X-toireS

Jeudi 11 décembre 4 11 /12 /Déc 19:39

Source : "Karim" sur le site de Cyrillo.

Histoire de Pierre Chalant  : pchalant@outlook.fr


FootUS05J'avais connu Karim au taf, où on était collègues. Moi 23 ans, lui 20 ans, il me faisait triper, car ultra mignon.

Des yeux bleus de ouf, brun, 1 m75 hyper bien foutu. Macho par excellence, il enchaînait les meufs et les traitaient comme de la merde.

Moi je fantasmais grave sur lui, mais je savais qu'il ne pourrait rien se passer.

En venant au taf, il arrivait souvent de la salle de sport où il s’entraînait avant et je le voyais souvent se changer.

Un soir j'arrivais après lui dans le vestiaire et il était quasi à poil en train de changer de boxer avant de mettre son uniforme. Je matais l'air de rien, mais il avait pas capté. Il savait que j'étais + ou - bi mais on n'en avait jamais trop parlé.

Kiffant les trips survets et odeurs, de l'avoir vu se changer m'avait grave chauffé. Le soir même pendant le taf, je retournais donc aux vestiaires pour voir ce qu'il y avait dans son casier. Son sac de sport était là avec son jogging, un tee shirt et un boxer Dim rouge. Direct en le voyant j'étais en érection. Je le pris et le sniffai grave. Ça sentait bon le mec, la bite circoncise qui avait frotté pendant l'effort au sport. Ça sentait le mec et je ne pu m'empêcher de lécher goulûment à l'endroit où son gland se plaçait. Je ne restais pas longtemps de peur de me faire prendre, mais j'avais trop envie de juter rien qu'en sentant son odeur de mec.

Toute la semaine qui suivit, je m'éclipsais dès que je le pouvais dans les vestiaires pour sentir ses calbutes ou ses tee shirts, qui sentaient fort son odeur de transpi ou de bite. Un soir, prenant un peu plus la confiance, je me suis rendu dans les chiottes pour me branler en sniffant son boxer. Tellement électrisé qu'en 3 mn, je jutai 4 gros jets bien puissants sur le rebord des chiottes et replaçai vite fait son calbute dans son vestiaire.

De plus en plus, je fantasmais sur lui, surtout quand je l'entendais raconter ses histoires avec les meufs et comment il les baisait. Il avait grave l'air d'avoir du matos en plus, cela se voyait dans son jean moulant au taf, du coup j'essayais toujours de mater dans les vestiaires, mais on ne finissait jamais ensemble.

Un soir, il resta plus tard et finit en même temps que moi tellement on avait bossé du coup on se changeait en même temps.

On parlait de tout et de rien, et il commençait à enlever son polo et là je vis son torse ultra bien dessiné. Pas beaucoup poilu, mais hyper dessiné avec de beaux abdos et des obliques de ouf. Il se regardait dans le miroir et vit que je le matais en même temps.

 "-et tu me mates wesh ?!

- te mater nan, mais je regardais comment t'étais foutu quoi

- ouais ouais, je suis pas pédé hein moi

- nan tkt je sais que tu baises des meufs, moi aussi je te rassure"

Cela eu l'effet de le rassurer, mais il n'enleva pas son boxer pour autant, juste son pantalon, mais j'eu le temps de voir une belle forme dans son Freegun et une petite tâche au niveau de son gland. Urine ou sperme ? Je ne savais pas, mais j'aurai bien voulu goûter.. Il passa ensuite son jogging noir habituel, qu'il ne devait jamais lavé, mais qui devait sentir bon le mec rebeu viril.

 La soirée se termina comme cela, avec un shake habituel et il rentra chez lui en scout.


Sturb05Depuis que j'avais commencé à sniffer ses boxers dans les vestiaires c'était devenu comme une drogue et à chaque jour où on travaillait ensemble, j'étais obligé d'aller fouiller dans ses affaires, comme attiré.

En plus, ça sentait grave la queue, vu qu'il était circoncis, son gland frottait encore plus sur ses sous vêtements, et je kiffais encore plus. J'adorais aussi sniffer ses tee shirts sentant bon la transpi quand il venait directement du sport au taf. Ça sentait le vrai mec quoi.

Au fur et à mesure, on parlait pas mal au taf de tout et de rien et on s'était dit un de ces 4 qu'on pourrait se faire une soirée jeux vidéos. J'étais pas hyper calé, mais c'était l'occas' d'aller chez lui, vu qu'il habitait seul.

Rendez vous fut pris quelques jours plus tard.

Un soir, après le taf, on rentra donc chez lui pour se faire une petite soirée en jouant à la play'. Je m'en foutais un peu, c'était surtout pour traîner avec lui, Karim, que je trouvais de + en + craquant et sexy.

On se posa dans son studio, lui avec son jogging noir habituel et moi en jean. J'en profitai pour aller aux toilettes qui étaient dans sa salle de bains, avec une idée derrière la tête.

Direct je repérai le sac à linge sale et cherchai quelques boxers, que je trouvai sans problème. Les sniffant vite fait et me collant direct la trique j'en pris un et le mis dans ma poche.

Ne faisant l'air de rien, je retournai auprès de lui pour jouer. On parla de choses et d'autres, notamment qu'il avait + ou - une meuf qu'il baisait car c'était "une bonne chienne qui aimait la bite".

Bizarrement on n'évoqua pas mon sujet, mais je m'en foutais car j'étais obnubilé par le fait que j'avais un de ses boxers.

Prétextant un truc bidon, je le quittai rapidement et rentrai bien vite chez moi.

Une fois dans mon pieu, je sortis un DIM noir de taille M et le collai directement contre ma gueule. C'était l'extase, on sentait ses couilles et sa grosse queue qui avait bien macéré dedans, je kiffais trop. En 5 mn je jutai grave, en l'ayant sur la gueule et en le reniflant à pleins poumons.

A chaque fois que je me branlais, je le sniffais et imaginais que ses couilles et sa bite avait été là ; en plus, il y avait une petite trace blanche, sûrement une goutte de pré-cum que je léchais à chaque fois et j'avais l'impression que j'avalais un peu de son sperme..

Mes trips avec son boxer, ne m'empêchait pas de le mater dans les vestiaires ou même de sniffer ses autres boxers, mais ça m'excitait grave de me dire que j'avais un de ses sous vêtements.. N’empêche il fallait que je lui rende et c'est donc tout naturellement que j'acceptai de venir une nouvelle fois jouer à la play chez lui.

 Après le taf, on y retourna, mais on peut dire que cette fois-ci c'était le gros bordel.

 Moi : - ah ouais d'accord le mec fait jamais le ménage quoi

Lui : - tranquille wesh, juste là j'avais pas trop le temps et hier soir, j'ai baisé avec une pote, et je lui ai mis cher, donc après flemme de ranger.

Moi : - ah ouais ici ?

Lui : - bah ouais tiens regarde

Et là ce bâtard prend un truc sur la table et me montre une capote bien pleine qui pendait au bout de ses doigts !

Moi : - t'es degueu mec !

Lui : - bah quoi vous les gays vous aimez pas ça le sperme ?

Moi hyper gêné : - déjà chui bi

Lui : - ouais enfin tu couches avec des mecs, donc ça a déjà dû t'arriver wesh

Moi - ça va pas (mytho)

Lui : - ok

Et il alla dans la cuisine jeter la capote dans la poubelle

Après cet épisode, je ne pensais qu'à cela et il fallait obligatoirement que je récupère son jus, ça me faisait trop kiffer.

Tout d'abord, je remis son boxer dans le panier à linge sale l'air de rien sous des vêtements puis je prétextais vouloir à boire pour aller dans la cuisine. Là je me ruais discrètement sur la poubelle pour récupérer sa capote bien pleine.

Ne sachant pas vraiment comment la transporter je la glissa dans du Sopalin et la mis dans ma veste de joggo.

Je retournai jouer avec quelques temps puis prétextai encore une fois un truc bidon pour rentrer chez moi...


Capote de JusAyant donc récupéré sa capote pleine dans la poubelle, j'étais dans un état d'excitation inimaginable.

Dans son ascenseur je bandais comme un ouf tellement le fait d'avoir une capote pleine de son jus me chauffait.

Je me dépêchais de rentrer chez moi pour me poser dans mon pieu et regarder de plus près ce que j'avais pécho chez Karim.

Sortant délicatement la capote de ma poche de veste (que j'avais vite fait nouée chez lui), j'étais ravi de voir qu'elle ne s'était pas ouverte. Toujours bien pleine du jus de mon rebeu, je ne savais pas au final ce que je devais faire.

La portant à bout de doigt, je la sentis pour voir et bien sûr ça sentait la chatte de meuf bien baisée, par Karim.

Je remarquai surtout tout de suite que c'était une capote XL, pour les grosses queues, tellement elle était large et longue. Ça ne fit encore que plus m'exciter de me dire qu'il avait du matos dans son boxer aux alentours des 22 cm.

