X-toireS

Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 11:14
  • J’ai compris Maître. Je vais Vous obéir et Vous respecter. Je Vous le jure.

     

    Il reçut alors une autre taloche tout aussi puissante.

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  • Mon nom, c’est Master. As-tu compris maudit chien sale?

     

  • Oui Master. Pardon Master.

     

    -           C’est mieux comme ça. Maintenant je vais commencer à m’amuser et dis-toi bien que les heures qui vont suivre vont consister essentiellement à me satisfaire pleinement et à me faire jouir.

     

    Après une séance de léchage de bottes où le slave fit de son mieux pour retrouver les bonnes grâces du Master, celui-ci ordonna au slave de se positionner, les mains en l’air, au-dessus de deux crochets situés au plafond. Il attacha les mains du slave au plafond et il lui entrava les jambes avec un manche à balai, en les écartant au maximum. Il revêtit le slave d’une cagoule sans ouverture et se mit à le fouetter de plus en plus fort. La flagellation cessa brusquement et il sentit que la fermeture-éclair de la cagoule s’entrouvrait légèrement. Il sentit alors une odeur de cigare et de pot qui envahissait la cagoule. La cagoule fut refermée brusquement et le slave fut obligé de respirer à fond ces émanations. Une sensation d’engourdissement et de bien-être le gagna et c’est sans douleur qu’il ressentit un objet qui commençait à pénétrer son anus. Le Master s’amusait à ramoner le cul de son slave avec des butts et des dildos de plus en plus gros. À plusieurs reprises, le Master obligea le slave à inhaler sa fumée secondaire, tandis qu’il entrecoupait les séries de fouet avec des pénétrations de dildos. Il s’amusa même à pétrir sa peau avec une petite roulette dentelée qui le mettait dans un état d’inconfort extrême. Voyant que le slave ne semblait pas apprécier ce genre de caresse, il la prolongea encore de quelques minutes.

     

    Le Master installa finalement un butt plug dans l’anus du slave. Il le détacha et le conduisit près d’un banc où il l’obligea à s’agenouiller. Il entra alors son pénis de force dans la gueule du slave et lui ordonna de le lécher, puis de le sucer. Le slave suçait et s’efforçait de faire plaisir au Master au maximum, pour lui démontrer sa soumission totale. Après plusieurs minutes de léchage de couilles, de léchage de queue et de suçage effréné, le slave put enfin goûter avec plaisir au sperme du Master qui se répandait dans sa bouche. Le slave avala avec régal ce suc de Master.

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    Après la jouissance du Master, le slave pensait que tout était terminé pour la soirée et qu’il pourrait enfin rentrer chez-lui. Mais le Master avait d’autres plans en tête. Sans attendre, il réinstalla le slave les mains attachées au plafond et se mit à jouer de plus en plus fort avec ses couilles tout en le masturbant. Comme se faire tirer les couilles et se les faire écraser était une des jouissances préférées du slave, celui-ci ne tarda pas à éjaculer entre les mains expertes de son Master. Cette fois-ci, le slave pensait vraiment que tout était terminé, mais il se trompait encore une fois. Le Master n’entendait pas finir sitôt et, après un bref moment de repos, il entreprit de prolonger la séance de torture pour une autre heure. Le slave ne pensait pas qu’il serait capable d’apprécier ce prolongement après avoir joui. Mais petit à petit, habilement, très doucement, le Master réussit à remettre le slave dans un état d’excitation qui le conduisit à vouloir encore une fois faire plaisir au Master au maximum. Celui-ci s’amusait à se faire sucer et à parvenir au point de jouissance. Il arrêtait alors le processus pour quelques minutes et recommençait à se faire sucer pour arrêter encore une fois au seuil de la jouissance.

     

    Vint enfin le moment où le Master décida de mettre fin à la séance. Il ordonna au slave de se coucher sur une étroite banquette. Il attacha solidement le slave aux mains et aux pieds et lui ordonna de dormir jusqu’au lendemain matin. Cependant, deux fois durant la nuit, le Master réveilla le slave sans ménagement et le força à le sucer jusqu’au point de jouissance, mais sans éjaculer.

     

    Finalement, le lendemain matin, vers 5 heures, le Master détacha son slave, le fit s’agenouiller devant lui et lui ordonna de finir le job qu’il avait commencé la veille. Le slave entreprit donc d’avaler le pénis en érection du Master et de le sucer avec frénésie. Très rapidement, il sentit la respiration du Master s’accélérer et goûta encore une fois le jus de Master au fond de sa gorge.

     

    Sans ménagement, le Master ordonna alors froidement au slave de se rhabiller et de quitter les lieux.

     

    -           Tu pues et je trouve que je t’ai assez vu. Dehors, pis vite à part de t’ça!!!

     

    Confus et consterné, tout ce que le slave réussit à dire pour garder une certaine contenance fut :

     

    -           Sans même un café?

     

    Voyant que le Master n’avait absolument pas le goût du sarcasme, Michel, maintenant connu sous le nom de Trou-sale2, quitta en vitesse le domicile du Master. C’est ainsi que se termina la séance de correction d’un slave jadis baveux et arrogant.

 

FIN

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 11:05

Maurice relisait pour la troisième fois le courriel qu’il venait de recevoir. Un slave avec qui il avait échangé sur Recon le blâmait pour ne pas l’avoir reçu pour une séance de SM, malgré le fait qu’ils s’envoyaient des messages depuis trois mois. De plus, il le ridiculisait de façon outrancière pour provoquer sa colère : il se moquait de son nom et de ses parents qui lui avaient donné un tel nom. Maurice n’en revenait tout simplement pas de l’outrecuidance de ce petit morveux qui se permettait de le juger sans même véritablement le connaître.

