Partager l'article ! Déchéance Krade - épisode 4/4 (XX-toire par TheKevin25): Une autre série qui se termine, encore un grand merci à TheKevin25 pour cette eXclu ...
Une autre série qui se termine, encore un grand merci à TheKevin25 pour cette eXclusivité.
Arnaud S.
Episode 4 : Abysses
Abyssus abyssum invocat [L'abîme appelle l'abîme. ]
Psaumes, 42, 8
Je me traîne jusqu'au chien et commence à le caresser, ne sachant pas trop comment m'y prendre. Le chien, lui savait s'y prendre, et il se mit aussitôt à bander. Je mis ma tête en dessous de son ventre et pris sa bite dans ma bouche. Le type me filmait en gros plan, puis il me dit de mettre mon cul sous le nez du chien et de me faire baiser comme une chienne. Je m'exécute et senti bientôt le chien me monter sur le dos. Mon cul était juste à sa hauteur et sa bite le frottait... Je l'aidais d'une main à me pénétrer, et attendis la suite. Sa bite me ramonait jusqu'au fond et je le sentais encore grossir. Je n'avais aucune idée de ce qu'il allait se passer. Je ne savais pas la forme que prenait la bite d'un chien pour se coincer dans la chienne. Aussi quand il a commencé à vraiment être gros et à rester coincé, j'ai paniqué. Mais le type m'a donné un coup de pied dans le ventre qui me coupa le souffle. Laissant le temps au chien de rentrer profondément dans mon cul avant de rester bloqué. Je le sentis se déverser en moi.
– Toi aussi t'es une bonne chienne, va manger le sucre de ton maître !
Je me tournais vers Éric, qui se branlait en me regardant, et je me traînais, emmenant le chien avec moi jusqu'au fauteuil. Je pris son sexe dans ma bouche et il gicla presque aussitôt. Je bus son sperme, puis il me repoussa et se leva. Me laissant dans mon sang, ma crasse, mon sperme et ma honte.
– C'était une bonne séance monsieur Jacques, je pense que ça lui a fait du bien !
– Il est déjà bien soumis, et puis il est jeune. Je pense qu'on peut en faire une chienne jusqu'à la fin de ses jours...
– Comment on s'arrange pour le paiement ?
– Laisse tomber gamin, donne le moi une nuit par semaine pour que je le prenne en main. Puis peut-être un week-end de temps en temps pour le faire voyager. Tu sais, cette salope peut rapporter pas mal de pognon, regarde cette vidéo par exemple, je peux la revendre sur le net et gagner plus que le fric que je demande pour une séance comme ce soir. Si tu veux mon conseil, continue à le dominer au quotidien, ne lui laisse entrevoir un espoir que de temps en temps, loue le à tes copains, aux gars que tu rencontre, force le à s'abaisser, à crever de honte tous les jours. Rien qu'en laissant tes potes le sauter deux ou trois fois par semaine tu peux te faire un sacré argent de poche tu sais.
– Oui vous avez raison. Je tourne en rond tout seul, j'ai de plus en plus souvent envie de lui casser la gueule.
– Et bien frappe le, c'est dans son intérêt. Si tu te retiens, un jour tu vas te lâcher et lui faire vraiment mal.
Je restais prostré à plat ventre, le chien avait dégrossit et sorti avec un chuintement humide. Son sperme dégoulina par terre mélangé à mon sang. J'écoutais les horreurs qu'ils débitaient.
– Par exemple, est-ce que tu as envie de le battre maintenant ?
– Ouais plutôt ! Le voir là par terre, dégueulasse, j'ai envie de lui coller mon pied dans la gueule.
– Et bien frappe le, mais pas dans la gueule, là où ça fait vraiment mal, mais où ça ne se voit pas. Le ventre, le cul, les cuisses. Frappe-le sans raisons si tu veux, il faut que ce soit arbitraire pour le casser. Tiens regarde... Eh ! Toi ! Mets-toi sur le dos et écarte grand tes cuisses.
Je savais très bien où il voulait en venir mais j'obéis. Il se plaça entre mes jambes et appuya sa semelle sur mes couilles. Il appuya de plus en plus fort, puis il relâcha et donna un grand coup de la pointe de sa chaussure, juste à l'entrée de mon cul... La douleur me plia en deux.
– Replace-toi.
