X-toireS

Dimanche 19 mai 7 19 /05 /Mai 11:33

RipDog s'est "investi à fond"  pour illustrer cette partie. Rien n'a été gâché : les carottes ont fini dans sa gamelle avec peu de riz. Ca mérite de prendre 30 secondes de votre temps pour lâcher un commentaire !

Arnaud S.

 

Première Partie : Le verre de Bienvenue

Deuxième Partie : Aires de JeuX

... Je libérais ensuite cette grosse chienne des pressions en tous genre et le détachais du tronc massif. Un soulagement total pour ma lope qui devait penser que le tour était joué et qu’en fin de compte le plus dur était derrière elle.


Troisième Partie : Des motards dans le potager

Potager01En un sens elle avait raison la petite salope. Le plus dur était bien derrière elle. Ma grosse bite gorgée de sang et la vessie pleine de bière, je jetais au sol mon prisonnier et j’enfonçais d’un seul coup brutal ma grosse bite dans son cul que je limais sauvagement et qu’en quelques minutes j’avais inondé de ma pisse la plus jaunâtre. Un lavement de circonstance qui me soulagea et mis ma chienne dans tous ses états. La petite salope était en train de bander et tentait de s’astiquer. Je lui attachais les mains dans le dos. J’entrepris ensuite d’essuyer mes baskets couvertes de boue sur le corps entravé de ma lope, allongée sur un tapis de feuilles et d’herbes en tous genres, et d’exercer de solides pressions sur sa queue raide et imposante que je piétinais sans ménagement.Potager02

Je remis ma chienne sur pieds et l’entrainais vers le potager, situé à quelques mètres de là. Toujours sans un mot, je la jetais à terre, face contre le sol et lui expliquais dans un timbre d’outre-tombe que j’allais fertiliser son cul en le gavant des légumes du jardin. J’arrachais quelques carottes en terre et entrepris de lui gaver le cul. Les cinq premières tiges passèrent assez facilement, mais au total une dizaine devaient trouver leur place dans son cul de salope. Un beau challenge dont je suis fier et après tout, ma chienne aurait pu aussi s’en glorifier. J’exigeais ensuite qu’elle fertilise mon potager, et les carottes au cul, j’entrepris de la branler sévèrement pour irriguer les sillons désormais orphelins de quelques carottes. Une fabuleuse giclée de sperme me donna entière satisfaction. J’aspergeais à mon tour cette connasse de foutre son visage laissé enfin à l’air libre.Potager03

Il fut terriblement humilié de constater qu’il était question de son Maitre et que toute cette angoisse était en fin de compte parfaitement maitrisée. La dernière humiliation fut de taille. À l’image du retour à la maison, ma chienne en laisse, carottes plantées dans le cul, les feuilles à l’air donnaient à ma lope des allures de Bugs Bunny.

Le second round était salé, mais tellement bandant.

En nous rapprochant de la maison, nous entendîmes au loin des bruit des motos. Je me retourne vers ma lope et lui réplique : "Tiens voilà ton dessert qui arrive". Effectivement deux minutes plus tard 4 motos se garent dans le jardin.

 

Je mets ma lope à 4 pattes, l’attache au pied de la table de jardin vais accueillir mes potes.

Ce sont des mecs de cité qui font de la moto cross et du stunt (cascades en moto). Ils sont hétéros, mais dans le milieu cross stunt la pudeur n'existe pas vraiment.

Le premier, Fred, 18 ans grand et d'une maigreur affolante est totalement imberbe avec une queue courte, environ 16 centimètres mais d'une largeur impressionnante qui lui a valu le surnom d’ouvreur. Il passe toujours en premier pour préparer les trous.

Le deuxième, Joe, 24 ans, mince avec une musculature joliment dessinée et une queue de 18 centimètres circoncise avec un gland massif.

Le troisième, Ben, 20 ans est plutôt trapu. Une vraie montagne de muscles. 18 centimètres avec un prépuce d'une longueur inimaginable ! Même en pleine érection le prépuce continue à pendre comme une queue au repos et pourtant il décalotte super bien.

Et pour finir le quatrième, Seb, 19 ans est petit et mince, un vrai corps d'Apollon version miniature. On pourrait écrire un roman sur sa queue. 16 centimètres et très épais… Mais au repos ! En érection, on est plutôt à 23 bons centimètres épais. Je vous laisse imaginer les proportions démesurées sur un corps aussi petit et fin ! Il est obligé de porter de baggy pour pouvoir ranger son arme redoutable. Mais je suis certain que ma petite lope Jared, friand des queues les plus massives, adorera Seb !

Potager04 

Je laisse donc la pouffiasse attachée à la table de jardin et nous entrons dans la maison pour rafler quelques canettes de bière.

Le grand sec me demande alors : « C'est quoi la chose que tu as attaché dans ton jardin ? ». Je lui réponds "Une petite lope qui a besoin de se faire doser par des chacals. Je l'ai déjà labourée, humiliée je lui ai même planté des carottes dans le cul... Mais il lui faut toujours plus ! Je sais que vous êtes 'hétéros' mais je sais aussi que vous êtes toujours en rut. Donc c'est l'occasion pour vous de vous défouler et de d'explorer les zones les plus sombres de vos fantasmes refoulés. À part nous, personne ne saura jamais ce qu’on aura fait à cette sale chienne. "

Les mecs se regardent entre eux gênés ne sachant que répondre. Je sens que j’ai touché un point sensible et ils hésitent. Je rajoute "Hey les baltringues. Vous faites les durs, votre devise « No Fear » qu’en faites-vous ? Vous vous dégonflez ? Je vous ai déjà tous vus à poil, je vous ai déjà vu vous branler voire plus. Vous le faites sans pudeur et là vous faites vos tarlouzes a fourailler un trou avec vos queues. Alors vous attendez quoi ? Putain vous êtes vraiment des lopes tout comme elle, vous mériteriez que je vous traite comme la chienne qui est attachée à ma table de jardin. Vous me décevez, prochaine fois que j’ai envie de pisser je vous appelle vous me servirez d'urinoir. Vous êtes juste bon à ça !". Je savais que la provocation allait réveiller les maîtres qui dorment en eux.

