Partager l'article ! Déchéance Krade - épisode 3/4 (XX-toire par TheKevin25): Episode 1 : Mensonges Episode 2 : Colère Episode 3 : ...
Episode 3 : Destruction
"Una salus victis, nullam sperare salutem" [Les vaincus n'ont qu'un seul espoir : n'espérer aucun salut !]
Virgile, l’Énéide, 2, 354.
Il me traîna à l'écart de la voiture et se plaça au-dessus de moi.
– Je ne veux pas qu'on me voit avec un déchet comme toi. Demande-moi de te laisser monter dans le coffre.
– … Laisse-moi monter dans le coffre de ta voiture s'il te plaît.
– Bien, qu'est-ce que tu me donne en échange ?
– Ce que tu veux !
– Demande-moi de te pisser dans la bouche. Demande-moi de te laisser boire ma pisse...
– Quoi ?
Il me marcha sur la main et je me mis à hurler.
– Ta gueule ! Demande-moi de t'utiliser comme une pissotière que tu es !
– … Utilise-moi comme une pissotière.
– Tu boiras ma pisse ?
– Oui ! Oui ! Je boirai ta pisse, mais s'il te plaît enlève ton pied ! S'il te plaît !
– Demande-moi de te pisser dessus.
– Pisse-moi dessus, j'ai trop mal. Tu vas me casser les doigts.
– Ta gueule !
Il commença à pisser sur mon visage, essayant de viser ma bouche.
– Bois ou je te laisse ici dans ta merde, ma pisse et mon jus.
J'obtempère et avale un peu de pisse, le reste inondant mon corps et mes cheveux. Il rangea son sexe dans son pantalon et retira enfin son pied. Je ne sentais plus mes doigts de la main droite. Il me traîna par les cheveux, et j'essayais de suivre à quatre pattes. Il ouvrit le coffre minuscule de sa 205 et me fis monter dedans. Il alla chercher mon sac de cours, mes fringues et jeta le tout dans le coffre avant de claquer le coffre. J'essayais de m'arranger pour ne pas étaler le sperme sur mon sac et ma veste qui avaient échappées à la saleté. Mais vu la taille du coffre, je ne pus pas faire grand chose. Une grande partie de la place était prise par un énorme caisson de basse et un système d'amplification compliqué. Je me rendis compte de ma situation quand il mit en marche sa sono. Comme d'habitude, il écoutait la musique très forte, mais là j'avais littéralement la tête dans les enceintes. Les 15 minutes de trajet furent un supplice. J'étais totalement abasourdi en arrivant. Heureusement pour moi, mon père travaillait et ma mère devait être chez une amie. Bref, je me suis faufilé dans la maison, j'ai mis les habits dans la machine et je me suis jeté sous une douche brûlante.
Le reste de la semaine suivit ainsi. Tous les soirs Éric m'emmenait dans un de nos coins de baise pour m'humilier et il me ramenait dans son coffre. Je m'entourais les oreilles de mes habits pour ne pas devenir sourd. Un jour, il m'emmena dans un endroit que je ne connaissais pas. Un quartier résidentiel à l'autre bout de la ville. Il s'arrêta devant une maison énorme et il sortit de la voiture en me faisant signe de le suivre. Il sonna, et un type nous ouvrit la porte. A l'intérieur, il nous emmena directement au sous-sol dans une espèce de grande pièce avec un canapé, un lit et des armoires. Il y avait aussi du matériel vidéo.
– Alors mon grand, je t'explique le topo. Ton copain veut te dresser. Et moi je suis un dresseur. Il m'a trouvé sur Internet, et m'a raconté la situation. D'habitude mon histoire tourne surtout autour du chantage... Tu comprends ? Je te fais faire des trucs dégradants, je te filme, et je les mets sur Internet en diffusant petit à petit l'adresse sur des forums si tu ne fais pas ce que je souhaite. Sauf que toi, malgré ce que dit ton copain, tu n'es pas majeur. Tu fais trop minet et je ne vais pas prendre le risque de me faire emmerder avec une vidéo. Alors je vais te filmer, mais on va mettre des cagoules dans une pièce anonyme, et avant tu vas me faire une déclaration filmée que tu accepte tout ce qui va suivre. On va te casser autrement tu vas voir, ta vie va changer.
Je commençais à avoir vraiment peur de ce type. Je ne voyais pas ou il voulait en venir.
– Mais je suis gentil, je fais tout ce qu’Éric me demande !
– Oui mais ça mon petit gars, ça ne lui suffit pas. Sais-tu ce qu'est le SM ? Ce n'est pas juste des crétins en combinaisons en cuir qui lèchent les talons aiguilles d'une maîtresse. Le SM qui m'intéresse, c'est casser l'individu qu'il y a dans la personne que j'ai sous les yeux. Je vais faire en sorte que tu ne sois plus qu'un bout de chair avec des trous et que pour le reste de ta putain de vie tu fasses tout ce qu'on te demande. Aujourd'hui ça va être ta première séance et ça va être dur.
