X-toireS

Mercredi 30 septembre 3 30 /09 /Sep 11:09
    Ayant répondu à une annonce sur Internet, j’ai été retenu pour une après-midi « marché aux esclaves » qui devait compter environ une trentaine de participants. Je m’étais proposé en tant qu’esclave et non pas en tant qu’acheteur.
    Le jour venu, je me suis présenté à l’adresse convenue où j’ai été immédiatement orienté vers une salle où se trouvaient déjà des gars de toutes âges et de toutes couleurs. Il nous a été demandés de nous déshabiller, puis, nous sommes entrés dans une autre pièce où se trouvaient des lits où nous avons dû nous allonger.
    On nous a alors annoncé que nous allions être rasés de la tête aux pieds. Un esclave doit être totalement lisse ! Le rasoir a donc glissé sur mon corps et tous les poils ont disparu. Nous avons du ensuite mettre un cockring et enfiler un jock rouge.
Excitée et bien rasée
    Ensuite, nous sommes rentrés dans une pièce principale dans laquelle nous attendait une vingtaine de gars tous vêtus d’un jock bleu avec fermeture éclair. Nous sommes montés sur une estrade et la vente a pu commencer. Les gars se sont approchés de nous pour nous évaluer. Nous avons été testés, caressés sur toutes les parties du corps et tout spécialement sur nos testicules et notre sexe. Les commentaires allaient bon train :
    - Il a de grosses couilles. Je vais pouvoir m’amuser !
    - Je veux voir son cul, penche-toi en avant.
    Chaque esclave a dû s’allonger sur une sorte de planche où notre cul a été sondé. Les mains des gars écartaient nos fesses pour voir si notre cul était bien ouvert.
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    J’ai été graissé et les tests ont commencé. Les acheteurs ont enlevé leur jock et ont présenté des sexes tendus. Les queues se sont succédées et mon trou restait continuellement ouvert. Tous les esclaves ont été testés si bien qu’une vingtaine de queues ont rempli nos culs et les capotes étaient pleines de semence humaine.
    J’ai pensé alors que tout était terminé mais je me trompais. Après deux heures de repos, retour dans la salle principale. C’était au tour des bites d’être testées. Les jocks ont sauté et les mains ont pris possession de nos sexes qui ont très vite grandi. On m'a lié la queue et les couilles avec une lanière. Le but était de nous branler la queue bandée au maximum mais il ne fallait surtout pas que l’on éjacule. Cette séance a duré au moins une heure.
Noeud sur la queue
    Je n’en pouvais plus. J’avais une très grande envie de me vider les couilles. L’excitation était à son maximum. C’est alors que les gémissements se sont fait entendre. J’ai pu enfin me libérer de la pression du sperme qui ne demandait qu’à gicler. Cinq jets successifs ont atterri sur ma poitrine. Chaque esclave a ensuite été tiré au sort et les maîtres des lieux se sont approchés de nous.
      Cinq gars par esclave. J’ai du sucer cinq queues énormes et raides de plaisir jusqu’à ce que qu’elles se vident de leur semence sur ma poitrine. J’étais recouvert de sperme avec lequel j’ai été ensuite massé. Les queues ont retrouvé leur place dans les jocks, les couilles étaient asséchées. Nous avons pu prendre une douche. J’espère un jour revivre un tel marché.
[écrit par filou4954]
Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 10:00

Je venais de passer quelques années en Suisse dans un établissement scolaire très chic, mes parents m'y avaient envoyé puisque mon père était régulièrement en voyage et ma mère très occupée et pas trop maternelle. Je venais d'avoir 18 ans et j'avais toujours les goûts de mon adolescence pour les amis de mon âge, plutôt bien membrés avec disons un instinct dirigiste. Mon père m'avait offert des vacances quelques semaines avant la rentrée et j'avais décidé de les passer du coté de Montpellier. A la Grande Motte où je savais qu'il y avait pas mal de monde. J'avais pris un studio en location et loué aussi un scooter. Dés le premier soir, j'ai vu de très belles choses en boîte de nuit. Mais rien qui correspondait à ma recherche. J'allais partir quand un mec m'a chopé par le bras.

— Salut Manu. Je te retrouve ici ?

J'ai mis quelques secondes avant de reconnaître Eric qui me dévisageait sans gêne, insistant sur le short et le débardeur que je portais, de rigueur avec la température.

— Salut Eric. T'es seul ?

— Non, mais si t'as pas changé, ça ne devrait pas te gêner.

Un jeune s'est rapproché, l'air salope à fond et s'est accroché au cou d'Eric.

— C'est qui ce mec avec qui tu causes ?

— Un ancien pote. Retourne danser, je t'appellerai.

Le jeune est parti docilement sur la piste me matant du coin de l'œil. Eric s'est rapproché, mettant une jambe entre les miennes.

— Tu t'épiles toujours ?

J'ai éclaté de rire.

— Tu te rappelles de ça ?

— Pas que de ça mais j'aimais bien tes fantasmes de puceau. Tu t'en rappelles ?

— Evidemment. C'est toi qui m'a converti au string et à être lisse partout sauf une touffe sur le devant.

— T'as viré comment ? Salope ? Soumis ? Domi ? Je pense que tu ne dois plus avoir la même taille de bite non ?

— Que de questions. Passe chez moi prendre le dernier verre, on en discutera.

— Avec ou sans ma salope ?

— Va la chercher, ça fait un moment que j'ai rien fait à trois.

Il est revenu avec sa lopette.

— Celui-là c'est ma chienne : Vincent. Un suceur pas mauvais avec un bon cul.

On est parti vers chez moi, bavardant tout les deux, Vincent derrière. En arrivant Eric lui a dit de se mettre à l'aise. Il a viré son débardeur et son short. Il ne portait rien dessous, aussi à l'aise nu qu'habillé, une belle queue avec de jolies couilles sans le moindre poil et un corps bronzé intégralement.

— Pas mal non ?

Eric s'est collé à moi pour me rouler une pelle, vérifiant de la main si j'étais en forme. Je l'étais depuis que je l'avais revu et je sentais aussi sa queue raide contre moi. Il a fait glisser mon short à terre et a soulevé mon débardeur par dessus ma tête.

— Hé bé. T'es une superbe crevette, un peu rose encore mais la queue est belle.