J'avais alors trop envie de l'avoir dans ma chatte ou ma bouche car je sais qu'il m'aurait grave défoncé.

N'y tenant plus, j'enlevai le nœud de la capote et mis un doigt dedans et remuai un peu. Le jus n'était ni froid, ni chaud, mais à température ambiante, mais surtout très épais, bien lourd. Après quelques secondes, je mis mon doigt à ma bouche pour le goûter.

Lentement je léchai mon index pour savourer le jus du mec qui me faisait fantasmer depuis 1 an et c'était l'extase..

Légèrement sucré et pas dégueu du tout, son sperme était ouf. Épais c'est vrai, mais pas degueu, je prenais mon pied direct. Du coup, je remis, une fois, deux fois, trois fois, mon doigt dedans pour en goûter encore.

J'étais tenté de tout boire d'un coup, mais il ne m'en aurait plus resté. Je préférai alors plutôt lécher les contours de la capote qui avait porté sa queue et était contre son pubis. Je la mâchouillais grave comme une sucette en me branlant.

Evidemment en 3 mn je jutais grave et renouai ma capote pour + tard.

Les jours qui suivirent, je goûtais tout le temps le jus qui était dans la capote et je kiffais toujours autant. Je me servais même du sperme pour me branler un peu avec et ça c'était le top de me dire que je me branlais, avec le jus de la teub de Karim, qu'il avait lâché en baisant une meuf.

Au bout d'une semaine, il ne restait plus rien, je décidais donc de l'enfiler pour juter une dernière fois avec.

Je flottais donc dedans, car ma queue de 18 cm n'était pas assez grande, mais rien que d'imaginer que Karim avait glissé sa grosse queue circoncise dedans avant moi, me faisait encore plus bander.

Il restait en plus, un peu de jus sur les parois de la capote, donc je pris encore plus mon pied à me branler dedans.

Ça glissait trop bien dedans, et je gémissai de plaisir en prononçant son nom. Naturellement je jutai une grosse quantité dans cette capote empruntée..

Cette fois-ci je bu tout d'un coup, et mon sperme mélangé avec le reste du sien, eut un merveilleux gout d'interdit.


[SUITE]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Mardi 25 juin 2 25 /06 /Juin 00:27

Petite nouvelle "Krade" que m'a envoyée slaveFab.

La suite est consultable sur son site ainsi que sur SCATBOI.

Arnaud S.


En s’installant dans ce vieux bâtiment du 18e arrondissement, il avait privilégié un loyer faible. L’immeuble, proche du métro, était occupé par quelques personnes âgées et une population cosmopolite qui lui plaisait bien. Il venait de province et cela lui confirmait qu’il était bien à la capitale. Il ne prêta pas attention, lors du déménagement à la perte d’un carton, laissé avec d’autres lors de la montée de ses quelques meubles et de ses affaires. Il s’agissait de vieilles bricoles informatiques, câbles, chargeurs, raccords et disques durs anciens. Il aurait du.

 

Une semaine plus tard, tandis qu’il descendait du 7e par l’ascenseur, un arrêt au 4e étage permit à un grand black d’entrer dans la cabine. Il le regarda de façon appuyée, sourit et lança : « Dites, vous n’auriez pas perdu un paquet de trucs informatiques. Un ami me l’a donné car il l’avait trouvé dans l’ascenseur. J’ai regardé et c’est vous sur les photos. Je file bosser. Passez ce soir vers 19 heures si vous voulez, la porte de droite en sortant de l’ascenseur. »

 

A 19 heures, les trois occupants de l’appartement l’attendaient dans leur salon, devant un ordinateur portable relié à son vieux disque dur. En diaporama défilait une série de photos. Les siennes. Pas celles des vacances. Celle d’un plan cul. Arrêt sur une image : il était nu, à quatre pattes, un lourd collier au cou. Une bite dans le cul et une autre dans la bouche. On devinait qu’un troisième gars avait pris la photo. Les trois Africains se tournèrent vers lui. Il avaient le même sourire. Dans son dos. La clé tourna dans la serrure.

 

Un an plus tard. L’appartement du 7e étage avait été vidé progressivement de presque tous ses meubles. Les trois mecs du 4e étage avaient d’abord emporté le canapé qui leur plaisait, puis, un jour, le four à micro-ondes. « Vous nous avez colonisés, maintenant on se sert » justifia l’un d’eux. Ils n’avaient pas touché au lit, à la machine à laver, au fer à repasser et à sa table. Ils lui avaient enjoint d’abord de s’arrêter le soir, en rentrant vers 19 heurs, à leur appartement , pour voir s’ils n’avaient besoin de rien. Il en repartait généralement le cul défoncé, après avoir aussi fait la vaisselle, tâche à laquelle les trois occupants rechignaient. Il remontait chez lui avec au bout du bras un sac de linge à laver et repasser et à remettre le lendemain devant la porte, en partant.

 

Parfois, l’un des voisins blacks montait seul ou pour lui présenter un visiteur. Un jour, trouvant porte close, il força le verrou. Puis les allées et venues attirèrent d’autres habitants de la cage d’escalier, des jeunes surtout, arrivant à plusieurs, incrédules d’abord mais qui repartaient les couilles soulagées, emportant souvent chacun un objet. Le téléphone arabe fonctionnait bien. Peu à peu les quelques biens du locataire du 7e étage se réduisirent aux vêtements qu’il portait sur lui. Il n’osait plus en acheter. Ceux qu’il déposaient dans la penderie disparaissaient en son absence.

 

Un soir, épuisé, il s’endormit sans effectuer le repassage. Le lendemain matin, il quitta pourtant l’immeuble rapidement pour aller à son travail. Lourde erreur. Au retour, ils étaient là, silencieux, assis sur la porte qu’ils venaient d’ôter de ses gonds. Ils lui arrachèrent ses fringues et malgré ses protestations, le collèrent contre la table. Ils l’enculèrent sauvagement. Puis un cri jaillit : « Tu m’as sali la bite. » L’un des gars montra son gland tâché de merde et le gifla violemment, l’envoyant à terre. Le locataire fut maintenu plaqué au sol par des bras solides. L’homme s’accroupit et lui commença à lui chier sur la gueule. Sur le palier, on entendit des rires. Le bruit avait attiré les habitués. Il entendit : « Pisse lui dans la tronche. Attends je vais le faire. » Ils l’abandonnèrent au milieu d’une mare de pisse, couvert de merde étalée avec un balai à chiotte qu’ils avaient tenté de lui enfoncer dans la gueule. Le lendemain, sa porte partait avec le camion-benne des encombrants.

  Scat Boy

Un mois plus tard, « la sous-merde du 7e »avait perdu toute dignité. Il avait surtout perdu son travail car il n’osait plus sortir de l’immeuble. En intérim, les absences ou les abandons sont fréquents, personne ne s’inquiéta. Ses voisins lui avaient interdit l’accès à l’ascenseur, qu’il se réservaient, et « à cause des enfants. » Il devait se déplacer discrètement, nu, les pieds escaladant sans bruit les marches froides de l’escalier, pour enlever ou déposer les sacs de fringues qu’il nettoyait et repassait au service de plusieurs foyers de célibataires. Il frappait aussi à certaines portes, où il était attendu à des moments précis pour servir d’homme de ménage. En début de nuit, il allait dans la petite cour où étaient rangées les poubelles, pour y chercher de la nourriture. Il mangeait souvent en remontant chez lui. Il ne fallait pas traîner. On voulait le savoir disponible, sur son lit, couché sur le ventre, dans l’attente d es sexes noirs et épais qui s’enfonçaient résolument entre ses fesses. S’il traînait, il retrouvait le matelas inondé de pisse.

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Lundi 24 juin 1 24 /06 /Juin 23:40

J'ai beaucoup aimé cette histoire de Queutard75 (QUEUTARD75010@hotmail.fr) trouvée sur Cyrillo. Je n'ai pas le temps de la faire illustrer mais elle l'aurait mérité. Bonne lecture !

Arnaud S.


Je m'appelle Mathieu, j'ai 20 ans, je suis étudiant et j'habite encore chez ma mère. La cohabitation se passe plutot bien avec elle mais c'est plus compliqué avec mon beau père, Marc. Il est plus jeune qu'elle, il a 35 ans, il est très beau mais c'est un vrai macho. Il veut montrer tout le temps que c'est lui le boss dans la maison, il ne participe à aucune tâche ménagère, il rentre du boulot, met les deux pieds sous la table et se fait servir. Je sais qu'il me méprise du fait que je n'aime pas le foot et tout les trucs de mec qui l'intéresse, du coup nos échange sont très limités. Le soir, dans mon lit, je l'entend baiser ma mère et j'avoue que ça m'excite. Le lit grince assez fort, ma mère se retient de gémir mais lui il ne se retient pas et gémit comme un boeuf, parfois il l'insulte, lui met des petites claques, j'entend même le bruit de ses couilles qui tapent quand il culbute assez fort au moment de jouir. Je m'astique souvent dans mon lit en écoutant leurs ébats sexuels dans la pièce d'à côté.