Je ressens leur gêne, ils n'osent plus se regarder. On dirait quatre adolescents puceaux en train de regarder ensemble leur premier film de cul. Je regarde le plus petit, il est manifestement gêné mais on voit pertinemment que son baggy est gonflé. Je me rapproche de lui, palpe sa bite à travers son froc. "Mais tu bandes comme un porc mon salaud ! Ça t’a excité ! " Je dégrafe son pantalon et sort son énorme engin. Putain c'est un manche de pioche, c’est monstrueux et gonflé à bloc. Je regarde les autres et leur dit : « Allez montrez-moi les vôtres bande de fiottes ! Les mecs s'exécutent et, surprise ils bandent tous. »

Je me baisse et goute à cette énorme queue que j’ai en main. Le petit mec frémi et n'arrive pas à contenir un gémissement de plaisir.

Je me relevé et leur dit "Bon les mecs, vous avez une lopette à rassasier en bas et lui faites pas de cadeau. Vous commencez par cueillir les carottes que j’ai plantées dans son derche puis vous me la finissez. Je vous avertis les mecs, je vous surveille. Si il y en a un qui se dégonfle ou qui est pas à la hauteur, il prendra la place de la lope et j'aurais l'honneur de le fourrer sans ménagement en premier."

Et voilà que mes 4 petits motards descendent finir ma lope. Je suis surpris, ça a été plus simple que je le pensais de les engrener. Tu me diras, avec tout ce qu'ils ont ingurgité dans la soirée ; deux bouteilles de whisky et 5 pack de bière, ils peuvent être prêts…

Nous voici de nouveau dans le jardin avec la lope couchée en boule au pied de la table. Je l’interpelle et direct il se remet à 4 pattes tel un chien obéissant.

 

[suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 09:22

La suite de cette eXcellente histoire de THE Kevin, enluminée par les photos de RipDog.

J'essaierai de publier les autres épisodes plus rapidement ... surtout si je reçois un max de commentaires pour flatter ou blâmer l'auteur !

Arnaud S.

 

Première Partie : Le verre de Bienvenue

.... Prétextant quelques photos incroyables dont je voulais te faire partager la primeur, je t’attirai alors vers une pièce au fond de la maison. Tu me suivis sans broncher, savais-tu que tu étais au centre d’un piège qui se refermait sur toi-même à chacun des pas que tu faisais ? Que tous ces pas te conduisaient, dans ce long couloir, au destin que je te réservais ?


Deuxième Partie : Aires de JeuX

Une grande chambre, aux volets baissés, avec salle de bain et WC privatifs, sera l’aire de jeux et de dressages intensifs. Je te fis passer devant moi pour te faire les honneurs de la pièce. À peine avais-tu le dos tourné que je te poussais sur le lit pour t’attacher solidement les mains à l’aide de menottes de circonstance. Tu poussas un cri de stupéfaction en lâchant un « Déjà ! Mais attends un peu ! » Qui était vite contré par la lanière de cuir tendue autour d’un slip sale imbibé de pisse et de sperme séché que je te serrais autour de la bouche.

Lit RipDogÉtendu sur le lit, les mains et la gueule entravées, il me fut à peine une minute pour ôter ton pantalon, tes baskets et t’arracher cette chemise bleue déjà partiellement déboutonnée. Un beau spectacle que ce grand garçon presque nu, les genoux à terre et le torse sur mon lit. Je t’écartais violement les jambes et passais ma main par derrière entre tes cuisses. Je pouvais constater que tu bandais très fort et que ta queue était tout bonnement énorme lorsqu’elle bandait fort. Je pensais à ce moment précis que j’avais choisi la bonne salope et qu’elle allait en baver. À dire vrai je bandais comme un taureau et mon boxer était trempé de mouille à l’idée de ce séjour qui s’annonçait torride.

Une fois le caleçon à terre je tirais sévèrement ta grosse queue et tes couilles en arrière entre tes cuisses pour te faire comprendre qu’il fallait désormais m’appeler Maitre et me vouvoyer. Une ceinture en cuir et une raclée sur tes fesses suffisaient à te faire lâcher le « Oui Maitre, bien Maitre » que j’attendais.

Pour te féliciter de ce premier pas je te permis de te mettre debout afin de t’inspecter des pieds à la tête. Mais pourquoi est-ce que je te parle à toi finalement ? C’est à tous mes lecteurs que je vais désormais m’adresser pour leur montrer le calvaire que je t’ai imposé…

Je lui fis comprendre qu’il devait baisser la tête et les yeux par quelques baffes bien administrées. Ce qu’il fit sans broncher. Inspection édifiante, bon tétons que je pinçais et mordillais et comme j’avais ses couilles dans une main, chaque petit cri étaient assortis d’une pression pour lui faire comprendre que je voulais du silence. Une vraie grosse bite très épaisse que je décalottais à plusieurs reprises en mordillant le prépuce. Me restait à examiner son cul plus en profondeur. Je le fis mettre à quatre pattes la tête sur la moquette et le cul en arrière. Du gel, un doigt, deux doigts, trois doigts, un nouveau plug de taille plus considérable enfin enfoncé qu’il garderait quelque temps.

J’étais satisfait, tant le potentiel de cette salope à en devenir était énorme.