J'ai fait la même chose à Eric, le déshabillant en virant le short en dernier. Le salaud avait une queue de black, aussi épaisse et longue qu'un black avec des grosses et belles couilles dessous.

— Waouh. T'as pas changé, toujours une plus belle queue que moi.

Il a souri.

— C'est le régime français qui fait ça. Pipe et sodo, et tant que je trouverai des lopes comme Vincent ça changera pas.

On s'est assis sur des fauteuils bas et sur un signe d'Eric, Vincent est venu entre ses cuisses le sucer. Il était marrant à voir de dos. Il écartait les cuisses d'instinct où on lui avait appris. Du coup sans poils on distinguait le début de l'espace brun de son trou et en dessous ses couilles qui se balançaient. Il portait un large anneau à la base des boules qui devait peser lourd et les tirait vers le bas. Je bandais comme un fou sous le sourire narquois d'Eric.

— Si tu veux le sauter ne te gênes pas, il adore être démonté. A moins que ce soit ma queue qui te fasses de l'effet ?

— Les deux, j'ai pas changé. Peut être en plus vicieux et soumis mais j'aime aussi prendre un beau petit cul qui s'offre comme celui-là.

— Te gênes pas, baise-le et fait-le couiner comme il a besoin pour que son cul s'ouvre bien.

J'ai même pas eu à lui soulever les fesses, il s'est accroupi, tendant son trou à bite que j'ai rapidement investi. J'ai déjà dit que j'étais gâté par la nature et il a rapidement poussé de petits cris, le genre de gémissements que j'aimais bien. Eric s'est levé du fauteuil, dégageant sa bite de la bouche de la chienne pour venir derrière moi. Je me suis collé contre le cul de Vincent en me cambrant un maximum et j'ai senti le gland d'Eric entrer dans mon cul. Il m'a glissé à l'oreille :

— Tu mouilles bien ça fait plaisir de voir que t'apprécies les bonnes bites.

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Je me suis reculé sur la queue d'Eric et, tout en ramonant Vincent, je me limais sur la queue d'Eric. J'avais appris à me retenir un maximum et j'ai fait durer le plaisir, gémissant à mon tour sous la bite d'Eric. J'avais pas baisé depuis quelques jours et j'ai tout lâché dans les fesses de Vincent. Eric a pas tardé à se répandre en moi et pendant que Vincent nettoyait ma queue, je faisais de même à Eric.

— Je vois que t'as appris quelques trucs de salope dis donc.

— Bah c'est que du plaisir avec ta queue.

— Si tu veux on a prévu une soirée bondage après-demain. T'es partant pour en être ? Le maximum c'est 30 ans et tu décides en arrivant si tu préfères être domi ou soumis. Evidemment comme on se connaît pas tous ça sera pas sans capotes, et tu peux décider d'être masqué.

— Ouais pourquoi pas. Au fait tu sais ce qu'est devenu Serge le prof stagiaire ?

— Ça a fini par se savoir qu'il se soumettait à des jeunes et ils l'ont viré. Je l'ai revu une fois dans un bar cuir.

— Ok, bon tu prends une douche ou j'y vais?

— Vas-y , après je vais faire un tour de plage avec la chienne. Viens avec nous si tu veux.


J'ai pris ma douche redécouvrant le plaisir d'avoir le cul bien souple après le passage d'une belle tige. Quand je suis sorti ils s'étaient rhabillés et je n'ai eu qu'a mettre un short et mon débardeur pour les suivre dans les rues désertes à part quelques fêtards qui rentraient de boîte. On est arrivé très vite, directement à la plage où prés d'un vieux cabanon il a arrêté Vincent. Ils avaient leurs habitudes et il s'est mis à poil sans un mot pendant qu'Eric sortait un collier et une laisse d'une cachette dans le cabanon. De voir ça m'a brutalement excité et j'ai pas pu résister, me foutant à poil moi aussi à côté de Vincent à quatre pattes.

— Hé ben. La Suisse t'as fait du bien dis donc.

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Il a fouillé encore une fois et m'a passé un autre collier relié à une laisse.

— Allez, avancez, vous allez jouer dans les vagues.

Se baigner nu sous les étoiles est génial. On se sautait dessus Vincent et moi, jouant comme de jeunes chiots impudiques. Juste avec le collier au cou. Au bout d'un moment Eric nous a rappelé et nous a remis la laisse pour avancer un peu sur le sable à quatre pattes pour se sécher. Il nous flattait le cul d'une caresse ou d'une petite claque. On est revenu au cabanon où il nous a retiré le collier et où on s'est rhabillé.

— Je te laisse rentrer Manu, je passe te voir demain pour savoir si t'es ok pour la soirée et régler les détails.

— Ok Eric.


Je suis rentré et me suis endormi comme une souche, plus habitué à ces moments d'excitation intense. C'est la sonnette d'entrée qui m'a réveillé. J'ai mis une serviette à la taille et j'ai ouvert. C'était Eric.

— Je te réveille ?

— Exact, comme tu vois je me suis levé pour t'ouvrir.

— Ça pour te lever, tu t'es levé oui.

Il fixait la serviette tendue par l'érection matinale régulière. Je l'ai fait entrer et j'ai laissé tomber la serviette.

— Elle te va à la lumière ? Et mon cul, j'ai remarqué que tu l'appréciais.

— Justement pour demain soir il faut que tu sois excité et en manque, les couilles pleines. Alors je venais te donner les consignes si t'es toujours intéressé.

— Pour un plan cul toujours et si t'es là encore plus.

— Va pisser déjà que tu débandes.

— Que je débandes avec toi ? Comme ça ? Pas si facile à faire avec toi à coté.

Je pissais en lui parlant des chiottes.

— Va falloir mec. Je t'avais dit que la soirée serait sur le bondage et je compte bien t'y amener comme Vincent.

Quand je suis sorti il avait une cage en silicone rigide qu'il m'a montré. Pas très longue ni large avec des petits picots au fond et sur les bords.

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— Tu veux que je mette ça ? Mais c'est pas à ma taille.

 

[Par Manuel1]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 8 juillet 3 08 /07 /Juil 10:39

Arrêté sur le trottoir sur la rue principale du cartier gay de Montréal, je regardais avec excitation le bâtiment de l’autre côté de la rue, mais plus précisément le commerce au rez-de-chaussée. La soirée était déjà entamée tandis que moi je patientais par manque de courage devant ce commerce où, à maintes reprises, des hommes de tout âge et tout style y entraient rapidement et d’une façon secrète.

