X-toireS

Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 22:30

[Merci pour vos très nombreux commentaires, vous avez bien mérité la suite !

Arnaud S]

 

Chapitre 1

« Le pire, c'est que toute l'école le sait maintenant, parce que quand on a eu juté, il nous a essuyés, nous a refilé nos slobs et il a écrit au marqueur sur nos poitrine 16/20. Après, sans qu'on ait le temps de remettre nos fringues, il nous a emmenés à la cantine. Les autres étaient alignés, en slibards aussi, avec des notes écrites sur eux et, tu sais pas ?....

-Si, c'est vous qui avez eu la meilleure note...

-Exact... Putain ! On a été déclarés les « best suckers » de la promo, tu parles d'une gloire ! Jamais j'oserai y refoutre les pieds, dans ce bahut ! En plus, je suis grillé avec les nanas, elles assistaient au truc !

-T'emballe pas, on va se faire une bonne bouffe, une bonne nuit de sommeil là-dessus, et si tu veux, on reparle de tout ça demain.

-OK... »

 

Chapitre 2

Après un dîner bien arrosé nous sommes rentrés, il était un peu éméché. Il allait refermer la porte de sa chambre, mais il m'a rappelé et, sans me regarder, mais avec une main dans son jogging, il a dit à mi-voix: « Dis donc, ton pote, là, le grand mec au crâne rasé et aux yeux gris bleu...

-Yohan ?

-Ouais, Yohan, si tu veux... On pourrait p't-être bouffer avec lui demain ?.... »

Le lendemain soir, nous avons retrouvé Yohan dans un restau gay. Il avait plutôt bel air, jean clair taille basse et tee-shirt moulant, tandis que mon jeune demi frangin ne s'était guère mis en frais : il portait un jogging avec un haut à capuche qui convenait très mal à cette douce soirée d'automne. Les présentations ont été rapides : « Yohan, Sébastien, Seb', Yohan ». Celui qui jouait souvent, et très bien, le rôle de mon master, pour une fois, ne s'est pas montré trop exubérant et, après le dîner, nous sommes allés dans une boîte branchée, mais pas cul. Yohan et Seb dansaient souvent face à face ; il avait quitté le haut de son jogging, les spots irisaient son torse nu. Visiblement le courant passait entre eux et mon frangin semblait détendu. Leurs mains s'unissaient parfois, parfois, leur corps se frôlaient et se frottaient.

Il était minuit passé quand nous sommes sortis en nage du club. Yohan, qui commençait à être bien chaud, a proposé d'aller au Dark Man, une boîte assez hard. J'allais l'en dissuader, mais Seb, qui lui aussi semblait bien lancé, a dit « OK, mais seulement si y a du cul, mec... Ca me plairait de mater ça ! ».

caveOn a sonné à une lourde porte, le videur nous a considérés d'un œil méfiant et s'est assuré que Seb était majeur. Puis il a lâché « C'est soirée slibard, prenez un sac ». Seb a eu l'air surpris ; Yohan l'a pris par le cou : « Ben, tu voulais mater, non ? Tu vas être servi. Mets tes fringues dans le sac plastique et ne garde que ton slob et tes pompes. » Seb s'est déloqué. J'ai constaté que ses sous-vêtements avaient été renouvelés et qu'il ne portait plus les sages slips façon « Petit Bateau » qu'il avait en arrivant. Un slip blanc, de marque, très échancré dessinait ses petites fesses et moulait son paquet. Yohan, lui, portait un jok-strap, comme d'habitude, mais Seb a eu l'air surpris : « Waou ! C'est ouf, ce truc... On voit tout ton cul, man ! ». Yohan a passé la main sur les fesses de Seb, qui n'a pas bronché, et il a murmuré à son oreille : « Et alors, ça te gêne ? ». Le jeune homme n'a pas répondu, mais a souri largement et nous sommes entrés dans le bar. La lumière avare laissait entrevoir des couples ou des groupes occupés aux jeux habituels. Seb regardait de toutes parts, fasciné et instinctivement caressait sa queue. Au bar, les mecs accoudés nous ont matés avec intérêt, ils portaient des slips de diverses matières, cuir, latex, et de diverses formes, mais leur paquet était nettement décelable et Seb n'en perdait pas une miette. Quand nous avons été servis, nous sommes allés nous mettre un peu à l'écart. Yohan m'a pris par les cheveux, m'a forcé à m'agenouiller et a sorti sa queue enserrée dans un cock ring métallique. Je l'ai voluptueusement engloutie, sans me préoccuper de ce qui se passait au-dessus de moi. Quand, au bout d'un temps assez long qui avait donné à la bite de mon maître une enviable dimension, j'ai relevé la tête, j'ai constaté que Yohan et Sébastien se roulaient des pelles, que le slip de mon frangin était descendu à mi cuisse, révélant une belle érection, et que Yohan était en train de jouer avec ses tétons pendant que la main de Seb caressait doucement le torse de mon master. Les autres mecs qui s'approchaient de notre trio étaient écartés sans ménagement, j'ai donc recommencé à pomper Yohan avec entrain. Bientôt, le visage de Seb s'est retrouvé à côté du mien et nous avons réitéré la pipe à deux que mon frangin avait tant appréciée lors de son bizutage, décidément très initiatique...

J'hésitais à lui rouler des palots pendant que nous sucions Yohan et, tandis qu'il bouffait sa queue, je léchais ses belles grosses couilles. Mais, très vite, j'ai senti la main de Seb lui-même qui me prenait par la nuque pour que nos langues et notre salive se mêlent sur la bite que nous dévorions. Yohan nous a relevés, je crois qu'il n'était pas loin de jouir. Il a remis son jok, Seb a remonté son slip, et nous sommes revenus vers le bar pour prendre un autre verre. « Tu savais que ton frangin était une vraie salope ? » a demandé Yohan. « Mon demi frangin, a-t-il corrigé, mais je le comprends un peu », et il a raconté son bizutage que j'avais déjà évoqué avec Yohan. « Je vois que vous avez des dispositions, dans la famille ! , a-t-il ricané. On descend ? » Devant le regard interrogateur de Seb, j'ai précisé : « Il y un sous-sol où l'on peut...

-OK, pigé, on descend » a tranché Seb.

Des mecs erraient dans les couloirs obscurs, nous avons évité la back-room où des groupes compacts et emmêlés haletaient et nous sommes entrés dans une cabine assez vaste et sans glory hole. Yohan était vraiment un excellent pédagogue... « Foutez-vous à poil tous les deux ». Il n'y avait pas grand chose à enlever, et nous nous sommes retrouvés devant mon pote qui nous a considérés d'un œil de connaisseur... « Pas mal, les frangins, pas mal... »a-t-il dit en se caressant la queue. « Demi frangins » a corrigé Seb. Yohan n'a pas relevé. Si ça avait été moi, j'aurais reçu une baffe, mais mon master savait doser ses réactions. « Viens là » a-t-il ordonné à Seb et il a attiré sa bouche vers sa teub qu'il avait sortie pour qu'il achève de le sucer. « Toi, m'a-t-il dit, bouffe, et applique toi, sale larve ! » J'ai relevé Seb pour que son petit cul se tende, j'ai écarté ses fesses et j'ai commencé à lécher, à aspirer sa petite rondelle. Il s'est débattu un peu, mais Yohan est intervenu : « Laisse-toi faire, tu vas voir de quoi est capable ta lope de frangin... Pardon, de demi-frangin ! » Seb a continué à pomper et a cessé de gigoter. Peu à peu, ma langue a fouillé son intimité et je me délectais de l'odeur de la sueur de jeune mâle qui émanait de son petit cul serré. Je sentais la douceur des chairs ; elles n'avaient sans doute jamais été forcées et elles cédaient peu à peu à ma langue qui s'aventurait de plus en plus profondément. Sa respiration s'accélérait, ma main a pris sa queue tendue à l'extrême, j'ai saisi ses couilles que j'ai malaxées, il allait jouir. J'ai changé de position afin de prendre sa bite dans ma bouche et aussitôt, j'ai reçu son sperme craché en longues et épaisses giclées que j'ai avalées. Yohan a aussi poussé un cri et a déchargé sur le visage de Seb.

Tout pantelants, nous nous sommes relevés, ils se sont essuyés et nous avons remis nos slibards. « Toi, ce sera pour plus tard » m'a dit Yohan avec un sourire mauvais. Nous sommes remontés, nous avons remis nos fringues et nous avons quitté le bar, sous les regards envieux des autres mecs.

« On prend le dernier chez moi ? » a proposé Yohan. « Cool ! Ca marche !» a dit Seb, qui décidément progressait à pas de géant...

Nous avons pris un taxi, Yohan ne cessait de parler, ce qui est chez lui signe d'excitation. Après avoir assommé le chauffeur d'anecdotes déplacées et de propositions vagues et vaines, nous sommes enfin arrivés chez lui. Dans l'entrée de l'immeuble, Yohan s'est retourné vers Seb et lui a dit : « Tu veux voir à quel point ton fran... demi frangin est obéissant? » Seb avait l'air étonné, il ne devait pas imaginer une telle complicité entre Yohan et moi. Après un temps, il a répondu : « Vas-y, man, t'es un master, toi ! » Seb, finalement, y voyait clair. Yohan est alors venu vers moi, m'a donné une violente baffe et d'une voix dont je savais ce qu'elle promettait, m'a ordonné : « Tu te fous entièrement à poil et tu montes par l'escalier, pendant que nous, nous montons par l'ascenseur. Allez, magne ! » Je me suis déshabillé complètement et j'ai filé mes affaires à Yohan. Ils ont disparu dans l'ascenseur et, pendant que je gravissais les marches, l'idée m 'est venue que mon master pouvait me jouer une mauvaise blague et me laisser à poil dans les escaliers. Mais, arrivé au quatrième, la porte entre ouverte a dissipé mes craintes. Je suis entré , Yohan et Seb étaient déjà en slip et en jok-strap, mes fringues étaient en tas dans un coin. Pour une fois, l'appartement de Yohan était rangé, propre, presque coquet, ce qui m'a conduit à penser que mon master avait prémédité ce scénario...

Yohan s'est absenté pendant un court moment, il a bricolé dans le coin cuisine, pendant que Seb et moi, assis sur son divan, commencions à nous caresser la queue ; j'avais sorti la sienne de son slibard et la branlais doucement avec quelque résultat. « C'est qui, ce mec, pour toi ? M'a demandé Seb, à voix basse. « C'est un partenaire de jeu, et dans ce jeu, je suis son soumis, il fait ce qu'il veut, tant que j'y trouve du plaisir et que ce plaisir est partagé. On peut aller assez loin...

-Je vois » a dit mon fran... demi frangin pendant que Yohan revenait avec des verres sur un plateau... « Une vraie soubrette ! », ai-je pensé, mais je me suis bien gardé de faire la moindre remarque ! Yohan a pris son verre et nous a présenté les deux autres. J'ai avalé la boisson d'un trait, je connais mon Yohan, et, de plus, la chaleur m'avait assoiffé. Seb en a bu une bonne rasade et s'est écrié : « Mais c'est dégueu, ton truc ! Merde, c'est de la daube ! » Yohan s'est approché de lui, l'a pris par les cheveux, a tiré son visage en arrière et l'a regardé droit dans les yeux en lui ordonnant, sur un ton qui n'admettait pas de réplique : « Tu bois, tu fais pas de commentaires. Avale, et fissa ! » Seb paraissait tétanisé et fasciné. Il a pris son verre et a commencé à boire. Yohan est parti d'un grand éclat de rire : « Alors, les chaudasses, vous en pensez quoi de mon cocktail ? Un tiers de Label 5, deux tiers de pisse... Pas mal, non ? » Sans quitter le regard du master, Seb a vidé son verre, pendant que la main de Yohan emprisonnait sa queue et ses couilles et serrait, serrait de plus en plus fort, jusqu'à ce que, le verre fini, Seb se plie sous l'effet de la contrainte. « C'était bon ? » Seb, s'est redressé, a planté ses yeux dans ceux de Yohan et a dit : « C'était bon mec, c'était super bon... » et après un temps : « C'est super bon, master, vas-y ! »

trampling01Yohan a pris Seb par les cheveux et l'a fait tomber à terre. Il était sur le dos, la queue dressée, Yohan passait et repassait ses skets sur son torse, sur son visage, lui assénait des petits coups dans les côtes, entre les jambes qu'il écartait. « Au boulot, toi » m'a-t-il dit. Je me suis précipité, j'ai ôté le slip, le me suis incliné vers la bite de Seb et je l'ai pompée, m'égarant parfois vers ses boules, son petit cul, ses cuisses musclées que je léchais, enivré par son odeur de jeune mâle en rut, pendant que Yohan s'accroupissait et lui travaillait les tétons de plus en plus vigoureusement. Seb s'était emparé de la teub de notre master et la branlait, caressait ses couilles avec application. Le travail des seins de Seb était de plus en plus hard et il commençait à gémir sans doute de plaisir mais aussi de douleur. Yohan s'en est irrité, lui pris le visage dans sa main et a serré jusqu'à en déformer les traits. « Arrête de couiner, petite pute, t'aimes ça et si c'est pas le cas, moi j'aime. Tu vas voir ce qu'un vrai slave peut endurer, et se tournant vers moi, debout, toi, mains dans le dos ! » Je me suis exécuté aussitôt pendant que Seb s'asseyait dans le canapé. « Je t'ai dit de t'asseoir ? Debout et regarde ». Yohan m'a giflé violemment, sans attendre, je l'ai remercié et il est parti dans la chambre ; il est revenu avec deux épingles qu'il a désinfectées à l'alcool. Puis, il s'est approché de moi et a chuchoté : « Bouge pas, serre les dents, montre ce que tu es capable d'endurer pour le plaisir de ton maître ». Il s'est emparé de mon sein droit et, d'un coup sec, il l'a percé horizontalement et a refermé l'épingle. Il a fait pareil avec mon autre téton, sans que je bouge ou ne laisse échapper un cri. Seb n'en revenait pas. « Putain... C'est mieux que les Punks ! Respect, man !

