître.

- Ton Maître va te donner le meilleur liquide pour abreuver un slave qui a soif. Mets-toi à genoux dans le bain, tourne-toi vers moi et ouvre la bouche. 

 

Marcel fit ce qu’on lui demandait. Le Maître aspergea alors le visage du slave avec son urine. Marcel détourna la tête en tentant d’éviter le jet.

- Écoute slave. Tu as dit que tu avais soif, alors tu vas boire l’urine de ton Maître.

C’est un honneur que je te fais. Et si je sens le moindre contact avec tes dents, je vais te les arracher une à une avec les pinces de mon coffre à outil. As-tu compris?

- Oui Maître.

- Et je ne veux pas que tu laisses échapper une seule goutte.

 

Le Maître entra alors son pénis dans le fond de la gueule du slave et se mit à uriner d’un plein jet. Marcel avait la nausée à cause du goût âcre de l’urine mais il s’efforçait de tout avaler pour ne pas subir d’autres punitions. Il finit pas s’habituer et fut capable, bon gré mal gré, de se rendre jusqu’à la fin de l’envie du Maître.

- Bon chien!

Il le flatta alors sur la tête et autour des oreilles.

- Maintenant que tu es propre et abreuvé comme un bon chien, tu mérites de goûter encore plus aux surprises du Maître. On va retourner dans le donjon. Tu vas te coucher sur le sling comme un bon chien obéissant et une fois installé, mon poing va te nourrir de graisse par le cul. Tu vas te sentir gavé comme tu ne l’as jamais été.

 

Rendus au donjon, le Maître procéda à bien attacher son slave en lui plaçant le cul de façon à ce qu’il soit facilement accessible. Il ne mit pas de bandeau au slave de façon à ce qu’il soit conscient de chaque étape du processus qui allait s’enclencher. Il approcha différents dildos qu’il prit bien soin de montrer au slave avant de les disposer sur une table. Marcel était effrayé de la grosseur et de la forme de certains d’entre eux. Même s’il s’était déjà amusé à s’entrer des choses dans le cul tout en éprouvant un certain plaisir, il ne voyait vraiment pas comment ces monstres allaient parvenir à pénétrer son anus. Il en était persuadé, le Master allait littéralement lui déchirer le cul. Des sueurs froides lui coulaient sur les tempes.

 

Le Master approcha alors un contenant de Crisco et en mit une généreuse portion sur un dildo. Et le jeu commença.

 

Au début, Marcel ne sentit pas de malaise. Il en éprouva même un certain plaisir comparativement à ce qu’il avait vécu dans les heures précédentes. Mais au fur et à mesure que la grosseur des dildos augmentait, la douleur anale devint de plus en plus intense. Rendu à un certain point, il ne pensait pas être capable d’en endurer davantage et se mit à supplier le Maître d’arrêter. Celui-ci arrêta effectivement et s’approcha du visage de Marcel.

- Tu n’apprécies pas les efforts que fait ton Maître pour te faire plaisir?

- Je n’en peux plus. J’ai l’impression que vous me déchirez le dedans des tripes.

- C’est moi qui décide ce qui est bon pour toi et tu n’as pas un mot à dire. Est-ce bien compris slave?

 

En disant ces mots, il installa sans ménagement une pince sur le sein droit de Marcel. Un cri effrayant sortit de sa bouche, car il s’agissait d’une pince à griffe de métal qui entrait directement dans la peau. Quand Marcel vit le Maître approcher avec la seconde pince, il ferma les yeux et serra les dents pour ne pas crier. Peine perdue, car la pince était encore plus serrée que la première et lui entrait profondément dans la peau.

- Maintenant que tu peux fixer ton attention sur une autre partie de ton corps de chien sale, je vais pouvoir continuer à m’occuper de ton cul en paix.

 

Au lieu de continuer à utiliser des dildos, le Master revêtit ses mains de gants de latex, les couvrit de graisse et se mit à pénétrer l’anus de Marcel. Petit à petit, mais sans ménagement. Au début, ce fut quelques doigts, mais bientôt, ce fut les doigts des deux mains qui massaient, allaient, venaient et s’amusaient dans l’anus de Marcel. Celui-ci ne sentait plus la douleur des tits clamps et recommençait à ressentir vivement les intrusions des mains du Master dans son cul. Il voulait lui dire d’arrêter, mais il savait que c’était peine perdue. Des sanglots montaient de sa gorge et des larmes coulaient de ses yeux.