Il y a longtemps que je voulais aller expérimenter les plaisirs au cœur d’un sauna gay. Ayant entendu les «choses» qui s’y passaient, je ne pouvais m’empêcher de rêvasser aux jouissances que je pourrais y obtenir. Mais dès ce soir, cela ne serait plus du phantasme, mais bien de la réalité. C’est sûrement le fait d’être maintenant majeur qui m’ait donné le coup de pied au derrière pour y aller.Ayant toujours un appétit sexuel assez présent, le sauna représentait la réalisation de séances érotiques où les tabous y sont volontiers présents et satisfaits! Alors j’y allais pour réaliser un fantasme inassouvi, c’est-à-dire, de baiser en cuir.

Eh oui! À peine mes 18 ans dans le corps, et j’ai, si on peut dire ainsi, le fétiche du cuir. Mais ce credo étant surtout réservé aux adultes plus âgés, je me sentais honteux quelques fois d’avoir ce penchant sexuel vu l’incompréhension de ce phénomène chez les plus jeunes en général. Mais c’était si bon d’imaginer des séances torrides où l’odeur du cuir était à profusion. La solution à mon problème était d’aller voir dans le sauna en tout anonymat s’il pouvait y avoir des mecs pour m’introduire à ce sexe viril et passionné.

J’étais un jeune homme de grandeur moyenne avec une corpulence petite. Sous mes vêtements, rarement le monde pouvait s’imaginer mon corps imberbe et très bien découpé étant donné que je n’étais pas du genre à le montrer. Peut-être par pudeur, mais sûrement plus pour garder l’effet de surprise! J’étais un brunâtre aux yeux bleus perçant au visage très pâle. Sans prétention, les filles se reviraient de temps à autres sur mon chemin, mais je n’y prêtais aucune attention pour des raisons évidentes. Ce que j’aimais le plus de mon corps, c’était mon petit nez retroussé.

Après vingt minutes d’attentes et d’hésitation, je pris mon courage à deux mains et traversai la rue le cœur palpitant et l’entrejambe gonflant. Maintenant dans l’entrée, j’allais payer pour y avoir un casier.

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Je me dirigeais vers mon casier pour me changer. Il y avait environ une dizaine d’hommes et garçons qui se changeaient: des grands, des noirs, des poilus, des costauds, des jeunes... Mais j’en remarquais précisément deux qui étaient vêtus de cuir. Un dans la quarantaine, poilu et très grand portait des pantalons serrés de cuir et un autre dans la vingtaine en chaps et jacket. J’étais bandé comme un cheval à la vue de ces deux hommes. Je ne pouvais attendre de jouer avec le cuir d’un autre mec pour la première fois!

Enlevant mon chandail, je sortis un harnais en cuir avec des anneaux de métal que j’installai sur mon torse. Certains me dévisageaient d’excitation, d’autres n’y portaient pas attention. Lorsque fut le temps d’enlever mon jeans et de me mettre nu, je me sentis un peu mal à l’aise. C’était sûrement dû au fait que j’étais en érection aussi puissante que celle du réveil le matin. Mais bon je voulais passer à l’action, alors j’ôtai mes jeans et mis une paire de jocks noirs pour ensuite mettre une paire de chaps que je m’étais fait pour cadeau de fête. Évidemment, tout ce matériel sexuel était toujours bien caché à la maison dans ma chambre.

Ayant fermé à clé ma case, je quittai le vestiaire les mains cachant un peu mon érection et allai visiter les lieux pour me «dégêner» un peu. Il y avait beaucoup de portes, certaines closes mais d’où sortait un vacarme de cris jouissants, d’autres étaient ouvertes laissant le plaisir aux voyeurs de se rincer l’œil, la main à la queue, le doigt à l’anus. Le lieu sentait le sexe. Je bandai encore plus fort.

Un homme dans la trentaine complètement nu me poigna une fesse et murmura à mon oreille:

— Tu as vraiment de belles fesses! Moi c’est Pier-Luc, tu es nouveau ici? Je ne t’ai jamais vu.

— Salut! Moi c’est Olivier. Ouais! J’ai enfin eu le courage de venir. Et bien content d’être là!

— Dis Olivier, je vais être direct, j’ai beaucoup envie de manger tes fesses. Tu me le permets?

— Heu bien sûr...

Sans même avoir le temps de finir de répondre, il se mit à genoux, m’empoigna les cuisses et commença à lécher. Il suçait, tétait et becquottait mes fesses au beau milieu du couloir. C’était divin comment je me sentais cochon et «dirty». Il écarta mes deux fesses pour me manger l’anus; une sensation jamais expérimentée, mais Ô divine! J’étais tellement en transe de me faire lécher l’anus que j’ai dû m’accoter contre le mur, le cul surmonté pour laisser la chance à ce Pier-Luc de me faire connaître les jouissances du rimming. Il y alla de plus en plus férocement. Je sentais même sa langue qui voulait me pénétrer. Divin en diable!

Après dix minutes de telles sensations, il arrêta son travail minutieux et très excitant pour m’avouer qu’il était sur son départ et qu’il avait beaucoup apprécié de me manger l’anus. Il m’a aussi indiqué le chemin pour la section «cuir». Il me frencha et me quitta avec un clin-d’œil. C’était une soirée géniale!

Je me rendis rapidement dans la section «cuir» du sauna avec un appétit sexuel qui allait exploser à tout moment. Quel plaisir, quelle extase de voir tous ces mecs en cuir dont certains ne se gênaient pas pour baiser devant un public. De voir des mecs lécher le cuir, se faire enculer, de sucer une queue durcie par un cockring. Il y avait même un mec à quatre pattes dans le coin qui recevait une marre de jets de pisse sur son corps et visage. À la vue de cette séance tant excitante, je m’étais complètement arrêté à regarder le spectacle, la main caressant ma queue dans son jock. Je ne m’aperçus pas que quelqu’un de très familier me fixait du regard. Sans le savoir, ce mec alla derrière moi et me prit par le bras le serrant très fort.

— Olivier, viens ici. Je crois jeune homme que tu as des explications à donner, l’homme de 40 ans m’a-t-il dit très très sévèrement.

