X-toireS

Samedi 15 décembre 6 15 /12 /Déc 19:00

Episode 1 : Mensonges

 

 

Episode 2 : Colère 

Ira furor brevis est [la colère est une courte folie]  (Horace, Épîtres, I,2,62)

 

Avertissement : J'ai hésité avec "Métaphysique du tube digestif" pour le titre...

Cradage02– Je regrette ! Je suis désolé ! Je ne referai jamais ça avec un autre. Pardonne-moi, s'il te plaît ! Je t'en supplie...

Il détourna la tête et fixa le paysage à travers sa fenêtre. On resta plusieurs minutes comme ça. Puis prenant mon courage à deux mains, j'ouvris sa braguette et sorti sa bite. Après une seconde d'hésitation, je me suis penché en avant et je l'ai mise dans ma bouche. Elle était encore molle, mais elle durcit très vite. Je le suçais du mieux que je pus. Il mit sa main sur ma nuque et me donna le rythme. Puis il recula son siège.

– Pour te faire pardonner, va falloir faire mieux que ça !

Je compris le message et j'ai retirai alors mon pantalon et mon boxer puis je l'ai enjambé. Il esquiva mes baisers et fourra énergiquement sa bite dans mon cul.

– Allez, bouge maintenant. Montre-moi que tu es à moi !

Il me mit alors son index dans la bouche.

– Montre-moi comment tu suces.

Je suçais son doigt comme je pensais que devrait le faire Brent Corrigan lorsqu'il se fait troncher par Brent Everett. Puis il le retira et l'enfouit dans mon cul. J'étouffais un cri de surprise, mais je continuai à aller et venir sur sa queue. Cette baise était la pire de toute ma vie. Encore pire que le viol de ma bouche par ce connard chez Killian. Je me sentais redevable envers Éric. Je le laissais faire tout ce qu'il voulait et je voyais le mépris grandir dans ses yeux. Je tentais de l'embrasser à nouveau, mais il détourna la tête. Je le câlinais mais il repoussait mes gestes.

– Comment tu veux que je t'embrasse ? Tu as bouffé le sperme d'un autre type et tu viens de me sucer. Tu me dégoûte. Tourne toi, mets toi dos à moi, appuie toi sur le volant. Voilà, et écarte les fesses. Je vais t'enculer encore plus fort ! Et dire que je ne suis jamais allé voir ailleurs, que je te pensais fidèle. Quel con je suis.

Je fis ce qu'il me demanda. Et à peine le dos tourné, je laissais aller mes larmes. Il remit sa bite dans mon cul et tira sur les hanches pour me faire descendre au plus profond. Ça me brûlait dans cette sodomie durait, je me sentais écartelé. Il planta encore son majeur dans ma bouche.

– Alors comme ça t'est bien rempli ? Tu ne vas pas aller voir ailleurs si je te remplis comme ça ? Allez, bouge ton cul ! Je veux que tu me fasses juter espèce de grosse truie.

Et il retira son doigt de ma bouche... Il réintroduit alors un puis deux doigts dans mon cul, sa queue restant toujours à l'intérieur. Il sortit alors sa queue de mon cul, et décida d'introduire trois puis quatre doigts dans mon cul. La douleur me coupait les jambes, mais je me retins de hurler jusqu'au moment ou il fit rentrer son petit doigt aussi. Il avait toute sa main dans mon cul. Je découvrais alors le fist.

J'étais paralysé de douleur, je n'arrivais pas à bouger. Il ouvrit la portière et me poussa dehors. Je m'écroulais mais il m'attrapa par les cheveux et me colla devant sa bite.

– Suce-moi maintenant, ma bite est sale. Je veux que tu la nettoie.

Je commençai à lécher sa bite, totalement dégouté par l'odeur de merde, mais il m'agrippa les cheveux d'une main et de l'autre fourra sa bite au fond de ma gorge tout en me pinçant le nez. Puis tout en me tenant la tête contre son pubis, il se redressa et sortit de la voiture. Me traînant à ses pieds. Je me retrouve assis par terre, la tête sur le siège conducteur, et il s'est mit à me baiser la bouche encore plus violemment que s'il s'agissait de mon cul. Imaginez donc à quelle fréquence il me défonçait la gorge. Il jouit assez vite et m'étala son sperme sur le visage.

– Tu as envie que je te pardonne ?