- Je suis content de voir que tu t’amuses autant que moi, dit le Master en lui adressant un sourire de cruauté. Je vais maintenant laisser reposer ton cul et m’amuser un peu avec toi.

 

Marcel se demandait à quelle sorte de jeu sadique le Master allait encore se livrer. Il n’attendit pas longtemps pour le savoir. Après avoir enlevé ses gants, il s’approcha de Marcel et essuya les larmes de ce dernier avec ses doigts. Il les porta ensuite à la bouche du slave.

- Slave, suce les doigts de ton Maître.

 

Marcel fit ce qu’on lui demandait et se mit à sucer les doigts au goût salé. Il suçait comme un enfant qui avait été privé de bonbons pendant un long moment. C’est comme s’il n’avait jamais tant eu besoin de satisfaction orale. Le Master devina rapidement ce que son slave ressentait et approcha sa bouche de celle de Marcel tout en tirant sur les tits clamps. Marcel s’accrocha littéralement à la bouche du Maître. Plus le Maître tirait sur les tits, plus il lui siphonnait la bouche et la langue. Ce n’était pas fini. En plus de tirer sur la chaîne des tits clamps avec une main, il se mit à lui serrer les couilles de plus en plus fort avec l’autre main. Pour la première fois de la soirée, Marcel ressentait un réel plaisir sexuel à la limite de l’orgasme. Il dévorait goulûment la gueule de son Master et savourait chaque seconde de ce mélange de douleur et de plaisir extrême. Il sentait ses couilles pleines de sperme, prêtes à exploser. L’érection de son pénis était si intense qu’on aurait dit une queue de béton!

- Slave, je pense qu tu es maintenant prêt pour le grand jeu.

 

[Suite et Fin]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 30 juillet 6 30 /07 /Juil 05:11

fouetMarc m'a contacté pour me proposer de publier ce récit. Il a employé le terme de récit et non d'histoire, ce qui me fait croire que c'est du vécu.  Soyez nombreux à l'encourager pour qu'il nous livrela suite !

Arnaud S.

 

FORMATION IMPOSÉE [épisode 1, par Marc]

 

 Marcel avait répondu à une annonce parue sur le site de Priape : «Master sérieux et exigeant prêt à recevoir des slaves obéissants dans son donjon». En approchant du lieu du rendez-vous, un sentiment vague l’envahissait peu à peu. Contrairement aux principes de prudence qu’il suivait habituellement, il n’avait prévenu personne de l’endroit où il allait.

 

La porte s’ouvrit et il fut frappé de la noirceur qui régnait dans l’appartement.

 

-           Ferme la porte slave, et viens te placer devant moi.

 

Il avança donc en essayant de ne pas heurter les meubles. Peine perdue, il fit tomber des livres en équilibre instable sur un meuble.

 

-           Excuse-moi, je ne les avais pas vus.

 

-           Tu viens de commettre deux erreurs slave : tu as foutu le bordel dans la pièce et tu m’as tutoyé. Tu parles quand je t’en donne la permission et tu ne peux dire que «Oui Sir» ou «Merci Sir». Tu devras être puni pour ces deux erreurs. Pour le moment, slave, viens te placer devant moi, à genoux, les mains derrière le dos.

 

Marcel fit ce qu’il lui était demandé. Le Master lui saisit alors les cheveux, tira sa tête vers l’arrière et lui cracha au visage. Voyant l’air effaré du slave, il tira encore plus sur les cheveux et lui recracha en plein visage. Marcel trouvait que ça commençait un peu raide.

 

-           Tu penses pas qu’on pourrait parler un peu avant de commencer?

 

-           Décidément, tu n’apprends pas vite : tu me vouvoies, tu m’appelles Sir et tu ouvres ta gueule uniquement quand je t’en donne la permission. Compris, slave?

 

Il avait à peine terminé de parler qu’il lui administra une claque en plein visage, de toutes ses forces, ce qui le fit chanceler et tomber à terre.

 

-     Je pense que ça marchera pas; on arrête ça tout de suite. C’est un peu trop heavy pour moi.

 

Le Master le saisit alors à la gorge et serra jusqu’à lui faire perdre le souffle. Il lui donna un coup de poing dans le ventre et un coup de pied dans les couilles…

 

Quand il reprit connaissance, il était complètement nu. Il avait les bras et les pieds attachés à une table, et de toute évidence, il venait de recevoir une chaudière d’eau froide en plein visage.