 

Après avoir rageusement flushé le courriel, il décida qu’il allait se venger, de façon terrible et sans pitié. Le tout était d’attirer sa proie chez lui. Après avoir mûrement réfléchi, il lui semblait que la façon la plus simple de procéder était de jouer faussement au gars contrit qui voulait s’excuser. Il répondit donc au courriel où il «s’excusait» des délais qu’il avait mis à le rencontrer et où il proposait de prendre un café ou une bière pour s’expliquer. Il laissait même à Michel le choix du lieu du rendez-vous.

 

Comme Maurice s’y attendait de la part d’un gars qui est slave de la tête aux pieds, malgré ses velléités d’arrogance, Michel répondit qu’il acceptait de le rencontrer dans un café de Neuville, le vendredi soir suivant. Le piège commençait à fonctionner. Le vendredi, à l’heure du souper, Maurice téléphona à Michel pour dire que malheureusement il ne pourrait se rendre à Neuville, car il avait été obligé d’entrer sa voiture au garage pour une réparation au radiateur. Naturellement, Michel offrit à Maurice d’aller le prendre à la maison. Ce que ce dernier accepta tout aussi naturellement. Le piège se précisait.

 

Michel se présenta chez Maurice vers 19h30 tel que convenu. Il sonna à la porte. Après quelques instants d’attente, la porte s’ouvrit et il pénétra dans la maison. Le piège venait de se refermer. Il n’était pas sitôt entré qu’il fut saisi violemment par le cou, tandis qu’on lui appliquait un linge imbibé de chloroforme sur le nez. Quand il se réveilla, il constata qu’il était dans un donjon, qu’il avait les poignets attachés dans des menottes suspendues au plafond et que ses orteils touchaient à peine le sol. Il avait un fouet en travers de la bouche qui était maintenu par trois couches de duct tape. Il commença à se démener et à tirer sur les menottes, mais peine perdue : il lui était impossible de s’enfuir. Il entendit alors quelqu’un qui descendait un escalier.

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Malgré le peu de clarté qui régnait dans le donjon, il réussit à voir clairement un homme vêtu entièrement de cuir et dont le visage était recouvert d’une cagoule. Il percevait avec terreur des yeux cruels qui le dévisageaient avec mépris. Le Master enleva sans ménagement le fouet de la gueule du slave, en prenant bien soin d’arracher le plus de cheveux possible durant l’opération. Il vint se positionner en face du slave et se mit à tracer des signes sur sa peau avec un crayon feutre noir. Le Master dit alors au slave :

 

-           Je viens d’écrire ton nom sur ta poitrine de slave sale : tu vas désormais t’appeler «Trou-sale2». Trou-sale2, car tu as la bouche et le cul puants!! Es-tu content du nom que j’ai la bonté de te donner?

 

Le Master reçut alors en plein visage un crachat visqueux qui s’étala sur sa cagoule et ses yeux. Celui-ci, après un court moment de surprise, répliqua par un crachat encore plus gluant qui recouvrit la face du slave. Il lui administra une série de gifles et lui redemanda s’il était content de son nom de slave. Le même scénario du crachat se reproduisit, mais cette fois le Master ne se laissa pas désarçonner. Il administra une volée de coups de matraque sur les cuisses et les fesses du slave et vint se replacer devant lui. Il lui expliqua alors qu’il allait recevoir sa correction pour toutes les insultes contenues dans le courriel qu’il avait reçu il y a quelques jours. Il se déplaça derrière le slave et se mit à le rouer de coups.

 

Il lui administra d’abord dix coups de fouet pour s’être moqué de son nom et lui ordonna de demander pardon. Après un moment de silence et quelques coups de bâton bien sentis, il entendit le slave qui murmura :

 

-           Pardon Master de m’être moqué de Votre nom.

 

Le Master se munit alors d’un fouet à lanières plus longues et dit au slave qu’il allait lui en administrer dix coups pour avoir ridiculisé ses parents. Les coups commencèrent à voler. Ils étaient plus durs à supporter car les lanières s’enroulaient jusqu’au devant du torse et le frappaient avec un pincement à la limite du supportable. Au bout de dix coups, le Master obligea le slave à lui demander pardon pour s’être moqué de ses parents.

 

-           Pardon Master de m’être moqué de Vos parents.

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Le Master se déplaça alors jusqu’au fond du donjon et en revint avec une palette de bois comportant des trous de deux centimètres. Il en administra dix coups sur les fesses du slave.

 

  • Çà, c’était pour m’avoir traité d’agace-pissette. Tu vas t’en souvenir quand tu vas t’asseoir durant les15 prochains jours. Tu vas maintenant me demander pardon de m’avoir traité d’agace-pissette.

     

  • Pardon Master de Vous avoir traité d’agace-pissette.

               

    Le Master disparut encore une fois au fond du donjon et en revint avec une cane de bambou. Il se plaça devant le slave, lui montra la cane de bambou et lui dit qu’il allait en recevoir dix coups pour l’ensemble du ton du message qu’il lui avait fait parvenir et pour lui enlever à jamais le goût de recommencer. Il lui administra les dix coups de bambous et ordonna encore une fois au slave à demander pardon. Celui-ci était au bord des larmes et c’est d’une voix chevrotante qu’il demanda pardon au Master pour le courriel qu’il lui avait fait parvenir.

     

Après ces quarante terribles coups de correction, le Master expliqua au slave qu’il allait le détacher pour le conduire à un sling situé au milieu de la pièce. Le Master n’avait pas sitôt enlevé les menottes, que le slave en profita pour effectuer une ultime tentative de s’enfuir. Après un court moment de surprise, le Master réussit facilement à avoir le dessus sur le slave qu’il précipita au plancher en lui administrant une gifle magistrale qui l’immobilisa sur place. Alors le slave capitula et fit acte d’obéissance au Master.

 

[La Suite la foiS prochaine]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 17 janvier 6 17 /01 /Jan 11:09

Je m'appelle Sébastien, j'ai 25 ans et je suis Normand. Mon histoire s’est déroulée cet été,  un soir où j'avais invité un pote à la maison.