Collier RipDogIl était à genoux…Je lui mis sans attendre d’avantage, son collier de chienne et une laisse qu’il garderait toute la nuit. Je retirai mon boxer de sa bouche. Exigeant de ma salope qu’elle se déplace à quatre pattes, je le tirais vers les WC, par sa laisse. J’exigeais qu’il mette sa tête dans les chiottes, le visage incliné. Je sortais ma grosse queue du jeans et fis couler délicatement ma pisse sur ses joues pour qu’elle arrive ruisselante au creux de ses lèvres en ordonnant qu’aucune goutte ne lui échappe. « Tu vas boire toute ma pisse petite salope ». Ce second « Oui Maitre » me fit l’effet d’une bombe. L’excitation était à son comble et j’en voulais encore d’avantage. Assis sur les chiottes je lui bandais les yeux. Je lui ordonnais de me lécher la bite et sans crier garde je lui enfonçais dans la gorge en l’étranglant avec sa laisse. Cette pute pouvait vraiment faire des gorges profondes sans pratiquement s’étouffer. Je décidais alors de le balancer sur le lit, sur le dos, tête en arrière sur le rebord du matelas et je me mis à lui limer la gorge pour lui faire gober tout ma mouille et lui balançais des mollards sur sa petite gueule de salope excitée. Cet exercice dura bien dix minutes et à chaque tentative d’esquive de ma queue je lui administrais une correction sur sa grosse bite en érection. J’avais l’idée de lui faire bouffer mon cul, aussi je m’asseyais sur sa face de chienne en chaleur et lui imposais de me récurer le cul avec sa langue, bien en profondeur. Au même moment je décidais de m’attaquer à ses couilles en les serrant avec une corde que je pourrais tirer à volonté le cas échéant. Je pris du gel au creux de ma main et commençais à le branler frénétiquement. Puis j’arrêtais pour ne pas qu’il jouisse et je repris pour bien chauffer le gland de la salope qui me récurait profondément le cul.

Le plug ayant fait son effet je décidais d’aller inspecter son cul avec ma grosse bite. Je collais ma pute à genoux, par terre, je retirai le plug de son cul déjà bien ouvert. Avec une main je tirais la corde avec laquelle ses couilles étaient attachées et le rodéo pouvait commencer. Je lui introduis d’un coup sec ma queue et commençais à le limer sauvagement en me cramponnant à la corde à couilles. Je possédais totalement ma monture et quinze minutes après, j’entrepris de le gazer au poppers pour m’attaquer à une double pénétration avec mon pote le gode de vingt-quatre centimètres.

Les débuts de cette double pénétration étaient laborieux, mais la corde à couilles était là pour dissuader ma chienne de toute tentative de rébellion. Je parvenais à mes fins et les deux gros calibres pouvaient aller et venir dans son cul béant de salope au service du maître. Ce dernier exercice avait tellement excité ma chienne que je finissais par la goder en la suçant et c’est une explosion de sperme que ma bouche pouvait enfin accueillir. Je déversais ce trop-plein de jus sur mes pieds dont j’exigeais le nettoyage immédiat par ma salope. Un bon quart d’heure passé à me récurer les pieds, il était temps que je fasse bouffer mon jus à ma monture assoiffée. Je lui enfonçais ma grosse bite dans la gorge sans jamais la sortir avant que mon sperme explose et qu’il avale tout jusqu’à la dernière goutte.

Jouets RipDogComme il était temps de se restaurer j’enchainais ma lope au lit, allais préparer quelques sandwiches dont je jetais quelques miettes et morceaux déglutis dans la gamelle réservée à ma chienne entravée. La nuit pouvait commencer… Le temps de reprendre quelques forces… Le premier round était désormais terminé et je le trouvais très prometteur. Je déposais sur le sol des pinces à seins, des godes de différentes tailles, des entraves cloutées, d’autres cordes, une cage de chasteté, quelques foulards et chaussettes dégueulasses et le second round au clair de lune s’annonçait déjà comme jouissif.

 

Ma chienne était maintenant rassasiée, prostrée au pied de mon lit auquel elle était attachée. Les nuits d’été sont belles en général et la lune dessine sur les montagnes la silhouette des grands arbres centenaires. Le parc qui entoure ma propriété pouvait être le lieu idéal d’un second round où se mêleraient grands espaces, brise légère, retour aux sources et un je-ne-sais-quoi d’inconnu pour mon bâtard à qui je décidais de faire prendre l’air.

Nu comme un ver, la bite humide encore épaisse et bien pendante, j’entrainais ma salope à l’extérieur en ayant pris soin préalablement de lui passer une cagoule destinée à lui faire perdre totalement le sens de l’orientation. J’entassais dans un sac de sport quelques instruments de torture sexuelle. Sa laisse en main, je lui fis faire le tour du parc sans lui dévoiler mes intentions.

« Tu bouges maintenant, et je te préviens que tu vas connaitre le plaisir des nuits d’angoisse en pleine nature » lui dis-je. Il eut pour unique réponse : « Mais Maitre, vous serez là, vous restez à mes côtés ? ». « Silence petite chienne, plus un mot ou ce sera ton dernier ! Tu peux gémir, pleurer mais tu ne parles que si j’exige une réponse à une question précise ». Le silence se fit aussitôt, juste le bruit de nos pas dans l’herbe fraîche, le cri des buses, et des renards qui semblaient observer ce curieux manège.

Mon choix se porta sur un arbre massif au fond du parc, juste à l’entrée de la forêt qui bordait l’extrémité sud du parc. Je poussais fermement ma lope et l’adossais contre le tronc rugueux à l’écorce saillante. Un premier gémissement me fit entrevoir que ce contact n’était pas sans douleur. Je sortais du sac quelques mètres de cordage et entrepris de le ligoter. Une corde autour du cou qui faisait le tour complet de l’arbre, idem pour le bassin et les jambes. L’opération dura tout au plus cinq minutes.