- Respect, en effet, a répondu Yohan, bouffe ses panards. » Seb s'est précipité à mes pieds et les a léchés, s'attardant sur les orteils, entre les doigts, pendant que le master lui travaillait les couilles : il les élongeait, les tordait, les serrait dans sa pogne que je savais de fer. Seb gémissait et en accélérait les allers et retours de sa langue sur mes pieds. Il lui a placé un cock ring en cuir, pas celui avec les pointes que j'avais déjà expérimenté, mails il l'a serré assez fort pour que Seb pousse un cri étouffé. « Ta gueule ! Debout ». Il s'est relevé, sa bite, prise dans l'étau de cuir avait des proportions impressionnantes et ses couilles rebondies et prisonnières formaient un volumineux paquet dont je me serais bien emparé. Mais Yohan a pris une paire de pinces à seins et l'a placée sur les tétons saillants de son nouvel esclave qui a grimacé, ce qui lui a valu une paire de gifles à laquelle il ne s'attendait pas. Je craignais qu'il ne réagisse mal, mais il s'est contenté de baisser la tête. Yohan l'a relevée et lui a dit « L'usage veut que l'on remercie le maître en pareil cas ». Seb n'a pas tardé à murmurer « Merci, maître ». Une autre gifle a claqué sur sa joue. « L'usage veut que ces remerciements soient faits à voix haute ». Seb a planté son regard dans celui de Yohan et a presque crié : « Merci, maître ! Merci ». Yohan l'a poussé sur le divan , où il a brusquement atterri, imprimant aux pinces un mouvement vif et probablement douloureux. « Bien. Viens t'asseoir aussi ». Nous avons repris quelques forces, je voyais que Seb supportait ses pinces avec peine, mais il n'en a rien dit.

Après ce moment de repos, Yohan s'est levé. « Je vais enlever les épingles de tes tits , a-t-il décidé. Lève-toi » Il a ôté les épingles avec beaucoup d'expertise et sans provoquer de réelle douleur. Il s'est rassis, a pris une clope et en a offert une à Seb qui l'a acceptée. « Bouge pas, toi » m'a-t-il commandé. Il s'est tourné vers Seb et a annoncé : « Il faut cautériser, tu crois pas ? Viens. » Seb ne semblait pas comprendre, mais il s'est levé et est venu se planter devant moi comme l'avait fait Yohan. « Tu fais comme moi. » Aussitôt, je m'y attendais, il a écrasé sa cigarette sur mon téton. J'ai hurlé, de sorte que Seb ne savait plus quoi faire. « Tu veux subir la même chose ? … Non ?.... Alors obéis, fais ce que j'ai fait ! » Seb hésitait, je voyais que sa main tremblait, ce qui imprimait à la clope un tremblement identique. Puis j'ai senti le bout incandescent frôler mon tit, s'y enfoncer, mais son hésitation était telle que le supplice n'en finissait pas et qu'il était bien plus pénible à supporter que la franche brûlure de Yohan. « Allez, vas-y, écrase-la, tout de suite, grouille ! ». Yohan lui a pris la main et a enfin écrasé la cendre brûlante. C'était presque un soulagement.

Ensuite, Yohan nous a ordonné d'aller dans la chambre et de nous mettre côte à côte à quatre pattes sur le lit. Yohan s'est placé derrière nous et a commencé à nous doigter. Son majeur s'enfonçait de plus en plus profondément dans nos culs avec des va et vient que tous deux semblions apprécier, si j'en crois les gémissements que nous poussions l'un et l'autre. Deux doigts ont ensuite été introduits, puis retirés. Yohan est venu vers nous et a enfoncé dans nos bouches le doigt qui avait servi de gode au cul de l'autre. Je l'ai sucé voluptueusement, mais Seb semblait renâcler un peu. Une baffe et deux crachats ont frappé son visage que Yohan avait saisi par les cheveux. « Alors ? ». Seb semblait un peu égaré quand une nouvelle gifle l'a atteint. « Tu as déjà oublié les usages ? » Il s'est repris et a dit le « Merci, maître » que Yohan attendait, puis, ayant pris la main du master, il a bouffé les doigts qui m'avaient pénétré. « Bien, toi, m'a-t-il commandé, en position, la même. Et toi, regarde ! ». Je me suis remis à quatre pattes, j'ai senti que cette fois, c'était un plug qui me violait. J'ai le cul assez serré et le passage a été dur, mais l'objet a fini par me pénétrer jusqu'à la base de caoutchouc que j'ai sentie à l'entrée de mon anus. « Tu le garderas jusqu'à demain soir. - Bien maître, merci ! » ai-je dit, pour montrer l'exemple... « A toi, maintenant, à quatre pattes, obéis ! » Seb semblait hésiter, mais Yohan l'a rassuré : « Pour toi, nos ambitions sont plus modestes. Allez ! » Il s'est remis dans la position ordonnée, et j'ai vu que Yohan avait pris un gode de dimension raisonnable. Au préalable, il a enduit le cul de Seb de lubrifiant et le jeune homme paraissait apprécier cette caresse anale ; il a eu un sursaut quand le gode a été présenté à l'entrée de son anus et, j'en ai été surpris, presque ému, il a pris ma main, qu'il a gardée serrée dans la sienne pendant toute l'opération. Le gode progressait lentement, j'imaginais ses chairs s'écarter au passage de l'instrument, puis il vivement été happé par le cul jusqu'à sa garde. « C'est bien, mec... Te voilà un vrai p'tit pédé, maintenant ». Je me demandais si c'était bien ce qu'il fallait dire à Seb, mais contre toute attente, il a répondu : « Oui, maître, j'suis un bon p'tit pédé. » Yohan a commencé à imprimer de légers mouvements au gode, ils se sont faits de plus en plus rapides et, en un cri, Seb a éjaculé avec violence sur les draps. Il est retombé à plat ventre, haletant, le gode toujours fiché dans son cul. Yohan a caressé son dos, ses fesses et avec précautions, lui a retiré le gode. « Relève-toi . Je vais retirer tes pinces, ça va faire un peu mal. Respire à fond. » Les pinces ont été enlevées efficacement, avec seulement deux petits cris étouffés. « Va prendre une douche et rhabille-toi, ça va le faire pour une première séance ». Seb s'est enfermé dans la salle de bain. Yohan est revenu vers moi : «Tu vas bouffer son gode, regarde, il y a quelques traces marron... Tu me le rends clean. » Tandis que je m'exécutais, Yohan s'est mis à me branler ; il n'a pas fallu longtemps pour que je jouisse, mais le gode était déjà impeccable...

Nous avons quitté Yohan et sommes rentrés à pied chez nous. Le jour se levait, il était agréable de marcher dans les rues encore désertes, même si, pour ma part, j'éprouvais une certaine gêne à l'entre jambes... Arrivés dans l'appartement, je me dirigeais vers ma chambre quand Seb m'a rejoint : « Dis, brother, je peux dormir avec toi? »...

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Mercredi 15 août 3 15 /08 /Août 07:20

Voici une nouvelle histoire, en très grande partie fantasmée, quoiqu'il y ait forcément du vé-cul... Tu en fais ce que tu veux. Titre possible: une initiation. Bon été.

Kouros.

 

Chapitre 1

mizalair01Quand mon demi-frère a enfin eu son bac, il avait mis le temps , puisqu'il entrait dans sa vingtième année, notre mère qui vivait seule avec lui en province me l'a « confié » afin qu'il suive les cours d'une improbable école de commerce. A la fin de l'été, j'ai donc vu débarquer un jeune homme blond, hirsute, fagoté à la diable, taciturne et mou. Il avait peu changé depuis notre dernière rencontre qui devait remonter à deux ou trois ans. Son arrivée contrariait la liberté dont je jouissais et bouleversait mes plans cul ; j'étais, du coup, d'assez mauvaise humeur. L'accueil a été froid, lui-même ne semblait pas exalté de partager son existence avec moi.

Je lui ai montré sa chambre. « Putain, a-t-il grogné, il fait une de ces chaleurs ! J'peux prendre une douche ? » Et sans attendre ma réponse, il s'est déshabillé sans aucune gêne, c'était moi, au contraire, qui me trouvais embarrassé. Quand il a enlevé son slip, un slip sage en coton blanc comme ceux que je portais quand je vivais chez ma mère, j'ai pu constaté que ce frérot méconnu avait tout ce qu'il fallait pour susciter de l'intérêt. Il était assez poilu, bien musclé avec des pec' bien dessinés, loin de l'impression qu'il donnait tout habillé, et son sexe assez court, mais épais, surgissait d'une forêt de poils blonds. Ses grosses boules pendaient et quand il s'est retourné pour aller dans la salle de bain, son petit cul bien rond et velu aussi a achevé de me convaincre que la cohabitation pouvait se révéler plus agréable que je ne l'aurais cru.

Après sa douche, il est venu me rejoindre au salon ; il était torse nu mais avait enfilé un short flottant sans rien en dessous et qui ne cachait rien. Il m'a parlé de conquêtes féminines, de ses succès faciles avec les « meufs », pas un mot sur ses études dont je devinais qu'elles seraient brèves. Pour ma part, je ne dévoilais rien de ma vie, je me contentais de l'écouter et de mater sa queue, ses boules que le moindre mouvement laissait apparaître. La soirée s'est passée ainsi, je ne suis pas sorti cette nuit-là, et, une fois couché, j'avais du mal à ne pas repenser à tout ce qui m'avait été donné de voir...

Plusieurs jours se sont écoulés sur le même mode : quand il se levait, il était la plupart du temps à poil ou en slip et traînait ainsi dans l'appartement, il sortait l'après-midi et, le soir, conversation au salon en short. Je lui avais présenté quelques potes, parmi les plus fréquentables, mais rien ne semblait vouloir se concrétiser.

La rentrée a eu lieu quelques jours plus tard.

Une semaine après, il est rentré beaucoup plus tard que d'ordinaire et s'est enfermé dans sa chambre en claquant la porte. Ce n'était pas son habitude. Je suis allé le rejoindre. Il était couché à plat ventre sur le lit, tout habillé. « Qu'est-ce qu'il t'arrive ? », lui ai-je demandé en m'asseyant à côté de lui. « Putain, c'est ainsi que commençaient la plupart de ses phrases, j'ai été bizuté, grave... Les salauds !

-Tu veux me raconter ?