— Ah! Carl, que fais-tu ici! ai-je demandé stupidement sous l’emprise de l’étonnement, de la surprise et de la honte.

Il ne me répondit pas, le regard sérieux comme un soldat à la guerre. J’étais nerveux au point d’avoir perdu complètement mon érection. Il m’amena dans un isoloir assez grand et ferma la porte.Je m’assis sur le lit qu’il y avait et regarda honteux l’homme devant moi qui était le meilleur ami de mon père. Jamais je n’aurais crû cela de lui. Ce camionneur si sévère qui est là devant moi, en chaps, harnais, bottes de moto, jacket de cuir, la queue se balançant entre les cuisses. Jamais je n’aurais cru ce gars aux hommes, qu’il allait dans les saunas. Mais surtout, je n’aurais jamais cru le voir à poil!

— C’est la première fois que tu viens ici Olivier? Réponds-moi! m’a-t-il lancé sèchement.

— Euhhh oui Carl! Je... je... je voulais voir ce que c’était ce genre de place-là.

— Comme tu peux voir, tu peux y voir toutes sortes de monde ici! Et c’est pas vraiment fait pour les jeunes! Y'a des gars très vicieux ici.

— Heuuuu c’est pour ca que je suis ici... je voulais connaître les baises en cuir. J’en rêve depuis bien longtemps.

— Et tu t’es fait baiser depuis que tu es ici, jeune homme?

— Non je viens d’arriver...

— Alors laisse-moi le plaisir de t’y initier!

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Il était là devant moi, la main à la queue, la masturbant devant moi. Il me fixa dans les yeux, sévèrement, mais d’une façon très vicieuse continuant toujours de masturber son membre en pleine érection. Un gros 9 pouces cut. Je voyais même du précum couler du bout de son beau gros cap. J’étais bandé comme un cheval, et voyant cela, il m’indiqua d’aller le rejoindre. Arrivé près de lui, il m’empoigna par les fesses et m’enveloppa dans ses bras. Il me malaxa les fesses très vicieusement tandis que moi je bandais à sentir tout ce cuir qui m’enveloppait. Je me mis à humer très fort cette odeur extasiant et à licher ce cuir de vache. Son jacket était génial.

Carl approcha sa bouche de la mienne pour me frencher comme si on lui en avait privé depuis des lustres tellement il mettait de l’attention à goûter à ma bouche et à ma langue. Je sentais les repousses de barbes piquant mon visage et m’excitant de plus en plus. N’en pouvant plus, je me penchai à genoux pour lui tailler une pipe digne d’un jeune homme de 18 ans très très en manque. Je commençai par goûter au nectar sur le bout de son gland. Ce goût salé était d’un délice. Ensuite, j’ouvris grand la bouche pour prendre son énorme membre complètement dans la bouche. À peine aux trois quarts à l’objectif, je sentais déjà son gland dans le fond de la gorge, mais j’étais tellement excité que je continuai le chemin pour prendre complètement son 9 pouces. Il a lâché un râle et mit ses deux mains sur ma tête. Les va-et-vient sur sa queue tout en serrant mes lèvres plus fort à la hauteur du gland semblaient l’exciter au plus point.

Au bout d’une quinzaine de minutes à me pénétrer férocement la bouche, il me releva pour me pousser sur le lit, sur le dos. Il s’approcha et cracha sur moi. Son crachat ayant atterri à la hauteur de mon nombril, j’en pris une bonne portion avec mes deux doigts pour me l’apporter aux lèvres et y goûter. J’étais tellement excité. Il mit sa tête entre mes deux jambes et débuta une fellation qu’aucun jeune ne m’avait produite. Il avait vraiment de l’expérience ce meilleur ami de mon père. Il suçait comme un dieu. Au bout de quelques instants, il lâcha ma queue pour me relever les jambes tout en léchant le cuir de mes chaps et alla planter sa langue sur ma rosette sans poil. Il dégusta cette partie intime avec tant de force que je pensais m’évanouir tellement la sensation était grandiose. Ma queue pleuvait de gouttes de precum. Voyant mon trou s’adoucir et s’élargir, il se releva, lubrifia sa queue et mon anus avec un échantillon de gel qui traînait à côté.

Sans condom, il pointa son gros membre à l’entrée de ce tunnel si intime. Ce regard de bête affamé de sexe me fit réaliser que j’allais avoir le plus beau cadeau de 18 ans que j’aurais pu espérer. Me tenant les jambes repliées sur moi-même, il poussa un peu et son gland entra ma première barrière anale. Pleins de frissons me parcoururent le corps. Voyant qu’il s’était arrêté sûrement pour m’habituer à l’intrusion, je le tirai vers moi en empoignant son jacket de cuir.

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— Vas-y Carl, défonce-moi. T’es pas le premier gars qui entre là!

Ayant compris le message, il enfonça complètement son membre en moi. Ma réaction fut de m’étirer la tête vers l’arrière et de perdre le regard dans ce moment d’extase. Allant au début par de va-et-vient lent mais complet, il accentua sa cadence au bout de quelques minutes. Nous étions les deux complètement en sueur. Je sentais sa queue au fond de moi, caressant ma prostate et m’emportant au septième ciel, tandis que je me masturbais la queue toujours aussi dure. Il s’est complètement penché sur moi, me relevant le cul plus haut pour me pistonner encore plus vite. Je sentais son cuir sur ma peau. L’odeur était excitante, jouissante.

De temps en temps, il me crachait au visage pour venir tout lécher par la suite. Je ne l’aurais cru aussi vicieux! Ahhhhh ce Carl!

— Dis mon beau Olivier, tu veux une sensation forte?

— Ah oui! C’est quoi Carl?

— Tu verras quand ce sera le temps!

Il continua de me pistonner un autre cinq minutes et stoppa complètement, la queue toujours au fond de mon trou. Et il se releva un peu pour me pousser vers le fond du lit. Il y avait un coussin. J’étais maintenant en position courbé si on peut dire, la tête contre le mur et le dos sur le coussin et le cul sur le lit avec la queue de Carl au plus profond. Il s’approcha de ma bouche pour m’embrasser et commença à me pincer les bouts des seins. Il ne bougeait toujours pas dans mon anus, mais pinçait de plus en plus fort sur mes seins. Cela m’excitait vraiment. Mais tout à coup, je sentis une sensation étrange dans mon anus, comme s’il était en train de venir. Mais la sensation devenait de plus en plus forte lorsque je réalisai qu’il était en train de pisser dans mon anus. Il a vu mon regard s’agrandir à la sensation extraordinaire du remplissage de mon anus par sa pisse.