 

J'avais aussi pris pour habitude d'aller dans leur chambre en journée quand il s'absentaient. Je fouillais dans le linge sale, j'enfilais un calebut de Marc et en prenais un autre que je sniffais en m'allongeant sur leur lit. J'adorais sentir ses caleçons et imaginer sa bite qui avait durcis et mouillé dedans pendant sa journée au travail et au sport. Marc allait à la salle de muscu presque tous les jours, et il exhibait fièrement sa musculature au petit déjeuner devant moi. Il ne me calculait jamais mais j'observais régulièrement du coin de l'oeil son torse musclé et légèrement poilu, parfois j'apercevais même sa bite quand il s'affalait dans le canapé et qu'il se grattait les couilles devant un match.

 

Un jour, alors que je me branlais sur leur lit, vêtu d'un des caleçon et l'autre sous mon nez, Marc est entré dans la chambre brusquement et m'a surpris la main au paquet.

 

- Qu'est-ce que tu fous? me dit-il stupéfait

 

- Je... euh...

 

- Tu étais en train de te branler???

 

- Non.. je...

 

- Qu'est ce que tu fous avec mon calebut?

 

Je m'avance précipitamment vers la porte mais Marc me retient par le bras.

 

- T'es pédé c'est ça?

 

- Non, c'est pas ça t'inquiète.

 

- Alors c'est quoi? ça t'excite de porter mes calebuts sale pédale, dis le!

 

J'essaye de sortir de la pièce mais Marc me serre le bras très fort.

 

- Tu sortiras pas d'ici tant que tu auras pas retiré mon calebut et que tu m'auras pas dis la vérité.

 

J'enlève le caleçon devant lui et me retrouve nu, la queue au repos, humilié.

 

- Je suis pédé mais dis rien à ma mère s'il te plait.

 

Marc me crache un énorme mollard à la gueule et lâche mon bras.

 

- Casse toi, tu me dégoûtes.

 

Je sors de leur chambre et m'enferme dans la mienne.

 

Je suis resté enfermé dans ma chambre une heure, paniqué à l'idée que Marc dise qu'il m'avait surpris dans leur chambre puis ma mère m'a appelé pour que je vienne manger.

 

Je me suis assis à table et pour la première fois je sentais que Marc me regardait pendant le repas. Il ne disait rien mais j'ai croisé plusieurs fois son regard supérieur et méprisant.

 

Tout de suite après le repas je suis monté dans ma chambre en prétextant que j'étais fatigué. Marc et ma mère sont allés se coucher deux heures plus tard et je les ai entendu baiser. Je n'ai pas réussi à me branler ce soir là car j'étais trop préoccupé et je n'arrivais pas à trouver sommeil. Une heure plus tard la porte de ma chambre s'ouvre lentement accompagné d'un léger grincement. Je sursaute et me précipite pour allumer la lumière. Marc est debout dans ma chambre, vêtu d'un simple boxer, il me fait signe de me taire. Mon coeur bat à cent à l'heure: qu'est-ce qu'il fait dans ma chambre au milieu de la nuit? Marc s'approche de moi et me murmure dans l'oreille.

 

- Finalement j'ai réfléchi à ton cas sale pédé. Si tu veux pas que je dise tout à ta mère tu vas devoir me rendre service.

 

- Qu'est-ce que tu veux? dit-je faiblement

 

Marc met sa main sur mon visage, fait glisser son gros pouce sur ma lèvre et l'enfonce dans ma bouche en faisant des vas et viens.

 

- J'ai baisé ta mère mais j'ai encore les couilles pleines donc tu vas me montrer si tu suces mieux que cette pute.

 

C'est la première fois qu'il insulte ma mère devant moi mais je ne suis pas surpris. Marc approche son caleçon de mon visage et m'écrase la tronche dessus.

 

- Toi qui aimes sniffer mes calebuts ça va te plaire, ça sent bien la bite là, j'ai transpiré comme un salaud en baisant ta mère.

 

Je sens effectivement la forte odeur de sa bite que je reconnais mais qui est beaucoup plus forte que lorsque je me branlais sur leur lit.

 

- J'ai pas nettoyé ma bite après l'avoir baisé donc tu vas pouvoir lécher mes restes de sperme.

 

Marc sort sa bite, fait glisser son gland sur mes lèvres que je garde fermées et enfonce sa queue doucement dans ma bouche en forçant. Je sens effectivement les restes de son jus sur ma langue. Marc appuie derrière ma tête et enfonce sa bite en entier qui durcit dans ma bouche et m'étrangle. Je sens a présent ses couilles contre mon menton et sa grosse touffe de poils pubiens contre mes lèvres. Marc reste plusieurs secondes au fond de ma gorge sans bouger le temps que sa queue se raidisse entièrement. Il sort ensuite sa bite qui fait à présent une vingtaine de centimètre et qui est recouverte d'un gros filet de bave.

 

- Pas mal grosse chienne, bon aller ouvre bien la bouche et met pas les dents sinon je te cogne.

 

Marc allonge son bassin sur mon visage, je sens ses cuisses qui m'écrasent l'épaule et il garde ses mains sous ma tête pour bien la tenir droite pendant qu'il pénètre ma bouche. Je sens à présent sa bite épaisse faire des vas et viens. Marc respire assez fort et accélère le rythme. Il baise ma bouche comme si c'était une chatte, sans se préoccuper de savoir si j'arrive à respirer. Ses coups de bassin sont de plus en plus violents et ses couilles me fouettent le visage pendant que son gland me défonce la gorge.

 

- Han oué, putain je kiff ta bouche de grosse pute, c'est encore mieux que la chatte de ta salope de mère.

 

Je peine à respirer et laisse échapper des relents de bave entre deux coup de bite ce qui amuse beaucoup Marc.

 

- Hmmm, nickel, crache bien sur ma bite ça va glisser encore mieux.

 

Il accélère et bourrine comme un enfoiré pendant que je m'étrangle. J'essaye de me débattre mais il me tient très fermement le visage pour que j'encaisse. Je gesticule comme un fou sur le lit et marc me donne des coups de genoux dans le ventre.

 

- Arrête de bouger grosse pute, encaisse ma bite, je vais bientot gicler.

 

Je continue de me débattre pour respirer mais Marc ne s'arrête pas de limer ma gorge. Il donne des coups de reims d'une violence extrème et éjacule dans ma gorge. Son jus chaud et épais sort de son gland et dégouline dans ma gorge. il pousse un râle de plaisir en donnant ses derniers coups de bite et en lâchant ma tête. Je tourne la tête brusquement sur le côté et vomis son sperme sur mon matelas. Marc reste allongé sur ma tronche de tout son poids et respire fortement, visiblement fier de sa performance. Je reprend ma respiration comme je peux. Marc se redresse et me regarde, visiblement dégoûté.

 

- Tu pouvais pas avaler espèce de chienne? Je t'offre mon jus et toi tu le gâches!

 

Marc me décroche une violente baffe dans la gueule.

 

- Tu l'as pas volé celle là!

 

Marc me met sa bite sous le nez.

 

- Nettoie ma bite avant que je me casse.

 

Je sors la langue et nettoie son gland sans un mot. Marc se tient debout, les mains sur ses hanches, bombant fièrement le torse, il retire ensuite sa bite propre, remonte son calebut et sort de ma chambre sans un mot.

 

Je reste plusieurs heures sans dormir, la bite raide, à me remettre des mes émotions. Ce soir là, ma relation à évolué avec mon beau-père et ce n'est que le début...


Le lendemain matin, je sors de ma chambre, inquiet à l'idée de me retrouver confronté à mon beau père devant ma mère. A mon grand étonnement il fait comme si de rien était, il ne me calcule pas plus qu'avant, il a la main dans le boxer et mange son petit déjeuner avec nous. Ma mère finit de boire son thé, se lève pour aller mettre sa tasse dans l'évier et nous dit:

 

 

- Je vais me préparer. On pars dans 45 minutes.

 

- Ok, dit marc

 

Elle quitte la pièce et me laisse seul avec Marc. Je me demande ce qu'il va faire mais celui-ci ne bouge pas. Il continue de manger son petit déjeuner. Un moment pourtant je sens que son comportement n'est pas le même puisque pour la premiere fois il prend ma boite de céréales. Je l'observe du coin de l'oeil. Il sors sa main de son boxer et la plonge dans mes céréales en me regardant, il tripote les céréales avec sa main qui doit sentir la bite et les met dans mon bol devant moi.

 

- tiens bouffe ça, dit il

 

Je le regarde quelques secondes sans bouger

 

- je peux pas, tu as tripoté ta bite avant de me servir

 

- ben oué justement, bouffe sinon je dis à ta mère que t'es qu'une pédale!