 

-           Écoute-moi bien : tu es ma propriété, tu es moins qu’un slave, tu es moins qu’un chien, tu es ma chose et je fais de toi ce que je veux. J’espère que c’est clair. Il faut que tu comprennes que tu es désormais à mon service. Je vais te dompter, te former et progressivement tu vas en venir non seulement à accepter ta condition, mais à l’aimer. Tu vas même en venir à aimer ton Master. Dis que tu aimes ton Master!

 

-           Va chier maudit malade! Il n’en n’est pas question.

 

-           O.K. Tu veux pas comprendre par la persuasion, je vais être obligé d’utiliser d’autres moyens.

 

Le Master dit à Marcel qu’il allait le détacher, mais qu’il ne voulait pas qu’il bouge en attendant de lui passer des menottes. Lorsqu’il fut détaché, Marcel en profita pour sauter en bas de la table, mais un cri de douleur lui sortit aussitôt de la gorge : le Master avait détaché ses mains et ses pieds, mais Marcel ne se rendait pas compte qu’il était retenu au plancher par les couilles! En tentant de s’enfuir, il avait tiré le lien au maximum et la douleur inattendue avait été si intense qu’il se roulait au plancher en hurlant et en gémissant. Le Master avait évidemment prévu le coup et riait de façon sadique en contemplant sa victime.

 

-           Tu pensais tout de même pas que j’allais te laisser partir alors que je suis si bien en ta compagnie…Si tu veux pas que je t’écorche vif, tu vas m’écouter une fois pour toutes. Tu es pris par les couilles, mais tu as assez de corde pour te rendre jusqu’à la croix de Saint-André située au mur. Tu t’y rends immédiatement, et tu appuies ton front contre le mur.

 

En disant ces mots, il tira vigoureusement sur la corde de façon à tirer encore plus sur les couilles déjà endolories. Marcel n’avait pas le choix. Il se leva donc péniblement et se dirigea vers la croix, tout en étant retenu par les couilles. Il n’y avait que quelques pas à faire, mais le Master tirait sur la corde de plus en plus fort pour l’inciter à se dépêcher. Rendu au mur, le Master lui ordonna de placer les mains derrière le dos, tout en lui écartant les pieds. Il lui passa d’abord des menottes aux poignets, puis attacha solidement les pieds écartés à des anneaux situés au mur. Il détacha ensuite les menottes, et lia immédiatement les mains en x au-dessus de la tête.

 

-           Je suis content que tu aies décidé de rester, dit le Master de façon sarcastique. Je suis sûr qu’on va bien s’amuser tous les deux…Maintenant, on va voir si tu es vraiment content de passer du bon temps avec ton Maître.

 

Celui-ci se dirigea vers le fond du donjon et en revint avec un fouet à plusieurs lanières. Il commença par caresser la peau de Marcel et lui présenta le fouet entre le mur et la bouche en disant :

 

-           Embrasse le fouet qui va servir à faire de toi un bon slave.

 

Marcel hurla qu’il ne ferait jamais une chose semblable. Sans se presser, le Master recula de deux pas. Il se mit alors à le fouetter de plus en plus fort. Marcel avait déjà été fouetté et était capable d’en prendre. Mais la cadence du fouet était vraiment rapide et il savait très bien en lui-même que cela deviendrait insupportable s’il ne respirait pas des poppers. Mais le rythme s’accélérait et, malgré lui, il s’entendit crier :

 

-           Pitié, je vais faire ce que vous me demandez.

 

-           Qui t’a donné la permission de parler?Tu vas être puni pour ça. 50 coups de fouet! Et après chaque coup, je veux que tu comptes et que tu dises «Merci Maître». J’espère que tu as bien compris : on commence.

 

Les coups commencèrent à pleuvoir. Marcel comptait et n’oubliait pas de remercier après chaque coup, mais il se tordait de douleur et tentait vainement d’éviter le fouet en essayant d’entrer littéralement dans le mur. Sa voix n’était devenue qu’un murmure et tout se troublait dans sa tête. L’inévitable se produisit alors. Il en était à son 34e coup quand il oublia de compter. Le Maître s’approcha alors de son oreille gauche et lui murmura doucereusement :

 

-           Je suis très déçu de ta désobéissance boy. Mais je ne suis pas un mauvais Maître. Je te laisse le choix. On recommence à partir de zéro ou tu acceptes de recevoir 14 coups de cane de bambou sur les fesses. À toi de choisir.