– Oui mon amour, bien sur. Je t'aime.

– Ouais ! Ben t'arrêtes tout de suite avec tes "Mon amour", quelle grosse blague ! Tu n'es qu'un immense mythomane. Moi je suis prêt à te pardonner, mais là t'es à l'épreuve pendant un moment. Un mois, peut être plus... A la première connerie je te gicle et je raconte à tous tes potes quel connard tu es vraiment... A mon avis si je fais cela, ta vie au lycée est foutue. Et je ne donne pas cher de ta vie à l'université.

– D'accord, je ne ferai pas de conneries. Je te le promets.

– Mon problème c'est que tu me dégoûte, mais que je te désire quand même. Quand je te regarde, j'ai envie de gerber. Alors tu as tout intérêt à accepter mon désir comme il vient, et accepter que tu sois une salope qui a déconné. Tu es une salope. Dis-le.

– Je suis une salope. Ta salope.

– Tu es une salope dégueulasse, qui suce des bites pleines de merde.

– Je suis une salope qui suce des bites pleines de merde.

– Dégueulasse ! Tu as oublié dégueulasse !

– Une salope dégueulasse.

– Tu ne te fais pas vomir là ? La gueule couverte de sperme, le goût de ta propre merde sur la langue. Le fion explosé qui traîne dans la terre ?

– Euh... Si.

– Et bien vomis alors.

– Comment ?

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Fait toi vomir, là sur toi.

– Mais...

– Si tu ne le fais pas je m'en occupe. Et ce sera sûrement encore plus drôle !

Je me mis les doigts au fond de la gorge et je repensais à la merde sur sa bite, à son sperme et à tout ce qui me dégoûtait de moi. J'eus un haut le cœur et je vomis mon repas du midi sur mon ventre et mes cuisses. Le premier spasme en amena d'autres et je n'eus bientôt plus besoin de mes doigts dans ma bouche pour me vider... Je me dégoûtais franchement. Un peu de bile gicla sur le siège de la voiture.

– Putain, mais t'es vraiment une truie ! Tu as dégueulassé ma caisse !

Il me tira violemment les cheveux pour m'éloigner de la voiture. Ce qui envoya un dernier jet de bile sur la moquette. Il me gifla plusieurs fois ce qui stoppa mes vomissements. Je sanglotais sans retenue. Je n'étais plus moi.

– Ma main est dégueulasse, lèche là !

Je lapais sa main sans le regarder, comme un chien qui vient de se faire frapper.

– Lèche la main de ton maître. Lèche la moquette aussi.

Je me traînais jusqu'à la voiture et léchais la bile sur la moquette, retenant de nouvelles nausées.

– Tu as vu dans quel état tu es ? Tu ne crois quand même pas que je vais te laisser monter dans ma bagnole ? Tu vas devoir rentrer à pieds mon petit déchet !

Nous étions à une dizaine de kilomètres de chez moi et hors de la ville et il n'était pas question que je prenne le bus ou que je traverse le centre ville dans cet état.

– S'il te plaît, ramène-moi !

– Pourquoi je ferais ça ?

– Je ferai ce que tu veux !

– Tu fais déjà ce que je veux. Attends, je réfléchis...

 

[suite]

 

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 23:46

Après "Larvé par mon cousin". TheKevin25 nous revient avec une histoire refusée par Gai-éros (trop hard !). Pour mieux vous faire saliver, je l'ai tronçonnée en 5 épisodes. Ca fera une sorte de calendrier de l'Avent en attendant Noël...

Pensez à lui faire des commentaires ! Sinon, vous étonnez pas qu'un jour mon blog s'arrête comme tant d'autres (Petite pensée pour ce bâtard d'ALex..)

Arnaud S.

 

Episode 1 : Mensonges

Finitima sunt falsa veris. [Le mensonge touche de près à la vérité]

JusJoue01

La question qui me taraude chaque jour de mon existence depuis ce jour est : Comment en suis je arrivé là ? Comment ai-je pu me retrouver dans une situation si basse et comment ma vie a basculé du jour au lendemain...

Tout a commencé avec Éric je pense. Et à cause de lui.