 

Je prend ma cuillère et mange les céréales sous le regard satisfait de mon beau père. Il glisse sa main dans son boxer, sort sa grosse bite sous la table et se tripote en me regardant. Marc se lève et se dirige vers le frigo, la bite en érection et la main sur la teub. Il sort un yahourt pendant que je termine de manger mes céréales. Marc s'avance vers moi, sa bite est maintenant à côté de mon visage, il continue de se masturber en me regardant.

 

- il faut que tu manges des produits laitiers aussi

 

Marc ouvre le yahourt et trempe sa bite dedans.

 

- Allez ouvre grand ta bouche.

 

- Je peux pas faire ça!

 

- t'as pas le choix, si tu fais pas tout ce que je te dis, je dis tout à ta mère.

 

- si tu lui dis que je suis pédé je lui dirais que tu m'as forcé a te sucer la bite

 

Il rigole

 

- je m'en fous complètement moi, tu pourras aussi lui dire que j'ai baisé la moitié des chattes du quartier.

 

- tu la trompe?

 

- evidemment que je la trompe, elle s'en doute d'ailleurs, mais elle me demande rien du moment que je la baise tous les soirs.

 

Je reste abasourdi devant cette nouvelle.

 

- bon aller, lèche ma queue.

 

Je continue de le regarder sans bouger. Marc me décroche une violente baffe.

 

- t'entends ce que je te dis?

 

Je me précipite sur sa bite qui dégouline de yahourt et la lèche sur toute la longueur avant de l'avaler entièrement.

 

- oué voilà, nickel, c'est cool de se faire pomper au petit déj'

 

Je pompe marc qui bande comme un taureau. Je sens le gout de sa mouille qui se mélange avec le yahourt dans ma bouche. Je m'applique pour ne pas recevoir de coups. Marc retire sa bite de ma bouche quelques secondes, trempe ses gros doigts dans le yahourt et me fait lécher.

 

- putain t'es une vrai chienne toi. lèche bien mes doigts oué, comme si c'était ma bite.

 

Marc pose sa deuxième main derrière ma nuque, me tire vers lui pour que je tombe de ma chaise et me retrouve par terre devant lui.

 

- voilà tu seras mieux à genoux devant mon gourdin

 

Marc prend sa bite et me donne des coups au visage avec.

 

- t'as pas de chance je crois que j'ai une grosse envie de pisser

 

Sur le moment je ne comprend pas ou il veut en venir mais Marc ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il me chope la tête, enfonce sa bite dans ma bouche et appuie avec ses deux mains pour que je ne puisse plus bouger.

 

- avale tout ce qui sort de ma bite sinon je te frappe comme un ouf par terre

 

A peine il a fini sa phrase que je sens déjà de la pisse sortir de son gland et me remplir la bouche.

 

- Haaaaan oué, putainnnnnn, je te gave bien avec ma pisse là.

 

Ma bouche se remplit peu à peu et je suis obligé d'avaler. Marc se soulage pendant plusieurs secondes qui me paraissent une éternité. Il retire finalement sa bite de ma bouche et je dégluti devant lui.

 

- putain t'as tout bu, une vraie chienne!

 

Marc s'essuie les dernières gouttes de pisse sur ma joue, satisfait.

 

- on va pouvoir passer à ta dose de protéines!

 

Je ne met pas longtemps à comprendre qu'il parle de son sperme. Marc me chope à nouveau la tête en me tirant par les cheveux cette fois-ci. Il enfonce sa bite au fond de ma gorge, donne des gros coups avec son gland qui m'étouffent et retire sa bite pleine de bave.

 

- hmmmm ouais, je kiff quand ma queue est bien baveuse comme ça

 

- vas y doucement j'ai du mal à respirer

 

- je m'en branle espèce de grosse pute, je vais t'apprendre à fermer ta gueule

 

Marc me décroche une violente baffe et me pousse par terre. Il se met à cheval sur mon torse, pose sa main sur mon cou et me serre fort. J'essaye de desserrer sa main mais il a beaucoup plus de force que moi et m'étrangle.

 

- tu vas apprendre à fermer ta gueule et à m'obéir, je veux que tu vénères ma bite et que tu sois reconnaissant d'être mon vide couille.

 

Je tire sur son bras pour me débattre mais il serre de plus en plus fort.

 

- tu as compris?

 

je hoche la tête. Marc desserre sa main et me laisse respirer. Je reprend mon souffle péniblement.

 

- allez, ouvre grand la bouche

 

Je m'execute à contre coeur. Marc approche sa grosse tige baveuse de ma bouche, je prend une grande respiration et il s'allonge sur ma tronche. Il prend mes mains, les plaquent au sol pour m'immobiliser et commence une longue série de vas et viens.

 

- han ouais, c'est bon putain!

 

Marc me baise la bouche par terre et prend son pied pendant que je suffoque et tente par tous les moyens de l'arrêter. Je sens sa bite et ses mains se contracter, puis le sperme me remplir la bouche. Marc donne ses derniers coups de bite puis se retire et me laisse respirer.

 

Il se lève, remonte son calebut, prend sa tasse de café qu'il finit de boire pendant que je respire à nouveau.

 

- avales mon jus, si tu recraches je te défonce.

 

Je déglutis son sperme sous ses yeux. Marc semble satisfait.

 

- Parfait. dit il

 

Il pose sa tasse sur la table et quitte la pièce.

 

- range la cuisine avant de sortir d'ici!

 

Marc me laisse par terre, la gueule pleine de pisse et de jus et il quitte la pièce la main plongée dans son calebut, fier de sa performance et de sa grosse bite dont il n'a pas finit de se servir.


Le soir même, je rentre des cours, j'ouvre la porte d'entrée, un peu apeuré à l'idée de croiser à nouveau Marc mais il n'es pas dans la maison. Je suis soulagé et monte dans ma chambre. Je prend des affaires propres et je file sous la douche pour me détendre. Je fais couler l'eau chaude et je me caresse la queue sous la douche en pensant à Marc. Ma bite durcit immédiatement en pensant à lui. Ce mec me traite comme une sous merde, me brutalise, m'humilie mais je n'ai jamais respecté et vénéré un mec à ce point là. C'est pour moi le mec le plus beau, viril, macho et vicieux que je connaisse. Je m'astique sous la douche en repensant à ce qu'il m'a fait quand j'entend une voix venant de la porte.

 

- C'est à moi que tu penses en te branlant comme ça?

Marc est debout dans l'entrée de la salle de bain, en tenue de sport, le sourire jusqu'aux oreilles. Je débande quasiment immédiatement en l'apercevant.

- Non. lui dis je

- Il faut que je me nettoie, je reviens de la salle de sport là.

- Ok, je te laisse la salle de bain.

- J'ai une meilleure idée

Marc referme la porte de la salle de bain derrière lui pendant que je m'apprête à sortir de la douche.

- Reste dans la douche grosse pute, dit il

J'obéis et je m'attend au pire, Marc s'approche de moi.

- Tu vas sniffer mes odeurs de mâle et bien me lécher partout.

Marc retire son Marcel, me prend la tête et la colle sur ses aisselles.

- Sniffes bien!

J'obéis et respire ses odeurs de transpiration.

- J'ai bien transpiré à la salle de sport et j'ai fais exprès de pas prendre de douche pour te montrer ce que c'est un vrai mec donc lèche.

Je lèche ses aisselles et Marc prend ma tête en la déplaçant sur son torse musclé dégoulinant de sueur.

- Ouais, c'est bon putain, c'est mieux que de prendre une douche.

Marc appuie sur ma tête et la dirige vers son jogging. Il le baisse et tire sur son caleçon pour me faire renifler dedans.

- Ma teub doit sentir bien fort, je me suis pas lavé depuis hier.

Je sens effectivement la forte odeur de sa teub, de son gland qui a du mouiller toute la journée dans son calebut et la transpiration de son cours de sport.

- Allez nettoie tout ça avant que ta mère rentre du boulot.

Marc sort sa grosse bite aussi raide que d'habitude et me la place sous le nez en la décalottant. Ses fortes odeurs de mâle m'excitent au plus haut point, elles le rendent encore plus viril. Je lèche son gland qui mouille rapidement et Marc appuie derrière ma tête pour bien enfoncer sa bite au fond de ma gorge.

- Heureusement qu'il y a des sous races comme toi pour vider les couilles des mecs comme moi.

Je continue de pomper Marc qui est debout dans la salle de bain, le jogging et le calebut baissé sur ses basket. Il retire sa bite bien baveuse de ma bouche, me crache un gros mollard à la gueule et me retourne sans que j'ai le temps de réagir. Je suis à présent à 4 pattes dans la douche, Marc me serre très fort les couilles avec une main pour que je ne bouge pas, il crache sur mon anus et m'escalade dessus.

- Qu'est-ce que tu fais... aaaaaaah

Marc enfonce son gros gland humide entre mes fesses. Je hurle de douleur mais Marc s'en fout et continue de s'enfoncer en moi jusqu'aux couilles.

- Hann putain, c'est troooop bon, je kiff ta petite chatte, t'es bien serré comme j'aime.