 

Marcel se savait incapable de recevoir 50 coups de fouet supplémentaires et choisit donc les 14 coups de bambou. Il n’avait jamais été battu à coups de bambous auparavant et ignorait donc qu’il venait de faire le pire choix de sa vie. Quand le premier coup s’abattit sur ses fesses, il pensa perdre connaissance tant la douleur était forte. Au troisième coup, il était déjà dans un état de délire et sentait le sang lui couler le long des cuisses. Le Maître continua à frapper sans relâche et Marcel traversa le seuil de la douleur. Il entendit alors le Maître lui dire :

 

-           Qu’est-ce que tu dis à ton Maître qui vient de te caresser?

 

Et Marcel s’entendit répondre, malgré lui, et la voie entrecoupée de sanglots :

 

-           Merci Maître.

 

-           Enfin, tu commences à comprendre boy!

 

Le Master dit alors à Marcel qu’il allait le laisser se reposer, mais qu’il devait conserver son état total de soumission. Il devait également s’attendre à ce qu’il soit réveillé à n’importe quel moment et prêt à servir. Et pour ne pas qu’il oublie son Maître durant son absence, il lui entra dans la gueule un jock strap humide porté durant deux jours et deux nuits :

 

-          Fais de beaux rêves en respirant l’odeur de ton Maître.

 

Marcel s’endormit rapidement.

 

[EPISODE 2]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 09:16

Je suis pour sécuriser l'archivage des très bonnes histoires en les copiant. Celle-ci, publiée par Rhadel sur Gai-éros le mérite. J'attends la suite avec impatience !

Arnaud S.

 

Depuis le remariage de ma mère, je vis avec mon beau-père et mon demi-frère. Le climat familial est quelque peu tendu, nous ne sommes pas ce qu'on pourrait appeler une famille modèle. Nous vivons dans un petit appartement situé dans un quartier pauvre d'une grande ville, et ma mère s'absente souvent plusieurs semaines pour son travail. Mon beau-père me laisse habituellement tranquille, il travaille souvent tous les jours et revient très tard la nuit, complètement bourré.

Mon demi-frère a 26 ans, 8 de plus que moi. Il a un diplôme en mécanique, mais il ne s'est jamais trouvé d'emploi. Il mesure 1m75, il a les cheveux noirs, les yeux noirs, il s'entraînait donc il est musclé, mais depuis qu'il a arrêté il a pris un peu de ventre. Quand il est à la maison, il est dans sa chambre, le demi sous-sol de l'appartement, et il boit en regardant la télé. Ma chambre est beaucoup plus petite. C'était un grand débarras, il y a de la place pour mon lit et ma penderie, un bureau et c'est tout. Étant donné que c'est mon beau-père qui paie l'appartement, je suis chanceux de pouvoir rester même si j'ai eu 18 ans le mois passé.

Je mesure 1m60, et je suis plutôt mince, les cheveux blonds, imberbe, et ma queue fait 14 cm bandé. Pas trop top pour impressionner les filles. J'suis beau quand même, mais je n'ai jamais eu de copine. Je suis un peu gêné, je n'ai pas beaucoup d'amis. Je termine mes sciences pour entrer en fac de médecine l'an prochain. Ma mère ne veut pas que je travaille, donc elle me donne ce qu'elle peut pour mes dépenses.

Ce matin, en me levant, je vois une note sur la table. Ma mère est partie pour deux semaines, elle a dit qu'elle a laissé de l'argent à Alex (mon demi-frère) pour qu'il me la donne: "Je ne voulais pas la laisser sur la table, tu connais ton beau-père..." Merde, je connais aussi mon demi-frère. Autant dire que cet argent, je l'aurai pas. J'entends un genre de râle étrange venant de la chambre du fond, mon beau-père se lève, je cache le mot. Il ouvre la porte de la chambre, il est aussi grand que son fils, l'exacte réplique avec vingt ans de plus. Il porte un slip blanc et un t-shirt. Il s'approche de moi, en se grattant l'intérieur du slip, il sent la dèche, il vient de se crosser. Il sort sa main et me fout deux petites claques sur la joue. Il prend deux secondes pour me regarder de haut en bas, je porte un boxer noir moulant.

— Ça va toi ce matin? Criss que t'es maigre.

— Oui, ça va.

— Ta mère est partie, non? Ha. Écoute, moi aussi je pars, je vais à la chasse avec mon frère pour quelques jours. Tu vas t'occuper de la maison?

Il sait très bien que son bon à rien de fils ne fera rien pour entretenir la maison.

— Oui, je vais... faire le ménage là.

— En tout cas c'est mieux d'être propre quand je reviens.