J'ai 16 ans, Éric en a 19. Je suis encore au lycée, en classe de première. Lui drague les minets dans mon genre à la sortie du lycée. Il a une bagnole, il est indépendant, il a un appartement à lui et je pense que ça doit l'exciter de baiser des petits minets dans mon style. Il m'a accosté un jour à la sortie, et j'ai tout de suite flashé sur ce mec. Il posait, assis sur le capot de sa voiture tuning avec des copains à lui. J'étais sous le charme de ce type, sans me rendre compte qu'il avait un sérieux problème pour venir draguer des ados à la sortie du lycée. Bref, au bout de quelques jours de cette parade de séduction (chaque soir je le retrouvais devant le collège), il m'a proposé de me ramener en voiture chez moi. J'ai bien évidement accepté, et au moment de se faire la bise, il m'a bien évidement roulé une pelle baveuse.

Sur le plan sexuel, ça a été assez vite, j'étais encore puceau avant de le rencontrer, mais je n'avais aucune envie qu’Éric aille voir ailleurs... Alors au bout de seulement sept jours, je lui ai donné mon pucelage, dans ma chambre, pendant que ma mère était au supermarché. Ce n'était pas très glorieux et plutôt douloureux. Je ne connaissais rien au sexe. On s'est alors mis à baiser assez souvent, il prenait tout le temps son pied, mais moi c'est comme si j'assistais au spectacle de l'extérieur ! J'éprouvais un certain désir, mais toujours écrasé par l'inconfort de la position dans laquelle on était (souvent dans sa 205 GTI ). Il m'avait plusieurs fois, plus ou moins ouvertement demandé de le sucer. Mais j'étais écœurée par l'idée même de rapprocher ma tête de son sexe. Alors je fuyais assez vite la situation en le branlant un peu et en m'empalant sur sa bite.

Par contre, je me vantais bien sûr de mes exploits sexuels auprès de mes potes homos à l'école. M'inventant une vie sexuelle plus que satisfaisante et débridée, alors que je ne suis même pas sûr d'avoir un jour réellement pris mon pied avec Eric. Bref je mentais effrontément, et facilement, puisqu'ils étaient encore tous puceaux.

C'est cette attitude que j'avais vis-à-vis d'eux qui les a poussés à me mettre au défi. C'était au milieu du mois d'août, Eric travaillait avec son oncle sur la Côte d'Azur  et il m'appelait tous les jours. Killian m'avait invité à une fête, ce genre de fête ou n'importe quelle lycéen crève d'envie d'aller. J'ai menti à Eric, de peur de le rendre jaloux. Je lui ai dit que je passais le week- end chez ma grand-mère. Pour mes parents c'était une innocente soirée chez un ami... Bref, nous voilà avec ma bande de copains dans le salon de Killian, à parler une fois encore de mes expériences sexuelles, quand je remarque un type qui me mate, et qui visiblement entend tout de la conversation. J'étais un peu ivre alors je décidais d'aller faire un tout dans les chiottes pour ne pas lâcher une gerbe au milieu du salon. Je suis monté à la salle de bain du haut. Je rentre et je ferme la porte derrière moi, puis je m'installe sur le chiotte. A peine ai-je commencé à pisser que la porte s'ouvre doucement, et le type entre dans la salle de bain.

– Tu devrais tirer le loquet si tu ne veux pas faire des mauvaises rencontres...

J'étais tétanisé, il s'est approché de moi et à ouvert sa braguette, sortant sa très grosse queue. Comparée à celle d'Eric, celle-çi était au moins deux fois plus longue et épaisse...

– Vu ce dont tu parlais en bas, tu dois bien savoir sucer, non ?

J'étais paralysé, je fixais sa bite des yeux sans bouger. Il appuya son gland sur mes lèvres, et j'ai ouvert la bouche.

– Suce-moi, active-toi un peu, sinon je te baise la bouche espèce de lopette allumeuse !

J'essaie de faire un ou deux mouvements afin de contrer sa queue, mais j'ai la bouche sèche, je suis complètement ailleurs. Et un peu bourré, il faut l'avouer...

– J'ai compris. En fait, tu te la pètes auprès de tes potes, mais tu ne connais rien au sexe c'est ça ? Et bien je vais te montrer comment on baise une pute par la bouche alors ! Mais je te préviens que tu vas te souvenir toute ta vie de cette pipe !