Mon cul bouillonnait tellement il était rempli de sa pisse. C’était une sensation indescriptible, j’en perdis quasiment connaissance. Mais ayant terminé de se vider, il fit quelques petits va-et-vient et m'a prévenu de serrer très fort pour ne rien laisser couler vu qu’il allait sortir sa queue de mes antres. La queue sortie, il alla mettre sa bouche sur mon anus et recommençai à le lécher. J’avais tellement envie de tout lâcher. J’avais le cul complètement rempli et excité par la sensation, et Carl qui agaçait mon anus à se relâcher.

Il a réussi à entrer sa langue et là, un petit jet de sa pisse commença à se déverser de mon anus. Il lécha ce nectar comme un fou. Au bout de quelques secondes, il avait une gorgée pleine dans la bouche, il se releva et me planta de nouveau au complet sa queue de 9 pouces au fond de mon trou et dans la pisse toujours présente. Il m’encula férocement, ce qui avait pour effet de laisser la pisse s’échapper peu à peu de mes entrailles. D’ailleurs, il approcha sa bouche de la mienne et, tandis qu’il commença à accélérer encore plus ses va-et-vient et que je me masturbais encore plus rapidement voyant le point de non-retour arriver, il me frencha et libéra la gorgée de pisse qu’il avait dans ma bouche. Nous nous la partageons avec des coups de langue. C’était savoureux le goût de pisse. Tandis qu’il donnait de gros coups forts dans mon cul, j’éjaculais sur le champs six bonnes giclées de sperme sur mon ventre. Ayant pour effet de serrer mon anus très fort, Carl est venu au fond de mon cul. Il avait l’air d’avoir produit une grosse quantité de sperme.

J’étais aux anges! Ayant toujours sa queue en moi, il s’étendit sur moi pour m’embrasser. Et ce fut la première baise avec un mec en cuir de ma vie. Mais pas la dernière!

[Par ToadBoy]

 

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 10:14

Samedi. 9h47. L’heure fatidique approche, Nathan était stressé mais tellement excité aussi. Il lui restait encore pas mal de travail avant l’arrivée de l’homme qui allait s’occuper de lui et lui faire découvrir les joies du sexe entre hommes.

Ses parents partent et Nathan va se lancer dans une course contre la montre plutôt effrénée, en effet, il commença par un bureau de tabac, puis une pharmacie afin de terminer par une grande surface afin d’acheter le reste de la liste. Il trouvera finalement absolument tout, et passa vers une caisse automatique afin que personne ne puisse remarquer son achat de capotes XS. Au final, la venue d’Ethan lui aura coûté 92.33€. Mais il n’est pas encore là. Il n’imagine pas encore combien il va devoir dépenser pour satisfaire ce mec, il n’espère pas trop encore.

Il rentre chez lui, il est déjà midi, il lui reste à manger l’un des plats que sa mère lui a préparé et à attendre Ethan. En montant les deux étages, les bras chargés de sacs, il entend son portable sonner. C’est un message d’Ethan. Il lui dit qu’il sera chez lui, comme prévu à 13 heures mais qu’il n’aura pas mangé, il lui commande donc de lui faire un repas pour son arrivée. Mais un seul repas. Pas deux. Nathan rentre chez lui, range les affaires dans sa chambre pour les donner à Ethan lorsqu’il arrivera. Afin de lui prouver qu’il a fait tout ce qui lui a dit. Finalement, il ne pensait pas avoir peur d’un si jeune homme mais c’est le cas.

Nathan mangea sur le pouce avant d’aller prendre une douche avant l’arrivée de son Ethan. Il s’enfila un sandwich puis se rasa avant de prendre une douche bien en profondeur afin de ne pas avoir de surprise.

12h50. Le repas n’est pas encore prêt, heureusement, la mère de Nathan lui a préparé plusieurs plats, afin qu’il n’ait rien à faire, juste réchauffé à la casserole. Le premier plat, et celui qui Nathan l’espère, plaira à Ethan, est une ratatouille de légumes et du bœuf bourguignon. Il commença à faire réchauffer ce plat dans une casserole afin qu’Ethan puisse passer directement à table en arrivant. D’ailleurs, il dressait la table lorsque son portable se mit à sonner. C’était Ethan. Il était en bas et demande alors à Nathan de venir le chercher. L’heure est donc arrivée. Mais tout n’allait pas se passer comme Nathan l’espérait.

Il descend alors les marches des deux étages quatre par quatre afin de rejoindre son bel amant. Il ouvrit la porte et Ethan était là, contre un mur à attendre. Une jambe pliée contre le mur et une fumée érotique sortait de sa bouche. Une clope entre ses doigts. Il porte une paire de vielles Van’s bien usées, un slim noir quelque peu déchiré sur les cuisses, une chemise blanche et des bretelles. Il portait un bonnet brun ou semblait s’engouffrer une touffe de cheveux assez grasse. Il portait d’une main un sac noir qui semblait bien rempli. Nathan s’approchait et lui demanda de monter.

— On monte ? Lança-t-il. Nathan s’exécutait et montra alors le chemin à Ethan. Ils échangèrent quelques banalités dans les escaliers, sur leurs études, leurs passions, mais ce fut assez bref. Ils arrivèrent dans l’appartement, Ethan demanda à Nathan de fermer la porte à clé et de lui confier ces clés. Nathan le fit sans broncher et invita Ethan à passer à table pendant qu’il prendrait un dessert en face de lui.

Ethan retira donc son bonnet et laissa tomber des cheveux mi-longs avec des mèches blondes. À y regarder, il a vraiment l’apparence d’une tarlouze, mais c’est ainsi. Nathan le trouvait beau, mais avait du mal à croire qu’il pourrait le soumettre et l’humilier. Ethan n’a pas menti. Lors du retrait de son bonnet, Nathan s’est aperçu de la saleté des cheveux d’Ethan, il ne s’était même pas lavé les cheveux durant les 4 jours, comme annoncé. Nathan ressentit une odeur de transpiration plutôt faible jusque là mais présente quand même. Il lui demande alors de retirer ses chaussures, essuyant un refus catégorique de la part d’Ethan. Ce dernier se place alors à table, sans en dire plus.