- Arrête Marc, s'il te plait, tu me fais trop mal.

Je sens sa tige faire des vas et viens en moi sans préservatif. La bite de Marc n'a jamais été aussi dure.

- Tu devrais plutot me remercier, ça fait deux ans que tu te branles en m'écoutant limer la chatte de ta mère toutes les nuits.

Marc rigole tout seul pendant que j'encaisse en pleurant.

- J'ai trop mal, arrête Marc, s'il te plait.

Marc s'allonge sur moi, passe son bras autour de mon cou pour m'étrangler et donne des violents coups de bassin. Je sens sa bite me défoncer avec une violence extrême à plusieurs reprises. Je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses et j'entend le bruit visqueux de sa bite humide qui me dilate peu à peu.

- Putain, je bande comme un taureau avec une bonne chatte comme la tienne.

Marc me défonce avec sa bite qui me semble de plus en plus grosse.

- Je mouille comme un batard, dit Marc en rigolant, tu sens la mouille dans ta chatte là?

Je ne répond pas et me contente de gémir de douleur.

- Plus tu vas te plaindre plus je vais prendre mon temps. Je suis endurant donc si tu veux pas que je fourre ta chatte de grosse pute pendant deux heures t'as intérêt à y mettre du tiens.

Marc pose ses mains sur mes hanches et me donnent des violents coup de bite.

- Qu'est-ce que tu veux que je fasse?

- Remercie moi de te baiser! dit Marc

- Merci de me baiser.

- Mieux que ça!

- Merci Marc de me baiser! Je suis ta pute.

Marc rigole, satisfait.

- Ben voilà quand tu veux. Maintenant, réclame mon jus!

- Je veux ton sperme Marc.

- Mieux que ça grosse pute!!!!

- Je veux sentir ton jus visqueux et cho sortir de ton gland et bien me remplir!

- Hmmmm

Je sens la tige de Marc qui continue de glisser entre mes fesses et qui mouille de plus en plus.

- Je vais bien te remplir la chatte avec ma semence de mâle.

Marc bourrine de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il dégouline de sueur sur moi et me culbute comme une vulgaire pute.

- Ohhhhh putain j'ai le foutre qui commence à monter. Ouvre bien ta chatte sale pédale, je vais cracher mon jus.

Marc accélère, m'agrippe les hanches de plus en plus fort et je sens sa grosse teub se contracter en moi.

- Hannnn ouaiiiis, putain c'est trop bon.

Je sens les gros jets de sperme sortir de sa bite à plusieurs reprise. Marc se vide entièrement dans un râle de plaisir. Il s'allonge sur moi de tout son poid et me souffle à l'oreille.

- Je t'ai bien dosé la chatte, tu sens bien mon foutre en toi là hein?

- Oui

Marc continue d'agiter sa bite visqueuse doucement en moi.

- Remercie moi.

- Merci Marc d'avoir vidé tes couilles en moi.

- Pour te récompenser je vais t'offrir aussi ma pisse, bouge pas.

Marc se redresse légèrement en gardant sa bite enfoncée en moi et se soulage dans ma chatte. Je sens ses gros jets de pisse me remplir et déborder de mon cul. Marc appuie sur ma tête pour l'écraser sur le carrelage tout en terminant de pisser.

- T'es vraiment une sous race. T'as pas honte sérieux? T'es allongé sur le carrelage, la chatte à l'air qui déborde de pisse avec ma bite enfoncée dedans.

Marc retire sa bite de mes fesses dans un flot de pisse et de sperme qui me dégouline entre les cuisses.

- Tu me dégoûte sale pédale.

Marc me crache un gros mollard à la gueule.

- Vas prendre ta douche!

- Merci Marc.

Marc quitte la pièce.


Marc entre dans la maison, accompagné par 2 autres mecs en tenue de sport. L'un d'eux est très grand et barraqué, style rugbyman tandis que l'autre, plus petit que marc, à le crane rasé et fait beaucoup plus racaille.

 

- Ta mère m'a dit qu'elle va rentrer tard ce soir donc j'ai proposé à des potes de la muscu de venir se faire une soirée film de boule entre potes. Je te présente Antoine (le rugbyman) et Karim ( la racaille) me dit Marc

- ok, je vais vous laisser la télé et je vais aller dans ma chambre alors.

- Non, Tu peux rester avec nous, on va s'astiquer entre mec. dit Antoine (le rugbyman)

- On va mater des bonnes chattes qui se font remplir de jus, tu vas kiffer. dit karim (la racaille)

- Reste avec nous oué et va nous chercher des bières! me dit Marc

- Ok.

Je ramène les bière et leur tend chacun leur tour.

- bon aller on va lancer le film de boule.

- cool

- mettez vous à l'aise les mecs

 

les mecs s'installent dans les fauteuils et dans le canapé du salon. Antoine à déjà sa main plongé dans son calebut et se tripote les couilles. Karim baisse son jogging sur ses TN et sort sa bite qui est au repos.

- c'est quoi comme film de Q?

- une meuf qui se fait violer dans une cave.

- hmmm, cool dit Karim

Marc met le dvd dans le lecteur du salon et s'assoit sur le canapé à côté de moi, il ouvre sa braguette, sort sa bite encore molle et me regarde pendant que le film porno commence.

- t'attends quoi pour te mettre au boulot?

- hein?

 

Marc me décroche une violente baffe au visage. Je regarde les amis de marc en me disant qu'ils sont peut être prendre ma défense. Au lieu de ça, Antoine retire son T-shirt pour se mettre à l'aise et baise son pantalon.

- met toi à genoux devant moi et lèche ma queue grosse pute! me dit Marc

Je reste sans bouger sur le canapé. Marc se lève, me prend par les cheveux et me tire vers lui. Je hurle de douleur mais il continue à me tirer jusqu'à la table basse et m'allonge dessus en s'appuyant de tout son poids sur moi.

- tu crois que je vais te laisser me foutre la honte devant mes potes?

 

Marc arrache mon t-shirt et baisse mon pantalon et mon boxer sur mes mollets. Je me retrouve cul nu sur la table, humilié. Ses potes rigolent.

- Si y en a qui veut se faire pomper ou se défouler un peu n'hésitez pas les mecs.

- oué avec plaisir, dit Antoine.

- dis leur que t'es une pute! me dit Marc

- Je suis une pute!

Marc me donne un coup de poing dans le ventre.

- Mieux que ça

- Je suis ta pute marc, je veux te pomper, sentir ta grosse bite me limer le cul, servir de vide burnes à tes amis

- Putain tu l'as bien dressé cette salope, moi ça fait un an que j'essaye avec ma meuf mais elle résiste! dit Karim

- J'espère que tu la remet en place! dit Marc

- Ouais, je la baise comme un ouf et je la baffe pour lui montrer qui est le boss mais elle me casse les couilles quand même.

- je pense que si on passe à 3 ou 4 pour lui limer sa chatte et lui piner la gueule ça devrait la calmer. Il faut qu'elle apprenne à fermer sa gueule et à te vénérer la bite. dit Marc

- oui c'est clair, dit Antoine

- bon alors, qui veut tester ma pute en premier? demande Marc

- vas y ramène sa gueule sur ma bite! réclame le rugbyman

- il va commencer avec le plus gros calibre

 

Marc me chope la nuque et me dirige à 4 pattes vers son pote qui écarte les cuisses pour m'accueillir. Antoine est le plus barraqué du groupe, il doit surement soulever des très gros poids à la salle de muscu. Son torse est couvert de poils

- j'ai la bite qui doit puer, dit le rugbyman à Marc et Antoine qui rigolent

- tant mieux, dit marc, on est des mecs c'est normal qu'on ait des odeurs de mecs

- vas y commence par me lécher les couilles, me dit Antoine

- je m'approche de son entre jambe et commence à lécher ses couilles, son sexe est au repos, pas très long mais déjà très épais. Antoine décalotte son gland et me le colle sous le nez.

- tiens sniffe un peu ça!

Je renifle son gland qui sent le mâle.

- Tu vas me le nettoyer un peu avec la langue!

 

Je m'exécute et léche son gland qui grossit peut à peu. Son sexe durcit rapidement et atteint une taille impressionante. Sa bite mesure 18 cm environ et elle est très très épaisse et très veineuse. Antoine est avachi dans le canapé, il mate le film de boule à la télé, un bras derrière la tête pendant que je le suce et l'autre qui tient sa bouteille de bière.

- vas y applique toi.

- ca va tu kiffes? demande Marc

- Ouais, c'est cool. Merci mec.

Sa bite fait maintenant sa taille finale, elle est tellement épaisse que j'ai du mal à la faire rentrer dans ma bouche. Antoine pose sa grosse main musclée sur ma tête et appuie pour que j'avale toute sa queue.

 

- Je sais qu'elle est énorme mais avale tout sans mettre les dents sinon je t'encule a sec.

