X-toireS

Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 12:00

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Voici une autre de mes aventures homosexuelles que j'ai eue avec un garçon plus jeune que moi. Tout a commencé tout à fait par hasard, comme nombre de mes aventures d'ailleurs, un jour que j'allais manger au restaurant un dimanche midi avec ma mère qui, je dois le préciser, est célibataire.

 

Nous sommes donc entrés dans ce restaurant pour fêter l'anniversaire de mes 22 ans, et j'ai aperçu tout de suite un garçon, avec juste son père, tout ce qu'il y a de plus mignon.

Il devait avoir 18 ans maximum, il était blond, pas trop grand, un corps assez fin que j'avais envie de protéger, une coupe "au bol" que j'adorais, un joli petit minois innocent, enfin d'extérieur parce que je dois dire que je n'aurais jamais pu deviner ce qui allait nous arriver.

Nous nous sommes assis ma mère et moi à une table que l'on a choisie, enfin surtout moi, assez près de ces deux garçons, le père et le fils, qui sont maintenant sur la droite de notre table et de ma chaise.

En me rapprochant, je me suis aperçu qu'il était encore plus mignon que ce que je pensais. Il faut dire que même son père, qui ne m'intéresse pas du tout, était beau comme un dieu et que son gamin tenait bien de lui.

Le moment était venu de commander les plats mais je dois dire que je n'avais aucun appétit et l'esprit ailleurs, ma mère a donc commandé et m'a laissé "penser" en paix.

 

Tout à coup il me regarde, ce qui m'a permis de voir ses superbes yeux bleu-vert et de voir que j'étais amoureux de lui, à l'époque il ne me fallait pas grand chose, mais je ne crois pas avoir changé.

J'eu une très soudaine érection mais je me suis retrouvé comme un imbécile excité et j'ai baissé les yeux sans même lui sourire.

Il faut dire que j'était très timide avec les beaux et jeunes garçons.

J'étais assez triste d'avoir réagi comme ça et je me suis dit que c'était fini, que je n'avais même pas une chance de lui parler.

Désésperé, je sortis un bouquin de mon sac à dos et bien que ma mère me dit que ce n'était pas de coutume de lire à table, j'ai quand même continué, de toute manière je n'avais pas le moral et je me réconfortais en regardant le prochain jeux super-nintendo que j'allais acheter.

Soudain, j'entendis que quelqu'un se levait, je me suis dit : "Voilà, imbécile timide, encore un superbe garçon à qui tu n'as pas osé parler", je pensais qu'ils partaient et je n'avais plus le moral mais en fait c'était son père qui allait aux toilettes, ce qui m'a soulagé un peu, mais sûrement pas autant que lui quand il serait revenu.

 

Rassuré, si je peux dire ça comme ça, je me replongeais donc dans mon livre et j'hésitais entre les jeux Super Mario Kart et Zelda 3, quand d'un coup j'entendis une voix douce et excitante, un peu comme celle des héros de dessins animés comme Sangohan gamin dans Dragon Ball Z ou Esteban dans les Cités d'or, qui me dit "T'as quoi comme console?" Là, surpris je tourne la tête et je me retrouve nez-à-nez avec le plus beau garçon de la terre, j'ai même pu sentir son parfum vanillé et je dois dire que mes sens étaient tellement en éveil que j'ai failli en tomber dans les pommes.

Imaginez la scène : un garçon parfait en face de moi, jeune, blond, qui sent bon, avec une mignonne voix et qui me parle, "Haouuu !" Je croyais rêver tellement c'était bon.

Bien sûr, au début j'ai vraiment eu du mal à répondre tellement j'avais la tête qui tournait mais je me suis vite repris en main surtout que ma mère était en face et qu'elle n'était pas censée savoir que j'aimais les garçons.

Je lui ai répondu que j'avais un Super Nintendo américain avec des jeux japonais, puis nous avons discuté de ceux qu'on avait ou qu'on comptait se payer.

Après quelques minutes de dialogue vient la phrase qui m'a fait relancer mon érection de plus belle, il me dit :

— Tu veux v'nir jouer chez moi à la console ?

Bien là, je n'arrivais pas à le croire ; ce que je n'osais même pas espérer, ne serait-ce qu'une seconde, était arrivé, il m'avait non seulement parlé longuement mais en plus il m'invite chez lui. Le rêve continue et mon jean est vraiment trop serré, je dirais même prêt à craquer.

 

Son père revint des toilettes et nous vit ensemble, j'en ai donc fait la connaisance puis je lui ai présenté ma mère.

C'était une jolie opération que j'avais faite là puisqu'ils se sont entendus tout de suite et ils ont discuté ensemble, ce qui fait que je me suis retrouvé "seul" avec le garçon de mes rêves.

Le dessert était à peine terminé que le père de mon copain, ben oui, Aurélien c'est mon copain maintenant, a proposé de payer les additions et de nous emmener ma mère et moi chez lui pour discuter et faire plus ample connaissance.

 

Nous voilà donc devant leur maison qui est une très belle résidence avec un beau gazon tout autour.

Aurélien descendit le premier de la voiture et me dit :

— Viens, on va dans ma chambre.

Moi tout timide je dis à son père et à ma mère :

— Ben on va dans sa chambre...

Là il me coupe pour me dire :

— Allez-y, les enfants, amusez-vous, pendant ce temps j'emmène ta mère faire le tour de la maison.

Moi je dis juste "Ok" puis j'allais vers Aurélien qui m'attendait à l'entrée de sa maison.

 

Je l'ai donc suivi, après avoir enlevé les chaussures à l'entrée, jusque dans sa chambre, puis une fois à l'interieur il a fermé la porte à clé, ce qui ne m'a pas paru étrange du tout.

Nous avonc donc commencé à jouer à la console, on était assis sur son lit, puis je pensais à la chance que j'avais eue d'avoir rencontré le plus mignon des garcons de 18 ans de la région et de me retrouver assis sur son lit en train de jouer avec lui, ce qui m'excitait terriblement et déclencha une autre érection mais cette fois-ci, je sentais le précum monter à l'interieur de ma bite.

 

Nous avons mis un jeu de voiture du futur, F-Zero, que je connaissais plutôt bien, après 5 minutes d'échauffement nous avons fait un petit concours.

Après qu'il ait fait son temps général et au tour, je me suis lancé et malgré mon état d'excitation avancé je réussis à gagner, ce qui fit qu'Aurélien me mit la main sur l'épaule en me disant :

— Hé mais t'es bon toi, comment t'as fait pour me battre ?

Le problème c'est qu'il me dit ça avec sa petite voix d'ange et en me regardant dans les yeux. À ce moment je bandais tellement que j'ai cru que j'allais éjaculer tout seul de voir Aurélien qui me faisait tant fantasmer, me regarder dans les yeux en me touchant, c'était trop.

Je ne voulais pas qu'il sache que je voulais lui faire des choses, alors nous avons commencé à chahuter, je lui ai dit en sautant dessus et en lui frictionnant les cheveux :

— Et oui, mon petit, c'est moi le plus fort !

Lui me répondit :

— J'crois pas, moi ! C'est moi qui suis le meilleur ! et nous nous bagarions de plus en plus, gentiment bien sûr, et moi j'avais de plus en plus de mal à bouger à cause de mon énorme érection.

 

D'un coup, nous nous sommes retrouvés par terre et je lui pris les deux poignets j'étais sur lui, assis presque sur sa bite. Je portais juste un T-shirt mais j'avais vraiment chaud je n'en pouvais plus, il fallait que j'aille me masturber d'urgence.