Nathan réchauffe le repas en ayant demandé à Ethan si cela lui plaisait. Il le sert alors tranquillement.

— Par contre, tu ne vas pas manger ton dessert en face de moi, tu n’es pas là pour ça. N’oublie pas une chose : nous ne sommes pas du même rang. Nous n’avons pas la même place en ce monde, tu es sur la Terre pour servir les mecs de mon espèce. Donc tu te mets à terre, à genoux et tu me regarde manger. Tu mangeras uniquement si je te l’ordonne, dit Ethan.

Nathan, un peu estomaqué, mais conforté dans l’idée qu’il va subir pendant ces 24 heures, s’exécute. Il se mit alors à genoux devant Ethan. Là, devant lui, les odeurs étaient bien plus présentes. Pendant plusieurs minutes, il pu le contempler de haut en bas, tout en imaginant comment sa langue allait pouvoir satisfaire ce corps succulent. Ethan ne le regardait même pas, s’occupant davantage des textos qu’il recevait sur son Smartphone. Le repas durant environ dix minutes avant que l’assiette d’Erwan soit entièrement vide.

— J’espère que les prochains repas seront plus réussis. Et fait avec ton amour, car ce n’est allègrement pas toi qui a réalisé ce repas. Mais passons, ce n’est pas grave pour le moment. J’ai faim encore, amène moi les desserts que tu m’as acheté.

Nathan apporta donc à Ethan ses yaourts commandés et les barres de Twix, pensant peut être que cela pouvait également être son dessert. Il lui tendit, Ethan lui dit alors de venir se replacer juste à coté de lui. Tel un chien.

— Tu penses réellement que je vais bouffer des Twix en dessert espèce de sous-merde.

Et alliant le geste à la parole, Ethan colla une monumentale baffe à Nathan, le faisant tomber à la renverse. Nathan, une main sur sa joue, regarde alors Ethan avec une profonde tristesse. Ce dernier lui dit de se relever et qu’il devra pour la suite évite ce type d’erreur. Après tout, c’est lui qu’il l’avait voulu.

Ethan mangea un yaourt puis plaça l’autre dans un grand verre. Nathan, toujours à genoux à côté de lui l’entendit aller chercher au plus profond de lui des mollards. Il en cracha une petite dizaine à l’intérieur du verre, les mollards se mêlent alors au yaourt à la vanille. Afin de compléter ce breuvage, Ethan se moucha à l’intérieur du verre avant de tout remuer avec une petite cuiller. Nathan avait compris ce qui se tramait.

— Ton dessert est servi ! Fais toi plaisir en le mangeant, qui sait ce que tu vas encore manger aujourd’hui ? Lança Ethan, avec un sourire diabolique.

Nathan, dégouté mais excité s’exécute. En effet, sa queue a déjà pris le si gros volume qu’on lui connait. Ethan ne lâcha pas des yeux sa salope de Nathan en train de manger ce yaourt agrémenté. Il le mange en entier, ne disant rien, il fixe aussi Ethan afin de lui montrer qu’il en veut. Encore et encore.

Son yaourt terminé, Ethan ordonne à Nathan de se mettre entièrement nu et de ranger la table, puis de faire la vaisselle. Lentement, Nathan retire ses vêtements, humilié. Ethan ne le lâche pas des yeux ce jeune mec en manque de bites.

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Il va alors le regarder exécuter les tâches demandées, avec soumission. Pendant ce temps là, il déballe son sac et sort alors un paquet de capotes KingSize, du gel et des menottes. Il laisse dans son sac les fringues qu’il a prévus pour le lendemain.

La vaisselle faite, Ethan demande à Nathan de lui montrer ce qu’il lui a acheté. Il s’exécute et met déjà plusieurs courses dans son sac. Un peu comme si tout lui était du. Il remercia sa chienne et lui dit d’aller l’attendre dans la salle de bain, il a une envie pressante. Nathan n’a pas perdu sa gaule depuis qu’il a commencé à bouffer le yaourt donné par Ethan. Il s’installe alors dans la douche pour accepter la pisse d’Ethan. Cette pisse tant espérée. Ethan sort sa queue. Une belle touffe de poils pointe son nez au dessus de cette queue d’un beau volume au repos. L’odeur d’Ethan se fait alors sentir. Le nez de Nathan se remplit donc de cette odeur de mâle qui ne le quittera pas durant ce séjour. Ethan demande à Nathan de fermer la bouche, qu’il avalera plus tard dans le séjour. Pour le moment, il veut juste le souiller de sa pisse et marquer son territoire. Quelques secondes plus tard, une bonne pisse fumante et puante sort du gland fromageux d’Ethan. Cette pisse semble durer très longtemps, Nathan pense qu’il devait avoir une envie énorme, il ouvre un peu la bouche, histoire de voir ce que cela fait. Une fois bien recouvert de pisse, Ethan lui commande de prendre une douche, de bien se savonner, il ne veut pas cette odeur dégueulasse sur le corps de son soumis.

Nathan prend donc une bonne douche avant de rejoindre Ethan dans le salon. Celui-ci s’est allumé une clope et a pris ses aises. Dans sa main droite, il porte la télécommande de la télé et de la gauche, il fume une des Malboro que Nathan lui acheté avant. Il demande à la lope de s’approcher et de retirer la table de salon sur laquelle il a posé ses pieds. Il porte encore ses chaussures. Il demande à Nathan de se mettre à la place de la table, pour reposer ses pieds sur ce corps humain pour lequel il n’a pas vraiment de respect. Nathan s’exécute même si il ne trouve pas la tâche très excitante. Il est toujours à poil et se place à 4 pattes. Ethan pose ses Van’s pourries sur le dos de Nathan qui commence à grelotter. Il sort de la douche et la moitié de son corps nu est posée sur le carrelage du salon. Bien que la situation soit confortable pour Ethan, Nathan commence à fatiguer. Cela doit bien faire vingt minutes que ses lourdes jambes sont placées sur son dos. Il semble avoir trouvé son bonheur à la TV sur une chaîne de clips. Grand bien lui fasse pensait Nathan, mais il espérait tout de même qu’il allait passer à d’autres actions plus sexuellement excitantes !