« Adieu petite lope, ce fût une belle expérience » lui lançais-je. Je m’éloignais de ma proie ainsi ficelée et la laissai seule, au milieu de nulle part. J’avais un point d’observation, de la fenêtre même de ma chambre. À dire vrai, c’était terriblement bandant de voir ce grand garçon, seul, nu, aveuglé, planté là, laissé pour compte, au profit d’un sacrifice dans une version lambda d’un King Kong de série B.

Une bonne demi-heure passa, le temps pour moi de griller trois ou quatre clopes, de vider quelques canettes de bière et pour ma lope d’être totalement angoissée. Je revenais à ses côtés, en passant par la forêt sans dire un mot et sans laisser entrevoir qu’il était question de son Maitre. Des bruits de pas provenant des sous-bois, quelques coups portés sur les arbres voisins, des grognements aussi. Je m’approchais de ma chienne en panique et pouvais voir perler des gouttes de transpirations à l’intersection de la cagoule et de son cou entravé.

« Ohhhhhh Maitre, Maitre, je ne dois rien dire, Maitre, Maitre…Mais c’est vous Maitre s’il vous plait…»

Brusquement et sans rien dire j’enfonçais un foulard dans le gueule de ma lope que je fixais avec du ruban adhésif. Je collais ma bouche à son oreille et lui murmurais en tentant de changer de voix : « Ton Maitre t’as vendu, tu es à nous maintenant… Tu seras docile sans quoi tu ne verras plus jamais le jour se lever… Fais un signe si tu as compris ce qui est en train de se jouer là ! ». Des gémissements, des pleurs et l’accord tacite de ma chienne par un hochement de tête.

Je commençais alors à disposer méthodiquement une cinquantaine de pinces à linge sur les tétons, les couilles et la queue de mon bâtard qui se tordait de douleur. Je dus lui administrer une baffe monumentale pour lui rappeler ce qui était en train de lui arriver. J’entrepris ensuite de l’étrangler par tranche d’une minute, pour le faire suffoquer, mais pas trop, juste histoire de faire monter la tension. Ce petit jeu sadique dura en tout et pour tout une trentaine de minutes. Je libérais ensuite cette grosse chienne des pressions en tous genre et le détachais du tronc massif. Un soulagement total pour ma lope qui devait penser que le tour était joué et qu’en fin de compte le plus dur était derrière elle.

 

[à suivre ...]

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 23 février 6 23 /02 /Fév 16:21

AnthroBite01En faisant le ménage de mon PC, je suis tombé sur cette histoire de TheKevin25 que je n'avais jamais publiée ! Je me suis dit qu'il fallait réparer cet oubli, d'autant plus que RIPDOG a accepté de l'illustrer, tel un moine enlumineur.

 

Arnaud S.

 

PS : Ne prenez pas ça pour une reprise de mon blog. C'est juste un bonus, et aussi une façon de fêter le retour du blog de  TEUBCRADE !

 

P²S : Puisqu'on parle photographie, allez voir celles de RobUnvicious, un petit gars au talent prometteur. Me suis permis de faire quelques copies de celles que je kiffe le plus (Album ANGES).


Première Partie : Le verre de Bienvenue

 "J'arrive dans 2 h gare de Lyon" C’est le SMS que je viens de recevoir. Je me décide de venir te chercher. Tu connais mes conditions. Je ne suis pas fan d'odeurs ni de crade. J’aime que le mec soit passif et très gourmand. Il doit chercher à me faire plaisir sans que je lui demande, à m’épater, à m’obéir sans rechigner. Chaque fois que je dois être directif, cela m'agace et ce n’est pas bon pour toi... Plus je suis agacé, plus je suis invivable voire brutal et violent. Toi tu es intrigué par moi, je t’attire mais malgré tout tu crains de ce que je pourrais t’imposer. Tu me connais sans vraiment m’avoir cerné.

Je viens te chercher et malencontreusement, je suis obligé de t’attendre. Le train aura du retard et du coup je me mets en rogne. Tu me bipe lorsque le train rentre en gare. On se rejoint alors quelques minutes après. Tu es désolé. Tu as une boule d’angoisse. Tu sais que je suis contrarié. On sort alors pour rejoindre ma bécane. Je ne suis pas impressionnant et cela te rassure un peu. Je ne fais pas si peur que tu l’avais imaginé, mais ce n’est qu’une couverture, je sais cacher ce genre de choses.

Tu te présentes à moi tout sourire mais avec ce fond d’angoisse que je ressens dès tes premiers mots. En fait tu espères que ton sourire charmeur endorme mon agacement. Et moi à cet instant je pensais "Mais quel con ! Il me fait mariner et il me nargue avec son sourire". Je m’assois sur ma bécane et je tends mon bras et te colle une magistrale claque devant tout le monde .

"Effaces moi ce sourire de niais de ta tronche de morveux ! Tu me fais poireauter et ça te fait sourire ! T'as vraiment besoin d’être dressé toi ! Tu vas voir, je vais te montrer à coups de fouets comment on apprend le respect aux sous-merdes dans ton genre !"

Tu tentes alors de bégayer quelques mots mais tu n’as pas le temps de finir ta phrase que tu en reprends une dans ta face : "Ta gueule... Et mets ton casque !" Tu t'exécutes et je rajoute "J'espère que tu sais au moins être un bon passager en moto ! Grimpe salope !"

Tu commences à douter... La peur te tiraille et tu te demandes dans quelle galère tu vas te fourrer… Mais finalement tu te décides. Tu grimpes sur la moto et nous partons. En roulant tu tentes de m’amadouer et m’exciter en glissant ta main sur mon paquet. Ça ne me fait aucun effet.