J'engloutis son énorme queue pendant qu'il gémit de plaisir en matant le porno et je fais des vas et viens pendant 5 bonnes minutes. Antoine me prend la tête en me tirant par les cheveux et retire sa bite de ma bouche.

- Putain, t'es une vrai salope toi, même ma meuf elle me pompe pas aussi bien.

Antoine branle sa bite sous mon nez avec son autre main et je vois de la mouille sortir de son gland et dégouliner sur sa tige veineuse.

 

- Vas y lèche!

J'obéis et m'applique.

- Ramène sa gueule de pute là, j'ai la bite en feu, dit Karim

Marc me prend par le cou et m'emmène jusqu'à Karim qui m'attend debout, la bite bien raide. Il se racle la gorge et me crache un gros mollard sur la gueule.

- J'ai aucun respect pour les putes dans ton genre.

Je m'essuie le visage avec la main.

- Je t'ai dis de t'essuyer la gueule?

- Non, lui dis-je

 

Karim me met une grosse baffe dans la gueule.

- Alors tu gardes mes mollards sur ta tronche sale tepu!

Karim me crache un deuxième mollard encore plus visqueux qui dégouline sur mon visage en se marrant. Il approche sa bite de ma joue et étale son mollard avec son gland puis me le fait lécher. Sa bite est nettement moins épaisse que Antoine mais beaucoup plus longue. Karim enfonce sa bite au fond de ma gorge en forçant jusqu'a ce que mon menton touche ses testicules. Il me coupe la respiration avec sa tige et bourrine. Lorsqu'il enlève sa bite je prend une énorme respiration et tente de reprendre mes esprits. Karim me plaque au sol contre ses basket et les retire.

 

- Tiens tu vas sniffer un peu ça!

Il me prend par les cheveux et me colle la tronche dans une de ses TN. Je sens une odeur assez forte de pied de mec.

- Alors, ça sent le mec hein?

- oué ça pue, lui dis je

 

Silence.

- T'es en train de dire que je pue?

- Non c'est pas ce que je voulais d...

J'ai pas le temps de terminer ma phrase que karim me donne plusieurs baffes dans la gueule et m'écrase la tronche par terre. Je suis terrifié et me débat mais Marc appuie sur ma tête au sol pour m'immobiliser pendant que Karim s'allonge sur moi en gardant ses chaussettes au pieds.

 

- Et ma bite? elle pue aussi?

Il enfonce sa longue queue en moi d'un seul coup. Je hurle de douleur.

- Aiiiiie j'ai trop mal, arrête s'il te plait.

- Je vais t'apprendre à fermer ta gueule espèce de chienne!

Karim me sodomise par terre pendant que Marc me tient les bras et m'écrase la tronche pour pas que je bouge.

- Met une capote au moins je t'en supplie!

- Ferme ta gueule salope! me dit Marc. Vas y mec, éclate toi, sa chatte est à toi. dit il a Karim

 

- merci, ça te gêne pas si je jute dans son cul?

- Non au contraire, c'est fait pour ça mec, on tassera après ya pas de problème.

Karim continue de me limer en donnant des gros coup de bites. J'essaye de me débattre mais en vain. Je sens son gland qui tape au fond de ma chatte violemment.

- Putain je prend mon pied avec ta pute, merci mec, t'es un vrai pote.

- Elles sont ou tes chiottes? J'ai bu trop de bière j'ai envie de pisser. dit Antoine

- Amènes toi! dit Marc

 

Antoine s'approche de Marc, avec sa grosse bite bien raide.

- Pisse lui sur la gueule. dit Marc

- Oué, arrose lui bien la gueule pendant que je l'encule. dit Karim

- Ok, dit Antoine.

Il approche sa grosse bite de mon visage. Marc appuie toujours avec son genoux pour pas que je bouge. Je sens les gros jets de pisse me recouvrir la tronche, je suis obligé de fermer les yeux.

 

- ohhhh oué, putain, ça soulage

Karim bourrine de plus en plus fort. Antoine approche son gros gland de ma bouche et force pour entrer dedans tout en continuant à pisser. Je sens ses flots de pisse me remplir la bouche.

 

- Avale tout salope! dit Marc

J'obéis tout en continuant à encaisser les vas et viens de la bite de Karim. Antoine termine de pisser et retire sa bite de ma bouche.

- Je vais gicler dans sa chatte les mecs!

- Cool, vide toi bien.

- J'ai la purée qui monte là.

 

Karim donne des violents coup de bite et se contracte en gémissant.

- Oooooh putain, c'est booooon.

Je sens plusieurs jets de sperme me remplir le cul.

- J'espère que tu l'as bien rempli.

- Oué, je vous ai bien lubrifié sa chatte.

- Nickel, vas y Antoine, c'est à toi.

Karim retire sa bite pleine de jus et s'approche de ma bouche.

- Allez nettoie grosse pute. Lèche bien mon yop!

 

Je gobe sa teub et lui nettoie avec la langue pendant qu'Antoine se positionne derrière mon cul. Karim retire sa bite propre de ma bouche pendant qu'Antoine pose son gland énorme sur mon anus.

- Putain t'es un gros juteur, y en a partout. dit Antoine à Karim

- Ouais, j'ai bien souillé sa chatte.

Antoine essuie une grosse coulure de foutre qui dégouline de mon cul avec son gland, s'en sert comme lubrifiant et l'enfonce lentement dans mon cul sans capote. Je hurle de douleur et me débat.

- Elle est trop grosse, ça va pas rentrer. dit je en hurlant

- Tenez le pour pas qu'il bouge je vais forcer.

Karim s'assoit sur moi pour m'immobiliser et Marc m'enfonce un caleçon sale dans la bouche pour etouffer mes cris. Antoine continue d'enfoncer son énorme bite veineuse entre mes fesses en gémissant de plaisir.

- Oooooh putain, c'est super serré je kiffe.

 

Je hurle mais mes cris sont étouffés. J'ai les larmes aux yeux à cause de la douleur. Antoine s'enfonce jusqu'au bout de mon cul et pousse karim pour pouvoir s'allonger sur moi de tout son poids. Il doit peser une bonne centaine de kilo vu la masse de muscles. J'ai du mal à respirer mais je sens déjà l'énorme bite d'Antoine faire des petits vas et viens.

- Il a la chatte remplie de sperme, c'est top, ça glisse bien.

Je sens effectivement son gland qui tasse le foutre de Karim en moi et j'entend le bruit visqueux de sa tige qui me lime.

- Vas y défonce bien son cul de pédale! dit Marc

- Oué t'inquiète pas pour ça, il va boiter pendant deux jours quand j'aurais fini avec lui. Tiens au fait prend mon téléphone et filme moi un peu comme ça je montrerais à des potes du rugby que ça peut intéresser.

- Ok.

 

Marc prend le téléphone d'Antoine et commence à nous filmer. Je baisse la tête pour pas qu'on me reconnaisse sur la vidéo mais Antoine me tire par les cheveux pour bien qu'on voit ma tronche tout en continuant à me sodomiser sans retenue.

- Viens filmer ma bite dans sa chatte aussi!

Marc s'approche de mon cul. Antoine enlève sa grosse bite pour la montrer à la caméra, elle dégouline de sperme, il la branle deux trois fois avant de me l'enfoncer brutalement d'un coup sec dans le cul. Je hurle de douleur mais Antoine continue à me niker en se marrant.

- Mes potes vont adorer. Y en a pas un qui a envie de pisser pour la vidéo?

- Si si moi j'ai grave envie là! dit Karim

- Moi aussi, dit Marc, on va pisser tout les deux sur lui.

- Cool, y en a un qui peut lui pisser sur la gueule et l'autre sur son cul pendant que je le lime.

- Ok, par contre tu vas recevoir de la pisse sur toi. dit Karim

- Pas grave, au contraire, dans les douches après nos match on se pisse souvent dessus avec mes potes.

 

Marc se tient debout au dessus de ma gueule. Il baisse sa tige vers le bas et commence à pisser tout en continuant à filmer. Je reçois ses gros jets de pisse chauds sur la tronche et ferme les yeux. Antoine continue de défoncer ma chatte sans me ménager et Karim commence à pisser sur mon cul. Je me sens humilié et abusé par ces 3 trois pervers qui abusent de moi et me souillent sans aucun respect. Je sens l'énorme bite pleine de pisse d'Antoine me bourrer le cul comme un bourrin.

- Tu la sens bien ma grosse bite dans ta petite chatte, hein? me dit Antoine

J'ouvre la bouche pour lui répondre et Marc en profite pour me pisser dans la bouche. Je m'étrangle la bouche pleine de pisse. Ils se marrent tous les trois. Karim pisse sur le torse d'Antoine.

 

- Hmmmm, c'est top les mecs, je kiff la bonne baise bien déprave

- Tu vas bien lui remplir sa chatte à ce trou à bite.

- Ouais j'ai les couilles qui commencent à déborder là, je vais pas tarder à cracher.