Au bout de trente minutes, le corps de Nathan ne pouvait plus garder cette position fœtale forcée, il s’écroule tout confus. À sa grande surprise, Ethan ne fut pas surpris et n’eut pas de réaction violente.

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— Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je veux prendre mon temps avec toi. Néanmoins, il va falloir que tu découvres sérieusement ce qu’est un homme. Un vrai. Alors durant l’heure qui suit, tu vas me découvrir. Et pas seulement avec tes yeux mais avec ta langue aussi. Tu commences par mes pieds, tu éviteras ma queue et tu remonteras jusqu’à mes cheveux. Mes couilles et ma queue, ce sera pour la fin, ne t’en fais pas. Tu as bien le temps de l’avoir en bouche et ailleurs aujourd’hui et demain, dit Ethan d’une manière douce et calme.

[Par Thekevin25]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 10:26

Nathan était un jeune homme déterminé.

Sa vie se résumait, à l’aube de ses 17 ans, à un ennui permanent. En effet, cela fait depuis ses jeunes années qu’il avait les mêmes envies sans pour autant en profiter. Mais cela allait changer. En effet, Nathan allait devenir la plus grosse salope que la ville d’Annecy avait connue.

Il était né dans le milieu des années 90’ dans cette ville qu’il n’avait jamais quitté. Du plus loin qu’il se souvienne, il a toujours eu pour passion les hommes. A six ans, il était déjà amoureux de l’un de ses camarades de classe. Évidemment, il ne lui en avait jamais parlé. Il était sûrement amoureux depuis le jour où ce camarade lui a dit « Tiens, sens mon doigt » prétextant un nouveau parfum, Nathan s’est alors bêtement exécuté et rétorqua à son ami qu’il adorait et lui demanda d’où provenait cette odeur. L’ami lui dit alors que c’était l’odeur de son cul. Humilié, déjà à 6 ans. L’ami en question se tordit de rire, et Nathan ne l’avoua pas de suite, mais il avait aimé cette humiliation.

La famille de Nathan était on-ne-peut-plus sérieuse, il avait une grande sœur qui lui accordait peu d’importance mais il était proche de ses parents à qui il pouvait tout dire. Enfin, tout, c’est un bien grand mot. Jamais il ne leur parlait de son envie d’être soumis et humilié par un mec. Encore moins des heures qu’il avait passé à sniffer un slip sale de son père. Encore moins qu’il était passionné par les odeurs de mecs, si bien qu’il cherchait au maximum à être sale, cela l’excitait au plus haut point.

Les odeurs : une de ses passions. Son rêve était de trouver un mec capable d’être le plus crade possible afin qu’il puisse, ou doive, lui et sa langue le décrasser. Mais il savait pertinemment que ce type d’homme des cavernes ne pouvait exister sur Terre, encore moins dans la ville d’Annecy, bourgeoise à souhait. Néanmoins, l’idée le mettait en transe.

Nathan a une grosse queue. Une très grosse queue surplombée d’un long prépuce. Ce dernier est bien souvent la réserve d’un délicieux fromage qu’il aimait, tel un morfale, déguster sans vergogne. Dés qu’il déballait sa queue, et c’est bien souvent, une odeur pestilentielle embaumait la pièce, mais cette odeur était l’odeur préférée de Nathan. Il avait lu une fois sur Internet que plus les mecs ont une grosse queue, plus ils aiment être passifs. Cela se justifie en tout cas avec lui.

Bref, Nathan a 17 ans dans trois jours, et il n’est pas encore passé à la casserole. Il espérait depuis des années se trouver quelqu’un, mais son actuelle vie à la maison avec sa famille ne lui permettait pas de s’offrir des parties de jambes en l’air avec quiconque. Donc il se raisonnait, branlant sa grosse queue à toute occasion afin de faire passer son envie de se faire baiser. Mais il a décidé que dans quelques jours, cette frustration permanente qui l’habitait allait s’envoler.

Aujourd’hui Nathan s’inscrit sur un site de rencontres avec de jeunes mecs. Sa recherche ? Un mec actif ayant une grosse queue, attiré par les minets soumis et prêts à tout pour satisfaire les besoins d’un mec pouvant lui demander absolument tout ce qu’il souhaite. Nathan est prêt à tout : du sexe oral, anal, un mec dégueulasse, de l’humiliation, devoir faire la boniche ou bien encore devenir chiotte humain. Il pense alors que son annonce va avoir du succès tant il offre des services complets et intéressants. Mais son annonce n’attira pas tant que ça la foule. Cela devait effrayer les jeunes mâles.

Néanmoins, Nathan reçut un message de la part d’Ethan. Il a 19 ans, est en école de commerce sur Grenoble, il mesure 1m80 et pèse soixante kilos. Sa famille réside à Metz-Tessy, à quelques kilomètres d’Annecy, si bien qu’il y soit assez fréquemment. Plusieurs hic ; Ethan est efféminé et semble propre sur lui. Nathan est déçu mais répond à son message tout de même. Après tout il n’a pas grand-chose à perdre.

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Le weekend prochain, Nathan sera seul, ses parents vont au mariage d’anciens amis de sa mère, et sa grande sœur en profite pour aller chez ses amies. Ses parents sont gênés de laisser Nathan seul pour le week-end mais il les a convaincus qu’il se débrouillera seul pour un week-end. Après tout, ses parents partent samedi matin vers 10 heures et reviennent le lendemain aux alentours de 17 heures, sa sœur va se calquer sur les mêmes horaires que ses parents. Ce qui lui laisse le champ libre pour environ 30 heures à la maison seul. Sans personne d’autre que lui.

Nathan lui répond et lui expose la situation, lui indique ses disponibilités et lui explique les limites qui le gouverne et devront gouverner le plan qu’ils envisagent. Nathan joint des photos prometteuses de lui, aidant normalement Ethan à le convaincre. Les limites de Nathan sont simples : il ne souhaite aucune marque visible sur le visage, le cou ou les bras. Pour le reste, il est à son entière disposition. Il lui parle dans un dernier paragraphe de sa passion pour les odeurs des mecs. En ponctuant le tout d’un « lol », n’assumant pas pleinement ce fantasme dégueulasse.

Nathan attend la réponse depuis deux jours alors que la date fatidique du weekend s’approche à grand pas. En effet, le weekend est dans quatre jours, et Nathan se demande si Ethan est la bonne personne. Puis il voit sur le site la réponse d’Ethan. Ce message dit cela :

Bonjour Nathan !