Mais brusquement un de ses poignets m'échappa et je n'aurais jamais pensé qu'il ferait ce geste là, il me mit la main sur la bite et serra doucement mon sexe qui était dur comme de l'acier...

J'avais la honte de ma vie, je me suis dis qu'il allait me traiter de PD et qu'il le dirait à son père.

Je commençais à me sentir mal, mais à mon grand étonnement, il a souri, je ne comprennais pas et je lui ai dit :

— Ben quoi ??

Et j'en ai profité pour mettre ma main sur sa bite genre sans le faire exprès bien sûr, il portait un jogging Nike... Eh bien, je n'étais pas le seul à bander, à ma grande surprise il bandait autant que moi si ce n'était pas plus. J'en suis tombé en arrière, tout allait trop vite, le garçon dont je suis tombé amoureux et que je trouve le plus mignon serait gay comme moi, c'était trop beau...

 

Il n'avait pas encore eu le temps de se relever, et je voulais en avoir le coeur net, je suis retourné sur lui et j'ai commencé à le regarder dans les yeux et à rapprocher ma bouche de la sienne tout doucement, il était rouge et transpirait mais il sentait si bon.

Au fur et à mesure que je m'en approchais, il restait immobile et gardait son superbe sourire sans dire un mot, quelques centimètres seulement séparent nos deux bouches, encore un petit effort et voilà, ça y est, nous sommes en contact.

À ce moment-là, j'ai eu une décharge de jouissance comme jamais auparavant. J'ai commencé à l'embrasser doucement, nos deux lèvres se caressaient tendrement puis, peu après, ce fût le tour de nos deux langues.

Comme je me sentais bien.

Dans un silence et un calme paradisiaque, nous avons échangé nos salives ; quelle jouissance de sentir ce liquide chaud pénétrer dans ma bouche. D'ailleurs je me suis amusé un peu avec ma langue puis j'ai tout avalé en savourant cela comme un nectar divin.

 

Après nous être éloignés lentement l'un de l'autre, il me dit :

— Quand je t'ai vu rentrer dans le restaurant, je voulais vraiment que tu me parles et que tu sois PD.

Je lui ai juste répondu en fixant ses beaux yeux :

— Moi aussi bébé, je crois que je t'aime maintenant.

Il me fit un autre sourire, ce qui m'a encouragé à aller plus loin.

J'ai caressé délicatement son ventre, puis en mettant ma tête sous son T-shirt j'ai commencé à lui lècher la poitrine. Je sentais sa bite contre mon ventre à travers son jogging que j'ai dû baisser et j'ai fait la même chose avec son slip, une légère odeur de sperme chaud s'en est dégagée.

Je me suis alors levé, j'ai fermé les volets et je me suis déshabillé entièrement, j'avais une des plus grosses érection de toute ma vie, je l'ai aidé à enlever totalement son jogging et son slip qui sentait bon le sperme frais, j'ai tout posé sur une chaise, puis je me suis approché de lui.

Il était complètement nu, son corps n'avait pas de poil, tout juste un peu sur son pénis qui devait faire 14 cm, il était imberbe, comme moi, j'adore ça. Nous nous sommes allongés sur le lit, il était sur moi et faisait des mouvement avant/arrière. Comme il était plus petit que moi, sa bite chaude et humide frottait sur mon ventre.

 

À ce moment, j'ai commencé à lui caresser les fesses avec ma main gauche tandis qu'avec la droite je lui caressais le dos, que c'était bon cette sensation, nos deux corps chauds et humides se frottant l'un contre l'autre.

Je continuais de lui toucher les fesses puis tout doucement, j'enfonçai mon index dans son anus un peu contracté, de plus en plus profond jusqu'à ne plus pouvoir, ensuite je fis des petits mouvements circulaires à l'intérieur, et là, Aurélien surexcité me dit :

— Ça fait du bien ! Continue !

Moi, de mon côté, je n'en pouvais plus non plus, mais par hasard je vis une photo sur le mur où on le voyait habillé en petit footballeur, je lui ai donc demandé :

— Tu joues au foot, bébé ?

Il me dit oui et qu'il était assez bon. Je venais de penser à un de mes plus gros fantasmes et je lui ai demandé :

— S'il te plaît, habille-toi en footballeur !

Il me répondit :

— T'as envie de m'faire l'amour comme ça ? C'est cool pour si tu viens m'chercher à l'entraînement.

Je ne préferais pas y penser, tellement j'en jouissais d'avance, je lui dis :

— Bonne idée, mais on verra ça tout à l'heure.

 

Nous avons donc cessé de nous frotter et j'ai retiré mon doigt de son anus. Le temps pour lui de sortir ses affaires de son sac de foot, il n'avait même pas eu le temps de les laver, et le voilà habillé en un des plus mignon petit footballeur que j'avais jamais vu, et en plus il sentait l'herbe, il avait dû tacler pendant le match et frotter par terre et un peu la transpiration, juste ce qu'il faut. Je me suis approché de lui et j'ai embrassé son short rouge au niveau de sa bite, il bandait encore mais ça a gonflé sa bite encore plus, je l'ai senti durcir contre ma bouche.

Nous sommes retournés sur le lit, j'étais tout nu et lui avait la panoplie du parfait petit footballeur, et c'est rien de le dire, des chausettes, un short rouge avec des rayures blanches et un T-shirt assorti. On s'est donc remis dans la même position et il s'est frotté contre moi, j'ai senti le toucher très spécial du tissu du maillot et du short des footballeurs, ça y est, j'étais en train de réaliser un de mes fantasmes, pendant quelques minutes nous nous sommes frottés comme cela.

On s'est encore embrassés, en même temps j'ai passé la main dans son short pour lui remettre mon doigt, sauf que cette fois-ci, j'ai attendu que son anus soit dilaté pour le retirer, ensuite j'ai baissé son short pour enfin pouvoir vivre le moment que j'attendais le plus.

 

Je masturbais mon pénis recouvert de précum en lui demandant de changer de position et de mettre ses deux pieds en avant, ce qui fait qu'il se retrouvait assis sur mon ventre. J'ai attrapé ses deux hanches pour pouvoir l'aider à se mettre juste au dessus de ma bite et doucement il s'est baissé en s'empalant doucement sur mon baton d'amour qui rentra sans trop d'effort. Je n'attendis pas longtemps pour enfoncer en lui une grande partie de mon pénis de 17 cm.

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À ce moment, il a poussé un cri de jouissance "Aaaaahhhh oui!" puis il me dit :

— Vas-y ! Je la sens au fond de moi ! Plus profond !

J'ai donc enfoncé au maximum et j'ai commencé mes mouvements de va-et-vient. Son anus se contractait de temps en temps sur mon sexe, ce qui amplifia sa belle érection. Nous avons continué nos mouvements de bas en haut pendant de longues et chaudes minutes. De temps en temps, je mettais ma main sous son T-shirt de manière à lui caresser le ventre et le torse.

Je le regardais, il avait la tête penchée en avant, avec son short sur une jambe, son T-shirt large tombant sur sa belle bite humide pendant qu'il se masturbait. C'était vraiment le garçon le plus mignon qui existait, il fallait voir comme il s'appliquait à se donner du plaisir. De nombreuses gouttes de sueur tombaient de son front sur mon ventre, nous avions aussi chaud l'un que l'autre, ce qui faisait ressortir son excitante odeur naturelle.