  

Marc a 25 ans aussi. Nous nous connaissons depuis longtemps mais il ne sait pas que je suis homo.


 

 La soirée s’est très bien passée. C’était des retrouvailles de vacances. Bref tout allait bien et ça s’est prolongé autour d’une bonne bouteille de whisky du coup, je lui ai proposé de dormir chez moi.


Il a accepté. On est resté discuter jusqu’à 3-4h du matin et on s’est couché. N’ayant qu’un seul lit deux places, Marc  s’est couché avec moi.


Il s’est rapidement endormi. Je crois qu’il était fatigué de notre soirée. Le  whisky n’y était sans doute pas pour rien.

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Une fois couché, et n’ayant pas pu me taper une bonne branle avant de m’endormir comme à l’accoutumé, j’ai commencé à imaginer des choses que j’aurais pu faire avec lui tout en étant incapable de lui demander.


J’ai donc profité qu'il se soit endormi pour m’aventurer un peu. J’ai glissé ma main vers lui, de manière totalement anodine, en le touchant doucement pour voir s’il dormait profondément. J’ai senti aucune réaction  alors j’ai décidé de passer ma main entre ses jambes pour essayer de trouver sa queue.


Je bandais comme un taureau. Ma bite mouillait et imprégnait le tissu de mon caleçon. J’essayais de respirer doucement mais l’excitation accélérait ma respiration.


Je suis assez facilement parvenu à atteindre son calbut à travers lequel je pouvais sentir la protubérance de son sexe au repos. J’ai commencé à le caresser à travers le tissu. Il n’y avait toujours aucune réaction de sa part si ce n'est que sa bite me semblait gonfler petit à petit.


C’était très excitant, Marc dormait et il commençait à bander sous mes caresses légères.


J’ai continué mes mouvements avec ma main droite et de l'autre je me caressais moi aussi la bite. Elle mouillait de plus ne plus et était très sensible. Mon sousvet et mes poils étaient trempés.


J'ai réussi en m’aidant de mes deux mains à retirer les deux boutons de son caleçon et à sortir tant bien que mal, de peur de le réveiller, sa queue qui gonflait encore.


Il était maintenant au garde-à-vous. Son sexe sortait fièrement en érection de son interstice de caleçon et je pouvais la sentir agréablement avec mes doigts sous les draps. Je me suis mis à le branler tout doucement. Son sexe était chaud avec un gland bien dur. Hummm.


J’ai longtemps hésité, par peur d’être grillé mais au bout d’un moment j’ai passé le cap et je me suis glissé sous les draps, j’ai approché mon visage de sa bite. Marc semblait dormir profondément ou peut-être faisait-il semblant…


Je me suis approché de son chibre dressé pour le sucer. Tout doucement, sans jamais faire de geste brusque, j’ai pris son gland entre mes lèvres humides. J’ai commencé à lui faire une fellation délicieuse en prenant toujours plus sa bite dans la bouche.


Elle était bonne ! ! Je me branlais en même temps et je sentais que j’étais prêt à jouir. Ma queue était prête à exploser !


J'ai arrêté de m’astiquer pour ne pas éjaculer trop vite et j’ai osé prendre sa queue avec mes deux mains pour le branler en même temps que je le suçais...


Je décidais de lui enlever son caleçon en me disant qu’au point où j’en étais, je ne risquais plus grand-chose mais ce n’était pas une mince affaire. J’ai simplement réussi à lui descendre à mi-cuisse ce qui a permis de laisser apparaitre sa belle queue raide avec une touffe de poils pubien et une paire de couilles imberbe !


Il ne bronchait toujours pas ! Je pensais qu'il faisait mine de dormir et qu'il n'osait pas me dire qu'il aimait ça...


J’ai continué à le sucer car sa queue avait vraiment un super goût et j’étais accroc. D'un coup, j’ai senti sa bite se mettre à pulser et un liquide chaud est venu me parcourir la gorge ! Il avait joui ! ! C’était fabuleux. J’ai goulument avalé son sport.


J'aurais tellement aimé qu'il ne dorme pas pour qu'il me mette sa queue dans le cul !


N’en pouvant plus, je me suis donc branler jusqu'à jouir à mon tour. Je m'imaginais en train de me faire limer le cul par cette superbe queue que je venais de sucer.


J’ai rapidement joui à mon tour et j’ai léché mon propre sperme pour ne pas laisser des traces qui auraient pu interpeller Marc le matin...


J’ai fini par m'endormir, heureux mais avec un peu la déception qu'il ne se soit pas réveillé pendant que je le suçais, je suis sûr qu’il aurait adoré.


Le lendemain matin, je lui ai demandé s'il avait bien dormi, il m’a répondu qu’effectivement la nuit s’était bien passé et il m’avouait en rigolant qu’il avait rêvé d'une super nana qui le suçait et que ca avait dû lui foutre la gaule quand il dormait...


Et si cette nana... c'était moi ? ! Enfin, je crois que je ne le saurais jamais !


Seb

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : Gay
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Lundi 22 décembre 1 22 /12 /Déc 10:03

[Suite de l’histoire…]

 

Marcel revint le vendredi soir avec le peu de biens qui lui appartenaient, à savoir une télé (son seul objet de luxe), des sacs verts remplis de divers objets comme des articles de toilettes, ainsi qu’une mince valise contenant des vêtements. C’est sans regret et sans un regard en arrière qu’il pénétra dans la maison.

 

MaîtreAlain lui souhaita officiellement la bienvenue, lui ordonna d’enlever ses vêtements et de s’agenouiller. Il lui installa un collier de cuir autour du cou en lui précisant que c’était le seul vêtement qu’il lui serait permis de porter dans la maison. Il lui expliqua alors les consignes qu’il devrait suivre à l’avenir.