JusNez01Et il m'a attrapé par les cheveux et a commencé à aller et venir dans ma bouche, de plus en plus vite et de plus en plus profond. A un point où à chaque coup j'avais un haut le cœur, une envie de vomir incroyable. Au bout de quelques minutes, il est ressorti et s'est branlé quelques secondes devant mon visage. Puis il a éjaculé. C'est à ce moment là que je suis revenu à moi. J'ai réalisé ce qui venait de se passer, je me suis rendu compte que tout ce temps je ne l'avais pas touché, ne serait ce que pour protester. Mes mains étaient crispées sur le rouleau de papier toilette. J'en arrachai un bout pour me nettoyer le visage dégoulinant, mais le type me prit le poignet.

– Donne-moi ça et dégage. J'ai envie de pisser ! A moins que ça t’intéresse ?

Il prit le papier et toujours en me tirant par le poignet, il me traîna jusqu'à la porte, l'ouvrit et me jeta dehors. Je remontai mon boxer et mon jean en vitesse, mais des gens autour avait remarqué ma nudité et fixaient mon visage dégoulinant de son sperme dégueulasse. Je commençai à m'essuyer avec les doigts, mais ça collait, j'en avais plein les cheveux. Pris de panique, je me suis précipité vers la chambre de Killian pour trouver de quoi me débarbouiller, et quand j'ouvris, je suis tombé sur mes amis.

– Ben t'étais où ? On t'a cherché partout ! Et t'as quoi sur la gueule ?

Là j'ai senti une main sur mon épaule. Le type que je venais de pomper par mégarde était juste derrière moi.

– A ton avis c'est quoi qu'elle puisse avoir sur la gueule après m'avoir sucé la queue ?

J'ai vu leurs visages se décomposer, un soupçon de dégoût apparaître. Alors je suis rentré dans mon rôle de roi du sexe. De tyran. De playboy.

– Ben quoi ! Ce n'est pas grave, c'est la vie, puis c'est super excitant de faire ça avec des inconnus. Vous devriez essayer !

Ils se détendirent un peu, j'ai alors poussé le type dehors et fermé la porte. Sarah m'a donné un mouchoir pour m'essuyer et m'a demandé ce que j'allais dire à Eric...

– Comme les autres fois, je ne lui dirai rien.

Comme s'il y avait eu des autres fois ! Sans me rendre compte, j'étais passée du statut de "roi du sexe" à "salope prête à baiser tout ce qui a une queue". J'ai eu du mal à détourner la conversation de moi et de ce qu'il s'était passé avec le type. Et mine de rien je ne suis pas ressorti de la chambre avant le lendemain, j'avais trop peur de retomber sur lui. Et qu'il me fasse des choses encore pire que ce qu'il m'a déjà imposé.

Éric ne l'a pas appri avant l'automne... On était déjà rentré en cours et il avait reprit son cinéma à la sortie du collège. Un soir, il faisait la gueule. Il m'a à peine dit bonjour et il m'a embarqué dans la voiture. Il m'a emmené dans un coin tranquille où on baisait souvent...

– J'ai eus la sœur de Killian au téléphone hier soir.

– Ah..

Je craignais évidemment le pire...

– Elle m'a raconté que tu étais à une fête chez elle, tu ne m'en avais pas parlé. C'était il y a déjà quelques mois.

– Non c'est vrai. J'avais peur que tu sois jaloux. Même si il n'y avait aucune raison.

– Et jaloux de quoi ?

– ...

– Que tu t'es vanté d'avoir sucé comme un connard un type dans les chiottes ? Voire plus, il parait que t'avais le cul à l'air en sortant !

– Ça ne s'est pas du tout passé comme ça, il m'a forcé ! Il est arrivé dans les chiottes et m'a fait gober sa queue avant de juter sur moi. J'ai jamais été autant humilié de ma vie. Je ne voulais pas t'en parler, tu ne m'aurais pas cru...

– Ben voyons. Moi ça fait depuis qu'on est ensemble que tu refuse de me sucer et là, tu le fais à un type que tu ne connais pas ! Et en plus d'après ce qu'elle m'a dit, tu fais ça souvent ! T'a quoi à répondre à ça ?

Je me ramassais mes mois de mensonges dans la figure d'un coup...

[Suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 23:00

[Histoire chipée sur Gai éros]

Episode 1 : Igor et les WC du lycée

Episode 2 : Chez Igor


Episode 3 : Le contrat

 

CollierJ’ai appréhendé tout le weekend le début de la semaine de cours. Je n’ai pas arrêté de me branler à cause de ce qui s’était passé avec Igor, mais j’avais peur de le revoir. On ne pouvait pas avoir confiance en lui vu comme il m’avait menti, et je me demandais s’il allait me préparer d’autres humiliations ou en parler à ses potes. Quand je l’ai revu, il a eu son comportement normal envers moi : quelques insultes avec ses potes et c’est tout. Ce n’est qu’à la fin de la journée qu’il m’a passé une enveloppe en me disant :

 

- Regarde ça et demain je veux que tu me dises si tu acceptes.

 

Quand je suis rentré chez moi, je me suis immédiatement mis sur mon lit pour ouvrir l’enveloppe. Elle contenait une cassette vidéo et une lettre :

Salut salope,

Je vais être direct. Comme tu le sais, j’ai des photos de toi à poil, mais aussi une vidéo de toi en train de te branler et disant que tu es une salope. Je veux t’avoir à mes pieds, que tu m’obéisses comme un bon toutou. Voici le deal : si tu acceptes les termes du contrat que j’ai rédigé sur la seconde page, tout ça restera entre nous et j’adopterai un comportement normal avec toi en public ; si tu n’acceptes pas, je montrerai ta vidéo à tous ceux que tu connais et je leur en passerai des copies.

Fais le bon choix, à demain.

 

J’ai alors lu le contrat :

Moi Julien XXXX j’accepte d’obéir à mon maître Igor XXXX de mon plein gré et à tous égards. Je devrai me consacrer entièrement au plaisir de mon Maître n’importe où et n’importe quand, et ce quelque soient ses ordres. J’accepte toute punition en cas de faute envers mon maître. Le Maître accepte en échange de rester discret sur la relation, mais se garde le droit de la divulguer en cas de manquement du soumis envers le contrat ou s’il le désir à des personnes de confiance.

 

J’étais abasourdi. J’allais presque tomber en larmes quand ma mère m’a appelé pour dîner. Après ce que je venais de lire je n’avais plus vraiment faim et je n’avais qu’une hâte, retourner dans ma chambre pour être seul.

 

Vers 23h00, je suis redescendu dans le salon après m’être assuré que ma mère s’était couchée. J’ai alors mis la cassette dans le magnétoscope et baissé le son au minimum. La scène qui apparut sur l’écran me mit les larmes aux yeux. Tout ce qui s’était passé samedi dernier chez Igor avaient été filmé et même le son de ma voix avait été enregistré. La caméra devait être cachée juste devant moi et je ne l’avais pas vue. On m’entendait me traiter de salope et pousser des gémissements de plaisir lorsque j’éjaculais puis le sucer pour enfin tout avaler de sa semence. J’étais facilement reconnaissable, on ne voyait d’Igor que ses jambes et sa queue ; on ne reconnaissait de sa chambre que le parquet. Le monde s’écroulait et pour une fois je ne bandais pas de la situation.

 

J’ai enlevé la cassette du magnétoscope et pour retourner ensuite dans ma chambre. Il était minuit moins le quart lorsque je signai le contrat. Le lendemain, je serai soumis à Igor.

Le lendemain, je suis parti au lycée la boule au ventre. Igor m’attendait devant la porte de l’établissement. Son visage devait apparaître aussi heureux que le mien devait être décomposé. Il s’est avancé vers moi. Je lui ai donné le contrat signé et son sourire s’est agrandit.

— Ok salope. Tu as fais le bon choix. Je vais t’apprendre à être un bon chien et tu vas voir que tu vas adorer. Rien ne transparaitra de notre relation, mais ne t’avise pas de me contrarier ou de ne pas respecter le contrat. Bon, aujourd’hui on a beaucoup de cours alors je ne vais pas m’occuper de toi avant demain. Je t’ai juste ramené une petite bouteille que tu devras boire pour te désaltérer. Tu devras la boire en public pour être sûr que tu ne gâches pas ce que je m’évertue à t’offrir. Allé bye.