- Vas y mec, soulage toi! dit Marc

Je sens les coup de bite d'Antoine qui sont de plus en plus violents, je gémis comme une pute, ses couilles pleines de pisse tapent contre mes fesses.

- ça y est j'ai le jus qui monte là, hannnnnn, putainnnnnnn

Antoine pousse un rale de plaisir énorme et grave. Je sens son gland cracher sa sauce au fond de mes entrailles.

- wouaaaah bordel, comment elle est bonne sa chatte!!!!

Antoine se laisse tomber sur moi, dégoulinant de sueur et de pisse.

- on t'as bien dosé sale pédé.

 

Antoine retire sa grosse bite de mon cul. Je sens du sperme déborder de mon cul et dégouliner sur mes testicules. Antoine essuie sa bite sur ma joue pendant que Marc s'installe derrière mon cul.

Antoine et Karim se rhabillent pendant que Marc récupère du foutre qui à dégouliné de mon cul et l'étale sur sa bite pour lubrifier. Il enfonce son gland d'un seul coup, je gémis de douleur.

 

- wouah putain, c'est rempli de sperme là dedans, vous avez assuré les mecs.

- Ouais, ça sent le jus de couille et la pisse d'ici. répond Antoine

- Défonce lui les pattes arrières à cette grosse chienne. dit Karim

Marc me baise comme un ouf sur le sol. Sa bite fait un bruit visqueux.

- J'adore putain, j'ai la bite pleine de votre sauce.

Marc me culbute et m'écrase la tronche sur le sol plein de pisse.

- Lèche salope

 

Je lèche le sol pleins de pisse tout en continuant à recevoir des coup de bite de plus en plus violents de Marc.

- Je vais pas tarder à cracher ma purée aussi.

Karim s'approche de ma gueule et me crache un gros mollard dessus qui me dégouline sur le visage.

- Ecarte bien la chatte pour que ton boss puisse vider ses couilles espèce de sous merde, me dit Karim

 

J'obéis et cambre bien mon cul pour recevoir sa semence.

Marc me défonce la chatte et gémis de plaisir.

- ça y est ça vient!!!!

Je sens effectivement les gros jets de foutre jaillirent de son gland. Marc me remplit le cul de sperme cho et visqueux et tasse avec celui de ses potes.

- waouh putain, le pied!!!!! dit Marc

- bravo mec, dit Antoine

 

Marc retire sa bite visqueuse de ma chatte, se lève et serre la main à ses potes.

- Merci les mecs d'être passé.

- Tu rigoles, merci à toi mon pote, on s'est éclaté, tu passes quand tu veux à la maison niker ma meuf.

- Cool merci.

- Bon aller on va te laisser avec ta pute, passe une bonne soirée mec. dit Antoine

- merci, a plus les mecs.

Il referme la porte derrière eux.

- Nettoie la pièce avant que ta salope de mère rentre. Et interdiction de te laver avant demain matin, je veux que tu sentes l'odeur de nos bites sur toi toute la nuit.

J'obéis à Marc qui enfile son jean et quitte la pièce...


 PS : Si vous aimez la bonne baise bien déprave, que ce genre de plans vous excite et que vous habitez sur paris envoyez moi un mail avec une photo de vous et on essaye de s'organiser ça...

 Queutard75

queutard75010@hotmail.fr

 

 

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 24 juin 1 24 /06 /Juin 22:38

Première Partie : Le verre de Bienvenue

Deuxième Partie : Aires de JeuX

Troisième Partie : Des motards dans le potager

Quatrième Partie : Troisième Round

... Quel tableau. Quel spectacle. Ma lope en plein service et 4 petits motards en pleine explosion de bisexualité. Je n’avais même jamais imaginé ce tableau en rêve.


Cinquième Partie : La chevauchée fant'aStiK


Avec mes paroles je vois une lueur de haine dans le regard de Ben. Il ne semble pas avoir apprécié que je mette en doute son envie de moi. Il me prend la bouche et me roule fougueusement des pelles. Je l'arrête et lui propose "Nous avons toute la nuit. Alors si on profitait d'eux pour se mettre en appétit ? On fait les machos avec eux, histoire de leur faire avoir des remords d'avoir abusé de la lope et ainsi peut être que tu me montreras tout ce que tu as envie que je te fasse une fois qu'ils seront partis ?". Ben me regarda avec une malice indescriptible et me dit "Ton programme me plait beaucoup... Tu as des colliers plastiques ?". Je lui demande pourquoi et il me rétorque "J'ai envie de leur faire une surprise". Je me précipite alors chercher des colliers…

 

Ben les prends et pars a la rencontre de ses potes, il passe derrière chacun deux, leurs prends les mains, les met dans le dos et les attache avec un collier. A mon grand étonnement, ses potes n’y virent aucun inconvénient. Il leur dit alors de cesser toute action qu’ils exécutaient.

 

Il les prend un a un sans ménagement et les penche sur la table haute les fesses biens visibles. Et leur dit "Vous n’avez pas honte ? Maintenant, vous ne bougez plus ou ce qui vous arrivera ne vous fera aucunement plaisir, croyez-moi !". Il se retourne vers moi, m'enlace et me dit "Regarde-moi faire" il se met face à Fred lui écarte les fesses avec ses main et cherche un gros mollard au fin fond de sa gorge, et vu le bruit, j'imagine bien l'huitre qu’il est allé chercher pour lui cracher sur la rondelle. Il positionne sa queue face au trou de Fred et la rentre en douceur tout en me regardant avec un air provocateur ! Merde ca m'excite à mort. J'entends Fred gémir et dire "Oh, j’aurais jamais cru que ça pouvait être aussi bon ! » Ben me regarde et me dis "Allez fait pareil à Joe. Je m’exécute, crache sur la rondelle de Joe et lui plante ma queue en douceur. Ben ressort de Fred et réitère son acte avec Seb en me regardant encore une fois avec un air de défi…

 

Nous abandonnons les fesses de nos petits motards et Ben leur donne l'ordre : "Hey les gars, je vous laisse trente minutes pour vous finir sur la lope" et il les libère de leur liens. Les 3 se sont rués sur la lope à vouloir lui prendre le cul…

 

Finalement Seb empale la lope d’un seul coup de rein, ce qui lui a fait sortir un cri rauque de douleur. 23 centimètres, ça doit se faire sentir au passage. Du coup Fred se rue pour prendre la bouche de la lope et commence à lui labourer la gorge et Joe se retrouve comme un con sans trou à disposition, il tente de prendre la place d’un des deux mais sans succès. Il se branle comme un fou on voit bien qu'il est excité et frustré puis, d’un coup il mouille sa queue, se met derrière Fred et l'empale en lui disant "Tant pis pour toi, tu n'avais qu'à me laisser la place et en plus tu as kiffé que Ben te saute…" Fred se met à gémir comme un fou et à se tortiller comme un vers à taper dans la bouche de la pauvre loque prise de tous les bouts…

 

Ben et moi sommes sidérés par le spectacle. Une telle débauche de sexe sans honte, sans tabou. Ben me dit "On aurait jamais imaginé cela même dans nos rêves les plus fous. Attends je suis curieux de voir si Fred peux encaisser aussi facilement 23 centimètres. Je vais arranger le tableau…"

Il rejoint la scène et va murmurer quelque chose dans l'oreille de Seb avant de lui rouler une pelle. Seb libère enfin le cul meurtri de la lope et se dirige vers Joe et lui dit "Tiens je te laisse le cul de la lope va en profiter mec. Joe ne se fait pas prier et va direct combler l'orifice libre de la petite lope. La lope est de plus en plus excité et commence à se branler tout en se faisant remplir tous les trous…

 

Seb se met derrière Fred, le caresse, lui bascule la tête en arrière et l’embrasse a pleine bouche et l'empale en douceur. Fred tremble de tout son corps et gémis de plus en plus fort. Il met ses main sur les fesses de Seb et l'attire en lui tout en tapant comme un malade la gueule de la lope qui en prend pour son grade. Putain Fred doit être un sacre coup. On sent Fred près de l'orgasme et Ben imagine un vice supplémentaire il dit à ses potes "Hey les gars celui qui n'a pas jouis avant Fred n'aura pas le droit de se finir. C'est clair pour tout le monde ?". Je suis étonné. Ben, toujours discret, presque effacé, montre un coté de sa personnalité bien caché ! Ses potes réagissent direct et Joe et Fred se mettent à taper dans leurs culs respectifs avec une frénésie pour se finir avant Fred qui hurle de plaisir et qui va bientôt lâcher sa sauce. La scène vaut le coup. Une chevauchée fantastique ! Pauvre loque qui subit les assauts des deux côtes avec des rythmes différents. Son corps subit tous les assauts. Je me demande comment elle va en sortir. Le bal des jouissances s'annonce. Le premier à ouvrir les festivités est Joe. Il commence par hurler avec des coups de butoir dans la gorge de cette pute et il lui lâche la purée au fond de la gorge. La lope est étouffée par ce gros gland puant et le sperme jaillit, la lope a alors un spasme et vomis, ce qui arrache a Joe un grognent de plaisir… Seb voyant cela redouble d’efforts dans les fesses de Fred et arrive à ses fins en se mettant à piailler et vu les gestes saccadés et non coordonnées de Fred, on imagine qu'il a joui.