 

-           A l’intérieur, tu dois conserver une attitude constante d’humilité et de soumission. Tu ne parles que lorsque tu en as reçu la permission explicite. Tu ne me regardes jamais dans les yeux. Tu regardes à terre même quand je te parle. Tu es constamment à mon service pour exécuter les tâches ménagères et les menus travaux sur le terrain. Si le travail n’est pas fait à mon entière satisfaction, tu es puni. Tu as des questions?

 

-           Non Maître. Merci Maître.

 

-           À l’extérieur de la maison, la consigne d’humilité et de soumission est encore plus stricte. Quand je te donne la permission de sortir seul, tu portes, en plus de ta cage de chasteté, une chaîne symbolique au cou pour te rappeler ton état d’esclave. Quand nous sortons ensemble, tu marches toujours à ma gauche, un demi-pas en arrière de moi pour bien marquer ton état de soumission. Si nous rencontrons des amis, tu ne prends la parole que si je t’en donne la permission. Si nous allons dans un bar, tu t’assois à terre, à mes pieds. Et comme boisson, tu n’as le droit de boire que ma bière recyclée, pour bien montrer mon droit de possession à ceux qui nous entourent. Tu as des questions?

 

-           Non Maître. Merci Maître.

 

Alors commença pour Marcel un long processus de dressage physique et mental. Le dressage physique prit évidemment la forme de punitions diverses, incluant surtout le fouet. Mais il prit aussi l’aspect d’un entraînement physique intensif. MaîtreAlain confia son jeune esclave à un de ses amis expert en conditionnement physique. Sous sa gouverne, Marcel perdit rapidement son excédent de graisse à la taille et au ventre. Ses muscles s’affermirent et prirent une belle définition. Ses pectoraux furent mis en valeur et ses abdominaux se transformèrent en planche à laver. Il aurait pu poser pour des réclames de films pornos… ou des calendriers de pompiers! L’entraîneur faisait des rapports hebdomadaires à MaîtreAlain, de telle sorte que ce dernier pouvait stimuler son slave par des récompenses ou des punitions adéquates.

 

Mais MaîtreAlain avait d’autres visées pour son boy. Après l’aveu de Marcel à l’effet qu’il n’avait pas obtenu son diplôme de fin d’études secondaires, il l’obligea à s’inscrire à des cours du soir afin de terminer son secondaire V. Encore là, il fut aidé par un ami de MaîtreAlain qui lui servit de mentor et qui, à l’instar du Maître de conditionnement physique, faisait des rapports sur l’avancement de son élève.

 

Une fois par semaine, MaîtreAlain procédait à l’évaluation récapitulative de son boy, en faisant le cumul des manquements et des progrès qui lui avaient été rapportés, pour passer ensuite aux punitions ou aux récompenses.

 

Les punitions étaient infligées immédiatement après le rasage hebdomadaire. Elles étaient intégrées à de longues séances de torture et d’exercices d’humiliation et de soumission. C’est au cours de ces séances que Marcel avait appris à supporter les chocs électriques sur les couilles, les aiguilles dans les seins, la cire chaude sur tout le corps, ainsi que les diverses sortes de fouet. C’est également au cours de ces séances qu’il en était lentement venu à boire avec goût la pisse du Maître et à obéir immédiatement et à la lettre aux commandements du Maître, sans se poser de questions.

 

Mais il y avait aussi les récompenses. Elles pouvaient prendre la forme de permission diverses, comme le cinéma, ou le plaisir de regarder la télé en compagnie de son Maître. Ce pouvait également être des jouets, comme un nouveau collier, un nouveau butt plug ou des dildos de plus en plus longs et de plus en plus gros pour le préparer progressivement à accepter avec plaisir le poing du Maître dans son anus de boy. Mais les jouets dont Marcel était le plus fier étaient les bijoux que son Maître lui avait offerts. Il y avait d’abord eu les anneaux permanents aux seins et, ensuite, le Prince Albert qui lui avait été installé à froid lors d’une séance intense de torture du gland et de la verge.

 

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Cette période dura un peu plus d’un an. Marcel put enfin s’inscrire à un cours de mécanique spécialisée dans la réparation des motos. C’était le désir qu’il entretenait depuis qu’il avait vu les bolides dans le magasin dont son Maître était le propriétaire.

 

Durant tous ces mois, Marcel eut la permission d’éjaculer quatre fois : une fois masturbé par son Maître après une séance intense de fist. Et trois fois dans la bouche ou l’anus de Phydo.

 

Phydo était un chien. Un chien humain appartenant à MaîtreS. Quand MaîtreS rendait visite à MaîtreAlain, une hiérarchie s’établissait ainsi : les deux Maîtres en haut de la pyramide de commandement, le boy, et enfin le chien qui avait été dressé pour répondre aux désirs de tous, selon le commandement du Maître. Cet humain blasé pouvait ainsi vivre selon sa véritable nature de chien obéissant. Quand il en obtenait la permission, Marcel pouvait jouer avec ce chien et lui demander tout ce qu’il voulait. La permission était rare, mais il en profitait pleinement.

 

Tout s’était donc déroulé dans le meilleur des mondes pour Marcel jusqu’à la crise financière survenue en 2008. Un soir, MaîtreAlain avait déclaré à son boy que son entreprise de vente de Harley Davidson périclitait et que l’argent commençait à manquer. Pour arrondir ses fins de mois, il lui déclara qu’il devrait à l’avenir louer ses services à d’autres Maîtres. Marcel se rendait donc de plus en plus souvent chez les Maîtres en question et ramenait l’argent à la maison. Ces rencontres, marquées au sceau de la brutalité et de l’humiliation, étaient pour la plupart du temps exemptes de plaisir.