-Va te faire foutre ! ». Je suis sorti, décontenancé. Une heure a passé, je l'ai entendu se doucher, puis, comme toujours, il m'a rejoint au salon, mais il avait enfilé un pantalon de jogging et un tee-shirt. Je lui ai servi un verre, puis sans que j'aie rien demandé, il s'est lancé :

« Putain... C'était la journée d'intégration, comme ils disent ces connards. Je m'attendais à des petits trucs, mais pas à ça ! Ca a commencé cool, tu vois le genre, se balader à moitié à poil, fringué de sacs poubelles dans le quartier en essayant de vendre des feuilles de PQ aux passants. Puisqu'on est dans une école de commerce, faut savoir tout vendre, qu'ils disent. Puis arrivés place Saint-Ferdinand, il fallu qu'on se foute tous en slibard autour de la fontaine et ils ont pris des photos. C'était grave gênant, mais c'était que le début. Après, on est revenus à la boîte et les anciens ont chacun choisi deux nouveaux. Moi, c'est un mec de troisième année qui m'a choisi, un balèze, avec un mec que je connaissais, un petit beur et il nous a emmenés dans un genre de débarras pourri. Il nous a expliqué qu'il était notre maître d'initiation et que si on lui obéissait pas, ce serait l'enfer toute l'année. Il nous a dit de nous foutre complètement à poil et, comme on voulait pas, il m'a filé un coup de poing dans le bide qui m'a scié en deux et il allait filer un coup de boule au beur quand celui-là a commencé à se désaper. J'ai fait pareil, après tout, montrer mon cul et ma teub, y a pas mort d'homme. Quand on a été à poil, ils nous a fait allonger par terre, il a pris quatre paire de menottes, son daron doit être flic, c'est pas possible autrement, et il a attaché nos mains et nos pieds . Après, il a bandé nos yeux. Putain, le flip ! J'ai senti qu'il passait sur mon corps, mes couilles, ma bite, un truc épais, froid et gluant. J'ai pas compris sur le coup. J'ai pigé après, il me rasait, cet enculé, le torse, mon pubis, ma queue, mes couilles, mes jambes, tout y est passé. J'avais qu'une trouille, c'est qu'il me rase la tête. Heureusement, quand il a fini , il m'a retourné avec des coups de pied et il a commencé à me raser les fesses. Je savais plus où me mettre, mais j'avais pas le choix.... Il a écarté mon boul, et il s'est mis à me raser l'intérieur du cul. Putain, l'humiliation ! Etre ouvert le cul écarté pour qu'on rase mes poils... La vache !! Le rebeu bronchait pas, je l'entendais plus. C'est vrai qu'il en avait moins que moi à raser, il avait juste quelques poils à la bite, c'est ce que j'avais vu quand il s'était foutu à poil. Il a dû s'occuper de lui parce que, pendant un moment, j'ai plus rien senti, mais j'entendais le bruit du rasoir qui s'occupait à autre chose... Putain de sa race ! J'ai plus un poil, tu veux voir ? »

Sans attendre ma réponse, il s'est levé et a enlevé son tee-shirt. Est alors apparu un torse totalement imberbe où saillaient deux petit tétons pointus dans une aréole nettement dessinée. Pendant que mon regard se perdait sur cette poitrine de rêve, il baissait son jogging, il ne portait rien dessous, et j'ai vu sa bite que l'absence de tout poil rendait plus volumineuse. Il s'est tourné, a mis les mains sur ses petites fesses glabres et, les écartant, m'a montré son petit trou parfaitement lisse. Je savais que la pudeur n'était pas son principal caractère, mais j'en restais ébahi. « Alors, t'as vu ? » Le souffle coupé, je n'ai pu que répondre : « Ah, oui... en effet ! ». C'était idiot, mais l'érection qui s'emparait de moi me mettait mal à l'aise. « Et après, il t'a fait autre chose, ton mec ? » ai-je dit d'une voix un peu voilée. « Attends, c'est que le début, tu vas voir ce qu'il m'a fait, cette salope, et pas qu'à moi, putain ! »

Il a remonté son jogging, mais est resté torse nu, il s'est rassis et s'est servi un autre verre. « Après, a-t-il poursuivi, il nous a détachés, nous a débandé les yeux, en nous ordonnant de ne pas bouger, puis, il m'a pris par les cheveux et m'a placé au-dessus du rebeu, la gueule sur sa queue. La mienne était à hauteur de sa bouche à lui. « Maintenant, qu'il a dit, vous allez goûter chacun à ces douceurs, allez, sucez-moi ça ! ». Moi, je voulais pas mais le p'tit beur, il a pris ma teub dans sa gueule sans discuter. Je trouvais, qu'étant au-dessus, j'avais la meilleure place. J'ai commencé à vaguement la mettre en bouche, sa teub ne m'étouffait pas et je pouvais contrôler mes mouvements. Le pire, c'est que ça m'a fait bander et l'autre mec, le rebeu, il bandait aussi dur. Ses potes disaient qu'ils l'avaient jamais vu avec une meuf, il devait en être, lui.. Putain, la honte ! J'suis pourtant pas pédé, mais la bouche du p'tit mec était chaude et douce et il s'y prenait pas mal... Alors, j'ai bandé, j'te dis ! Et moi, ben, ça me déplaisait pas de sentir sa bite dans ma gueule. J'croyais que ça me débecterait, que ça me filerait la gerbe... ben non. Au début, j'y allais pas à fond, tu vois, genre chupa-chup's, et petit à petit, j'ai vraiment pris sa queue. Elle était pas trop grosse, elle sentait le savon, je l'ai pompée tout entière en caressant les couilles. Il faisait pareil, je sentais mes boules disparaître dans sa gueule, j'ai pris aussi ses couilles toutes lisses dans ma bouche en le branlant, putain, le pied... Mais j'suis pas pédé, tu l'sais ! »

Une telle ingénuité me rendait perplexe et je ne voulais surtout pas faire de gaffes ni lui faire remarquer que l'évocation de ce 69 lui provoquait une érection manifeste, la bosse qui se dessinait sous son jogging ne laissait aucun doute. Je faisais des efforts pour que mon regard ne se fixe pas sur ce renflement évocateur et je tentais de me lancer dans une diatribe vaguement psycho : « Tu sais, nos goûts peuvent varier, évoluer, et la situation dans laquelle tu te trouvais...

-Mon cul, oui, a-t-il tranché, j'ai bandé, j'te dis, laisse-moi finir. Ca a duré assez longtemps, notre petit truc, et mon p'tit rebeu commençait à mouiller grave et moi, je sentais que j'allais pas tarder à décharger. L'autre grand con, il a dû le sentir et il nous a séparés, le fumier. On s'est retrouvés, tout essoufflés, avec la trique, sur le dos. Il nous a relevés. « Bon, pas mal, les p'tits pédés, vous avez passé la première épreuve avec succès. Lequel des deux va goûter à ma grosse bite maintenant ? » Le p'tit mec, il a eu l'air plus motivé que moi, il s'est foutu à genoux, vraiment, c'est sûr, c'est une vraie pédale, lui. Le balèze a dégrafé son jean et le mec lui a bouffé le slibard, j'te dis pas, il avait l'air de kiffer grave et j'ai vu qu'il triquait un max. Puis l'autre, il a sorti sa bite. Putain, le morceau ! Le rebeu, il se gavait et là, j'sais pas c'qui m'a pris... » Il s'est interrompu, s'est servi encore un verre et a allumé une clope. Je me suis bien gardé de dire quoi que ce soit, je savais qu'il allait y venir et je me doutais de la suite.

« Et puis là, je me suis foutu à genoux aussi et je lui ai sucé le zgueg au mec, en même temps que le p'tit rebeu. Nos langues se rejoignaient pendant qu'on le bouffait, on se roulait des palots, putain, le délire ! Jamais j'avais kiffé comme ça ! Pendant qu'on lui suçait la queue, on se branlait mutuellement... La vache ! Puis l'autre, il a grogné et un jet de foutre est parti, suivi de longues giclées qui sont tombées sur nous et nous aussi on a joui, en même temps. Ouais, j'crois que j'suis bien pédé. »

Il avait l'air tellement accablé que j'ai voulu le rasséréner : « Tu es bi, mon vieux, comme la plupart des mecs. L'essentiel, c'est de prendre son pied... Moi, tu sais...

-Toi, t'es pédé, je l'ai toujours su, tout le monde le sait, d'ailleurs et tes potes, on peut pas les prendre pour des hétéros raides-dingues ! » Je commençais à entrevoir différemment ses précédentes séances de naturisme...

« Le pire, c'est que toute l'école le sait maintenant, parce que quand on a eu juté, il nous a essuyés, nous a refilé nos slobs et il a écrit au marqueur sur nos poitrine 16/20. Après, sans qu'on ait le temps de remettre nos fringues, il nous a emmenés à la cantine. Les autres étaient alignés, en slibards aussi, avec des notes écrites sur eux et, tu sais pas ?....

-Si, c'est vous qui avez eu la meilleure note...

-Exact... Putain ! On a été déclarés les « best suckers » de la promo, tu parles d'une gloire ! Jamais j'oserai y refoutre les pieds, dans ce bahut ! En plus, je suis grillé avec les nanas, elles assistaient au truc !

-T'emballe pas, on va se faire une bonne bouffe, une bonne nuit de sommeil là-dessus, et si tu veux, on reparle de tout ça demain.

-OK... »

 

[J'ai la suite, mais je ne la publierai que si je reçois dix commentaires !, Arnaud S]

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 21 commentaires
Mardi 14 août 2 14 /08 /Août 23:10

Histoire très hard trouvée sur Gai eros. 

Bonne lecture,

Arnaud S.


L’homme était assis seul à une table et sirotait un whisky pur malt qui lui avait coûté les yeux de la tête mais il jubilait intérieurement car il allait enfin réaliser un des fantasmes qui l’excitait le plus. Il parcourut l’assemblée du regard. Deux hommes masqués comme lui discutaient doucement à une table à l’autre bout de la pièce. Ils attendaient leur tour. Il ne pouvait pas entendre ce qu’ils se disaient. Comme tous les autres, l’homme avait mis son masque avant de sonner à l’entrée de ce superbe appartement bourgeois de Paris et de présenter son carton d’invitation. Comment avait-il eu ce carton ? Personne ne le sut jamais. Étant donné la qualité des personnes haut placées, voire très haut, qui venaient ici et qui ne voulaient pas être reconnues, le masque était de rigueur. L’homme ne voulait pas être reconnu non plus du fait de ce qu’il prévoyait de faire. La porte de la pièce qui allait servir de scène à son fantasme s’ouvrit. Un homme masqué en sortit en se rajustant et il partit tranquillement, visiblement satisfait. Les deux hommes qui discutaient finirent leur verre, se levèrent et entrèrent dans la pièce. L’homme savait qu’il était le prochain et il eut un regain d’excitation. Son membre se gonfla un peu. Le stress du à la gravité de l’œuvre qu’il allait réaliser lui noua un peu les trippes et il eut un soudain besoin de déféquer. C’est ce qu’on appelle faire dans son froc, se dit-il.

Le garçon était allongé sur le sling, des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles, cadenassées haut aux chaînes de suspension du sling, une bite qui lui défonçait le cul (c’était la troisième ce soir là), et une autre qui lui limait la gorge dans toute la longueur l'amenant plusieurs fois à la limite du vomissement. Un autre garçon, nu lui aussi, surveillait. Et pendant ce temps, Alexandre l’attendait patiemment à la maison. Un moment, il avait pensé proposer Alexandre à Monsieur Claude comme partenaire mais il avait finalement écarté ce choix lorsque Monsieur Claude lui avait décrit une partie de ce qui l'attendait.

Il l’avait prévenu que c’était un boulot pour quelqu’un qui n’eusse pas peur et ne soit pas effrayé par les choses du sexe, quelqu’un qui ne soit pas « mijauré », c'était ses mots. Car les clients, qui payaient cher, voulaient pouvoir faire ce qu'ils voulaient. Mais il n’avait pas pu lui dire plus précisément quelle allait être sa fonction, seulement qu’il allait y avoir quelques tortures aisément supportables et que ce serait très bien payé. Il ne pouvait pas se douter que ça allait tourner à ce point au drame. Le garçon s'était donc présenté à l’adresse indiquée. Il savait que les maisons closes étaient fermées mais il ignorait qu’il y eut des endroits comme celui-ci qui pouvaient être loué intégralement à la journée ou la semaine, entièrement et parfaitement équipé pour tous les plaisirs et fantasmes sexuels. C’était un grand appartement, peut-être deux à trois cent mètres carrés, à la lumière tamisée avec soin, disposant de plusieurs salons de repos, d'un bar, et de la fameuse pièce des plaisirs. Les invités, tous masqués pour ne pas être reconnus, avaient pour obligation de prendre un verre au bar. Le prix du verre était conséquent, une carte bancaire aurait fondu si elle avait été acceptée mais seul l'argent liquide avait cour. Ce verre ouvrait la porte de la fameuse pièce du fond, celle des plaisirs, pour une durée maximum de trente minutes. Pour un second passage dans la pièce, ce qui était rare puisque à l’âge habituel de ces participants on ne recharge pas si vite, ils devaient prendre un second verre et ainsi de suite. Il valait mieux avoir une bonne liasse dans sa poche.