Tu as raison, tu m’excites mais l’excitation aiguise mon irritabilité. J’ai été particulièrement agacé de devoir t’attendre dans le froid à la gare, avec passants qui me regardaient comme si j’étais une pute en train de faire le trottoir. Cette décharge de haine qui est en moi n’est pas prête de disparaitre. Il va falloir que tu donnes de toi pour te faire pardonner ! AnthroBite02

Nous arrivons chez moi et je te demande de descendre de la moto pour aller ouvrir le portail. Tu descends de la bécane d’une manière foireuse et en plus tu n’arrives pas à ouvrir le portail. Je suis obligé de mettre la moto sur béquille et ouvrir le portail par moi-même. Non seulement tu n’as pas l’air doué mais en plus j’ai l’air fin avec la trique visible dans la rue. Je rentre la moto dans le jardin et te montre une porte. Je te demande alors de m’attendre devant cette porte. Je fais le tour pour entrer chez moi et je descends t’ouvrir. Je te fais entrer. Nous sommes dans une pièce de 2 mètres carrés avec une porte sur chaque mur.

 

Là je plonge ma main dans ton boxer. Je veux vérifier, je manipule brutalement ta queue, la décalotte, frotte mon doigt contre ton gland. Je ressors ma main et sens mon doigt. Je vois que tu as fait un effort : ta queue est propre mais après quelques heures dans le caleçon elle sent, très peu mais il y a un soupçon d'odeur. Je te colle une baffe sur l’arrière de la tête. Ce ne sera pas la dernière que tu recevras durant ton séjour.

J’ouvre une porte et tu découvres alors un minuscule cagibi. Il y a une chaise et elle occupe toute la place. Je te retourne et attache tes mains dans ton dos avec un collier plastique. Je te force à t’assoir sur la chaise et attache tes mains à celle-ci avant te balancer : "Hey Mec ! Je t'ai à peine vu que tu m’as gavé alors je vais te laisser sécher ici. Ça te fera réfléchir un peu. Quand je reviendrais j'espère que tu seras capable de me proposer quelque chose pour te faire pardonner"

Je claque la porte et tu te retrouves coincé dans le noir dans ce petit espace exigu. Tu entends mes pas sur les marches d’escaliers qui sont le dessus du cagibi, je reviens te voir une heure plus tard, j’ouvre la porte et tu es ébloui par la lumière : "Alors tu as réfléchi ? Tu n'es même pas à la hauteur de tes prétentions... Tu as une grande gueule par mail et à la caméra mais en réel tu n’es qu'une grosse merde."

Je te sors un glaviot d'anthologie. J'ouvre ta bouche et le crache au fond de ta gorge, la referme et te colle une claque sur l’arrière de la tête.VerreDePisse

 

Je te montre un verre plein sur une toute petite étagère dans un coin de ce cagibi.

"Regarde ce verre ! C’est ma pisse de ce matin... bien froide et puante". J’attrape le verre te le porte à la bouche "Bois ! Et ne t’avise pas d’en faire tomber à cote ou de recracher".

Tu bois tout en prenant bien soin de ne rien faire tomber ou ruisseler. « Tu boirais nimporte quoi toi ! C’était la pisse de mon chien, mais ce n’est pas grave, ça prouve que tu es prêt à beaucoup de choses… » Je te vois avoir des relances, je suis sadique quand même. Je te sors surtout de belles conneries mais ta naïveté te perdra un jour.

Je te détache de la chaise, te met debout, baisse ton froc et ton boxer. Je palpe ta queue et tes burnes. Je prends tes burnes en main et serre fort. Tu te plies de douleur

"Alors tu es prêt à m obéir sagement ou tu as besoin d’être dressé ? Penches toi en avant". Une fois penché je palpe tes fesses, mon doigt va titiller ton petit trou... Puis je t’enfonce sans ménagement un plug à peine lubrifié. Je te force à t’assoir te rattache et repart en te laissant dans le noir le plus total. Encore.BatardRepus

Toi de ton coté, tu commences à être excité par la tournure que prennent les événements mais tu as peur. Que va-t-il bien t'arriver ? Tu sens la présence de ce plug en toi, tu as le gout de mon urine dans ta bouche, tu es attaché dans le noir d’un minuscule espace. C'est le seul endroit que tu as vu dans ma maison…

Quelques heures plus tard, c’est autour d’un whisky-coca que nous nous réconcilions. Je t’ai laissé mariner dans le cagibi pour voir si t’étais capable de tenir, de ne pas t’effondrer telle une merde, tu as résisté, le jeu va donc reprendre son cour normal. Je t’ai retiré le plug de ton cul de lope et je voulais désormais passer aux choses sérieuses.

Prétextant quelques photos incroyables dont je voulais te faire partager la primeur, je t’attirai alors vers une pièce au fond de la maison. Tu me suivis sans broncher, savais-tu que tu étais au centre d’un piège qui se refermait sur toi-même à chacun des pas que tu faisais ? Que tous ces pas te conduisaient, dans ce long couloir, au destin que je te réservais ?

 

[SUITE]

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 23:21

Une autre série qui se termine, encore un grand merci à TheKevin25 pour cette eXclusivité.

Arnaud S.