 

Ce type de rapports imposés dura jusqu’au mois de mars 2009. Et alors le ciel lui tomba sur la tête et tout bascula dans l’horreur. Un vendredi soir, MaîtreAlain annonça à Marcel qu’il venait d’être inscrit sur un marché clandestin de vente d’esclaves pour pouvoir renflouer son commerce menacé de faillite. Habitué à tout accepter sans protestation, Marcel ne laissa rien voir à son Maître de son désarroi et du désespoir qui s’installait en lui. Une semaine plus tard, son Maître lui révéla qu’il avait été acheté par deux personnes propriétaires d’un donjon privé. Il s’agissait en fait de deux avocats bien connus pour leurs prises de position publiques anti-gay et comme étant les champions de la famille et des valeurs morales traditionnelles. Mais, de fait, il s’agissait de deux crapules qui menaient une double vie et qui, secrètement, tenaient des orgies SM privées fréquentées par des professionnels ou des industriels argentés. En entendant ces détails scabreux, Marcel songea sérieusement à mettre fin à ses jours.

 

Le lundi qui suivit, trois étrangers se présentèrent à la maison. Il s’agissait des commissionnaires chargés de prendre livraison de Marcel. On lui administra un sédatif et il tomba dans un profond sommeil.

 

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Quand il se réveilla le lendemain matin, il était attaché solidement à une table. Il ne pouvait bouger, n’était-ce que d’un millimètre, ni la tête, ni le torse, ni les jambes ou les bras. La pièce où il se trouvait était sombre, mais il aperçut un mastodonte portant cagoule et qui tenait dans les mains une tige de fer. Il le vit s’approcher d’un brûleur au gaz et présenter le bout de la tige devant la flamme. Celle-ci devint rapidement d’un rouge blanchâtre. Le tortionnaire laissa la tige sur le brûleur et vint se placer près de la table. Il revêtit les yeux de sa victime d’un bandeau.

 

Marcel ressentit tout à coup une sensation de brûlure intense au haut de la cuisse. Un cri semblable à celui d’une bête qu’on égorge s’échappa de ses entrailles, tandis qu’une odeur de viande brûlée envahissait toute la pièce.

 

Pendant qu’on retirait le bandeau qui recouvrait ses yeux, il entendit alors une voix qu’il ne pensait ne plus jamais entendre.

 

  • Félicitations boy. Tu as passé les épreuves des dernières semaines à mon entière satisfaction. Je voulais voir jusqu’où pouvait aller ton obéissance. Je n’ai jamais eu de problèmes financiers. Je ne t’ai jamais loué ou vendu à qui que ce soit. Tout cela faisait partie d’une mise en scène impitoyable pour pousser encore plus loin ton obéissance et ta soumission. Tu n’as pas été marqué au fer rouge non plus. J’ai tout simplement appliqué un «ice pack» sur ta cuisse pendant que mon ami cagoulé appliquait un fer rouge sur un morceau de viande. Comme je l’avais prévu, tu as confondu la sensation de froid intense avec la sensation de brûlure.

     

    Alors Marcel fut submergé de bonheur. Malgré les larmes qui l’aveuglaient, il lécha la main de son Maître qui lui caressait le visage et entra en érection. Lentement mais à un rythme de plus en plus accéléré, le Maître se mit à masturber son boy complètement immobilisé. Petit à petit, la respiration du boy devint haletante et les spasmes de la verge furent suivis d’un jet de sperme puissant qui gicla longuement dans les airs pour retomber sur sa poitrine. Ce jet initial fut suivi d’autres coulées importantes, quoique moins prononcées. Alors, le Maître recueillit du sperme encore chaud pour le déposer, comme un baume, sur les lèvres de son boy.

     

    -           Tu as franchi une étape importante mon boy. Si tu restes dans cet état d’esprit, on a de merveilleuses années devant nous…

     

    -          Merci mon vénéré Maître.

     

    FIN

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 10:58

Quand Marcel était sorti du Centre d’accueil à l’âge de 18 ans, il ne connaissait absolument rien de la vie. Aussi loin qu’il se souvienne, il n’avait jamais connu de parents qui l’aimaient véritablement. Il ne comptait plus les familles d’accueil où il avait vécu et où il avait été souvent maltraité ou, dans le meilleur des cas, à peine toléré.

Au début, il faisait son possible en pensant que la famille où il venait d’entrer l’adopterait et qu’il aurait un père et une mère. Mais les années avaient passé, et il n’avait jamais été choisi. C’est de cette façon que, petit à petit, il avait commencé à glisser dans la délinquance. Les petits vols et les mensonges anodins étaient devenus une façon normale de vivre. Il avait été arrêté en novembre dernier et s’en était tiré avec une sentence suspendue. Il était actuellement en période de probation et savait pertinemment que la prochaine offense le conduirait directement en prison.

 

Il se sentait toujours seul et, souvent, quand il se promenait dans la rue ou lorsqu’il se rendait au centre commercial, il lui arrivait de regarder les gars d’un certain âge en se disant qu’il aimerait en connaître un qui accepterait de le guider, de l’éduquer, de partager ses connaissances; un gars qui l’amènerait à la pêche et, même, le disciplinerait quand il se serait mal conduit. Il regardait surtout les gars qui avaient l’air sûr d’eux-mêmes, ceux qui dégageaient une force virile d’autorité, ceux qui le faisaient entrer en érection de façon quasi automatique, uniquement en les regardant.

 

En sortant du dépanneur, la semaine précédente, il avait vu arriver un biker vêtu de cuir des pieds à la tête et portant des verres fumés. Leurs regards s’étaient croisés et il avait cru décerner que ce dernier, à travers ses lunettes, l’avait regardé avec une certaine insistance. Par la suite, Marcel l’avait aperçu à quelques reprises en train de faire des achats au dépanneur. Il avait même réussi à apprendre, par le commis, qu’il se prénommait Alain et qu’il demeurait tout près dans le quartier. En ce vendredi soir du mois de juillet, c’était la troisième fois qu’il se rendait près de la maison de ce dernier, sans trop savoir ce qui le poussait à agir de la sorte.