Maintenant, je sentais que les contractions de son anus étaient de plus en plus fréquentes sur mon sexe, ce qui fit qu'une très forte sensation envahit mon corps et me fit accélérer le mouvement.

Soudain, je vis ses deux testicules remonter, à ce moment il poussa un énorme cri de plaisir bien plus long que le précédent et tout en me caressant le visage de sa main gauche il m'éjacula de nombreuses fois sur le torse.

Juste le temps pour moi de goûter à son délicieux sperme chaud de petit footballeur, qu'une intense sensation me parcourut tout le corps, je me suis relevé vers lui en le prenant dans mes bras et au moment où je l'ai embrassé avec le peu de sperme que j'avais dans la bouche, j'ai senti que cela montait à l'interieur de ma bite, je ne pouvais plus me retenir et j'ai explosé à l'interieur de son anus, quelle incroyable décharge de jouissance j'ai ressenti, j'ai cru m'évanouir.

Nous sommes restés ainsi quelques minutes en nous embrassant puis je me suis retiré de lui, nous étions bite contre bite et j'avais encore plein de son sperme sur le torse, un liquide gluant entre nos deux corps qui multiplie les sensations, nous nous sommes frottés encore une fois de manière à bien étaler sur nos deux corps le précieux liquide.

 

Nous sommes restés comme cela 10 bonnes minutes, et il m'a dit :

— Je t'aime, je voudrais que tu couches à la maison ce soir.

Je lui ai dit qu'on demanderait à son père et qu'il fallait qu'on se lave maintenant. Il me répondit :

— Oui ! On va prendre une douche à deux ! Super !

Nous nous sommes mis à rebander comme un jeune couple marié, nous nous sommes embrassés puis nous sommes allés à la salle de bain. Ma mère était dans le jardin avec son père et ils n'avaient pas l'air de vouloir rentrer...

Mais ceci est une autre histoire...

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Mercredi 3 juin 3 03 /06 /Juin 11:27

La chaleur était suffocante. Enfermés à l'intérieur d'une voiture avec mon ami Timothée en direction de ce qu'il appelait mon cadeau d'anniversaire, nous étions tous les deux baignés dans notre transpiration et ramollis par la force du soleil. J'avais les yeux bandés. Je sentis la voiture s'arrêter sans savoir où nous étions, après 5 minutes de trajet. C'était bizarre.

— Ne retire pas ton bandeau, dit Timothée.

— T'inquiète.

— Ne bouge pas.

Il allait enfin me sucer, non ? Il était hétéro avéré.

Je sentis une douleur au bras. Je réalisai au moment de m'évanouir, qu'il m'avait fait une piqûre. Connard.

Un long laps de temps s'écoula, je le sais.

Je me réveillai désorienté, encore suffocant mais avec l'impression d'être propre et frais mais aussi bizarre. J'avais toujours un bandeau sur les yeux. Une douleur aiguë se réveilla sur mes pectoraux engourdis et courbaturés, sur mes fesses, mes bras, mes cuisses et mon sexe. J'essayai de bouger, en vain.

Un signal s'activa et retentit près de mon oreille et je sentis un couvercle s'ouvrir au dessus de moi.

Il faisait déjà moins chaud hors de cette caisse.

Je me mis à crier car je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait et je semblais perdu. On me mit une boule en plastique dans la bouche comme dans les films de cul sado-maso afin de me faire taire et quelqu'un me glissa à l'oreille :

— Patiente encore un peu Tom, après tu pourras crier de plaisir.

Je ne m'appelais pas Tom. On me transporta dans une salle, et n'ayant la possibilité de me débattre, je me laissais faire. On me fit boire plusieurs liquides et on m'assit sur une chaise où l'on m'attacha. Une heure plus tard, Timothée vint s'asseoir sur mes genoux, et m'ôta mon bandeau. Il avait un sourire pervers et excité.

Il se passe quoi ?

— Hello Tom.

— Mmmmmmh.

Il me mit une baffe.

— Je te l'enlève, connard.

Libéré de la boule qui avait déformé ma bouche et m'avait fait me baver dessus, je pus enfin parler.

— Je ne comprend rien Timothée, pleurai-je.

— Tu n'as pas besoin de comprendre, Tom.

Il lécha la salive qui avait dégouliné sur ma chemise en lambeaux.

Il se passe quoi ?

— Je ne m'appelle pas Tom, tu le sais connard. Je suis où ?

— Tu t'appelles Tom, ça fait plus pute. Dans ta nouvelle demeure, mon salop.

Il me crache dessus.

— Oh excuse-moi, je n'aurais pas dû tacher ton si beau corps que nous préparons avec tant de soin pour la queue.

— Je… ne… comprends… rien… articulai-je pétrifié pendant qu'il entamait "À dada sur mon bidet" en se tortillant sur mes genoux.

Sexy. Mais j'ai peur. Il se passe quoi ?

— Fais un effort, tu es désormais une pute, beau cadeau n'est-ce pas ? expliqua-t-il simplement.

— Qu'est ce que tu racontes ?

— Mon cadeau, c'est ton nouveau corps et ta nouvelle vie. Tu vas me servir et te servir. C'est presque un cadeau pour moi. T'es un objet.

— Quel nouveau corps ?

Il se retira de mon genou, ôta les menottes qui me retenaient à ma chaise, me dit de me lever et de marcher jusqu'à un miroir au fond de cette salle entièrement faite de béton.

Je sentis des douleurs partout, surtout au cul qu'il me tâtait pendant que je marchais.

J'arrivai devant la glace et je ne me vis pas. Du moins, je vis quelqu'un d'autre : j'avais un corps nouveau, musclé, les tétons anormalement pointants, les pectoraux saillants, les abdos alignés, les cuisses gonflées. Comme sur un magazine. Mes cheveux étaient longs et plaqués sur le dessus du crâne, et plus courts sur les côtés. J'avais une barbe mal rasée ce qui me sembla étrange puisque je n'avais eu jusqu'alors que quelques poils d'adolescent. J'étais bronzé (ce qui expliquait la boite ou j'avais était enfermé auparavant). J'étais… un minet hyper bien taillé de 20 ans alors que je n'en avais que 17, 18 depuis mon anniversaire. Timothée s'approcha derrière moi en me contemplant lui aussi.

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— T'es bandant, Tom. On t'as injecté une quantité énorme de protéines, et de crèmes de développement physique et on t'a fait faire des exercices pendant ton sommeil. T'as pas tout vu, ma pute.

Je portais un short bleu très court adidas, anormalement rempli, qu'il ôta doucement. J'étais pétrifié. Qu'est ce qui se passe ? Mon sexe était énorme. Sûrement de la chirurgie esthétique. Il me retourna et me montra mon cul gonflé et musclé qu'il tapota. Je chie un énorme gode sur place, sans rien sentir. Flop.

— On l'a étiré, on peut y mettre 3 queues. J'aime bien te voir chier, ça montre que t'es faible.

— OK. Je comprends pas. Qu'est ce que vous m'avez fait ? Pourquoi ? Je vais devenir quoi ? Je suis pas ton ami ? C'est un rêve ? Un cauchemar ? Je suis censé faire quoi ? Ça, un cadeau ? Je ne comprends pas.

Trop de questions.

Je pissai sur place, sans pouvoir me contrôler. Ce qui m'effraya.