— Oui, si c'est pour m'empêcher de te voir la face pendant quelques jours, ça vaut la peine.

— Petite merde haha.

Il me claque la joue "affectueusement". Cette fois, je sens quelque chose d'humide sur ma joue. Il avait encore un peu de dèche qui lui était restée de sa crosse matinale. Je me retiens de lui exprimer mon dégoût jusqu'à ce qu'il parte, puis je cours me laver le visage à la salle de bain. Puis j'ouvre le réfrigérateur. Merde. Plus rien à manger. Bon, je dois aller voir si Alex est réveillé, et essayer de le convaincre de me donner l'argent que ma mère lui a remis pour moi.

Je cogne à la porte du demi sous-sol: pas de réponse. Je vais voir s'il est réveillé, puis sinon, j'attendrai. En ouvrant la porte, je sens un mélange de bière, de sperme, de sueur et de je ne sais quoi. De façon surprenante, l'odeur ne m'est pas tant désagréable, je me suis un peu habitué à l'odeur d'Alex depuis que je vis avec lui. La seule petite lucarne du sous-sol est couverte avec un drap, il ne fait pas très clair. Doucement, je l'appelle, avec une voix un peu tremblotante parce que je suis un peu intimidé par lui :

— Alex, t'es réveillé?

Pas de réponse, je l'entends respirer. Il dort profondément. Je ne sais pas pourquoi, mais je descends le reste de l'escalier. Arrivé en bas, je regarde un peu le déluge: Des vêtements partout, des bouteilles de bière, un équipement de hockey accroché à la porte de la garde-robe (la seule activité physique qu'Alex pratique, à part baiser des filles louches) et Alex dans son lit. Il est sur le dos, bien écarté, avec une camisole blanche usée et un slip qu'il doit porter depuis 3 jours. Il a une bosse dans son slip, je me surprends à la regarder pendant quelques secondes, puis je vois sur sa table de "travail" un verre rempli de bière. Comme il y a de la vaisselle à faire, je décide de prendre le verre et de retourner en haut en attendant qu'il se réveille. Je prends le verre et je m'apprête à mettre le pied sur la première marche...

— Ça fait longtemps que tu me mattes? (Je n'avais pas remarqué qu'il s'était réveillé)

— N... Non, heu, je veux dire, je voulais savoir si t'étais réveillé, p... parce que...

— Ça fait que tu viens me voler mon urinoir, christ de dégueulasse.

— Ton urinoir?

Je regarde le verre de bière que j'ai à la main, et ce qu'il y a dedans, ce n'est pas de la bière, ça sent la pisse et je me rends compte que ça sent fort.

— Désolé, je pensais que c'était de la bière... Je... je vais remonter faire la vaisselle... pis redescendre tantôt...

Je pose le verre sur la table, et je cours remonter l'escalier

— T'oublies pas quelque chose? Dit Alex, Vide-le pis lave-le, tu me le ramèneras en redescendant.

Au lieu de protester, ce qui serait normal, je prends le verre et je remonte. Je le pose à côté du lavabo. Je tremble, j'ai des sueurs froides. Je ne sais pas pourquoi, mais Alex m'intimide vraiment. Peut-être parce qu'il est le genre de mec que je voudrais être, plein d'assurance, qui a du succès avec les filles. En même temps non, c'est un trou de cul qui ne fait rien de sa vie. Mais pourquoi je tremble comme ça alors? Et merde, pourquoi je lui lave son verre plein de pisse? Avant de le vider, je le sens un peu, c'est une odeur rance, comme celle que j'ai sentie en entrant dans le sous-sol, mais en concentré. J'ai honte, je vide le verre dans le lavabo et je lave la vaisselle. Après, je vais enfiler un t-shirt et un jeans serrés. À peine revenu dans la cuisine, j'entends Alex qui m'appelle. Je prends son "urinoir" et je descends. Autant être gentil avec ce malade si je veux mon argent.

En arrivant en bas, je le vois assis dans son lit, il a enfilé des bas sales et tachés.

— Donne-moi le verre.

— Merde... T... Tu vas pas...

— T'es malade. T'as beaucoup trop envie de la voir, ma queue. Tu penses que j'vais la montrer à une tapette comme toi?

— J'suis pas... t'es cave[1]... Ma mère t'a donné de l'argent pour moi, y'a rien à manger et j'dois aller...

— Ouais, je sais. Dommage, tu mangeras la semaine prochaine. Ou t'as qu'à aller faire ta pute sur le trottoir. J'pense que ton petit cul pognrais[2] bien avec les vieux pervers. Haha, t'es fait, mon gars.