 

Comme il n’y avait pas d’auto dans le stationnement, il se risqua à s’aventurer dans la cour et même à tâter la porte arrière. Il constata avec surprise qu’elle était débarrée. Il passa la tête à l’intérieur et distingua clairement, malgré la pénombre, une pile de CD étalés à côté d’un divan. C’était plus fort que lui : il s’empara rapidement des disques. Il s’apprêtait à sortir comme il était entré, lorsqu’il aperçut soudainement le propriétaire, le biker, qui le regardait en silence dans le noir.

 

-           Si tu tiens à ta vie, tu déposes ça à terre immédiatement.

 

Marcel remarqua alors que le biker était muni d’un revolver et qu’il avait l’air décidé de s’en servir si nécessaire. Il laissa tomber les disques et plaça instinctivement les mains au-dessus de la tête. Il remarqua que le biker n’était vêtu que d’un pantalon de cuir très moulant qui mettait en évidence des cuisses puissantes et un entrejambes bien garni. Il remarqua surtout un torse nu et des pectoraux comme on en voit dans les annonces de clubs de conditionnement physique.

 

-           Tu ne bouges plus pendant que je te passe les menottes.

 

Le biker décrocha les menottes qu’il portait à la ceinture et dit à Marcel de présenter sa main droite. Celui-ci s’exécuta et la menotte se referma sur le poignet sans ménagement. Il s’apprêtait à présenter la main gauche lorsque le biker l’attrapa par les cheveux pour le traîner dans la cave. Il attacha alors l’autre partie de la menotte à un crochet vissé dans une poutrelle. Le biker remonta au rez-de-chaussée et revint avec un téléphone cellulaire.

 

-           J’appelle la police pour qu’ils viennent te cueillir immédiatement.

 

Marcel savait ce que cela signifiait. S’il était arrêté, c’était la prison à coup sûr puisqu’il avait enfreint les règles de sa probation.

           

-           Je vous en supplie, monsieur, n’appelez pas la police. Je suis prêt à faire tout ce que vous me demanderez, mais n’appelez pas la police.

 

-           Je ne pense pas que tu sois en bonne condition pour négocier quoi que ce soit. Mais comme je suis compréhensif, je suis prêt à te donner une chance. Je n’appellerai pas la police, mais tu devras accepter de faire tout ce que je te demanderai. Sans discussion. C’est à prendre ou à laisser.

 

Ne comprenant pas les implications exactes du contrat, Marcel, pour ne pas se retrouver en prison, accepta rapidement de se plier aux désirs du biker. Ce dernier s’approcha de Marcel, saisit son menton en appuyant fermement et lui dit en le regardant droit dans les yeux :

 

-           Tu es désormais en mon pouvoir : tu es ma propriété, ma chose, et quand je te parle, tu réponds «oui Maître» ou «merci Maître». Compris?

 

-           Oui, j’ai compris.

 

Il fut alors saisi par l’oreille droite et secoué pendant 15 secondes.

 

-           Voilà ce qui arrive aux petits garçons désobéissants. Je t’ai dit de répondre oui Maître. As-tu compris?

 

-           Oui Maître.

 

-           C’est mieux. Maintenant, je vais t’enlever les menottes, et tu vas effectuer 12 «push up» pour voir ce que tu as dans le ventre et pour le plaisir de ton Maître.

 

Le biker savait pertinemment, à voir la piètre forme physique de Marcel, que ce dernier ne parviendrait jamais à faire ce qu’il lui demandait. Marcel commença à exécuter les «push up» et ne se rendit pas plus loin que 5. Il s’apprêtait à se relever quand il sentit la botte du biker appuyer sur sa nuque, en mettant de plus en plus de pression de telle sorte qu’il avait la joue droite en contact avec le ciment de la cave.

 

-           Tu n’as pas rempli ton contrat; tu me déçois beaucoup. Tu devras être puni pour m’avoir désobéi.

 

En disant ces mots, MaîtreAlain enleva sa ceinture de cuir et ordonna à Marcel de se dévêtir. Voyant que celui-ci, l’air éberlué, hésitait à le faire, le Maître fit claquer sa ceinture dans le vide et hurla à Marcel de se déshabiller rapidement et complètement.

 

-          Quand un esclave désobéit à son Maître, il doit être corrigé sur le champ. Je vais être obligé de te donner la fessée pour te montrer à obéir.

 

MaîtreAlain s’assit et ordonna à Marcel de venir s’étendre sur ses genoux pour recevoir sa punition. Au début, le Maître ne fit que frapper mollement Marcel à main ouverte. Celui-ci trouvait le tout un peu ridicule et se sentait heureux de s’en tirer à si bon compte. Mais la cadence et la force des coups augmentèrent rapidement, de telle sorte que Marcel commençait à trouver le tout passablement moins drôle.

 

Ses fesses étaient devenues rouge vif et il sentait de plus en plus la douleur l’envahir.

 

-          Ok. Je pense que j’ai eu ma leçon.

 

-          Qu’est-ce que tu viens de dire? Tu as oublié à qui tu t’adresses?

 

Marcel avait oublié la consigne encore une fois et demanda pardon à MaîtreAlain pour cet oubli.

 

-          Normalement, je devrais te fouetter jusqu’au sang pour cet oubli. Mais comme tu en es encore au début de ton dressage, je vais me contenter de te rougir les fesses avec ma ceinture. Et je ne veux pas entendre un son de ta part, sinon c’est le fouet non seulement sur les fesses, mais aussi dans le dos.