UroVerre01Je me retrouvais seul comme un con avec sa bouteille à la main. Le liquide était jaune foncé, comme du jus de pomme. Mais après ce qui s’était passé, je me doutais bien de ce qu’il devait y avoir dedans. En l’ouvrant, une odeur prenant de pisse m’envahi. Ce n’est que lors de la récréation de l’après-midi que je me suis mis à la boire. Igor m’avait fusillé du regard jusque là pensant que je n’allais pas lui obéir. Le gout froid de la pisse était horrible ; j’ai eu ensuite l’impression que mon corps suintait sa pisse du matin. Tout le monde a cru que c’était du jus de pomme, mais je voyais dans les yeux d’Igor qu’il exultait de savoir que je buvais sa pisse. Après avoir tout bu en essayant de le faire d’une traite sans tout dégobiller, je me suis rincé la bouche pour éviter d’avoir une haleine parfumée à l’urine. Quand je suis sorti des wc, j’ai bien vu que mon rinçage n’avait pas plus à Igor. Il me l’a confirmé le soir même à la sortie des cours.

— La prochaine fois connasse tu n’attends pas toute la journée pour boire ma pisse ok ? Je ne veux pas non plus que tu gâche son odeur en te rinçant la bouche. Il vaut mieux que tu t’y habitues car tu auras le droit à ta petite boisson maison tous les matins. Préviens ta mère que ce week-end tu vas chez moi. On va s’amuser tout les deux tu vas voir. Bye

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 11:05


[Histoire chipée sur Gai éros]

 

Episode 1 : Igor et les WC du lycée

Episode 2 : Chez Igor  

attente01Je me suis senti mal pendant tout le trajet qui nous amenait chez lui. J’avais l’impression que tout le monde savais que j’étais recouvert de pisse. Igor ne faisait rien pour me changer les idées puisqu’il ne me parlait pas du tout. J’ai supposé qu’il s’en voulait et qu’il se taisait dans un silence coupable.

Heureusement, il habitait à seulement quelques rues. Une fois chez lui, il m’a expliqué qu’il vivait avec sa mère uniquement, ses parents étant divorcés. Il m’a immédiatement montré où était la salle de bain et donné une serviette et des vêtements propres qu’il a été cherché dans sa chambre. Je me suis alors enfermé dans la salle de bain pour me doucher. Je l’ai entendu mettre de la musique assez forte. Je me suis savonné au moins quatre fois pour me sentir moins sale. Mais quand je suis sorti de la douche, il était là. Je ne l’avais pas entendu ouvrir la porte que j’avais pourtant verrouillée. Avant que je puisse cacher ma nudité avec une serviette, je l’ai vu s’armer d’un appareil photo. Les flashs ont crépités et je me suis cassé la figure dans la douche. Il en profita pour me prendre sous toutes les coutures, ne s’inquiétant même pas si je m’étais fait mal en tombant. Puis il est reparti.

 Je me suis relevé tant bien que mal, séché et habillé en vitesse. Puis je suis allé le voir dans sa chambre, les larmes aux yeux. Pas de trace de l’appareil photo. Il était assis sur son fauteuil de bureau, les jambes croisées, et me jetait un regard suffisant. Sans que je puisse en placer une il me dit :

 — Je t’ais pris en photo. Je t’ai à poil complet. Si tu ne veux pas qu’elles arrivent dans les mains des élèves du lycée, il va falloir être très gentil avec moi. Tu as compris ?

 Je suis resté coi pendant une bonne minute. Je ne savais plus quoi penser, ni faire. Il m’avait pissé dessus ce matin et maintenant photographié alors que j’étais complètement nu. Me coupant dans mes pensées chaotiques, il réitéra sa question. Je n’avais qu’à répondre un petit « Oui ».

 — Ok, mais je ne suis pas ton pote sac à pisse. Tu me dis oui monsieur ou oui maître. Ok

— Oui monsieur.

 — Bien. Fous toi à poil, tu ne crois pas que tu vas rester dans mes vêtements une minute de plus quand même ?

 Pendant que je me déshabillais une nouvelle fois devant lui, il m’expliqua ce que je devais faire :

 — Une fois à poil, tu vas te mettre par terre et faire le beau comme un chien avec la langue pendante.

 J’étais donc devant Igor, moi à poil et lui habillé, en plein milieu de sa chambre à faire le beau. Il m’a alors tiré les cheveux pour me faire lécher les pieds. Je suis passé entre ses orteils et heureusement ils n’étaient pas sales ; comme c’était le matin, il avait dû se prendre une douche avant de partir en cours. Puis j’ai dû me branler devant lui assis, les jambes écartées.

 — Tu as vraiment l’air d’une chienne en chaleur. Regarde-moi dans les yeux pendant que tu te branles connasse. Dis que tu es une salope.

 — Je suis une salope.

 — PLUS FORT CONNASSE.