À son arrivée, l'autre garçon, envoyé par un autre protecteur, attendait déjà. La fonction de chacun allait dépendre d’un premier test, un test de résistance, auquel ils furent soumis et que le garçon perdit haut la main. On leur installa des électrodes aux seins et aux couilles, toutes reliées à la même machine, et ils devaient résister le plus longtemps au courant dont l’intensité augmentait graduellement. Celui qui arrachait ses électrodes le premier pour se soustraire à la morsure de l'électricité perdait. Le garçon perdit. Ce qu'ils ne leur avaient pas dit c’est que c’était le perdant qui allait faire l’office du supplicié. Pour que les invités apprécient au maximum leur séance il convenait que le supplicié réagisse un maximum aux sévices. Le gagnant n’était là que pour surveiller le déroulement de la soirée, placer un bâillon sur le supplicié quand la bouche de celui-ci n’était pas utilisée et stopper ceux qui voulaient aller trop loin et forcer ceux qui n’utilisaient pas de préservatif pour la sodomie à en mettre un. Si un invité était stoppé dans ses désirs par le surveillant, il pouvait faire appel à l’assemblée des présents qui devait arbitrer le bien fondé de l’interdiction. Si l’assemblée jugeait celle-ci abusive, alors l’invité pouvait s’exécuter mais les rôles du supplicié et du surveillant étaient inversés. Autant dire que le surveillant devait réfléchir à deux fois avant d’arrêter un invité.

Jusqu’alors cela n’avait pas été trop dur pour le garçon hormis quand un invité voulut lui tapoter les couilles. Comme il s'était protégé en resserrant ses genoux, l'invité avait demandé à ce qu’on les lui attache aux chaînes pour lui laisser le champ libre et il eut satisfaction et depuis ce moment, là il était impossible au garçon de resserrer les cuisses. Il voyait les couilles de l'actuel invité aller, revenir puis s’écraser sur son nez pour repartir et revenir, et au delà, s'il avait eu l'esprit assez clair, il aurait pu admirer une magnifique reproduction de La Luxure de Buffet accrochée au mur. Il laissait faire sachant qu'il ne pouvait rien faire d’autre et que s'il se détendait, la séance serait moins éprouvante. Il essayait de ne pas penser à son cul douloureux qui devait être aussi ouvert que le tunnel sous la manche. Il n’avait que rarement été pénétré avant ce soir. Il ne bandait plus, ne prenait aucun plaisir, il n'était que deux fourreaux pour deux bites qui limaient en cadence et qui allaient bientôt se vider. Ce qui lui était indifférent vu qu'après celles là en viendraient d’autres, et encore d'autres.

Aux râles et aux coups de butoir plus puissants, il sut que celui qui l’enculait jouissait. Les gémissements de celui qui lui limait la gorge s’accélèrent et tout à coup il s’immobilisa au fond de sa gorge le privant totalement d’air. Le garçon sentit son membre pulser et expulser sa semence dans son gosier. Ses couilles étaient plaquées sur son nez, ses poils le chatouillaient. Il dut faire un effort surhumain pour que les restes du repas précédent ne remontent pas en espérant que ce pieu allait se retirer avant que le point de non-retour soit atteint.

L'homme assis au bar regarda les deux hommes ressortir de la pièce. C'était son tour, il vida le verre du reste de liquide rapidement. Après tout, il n’était pas venu ici pour la qualité du whisky qui était servi, même s'il devait reconnaître qu'il était excellent. Il reposa son verre, prit son sac puis se dirigea vers la pièce. Les deux garçons étaient des pures beautés. Ils ne se doutaient pas le moins du monde de ce qui les attendait. L'homme ressentit un regain d'excitation à se dire que ça allait être de si belles créatures qui allaient périr de sa main. Il fut satisfait de constater que le plus beau des deux était aussi celui qui allait souffrir le plus intensément. Il espérait qu'il serait suffisamment résistant pour ne pas écourter son plaisir en s'évanouissant ou pire. En cas d'évanouissement il avait de quoi, dans son sac, lui rendre les esprits rapidement.

Il posa son sac au sol, se dévêtit en un clin d'œil, retira le bâillon du garçon, et enfonça dans la bouche son sexe encore flasque. Le garçon commençait à le sucer mais l'homme lui intima l'ordre de cesser, de juste le prendre en bouche sans rien faire d'autre. Il garda donc cette nouille molle dans la bouche, les couilles écrasées sur mon nez. Ce n'était pas difficile. Il pensait que l'homme souhaitait laisser sa bite lentement bander dans sa bouche pour la remplir inexorablement petit à petit, ce qui n'aurait pas été pour lui déplaire. Mais l'homme contracta son bas-ventre et le détendit. Il recommença ces contractions quelques instants puis il saisit la tête du garçon entre ses deux mains et lui dit :

— avale !

Avec un tel ton de jubilation que le garçon pensa qu’il était en train de jouir. Un petit jet de liquide salé et âcre le surprit, il venait de lâcher quelques gouttes d’urine directement au fond de sa bouche, puis un autre petit jet arriva suivi bientôt par un torrent accompagné d'un soupir d’aise et de contentement du pisseur. Il ne put tout avaler et beaucoup lui ruissela sur la figure, s’introduisant dans ses narines, lui interdisant de respirer. Le flot ne tarissait pas, il dura une éternité tandis que l’air manquait de plus en plus au garçon, il avait bu une énorme quantité et il était à la limite de ne plus pouvoir se retenir lorsque les deux précédents clients sortirent enfin de la pièce. Quand il eut fini de pisser, le garçon put enfin respirer. Il était trempé. Il en avait avalé inévitablement une partie.

La main gauche de l'homme se déplaça soudain et le saisit sous le menton, il introduisit le pouce et l’index entre ses molaires, comme on fait lorsqu'on veut empêcher quelqu'un de refermer la bouche. Sa main droite lâcha sa tête et disparut de son regard. Il la vit réapparaître bientôt entre ses cuisses à l’arrière de ses fesses. Alors qu’il l’écrasait toujours de son pubis et que son membre commençait à gonfler dans sa bouche, l'homme recommença ses contractions. Le garçon comprit qu’il tentait de déféquer sans en comprendre la finalité. Il avait sa main droite en coupe à la verticale sous son cul comme pour recueillir ce qu’il allait en expulser. Et c’est exactement ce qui se passa, il se retrouva avec une grosse merde au creux de sa main. Il retira alors sa bite de la bouche du garçon, elle avait presque atteint son érection maximale, tout en gardant sa main gauche sous sa mâchoire et ses doigts plantés entre ses dents lui interdisant de les resserrer. Le garçon comprit tout à coup avec horreur ses intentions. Il croisa du regard celui du garçon qui surveillait et le vit horrifié à l'extrême. Lui aussi avait compris ce qui se tramait. Le garçon fut soulagé de savoir qu’il allait y mettre le holà. Il ne pouvait pas laisser cet homme faire un tel truc, c’était inhumain. Mais était-ce aussi certain que cela que l'autre garçon allait agir ?

Le temps semblait passer au ralenti. Le cerveau du garçon fonctionnait à cent à l’heure. Les mouvements de la main de son tortionnaire lui semblaient extrêmement lents. En un temps très court, il passa de l’horreur à l’espoir, puis à nouveau à une horreur résignée, suivie d’un nouvel espoir. Il se dit tout d’abord que l’autre garçon ne pouvait pas laisser faire cette abomination. Puis il réalisa que s’il stoppait, c’est lui qui se retrouverait à sa place et que c’était une raison suffisante pour qu’il ne le stoppe pas. Puis il se dit qu’il n’y a aucune raison pour que l’assemblée lui donne tord et qu’il comprendrait ça suffisamment clairement pour qu’il arrêtât le type. Son regard allait successivement des yeux du garçon à la main qui s’approchait impitoyablement de sa bouche avec son monstrueux tas et il ne lui échappa pas que la bite du type continuait à prendre du volume. Il vit aussi l’accablement s’inscrire dans le regard du garçon et comprit qu’il ne bougerait pas lorsque son regard se détourna. Il n’eut pas le temps de pousser un cri de désespoir, la main se plaqua sur sa bouche ouverte poussant tout son contenu profondément à l’intérieur. La nausée le submergea instantanément et il dut faire des efforts surhumains pour ne pas vômir, imaginant que l'homme ne retirerait pas sa main. La main gauche lâcha sa mâchoire tandis que la droite restait plaquée fermement sur sa bouche. Il croyait avoir touché le fond de l'ignoble mais ce qu'il vit fut pire que tout. Alors que de la main droite l'homme l'empêchait de recracher les immondes excréments qu’il lui avait insérés dans la bouche, la main gauche se saisit du bâillon qu’il lui avait précédemment retiré, l’approcher et commencer à le placer sur sa tête. Alors, d’un mouvement parfaitement étudié et qui ne laissait place à aucune improvisation, il retira rapidement sa main droite et referma le piège du bâillon sur la bouche de le garçon avant qu'il ait pu faire le moindre mouvement de protestation ni recracher ce qu’il avait dans la bouche. L'homme s’écarta enfin pour contempler son œuvre alors que des larmes coulaient sur les joues du garçon. Mais, aussi incroyable que ça puisse l'être, il bandait.

L'autre garçon ne regardait plus, il pleurait aussi de son manque de courage, et des regrets de ne pas avoir stoppé cette horreur. Il ne vit pas l'homme ouvrir son sac et en sortir un long couteau. Le garçon le vit mais il était dans l'incapacité de faire ou de dire quoi que ce soit. Il tenta l'alerter le garçon en secouant autant que possible ses chaines. L'homme passa rapidement derrière le garçon, plaqua sa main gauche sur sa bouche tandis qu'avec la droite il lui tranchait le cou, puis, lâchant sa victime qui s'écroula au sol dans une flaque de sang qui grossissait, il se tourna vers le garçon avec un sourire diabolique.

- Rassure-toi. Tu ne mourras pas tout de suite. Je te réserve un autre traitement.

Il contourna le garçon effondré et paniqué et présenta son membre turgescent, quelle différence par rapport à tout à l’heure quand il était encore flasque, à l'entrée du fondement de le garçon et le pénétra violemment sans préparation. Il était dans un état d’excitation qui allait le mener à l’orgasme très rapidement. Le garçon pria, lui qui n'était pas croyant, pour que ce ne soit pas le cas car son orgasme coïnciderait avec sa mort. Ses yeux se révulsaient, son halètement se faisait plus court entrecoupé de courtes apnées, ses coups de reins devenaient plus puissants. Puis il s’immobilisa.

— Oh putain ! C'était moins une. Tu voudrais tout de même pas que je jouisse trop tôt.

L'assassin ne voulait pas écourter son plaisir, il voulait en profiter au maximum. Il avait décidé de laisser retomber la pression.

— Je vois combien t’aimes ça, salope, tu bandais pas comme ça tout à l'heure.

Aussi incroyable que ça puisse paraître, le garçon bandait. Il se souvint qu'il avait lu quelque part que les pendus au seuil de la mort avaient une superbe érection et que certains même polluaient leurs dessous. L'homme se saisit de sa queue et le branla vigoureusement puis il recommença à lui limer le cul. Sa frayeur lui faisait un peu oublier la matière qu'il avait dans la bouche et qu'il ne pouvait recracher. Il essayait surtout de ne pas y penser. L'homme se retira subitement et douloureusement de son cul et se dirigea vers le sac qu’il avait posé à côté de la porte, à côté de ses vêtements. Il en retira un cockring en cuir, un petit maillet en latex noir et un rouleau de film plastique transparent, du genre de celui qui sert à emballer les aliments avant de les glisser dans le frigo. Il fit des tours de la tête de le garçon avec le film plastique, au moins une dizaine, le garçon en perdit le compte, depuis le cou jusqu’au crâne. Il prenait soin de ne pas lui boucher les narines pour le laisser respirer. Sa bouche était désormais totalement hermétique, sa vision déformée par le film. Il le contourna, lui saisir les couilles à la base qu'il tira pour y installer le cockring. Elles faisaient un beau petit paquet serré qui tenait droit tout seul. Il s’introduisit à nouveau sans prévenir entre les fesses, de la main gauche saisit sa bite et de la droite le maillet. Le garçon paniquait en s’attendant au pire, certain que rien ne pouvait l’arrêter puisqu'il avait déjà commis un meurtre.