Éric alla s'asseoir dans un fauteuil dans un coin. Et le type m'ordonna de traîner le canapé à l'autre bout de la pièce dans le coin. Il ne restait plus de mobilier hormis des annaux aux murs, au plafond et sur le sol. Il me plaça debout contre le mur, mit une cagoule et alluma sa caméra. Il me fit réciter un texte en anglais que je compris à peine. Apparemment il se foutait que je parle mal. Il coupa la camera et sorti quelques minutes. Il revint avec un énorme chien qu'il attacha à un anneau. Il prit un genre de manche à balai, et ralluma la caméra.
– Fout toi à poil, connard. Et je veux que tu suce ce chien et que tu mettes sa queue dans ton cul.
– Mais...
Je ne vis pas venir le coup. Il était d'une violence incroyable. Il m'avait frappé sur la cuisse et la douleur m'avait fait tomber.
– Je ne répète jamais, et tu n'as pas le droit de parler, juste de crier. Exécute !
Tous les trois mots, un coup de bâton me tombait dessus. Jamais sur la tête, ni sur les mains. Mais sur tout ce qui était invisible, caché par les vêtements. Je me roulais par terre et je commençais à détacher ma ceinture. J'avais le souffle coupé des coups qu'il me rouait. Ce qui lui permit de me frapper de toutes ses forces sur les fesses, m'arrachant un hurlement. J'étais en pleine panique, je cherchais à lui obéir mais il ne me le permettait pas. Mon strip-tease allait durer très longtemps. Je compris à un moment qu'il ne me frappait que là où se trouvait encore un vêtement. Sitôt quitté mon jean, il arrêta de viser mes jambes pour se contenter des pieds et du haut de mon corps. Je retirais mes chaussettes en encaissant des coups sur le dos et déchirais ma chemise en l'enlevant. C'est là que j'ai compris mon malheur. En effet, il ne me restait comme vêtement que mon slip. Il s'arrêta de me frapper et me tira les cheveux pour me mettre à genoux.
– Tu as 3 secondes pour choisir : Je te démolis le cul ou la queue ?
Je me dis que je risquerais moins s'il me frappait le cul. Je lui montrais alors.
– T'as choisi la queue alors ? Intéressant.
– Non ! Le cul...
– Ta gueule !
Et il me frappa à nouveau violemment plusieurs fois sur tout le corps.
Il sortit d'un tiroir deux pinces métalliques et une petite boule de pétanque attachée à une ficelle. Il raccorda les pinces à la ficelle, glissa celle-ci entre mes dents et attacha une pince à mon téton droit. La douleur me surpris et je criai. La ficelle m'échappa et la boule entraîna la pince qui enfonça ses dents dans mon téton.
– Je vois que t'as compris le principe... Normalement les pinces s'enfoncent si on tire dessus, mais elles n'arracheront pas ton téton. Au pire t'aura des cicatrices toute ta vie, mais le téton sera encore là.
Il prit la seconde pince et me remit la ficelle dans la bouche. Il me fit lever et pencher en avant, les pieds à un mètre l'un de l'autre. Il me fit également écarter les fesses avec les mains.
– Voilà le marché : J'arrête si tu tiens 10 coups sans écarter les dents. A chaque fois que tu lâches, on recommence à zéro. Compris ?
Il se plaça derrière moi et me donna le premier coup, avec un genre de ceinture en cuir. Il rata mon sexe mais pas mon anus, et le coup me fit sursauter. Je manquai de lâcher le poids, mais je tins bon. Il enchaîna avec un second coup mieux ajusté. Cette fois-ci la douleur me fit lâcher prise et la première pince se détacha. Il la remit en place et me repassa le poids. On recommença donc. Je tins encore 8 coups sans lâcher prise. Mon sexe était en feu, mes tétons me faisaient tellement mal que je ne ressentais qu'une boule de douleur. Le neuvième coup me fit tomber à genoux. Il m'avait frappé avec la boucle de sa ceinture et le sang coula le long de mes jambes. Je me suis redressé et il m’asséna son dernier coup, encore plus violent. Je lâchais tout et tombais à terre. Il me roua de coup de pieds en hurlant que si je faisais mon petit malin, j'allais déguster. Je ne comprenais rien, je hurlais de douleur. Il se calma et me cracha dessus.
– Tu te crois où pour réussir quand je veux que tu échoue ? T'as gagné. Maintenant je mettrai la barre plus haute. Maintenant tu baises ce chien où on recommence au début.
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