 

Il se mit alors à corriger sa victime à coup de ceinture. Marcel se mordait les lèvres pour ne pas crier. MaîtreAlain se rendait compte que le garçon avait de l’endurance et était capable d’en prendre. Il augmenta légèrement la cadence et ce qu’il attendait se produisit. Marcel se mit à pleurer et à gémir comme un enfant puni. Le Maître arrêta les coups et caressa les fesses qui venaient d’être frappées. Les larmes se calmèrent peu à peu et le Maître ne fut pas sans remarquer que Marcel était entré en érection. Il lui ordonna de se tenir debout et lui demanda quelle était la signification de ce phénomène. Marcel, mal à l’aise, ne savait que dire.

 

Le Maître saisit alors Marcel par les couilles et commença à frapper légèrement le gland. L’érection loin de disparaître devint encore plus nette. Le Maître exerça alors une pression croissante sur les couilles avec sa main droite et se mit à pincer les seins à tour de rôle. Marcel gémissait de plus en plus, mais ce n’était plus un gémissement de plainte, mais un gémissement de plaisir provoqué par la douleur. De plus en plus de liquide séminal s’écoulait de l’urètre et le Maître s’y frotta les mains pour ensuite les présenter à la bouche du garçon.

 

-           Tu t’es bien comporté; et tu as droit à un suçon.

 

Il força alors ses doigts gluants dans la bouche de Marcel et lui ordonna de sucer. Ce dernier, malgré son dédain initial, se mit à sucer et en éprouva même du plaisir. C’est à ce moment que MaîtreAlain comprit qu’il venait de recruter un boy, un jeune slave qu’il pourrait dresser à sa guise.

 

Il détacha Marcel, l’invita à se rhabiller et lui dit de remonter au salon. Il avait toujours en main le revolver qu’il déposa sur la table à café.

 

-           Qui es-tu boy?

 

De se faire appeler «boy» emplit Marcel d’un sentiment de sécurité. Il raconta donc au master qui il était et d’où il venait. Il n’omit aucun détail en ce qui concernait ses démêlés avec la justice.

 

MaîtreAlain avait pris sa décision et dit, en regardant Marcel directement dans les yeux :

 

-           J’ai une offre à te faire boy. Je peux devenir ton Maître, ton protecteur, si tu le désires. Mais avant de décider quoi que ce soit, je veux que tu saches bien ce que cela implique. Je vais te protéger, prendre soin de toi, te former et te dresser. Cela veut dire que tu devras m’obéir aveuglément. J’exige de toi la soumission totale. Je vais te dresser physiquement et psychologiquement. Tu devras t’entraîner pour avoir une meilleure forme physique. Tu devras apprendre comment te comporter envers l’autorité. Et ici c’est moi qui représente l’autorité. Petit à petit, mais inexorablement, je vais faire de toi un boy dont son Maître sera fier. Quand tu m’auras désobéi ou que je ne serai pas content de toi, tu seras puni sans pitié.

 

Marcel écoutait et n’en croyait pas ses oreilles. Quelqu’un acceptait de s’occuper de lui. Quelqu’un qui le fascinait depuis qu’il avait entendu sa voix dans le salon et, surtout, depuis qu’il l’avait vu à l’œuvre dans le sous-sol, dans toute la puissance de sa virilité puissante et paisible. Même l’aspect «punition et entraînement» ne lui paraissait pas si difficile, puisque il était prêt depuis longtemps à s’abandonner totalement à quelqu’un qui le protégerait et l’aimerait en quelque sorte.

-           J’accepte votre proposition Maître.

 

MaîtreAlain lui expliqua alors qu’il devait être bien sûr avant d’accepter, parce qu’il n’y aurait pas de retour en arrière. Par contre, il lui fit remarquer sournoisement que s’il n’acceptait pas cette proposition, c’était un appel téléphonique immédiat à la police et l’incarcération automatique.

 

Marcel grimaça à ce rappel et déclara encore une fois qu’il acceptait le contrat.

 

-     Il y a beaucoup de choses à faire et à apprendre, boy. On va donc commencer par le commencement. Pour ce soir, je vais d’abord retoucher un peu ton look physique pour que tu te souviennes toujours de ton état de boy. Ensuite, il y aura un petit dressage mental de soumission à ton Maître et une petite séance de dressage physique. À la fin, tu pourras retourner à la maison pour préparer ton aménagement définitif ici. Tu quittes ta job de merde, tu dis à ton chambreur que tu déménages et tu amènes tes affaires ici. Compris boy?

 

-           Oui, mon Maître.

 

MaîtreAlain conduisit alors son boy dans la salle de bains et sortit un rasoir de l’armoire située au-dessus du lavabo. Il lui ordonna de s’asseoir sur le bol des toilettes et se mit à lui raser la tête. Petit à petit, Marcel perdit toute sa chevelure et se retrouva le crâne nu. Mais ce n’était pas terminé; le Maître installa Marcel dans la douche et commença à le frictionner avec de la mousse à barbe. Lentement, il se mit à dégarnir le corps de Marcel de toute sa pilosité. Ce fut d’abord le torse et la poitrine, suivis des bras et des jambes. Ensuite, le Maître commanda à son boy de se pencher par en avant. Il lui écarta les fesses de façon à avoir accès à son anus. Avec le rasoir, il enleva toute trace de poil des fesses et de l’anus de son boy en prenant soin, mine de rien, de masser l’ouverture rectale. Marcel était toujours en pleine érection. Le Maître frotta une généreuse portion de mousse sur la verge et les couilles et entreprit la phase finale du rasage. Quelques minutes plus tard, Marcel était nu, complètement nu, d’une nudité virginale, d’une nudité d’un bébé à la naissance. Toutes les parties de son corps étaient douces, exposées, fragiles et facilement accessibles. Le Maître invita alors Marcel à se regarder dans le miroir pour constater par lui-même la nouvelle allure de son corps de boy.

 

-           C’est comme ça que tu vas vivre désormais. Tu seras toujours nu et disponible pour me servir, à moins que je te donne expressément un ordre contraire. Maintenant, on va passer à la deuxième étape de la soirée. On va aller au salon, et je vais te dire ce que j’attends de toi.

 

Le maître lui ordonna de marcher à quatre pattes jusqu’au salon. Rendus sur place, MaîtreAlain s’assit dans un fauteuil et commanda à son nouveau boy de venir s’agenouiller devant lui.

 

-           Maintenant boy, tu vas me faire ton premier acte officiel d’allégeance. Tu vas lécher mes bottes comme un bon boy, un bon petit esclave qui aime son Maître. Je veux que tu le fasses avec conviction et enthousiasme.

 

De façon malhabile, mais avec conviction, il commença à lécher la botte droite du biker. Ce dernier aurait normalement ramené le slave à l’ordre devant tant de maladresse, mais il se montra bon prince pour cette première fois. Le même processus s’ensuivit pour le pied gauche. Il ordonna alors au slave de se relever. Il lui fit remarquer, en lui serrant les seins avec ses ongles, que c’était un travail de novice et qu’il devrait apprendre à améliorer sa technique à l’avenir.

 

On en était maintenant rendu à la troisième étape de cette première soirée. Il lui rappela qu’il lui restait sept «push up» à effectuer et qu’il exigeait qu’il y parvienne immédiatement. Il alla chercher le fouet et ordonna au boy d’effectuer sept «push up». Marcel, comme la première fois, s’effondra au bout de cinq. Le Maître se mit alors à frapper Marcel dans le dos et sur les fesses en lui ordonnant de continuer. Marcel parvint à effectuer de peine et de misère le onzième «push up» de la série et retomba encore une fois sur le tapis du salon. Les coups recommencèrent à pleuvoir sur le dos du boy qui ne parvenait pas à se relever.

 

-           Je compte jusqu’à 60. Tu peux te reposer un moment, mais avant la fin des soixante secondes, tu devras avoir effectué ce dernier «push up» que tu me dois.

 

MaîtreAlain se mit à compter pendant que le boy sanglotait sur le sol. Sans savoir où il avait été capable d’aller chercher ce regain d’énergie, Marcel, rendu au chiffre 53, réussit à se relever sur les mains et à effectuer le «push up» exigé.

 

-           Bravo boy, tu vois que tu es capable de faire plaisir à ton Maître quand tu le veux véritablement. Tu as donc droit à une récompense.

 

MaîtreAlain prit alors Marcel par les oreilles et lui frotta le visage sur sa braguette. Il défit alors sa fermeture éclair et présenta son membre en érection à la bouche du boy. Il lui ordonna de ne pas bouger et se mit à uriner dans sa bouche. Marcel eut un haut-le-cœur immédiat, mais les ongles du Maître s’enfoncèrent dans ses oreilles et le membre du Maître pénétra plus à fond dans la gorge. Tant bien que mal, il réussit à boire le liquide qui continuait à s’écouler dans sa bouche. Puis, par un lent mouvement de va-et-vient, le Maître commença à se masturber.

 

-           Suce mon boy et fais jouir ton Maître qui a accepté de prendre soin de toi. Mais attention, je ne veux sentir aucune de tes dents.

 

Marcel eut alors un flash. Un souvenir de l’orphelinat où, il y a plus de 10 ans, le frère Charles l’avait obligé à poser le même geste, à plusieurs reprises, pendant toute une année. Mais ce n’était pas la même chose. Aujourd’hui, il posait le geste avec plaisir parce qu’il y consentait de tout son être.

 

Le Maître constata avec surprise que son nouveau boy s’avérait un excellent suceur. Ce ne fut pas long avant que l’érection du Maître explose en cinq longs jets de sperme dans la bouche du boy. Voyant qu’une longue traînée visqueuse s’écoulait le long des lèvres de Marcel, MaîtreAlain releva rapidement son boy pour l’embrasser frénétiquement sur la bouche en avalant ce qui restait de sperme. Ensuite, il invita le boy à s’étendre sur le divan.

 

-           Maintenant boy, tu peux te masturber en présence de ton Maître.

 

Marcel commença à se masturber pendant que le Maître lui massait le ventre et lui pinçait le bout des seins de plus en plus fort. Marcel se mit alors à émettre des sons qui annonçaient la jouissance prochaine. Le Maître ordonna alors à son boy d’arrêter de se masturber immédiatement.

 

-           Je t’ai donné la permission de te masturber, mais tu n’as pas encore mérité le grand privilège de jouir. Tu ne pourras jouir que lorsque je t’en donnerai la permission. Et ce sera très rarement, quand je jugerai que tes progrès t’en donnent le droit.

 

MaîtreAlain disparut pour quelques instants et revint dans la pièce avec un petit appareil en plexiglas qui était en fait une cage de chasteté. Il l’installa sur la verge du boy, le ferma avec un cadenas et montra la clef au boy avant de la remettre dans sa poche. Le Maître expliqua au boy que cet appareil pourrait quand même lui permettre d’uriner sans problème, mais qu’il lui serait impossible de se masturber.

 

-           Ton sperme m’appartient boy, comme toute ta personne. Tu porteras cet appareil constamment, sauf durant les périodes de training, pour que je puisse avoir accès à ton «basket», afin de pouvoir le «caresser» à mon aise. Maintenant tu t’en vas chez toi et je t’attends pour ton retour permanent d’ici la fin de semaine.

 

[La suite, dans le prochain épisode…]

Par AÏKAN - Publié dans : X-toireS - Communauté : plaisirs SM
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  • Sadic Arnaud
  • Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • Mon pseudonyme est un clin d'oeil à Sadi Carnot (1796-1832), physicien et ingénieur français, qui publia en 1824 "Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance"

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  • : Anthropie, le blog de Sadic Arnaud.
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  • : Anthropie est un mélange d'Anthrôpos (l'être humain) et d'Entropie (la mesure du désordre). Il décrit les relations d'ordre (Domination/soumission) et de désordre (fétich, déprave) essentiellement chez les mecs car je suis gay.
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