Un premier coup tomba sur le paquet que formaient les couilles emprisonnées. La douleur fut vive mais supportable, il ne tapait heureusement pas très fort. La bite du garçon bizarrement se tendit un peu plus. Un second coup suivit, puis un troisième et un quatrième. Il tapait doucement sur les couilles avec le maillet tout en le masturbant de l’autre main. La torture était lancinante et légère et, ce qui étonna le garçon, il ressentait simultanément du plaisir, un plaisir intense, mélangé à la souffrance et à la frayeur, qui allait le conduire très rapidement à l’orgasme. La masturbation augmenta, parallèlement à la fréquence des coups. S'il avait décidé de le faire jouir il allait y réussir rapidement. Bien que sachant que son sort était scellé, le garçon se laissa aller à l'orgasme. Il aurait bien aimé pouvoir hurler, un cri de plaisir et non de détresse, lorsque son sperme jaillit. Il l’atteignit au front, et même une giclée le dépassa et s’écrasa sur le sol au delà de sa tête dans la flaque de sang. Il était vidé et sans aucune force. L’homme toujours dans son cul avait cessé les coups.

— Maintenant c’est à moi de jouir. Si jusqu’ici tu as pris du plaisir, au bout d’une dizaine de coups tu vas demander grâce, dit-il dans un rire, du moins si tu le peux. Au bout d’une vingtaine tu supplieras que je te tue aussi rapidement que ton camarade. Mais si lui a eu droit à une mort rapide, c’est parce que sinon il m’aurait empêché de te faire ce que j’avais prévu de faire. Or, maintenant plus rien ne m’en empêche.

La montée du plaisir et l'orgasme avait pour un instant fait perdre le sentiment de l'état dans lequel il se trouvait mais maintenant que l'excitation s'en était allé, le garçon revint brutalement à la réalité. Le dégoût, multiplié par mille, le submergea et il sentit qu’il lui serait impossible de ne pas vômir même si l’épaisseur de plastique autour de sa tête lui déconseillait silencieusement de le faire. Il réalisa que l'homme allait jouir et qu'après il le tuerait. Il avait assisté impuissant au meurtre de l'autre garçon et il ne pourrait en être autrement pour lui. Il était au comble du désespoir, certain qu'il n'y avait aucune échappatoire mais souhaitant malgré tout qu'il prenne le plus longtemps possible à jouir. Il lui restait l’infime espoir que le temps imparti arrive à terme avant son exécution et qu'on le sauve in extremis. Toujours enfoncé dans ses tripes, de la main qui tout à l'heure le masturbait, l’homme se saisit de ses couilles et reprit les coups. La douleur qui, alors qu'il avançait vers l'orgasme, était tout juste supportable, était maintenant monstrueuse. La douleur était multipliée par la répétition rapide des coups, le coup suivant arrivant avant que la douleur du précédant se soit estompé. Il remuait autant qu'il le pouvait pour tenter d'éviter les coups ou pour en atténuer la portée mais c’était peine perdue. Il se tordait et se convulsait involontairement. Ses genoux attachés aux chaînes du sling ne lui étaient d'aucune utilité pour protéger ses couilles ni pour repousser le barbare qui semblait vouloir le mutiler avant de le tuer. Les coups pleuvaient avec une cadence impitoyable. Tous ses membres en tremblaient de douleur. Ses muscles étaient tétanisés. Ses jambes se tendaient puis ses genoux tentaient de se resserrer pour se tendre à nouveau. Tous ses mouvements désordonnés n'étaient que le résultat de ses nerfs mis à mal par la souffrance. La douleur augmentait à chacun des coups et irradiait dans son bas-ventre et dans ses cuisses. L’homme n'avait même plus besoin de bouger ses reins, c'étaient ses contorsions qui généraient son aller-retour dans ses tripes. Ses cris, étouffés par la matière contenue dans sa bouche et par le film, étaient à peine audibles. Il voulait lui hurler de cesser mais il ne le pouvait pas.

Subitement les coups cessèrent. Le garçon regarda avec haine son tortionnaire et il constata qu’il était au bord de l’orgasme. Il avait interrompu ses tortures pour ne pas jouir, branlé par les contorsions de douleur de sa victime. Comprenant que son supplice mais aussi sa vie prendrait fin avec la jouissance de l'homme, il pria pour qu'il arrive à se contrôler et pour qu'il n'ait pas dépassé le point de non retour. Mais il se demanda comment il allait pouvoir supporter encore ces horreurs jusqu'à ce que le temps imparti à ce salopard soit terminé, si tant est qu'il ne le tue pas avant la fin. Comme s’il lisait dans ses pensées, l'homme regarda sa montre et annonça qu’il comptait bien profiter des dix-huit minutes qui lui restaient.

L'homme reprit ses coups avec une force et une cadence redoublée, comme s’il voulait lui faire exploser les couilles. Une douleur monstrueuse envahit le corps du garçon qui se tordait de toutes parts. Un coin de son cerveau estima, il ne sut pas comment, certainement un réflexe inconscient pour lui éviter de perdre l’esprit, le rythme à deux coups par seconde, ce qui faisait cent vingt par minute, deux mille cent soixante en dix-huit minutes. Il n’y survivra pas. Si l'homme ne lui tranchait pas la gorge il allait mourir par ces coups. Peut-être valait-il mieux qu'il se force à vômir et qu'il écourte ainsi ses souffrances et prive son tortionnaire du plaisir de le tuer. Il tirait sur les liens désespérément tentant de les arracher mais les menottes étaient trop serrées pour qu'il se libérât, les chaînes trop épaisses ne casseraient pas. Il était totalement tétanisé par la douleur. Son cerveau s'embrouillait et il ne pouvait plus penser à rien, il avait même oublié ce qui encombrait sa bouche.

Les coups cessèrent. L'homme resta planté dans le cul attendant que sa pression diminue. Le garçon ne savait plus s'il fallait accélérer sa jouissance afin de hâter la fin de ses souffrances ou prier pour qu'il ne jouisse pas avant la fin du temps qui lui était imparti, espérant ainsi être sauvé. L'homme regarda sa montre, puis sourit pour annoncer quinze minutes encore. L’éternité qu’il avait passé à lui exploser les couilles n'avait donc duré que trois minutes. Et il lui restait cinq périodes identiques à subir. Un hurlement de désespoir étouffé s’échappa de sa bouche. Son désespoir était à son paroxysme lorsque les coups reprirent. Son plaisir était de le voir souffrir intensément avant de le mettre à mort, ou peut être de le mettre à mort par la souffrance. Dans les deux cas il allait être comblé. Il allait avoir ses quinze minutes de barbarie. On cogna à la porte pour annoncer :

— Plus que cinq minutes.

Pendant les dix minutes qui venaient de passer, l'homme avait fait deux pauses, au bord de l’orgasme, pour calmer son excitation. Le corps du garçon n'était plus qu'un amas de douleur intense : de ses couilles elle irradiait dans ses cuisses et ses abdominaux où les muscles meurtris de ses convulsions incontrôlés se tétanisaient. Ses bras et ses jambes étaient blessés par les menottes. L'homme se retira alors de son cul et commença à se rhabiller. Il alla jusqu’à mettre ses chaussures et le garçon pensa alors que mon supplice était fini et que l'homme lui laisserait la vie sauve mais il me trompait gravement. L'homme n’avait laissé que sa braguette et la ceinture de ses pantalons ouverts d’où sortait un membre turgescent qui n'avait pas encore craché. Il se saisit du rouleau de film plastique, s’approcha de la tête du garçon et dit :

— Prends une forte inspiration, ça va être ta dernière.

Et il fit quatre tours de film au niveau de son nez lui interdisant désormais de respirer. Il le contourna, reprit le maillet et s’enfonça à nouveau dans son cul. Tandis qu’on annonçait trois minutes de l’autre coté de la porte, les coups recommencèrent à pleuvoir sur ses couilles avec une intensité encore augmentée comme s'il voulait les lui arracher avant de le tuer. Le garçon n’avait plus la force de tenter de les éviter, l'homme compensa le manque de convulsions en lui pilonnant le cul de toute sa vigueur.

L’homme lui laboura le cul encore quelques courts instants, augmentant la force de ses coups en se rapprochant de l'orgasme qui l'emporta enfin. Ceci n'avait pas duré les cinq minutes qui restaient et le garçon comprit qu'il s'était laissé le temps pour le tuer. Toutes ces souffrances subies pour rien. Tous ses espoirs s'envolaient. L'homme prit son temps pour se retirer de son cul. Son intention n'était pas de trancher la gorge de ce beau corps meurtri, il souhaitait que sa mort soit la plus lente possible. Calmement, il ferma son pantalon, sa braguette et sa ceinture. Il traversa la pièce pour se saisir de son sac, en sortit un rouleau de ruban adhésif large, le genre qui sert pour les déménageurs, un rouleau de fil de fer et une pince coupante, puis se rapprocha pour mieux admirer le garçon en train de s’asphyxier. Les poumons le brûlaient, il avait désespérément besoin d’air. Mais, au lieu de me laisser respirer, l'homme commença par lui scotcher la tête au niveau du cou et tout en remontant vers le sommet de son crâne et d’un ton professoral il expliqua :

— Ils vont tenter d’arracher le scotch à la main mais c’est un des plus résistants, avec des fibres, tu comprends ? Alors ils vont devoir aller chercher des ciseaux. Et c’est là que tu vas comprendre la puissance de mon génie. Le fil de fer que je vais cacher entre deux couches de scotch, hé bien, ils pourront pas le couper avec les ciseaux. Et ça m’étonnerait qu’ils aient une pince coupante car la mienne, je vais l’emporter.

Le garçon était désormais aveuglé et il sentit l'homme placer le fil de fer sur la première couche de scotch tandis que derrière la porte une voix disait :

— Dernière minute.

Son membre à nouveau en totale érection déformait le pantalon de l'homme pantalon. Ça faisait maintenant plus de deux minutes que le garçon ne pouvait pas respirer. Il y avait un incendie dans ses poumons et il lui était totalement impossible de réfléchir, comme si le manque d’air avait vidé son cerveau. Ses oreilles commençaient à bourdonner alors que l'homme plaçait la seconde couche de scotch par dessus le fil de fer. La porte annonça :

— Temps terminé, il faut sortir.

L'homme jeta un dernier regard satisfait empli de sadisme, ramassa son sac et se dirigea vers la porte qu'il ouvrit et claqua. Il traversa l'appartement à grande vitesse au grand étonnement des autres invités et disparut.

 

À sa grande consternation, le garçon entendit le claquement de la porte qui le laissait seul dans cette pièce, n’ayant pas respiré depuis plus de trois minutes et sans aucune possibilité de le faire avant bien longtemps. Maintenant que les tortures avaient cessé et qu'il savait sa mort proche, il ressentit une grande sérénité. Il pensa à Alexandre qu'il aimait et à qui il allait faire beaucoup de peine et ceci lui déchira le cœur. Puis la nuit s'abattit sur lui.  

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 août 2 14 /08 /Août 23:10

Histoire très hard trouvée sur Gai eros. 

Bonne lecture,

Arnaud S.


L’homme était assis seul à une table et sirotait un whisky pur malt qui lui avait coûté les yeux de la tête mais il jubilait intérieurement car il allait enfin réaliser un des fantasmes qui l’excitait le plus. Il parcourut l’assemblée du regard. Deux hommes masqués comme lui discutaient doucement à une table à l’autre bout de la pièce. Ils attendaient leur tour. Il ne pouvait pas entendre ce qu’ils se disaient. Comme tous les autres, l’homme avait mis son masque avant de sonner à l’entrée de ce superbe appartement bourgeois de Paris et de présenter son carton d’invitation. Comment avait-il eu ce carton ? Personne ne le sut jamais. Étant donné la qualité des personnes haut placées, voire très haut, qui venaient ici et qui ne voulaient pas être reconnues, le masque était de rigueur. L’homme ne voulait pas être reconnu non plus du fait de ce qu’il prévoyait de faire. La porte de la pièce qui allait servir de scène à son fantasme s’ouvrit. Un homme masqué en sortit en se rajustant et il partit tranquillement, visiblement satisfait. Les deux hommes qui discutaient finirent leur verre, se levèrent et entrèrent dans la pièce. L’homme savait qu’il était le prochain et il eut un regain d’excitation. Son membre se gonfla un peu. Le stress du à la gravité de l’œuvre qu’il allait réaliser lui noua un peu les trippes et il eut un soudain besoin de déféquer. C’est ce qu’on appelle faire dans son froc, se dit-il.

Le garçon était allongé sur le sling, des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles, cadenassées haut aux chaînes de suspension du sling, une bite qui lui défonçait le cul (c’était la troisième ce soir là), et une autre qui lui limait la gorge dans toute la longueur l'amenant plusieurs fois à la limite du vomissement. Un autre garçon, nu lui aussi, surveillait. Et pendant ce temps, Alexandre l’attendait patiemment à la maison. Un moment, il avait pensé proposer Alexandre à Monsieur Claude comme partenaire mais il avait finalement écarté ce choix lorsque Monsieur Claude lui avait décrit une partie de ce qui l'attendait.