 

Episode 1 : Mensonges

Episode 2 : Colère

Episode 3 : Destruction

 

Episode 4 :  Abysses

Abyssus abyssum invocat  [L'abîme appelle l'abîme. ]

Psaumes, 42, 8 

Klebs01Je me traîne jusqu'au chien et commence à le caresser, ne sachant pas trop comment m'y prendre. Le chien, lui savait s'y prendre, et il se mit aussitôt à bander. Je mis ma tête en dessous de son ventre et pris sa bite dans ma bouche. Le type me filmait en gros plan, puis il me dit de mettre mon cul sous le nez du chien et de me faire baiser comme une chienne. Je m'exécute et senti bientôt le chien me monter sur le dos. Mon cul était juste à sa hauteur et sa bite le frottait... Je l'aidais d'une main à me pénétrer, et attendis la suite. Sa bite me ramonait jusqu'au fond et je le sentais encore grossir. Je n'avais aucune idée de ce qu'il allait se passer. Je ne savais pas la forme que prenait la bite d'un chien pour se coincer dans la chienne. Aussi quand il a commencé à vraiment être gros et à rester coincé, j'ai paniqué. Mais le type m'a donné un coup de pied dans le ventre qui me coupa le souffle. Laissant le temps au chien de rentrer profondément dans mon cul avant de rester bloqué. Je le sentis se déverser en moi.

– Toi aussi t'es une bonne chienne, va manger le sucre de ton maître !

Je me tournais vers Éric, qui se branlait en me regardant, et je me traînais, emmenant le chien avec moi jusqu'au fauteuil. Je pris son sexe dans ma bouche et il gicla presque aussitôt. Je bus son sperme, puis il me repoussa et se leva. Me laissant dans mon sang, ma crasse, mon sperme et ma honte.

– C'était une bonne séance monsieur Jacques, je pense que ça lui a fait du bien !

– Il est déjà bien soumis, et puis il est jeune. Je pense qu'on peut en faire une chienne jusqu'à la fin de ses jours...

– Comment on s'arrange pour le paiement ?

– Laisse tomber gamin, donne le moi une nuit par semaine pour que je le prenne en main. Puis peut-être un week-end de temps en temps pour le faire voyager. Tu sais, cette salope peut rapporter pas mal de pognon, regarde cette vidéo par exemple, je peux la revendre sur le net et gagner plus que le fric que je demande pour une séance comme ce soir. Si tu veux mon conseil, continue à le dominer au quotidien, ne lui laisse entrevoir un espoir que de temps en temps, loue le à tes copains, aux gars que tu rencontre, force le à s'abaisser, à crever de honte tous les jours. Rien qu'en laissant tes potes le sauter deux ou trois fois par semaine tu peux te faire un sacré argent de poche tu sais.

– Oui vous avez raison. Je tourne en rond tout seul, j'ai de plus en plus souvent envie de lui casser la gueule.

– Et bien frappe le, c'est dans son intérêt. Si tu te retiens, un jour tu vas te lâcher et lui faire vraiment mal.

Je restais prostré à plat ventre, le chien avait dégrossit et sorti avec un chuintement humide. Son sperme dégoulina par terre mélangé à mon sang. J'écoutais les horreurs qu'ils débitaient.

– Par exemple, est-ce que tu as envie de le battre maintenant ?

– Ouais plutôt ! Le voir là par terre, dégueulasse, j'ai envie de lui coller mon pied dans la gueule.

– Et bien frappe le, mais pas dans la gueule, là où ça fait vraiment mal, mais où ça ne se voit pas. Le ventre, le cul, les cuisses. Frappe-le sans raisons si tu veux, il faut que ce soit arbitraire pour le casser. Tiens regarde... Eh ! Toi ! Mets-toi sur le dos et écarte grand tes cuisses.

Je savais très bien où il voulait en venir mais j'obéis. Il se plaça entre mes jambes et appuya sa semelle sur mes couilles. Il appuya de plus en plus fort, puis il relâcha et donna un grand coup de la pointe de sa chaussure, juste à l'entrée de mon cul... La douleur me plia en deux.

– Replace-toi.

J'obéis à nouveau, et ce fut le tour d’Éric, qui me frappa encore plus fort. Mais heureusement moins précisément. Je me tordis de douleur, et il me frappa à nouveau et encore et encore, me couvrant de coups. A un tel point que j'avais l'impression que mon corps n'était qu'un énorme hématome. Il se calma et se rassit dans le fauteuil.

– Rhabille-toi sale con.

Je sus que la "séance" était terminée et je commençais à me lever pour me rhabiller, mais Jacques me balaya les jambes.

– Tu reste par terre ici. Ce sont les êtres humains qui sont debout.

Je me rhabillais donc par terre, constatant les meurtrissures et autres bleus qui couvraient mon corps. Une fois habillé, j'entendis qu'Éric donne le signal du départ à genoux à côté de lui. Jacques lui donna une laisse et un collier de cuir fermé par un petit cadenas.

– Il est en métal recouvert de cuir, ça fait assez joli pour passer pour un collier gothique mais il n'est pas coupable. J'avais perdu la clé d'un de mes esclaves auparavant, je lui ai entaillé l'oreille en essayant de le couper. Du coup, j'ai du faire crocheter le cadenas par des jeunes de la cité et en échange j'ai du leur laisser la pute une nuit le temps qu'elle visite toutes les caves et qu'elle revienne plombée. C'était un immigré clandestin, je l'ai ramené aux flics qui m'en ont gracieusement débarrassé.

Sur ces paroles terrifiantes, Éric me mit le collier et la laisse et m'amena à la voiture, toujours à quatre pattes. Il me fit monter dans le coffre et me ramena chez moi. Il se gara comme d'habitude au fond de l'impasse, et m'ouvrit le coffre. J'étais moins sale que les autres jours, mais mon corps n'avait jamais été si douloureux. Il m'enleva la laisse, puis il prit la clé du cadenas. Je pensais qu'il allait me retirer le collier, mais il la jeta dans le coin le plus sombre du terrain vague.

– Oh ! J'ai perdu la clé. T'as qu'à dire à tes parents que t'es gothique maintenant. Au fait, démerde-toi pour trouver une excuse pour dormir chez Jacques tous les vendredis soirs, et puis une fois de temps en temps chez moi aussi.