— Rooooh, comme t'es mignon. Tu peux plus te retenir.

Il pinça mes tétons surdimensionnés. Une sorte de précum en sortit.

— Allez, viens me faire un câlin, t'es une pute maintenant. Je t'aime.

J'aimais Timothée, sans jamais lui avoir dit. Personne ne savait que j'avais un faible pour les hommes, ce qui à mon sens était normal : les hétéros n'avouent pas qu'ils aiment les femmes, pourquoi les homos devraient-ils avouer qu'ils aiment les hommes ? Justice.

Je ne suis pas en position de réfléchir à des questions d'ordre social, je dois comprendre ce qui se passe.

— Tu m'aimes ? demandai-je.

— Bien-sûr, mon chien.

— Pourquoi chien ?

— Parce que tu feras tout ce que je te demande, Tom. OK ?

— Tu vas te prostituer, me ramener du fric et devenir mon sex-toy, Tom. OK ?

— Tu es beau. Tu as un cul large, une bite énorme, un corps de theos, Tom. OK ?

— T'étais intelligent, bon en classe, ambitieux. Tu vas devenir un radis en quête de queues. OK ?

— Ton visage a été adapté à ce qui me plaît. Tu vas devenir quelqu'un, car je pense que j'ai bon goût. La pute de tous. Tous ceux qui peuvent payer le prix.

Je pétais sans pouvoir me retenir. Timothée me cracha dessus et m'écrasa le pied.

— C'est vraiment trop mignon.

Je m'évanouis.

Je fus réveillé nu, par une alarme, sur un lit blanc, au centre d'une salle blanche dont je ne distinguais pas les parois, qui faisait contraste avec mon corps bronzé. Au fond de la pièce, deux placards.

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme qui envahit la pièce.

Jamais. On m'a transformé. On m'a forcé. Contre mon gré. Contre mon gré. Je suis prisonnier. Mes parents. Ma famille. Mes amis. Mes ambitions. Gone. Je n'ai que 17 ans, bordel. Ou 18. Qu'est ce que j'allais faire pour sortir de cet asile ?

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme.

Non. Non. Non. Ne pas répondre. Ne pas faire.

Un parfum se déversa dans la chambre immaculée. J'aimais cette odeur. L'homme. Putain, l'homme. De la testostérone vaporisée. Je bandais, je ne réfléchissais plus. Je suis un âne. Je réalisais juste que mon trou, supposément encore vierge, attendait d'être rempli et que ma bite énorme voulait se vider.

C'était sa volonté propre. Et celle de mes couilles de cheval. 17 ans. Ou plutôt 18.

— Ouvrez le placard n° 1, dit une voix électronique d'homme.

Résister ? Non. J'ouvre le placard où est écrit 1, en gros. J'obéis pour ma bite, mon trou et mes couilles.

— Enfilez le costume disponible.

Oh oui. J’adore bander habillé.

Je mis le slip noir à coutures blanches, ouvert à l'arrière d'un trou, lui aussi souligné d'une couture blanche donnant une vue sur mes fesses rebondies. J'essaie de faire tenir ma queue immense dedans, créant un paquet flasque visible à travers le tissu.

J'enfile le gode gonflable d'un coup, réveillant une douleur au niveau de mon anus en laissant pendouiller le bout à presser pour lui donner du volume. J'avais une queue derrière aussi maintenant.

Je passe un collier en cuir autour du coup, un t-shirt en léger v moulant sur mon torse et un jean tout aussi serré sur mes jambes et mes fesses. Je mis les grosses adidas qui m'étaient présentées.

Timothée entra, me poussa sur le lit et m'écrasa le sexe avec ses baskets.

— Ton premier coup. Un architecte marié avec une femme et qui aime les vilains minets. Il est prêt à tout pour satisfaire ses désirs. Moi, je le sucerais bien, j'aime sa tête de bad boy.

Ma bite résistait sous la pression de son pied.

Il me colla un patch dans la nuque.

— Réservoir d'hormones d'excitation masculine. Tu vas baiser, mon puceau.

Il se jeta sur moi et m'embrassa en me malaxant les parties génitales.

— Je… ne… veux… être… qu'avec… toi… réussissais-je à articuler, abruti par les doses phénoménales d'hormones présentes dans mon organisme.

C'était hypocrite, je voulais juste lui faire mal.

— Ta gueule connard, après on baise, promis. Mais fait la salope.

Je pleurais, car je n'avais aucun contrôle. Je sentais mon cerveau défaillir. La salle était très blanche.

— Tapette et pute. De mieux en mieux. Tu m'excites.

Il me colla sa braguette sur le visage. Très odorant. Il sortit.

— Sortez de la salle et suivez les flèches aux murs.

La voix électronique avait ordonné. Les flèches défilaient sur les parois toujours immaculées comme des spectres - seuls repères montrant qu'il existait une direction dans cet infini blanc.

Un rideau blanc s'écarta en se détachant de ce paysage abrutissant, laissant apparaître une salle en béton éclairée d'un lustre de salle d'opération.

Les flèches disparaissent. La voix électronique : "Entre, pute".

— Bonjour toi. T'as une tête de chien, putain. Et ton corps est bandant. Viens !

C'était une voix d'homme, grave.

J'entre et je vois un athlète chauve de 25 ans aux lèvres charnues, couvert d'une tenue de cycliste en lycra. Je veux le baiser.

Il se passe quoi.

— Réponds, pute.

— Bonjour, boss. T'es vachement excitant. Mais je suis pas gay, t'sais.

J'avais dit ça naturellement. Je parle pas comme ça normalement. Où est la normalité ? Tsss.

Il s'approcha, pressa mes deux tétons saillants qui firent encore sortir ce jus étrange et me dit de sortir ma langue. Ou il effectua des va-et-vient avec ses lèvres. Ça veut dire suce moi, je pense.

— T'es bien fringué. Trop.

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Il arracha l'arrière de mon jean sans difficulté et, remarquant la manette qui permettait de gonfler mon gode, s'acharna dessus pendant que je m'agenouillais pour pomper de l'elexir masculin à travers sa tenue.

— Ça gonfle.

— Mmmmmh, répondis-je.

— T'aimes.

— Slrp slrp, smack.

Il me regarda, me cracha dessus. M'allongea sur le dos contre le sol en béton, me dominant de sa hauteur.

— Écarte les cuisses. Je veux pas que le gode sorte.

Il continua à le gonfler avec le pied. Je pleurais et je lâchai un petit cri. Mon ventre gonflait à vue d’œil. Il me mit une boule dans la bouche pour me faire taire, boule qu'il frotta d'abord sur sa raie. Il me semble.

— Mmmmmh mmmmmh, dis-je.

Ce qui signifiait, stop. Il continua. Je vais exploser.

— Là, c'est parfait, dit-il.

Il s'assit sur moi.

— Mmmmmmmmmmmh, criai-je.

J'avais mal. Je vais exploser.

Il me pissa dessus, assis sur moi. À travers le lycra.

— Je sens que t'as soif.

Il ouvrit sa braguette, sortit une queue énorme, me pissa sur le visage. Puis il s'arrêta, enfin. Il était toujours assis sur moi. J'ai mal. Il se déplaça sur ma cage thoracique.

Il prit un tube transparent, assez fin, qu'il mit dans son urètre. Il relia l'autre extrémité à une cavité de la bouche qui m'empêchait de parler.

Il recommença à pisser. Un liquide chaud envahit ma bouche. J'étouffais. Avaler. Avaler. Avaler. Très rapidement pour ne pas m'étouffer. De la pisse jaune envahissait tout mon corps. Je suis répugné. Ça a bon goût. J'aime. J'adore. Plus, plus, plus.

Il caressait mes cheveux impeccablement coiffés qu'il tira pendant que je buvais. Aïe. Ça fait mal. C'est pas grave, il faut résister. Quoique, la sensation est plutôt excitante. J'aime. J'adore. Plus, plus, plus.

Et ce gode qui occupait tout l'espace de mon trou du cul et l'étirait démesurément. J'aime. J'adore. Plus plus plus.

Il s'allongea sur moi, faisant revenir la douleur au niveau du ventre. Mais j'aime la douleur. Il dit :

— Ton regard, j'adore. Je t'aime.

Et il me fourre deux doigts en plus dans mon trou déjà sur-rempli.

— C'est fou comme ça t'excite.

Il me crache dessus. Mon visage est couvert de pisse, de bave, de morve.

Il me donne un coup de boule. Sur mon sexe. Je ne sens rien.

Il déboutonne le devant de mon jean, me l'arrache.

— Magnifique, continue un peu à boire ma pisse. Je t'aime.

Il respire mon sexe, me presse les couilles, me fait mal, très mal. Gavé d'hormones, j'aime.

— Elles sont grosses. T'as du stock.

J'ai envie de vomir. Je continue de boire sa pisse. Ça me soulage. C'est un véritable remède.

Le gode me fait très mal, me compresse la vessie et la prostate. C'est trop gros. C'est inhumain.

Il a fini de se vider de son jus. Il retire son installation, libère ma bouche, m'enfonce toute la largeur de sa queue jusque dans le fond dans la gorge. Je fais des bruits bizarres, comme si je m'étouffais ou que j'allais vomir.

Il la retire tout aussi sec et dit :

— Dis-moi que tu m'aimes et que t'adores ce que je te fais. Que t'es ma pute. Que tu feras n'importe quoi pour moi.

Je répète difficilement, il retire ses deux doigts de mon cul. Ce qui me fait crier.

— Ta gueule, maintenant.

Il m'étale des morceaux de merde recueillis dans mon fion. Sur le visage. Et m'embrasse.

— T'es vraiment dégueulasse et crade, ma balance-t-il.

— J'aime boss. Fais de moi ce que tu veux.

— Tu vas souffrir, bébé.

Il mit son ventre contre le mien. Me colla son cul dans le visage. Me péta dessus. Et entreprit de retirer mon gode.

— Il vaut mieux prendre son temps pour le retirer, ça fait plus mal, et ça t'entraîne.

— Comme tu veux, boss.

Mais au fond de moi, je n'en pouvais plus.

Il tira sur le bout qui dépassait de mon trou. Je sentis l'objet se déplacer en moi. Ça faisait très mal. Mon anus vierge de toute bite réagit et s'écarta.

L'équivalent de deux bras musclés se présenta à la sortie. Mon anus était tendu à ses limites.

images.jpg

Il laissa perdurer la situation. Au moins pendant deux minutes, il exerça de légers va-et-vient.

Je jouis du cul : il se refermait et s'ouvrait. Je ne contrôlais plus rien et je geignis. Lui, rigolait et faisait des mouvements du cul sur mon visage.

— Allez, je le retire.

Et d'un coup, il extirpa l'objet, me faisant crier. J'étais défoncé.

Je chiais sans pouvoir me contrôler. De gros étrons. Que je ne sentais même pas franchir mon anus.

Il rigolait.

— T'es un sacré, toi. Je t'aime bien.

— Merci boss, articulai-je.

Et je jouis sur son visage. C'était la première fois que je jouis de cette manière. 8 longues giclées. De sperme blanc. Son visage était trempé. Il me sourit.

— Je vois que toi aussi tu m'aimes bien. Lèche-moi tes conneries maintenant.

Et je dus passer ma langue sur tout son visage et bouffer une quantité incroyable de mon sperme.

Je vomis et m'évanouis.

[Par JamesFetcher23]

 

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 10:18

Il est 2 heures du matin, je décide donc de me poser tranquillement sur le canapé avec une bière bien pénard. La mission de ma salope est de me faire jouir. Jamais un mec a réussi de ses mains ou de sa bouche à me faire juter. Alors on va voir si mon T. aura la mâchoire assez endurante pour me faire juter. Je suis posé et ma salope est à 4 pattes devant moi, il commence un bouffage de couilles en règle pour me redonner la gaule. Ce qu'il réussit à faire en quelques secondes, puis je lui colle ma queue dans la bouche...Je lui envoie quelques mollards parfois, pour bien l'encourager. Il mettra environ 30 minutes à me faire monter le jus ! J'imagine pas comme il a du souffrir, mais c'est le rôle des putes.

Et là, je sens que le jus commence à monter dans ma teub. Je lui hurle d'arrêter, je me mets debout, et commence à bien branler ma queue au dessus de sa langue tirée au maximum...Et dans un râle de plaisir, je lui lâche dix bons jets de foutre bien chaud dans sa face de connard...

une-bonne-dose-de-sperme-sur-le-visage.jpg

Je crois qu'il a tout bouffé, il s'est même léché le coin des lèvres. Je prends dans mes doigts le reste de foutre qui lui reste sur le visage et lui fait bouffer. Il avale tout ! C'est incroyable. Il est désormais 3 heures passées, faut qu'on dorme un peu. Que ma salope se repose avant demain ! Il ne sait pas encore ce que je lui ai réservé avant son départ à 9h46 mais je suis certain qu'il allait aimer ! Je le conduis donc dans ma chambre, on se mit sur le lit, je lui ai dit qu'il avait le droit de juter sur ma teub, il mit à peine 2 minutes à bander et à jouir ! Je lui ai alors dit que son oreiller était prêt, et qu'il devait biberonner toute la nuit. Il dormira ma teub dans sa bouche, et n'a plutôt pas intérêt à lâcher le morceau.

J'avais mis mon réveil à 7 heures du mat', ça fait peu de sommeil mais c'est pas grave. C'est pas tous les jours que je reçois T. quand même ! J'ai ris en me réveillant lorsque je retrouvai mon p'tit mâle avec son no-nos dans la bouche comme si sa vie en dépendait. J'ai adoré ! Le réveil l'a même pas éveillé, je décidai donc de choisir une solution un peu plus gore. Comme tous les matins, j'avais envie de pisser, et quoi de mieux que de pisser dans un chiottes ? C'est donc tout en douceur que je commençai à pisser et l'effet voulu fut immédiat ! Ma salope fut réveillée direct et faisait le dégouté à limite recraché ma pisse ! L'enculé ! Je me forçai donc à arrêter de pisser et de le foutre sur le dos ! Je plaçai ensuite ma queue dans sa bouche. « Je voulais juste te réveiller de manière originale, mais puisque tu as l'air de ne pas aimer ça, tu vas tout boire ce que je vais te donner ! » Il but toute ma pisse du matin, bien jaunâtre, bien puante. Après cela, on se lève tranquille. On a un rendez vous dans 30 minutes dans des chiottes publics, mais mon esclave ne le sait pas encore. Il pense juste qu'on va se balader avant son train. Il va pas être déçu !

Je lui roulais quelques pèles, puis on alla dans ma caisse et direction mes chiottes publics favoris ! Pourquoi favoris ? Parce que ce sont des chiottes plutôt immenses et qu'on peut fermer à clef. Vous imaginez pas le nombre de plans que j'ai fait dans ses chiottes, et le nombre de jeunes puceaux que j'ai fait hurler ! Cet endroit était à 5 minutes à pieds de la gare, on pose la caisse et on arrive à 8h30 dans les chiottes. Juste à l'heure que je leur avais dit de rappliquer ! Eux ? C'est 2 potes bon quetards, que je connais depuis plusieurs années. Le premier c'est un rebeu, avec une bonne queue bien large et surtout une putain d'odeur de couilles qui me fait monter aux rideaux à chaque fois. Le second, c'est un pote de baise régulier. Je leur ai dit que j'avais une pute à mes ordres, ils ont tout de suite dit O.K. Voilà le plan que j'avais imaginer : mes potes seraient là quand on arrive moi et ma pute, et là on se fait un putain de concours de mollards sur cette salope pour savoir qui l'enculera en premier. Le seul hic : il nous reste qu'une heure ! Alors faudra faire vite.

On arrive donc dans les chiottes, je ferme à clef, qu'on soient pas dérangés, je dis à mon petit bâtard de se positionner à torse poil à genoux contre le mur. On se place alors à environ 3 mètres de mon esclave ! Le jeu est simple : il ouvre grand la gueule et on crache un bon gros mollard à tour de rôle jusqu'à ce qu'un des mecs vise au fond de sa gorge. On commence donc, au bout d'une trentaine de mollards lâchés, c'est Karim qui lui vise au fond de sa gorge. C'est donc à lui que revient l'honneur d'enculer T. en premier. Il lui fait baisser son fût et commence à lui fourrer quelques doigts. Il lui bourre en même temps sa queue dans la gueule afin qu'il bande un max avant de l'enculer. De mon côté, je me fais bouffer la teub par Antoine parce que nous aussi on compte bien se farcir le cul de la pute ! On est dérangé par un bon gros couinement. C'était mon esclave qui se prenait les 20cm de Karim à sec. Il la sentait passé ! Mais je suis sûr qu'il adorait ça. On lui a ensuite rempli tous les trous, Antoine se faisait sucer par ce four à queue et il me suçait en même temps ! S'en est ensuite suivi une double pénétration sur cette salope qui couinait pire qu'une truie ! Ça ne dura pas très longtemps vu que sa bouche était remplie par la 3ème queue encore inoccupée. On changea une ou deux fois de rôles, que nous puissions gouter à tous les trous de cette salope ! On l'a ensuite noyé dans la jute ! Pour un baptême, c'était un baptême ! Il a tout avalé jusqu'à la dernière goutte...C'est limite si il en redemandait pas !

Après avoir remercié mes deux potes, on a pris la route de la gare, on arriva même sur les quais dix minutes à l'avance. C'est à cet instant que j'eus une idée ! Je pris mon T. par le bras et me dirigeai vers le hall afin d'acheter un billet de train pour le weekend end suivant. Sur un même format, de vendredi soir 20h33 au samedi matin 9h56. Sauf que cette fois ci, je monte de Besançon à Paris.

— Tu vois ma salope, c'est un billet pour Paris la semaine prochaine. Étant donné ton potentiel d'esclave, j'ai envie que tu me domines ! Tu auras environ 11 heures pour faire de moi ce que tu veux ! Compris ?

Et je lui collai une baffe dans la gueule. Il a juste approuvé de la tête mes paroles et me roula la plus grosse galoche du siècle.

Par Thekevin25

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Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 10:57

Je pense qu’il a compris, il monta donc les 3 étages à pieds, moi je pris l’ascenseur bien tranquille. J’ouvris donc la porte de chez moi et la fermai à nouveau. T. arriva quelques secondes plus tard, je lui dis de l’ouvrir avec sa bouche. Qu’il avait l’habitude de toute façon de prendre des longs trucs dans sa gorge. Il entra et je lui plaçai un bandeau sur les yeux, c’est beaucoup plus excitant lorsque l’esclave ne sait pas ce qu’on lui prépare !

Je plaçai mon bâtard sur une chaise, accrochant ses jambes aux pieds de celle-ci, afin qu’il ne puisse plus du tout faire de mouvements. Je le laissai là quelques minutes, je regardai cette face de con qui n’attendait que ma bite à renifler et à sucer ! Je commençai par me mettre face à lui sur une chaise. Je lui donner à renifler et lécher mes TN d’abord, puis mes cho7 ensuite. Elles sentaient un truc de malade. Cela fait 5 mois que je porte les même cho7 pour mon footing hebdomadaire ! Imaginez un peu l’état et l’odeur. Il reniflait à plein nez l’odeur de son maître, je lui ordonnai après, de les retirer avec ses dents, chose qu’il n’eut pas de mal à faire ! Ça devait être quelque chose qu’il avait déjà fait ! 61f7a8ddda24e7b207f2c982c48537cb 1024

En 10 ans de bouffage de ieps, il avait dû en apprendre des choses ! Il avait donc désormais accès à mes pieds ! Petite précision, je fais du 45 (pour 1m92, normal) et mes pieds ont toujours pué, depuis que je suis tout petit. C’est un régal pour mon esclave, il couine déjà alors que je ne l’ai même pas encore piné. Ce bouffage de pieds dure pas mal de temps, faut dire qu’il a matière à bouffer cette salope...

Je me lève ensuite et me place au-dessus de lui. Ma teub est à environ 20cm de sa gueule mais il ne le sait pas, je lui dis de mettre sa tête en arrière et d’ouvrir bien grand. Je lui lâche quelques mollards bien glaireux dans sa face de suceuse de bites. Dès qu’un crachat tombe dans sa bouche, il l’avale direct ! Il croit quoi le mec ? Que quelqu’un va lui reprendre ? Ça me fait bien marrer donc je continue encore un peu. Après ça, il est temps de passer aux choses sérieuses : ma teub !

Je défais mon jogging Nike, me reste que mon boxer ! Enfin si on peut encore appeler ça un boxer. Vous savez l’histoire des mes chaussettes, le boxer a la même histoire ! Une putain d’odeur quoi, mais T. l’a déjà senti aux chiottes de la gare. J’enlève aussi mon haut, je suis totalement à oilpé alors que ma salope est encore toute habillée ! Le monde à l’envers quoi ! Je décidai donc de lui retirer son pantalon à la con, ses TN, et ne pouvant lui retirer son T-shirt, je le déchirai pour avoir accès à ses tétons de gamin que j’allais pouvoir bien triturer.

Je lui place alors un sparadrap sur sa bouche, qu’il ait juste l’odorat pour son maître. Je pris donc mon 19 par 6 en main et commençai à me branler un peu. De l’autre main, je plaçais délicatement quelques pinces à linge sur des endroits fatidique de mon esclave (prépuce, tétons et couilles) afin de l’entendre couiner un peu. Ça me fait bander d’entendre des petites salopes comme elles geindre devant un mec d'à peine 22 ans. C’est le kiff absolu ! Entre 2 pinces à linge, je lui colle quelques baffes pour le remettre en place, je ne bande pas encore a fond mais il est temps que je décalotte.

— Respires bien ma salope, ceci est l’odeur du maître que tu vénères.

Je me pose donc à 2 centimètres de sa petite gueule et je décalotte. Putain la masse de sperme et de pisse séché sous mon gland. Jamais j’avais produit autant que ça ! J’en connais un qui va encore se régaler. En tout cas, pendant ce temps là, il plane complètement, il est comme sous poppers...