Il l’avait prévenu que c’était un boulot pour quelqu’un qui n’eusse pas peur et ne soit pas effrayé par les choses du sexe, quelqu’un qui ne soit pas « mijauré », c'était ses mots. Car les clients, qui payaient cher, voulaient pouvoir faire ce qu'ils voulaient. Mais il n’avait pas pu lui dire plus précisément quelle allait être sa fonction, seulement qu’il allait y avoir quelques tortures aisément supportables et que ce serait très bien payé. Il ne pouvait pas se douter que ça allait tourner à ce point au drame. Le garçon s'était donc présenté à l’adresse indiquée. Il savait que les maisons closes étaient fermées mais il ignorait qu’il y eut des endroits comme celui-ci qui pouvaient être loué intégralement à la journée ou la semaine, entièrement et parfaitement équipé pour tous les plaisirs et fantasmes sexuels. C’était un grand appartement, peut-être deux à trois cent mètres carrés, à la lumière tamisée avec soin, disposant de plusieurs salons de repos, d'un bar, et de la fameuse pièce des plaisirs. Les invités, tous masqués pour ne pas être reconnus, avaient pour obligation de prendre un verre au bar. Le prix du verre était conséquent, une carte bancaire aurait fondu si elle avait été acceptée mais seul l'argent liquide avait cour. Ce verre ouvrait la porte de la fameuse pièce du fond, celle des plaisirs, pour une durée maximum de trente minutes. Pour un second passage dans la pièce, ce qui était rare puisque à l’âge habituel de ces participants on ne recharge pas si vite, ils devaient prendre un second verre et ainsi de suite. Il valait mieux avoir une bonne liasse dans sa poche.

À son arrivée, l'autre garçon, envoyé par un autre protecteur, attendait déjà. La fonction de chacun allait dépendre d’un premier test, un test de résistance, auquel ils furent soumis et que le garçon perdit haut la main. On leur installa des électrodes aux seins et aux couilles, toutes reliées à la même machine, et ils devaient résister le plus longtemps au courant dont l’intensité augmentait graduellement. Celui qui arrachait ses électrodes le premier pour se soustraire à la morsure de l'électricité perdait. Le garçon perdit. Ce qu'ils ne leur avaient pas dit c’est que c’était le perdant qui allait faire l’office du supplicié. Pour que les invités apprécient au maximum leur séance il convenait que le supplicié réagisse un maximum aux sévices. Le gagnant n’était là que pour surveiller le déroulement de la soirée, placer un bâillon sur le supplicié quand la bouche de celui-ci n’était pas utilisée et stopper ceux qui voulaient aller trop loin et forcer ceux qui n’utilisaient pas de préservatif pour la sodomie à en mettre un. Si un invité était stoppé dans ses désirs par le surveillant, il pouvait faire appel à l’assemblée des présents qui devait arbitrer le bien fondé de l’interdiction. Si l’assemblée jugeait celle-ci abusive, alors l’invité pouvait s’exécuter mais les rôles du supplicié et du surveillant étaient inversés. Autant dire que le surveillant devait réfléchir à deux fois avant d’arrêter un invité.

Jusqu’alors cela n’avait pas été trop dur pour le garçon hormis quand un invité voulut lui tapoter les couilles. Comme il s'était protégé en resserrant ses genoux, l'invité avait demandé à ce qu’on les lui attache aux chaînes pour lui laisser le champ libre et il eut satisfaction et depuis ce moment, là il était impossible au garçon de resserrer les cuisses. Il voyait les couilles de l'actuel invité aller, revenir puis s’écraser sur son nez pour repartir et revenir, et au delà, s'il avait eu l'esprit assez clair, il aurait pu admirer une magnifique reproduction de La Luxure de Buffet accrochée au mur. Il laissait faire sachant qu'il ne pouvait rien faire d’autre et que s'il se détendait, la séance serait moins éprouvante. Il essayait de ne pas penser à son cul douloureux qui devait être aussi ouvert que le tunnel sous la manche. Il n’avait que rarement été pénétré avant ce soir. Il ne bandait plus, ne prenait aucun plaisir, il n'était que deux fourreaux pour deux bites qui limaient en cadence et qui allaient bientôt se vider. Ce qui lui était indifférent vu qu'après celles là en viendraient d’autres, et encore d'autres.

Aux râles et aux coups de butoir plus puissants, il sut que celui qui l’enculait jouissait. Les gémissements de celui qui lui limait la gorge s’accélèrent et tout à coup il s’immobilisa au fond de sa gorge le privant totalement d’air. Le garçon sentit son membre pulser et expulser sa semence dans son gosier. Ses couilles étaient plaquées sur son nez, ses poils le chatouillaient. Il dut faire un effort surhumain pour que les restes du repas précédent ne remontent pas en espérant que ce pieu allait se retirer avant que le point de non-retour soit atteint.

L'homme assis au bar regarda les deux hommes ressortir de la pièce. C'était son tour, il vida le verre du reste de liquide rapidement. Après tout, il n’était pas venu ici pour la qualité du whisky qui était servi, même s'il devait reconnaître qu'il était excellent. Il reposa son verre, prit son sac puis se dirigea vers la pièce. Les deux garçons étaient des pures beautés. Ils ne se doutaient pas le moins du monde de ce qui les attendait. L'homme ressentit un regain d'excitation à se dire que ça allait être de si belles créatures qui allaient périr de sa main. Il fut satisfait de constater que le plus beau des deux était aussi celui qui allait souffrir le plus intensément. Il espérait qu'il serait suffisamment résistant pour ne pas écourter son plaisir en s'évanouissant ou pire. En cas d'évanouissement il avait de quoi, dans son sac, lui rendre les esprits rapidement.

Il posa son sac au sol, se dévêtit en un clin d'œil, retira le bâillon du garçon, et enfonça dans la bouche son sexe encore flasque. Le garçon commençait à le sucer mais l'homme lui intima l'ordre de cesser, de juste le prendre en bouche sans rien faire d'autre. Il garda donc cette nouille molle dans la bouche, les couilles écrasées sur mon nez. Ce n'était pas difficile. Il pensait que l'homme souhaitait laisser sa bite lentement bander dans sa bouche pour la remplir inexorablement petit à petit, ce qui n'aurait pas été pour lui déplaire. Mais l'homme contracta son bas-ventre et le détendit. Il recommença ces contractions quelques instants puis il saisit la tête du garçon entre ses deux mains et lui dit :

— avale !

Avec un tel ton de jubilation que le garçon pensa qu’il était en train de jouir. Un petit jet de liquide salé et âcre le surprit, il venait de lâcher quelques gouttes d’urine directement au fond de sa bouche, puis un autre petit jet arriva suivi bientôt par un torrent accompagné d'un soupir d’aise et de contentement du pisseur. Il ne put tout avaler et beaucoup lui ruissela sur la figure, s’introduisant dans ses narines, lui interdisant de respirer. Le flot ne tarissait pas, il dura une éternité tandis que l’air manquait de plus en plus au garçon, il avait bu une énorme quantité et il était à la limite de ne plus pouvoir se retenir lorsque les deux précédents clients sortirent enfin de la pièce. Quand il eut fini de pisser, le garçon put enfin respirer. Il était trempé. Il en avait avalé inévitablement une partie.

La main gauche de l'homme se déplaça soudain et le saisit sous le menton, il introduisit le pouce et l’index entre ses molaires, comme on fait lorsqu'on veut empêcher quelqu'un de refermer la bouche. Sa main droite lâcha sa tête et disparut de son regard. Il la vit réapparaître bientôt entre ses cuisses à l’arrière de ses fesses. Alors qu’il l’écrasait toujours de son pubis et que son membre commençait à gonfler dans sa bouche, l'homme recommença ses contractions. Le garçon comprit qu’il tentait de déféquer sans en comprendre la finalité. Il avait sa main droite en coupe à la verticale sous son cul comme pour recueillir ce qu’il allait en expulser. Et c’est exactement ce qui se passa, il se retrouva avec une grosse merde au creux de sa main. Il retira alors sa bite de la bouche du garçon, elle avait presque atteint son érection maximale, tout en gardant sa main gauche sous sa mâchoire et ses doigts plantés entre ses dents lui interdisant de les resserrer. Le garçon comprit tout à coup avec horreur ses intentions. Il croisa du regard celui du garçon qui surveillait et le vit horrifié à l'extrême. Lui aussi avait compris ce qui se tramait. Le garçon fut soulagé de savoir qu’il allait y mettre le holà. Il ne pouvait pas laisser cet homme faire un tel truc, c’était inhumain. Mais était-ce aussi certain que cela que l'autre garçon allait agir ?

Le temps semblait passer au ralenti. Le cerveau du garçon fonctionnait à cent à l’heure. Les mouvements de la main de son tortionnaire lui semblaient extrêmement lents. En un temps très court, il passa de l’horreur à l’espoir, puis à nouveau à une horreur résignée, suivie d’un nouvel espoir. Il se dit tout d’abord que l’autre garçon ne pouvait pas laisser faire cette abomination. Puis il réalisa que s’il stoppait, c’est lui qui se retrouverait à sa place et que c’était une raison suffisante pour qu’il ne le stoppe pas. Puis il se dit qu’il n’y a aucune raison pour que l’assemblée lui donne tord et qu’il comprendrait ça suffisamment clairement pour qu’il arrêtât le type. Son regard allait successivement des yeux du garçon à la main qui s’approchait impitoyablement de sa bouche avec son monstrueux tas et il ne lui échappa pas que la bite du type continuait à prendre du volume. Il vit aussi l’accablement s’inscrire dans le regard du garçon et comprit qu’il ne bougerait pas lorsque son regard se détourna. Il n’eut pas le temps de pousser un cri de désespoir, la main se plaqua sur sa bouche ouverte poussant tout son contenu profondément à l’intérieur. La nausée le submergea instantanément et il dut faire des efforts surhumains pour ne pas vômir, imaginant que l'homme ne retirerait pas sa main. La main gauche lâcha sa mâchoire tandis que la droite restait plaquée fermement sur sa bouche. Il croyait avoir touché le fond de l'ignoble mais ce qu'il vit fut pire que tout. Alors que de la main droite l'homme l'empêchait de recracher les immondes excréments qu’il lui avait insérés dans la bouche, la main gauche se saisit du bâillon qu’il lui avait précédemment retiré, l’approcher et commencer à le placer sur sa tête. Alors, d’un mouvement parfaitement étudié et qui ne laissait place à aucune improvisation, il retira rapidement sa main droite et referma le piège du bâillon sur la bouche de le garçon avant qu'il ait pu faire le moindre mouvement de protestation ni recracher ce qu’il avait dans la bouche. L'homme s’écarta enfin pour contempler son œuvre alors que des larmes coulaient sur les joues du garçon. Mais, aussi incroyable que ça puisse l'être, il bandait.

L'autre garçon ne regardait plus, il pleurait aussi de son manque de courage, et des regrets de ne pas avoir stoppé cette horreur. Il ne vit pas l'homme ouvrir son sac et en sortir un long couteau. Le garçon le vit mais il était dans l'incapacité de faire ou de dire quoi que ce soit. Il tenta l'alerter le garçon en secouant autant que possible ses chaines. L'homme passa rapidement derrière le garçon, plaqua sa main gauche sur sa bouche tandis qu'avec la droite il lui tranchait le cou, puis, lâchant sa victime qui s'écroula au sol dans une flaque de sang qui grossissait, il se tourna vers le garçon avec un sourire diabolique.

- Rassure-toi. Tu ne mourras pas tout de suite. Je te réserve un autre traitement.

Il contourna le garçon effondré et paniqué et présenta son membre turgescent, quelle différence par rapport à tout à l’heure quand il était encore flasque, à l'entrée du fondement de le garçon et le pénétra violemment sans préparation. Il était dans un état d’excitation qui allait le mener à l’orgasme très rapidement. Le garçon pria, lui qui n'était pas croyant, pour que ce ne soit pas le cas car son orgasme coïnciderait avec sa mort. Ses yeux se révulsaient, son halètement se faisait plus court entrecoupé de courtes apnées, ses coups de reins devenaient plus puissants. Puis il s’immobilisa.

— Oh putain ! C'était moins une. Tu voudrais tout de même pas que je jouisse trop tôt.

L'assassin ne voulait pas écourter son plaisir, il voulait en profiter au maximum. Il avait décidé de laisser retomber la pression.

— Je vois combien t’aimes ça, salope, tu bandais pas comme ça tout à l'heure.