 — JE SUIS UNE SALOPE.

 Pendant que je me branlais en le regardant, il titillait mes couilles avec ses pieds. J’ai eu du mal à bander car la situation était trop impressionnante et invraisemblable pour moi. Il s’est bien passé vingt minutes pour que j’arrive à bander, et dix autres pour éjaculer sur mon torse. J’avais du sperme partout sur le ventre et j’étais exténué. Ma jouissance avait été très forte et j’avais même poussé quelques petits couinements qui l’ont fait sourire.

 — Bien maintenant, comme tu as pris du plaisir grâce à moi, tu vas m’en donner. Prends la dans la bouche, fais la grossir et suce.

 Sa queue n’a pas tardé à grossir dans ma bouche. Elle prenait de plus en plus de place et parfois j’avais des envies de vomir. Mais à chaque fois que j’essayais de la retirer, il me l’enfonçait. Je me suis donc appliqué à le sucer comme il voulait puisque je voyais bien que je ne pouvais rien faire d’autre. Il avait toujours des trucs blanc sur son gland qui sentaient mauvais, j’ai dû les lécher et j’en avais partout dans la bouche. Je n’arrivais pas a prendre sa queue entièrement dans la bouche quand elle a été bandée à fond. Après quelques minutes, il a joui dans ma bouche et m’a demandé de tout avaler après lui avoir montré que j’avais tout pris en bouche en faisant le beau la gueule ouverte. Son sperme était très salé, j’ai failli vomir mais je me suis retenu : qui sait ce qu’il m’aurait fait si j’avais eu le malheur de le faire ?

 Après quelques secondes, le temps de reprendre mon souffle. Il m’a jeté mes vêtements souillés de pisse à la gueule pour que je les mette. Puis il m’a foutu à la porte. Je suis rentré chez moi comme ça et heureusement, je n’ai pas croisé ma mère. Je me suis une nouvelle fois douché, j’ai changé de vêtements et mis ceux du matin au lave-linge. Une fois en partie revenu de mes émotions, je me suis rendu compte que je n’ai pas arrêté de bander depuis que je suis parti de chez Igor. J’ai dû me soulager et toutes mes pensées allaient sur ce qui s’était passé avec Igor.


[Suite]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 04:51

[Histoire chipée sur Gai éros]

Episode 1 : Igor et les WC du lycée 

vestiaire08Je m’appelle Julien. Je suis brun, 1m84, mince mais pas musclé.

Mes premières relations sexuelles eurent lieu lorsque j’étais au lycée en seconde. J’étais un élève plutôt réservé, et cette année là j’étais devenu le bouc-émissaire des mecs de ma classe. Je crois c’est parce que j’étais devenu gros et que je m’entendais bien avec les professeurs vu que j’étais assez bon élève, d’où les surnoms dont on m’affublait quotidiennement : le gros, le mange-boule, le lèche-cul, le bourrelet… Le moment le plus critique pour moi était lors des cours de sport : j’étais toujours choisi en dernier, ils ne m’incluaient jamais dans le jeu (sauf en tant que gardien de but au foot, histoire de me recevoir les ballons dans la gueule et d’avoir une victime au cas où mon équipe perdrait le match) et ils se moquaient toujours de moi en endurance.

Un élève de ma classe en particulier semblait avoir une dent contre moi, Igor. Il prenait plaisir à m’humilier à chaque fois qu’il me voyait, en soulignant bien que je n’avais aucun ami, contrairement à lui qui était constamment entouré des élèves les plus cool de la classe, voire du lycée. Il n’était pas le plus beau, mais il avait un petit truc en plus qui faisait craquer les filles, ou les garçons comme moi qui se cherchaient encore. Il était brun, aussi grand que moi, avec un regard et un sourire qui me paraissait souvent pervers, voire sadique. J’aurais fait beaucoup pour qu’il change d’avis sur moi et qu’il me prenne sous sa protection.