Après avoir bien respiré mon odeur âcre et forte de mec en chaleur, je retirai le scotch de sa bouche et le bandeau de ses yeux. Fallait qu’il voie ça ! Je retirai aussi une à une les pinces à linge sur son corps. Il avait pour ordre de ne pas lâcher le moindre cri à chaque enlèvement et de me regarder fixement ! Ce qu’il fît, retenant parfois ses cris dans sa gorge. C’était marrant de le voir souffrir intérieurement comme ça.

Les pinces à linge retirées, il était encore attaché à la chaise et il n’avait pas encore vu ma teub décalottée, il n’allait pas être déçu mon T. ! Je lui demandai donc de fixer un peu ma queue. Et je décalottai lentement afin de lui montrer que moi aussi je suis un sacré producteur de from. Ses yeux étaient écarquillés devant tant de from ! Et l’odeur bordel ! C’est difficile de la décrire sur du papier mais c’est plus que fort.

Je récoltai un peu de from sur ma bite que je lui collai dans les narines, qu’il garde mon odeur durant ce plan ! C’est important aussi qu’il se rappelle qui est le maître. Il put donc ensuite goûter à ma teub. Il savait comment sucer notre ami, mais j’allais lui apprendre ma manière. Ma salope me suçait mais n’allait pas vraiment jusqu’au bout ! En fond de gorge, et moi, les gorges profondes me donnaient la gaule plus que tout au monde. Je repris donc les choses en main. Je lui tenais les cheveux d’une main, de l’autre je tenais sa gorge ! Et ma queue était bien enfoncée. D’abord avec des petits mouvements pour l’habituer à la taille de l’engin, puis au bout de quelques minutes, je lui enfonçai complètement ma bite. Quelques fois, il était si enfoncé qu’il était sur le point de gerber !

— Fais pas ta connasse ! T’a du en voir des plus grosses des queues ! Tu va dire quoi quant tu l’aura au fond de ton cul salope ???

Alors il avalait ma queue tant bien que mal, je lui rendis sa tête au bout d’une bonne demi heure de bourrage intensif qui m’avait mis en appétit… J’en voulais désormais à son cul. Je le détachai de la chaise et lui enlevai ce qui lui tenait les mains.

— Tu as dix minutes pour préparer ton cul à ma queue. Dans dix minutes, je t’encule que tu sois prêt ou non !

Je le tirai donc par les cheveux jusque dans ma chambre, et le laissai mariner. Pendant ce temps là, j’avais quelques SMS à envoyer, et je continuai de me branler tranquille sur le canapé au salon. Je décomptais le nombre de minutes qu'il lui restait avant de s'en prendre plein le cul et je lui gueulais ! « 5 minutes », « 2 minutes » et enfin « J'arrive salope ! » J'arrive dans la chambre, il avait quelques doigts dans le boule, je bandais bien fort et j'avais envie de bien lui niquer son cul de tarba…

Je lui dis de se mettre en position comme pour m'offrir son cul. T. se place donc ventre collé au lit avec le cul bien cambré et les jambes à terre...Je plaçai donc mon gland sur son trou déjà bien open, je lâchai un mollard sur ma queue, histoire que j'ai pas mal. Son plaisir à lui, je m'en branle ! Je lui demande si il est prêt, n'attendant même pas sa réponse, je pousse d'un coup de rein et me retrouve totalement enfoncé à l'intérieur de ce mec qui m'avais fait giclé pas mal de fois de ses photos et récits. Capture-d-ecran-2013-05-14-a-12.51.26.jpg  

S'en suit des dizaines de minutes de bourrage de cul en règle. Je le faisais changer de positions. Allongé face contre terre et mon pied droit sur sa gueule, debout contre le mur, à 4 pattes comme la chienne qu'il est ! Et tellement d'autres. Je m'arrêtai à un moment au bord de la jouissance. Mon esclave était en sueur, moi aussi d'ailleurs. On alla prendre une douche ensemble pour nous rafraîchir !

Vous vous doutez bien que cette salope s'est directement foutu accroupi dans la douche afin que je lui pisse dessus. Ce que j'ai fait. Cette pute ce mec, j'ai rarement vu ça je vous jure. On prend une douche bien tranquille, ce qui nous permet de parler un peu. Il me raconte qu'il a rarement vu un mec comme moi, qui le domine et l'humilie autant que ça. D'habitude il est plus actif mais là, rien qu'en voyant ma queue, il a envie de se foutre à genoux. Je lui raconte que je le kiffe trop en tant que petite salope soumise, et que c'est un des meilleurs bâtards qu'il m'a été donné de larver ! Trêves de confidence, j'avais toujours pas juter et faut que je lui englue la face...

[A SUIVRE]

Par Thekevin25

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 13 mai 3 13 /05 /Mai 10:43

    J'ai rencontré une petit lope que je nommerai T. sur le net il y a quelques mois. On a vite tissé des liens. On s'est balancés des défis tous plus hards et humiliants les uns que les autres, que ce soit chez soi ou à l'extérieur. Et un jour, on décida de se voir en réel...

Le premier défi que je lançais à ma salope le 15 août était plutôt simple, il fallait que je vois sa motivation, que je vois à quel point il avait envie que je le domine, que je sois son maître. Je lui ai donc demandé de me montrer sa sale queue bien fromageuse, pissant dans un verre à pied sa pisse bien fumante, dégoulinant de partout, et d'ensuite y plonger sa bite, ses burnes et finir par boire ce breuvage de pisse et de from (peut-être le meilleur cocktail au monde) en entier. fromtonboy.jpg

   Photos à l'appui, mon T. a effectué toutes les tâches demandées... Comme la bonne salope qu'il est ! J'en attendais pas moins de lui !

Pour le récompenser, je lui ai donné le droit de me filer un défi que je réaliserai en une semaine mais en contrepartie, il devait réaliser mon deuxième défi. Et là, on a placé les barres très hautes...

 

J'avais pour défi de me rendre en forêt, skets au pieds, habillé comme une tepu, pas de boxer comme la p'tite lopsa que je suis. Je devais ensuite me foutre à oilpé, sniffer mes aisselles, mollarder sur ma queue, montrer mon trou à jus surplombé du mot "LOPE" à 4 pattes dans les herbes, pisser sur mon boxer, le bouffer, me crader de boue sur le corps puis de juter sur un tronc et bouffer ma dèche. Nan, il ne m'a pas loupé sur ce coup-là ! Mais pour lui montrer la putain de chienne que je suis, j'ai tout fait ce qu'il m'a dit, fait toutes les photos demandées par mon master que je surkiffe...

 

Mon défi pour lui était de se rendre chez un de ses potes, d'aller dans son garage et de faire la pute dans sa bagnole. Je lui ai obligé : des plans de son cul de tapette sur le capot, d'autres à l'arrière de la caisse, des pinces à linge sur sa pine de fiotte, d'engouffrer le levier de vitesse dans sa bouche, de se baillonner et encorder dans le coffre de la bagnole, de foutre sa sale queue dans le pot d'échappement, de se crader ensuite le corps avec le noir de moteur, et enfin de juter sur le tableau de bord avant de tout bouffer son foutre dégueulasse. Cette pute a fait tout ce que je lui avait demandé. J'étais abasourdi !