— Pis toi, tu vas manger quoi? T'es... t'es même pas capable de te faire cuire...

— J'vais aller au resto du coin, t'es con ou quoi? J'en ai de l'argent, moi.

Je déteste qu'il me coupe la parole chaque fois que j'essaie de dire quelque chose. On dirait qu'à chaque fois, je me sens plus nerveux. Il a une espèce de sourire fendant, les cheveux courts en bataille. Le genre de gars que je détestais au secondaire, mais en version adulte et encore plus raté. Je fuis son regard, mais je sais qu'il sait que je suis nerveux. Ça parait dans son visage qu'il a une idée derrière la tête.

— J'ai une idée, dit-il, mon père est parti pour quelques jours, non? Il t'a sûrement demandé de t'occuper de l'appart. Alors, c'est ça le deal. Tu fais la bonne. Tu fais ce que je te dis de faire, je te paie.

— T... Tu le sais que je vais le faire anyway, le ménage. Donne-moi juste mon argent et t'auras même pas à parler.

Il a un rire inquiétant, puis il dit : - Mais c'est bin plus drôle si je te bosse, et comme tu l'as dit, tu le ferais anyway.

Ma nervosité fait temporairement place à l'exaspération : - Okay, fais-toi plaisir.

— Okay, tapette, ramasse mon linge pis lave-le.

C'est rapide. De l'exaspération naissante je repasse à la nervosité, en plus d'avoir un genre de début d'excitation dans le bas-ventre. Le ton de son ordre, sa voix autoritaire en étant calme, agressive et virile... C'est la nervosité, sûrement. Je ne peux pas être excité. Je ne suis pas gai, il peut m'appeler "tapette" tant qu'il veut, quand je crosse ma petite bite, c'est pas du tout à des mecs que je pense. Et encore une fois, au lieu de protester, j'obéis. Il s'assit sur le bord de son lit et me regarde faire. Je prends le panier à linge, je ramasse les vêtements. Alex porte ses vêtements plusieurs fois avant de les laver. Ils sentent la sueur, la bière...

— T'es con ou quoi? Celui-là, je l'ai porté une fois. Sens-les avant de les mettre dans le panier.

— Quoi? Au pire je les lave tous, on s'en fout.

— Je te paie pas pour chiâler, tu veux bouffer? Alors tu fais comme je dis.

Il a raison. Je ramasse un vêtement au hasard. Merde, son jock-strap de hockey. J'hésite quelques instants, puis je le sens rapidement. Il sent vraiment fort la sueur... et la pisse? Pas de doute, il a pissé dans son jock-strap. Pendant ce temps, Alex se marre. J'ai vraiment honte. Mais l'odeur provoque une espèce de picotement dans mon boxer. Après avoir tout ramassé, je me dirige vers l'escalier.

— T'en oublie un...

Il pointe un slip entre ses deux pieds. Non, il ne se penchera pas pour me le donner. Je m'approche et je le prends. Au même moment, il se lève, et le boxer qu'il porte se frotte sur mon visage. Je disais qu'il le portait depuis trois jours? Mettez-en quatre. Et en plus, il s'est crossé dedans ce matin, un peu de dèche reste collée sur mon nez. Je lève la tête, il est beaucoup trop grand. Je suis à ses pieds, littéralement. J'aurais envie de le tuer en ce moment, mais je suis tétanisé. Il a les yeux à moitié fermés et il rit. Je pense perdre connaissance quand je vois qu'il a MON blackberry dans la main.

— Pendant que tu t'amusais à sniffer mes vêtements, j'ai pris des photos. Je viens de les envoyer sur une adresse fantôme. Après, j'aurai qu'à faire suivre à ta mère, à mon père, à tes 2 ou 3 petits amis connards qui trainent trop ici à mon goût, et à quelques autres personnes aussi. Ça serait pas mal drôle, non? Comme ça, tout le monde saurait que t'es rien qu'une criss[3] de salope qui trippe à sniffer mes vieux boxers. T'en dis quoi?

Je suis solidement dans la merde. Je ne peux pas le laisser faire ça. Je le supplie, et, comble du pathétique, je me mets à pleurer, à genoux devant lui. Il a une drôle d'étincelle dans les yeux, quelque chose de pas du tout rassurant. Et il a toujours son sourire malveillant.