 

La lope, continuant à lécher la queue de Joe, se met à se tortiller dans tous les sens et le jet de son sperme inonde la table basse. Et finalement Fred attrape les fesses de Seb et le force à le tarauder encore plus. Il rejette la tête en arrière et se met à gémir de plus en plus fort ; sa jouissance arrive et il hurle à ne plus en finir.

 

Ben me regarde et me chuchote :"Voilà c'est fait ! On se débarrasse d'eux et tu t'occupes de moi ? ". J’acquiesce et lui dit "Je vais arranger ça... "

Je me retourne vers les autres... Quel spectacle ! Et quelle désolation… La terrasse est jonchée de fringues ; il y en a partout. Je m'adresse à eux "Bon les mecs, j'espère que vous avez apprécié mon cadeau. Faites-vous nettoyer par ma lope et rentrez chez vous. S'il vous plait un de vous s’occupe de ramener cette larve de lope chez lui. Comme promis tout cela restera entre nous et on se voie demain OK ? " Les trois me répondent en chœur "O.K. À demain !". Ils ont l’air honteux, ils n'osent pas se regarder. C’est amusant à voir.

 

Je rajoute "N’oubliez pas de vider vos vessies dans la lope par tous ses trous ! Il faut bien nettoyer la bête et ne pas laisser de traces ! Allez ciao les gars". Je les laisse se faire nettoyer et ranger ce bordel et me retourne vers Ben "Tu veux rester avec eux ? Et revenir discrètement plus tard ?". Il me répond "Vu ce qu'ils ont fait, ça n'a pas vraiment beaucoup d'importance qu'ils sachent que je vais passer la nuit avec toi....". Et nous rentrâmes à la maison. Quelle soirée...

FIN

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 20:38

J'ai été déçu du peu de commentaires reçus pour remercier RipDog. Pour vous punir, pas d'illustrations cette fois-ci ! Et je suis gentil de publier la suite. Vous le méritez pas !

Arnaud S.

 

Première Partie : Le verre de Bienvenue

Deuxième Partie : Aires de JeuX

Troisième Partie : Des motards dans le potager


Quatrième Partie : Troisième Round

Mes petits motards tournent en rond autour de la lope, ne sachant que faire. Ils s'épient entre eux. Je vois leur envie dans le regard, je vois leur jeans gonflés prêts à craquer tellement ils bandent, mais chacun attend que l'autre ose commencer. Je me rapproche de Ben, je me colle dans son dos et commence à le câliner, le caresser et lui masser la bosse de son froc. Les trois autres sont comme hypnotisés, leurs yeux oscillent entre la lope et Ben qui prend du plaisir sans chercher à le cacher. Je dégrafe son pantalon et glisse ma main dans son boxer. Putain le mec a une trique à lui exploser le gland et il est complètement imbibé de mouille. Je lui susurre a l'oreille. "Tu veux que je m'occupe de toi personnellement pendant que les autres s'occupent de ma lope ? ». Je l’entends gémir et me dire oui avec une sensualité qui me trouble. Je baisse son pantalon et comme si c’était le signal de départ, les trois autres se sont regroupés et se déshabillent entre eux. Il se papouillent et s'excitent sans vergogne ni tabous.

Une idée me vient alors, je continue à m'occuper du petit Ben, dont le corps commençait à frémir de plaisir et je dis aux autres : "Pour commencer les festivités, montrez-moi que vous serez à la hauteur de ma lope, goutez-vous l’un l’autre ! Vous devez découvrir le gout de la bouche et de la bite de chacun. Faites honneur à votre fratrie, montrez-moi que vous vous aimez !". À croire qu'ils attendaient mes ordres, mon signal. À peine avais-je fini mon discours qu'ils étaient en train de se galocher !

De mon côté, je continuais à caresser langoureusement mon petit Ben qui n'arrêtait plus de gemir et onduler de plaisir, le voici nu à se lover contre mon corps, sa tête rejetée sur mes épaules avec des râles qui sortaient du fond de sa gorge. Ma main sur son sexe était complètement imbibée de sa mouille sa queue crachait de la mouille comme si il était en train de jouir. Je n'avais jamais vu pareille production, une fontaine…

Je décidais de mettre ma main poisseuse dans sa bouche et il se mit à gémir plus fort a téter mes doigts pleins de sa mouille. La lope regardait le spectacle hallucinant de ces motards en train de se donner du plaisir. Un milieu qu’elle croyait purement hétéro. Mais elle ne rêva pas longtemps. On s’occupa très vite d’elle.

 

Les trois petits motards continuaient à s'exciter entre eux et ma lope super excitée commençait à piailler et japper pour attirer notre attention. J’interpelle mes potes et leur dit "Hey ça suffit de jouer entre vous. Vous avez un jouet prêt à l’emploi à vos pieds ! Alors servez-vous en ! Et sans modération. Sans aucune limite. C’est une lope ! Il faut la traiter comme telle. Alors me forcez pas à intervenir parce que dans ce cas ça sera vous les lopes !"

Ils m'ont regardé penauds et se sont dirigés vers la lope. Le Seb avec sa queue monstrueuse me dit "Faut que j’aille pisser avant !" mais je lui répondis " la salope est aussi un urinoir. Choisis le trou et pisse dedans, ça fera office de lavement ! » Et je rajoute "Et fais lui comprendre que ça ne va pas le faire si une goutte tombe par terre…"

 Entre temps j'avais arrêté de m'occuper de mon petit mec il s'est retourné et commençait à m'enlever mes fringues en m'embrassant et léchant le corps, je dois avouer que je suis fort surpris. Depuis que je connais ce mec j'ai envie de lui, j'en fantasme et ce soir, contre toute attente, cette envie se concrétise d'une manière vraiment folle.

 Seb m'a obéi il a forcé la lope à se mettre à 4 pattes sur la table basse (pour le mettre à bonne hauteur), lui a tiré la tête en arrière et fourré son engin dans la gueule en lui disant "N'en perds pas une goutte sinon tu perdras une partie de ton corps qui peut encore te servir !" et il lui pisse dans la bouche… Vu tout ce qu'il a bu, j'espère que ma lope ne va pas s'étouffer. Déjà, j'ai l’impression qu’il a la mâchoire déboitée avec cette queue hors norme dans le gosier. Les deux autres se sont mis autour l'un s'occupant à retirer les carottes une à une avec les gémissements de la lope et l’autre s’est mis à tenir la tête de la lope et pousser sur les fesses de Seb pour que sa queue entre plus loin dans la gorge de la fiotte. Putain cette lope va prendre cher pour le troisième round de la soirée.

 Ben a fini de me mettre à poil et il me lèche goulument les burnes et la queue. Je le relève et le regarde dans les yeux et lui dit : "J'ai envie de toi. J’ai toujours eu envie de toi". Il me serre fort se rapproche doucement de mon oreille et me chuchote "moi aussi" puis il me prend fougueusement la bouche. Putain il me roule une galoche d'anthologie. Mes jambes flageolent, j'ai l'impression que je vais tomber dans les pommes tellement je suis heureux et excité de ce qui m'arrive. Au culot je lui rétorque a l'oreille "J'ai du mal à te croire, tu as toujours été très froid et distant avec moi… Alors ce soir prouves le moi… Donnes moi tout ce que tu as pour me montrer que tu me veux depuis longtemps !".

 Fred a fini d'enlever les carottes, il plante vigoureusement sa queue dans ce trou offert. Il en grogne de plaisir. Seb continue à déboité la mâchoire de ma lope tout en roulant des galoches à Joe et en le branlant. Fred laboure la lope sans ménagement il tape dans le trou comme un forgeron avec des "Han" à chaque coup de butoir, son pubis tape dans les fesses de ma fiotte à grand bruit. Seb se retire de la bouche de la lope et pousse Joe à prendre la place. Il force Joe à se pencher en avant et le rapproche du visage de Fred. Les deux posent leur main sur le dos de la lope comme si c'était un comptoir de bar et commencent à se rouler des pelles. Seb se met à genou derrière Joe, lui écarte doucement les fesses et lui plante sa langue dans son trou. J'ai rarement entendu des gémissements pareils ! Joe se met à émettre des bruits de plaisir inimaginable, il a la bouche prise par celle de Fred, son cul est travaillé par la langue habile de Seb et sa bite tape dans la gorge de cette pauvre lope qui semble avoir des contractions de vomissement à chaque coup. Il est vrai que le gland de Joe doit lui exploser la gorge. J'imagine l'extase qu'il doit vivre.

 Quel tableau. Quel spectacle. Ma lope en plein service et 4 petits motards en pleine explosion de bisexualité. Je n’avais même jamais imaginé ce tableau en rêve.

 

[Suite]

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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