Les mois passaient, tous identiques jusqu’au jour où le prof de latin était tombé malade. C’était un samedi matin, en février, et il faisait plutôt froid. Comme je n’avais pas d’autres cours, je me décidais de rentrer chez moi. Mais avant, je devais passer aux WC, à cause d’une envie pressante. Comme je croyais que j’allais être en retard en cours, j’étais parti de chez moi sans avoir pissé et là, je ne pouvais plus me retenir. Les cours ayants commencé, il n’y a personne dans la cour ; j’allais donc être tranquille aux WC le temps de faire la vidange. Je m’installe devant l’un des urinoirs pour pisser. Les WC étant dans la cour de récréation, il fait un froid de canard et j’ai bien du mal à prendre ma bite qui n’était déjà pas bien grande. Quand enfin j’y arrive et que je me mets à pisser, un mec se met devant l’urinoir à côté de moi. C’est Igor. Lui aussi n’avait pas eu cour de latin, mais je ne pensais pas le revoir de sitôt. Il ne pisse pas et se tourne vers moi en me disant :

— Il fait froid hein ?

— Heu… oui…

— J’ai envie de pisser là, tu y arrives toi ?

— Oui Igor…

— Montre !

À cet instant, il me prend la bite et dirige mon jet de pisse sur mon torse. Heureusement, j’avais presque fini, mais quelques jets de pisse étaient quand même arrivés sur sweat-shirt. J’étais interdit, sur le cul, incapable de réagir. C’était la première fois qu’on me touchait la queue et j’étais terrifié par le fait de m’être pissé dessus. Igor souriait et me tenait toujours la queue dans la main, en la serrant de plus en plus.

— Tu as une petite bite tu sais ? J’ai eu du mal à la prendre. Oh ! Regarde ce que tu as fait, tu m'as mis de la pisse sur la main. Il va falloir réparer ça.

Il m’a alors tiré les cheveux et foutu un coup derrière les jambes pour que je tombe à genoux devant lui. J’ai eu très mal et j’étais paniqué en pensant au drame que ce serait si quelqu’un nous surprenait, moi la bite à l’air libre à genoux devant lui. Tirant plus fort sur les cheveux, il m'a fait lécher sa main couverte de ma pisse. C’était à vomir et je me sentais sali comme jamais je l’avais été. Voyant que je ne me laissais quand même pas faire, il essuya sa main sur mon visage et me crachat à la gueule. Puis, il me tira jusqu’à l’une des cabines, la plus éloignée de la porte d’entrée. Il pointa alors un doigt inquisiteur en direction du mon sexe. Je me suis rendu compte avec effroi que je bandais.

— Je vois que ça t’excite le mange-boule. T’es PD ? En tout cas j’avais raison, tu as vraiment une toute petite bite. Bon maintenant tu vas faire ce que je vais te dire si tu ne veux pas que je raconte à tout le monde que tu t’es pissé dessus aujourd’hui. Tu vas te foutre à poil, à genoux les mains derrière la tête, et tu vas boire toute ma pisse sans en laisser tomber une goûte. Car je te préviens, si tu n’es pas coopératif, je te pisse dessus et tu devras rentrer chez toi recouvert de pisse.

Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui aie obéi. Je me suis déshabillé entièrement et j’ai pris la position demandée. J’avais peur de rentrer chez moi couvert de pisse et je pensais naïvement que peut-être il allait plus m’apprécier si je lui obéissais. Il a sorti sa bite ; elle était au repos mais déjà me semblait énorme en comparaison de mon petit asticot ; surtout elle était poilue alors que je n’avais que quelques poils qui se battaient en duel. Elle sentait mauvais et quand il a commencé à décalotter, j’ai vu des traces blanchâtres. Il a engouffré sa queue dans ma bouche et a commencé à pisser doucement pour me laisser le temps d’avaler. Le goût était fort, et je n’arrivais que difficilement à avaler. Le gros de sa pisse débordait pour atterrir sur mon menton et dégouliner sur tout mon corps. Une fois fini, il s’est cassé.

Je suis resté plusieurs minutes nu sur le carrelage froid de la cabine. Après m’être essuyé avec du papier toilette, je me suis rhabillé pour rentrer le plus vite chez moi et me prendre une douche en tentant de ne pas croiser mes parents. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je l’ai vu m’attendre à la sortie des WC.

— Ecoute Julien, je suis désolé de ce qui vient d’arriver. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Viens chez moi, il n’y a pas mes parents. Tu prendras une douche, je te filerais des vêtements et je te ferai à manger. Je te promets que rien de tel n’arrivera plus. Ok ?

Il avait l’air sincère. Avec le risque de croiser mes parents alors que je puais la pisse, et le fait que c’était peut-être enfin l’opportunité de devenir ami avec lui ; j’ai accepté.   

[Suite] 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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