J'obéis à nouveau, et ce fut le tour d’Éric, qui me frappa encore plus fort. Mais heureusement moins précisément. Je me tordis de douleur, et il me frappa à nouveau et encore et encore, me couvrant de coups. A un tel point que j'avais l'impression que mon corps n'était qu'un énorme hématome. Il se calma et se rassit dans le fauteuil.
– Rhabille-toi sale con.
Je sus que la "séance" était terminée et je commençais à me lever pour me rhabiller, mais Jacques me balaya les jambes.
– Tu reste par terre ici. Ce sont les êtres humains qui sont debout.
Je me rhabillais donc par terre, constatant les meurtrissures et autres bleus qui couvraient mon corps. Une fois habillé, j'entendis qu'Éric donne le signal du départ à genoux à côté de lui. Jacques lui donna une laisse et un collier de cuir fermé par un petit cadenas.
– Il est en métal recouvert de cuir, ça fait assez joli pour passer pour un collier gothique mais il n'est pas coupable. J'avais perdu la clé d'un de mes esclaves auparavant, je lui ai entaillé l'oreille en essayant de le couper. Du coup, j'ai du faire crocheter le cadenas par des jeunes de la cité et en échange j'ai du leur laisser la pute une nuit le temps qu'elle visite toutes les caves et qu'elle revienne plombée. C'était un immigré clandestin, je l'ai ramené aux flics qui m'en ont gracieusement débarrassé.
Sur ces paroles terrifiantes, Éric me mit le collier et la laisse et m'amena à la voiture, toujours à quatre pattes. Il me fit monter dans le coffre et me ramena chez moi. Il se gara comme d'habitude au fond de l'impasse, et m'ouvrit le coffre. J'étais moins sale que les autres jours, mais mon corps n'avait jamais été si douloureux. Il m'enleva la laisse, puis il prit la clé du cadenas. Je pensais qu'il allait me retirer le collier, mais il la jeta dans le coin le plus sombre du terrain vague.
– Oh ! J'ai perdu la clé. T'as qu'à dire à tes parents que t'es gothique maintenant. Au fait, démerde-toi pour trouver une excuse pour dormir chez Jacques tous les vendredis soirs, et puis une fois de temps en temps chez moi aussi.
Je me suis douché dès que je suis entré dans la maison comme d'habitude, et je me suis enfermé dans ma chambre. Vers 20 heures, ma mère m'a monté un plat réchauffé au micro-onde et m'a fait le cinéma.
– J'ai eu ton prof principal au téléphone, il est alarmé, tes notes sont en baisse ce mois ci. Tu passes beaucoup de temps avec Eric en ce moment non ?
– Oui, oui, on se voit tous les jours.
– Bien, c'est bien. Vous allez bien ensemble tous les deux, c'est le grand amour on dirait ! Même si on a mis du temps à accepter ton homosexualité, on pense ton père et moi que c'est un bon garçon.
– C'est exactement ça...
– Vous vous protégez au moins ? Ben ne fait pas cette tête là, je ne suis pas stupide et on est plus au moyen âge... Alors ?
– Oui, on met une capote maman...
– C'est bien alors. J'ai quelque chose à te proposer. Au lieu de passer toutes tes soirées avec lui, pourquoi tu ne te concentrerais pas sur l'école toute la semaine et le week-end tu le passerais chez lui. Non ? Toute la semaine ici, et à partir de vendredi soir, tu peux le voir. Et tu reviens ici dimanche matin pour le repas familial et te préparer pour la semaine à venir... Je veux bien faire un test ce mois ci, et si tes notes remontent, et bien tu feras ce que tu veux de ta vie. En attendant, à partir de demain, c'est moi qui te ramène du collège.
Si elle savait... Elle m'offrait sur un plateau mon excuse pour découcher tous les vendredis chez Jacques et le samedi chez Éric... Mais elle me sauvait de leur emprise le reste de la semaine. J'appelai Éric pour le mettre au courant. Il m'engueula et malgré la distance, mes jambes de dérobaient sous moi. On était mardi, je ne le verrais donc pas avant samedi matin (Jacques ne voulait pas de lui pour sa séance).
Il était hors de lui. Il me raccrocha au nez et me dit de me méfier. J'étais soulagée du répit offert par ma mère à son insu, et je profitais pleinement de mes 3 jours de "congés"...
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