— T'es vraiment une petite merde, j'ai presque pitié de toi. Mais ça me donne une idée, tiens. Si tu veux pas que j'envoie ces photos à personne, faudra que tu sois ma bonne, pis que tu fasses tout ce que j'te demande, même les choses les plus dégradantes, t'as compris?

Il a un petit rire sardonique, je le connais, il est complètement malade, je ne peux pas accepter ça.

— T... Tu veux pas qu'on essaie de s'arranger...

Il me fout une claque puissante sur la gueule. Je suis presque sonné. Il se met à crier

— JE T'AI PAS DEMANDÉ TON AVIS, JE T'AI DEMANDÉ SI T'AVAIS COMPRIS QU'À PARTIR DE MAINTENANT T'ES MA BONNE, TAPETTE.

Il prend mon blackberry et il commence à appuyer sur les touches. J'ai pas le choix. J'ai trop honte.

— Oui... je suis ta bonne, mais s'il-te-plaît n'envoie les photos à personne.

— J'vais faire ce qui me plaît, tapette. Et si tu me fais une autre demande, j'envoie aussitôt les photos. J't'explique: C'est moi qui commande. Tu ne poses pas de questions, tu fais seulement ce que je te dis. C'est pas trop dur pour ta petite tête de fif, ça?

— ... J'ai compris.

— Maintenant, il va falloir te trouver un costume qui convient à une petite merde comme toi. Lève-toi pis bouge pas.

Je me lève en tremblant, je sue à grosses gouttes. Il est toujours en camisole et boxers devant moi. Je suis au niveau de ses aisselles. Poilues, avec une odeur de mec qui a oublié son déo pendant quelques jours. Il reste là devant moi quelques instants, il me fixe intensément mais je fuis son regard. Tout à coup, il empoigne le col de mon t-shirt avec ses deux mains, il m'étrangle un peu puis d'un mouvement sec il le déchire. Je pousse un petit cri aigu. Ensuite, il prend une paire de ciseaux qui traîne pas trop loin et me les tend.

— Découpe ton jeans.

— Je... je peux juste l'enlever...

— DÉCOUPE-LE CÂLICE

Et il me crache au visage. Je porte d'instinct ma main à mon visage pour l'essuyer, mais il m'arrête en me tordant le bras.

— Tu laisse couler ça, une petite merde comme toi mériterait bien pire que deux crachats dans face.

Et il me crache encore dessus. En me concentrant pour ne pas trembler, je découpe mon jeans et je me retrouve en boxers devant Alex. À côté de lui, je suis ridicule. La force avec laquelle il a déchiré mon t-shirt, la façon dont il m'a tordu le bras. Je suis terrorisé et comme captivé par lui en même temps.

— Découpe tes boxers, maintenant.

J’hésite quelques instants, assez pour recevoir une nouvelle baffe. Je suis sûr d’avoir les marques de sa main sur la joue. Je comprends que je n’ai pas le choix. Mes boxers tombent par terre. Je suis nu, imberbe, et si bandé ma queue fait 14 cm, à plat c’est tout aussi ridicule. D’ailleurs, Alex rit maintenant très fort. Il en profite pour prendre une photo. Je sais que je ne dois pas protester.

— T’ES UNE VRAIE TAPETTE TOÉ CRISS, dit-il en continuant à rire, T’AS VRAIMENT UNE P’TITE QUEUE!

Il cesse de rire soudainement et sort de dessous les couvertures un collier et une laisse en cuir usé qui appartenaient sûrement à un chien qu’il a eu. D’ailleurs, sur la médaille, il est écrit « Propriétaire : Alex ». Il m’enfile le collier autour du cou, et je me remets à pleurer. Il prend ensuite la laisse et la tire vers le bas avec un mouvement sec

— À QUATRE PATTES, MA CHIENNE.

Il me guide et m’emmène ensuite en haut. Mes genoux s’éraflent sur l’escalier et il s’en fout, il ne fait que tirer plus fort. Il m’emmène jusqu’à la chambre de mon beau-père. (Ma mère dort dans une autre chambre, qui était avant un bureau, mon beau-père a donc la chambre des maîtres à lui tout seul.) En entrant dans la chambre, je sens la même odeur que dans le sous-sol, en plus musqué. J’ai horriblement peur. Alex me tire jusqu'à la garde-robe. À l’intérieur, plusieurs vêtements sur le sol et une odeur de dèshe incroyablement puissante.