 

Ces photos nous ayant grave excité, nous voyant très obéissants l'un l'autre, on a de suite organisé une rencontre en réel... J'ai invité T. en mes contrées pour une soirée et nuit de folie. Son train arrivera à 19h37 et repartira le lendemain à 9h46, nous étions lundi et la rencontre était prévue pour samedi. Cinq jours pour me crader, cinq jours pour remplir des bouteilles de ma pisse bien jaunâtre du matin, la plus forte, cinq jours avant de donner à T. une leçon qu'il ne sera pas prêt d'oublier... Je me préparai donc toute la semaine en vue du samedi de folie qui m’attendait ! J’avais un esclave à la maison !

 

On avait donc pris rendez-vous à la gare vers 19h40, il arriva juste avec un sac. Il portait une tenue de racaille bien kiffante avec ses TN encore plus pourraves que sur les photos. Une p’tite gueule de bâtard et une bonne odeur dès que je m’approchai à deux mètres de lui. Je fais facile une tête de plus, ça va être bien cool pour l’engrosser ! Je lui décrochai vite fait un sourire et je lui dis que j’ai envie de pisser… Il comprend de suite cette petite pute ! Direction les chiottes de la gare où traînait une putain d’odeur de pisse et de merde mélangée monumentale. Je le traînai dans une grande cabine où on prendra bien le temps de s’amuser.

 

douche-doree-gay.jpg

  Je lui dis de s’asseoir sur les chiottes ! « Maintenant, tu vas tout boire ce que je t’envoie dans la gueule ! En même temps, je m’en branle, c’est pas moi qui sortirai de la gare couvert de pisse et puant si tu bois pas tout ! » Il tendit donc sa putain de langue et moi je sortis mon steak bien fumant. Vous imaginez pas l’odeur de ma queue les mecs ! Cinq jours sans lavage, à environ 3 branles par jour, c’est impressionnant ! À vivre au moins une fois dans sa life ! Le p’tit T. n'est pas du tout effrayé par l’odeur, il est tellement habitué à se prendre des bitos fumants. Et donc, là je m’approche de sa bouche et je commence à lui foutre de bons jets bien épais de pisse dans sa face. Il essaie de tout avaler cette salope mais il y a quand même quelques gouttes qui tombent sur son survêt’ à ce con. Tant pis pour lui ! C’est pas mon problème… Il a évidemment interdiction de toucher à ma teub ! C’est réservé pour plus tard et seulement si ce connard est sage !

On sort ensuite des chiottes et de la gare. Il est 20h30, il fait évidemment nuit mais il fait encore bon dehors. On se dirige alors vers ma caisse parce que j’habite à 20 minutes de la gare. Et à pieds, c’est un peu chaud, quoique ma p’tite salope le ferait rien que pour moi ! Vous vous doutez bien de ce qui va se passer. On a 20 minutes de route, on passe par une forêt, trop de choses me viennent dans la tête ! On monte donc tous les deux dans ma voiture, lui côté passager, je lui demande si il a fait ce que je lui ai demandé. En effet, il avait obligation de ne rien porter en dessous sous ses fringues. C’était le cas, je lui demandai donc de retirer son bas de jogging pour la route, de toute façon, on s’arrêtera en chemin ! Il fit donc ce que je lui dis ! Il bandait cette petite connasse, je pris donc ses couilles et les serrai bien fort pour lui montrer un peu qui était le chef ici !

 

  Je démarre la bagnole, et fait environ 10 bornes, de temps en temps, je me trompais par inadvertance entre le levier de vitesse et la petite teub de ma salope. Je lui serrai bien pour entendre un cri qui me faisait tripper. Il couine comme une chienne ma parole. Durant ces dix bornes, je lui ai également dit de respirer mon odeur de queue, il s’est donc penchée et humait l’odeur de mes boules et de mon zob.

Arrivés vers la forêt, il y avait peu de circulation par ici, on était vendredi soir, il était 20h passées et personne à l’horizon. Je descendis donc de la bagnole et dis à mon esclave de faire de même. Je vous rappelle qu’il porte seulement un T-shirt, une veste et ses TN. Et il s’amène tranquille, l’air de rien. Il a peur de rien ce mec. On avance donc un peu dans la forêt, pas très loin, ça sert à rien. Là je demande à cette salope si elle a pas envie de pisser, elle me répond que ouais ! Là je lui en décroche une qui le met à terre ! On dit : « Oui, maître, on t’a pas appris à répondre ça à l’école des salopes soumises en manque de teubs odorantes en permanence ? » Je lui dis de se relever, je lui explique ce qu’on va faire. Puis le laisse debout devant moi. Je me baisse alors au niveau de sa queue, ce sera la seule fois où il me verra de haut. Il a pour mission de pisser de façon à ce qu’une fois ma bouche pleine de sa pisse, je puisse lui redonner directement dans sa bouche. Je fis donc une dizaine de voyages de sa teub à sa bouche, il adorait ça ! Il en redemandait. Mais quelle pute !

 

T. m'avait dit que sa queue cachait toujours une bonne couche blanchâtre de fromton. Alors pour vérifier cela, je me baisse une dernière fois, décalottai sa queue puante et pris dans ma bouche tout le from accumulé de la semaine ! L’enculé, il se fout pas de nos gueules ! Sa queue est une vraie machine à from ! Impressionnant ! Toute la masse blanche et odorante en bouche, il sait ce qu’il va devoir en faire. Il ouvre donc sa gueule de bâtard, et je lui recrache dedans. « Montre moi ce from ma salope ! » Il ouvre bien grand sa bouche. « O.K, alors t’avales surtout pas, il reste environ 10 minutes de route, tu vas monter dans le coffre de la bagnole et arrivé chez moi, tu devras être habillé et me montrer tout ce from que t’auras gardé bien férocement dans ta bouche ! » Il me fait un oui de la tête, il ne peut faire que ça de toute façon. Je le fais donc monter dans le coffre bien tranquillement et lui balance son pantalon qui va, j’en suis sûr, en chier pour l’enfiler dans le noir et dans le coffre. Je teste un peu son potentiel de salope.

Je suis pas sympa, je prends des petites routes, avec des bosses, des trous pour que ma salope se sente bien dans son rôle de soumise. Et dire qu’il doit garder son from dans la gueule. On arrive 10 minutes plus tard dans mon bled de banlieue, je rentre la bagnole dans mon garage perso puis referme la porte. Je vais ensuite ouvrir le coffre à ma pute. Il se lève, il est habillé le pantalon à l’envers, ce qui lui vaut un bon coup de point dans le ventre, ce qui à pour effet de lui faire cracher tout le from qu’il conservait depuis un quart d’heure. Heureusement pour sa gueule, il n’a pas craché sur moi. C’est tombé directement sur le béton du garage. Je lui fais donc nettoyer sa merde et avaler. Il avale ça comme une chienne avec son regard qui mérite bien plus de fromton ! Je lui accroche ensuite les mains dans le dos et lui dis de monter les escaliers. J’habite au troisième.

Il est environ 21h, et mon p’tit esclave est paniqué au fait de croiser quelqu’un, menottes au poignet. « Même si tu croisais une bande de petites racailles, ils te feront le cul, rien de plus, t’aimes ça donc arrête de baliser salope ! Alors maintenant monte, sinon c’est un doberman qui te montera dans la soirée… »

[A SUIVRE]

Par Thekevin25

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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
  • gay sm fétichiste deprave sciences
  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

Présentation

  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : gay porno
  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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