Je me suis douché dès que je suis entré dans la maison comme d'habitude, et je me suis enfermé dans ma chambre. Vers 20 heures, ma mère m'a monté un plat réchauffé au micro-onde et m'a fait le cinéma.

– J'ai eu ton prof principal au téléphone, il est alarmé, tes notes sont en baisse ce mois ci. Tu passes beaucoup de temps avec Eric en ce moment non ?

– Oui, oui, on se voit tous les jours.

– Bien, c'est bien. Vous allez bien ensemble tous les deux, c'est le grand amour on dirait ! Même si on a mis du temps à accepter ton homosexualité, on pense ton père et moi que c'est un bon garçon.

– C'est exactement ça...

– Vous vous protégez au moins ? Ben ne fait pas cette tête là, je ne suis pas stupide et on est plus au moyen âge... Alors ?

– Oui, on met une capote maman...

– C'est bien alors. J'ai quelque chose à te proposer. Au lieu de passer toutes tes soirées avec lui, pourquoi tu ne te concentrerais pas sur l'école toute la semaine et le week-end tu le passerais chez lui. Non ? Toute la semaine ici, et à partir de vendredi soir, tu peux le voir. Et tu reviens ici dimanche matin pour le repas familial et te préparer pour la semaine à venir... Je veux bien faire un test ce mois ci, et si tes notes remontent, et bien tu feras ce que tu veux de ta vie. En attendant, à partir de demain, c'est moi qui te ramène du collège.

Si elle savait... Elle m'offrait sur un plateau mon excuse pour découcher tous les vendredis chez Jacques et le samedi chez Éric... Mais elle me sauvait de leur emprise le reste de la semaine. J'appelai Éric pour le mettre au courant. Il m'engueula et malgré la distance, mes jambes de dérobaient sous moi. On était mardi, je ne le verrais donc pas avant samedi matin (Jacques ne voulait pas de lui pour sa séance).

Il était hors de lui. Il me raccrocha au nez et me dit de me méfier. J'étais soulagée du répit offert par ma mère à son insu, et je profitais pleinement de mes 3 jours de "congés"...

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 23:00

Episode 1 : Mensonges 

Episode 2 : Colère

Episode 3 : Destruction

"Una salus victis, nullam sperare salutem"  [Les vaincus n'ont qu'un seul espoir : n'espérer aucun salut !]

Virgile, l’Énéide, 2, 354. 

 

UroKlebS01Il me traîna à l'écart de la voiture et se plaça au-dessus de moi.

– Je ne veux pas qu'on me voit avec un déchet comme toi. Demande-moi de te laisser monter dans le coffre.

– … Laisse-moi monter dans le coffre de ta voiture s'il te plaît.

– Bien, qu'est-ce que tu me donne en échange ?

– Ce que tu veux !

– Demande-moi de te pisser dans la bouche. Demande-moi de te laisser boire ma pisse...

– Quoi ?

Il me marcha sur la main et je me mis à hurler.

– Ta gueule ! Demande-moi de t'utiliser comme une pissotière que tu es !

– … Utilise-moi comme une pissotière.

– Tu boiras ma pisse ?

– Oui ! Oui ! Je boirai ta pisse, mais s'il te plaît enlève ton pied ! S'il te plaît !

– Demande-moi de te pisser dessus.

– Pisse-moi dessus, j'ai trop mal. Tu vas me casser les doigts.

– Ta gueule !

Il commença à pisser sur mon visage, essayant de viser ma bouche.

– Bois ou je te laisse ici dans ta merde, ma pisse et mon jus.

J'obtempère et avale un peu de pisse, le reste inondant mon corps et mes cheveux. Il rangea son sexe dans son pantalon et retira enfin son pied. Je ne sentais plus mes doigts de la main droite. Il me traîna par les cheveux, et j'essayais de suivre à quatre pattes. Il ouvrit le coffre minuscule de sa 205 et me fis monter dedans. Il alla chercher mon sac de cours, mes fringues et jeta le tout dans le coffre avant de claquer le coffre. J'essayais de m'arranger pour ne pas étaler le sperme sur mon sac et ma veste qui avaient échappées à la saleté. Mais vu la taille du coffre, je ne pus pas faire grand chose. Une grande partie de la place était prise par un énorme caisson de basse et un système d'amplification compliqué. Je me rendis compte de ma situation quand il mit en marche sa sono. Comme d'habitude, il écoutait la musique très forte, mais là j'avais littéralement la tête dans les enceintes. Les 15 minutes de trajet furent un supplice. J'étais totalement abasourdi en arrivant. Heureusement pour moi, mon père travaillait et ma mère devait être chez une amie. Bref, je me suis faufilé dans la maison, j'ai mis les habits dans la machine et je me suis jeté sous une douche brûlante.

Le reste de la semaine suivit ainsi. Tous les soirs Éric m'emmenait dans un de nos coins de baise pour m'humilier et il me ramenait dans son coffre. Je m'entourais les oreilles de mes habits pour ne pas devenir sourd. Un jour, il m'emmena dans un endroit que je ne connaissais pas. Un quartier résidentiel à l'autre bout de la ville. Il s'arrêta devant une maison énorme et il sortit de la voiture en me faisant signe de le suivre. Il sonna, et un type nous ouvrit la porte. A l'intérieur, il nous emmena directement au sous-sol dans une espèce de grande pièce avec un canapé, un lit et des armoires. Il y avait aussi du matériel vidéo.