— Ça c’est les torchons à dèshe de mon père, comme toi tu vas devenir le mien. À chaque crosse, mon père prend un vieux slip ou des shorts et se décharge dedans. Comme ça, il peut les garder toute la nuit et pas avoir froid au cul. Salope, tu les prends dans ta gueule un par un et tu me les montres, je vais choisir ta tenue d’esclave.

L’odeur est repoussante, j’en prends un qui ne semble pas trop pire dans ma gueule. Alex rit et, bien sûr, il prend une photo. Je lui montre un short de sport noir bien taché, une camisole jaunie et bien odorante, et il tire soudain sur la laisse.

— CELUI-LÀ, DANS LE FOND.

Je m’avance jusqu’au fond et je prends un slip blanc troué, taché et bien garni de dèshe séchée dans ma gueule. Ma salive trempe le slip et je peux goûter au sperme de mon beau-père. J’ai un haut-le-cœur, mais à l’idée de cette humiliation, j’ai presque une érection et ça me dégoûte.

— MET LE SLIP.

Je le mets ou du moins ce qui en reste. L’élastique est trop grand et il est troué de partout. On peut encore clairement voir mon trou et ma queue.

— Tu es bien obéissante, salope, mais maintenant j’ai envie de pisser. Tiens, dit Alex en me donnant un verre pareil à celui du sous-sol, c’est l’urinoir de mon père, tiens le devant toi pour que je me soulage. Si tu lâches le verre, tu sais ce qui t’attends. ET TU ARRÊTES DE TREMBLER.

Je suis rouge de honte. Par la fente de son boxer, Alex sort une queue au repos et pourtant presque plus grande que la mienne lorsqu’elle est en érection. Il la place au-dessus du verre et presque aussitôt un flot jaune foncé sort de sa queue. Il n’a pas relevé la peau de son prépuce, bien sûr il a fait exprès. Résultat, le quart de la pisse se retrouve sur moi. Quelques gouttes viennent jusqu’à mes lèvres, c’est amer et dégueulasse.

— Petite merde, t’en a pris la moitié sur toi, criss. Même pas capable de faire ce qu’on te dit. Tant pis. Bon, j’ai faim. Tu m’attends dans cette chambre, et tu ne te lave pas, c’est compris? T’inquiètes, cette semaine tu vas sentir la pisse en masse, et la dèshe aussi, quand ça me tentera de me servir de toi comme dompe à sperme.

Et il part en claquant la porte. Je fonds en larmes. Je ne peux pas comprendre ce qui m’arrive. Je suis devenu la salope de mon demi-frère, cette espèce de malade mental m’a pissé dessus. Et le pire, c’est qu’il fait ça par pure méchanceté : il n’a même pas eu d’érection. Parlant de cela, depuis qu’Alex est sorti de l’appartement (j’ai entendu la porte du couloir) j’ai une érection terrible. L’odeur de sa pisse, l’odeur du slip de mon beau-père. Sans penser, je me mets par terre sur le dos, en gardant la laisse. La main dans le slip, je crosse ma petite queue et pas plus d’une minute plus tard, j’éjacule dans le torchon que je porte. Puis je m’endors, exténué.

Lorsque j’ouvre les yeux, il est une heure de l’après-midi au cadran. Presqu’aussitôt, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Mon cœur fait trois tours. Qui sait ce qu’Alex va faire de moi? J’entends des pas dans le couloir, la porte de la chambre s’ouvre. Merde. Mon beau-père, qui est moins allé à la pêche que dans le bar au coin de la rue, entre complètement saoul dans la chambre. Il me regarde quelques instants, sans comprendre ce qui se passe. Puis il voit que je porte une laisse et son torchon à dèshe, et il voit aussi qu’il est humide. Il se jette sur la laisse et la tire vers le haut pour me forcer à me lever et se met à gueuler à deux pouces de mon oreille. Il empeste la bière et la sueur.

— OSTIE DE FIF, JE LE SAVAIS QUE T’ÉTAIS UN OSTIE DE DÉGUEULASSE. J’VIENS D’AVOIR DES BELLES PHOTOS DE TOI, T’ES UN OSTIE DE MALADE. TU VEUX DE LA QUEUE? TU VEUX ÊTRE UNE PETITE MERDE? TU VAS EN ÊTRE UNE. DIS-LE QUE T’ES UNE SALOPE, ALLEZ!

En pleurant, je lui réponds que oui, je suis une salope.

[à continuer... ]

 

1.↑ Cave : Expression du Québec pour un imbécile.

2.↑ Pogner : Expression du Québec pour avoir du succès.

3.↑ Criss : Expression du Québec pour sacré.

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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