Aussi incroyable que ça puisse paraître, le garçon bandait. Il se souvint qu'il avait lu quelque part que les pendus au seuil de la mort avaient une superbe érection et que certains même polluaient leurs dessous. L'homme se saisit de sa queue et le branla vigoureusement puis il recommença à lui limer le cul. Sa frayeur lui faisait un peu oublier la matière qu'il avait dans la bouche et qu'il ne pouvait recracher. Il essayait surtout de ne pas y penser. L'homme se retira subitement et douloureusement de son cul et se dirigea vers le sac qu’il avait posé à côté de la porte, à côté de ses vêtements. Il en retira un cockring en cuir, un petit maillet en latex noir et un rouleau de film plastique transparent, du genre de celui qui sert à emballer les aliments avant de les glisser dans le frigo. Il fit des tours de la tête de le garçon avec le film plastique, au moins une dizaine, le garçon en perdit le compte, depuis le cou jusqu’au crâne. Il prenait soin de ne pas lui boucher les narines pour le laisser respirer. Sa bouche était désormais totalement hermétique, sa vision déformée par le film. Il le contourna, lui saisir les couilles à la base qu'il tira pour y installer le cockring. Elles faisaient un beau petit paquet serré qui tenait droit tout seul. Il s’introduisit à nouveau sans prévenir entre les fesses, de la main gauche saisit sa bite et de la droite le maillet. Le garçon paniquait en s’attendant au pire, certain que rien ne pouvait l’arrêter puisqu'il avait déjà commis un meurtre.

Un premier coup tomba sur le paquet que formaient les couilles emprisonnées. La douleur fut vive mais supportable, il ne tapait heureusement pas très fort. La bite du garçon bizarrement se tendit un peu plus. Un second coup suivit, puis un troisième et un quatrième. Il tapait doucement sur les couilles avec le maillet tout en le masturbant de l’autre main. La torture était lancinante et légère et, ce qui étonna le garçon, il ressentait simultanément du plaisir, un plaisir intense, mélangé à la souffrance et à la frayeur, qui allait le conduire très rapidement à l’orgasme. La masturbation augmenta, parallèlement à la fréquence des coups. S'il avait décidé de le faire jouir il allait y réussir rapidement. Bien que sachant que son sort était scellé, le garçon se laissa aller à l'orgasme. Il aurait bien aimé pouvoir hurler, un cri de plaisir et non de détresse, lorsque son sperme jaillit. Il l’atteignit au front, et même une giclée le dépassa et s’écrasa sur le sol au delà de sa tête dans la flaque de sang. Il était vidé et sans aucune force. L’homme toujours dans son cul avait cessé les coups.

— Maintenant c’est à moi de jouir. Si jusqu’ici tu as pris du plaisir, au bout d’une dizaine de coups tu vas demander grâce, dit-il dans un rire, du moins si tu le peux. Au bout d’une vingtaine tu supplieras que je te tue aussi rapidement que ton camarade. Mais si lui a eu droit à une mort rapide, c’est parce que sinon il m’aurait empêché de te faire ce que j’avais prévu de faire. Or, maintenant plus rien ne m’en empêche.

La montée du plaisir et l'orgasme avait pour un instant fait perdre le sentiment de l'état dans lequel il se trouvait mais maintenant que l'excitation s'en était allé, le garçon revint brutalement à la réalité. Le dégoût, multiplié par mille, le submergea et il sentit qu’il lui serait impossible de ne pas vômir même si l’épaisseur de plastique autour de sa tête lui déconseillait silencieusement de le faire. Il réalisa que l'homme allait jouir et qu'après il le tuerait. Il avait assisté impuissant au meurtre de l'autre garçon et il ne pourrait en être autrement pour lui. Il était au comble du désespoir, certain qu'il n'y avait aucune échappatoire mais souhaitant malgré tout qu'il prenne le plus longtemps possible à jouir. Il lui restait l’infime espoir que le temps imparti arrive à terme avant son exécution et qu'on le sauve in extremis. Toujours enfoncé dans ses tripes, de la main qui tout à l'heure le masturbait, l’homme se saisit de ses couilles et reprit les coups. La douleur qui, alors qu'il avançait vers l'orgasme, était tout juste supportable, était maintenant monstrueuse. La douleur était multipliée par la répétition rapide des coups, le coup suivant arrivant avant que la douleur du précédant se soit estompé. Il remuait autant qu'il le pouvait pour tenter d'éviter les coups ou pour en atténuer la portée mais c’était peine perdue. Il se tordait et se convulsait involontairement. Ses genoux attachés aux chaînes du sling ne lui étaient d'aucune utilité pour protéger ses couilles ni pour repousser le barbare qui semblait vouloir le mutiler avant de le tuer. Les coups pleuvaient avec une cadence impitoyable. Tous ses membres en tremblaient de douleur. Ses muscles étaient tétanisés. Ses jambes se tendaient puis ses genoux tentaient de se resserrer pour se tendre à nouveau. Tous ses mouvements désordonnés n'étaient que le résultat de ses nerfs mis à mal par la souffrance. La douleur augmentait à chacun des coups et irradiait dans son bas-ventre et dans ses cuisses. L’homme n'avait même plus besoin de bouger ses reins, c'étaient ses contorsions qui généraient son aller-retour dans ses tripes. Ses cris, étouffés par la matière contenue dans sa bouche et par le film, étaient à peine audibles. Il voulait lui hurler de cesser mais il ne le pouvait pas.

Subitement les coups cessèrent. Le garçon regarda avec haine son tortionnaire et il constata qu’il était au bord de l’orgasme. Il avait interrompu ses tortures pour ne pas jouir, branlé par les contorsions de douleur de sa victime. Comprenant que son supplice mais aussi sa vie prendrait fin avec la jouissance de l'homme, il pria pour qu'il arrive à se contrôler et pour qu'il n'ait pas dépassé le point de non retour. Mais il se demanda comment il allait pouvoir supporter encore ces horreurs jusqu'à ce que le temps imparti à ce salopard soit terminé, si tant est qu'il ne le tue pas avant la fin. Comme s’il lisait dans ses pensées, l'homme regarda sa montre et annonça qu’il comptait bien profiter des dix-huit minutes qui lui restaient.

L'homme reprit ses coups avec une force et une cadence redoublée, comme s’il voulait lui faire exploser les couilles. Une douleur monstrueuse envahit le corps du garçon qui se tordait de toutes parts. Un coin de son cerveau estima, il ne sut pas comment, certainement un réflexe inconscient pour lui éviter de perdre l’esprit, le rythme à deux coups par seconde, ce qui faisait cent vingt par minute, deux mille cent soixante en dix-huit minutes. Il n’y survivra pas. Si l'homme ne lui tranchait pas la gorge il allait mourir par ces coups. Peut-être valait-il mieux qu'il se force à vômir et qu'il écourte ainsi ses souffrances et prive son tortionnaire du plaisir de le tuer. Il tirait sur les liens désespérément tentant de les arracher mais les menottes étaient trop serrées pour qu'il se libérât, les chaînes trop épaisses ne casseraient pas. Il était totalement tétanisé par la douleur. Son cerveau s'embrouillait et il ne pouvait plus penser à rien, il avait même oublié ce qui encombrait sa bouche.

Les coups cessèrent. L'homme resta planté dans le cul attendant que sa pression diminue. Le garçon ne savait plus s'il fallait accélérer sa jouissance afin de hâter la fin de ses souffrances ou prier pour qu'il ne jouisse pas avant la fin du temps qui lui était imparti, espérant ainsi être sauvé. L'homme regarda sa montre, puis sourit pour annoncer quinze minutes encore. L’éternité qu’il avait passé à lui exploser les couilles n'avait donc duré que trois minutes. Et il lui restait cinq périodes identiques à subir. Un hurlement de désespoir étouffé s’échappa de sa bouche. Son désespoir était à son paroxysme lorsque les coups reprirent. Son plaisir était de le voir souffrir intensément avant de le mettre à mort, ou peut être de le mettre à mort par la souffrance. Dans les deux cas il allait être comblé. Il allait avoir ses quinze minutes de barbarie. On cogna à la porte pour annoncer :

— Plus que cinq minutes.

Pendant les dix minutes qui venaient de passer, l'homme avait fait deux pauses, au bord de l’orgasme, pour calmer son excitation. Le corps du garçon n'était plus qu'un amas de douleur intense : de ses couilles elle irradiait dans ses cuisses et ses abdominaux où les muscles meurtris de ses convulsions incontrôlés se tétanisaient. Ses bras et ses jambes étaient blessés par les menottes. L'homme se retira alors de son cul et commença à se rhabiller. Il alla jusqu’à mettre ses chaussures et le garçon pensa alors que mon supplice était fini et que l'homme lui laisserait la vie sauve mais il me trompait gravement. L'homme n’avait laissé que sa braguette et la ceinture de ses pantalons ouverts d’où sortait un membre turgescent qui n'avait pas encore craché. Il se saisit du rouleau de film plastique, s’approcha de la tête du garçon et dit :

— Prends une forte inspiration, ça va être ta dernière.

Et il fit quatre tours de film au niveau de son nez lui interdisant désormais de respirer. Il le contourna, reprit le maillet et s’enfonça à nouveau dans son cul. Tandis qu’on annonçait trois minutes de l’autre coté de la porte, les coups recommencèrent à pleuvoir sur ses couilles avec une intensité encore augmentée comme s'il voulait les lui arracher avant de le tuer. Le garçon n’avait plus la force de tenter de les éviter, l'homme compensa le manque de convulsions en lui pilonnant le cul de toute sa vigueur.

L’homme lui laboura le cul encore quelques courts instants, augmentant la force de ses coups en se rapprochant de l'orgasme qui l'emporta enfin. Ceci n'avait pas duré les cinq minutes qui restaient et le garçon comprit qu'il s'était laissé le temps pour le tuer. Toutes ces souffrances subies pour rien. Tous ses espoirs s'envolaient. L'homme prit son temps pour se retirer de son cul. Son intention n'était pas de trancher la gorge de ce beau corps meurtri, il souhaitait que sa mort soit la plus lente possible. Calmement, il ferma son pantalon, sa braguette et sa ceinture. Il traversa la pièce pour se saisir de son sac, en sortit un rouleau de ruban adhésif large, le genre qui sert pour les déménageurs, un rouleau de fil de fer et une pince coupante, puis se rapprocha pour mieux admirer le garçon en train de s’asphyxier. Les poumons le brûlaient, il avait désespérément besoin d’air. Mais, au lieu de me laisser respirer, l'homme commença par lui scotcher la tête au niveau du cou et tout en remontant vers le sommet de son crâne et d’un ton professoral il expliqua :

— Ils vont tenter d’arracher le scotch à la main mais c’est un des plus résistants, avec des fibres, tu comprends ? Alors ils vont devoir aller chercher des ciseaux. Et c’est là que tu vas comprendre la puissance de mon génie. Le fil de fer que je vais cacher entre deux couches de scotch, hé bien, ils pourront pas le couper avec les ciseaux. Et ça m’étonnerait qu’ils aient une pince coupante car la mienne, je vais l’emporter.

Le garçon était désormais aveuglé et il sentit l'homme placer le fil de fer sur la première couche de scotch tandis que derrière la porte une voix disait :

— Dernière minute.

Son membre à nouveau en totale érection déformait le pantalon de l'homme pantalon. Ça faisait maintenant plus de deux minutes que le garçon ne pouvait pas respirer. Il y avait un incendie dans ses poumons et il lui était totalement impossible de réfléchir, comme si le manque d’air avait vidé son cerveau. Ses oreilles commençaient à bourdonner alors que l'homme plaçait la seconde couche de scotch par dessus le fil de fer. La porte annonça :

— Temps terminé, il faut sortir.

L'homme jeta un dernier regard satisfait empli de sadisme, ramassa son sac et se dirigea vers la porte qu'il ouvrit et claqua. Il traversa l'appartement à grande vitesse au grand étonnement des autres invités et disparut.

 

À sa grande consternation, le garçon entendit le claquement de la porte qui le laissait seul dans cette pièce, n’ayant pas respiré depuis plus de trois minutes et sans aucune possibilité de le faire avant bien longtemps. Maintenant que les tortures avaient cessé et qu'il savait sa mort proche, il ressentit une grande sérénité. Il pensa à Alexandre qu'il aimait et à qui il allait faire beaucoup de peine et ceci lui déchira le cœur. Puis la nuit s'abattit sur lui.  