Navré du temps de réponse mais j’ai pas mal de choses à faire en ce moment. Mes cours me prennent beaucoup de temps et j’ai bien besoin d’une petite lope pour me soulager et un weekend me semble approprié pour cela.

Je vais être clair avec toi ; ce que je cherche est quelqu’un de motivé et de motivant. Tes photos me motivent clairement et me donnent envie, mais je ne suis pas sûr que quelqu’un qui ne s’est jamais fait baiser tant par la bouche que par le cul pourra me contenter. Néanmoins, cela est excitant de savoir que tu es puceau et que je peux t’apprendre les bonnes manières. Je pourrais même te façonner à mon image. Je n’ai pas une aussi grosse queue que toi (Je te joins d’ailleurs quelques photos…) mais tu vas voir, elle peut faire des ravages. Elle fait presque six centimètres de large, tu verras, cela va te démonter clairement l’arrière-train. Tu vas souffrir.

Autre point, tu veux être humilié et tu le seras. Clairement. De manière brute. Mais tu ne me donnes que deux limites principales, cela me ravit, j’espère que tu as bien réfléchi à tout ce qu’un mec est capable de te faire afin d’élaborer tes limites. Mais je pense que tu es largement conscient du danger que ce type de relation puisse engendrer. Donc c’est parfait.

Enfin, et puisque c’est ton souhait, nous sommes aujourd’hui mercredi, j’ai pris ma dernière douche hier et je n’en reprendrais pas avant de te voir. Mais il va falloir clairement que tu assumes tes préférences, car un mec sans douche pendant quatre jours, cela sera terrible samedi. Ma queue sera recouverte d’une épaisse mousse blanche qu’il va falloir que tu avales malgré son odeur à tomber, mes pieds seront puants. Tout comme mes aisselles et le reste de mon corps. Mais comme je t’ai dit plus haut, tu sembles prêt à assumer. Donc tu vas assurer. Si tu es toujours d’accord, et j’espère que c’est le cas, car tu m’as bien excité avec tes photos et ton annonce. Et encore une chose, pendant que j’y pense, tu m’appartiendras financièrement ce weekend. Comme tu dois le savoir, la vie étudiante n’est pas des plus simples en 2015, et à ce que tu m’as dit, tu habites encore chez tes parents, tu dois bien avoir des ronds de côté. Je t’enverrai donc une liste de choses à aller acheter pour que ce weekend se passe dans les meilleures conditions possibles pour moi. Et pour nous.

Tu vas prendre cher. Extrêmement cher. Prépares-toi !

Ethan

Nathan lu ce message avec la queue à la main. Évidemment il bandait ! Il bandait si fort. Son rêve si lointain, son fantasme de toujours allait enfin prendre réalité. Et cela le ravissait.

Mais il prit assez vite peur. En effet, Ethan avait l’air intransigeant, et semblait avoir de l’expérience malgré son jeune âge, et l’aspect financier qu’allait prendre ce plan pouvait exciter d’un côté Ethan mais lui faisait peur d’un autre côté. Nathan a de l’argent de côté, mais il pensait plutôt à le dépenser dans des fringues à l’offrir gracieusement à un étudiant en manque. Mais il verra.

Il répond alors à Ethan, lui affirmant que tout cela ne lui faisait pas peur mais qu’il avait tout de même quelques appréhensions. Si bien qu’il voulait ajouter une limite, celle de ne pas être partagé par d’autres hommes. En effet, bien que son fantasme fût d’un inconcevable masochisme pour la majorité des personnes, il le voulait avec un seul homme. Il voulait s’en rappeler toute sa vie, et qui ne pourrait pas le comprendre ? Donc il voulait partager uniquement ce moment, ces 24 heures avec Ethan et lui seul. Quitte à réaliser ce type de plan plus tard. Avec Ethan peut être ? Il l’informa également de sa peur par rapport à l’aspect financier, en effet, il n’était pas trop fortuné, et il ne pourra tout assumer. Il lui demanda alors combien il devait prévoir.

Ethan lui répondit assez vite, le rassurant pour le côté partage avec d’autres mecs. Ce n’était pas son dessein lors de ce premier plan, lui affirmant qu’il voulait déjà tester ses limites seul, sans le présenter à des amis à lui. Donc ils ont le temps d’en discuter ensemble. Pour l’aspect financier, Ethan ne le rassura pas puisqu’il lui dit que sur ce point, il n’avait rien à dire, et qu’il devra assumer son rang de pute. Nathan acquiesça dans son message suivant et lui demanda de lui envoyer un message avec sa liste, puisque tel est son désir.

Il lui dit enfin qu’il pouvait l’accueillir à partir de 13 heures et jusqu’au lendemain 13 heures, cela lui laissant du temps avant et après le plan. Avant pour faire les courses. Après pour ranger et remettre l’appartement de ses parents en ordre. Ce qui veut dire que Ethan aura trois repas ; un dîner, un petit-déjeuner et un déjeuner à passer avec lui. Il pourra éventuellement adapter sa liste à ce contexte.

Ethan était d’accord sur l’heure, le lieu et joignit à son message un document Word intitulé « Liste pour Ethan ». Il lui précisa qu’il souhaitait que Nathan l’invite dans un restaurant samedi soir. Sa préférence allait pour un restaurant asiatique. En effet, une idée lui trottait dans la tête.

Nathan prit peur, puisqu’il ne s’attendait pas à devoir d’abord l’inviter au restaurant, mais rassuré puisque ce genre d’endroit n’est pas connu pour être cher. Et encore moins à une liste sur un document formel et complet comme celui-ci. La liste, après ouverture, était plutôt complète et variée, Ethan avait nommé une vingtaine de produits à lui acheter allant d’un paquet de feuilles doubles, à des Pitch au chocolat, en passant par des écouteurs, des fraises, un kit pour faire des hamburgers, de la Lisopaïne, des Twix, un paquet de Malboro et comble de l’humiliation des préservatifs petite taille. Tout cela allait prendre du temps à Nathan puisqu’il devrait faire plusieurs magasins. Mais il trouvait cela humiliant. Très humiliant. Mais l’histoire ne faisait que commencer…A SUIVRE

[Par Thekevin25]

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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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