– Alors mon grand, je t'explique le topo. Ton copain veut te dresser. Et moi je suis un dresseur. Il m'a trouvé sur Internet, et m'a raconté la situation. D'habitude mon histoire tourne surtout autour du chantage... Tu comprends ? Je te fais faire des trucs dégradants, je te filme, et je les mets sur Internet en diffusant petit à petit l'adresse sur des forums si tu ne fais pas ce que je souhaite. Sauf que toi, malgré ce que dit ton copain, tu n'es pas majeur. Tu fais trop minet et je ne vais pas prendre le risque de me faire emmerder avec une vidéo. Alors je vais te filmer, mais on va mettre des cagoules dans une pièce anonyme, et avant tu vas me faire une déclaration filmée que tu accepte tout ce qui va suivre. On va te casser autrement tu vas voir, ta vie va changer.

Je commençais à avoir vraiment peur de ce type. Je ne voyais pas ou il voulait en venir.

– Mais je suis gentil, je fais tout ce qu’Éric me demande !

– Oui mais ça mon petit gars, ça ne lui suffit pas. Sais-tu ce qu'est le SM ? Ce n'est pas juste des crétins en combinaisons en cuir qui lèchent les talons aiguilles d'une maîtresse. Le SM qui m'intéresse, c'est casser l'individu qu'il y a dans la personne que j'ai sous les yeux. Je vais faire en sorte que tu ne sois plus qu'un bout de chair avec des trous et que pour le reste de ta putain de vie tu fasses tout ce qu'on te demande. Aujourd'hui ça va être ta première séance et ça va être dur.

 

Éric alla s'asseoir dans un fauteuil dans un coin. Et le type m'ordonna de traîner le canapé à l'autre bout de la pièce dans le coin. Il ne restait plus de mobilier hormis des annaux aux murs, au plafond et sur le sol. Il me plaça debout contre le mur, mit une cagoule et alluma sa caméra. Il me fit réciter un texte en anglais que je compris à peine. Apparemment il se foutait que je parle mal. Il coupa la camera et sorti quelques minutes. Il revint avec un énorme chien qu'il attacha à un anneau. Il prit un genre de manche à balai, et ralluma la caméra.

– Fout toi à poil, connard. Et je veux que tu suce ce chien et que tu mettes sa queue dans ton cul.

– Mais...

Je ne vis pas venir le coup. Il était d'une violence incroyable. Il m'avait frappé sur la cuisse et la douleur m'avait fait tomber.

– Je ne répète jamais, et tu n'as pas le droit de parler, juste de crier. Exécute !

Tous les trois mots, un coup de bâton me tombait dessus. Jamais sur la tête, ni sur les mains. Mais sur tout ce qui était invisible, caché par les vêtements. Je me roulais par terre et je commençais à détacher ma ceinture. J'avais le souffle coupé des coups qu'il me rouait. Ce qui lui permit de me frapper de toutes ses forces sur les fesses, m'arrachant un hurlement. J'étais en pleine panique, je cherchais à lui obéir mais il ne me le permettait pas. Mon strip-tease allait durer très longtemps. Je compris à un moment qu'il ne me frappait que là où se trouvait encore un vêtement. Sitôt quitté mon jean, il arrêta de viser mes jambes pour se contenter des pieds et du haut de mon corps. Je retirais mes chaussettes en encaissant des coups sur le dos et déchirais ma chemise en l'enlevant. C'est là que j'ai compris mon malheur. En effet, il ne me restait comme vêtement que mon slip. Il s'arrêta de me frapper et me tira les cheveux pour me mettre à genoux.

– Tu as 3 secondes pour choisir : Je te démolis le cul ou la queue ?

Je me dis que je risquerais moins s'il me frappait le cul. Je lui montrais alors.

– T'as choisi la queue alors ? Intéressant.

– Non ! Le cul...

– Ta gueule !

Et il me frappa à nouveau violemment plusieurs fois sur tout le corps.

Il sortit d'un tiroir deux pinces métalliques et une petite boule de pétanque attachée à une ficelle. Il raccorda les pinces à la ficelle, glissa celle-ci entre mes dents et attacha une pince à mon téton droit. La douleur me surpris et je criai. La ficelle m'échappa et la boule entraîna la pince qui enfonça ses dents dans mon téton.

– Je vois que t'as compris le principe... Normalement les pinces s'enfoncent si on tire dessus, mais elles n'arracheront pas ton téton. Au pire t'aura des cicatrices toute ta vie, mais le téton sera encore là.

Il prit la seconde pince et me remit la ficelle dans la bouche. Il me fit lever et pencher en avant, les pieds à un mètre l'un de l'autre. Il me fit également écarter les fesses avec les mains.

– Voilà le marché : J'arrête si tu tiens 10 coups sans écarter les dents. A chaque fois que tu lâches, on recommence à zéro. Compris ?

Il se plaça derrière moi et me donna le premier coup, avec un genre de ceinture en cuir. Il rata mon sexe mais pas mon anus, et le coup me fit sursauter. Je manquai de lâcher le poids, mais je tins bon. Il enchaîna avec un second coup mieux ajusté. Cette fois-ci la douleur me fit lâcher prise et la première pince se détacha. Il la remit en place et me repassa le poids. On recommença donc. Je tins encore 8 coups sans lâcher prise. Mon sexe était en feu, mes tétons me faisaient tellement mal que je ne ressentais qu'une boule de douleur. Le neuvième coup me fit tomber à genoux. Il m'avait frappé avec la boucle de sa ceinture et le sang coula le long de mes jambes. Je me suis redressé et il m’asséna son dernier coup, encore plus violent. Je lâchais tout et tombais à terre. Il me roua de coup de pieds en hurlant que si je faisais mon petit malin, j'allais déguster. Je ne comprenais rien, je hurlais de douleur. Il se calma et me cracha dessus.

– Tu te crois où pour réussir quand je veux que tu échoue ? T'as gagné. Maintenant je mettrai la barre plus haute. Maintenant tu baises ce chien où on recommence au début.

[suite et fin ici] 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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