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 23:19

Le patron encaisse et nous gratifie d’un large salut : « Bonne après-midi, Messieurs, au plaisir ! ». Le jeune serveur a disparu… Dans la rue Yohan m’informe : « Mon pote est chez lui, il nous attend, il n’habite pas loin ; et ferme ta braguette, j’ai d’autres projets pour toi que le poste de police… »

 

Episode 4

 

Nous pénétrons dans un vieil immeuble dont la porte cochère béante s’ouvre sur une cour pavée. Yohan se dirige vers une porte à gauche et frappe trois coups discrets. On ouvre, Yohan agrippe le haut de mon tee-shirt et me propulse à l’intérieur d’une pièce sombre qui sent le cuir et la transpiration. Peu à peu, mes yeux s’habituent à l’obscurité. Je distingue tout le nécessaire pour bien entretenir notre excitation et dont nous userons pendant toute la séance. Un sling, une sorte de potence, une espèce de table de massage, des liens qui pendent m’apparaissent peu à peu. Le sol est recouvert d’une matière plastique noire. « Salut, Dav » dit Yohan. Je vois alors un grand mec, d’une trentaine d’années, le crâne complètement lisse, avec un visage émacié. Il est revêtu d’une combinaison en latex mais son sexe est sorti, un sexe épais, entouré d’un cock-ring métallique qui met en relief une paire de couilles lourdes et rasées. Il est chaussé d’épaisses rangers qui montent jusqu’à mi-mollets. « Alors, c’est ça le bâtard ? » dit-il en s’asseyant sur un canapé avachi. « C’est ça, répond Yohan, tu verras, s’il s’applique, ça peut être une bonne lope.

-Il a intérêt à s’appliquer. » Yohan m’ordonne de me désaper et de ne garder que les vestiges de mon boxer. Je m’exécute rapidement. Dav vient vers moi et me considère, en me faisant tourner sur moi-même. « Pas mal. Il y a peut-être quelque chose à tirer de cette larve. Mets-toi à l’aise, Yohan ». Il enlève son tee-shirt, son jean et apparaît, superbe et bandant, en jock-strap. L’effet est immédiat chez moi et chez Dav. La queue durcie de mon pote est nettement décelable sous le tissu tendu et ses petites fesses remontées par les lanières du jok feraient bander un mort… « Toujours aussi excitant ! » dit Dav en roulant à mon maître un palot dont je suis jaloux. Dav se dirige ensuite vers un placard et revient avec une cagoule de cuir dont il couvre ma tête. Il en noue ensuite les lacets en s’assurant que les orifices pratiqués pour les yeux, les narines et la bouche sont correctement placés. L’odeur du cuir me plaît beaucoup et j’en respire les senteurs. Je bande et le boxer en lambeaux que je porte toujours peine à contenir ma bite. Les pointes du cock ring s’enfonce dans ma chair et accroissent mon excitation. Dav fait mine de ne rien voir et sert deux verres. Il en tend un à Yohan et tous deux s’assoient. « Aux pieds, bâtard » s’écrie sèchement Dav. Je crois bien faire en répondant « A vos ordres, maître », mais il se relève, me gifle d’un aller-retour et saisit le bas de ma cagoule, au cou. Il m’oblige à m’incliner profondément et me dit : « Ton Maître, c’est Yohan. Moi, tu m’appelles « Monsieur ». T’as compris, connard ? » La pression de sa poigne sur mon cou est d’une force étonnante. Je bredouille « Oui…oui, monsieur » ; il me jette au sol et se rassoit.

Le contact avec la matière plastique qui couvre le sol est assez désagréable, mais il s’en dégage une odeur excitante. Je suis maintenant sur le ventre, et les chaussures de mes deux maîtres, même si l’un deux refuse cette appellation, reposent sur mon dos. Je me rends bientôt compte que les rangers de Dav sont munies de pointes de métal qui me labourent le dos et les fesses que ne couvre plus mon boxer déchiré. Je sens que de longues balafres brûlantes zèbrent déjà mon corps, mon paquet écrasé sous la pression des pieds ressent de façon plus aiguë encore les piques du cock-ring qui semblent entrer dans ma peau et je gémis. « Elle commence déjà à chouiner, ta pute ? Elle va voir ce qui en coûte de nous déranger ». Pour se lever, Dav prend appui sur mon dos, me piétine et va vers le placard. Il revient avec une cravache et un martinet aux longues lanières que les Anglais appellent, je crois, « chat à neuf queues »… Il tend la cravache à Yohan et le chat à neuf queues commence à s’abattre régulièrement sur mon dos. La cravache, elle, martèle mes fesses, en coups de plus en plus appuyés, visant mes couilles ou la rondelle de mon cul quand la douleur que je ressens dans le dos me fait écarter les jambes. Les blessures dues aux brûlures des cigarettes s’en trouve ravivée, et je crie, mais la pièce semble suffisamment insonorisée pour ne déranger personne, pourtant Dav s’impatiente : « Il nous gonfle à brailler comme ça ». Il me relève sans ménagement et apporte une sorte de plug qu’il enfonce brutalement dans ma bouche ; il l’attache derrière ma tête afin que je ne puisse pas le recracher. Ce qui reste de mon boxer est arraché ; je me retrouve entièrement nu et en érection, car malgré la souffrance qui laboure mon dos, mes fesses, et mon paquet douloureusement prisonnier, mon excitation est à son comble. Des menottes très serrées emprisonnent mes poignets dans le dos, des entraves de cuir sont placées entre mes chevilles et m’immobilisent complètement. Qui me les a mises ? Je peine à distinguer lequel de mes deux tortionnaires agit. Toujours est-il que les coups de cravache recommencent à pleuvoir, visant tantôt mon ventre et ma bite, tantôt mon dos et mon cul. Je gigote sans doute de façon passablement grotesque, mais je ne peux échapper aux coups qui redoublent d’intensité et de rapidité. « Ca va pour le moment ». Je reconnais la voix de Yohan. Les coups cessent, je m’effondre, haletant, sur le plastique. Yohan relève ma tête, assez tendrement, me semble-t-il, délivre ma bouche du plug et me force à ingurgiter une boisson énergisante qui me fait du bien. Je reste un moment prostré au sol.

Yohan alors me redresse et me fait mettre à genoux. Dav s’avance et enfonce sa queue dans ma bouche. J’entreprends de la sucer avec application, le membre grossit et m’étouffe. De sa main, il imprime à mon visage un rapide mouvement de va et vient, je tousse et m’étrangle, mais rien n’interrompt la cadence qu’il a imprimée. Cela dure un bon moment quand la bite de Yohan remplace celle de Dav. Elle est plus fine et la sucer à fond se révèle plus facile pour moi, j’en retire un plaisir plus égoïste. Après une dizaine de minutes pendant lesquelles j’ai entendu Dav sortir des instruments et faire diverses manipulations sur sa potence, Yohan s’éloigne. Je reprends ma respiration et murmure : « Merci, Maître, Merci, Monsieur. » Dav s’approche : « Pas mal, ça va finir par entrer… »

Il me relève, mes poignets et mes chevilles sont détachés et il me conduit vers ce que j’appelle sa potence. Ce sont trois tubes de fer, deux verticaux fichés dans le sol que relie en haut, à environ 1m 80 une troisième barre métallique. J’y suis attaché, les bras étirés vers la barre du haut. Yohan enlève cock-ring, j’en éprouve un soulagement douloureux, mais il est bientôt remplacé par des cordelettes qui de nouveau enserrent la base de mes couilles. Mais ces liens sont longs, suffisamment pour que chaque extrémité soit attachée très serrée aux montants verticaux de la potence. Je suis donc en élongation, mes jambes sont écartées, attachées à leur tour aux barres verticales, et mes couilles sont elles aussi reliées à ces mêmes barres. Je ne peux absolument plus bouger et me retrouve à la merci de mes deux bourreaux. Le plug est replacé dans ma bouche et attaché de nouveau. Des bandes de cuir viennent recouvrir mes yeux et sont fixées par des pressions sur la cagoule. Ainsi, je ne puis savoir ni ce qui se prépare ni qui me fera subir les sévices auxquels je m’attends. Mon cœur bat très vite, la position en elle-même m’excite déjà terriblement et l’aveuglement auquel je suis contraint me permet de vivre pleinement mes fantasmes. J’entends la voix de Yohan me dire : « Quand tu dis « stop », on arrête, mais cet arrêt sera définitif : tu te rhabilles et tu te casses. Tu as compris ? ». Je secoue la tête en guise d’assentiment.

Je sens qu’un mince fil entoure ma queue, des pinces dont la morsure est très supportable sont placées sur mes seins, sur mes couilles et sur l’extrémité de ma bite prenant ainsi la peau qui recouvre mon prépuce dans ses mâchoires. Pendant ce temps, un doigt s’introduit dans mon cul, puis un deuxième et en forcent l’ouverture étroite. Je ne suis pas fan de sodomie, mais ce travail assez en douceur me convient bien… Soudain une sorte de chatouillement parcourt les parties de mon corps que les pinces et le fil tiennent, c’est agréable et je devine de quoi il s’agit : un courant électrique encore très modéré m’est envoyé. Je ne bouge pas et savoure ce délicieux picotement qui s’immisce dans mon corps. Mon cul écarté semble suffisamment ouvert pour que les doigts cessent leur introspection, et un objet y est enfoncé sans ménagement, tandis que le courant de faible intensité continue son circuit. Ma rondelle forcée résiste, la pression s’accentue et finit par faire céder les dernières résistances. L’objet -plug, gode ?- pénètre enfin au fond de mon cul et j’en éprouve un vif plaisir. Le courant gagne en intensité et se transmet jusque dans mon cul, je suppose que le gode qui s’y trouve remplit lui aussi son office. L’intensité s’accroît encore et je commence à bouger, mais ces mouvements ne servent qu’à augmenter ma douleur tant les liens qui me retiennent prisonnier sont ingénieusement serrés.

Une décharge plus vive que les autres me fait crier mais mon cri se perd, le plug qui obstrue ma bouche est efficace. Des décharges de plus en plus en plus fortes se reproduisent à intervalles réguliers, en alternance avec ces légères piqûres qui, au début, m’étaient si agréables ; je gigote et gémis, mon cul est lui aussi parcouru de piqûres et les décharges légères deviennent de plus en plus rares. Des douleurs lancinantes perdurent une fois la décharge passée et ne s’estompent qu’au moment où une nouvelle décharge relance la douleur. Au bout d’un temps qui me paraît bien long, plus rien ne se produit et je reste, pantelant, telle une loque, sans avoir portant supplié que le supplice ne s’interrompe.

J’entends que Dav et Yohan se sont éloignés de la potence où je suis accroché et bavardent mais le sens de leurs paroles m’échappe, je suis groggy et ne reprends que peu à peu mes esprits. C’est à ce moment, comme si mes maîtres avaient la perception intuitive de mon état, que le gode m’est ôté et que les pinces me sont enlevées. Des mains caressent mon corps, mon désir se ranime. Je sens une queue pénétrer mon cul, je pense que c’est celle de Yohan, car la douleur que j’éprouve est moindre que si c’avait été le sexe épais de Dav. Un mouvement vif s’imprime à mon corps, dans les limites imparties par mes liens, pendant que Yohan me lime. Assez vite, je sens son sperme chaud se répandre sur mes fesses et le bas de son dos. Aussitôt la bite que je redoutais s’introduit dans mon cul, elle en force l’entrée, mais la place semble faite pour l’accueillir et de nouveau j’oscille sous les coups de boutoir de la queue de Dav qui semble bien plus long à venir que Yohan. Je suis pilonné longuement et mon cul semble éclater sous de tels coups. Enfin, un grognement annonciateur de jouissance me promet la fin de ce supplice que je ne suis plus d’ailleurs en état de savourer pleinement, et le jet chaud et gluant retombe une nouvelle fois sur mes fesses. Un moment se passe, je sens que je suis détaché, que la cagoule m’est enlevée. Je flotte, dans un état second, et tombe en tas sur le sol. « Il sa dose, le bâtard » dit une voix que je n’identifie plus.

Un coup de pied dans les reins me tire de sa torpeur. Une maigre lumière éclaire la pièce, Yohan est parti, Dav, habillé d’une façon beaucoup plus conventionnelle, m’aide à me relever : « Tu as assez roupillé. Rhabille-toi ». Je rassemble mes affaires, enfile, sans slip, mon jean massacré, mon tee-shirt, je retrouve mes godasses. « A la prochaine, petite crevure ! ». J’ai encore un peu de présence d’esprit pour murmurer : « Merci, Monsieur, à bientôt, j’espère ». Je sors, il fait nuit, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être. Le chemin pour rentrer chez moi me paraît interminable, mais j’ai tant d’images dans la tête et tant de sensations dans mon corps que je pourrais le meubler d’excitants souvenirs…

 

Par Sadic Arnaud - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

KatégoriK

Chercher...

viSiteurS

Profil

  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

Présentation

  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés